Jean-Yves Le Drian « en danger » : fallait-il vacciner les ministres ?

Après avoir révélé avoir été testée positive à la Covid-19 le 20 mars dernier, Roselyne Bachelot a été hospitalisée après “deux jours très éprouvants” annonce BFMTV ce mercredi 24 mars. Sur le plateau de la chaîne, Bruno Jeudy s’est inquiété de la stratégie du gouvernement concernant la vaccination de ses ministres, évoquant notamment le cas de Jean-Yves Le Drian, 73 ans.

La polémique enfle. Après avoir révélé avoir été testée positive à la Covid-19 le 20 mars dernier, l’état de santé de Roselyne Bachelot s’est détérioré. Après “deux jours très éprouvants”, la ministre de la Culture a été hospitalisée annonce BFMTV ce mercredi 24 mars. Cette dernière avait pourtant été vaccinée une première fois le 17 mars, mais sans deuxième dose, elle ne bénéficiait que d’une immunité partielle.

Une deuxième hospitalisation après celle de la ministre du Travail, Elisabeth Borne, qui inquiète et interroge. “Je n’ai jamais compris depuis le début la stratégie du gouvernement de ne pas vouloir faire vacciner – y’a six ministres de plus de 60 ans, et trois de plus de 70 ans – et je n’ai jamais compris pourquoi. Il y a une mise en dangeralerte Bruno Jeudy sur le plateau de BFMTV ce mercredi 24 mars. “Jean-Yves Le Drian, qu’il n’ait pas été vacciné plus tôt, ce n’est pas normal, il a eu des antécédents de santé en 2017 qui étaient extrêmement graves” a précisé le journaliste avant de confier que l’entourage du ministre des Affaires Etrangères, âgé de 73 ans, “s’étonnait de cette ligne fixée par Jean Castex”.

Roselyne Bachelot a-t-elle fait preuve d’imprudence ?

Heureusement, Roselyne Bachelot n’a pas participé au dernier Conseil de défense, ni au dernier Conseil des ministres comme le précise le chef du service politique de BFMTV. Mais problème, juste avant d’avoir été testée positive, la ministre de la Culture a assisté à une représentation à l’Opéra de Paris et a remis la Légion d’honneur à Michel Sardou vendredi 19 mars. Accolades, photos, proximité, un comportement qui a provoqué un début de polémique sur la Toile.

A chaque fois, la ministre prend garde de respecter les gestes barrières. Elle porte le masque en permanence. Après, on ne peut pas empêcher les gens de vouloir l’approcher” souligne une conseillère de la ministre au Monde. Alors que certains évoquent un “cluster au sein du gouvernement”, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a répondu par la négative, et assuré qu’aucune erreur n’avait été commise. Présentant au moins une comorbidité, Roselyne Bachelot aurait pu se faire vacciner avant le 17 mars, mais elle avait repoussé sa vaccination, ne souhaitant “pas donner l’impression d’un passe-droit” a confié un proche de la ministre.

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Crédits photos : Michael Baucher / Panoramic / Bestimage

« J'ai une tronche à faire Top Chef ? » : Chloé, la candidate sans filtre de la saison 12

Parmi les huit candidats encore en lice de Top Chef saison 12, Chloé Charles se distingue avec sa cuisine éco-responsable et inventive. Sans oublier un franc parler qui ne laisse personne indifférent.

Elle a bien failli ne jamais mettre le tablier de Top Chef. Candidate remarquée de cette saison 12, Chloé Charles a pourtant refusé d’intégrer l’émission de M6 pendant longtemps. Mais après avoir rejeté les approches durant 5-6 ans, la cheffe indépendante a changé d’avis grâce à Adrien Cachot, croisé à la soirée d’inauguration de la terrasse éphémère de Mory Sacko au Palais de Tokyo. “Je suis une amie de Gianmarco Gorni (ancien de Top Chef 2020), il m’a donc présentée à la bande des ex Top Chef dont Adrien Cachot. On a bien discuté, raconte-t-elle à Télé Loisirs. Il m’a demandé pourquoi je ne ferai pas Top Chef, alors je lui ai répondu “t’as vu ma tronche ? est-ce que j’ai une tronche à faire Top Chef ?”“, se souvient l’épouse de Gaëlle et maman d’ Olga, née en décembre 2020.

