De nombreuses femmes sont aujourd’hui sous antidépresseurs et plus particulièrement sous paroxétine. Cet antidépresseur qui était déjà dans la tourmente au sujet du risque suicidaire chez les enfants et les adolescents il y a quelques mois, semble révéler une nouvelle faiblesse. Une étude du laboratoire GSK montre que le risque de légère malformation cardiaque congénitale serait plus élevé chez les nouveau-nés dont la mère prenait de la paroxétine au premier trimestre que chez celles qui prenaient un autre médicament de la même famille. On ne peut cependant pas en conclure qu’il faut refuser la maternité aux femmes qui traversent un épisode dépressif !
Tout d’abord l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) rappelle qu’il s’agit de malformations mineures qui ne demandent en général pas de chirurgie et par ailleurs l’étude de GSK ne sera finalisée que début 2006. Ensuite, il est important de consulter son médecin pour envisager toutes les alternatives thérapeutiques possibles, ce médicament doit être utilisé dans les bonnes indications et en suivant les précautions d’emploi et surtout il ne faut en aucun cas l’arrêter brutalement.
La meilleure chose à faire est de voir avec son médecin comment adapter son traitement à son désir d’enfant et de ne pas paniquer !Source : AFSSAPS, le 3 octobre 2005Click Here: geelong cats guernsey 2019