Obsèques de Pierre Cardin : il repose au côté de son grand amour

Pierre Cardin est mort ce 29 décembre à l’âge de 98 ans. Inhumé au cimetière de Montmartre à Paris dans la plus stricte intimité, le grand couturier repose auprès de celui avec qui il avait vécu une relation passionnée.

Pierre Cardin, mort le 29 décembre dernier, a été inhumé en toute intimité au cimetière de Montmartre à Paris ce samedi 2 janvier, comme l’a fait savoir sa famille à l’AFP. Selon les informations de nos confrères de RTL, les dernières volontés du grand couturier disparu à l’âge de 98 ans ont été respectées. “Pierre Cardin a été enterré dans un cercueil noir, en habit d’académicien des beaux arts avec l’épée qu’il avait dessinée, la poignée entremêlant un dé à coudre, le chas d’une aiguille et une bobine de fil, tandis que la lame rappelle celles d’une paire de ciseaux,” rapportent nos confrères.

La célèbre couturier repose éternellement aux côtés de son compagnon et collaborateur André Oliver, mort en 1993 après avoir perdu son combat contre le Sida à l’âge de 61 ans. Un “ami très cher” pour Pierre Cardin, qui avait croisé sa route en 1952 pour ne plus jamais la quitter. “C’était un très grand créateur, mais il donnait dans le vêtement portable. Lui, c’était Jacqueline de Ribes et les femmes élégantes de l’époque, il les habillait toutes. Moi, c’était la création pure… que je ne vendais pas, évidemment !” s’amusait-il à son sujet dans les colonnes de Vanity Fair en juin 2013, et d’ajouter dans un rire : “Je ne vendais rien ! (il rit) Lui, il vendait tout ! (il rit encore), Il faisait vivre la maison“.

© BERTRAND RINDOFF PETROFF / BESTIMAGEPierre Cardin et André Oliver à un défilé en 1982

L’amour d’une femme

Ouvertement homosexuel, Pierre Cardin a néanmoins également vécu une relation passionnée avec Jeanne Moreau. “Jeanne et moi, on est comme un jersey, un tissu qui se détend mais ne lâche pas avait-il joliment confié au sujet de cette idylle avec l’actrice qui aura duré quatre ans. Leur plus grand regret ? Ne pas avoir eu d’enfant. Après la disparition du grand couturier, la maison Cardin continue désormais à vivre grâce à son neveu Rodrigo Basilicati Cardin.

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Crédits photos : Backgrid USA / Bestimage

Roselyne Bachelot s’agace face à Thomas Sotto : « On n’est pas sourds »

Alors que le monde de la culture ne cache pas sa colère face à la prolongation de la fermeture des salles de cinéma, théâtres et musées, Roselyne Bachelot est largement pointée du doigt. Invitée de RTL ce mardi 5 janvier, la ministre de la Culture a fait part de son agacement face aux critiques.

La nouvelle est tombée comme un couperet en ce début d’année 2021, les lieux culturels ne pourront pas rouvrir le 7 janvier en raison de la crise sanitaire. Une décision vécue comme une injustice par beaucoup d’acteurs du milieu qui pointent du doigt l’inaction de Roselyne Bachelot. Invitée de Thomas Sotto sur RTL ce mardi 5 janvier, la ministre de la Culture s’est montrée profondément agacée par ces attaques.

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Alors que le journaliste l’interrogeait sur “l’absurdité” des annonces gouvernementales, Roselyne Bachelot est restée imperturbable face aux critiques. Tout me chiffonne ! Moi ministre de la Culture qui vit avec les créateurs, les artistes et les chanteurs… C’est une souffrance ! Je sais les sacrifices que ça représente…, s’est-elle agacée avant d’être interrompue par Thomas Sotto : “Mais Jean Castex n’entend pas ça ? Si il entend ! On n’est pas sourd, on n’est pas aveugle !, s’est-elle emportée.

Roselyne Bachelot soutenue par Matignon

Interpellée par plusieurs artistes sur les réseaux sociaux, Roselyne Bachelot tente tant bien que mal d’éteindre l’incendie. “Ça a été un crève-cœur épouvantable de prendre cette décision (ndlr : de prolonger la fermeture des lieux culturels)”, confiait-elle à France Inter. Et de poursuivre : “Je veux que les artistes sachent qu’on est entièrement à leurs côtés, qu’on les comprend, que cette souffrance on la partage. C’est difficile de trouver les mots devant tant de souffrance”. Acculée, la ministre peut cependant compter sur le précieux soutien de Jean Castex, monté au créneau pour prendre sa défense. “Elle se bat comme une lionne pour le secteur culturel”, a-t-il assuré au micro d’Europe 1, et de conclure : “Ces mesures sont nécessaires pour des raisons de sécurité. Il n’y a pas la moindre marque de mépris”.