Sauf que Chloé Charles réfléchit. Alléchée par la perspective d’échapper au contexte difficile du Covid, qui a mis son entreprise au point mort, elle se laisse finalement tenter. “J’ai fait les castings et je me suis bien marrée !“, avoue celle qui était réticente à l’idée de s’exposer à la télé. “Ils essayaient pas mal de filmer l’intime. (…) Là c’est très “tourné” cuisine. L’émission a changé. C’est aussi ce qui attire de nouveaux profils qui n’auraient pas fait Top Chef il y a quelques années“, salue la candidate, également motivée par le fait d’avoir un “tremplin professionnel” et “des retours hyper constructifs” grâce aux chefs.

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Ravie de sa “formation accélérée” dans la brigade d’Hélène Darroze, chez qui elle avait déjà connu sa toute première expérience en cuisine, Chloé Charles doit quand même digérer sa nouvelle notoriété. “Je passe d’un coup d’une personne lambda à quelqu’un qu’on reconnaît dans la rue ! Je suis mise sur un espèce de piédestal juste parce que je suis passée à la télé. Il y a aussi les articles dans les journaux, des gens s’intéressent à ma vie de couple comme si c’était passionnant”, regrette-t-elle.

“Que je sois lesbienne n’est pas intéressant”

Si sur Instagram, Chloé Charles apparaît avec son épouse Gaëlle (“cela a un côté militant d’exposer un couple homosexuel comme quelque chose de tout à fait banal“), celle-ci n’a pas souhaité se montrer à l’antenne. Une façon pour la candidate d’empêcher que sa vie intime ne prenne le pas sur l’essentiel et son travail : “Qu’on affiche notre bonheur sur Instagram, que l’on fasse de temps en temps un clin d’oeil l’une à l’autre, c’est le jeu des réseaux sociaux. C’est aussi de la fierté car j’aime Gaëlle. Mais en faisant Top Chef, je suis vraiment venue pour parler de cuisine. Le fait que je sois lesbienne n’est pas intéressant. On s’en fout !“. Le message ne pouvait pas être plus clair.

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Crédits photos : Capture M6

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Emmanuel Macron sournois ? Ce changement qui n’est pas passé inaperçu

Ce n’est pas un secret, depuis qu’il est président, Emmanuel Macron a régulièrement recours à Telegram. Mais comme l’a rapporté Le Point ce jeudi 25 mars, le président de la République a récemment modifié un paramètre de son profil dans l’application de messagerie cryptée. Un changement qui interroge…

Que prépare Emmanuel Macron ? Si l’on savait déjà qu’il avait un profil de loup solitaire, et qu’il n’accordait pas sa confiance facilement, une récente modification observée sur son profil Telegram pose question. Comme le rapporte Le Point dans son nouveau numéro, disponible en kiosque ce jeudi 25 mars, Emmanuel Macron a “désactivé la fonctionnalité qui indique la dernière fois où l’utilisateur s’est connecté à ce réseau“, expliquent nos confrères. Mais alors pourquoi le chef de l’État a-t-il soudainement envie de se faire discret sur l’application de messagerie cryptée ? Mystère…

À noter que depuis peu, il est désormais possible d’automatiser la suppression de ses messages“, comme l’a indiqué le site Numerama dans un article paru fin février. Un effacement qui s’applique à tous les participants d’une conversation, grâce à un minuteur qui peut être paramétré à l’avance. Une autre fonctionnalité qui pourrait intéresser Emmanuel Macron, qui cherche vraisemblablement à laisser le moins de traces possibles sur cette application, régulièrement utilisée au sommet de l’État.

Click Here: gold coast titans jerseysEmmanuel Macron, adepte des messageries sécurisées

En septembre 2020, Le Figaro nous apprenait qu’Emmanuel Macron, qui ne se sépare jamais de son portable, était en effet un adepte des messageries cryptées. En plus de Telegram, le président de la République utilise également Signal. “Depuis le début de la semaine, un nouvel utilisateur a fait une entrée remarquée : “Emmanuel Macron est sur Signal“, informe l’application à ceux qui ont le numéro du président,” rapportait le quotidien à l’époque. À l’instar de Telegram, Signal permet au locataire de l’Élysée de pouvoir communiquer dans le plus grand secret sans avoir à craindre un quelconque piratage. Comme le rappelle Le Point, “depuis le début du quinquennat, beaucoup de ministres usent de ce canal pour lui faire passer des messages.” Des conversations privées donc, qui sont censées le rester. Mais ce n’est hélas pas toujours le cas…

