Laura Tenoudji en robe d’été avec Christian Estrosi pour un festival niçois

Il y a quelques semaines encore, en robe du soir et smoking, Laura Tenoudji et Christian Estrosi montaient les marches du Festival de Cannes. De retour à Paris, la journaliste a fait escale en solo au tournoi de Roland-Garros. Vendredi 31 mai 2019, elle retrouvait son époux pour l’inauguration d’un festival niçois, sous des températures estivales.

Celle qui tient une chronique dans l’émission Télématin sur France 2 portait une très jolie robe jaune poussin pour accompagner son mari à l’inauguration du Festival du livre de Nice, qui se tient du 31 mai au 2 juin. Pour ouvrir le festival, le couple, parent d’une petite Bianca âgée d’un an et demi, était accompagnée de l’ancienne animatrice Denise Fabre, très engagée auprès de Christian Estrosi depuis plus de dix ans. Elle est la dixième adjointe au maire, chargée de l’événementiel et de la promotion de l’image de la ville. La délégation niçoise a été rejointe par Eric Ciotti, député des Alpes-Maritines, ainsi que par Bernard Gonzales, nouveau préfet du département.

À leur côté, l’équipe du festival : son président, le cinéaste Jean-Jacques Annaud, et son directeur artistique, le journaliste Franz-Olivier Giesbert. Sur scène, Eric Ciotti, Christian Estrosi et le réalisateur de L’Amant se sont succédé. Laura Tenoudji est également montée sur l’estrade quand l’auteur Daniel Picouly s’est vu remettre le convoité Prix Nice Baie des Anges pour son livre Quatre-vingt-dix secondes (Albin Michel). C’est un prix littéraire décerné par un jury présidé par Franz-Oliver Gielbert et auquel le public azuréen amateur de lecture et de littérature est associé.

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Cette première journée proposait une rencontre avec Jean-Jacques Annaud autour de son livre Une vie pour le cinéma (Grasset), mais aussi des débats (avec Christine Angot, par exemple), une lecture en compagnie de Josiane Balasko et bien sûr de nombreuses séances de dédicaces. Les niçois ont pu rencontrer Michel Onfray, David Foenkios ou encore Didier van Cawelaert, lui-même lauréat du Prix Baie des Anges pour Le père adopté en 2007.

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