Crédits photos : RTL

Marie-France Pisier et Bernard Kouchner auraient flirté ensemble…

Dans son dernier ouvrage, Camille Kouchner accuse son beau-père Olivier Duhamel d’inceste et revient sur l’éventualité d’une relation entre son père Bernard et sa tante Marie-France Pisier.

Camille Kouchner frappe fort en révélant l’inceste de son beau-père Olivier Duhamel, sur son frère jumeau lorsqu’il était adolescent, dans son nouveau livre intitulé La Familia Grande. La fille de Bernard Kouchner et d’Evelyne Pisier raconte dans son ouvrage, qui sortira le 7 janvier 2021, que son frère, dont le prénom a été changé en Victor pour conserver son anonymat (et qui est désormais père de trois enfants), a été victime d’abus sexuels de la part du politologue de 70 ans, dès 1988.

Olivier Duhamel a aussitôt démissionné de toutes ses fonctions officielles, notamment son mandat de président de la Fondation Nationale des Sciences Politiques, lorsque les accusations à son encontre ont été médiatisées. Le Parisien revient sur l’affaire et précise qu’Evelyne Pisier avait très mal réagi en 2008, lorsque les abus sexuels de son compagnon sur son fils avaient été révélés à leur entourage proche. “Salauds ! Vous avez tout balancé. Je hais votre perversité. Tout le monde maintenant va être au courant”, aurait-elle reproché alors à ses enfants. Nos confrères évoquent également sa sœur, Marie-France Pisier, qui a elle-aussi appris les actes commis par Olivier Duhamel et a vivement conseillé à Evelyne de le quitter. Les deux femmes sont restées “brouillées à vie”.

Des sœurs “partageuses”

De plus, on découvre que Camille Kouchner “suggère que pendant la liaison” de sa mère avec Fidel Castro (qui avait duré quatre ans), “Bernard Kouchner aurait pu vivre un bref amour avec la comédienne”. “Les deux sœurs de l’après-68, dit l’écrivaine, étaient ‘partageuses’”, ajoutent nos confrères, avant de souligner que “Marie-France Pisier a épousé le cousin germain d’Olivier Duhamel”.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE

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« Président infantile » : la dernière balle de Michelle Obama pour Donald Trump

Alors que le Capitole américain a été pris d’assaut par des partisans pro-Trump le mercredi 6 janvier, Michelle Obama a tenu à réagir sur son compte Twitter, en disant sans langue de bois tout ce qu’elle pense de Donald Trump.

Le 6 janvier 2021 a été profondément marqué par l’invasion du Capitole, à Washington D.C., par des partisans pro-Trump. Au total, cinq personnes ont perdu la vie au sein du Congrès américain à cause de l’intrusion de manifestants. Le lendemain matin, Michelle Obama n’a pas pu s’empêcher de réagir sur son compte Twitter. L’ancienne Première dame des Etats-Unis a partagé un communiqué, dans lequel elle revient sur ce terrible évènement, qu’elle qualifie de “gang organisé, violent, furieux d’avoir perdu une élection”.

Indignée, l’épouse de Barack Obama affirme : “Ils ont fièrement agité le drapeau perfide de la Confédération dans les couloirs. Ils ont profané le cœur du gouvernement américain. Et lorsque les autorités ont finalement repris le contrôle de la situation, ces émeutiers et membres de gang ont été escortés hors du bâtiment non pas menottés, mais libres de poursuivre leur journée.” La maman de Malia et de Sasha regrette terriblement que “certains Américains sont, en fait, autorisés à dénigrer le drapeau et les symboles de notre nation”. L’occasion pour elle de tacler Donald Trump, qui est, selon elle, “un président infantile et déloyal à la patrie, qui ne peut supporter la vérité de ses propres échecs”. Désormais, Michelle Obama espère que les citoyens des Etats-Unis donneront “au président élu Biden et à la vice-présidente-élue Harris une chance de nous guider vers une direction meilleure”.