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

Christophe (Loft Story) préfère rester dans l'ombre : « Loana a attiré la lumière mais aussi les problèmes »

Christophe Mercy et Julie Demme, qui se sont rencontrés dans l’émission Loft Story diffusée en 2001 sur M6, se racontent dans les colonnes de Gala en kiosque ce jeudi 25 mars. Loin des caméras, le couple mène une vie paisible, et sont les parents de deux garçons.

Après une rencontre très médiatisée…. une vie loin des projecteurs. Christophe Mercy et Julie Demme ont eu le coup de foudre devant les caméras de Loft Story, diffusé sur M6 en 2001. Peu d’intimité, pas de vie privée, le couple apprend à s’aimer de façon singulière. Une histoire d’amour qui a continué loin des caméras de télévision. Si beaucoup de téléspectateurs se souviennent de Loana, la bimbo venue du sud de la France et qui a connu de nombreux déboires depuis sa sortie du programme, peu se souviennent de Christophe qui a pourtant aussi gagné l’émission et décroché un chèque de 220 000 euros, réinvestis dans l’immobilier pour les deux tiers de la somme.

Un rôle au second plan qui lui convient parfaitement. “Loana a attiré la lumière mais aussi les problèmes. Je préférais la place du mec qu’on oublie. Même si je ne regrette en rien cette aventure, elle m’a un peu brisé. Et pour tout dire, une fois que nous avions compris, Julie et moi, que ce monde du showbizz et des paillettes n’était pas le nôtre, que nous n’avions aucun talent pour cet univers, nous avons fui Paris” confie Christophe dans les colonnes de Gala en kiosque ce jeudi 25 mars.

Julie et Christophe sont en contact avec Loana

Après Loft Story, le candidat mettra du temps avant de reprendre une activité professionnelle. Christophe a besoin de reprendre ses marques, retrouver ses repères après avoir été enfermé des semaines, coupé du monde réel. Heureusement, Julie est à ses côtés, le soutient et l’aide à avancer. En 2003, le couple qui s’est rencontré devant les yeux curieux de la France entière se dit oui en toute intimité. Ils accueilleront par la suite deux garçons, Matis et Solan.

Une vie paisible, loin de l’agitation médiatique, et de leurs anciens colocataires du Loft. Hormis Delphine, personne n’a rencontré leurs enfants. Le couple confie avoir de temps en temps Loana au téléphone. Ils l’ont invités à plusieurs reprises dans leur maison située dans le Tarn-et-Garonne, “mais c’est un peu difficile pour elle, d’assister à notre bonheur. Elle nous l’a dit” confie Julie, “nous avons construit ce qu’elle n’a pas encore réussi à faire. C’est pourtant son voeu le plus cher”. Vivre entourée d’une famille, en toute sérénité.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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VIDÉO – Laure de Lattre est claire : Loft Story c'est « no more, no more » ! Benjamin Castaldi balance

Pour célébrer les vingt ans de l’émission Loft Story, C8 propose le 8 avril un prime exceptionnel pour revenir sur le premier programme de téléréalité française. À l’occasion, de nombreux anciens candidats reviendront sur leur expérience, mais pas Laure de Lattre, qui a gardé un souvenir amer de son passage télévisuel.

Il y a vingt ans, Loft Story faisait une entrée remarquée dans le paysage audiovisuel français. Pour célébrer la première émission de téléréalité française, C8 diffusera le 8 avril un prime exceptionnel, avec de nombreux candidats de ce programme qui a révélé Steevy Boulay, Loana, Kenza et tant d’autres. Benjamin Castaldi, le présentateur de l’émission historique, a toutefois averti sur TPMP vendredi 26 mars que, parmi les grands absents de la soirée, il y aurait Aziz, reconverti dans la plus grande discrétion dans le coaching sportif, mais également Laure de Lattre. Et l’absence de cette dernière n’est visiblement pas pour déplaire à Benjamin Castaldi, qui a fait de grands signes des mains en criant « No more no more ! » (« Assez ! Assez ! » )