Un président “qui a menti sans relâche”

“C’est à nous de jouer notre rôle. De tendre le bras. D’écouter. Et de chérir la vérité et les valeurs qui ont toujours fait avancer ce pays. Cela sera un processus gênant, parfois douloureux. Mais si nous nous y mettons avec un amour honnête et inébranlable pour notre pays, nous pourrons peut-être commencer à guérir”, ajoute-t-elle, avec optimisme. De son côté, Barack Obama a évoqué sur Twitter les récentes violences qui ont secoué le pays et qui ont été “encouragées par un président qui a menti sans relâche sur l’issue d’une élection”. Il s’agit pour lui d’un “moment de déshonneur et de honte” national. Pour rappel, Donald Trump a fait preuve à de nombreuses reprises d’agressivité envers le couple formé par l’ancien président américain et sa femme. En novembre dernier, Michelle Obama s’est emportée sur Instagram en rappelant que la politique “n’est pas un jeu” et que le prédécesseur de Joe Biden devait accepter sa défaite lors des dernières élections. De son côté, Donald Trump a tweeté qu’il n’assisterait pas à l’investiture du président élu, prévue le 20 janvier prochain.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : WALTER / BESTIMAGE

VIDÉO – François Hollande raconte ses souvenirs de Donald Trump… ça pique

Invité sur le plateau de Cnews ce dimanche 10 janvier, François Hollande a raconté les souvenirs qu’il gardait de Donald Trump alors que ce dernier quittera la Maison-Blanche le 20 janvier prochain. Et l’ex-chef de l’Etat français n’a pas mâché ses mots sur son homologue américain.

Le 20 janvier prochain Donald Trump quittera définitivement la Maison-Blanche. Deux jours après les violences au Capitole, le président américain a annoncé dans un tweet qu’il n’assisterait pas à l’investiture de son successeur Joe Biden, dont il a toujours rejeté l’élection. Une première dans l’histoire récente des Etats-Unis. Décidément, le milliardaire qui a pris ses fonctions en janvier 2017 se sera fait remarquer jusqu’au dernier jour de son mandat.

Président de la République française entre mai 2012 et mai 2017, François Hollande avait plusieurs fois échangé avec Donald Trump. Et le souvenir qu’il garde de l’époux de Melania Trump n’est pas franchement positif. “J’avais compris quand j’avais ces conversations avec lui que nous n’étions pas dans le même universsouligne l’ancien chef de l’Etat sur l’antenne de Cnews ce dimanche 10 janvier, “je lui parlais des accords internationaux, du climat, de l’accord avec l’Iran, il ne me parlait pas sur le fond, mais de trillions de dollars.”

Click Here: Celtic soccer tracksuitDonald Tump “ne parlait que d’argent”

François Hollande se souvient que le milliardaire “ne parlait que d’argent”. Quant à son évocation de la France, elle se résumait aux plaisirs de la table et à quelques lieux culturels. “Des musées, encore que je ne savais pas si il les avait visités” souligne néanmoins le compagnon de Julie Gayet avec une once de mépris, “de la gastronomie, du vin français (…) il me parlait de ses voyages, mais à aucun moment il ne me parlait des grands sujets qui pouvaient intéresser nos deux pays”. Cinglant, François Hollande ne garde donc pas un souvenir impérissable de ses échanges avec l’ancien président des Etats-Unis. Son successeur Emmanuel Macron a eu, quant à lui, des relations également un brin complexes avec l’homme d’affaires…

Crédits photos : Capture Cnews

Affaire Olivier Duhamel : cette scène gênante aux obsèques d’Evelyne Pisier

En 2017, lors des obsèques d’Evelyne Pisier, une remarque au sujet d’Olivier Duhamel n’avait pas échappé à l’ancienne ministre Aurélie Filippetti, qui avait alors tenté de tirer la sonnette d’alarme à son sujet.

Si Marie-France Pisier a été la première à prendre position au nom de Camille Kouchner et de Victor*, son frère jumeau (rebaptisé par la juriste dans son ouvrage La Familia Grande pour le préserver), Aurélie Filippetti avait, elle aussi, soupçonné Olivier Duhamel d’inceste. En 2017, elle contactait ainsi Frédéric Mion, directeur de Sciences Po, là où l’ex-ministre était enseignante, pour en avoir le cœur net. En écoutant son récit, ce dernier a fait part d’une scène étrange et gênante (désormais accablante) survenue lors des obsèques d’Évelyne Pisier, défunte femme du politologue morte le 9 février 2017. “Ah, je comprends pourquoi, lors de l’enterrement d’Évelyne au cimetière de Sanary, Olivier Duhamel se tenait seul si loin des enfants Kouchner !”, ont récemment cité nos confrères du journal Le Monde.

Frédéric Mion s’était souvenu d’une ambiance glaciale. Souvenir semblable à celui de Camille Kouchner qui, deux ans auparavant, soit le 14 février 2017, constatait que son ex-beau-père avait préféré s’isoler de tous durant les obsèques de sa maman. “C’était comme si nous étions radioactifs”, écrit-elle dans La Familia Grande. Une distance sans doute expliquée par la divulgation du sombre secret pesant sur cette grande famille. Car avant de briser une omerta longue de trois décennies, la juriste de 45 ans avait supplié son frère de dénoncer Olivier Duhamel auprès de leur mère. Le secret avait été révélé pour la première fois en 2008. Le mari d’Évelyne Pisier avait ensuite refusé de passer aux aveux, optant pour une défense “ignoble.”

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© CEDRIC PERRIN / BESTIMAGECiblé par une enquête ouverte par le parquet de Paris, Olivier Duhamel a démissionné de la présidence de la Fondation nationale des Sciences politiques. Frédéric Mion, directeur de Sciences Po, pourrait aussi être poussé vers la sortie.

Une guerre familiale aux airs de conflit politique

Tandis que les langues se délient, les conséquences, elles, ne se font pas attendre. Visé par une enquête ouverte par le parquet de Paris pour “viols et agressions sexuelles” sur mineur, Olivier Duhamel a démissionné de la présidence de la Fondation nationale des Sciences politiques, choisissant d’être défendu par l’une des avocates de Dominique Strauss-Kahn. Et il n’est pas le seul dont l’avenir est chamboulé par ce scandale.

Alerté des actes du constitutionnaliste, Frédéric Mion aurait choisi d’entretenir l’omerta. Silence qui pourrait lui coûter cher, bien qu’il refuse de démissionner de ses fonctions à la tête de Sciences Po en tentant de rétablir le calme, plaidant sa bonne foi. Il a notamment nié avoir pris connaissances des agissements du politologue. C’est la gauche qui règle ses comptes. Elle en voulait à Duhamel [un ex-député du Parti Socialiste, ndlr] pour son ralliement à Macron, a estimé une source proche de Sciences Po auprès de L’Opinion.

© Szwarc Henri/ABACAFrédéric Mion aurait été alerté des agissements d’Olivier Duhamel mais aurait préféré entretenir le silence

Crédits photos : FACELLY/SIPA

VIDEO – « Ca me rend fou ! » : le coup de gueule de Pascal Praud contre le gouvernement

Dans L’heure des Pros sur CNews ce mercredi 13 janvier, Pascal Praud s’est emporté contre la possible mise en place d’un couvre-feu à 18 heures et ses conséquences sur la pratique sportive des enfants.

Il avait un message à faire passer. Ce mercredi 13 janvier, le présentateur de L’heure des Pros sur CNews, Pascal Praud, a poussé un nouveau coup de gueule sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement. Cette fois-ci, les mesures de couvre-feu avancé, qui pourraient être étendues à l’ensemble du territoire français dans les prochains jours, étaient dans son viseur. Pascal Praud a ainsi pris la défense des enfants et adolescents qui ne pourront sans doute plus, si ce n’est déjà le cas, pratiquer d’activités sportives en club : “Tu as l’impression que ceux qui nous gouvernent ne savent pas qu’il y a des gosses qui vont s’entrainer du lundi au vendredi après l’école. Alors est-ce que les ministres ont des enfants entre 11 et 15 ans ? Je n’en suis pas sûr. Pas tous“, a-t-il regretté dans un premier temps.

Ensuite, le journaliste de CNews a développé son inquiétude quant à la mise en place, dans l’ensemble des départements, d’un couvre-feu à 18 heures. Une mesure, qui aurait pour but d’enrayer la propagation de la Covid-19, mais qui empêcherait de nombreux enfants de pouvoir s’entraîner au sein des clubs : “Ces enfants vont s’entrainer. Si tu fais le couvre-feu, ils n’iront plus s’entrainer. Ça me rend fou cette histoire de sport. Franchement, ce n’est pas bien pour les enfants. Qu’on fasse des dérogations, je n’en sais rien, mais qu’on fasse du sport !”, s’est-il emporté.

Le sport est essentiel pour un gosse”

Pascal Praud, habitué aux coups de gueule, a également pointé l’absence de compétitions depuis maintenant plusieurs semaines : “Les compétitions n’ont pas repris, ni au basket-ball, ni au football, ni pour tous les sports collectifs“. Selon lui, la conséquence est que “chaque samedi et dimanche, la société envoie ces enfants et adolescents devant les écrans, confinés chez eux“. Il n’a pas éludé non plus “les violences qui peuvent exister dans certaines familles“. Le présentateur de L’heure des Pros sur CNews s’est alors questionné : “Quelle vie annonce-t-on à cette jeune génération ? Quelle santé prépare-t-on à ces jeunes qui ne se dépensent plus ?” avant de conclure : “Le sport est essentiel pour un gosse. Je suis triste et affligé que le sport soit si peu présent dans les décisions de l’exécutif“.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias

Crédits photos : CNEWS

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VIDÉO – Bruno Le Maire très gêné par une question de Philippe Etchebest

De nouvelles mesures contre la Covid-19 seront annoncées par Jean Castex ce jeudi 14 janvier. Dans l’émission C à vous sur France 5 la veille, Philippe Etchebest a tenté de faire parler le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, présent à ses côtés en plateau.

C’est ce qui s’appelle tenter de sous-tirer des informations. Ce jeudi 14 janvier, Jean Castex prendra la parole pour annoncer de nouvelles mesures aux Français afin de contrer l’épidémie de la Covid-19. Alors qu’un couvre-feu général se profile, Philippe Etchebest a tenté d’en savoir plus sur le plateau de C à vous sur France 5, invité aux côtés du ministre de l’Economie, Bruno Le Maire.

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Le chef, qui a souvent fait part de sa colère face à la situation dramatique qui touche son secteur et qui aimerait avoir davantage de visibilité, s’est permis une petite question au ministre de l’Economie, juste avant la fin de l’émission. Une demande qui a brin gêné l’homme politique. “Pour le couvre-feu à 18h, pourquoi on ne différencie pas les régions qui sont moins impactées que les autres ? a demandé Philippe Etchebest. Et Anne-Elisabeth Lemoine, de lancer avec malice : “C’est ce qui est le cas aujourd’hui” avant que sa consoeur Marion Ruggieri ne précise, tentant de décrocher un scoop auprès du ministre : “mais ce ne sera peut-être pas le cas demain…”

“On a compris un peu entre les lignes là, non ?”

Embarrassé, Bruno Le Maire a botté en touche. “Si je réponds à votre question, je vais faire l’annonce que je ne veux pas faire, qui ne me revient pas, ça revient au Premier ministre,” a déclaré le locataire de Bercy amusé, révélant à demi-mot le scénario envisagé. Et la journaliste de conclure à la hâte avec humour : “On a compris un peu entre les lignes là, non ? Grâce à vous, Philippe Etchebest !” Réponse ce jeudi 14 janvier à partir de 18 heures.

Crédits photos : Capture France 5

Michèle Rubirola s'agace : « Vous croyez que je suis une femme soumise ? »

Dans les colonnes du magazine Elle, Michèle Rubirola est revenue sur sa démission de la mairie de Marseille. Si elle a switché ses fonctions avec Benoît Payan qui était son premier adjoint, elle assure que c’est sa décision et qu’elle n’a pas été manipulée.

Le 4 juillet dernier, Michèle Rubirola était élue maire de Marseille mais seulement, moins de six mois après son élection lors des municipales de 2020, elle a annoncé sa démission pour des raisons de santé. Elle a décidé de switcher de fonction avec son premier adjoint Benoît Payan, si bien que de nombreuses personnes se sont agacés ou ont crié au coup monté. Sa démission était-elle prévue ? A-t-elle été instrumentalisée par Benoît Payan ? Michèle Rubirola a répondu à ces questions dans les colonnes du magazine Elle, en kiosque ce vendredi 15 janvier.

Plutôt agacée par ces bruits qui circulent, celle qui n’a pas hésité à prendre à partie Léa Salamé et Thomas Sotto a lancé : “Vous croyez que je suis une femme soumise ?“. Et d’ajouter : “Dès le soir du premier tour, c’est moi sui, pressentant les difficultés, ai proposé à Benoît de switcher. “Mais Michèle, m’a-t-il répondu, c’est impossible, ça ne se fait pas !” Comme je ne voulais pas faire perdre mon camp, j’ai tenu bon.” Michèle Rubirola a conclu sa réponse par : “Être maire de la deuxième ville de France, ça ne s’improvise pas.” Toujours est-il qu’elle ne regrette pas sa décision d’être désormais première adjointe. La politique de 64 ans dit être “en harmonie avec [elle-même]” et “certaine d’avoir choisi la meilleure solution pour être utile à [sa] ville“.

© Patrick Carpentier / BestimageMichèle Rubirola. Le 4 juillet 2020

Cette maladie qu’elle ne nomme pas

Lors de sa démission, Michèle Rubirola a évoqué sa santé, sans pour autant dire clairement ce qu’elle traversait. Une maladie qui lui a valu une opération, en septembre, puis une convalescence de quatre semaines“, notait Le Monde au lendemain de l’annonce de la démission. “Je prêche la transparence, on sait qu’elle a des problèmes de santé depuis très longtemps mais on n’a jamais su quoi, moi je pense qu’il faut être transparent“, avait même estimé Ariane Chemin sur le plateau de C à vous le mardi 15 décembre dernier.

Crédits photos : Patrick Carpentier / Bestimage

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Pourquoi le frère de Benjamin Castaldi est menacé de mort après un lapsus…

Depuis que sa langue a fourché dans L’Équipe du Soir ce jeudi 14 janvier, Giovanni Castaldi reçoit des messages de haine sur les réseaux sociaux. Des attaques auxquelles il a réagi sur Twitter.

Les détracteurs de Giovanni Castaldi n’y sont pas allés de main morte. Celui qui avait pris la défense de son demi-frère, Benjamin Castaldi, attaqué il y a deux mois sur la Toile, s’est lui-même retrouvé au cœur d’une polémique. Ce jeudi 14 janvier, il s’est exprimé avec maladresse, dans L’Équipe du Soir, diffusé sur La chaîne L’Équipe – qui a déjà fait parler d’elle. En plein débat sur le match Paris Saint-Germain – Olympique de Marseille, qui s’était tenu la veille, il a lancé : “La finalité, c’est quoi ? Au final, les mecs parlent. Quand on voit un PSG-OMerde…” Et de se reprendre, tant bien que mal : “OM ! Pardon !”. Un lapsus qui a déclenché un fou rire sur le plateau, mais qui lui a valu une avalanche de haine sur les réseaux sociaux.

Quelques heures après la retransmission de l’émission sportive, Giovanni Castaldi a dévoilé certains messages – d’une rare violence – qu’il a reçus, sur Twitter. L’occasion pour lui de revenir sur ses propos tenus sur le plateau. “Vu que je reçois un nombre incalculable d’insultes, de menaces de mort. Alors, comme évoqué en direct où je me suis d’ailleurs excusé, j’ai fourché. Aucune intention de porter atteinte à l’OM. Gardez votre haine et vos polémiques inutiles”, a-t-il publié. Un tweet qui n’a visiblement pas suffi à apaiser les tensions. “Tu pensais quoi ? Que ça passerait crème, qu’on glousserait comme des dindons comme tes copains ? Mettez vous bien dans le crâne que l’OM c’est pas qu’un club de foot, vous ne l’avez pas intégré ça. Bon, je ne boycotterai pas ton émission puisque par bonheur je ne la regarde pas”, lit-on par exemple, parmi les commentaires de cette publication.

“Rien ne justifie les menaces de mort”

Giovanni Castaldi n’en est pas resté là. Ce vendredi 15 janvier, le chroniqueur s’est de nouveau emparé de son compte Twitter pour s’adresser aux internautes. “Je viens de m’entretenir avec le directeur de la com de l’OM, Grégoire Kopp, et comme en direct, je lui ai réitéré mes excuses. J’ai fourché et à aucun moment mon intention n’a été d’insulter le club. Il faut arrêter cette folie et la parano ! Rien ne justifie les menaces de mort”, a insisté le fils de Jean-Pierre Castaldi. Là encore, son message a fait réagir. Heureusement pour le journaliste, certains ont néanmoins tenu à lui témoigner leur soutien.

Article écrit avec la collaboration de 6Medias.

Crédits photos : Capture La chaîne L’Équipe

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