© Arnal-Nebinger/ABACAEn 2003, Laure de Lattre assistait à l’inauguration du pavillon Lenôtre, sur les Champs-Élysées

La candidate de la première saison de Loft Story a en effet décidé de se tenir très loin de la téléréalité. Laure de Lattre a confié au journaliste Paul Sanfourche, dans son ouvrage Sexisme Story, Loana Petrucciani, avoir regretté cette expérience. Elle a jugé « trop violent après, trop dur, trop injuste qu’on vous haïsse sans raison ». Par ailleurs, elle n’avait que très peu apprécié le fait que les candidats, à la sortie du loft, n’aient « plus vu qui que ce soit de la prod, plus jamais ». « On a vraiment été livrés à nous-mêmes », avait-elle affirmé, amère, mettant définitivement derrière elle ce passé de candidate.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : Capture C8

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Vianney catholique pratiquant : « il faut l'assumer »

Vianney est ce dimanche 28 mars l’invité de Sept à huit sur TF1. Dans le portrait en toute intimité signé Audrey Crespo-Mara, le coach de The Voice se confie sur sa religion en toute sincérité.

Quand il n’est pas debout sur son fauteuil rouge de The Voice ou bien en studio en train de préparer de nouvelles chansons, Vianney trouve le temps de prier et d’aller à la messe. Une foi qu’il aurait pu cacher pour faire « branché », mais que l’artiste « à contre-courant » a décidé d’assumer. Il a accepté de l’évoquer dans l’interview qu’il a accordée à Sept à huit sur TF1 ce dimanche 28 mars. « Je suis tout seul dans mon délire. Je ne vois pas de gens du métier », a confié le chanteur de 30 ans à Audrey Crespo-Mara avant de se corriger lui-même : « si, en plus j’en vois deux ou trois, mais qui se cachent. »

« Je ne leur en veux pas, mais c’est vrai que j’ai toujours pensé qu’il fallait assumer ce qu’on était et qui on était », a expliqué l’habitué des églises, reconnaissant que cela a « posé question (…) d’assumer ses croyances ». Vianney n’en a toutefois « jamais souffert ». « Les gens ont toujours été compréhensifs et je n’agresse personne avec ça. Je ne fais pas d’évangélisation », précise le chanteur de « Pas là », estimant qu’il faut laisser les gens « libres ». « Je remarque, et je trouve que c’est bien, que les gens de confession musulmane ont plus de facilité à l’assumer. C’est tant mieux. Il faut l’assumer si ça fait partie de nous. En revanche la limite c’est d’essayer de convaincre les gens », a confié dans Sept à huit l’acolyte d’Amel Bent dans The Voice.

Pour Vianney, il ne faut tout simplement pas essayer de « convertir » les gens qui doivent rester libres. Sa religion, il ne l’évoque pas directement en chanson, mais il fait parfois quelques exceptions. Dans son dernier album, l’ancien scout s’adresse à son grand-père décédé dans son morceau « Tout nu dans la neige ». L’artiste avait aussi rendu hommage au père Jacques Hamel, assassiné en 2016, dans sa chanson « L’homme et l’âme ».

Il veut « bientôt » arrêter sa carrière »

Concernant la décapitation de Samuel Paty, il estime qu’il y aurait trop de choses à dire pour le faire en une seule chanson. L’interprète de « Beau papa » regrette que ce drame ait créé des divisions. « Cet épisode n’a pas révélé le meilleur de tous, justement. Il y a eu des désaccords, sur un truc où je pensais vraiment qu’on serait tous d’accord pour dire que c’était horrible et injustifié », explique l’artiste qui a tente toujours d’apporter une dose de sourire, même dans ses morceaux les plus émouvants. « Moi, celui qui veut critiquer ma religion, je ne lui en veux pas. Je respecte que l’autre n’adhère pas à ce en quoi je crois », a déclaré en toute simplicité Vianney sur TF1. Une interview très émouvante sans tabou dans lequel le compagnon de la violoncelliste Catherine Robert affirme qu’il arrêtera sa carrière « bientôt », au moment de devenir père.

Article écrit en collaboration avec 6Medias

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

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Corinne Masiero (Capitaine Marleau) : qui est son compagnon Nicolas Grard ?

Voilà plus de 15 ans que Corinne Masiero, héroïne de la série “Capitaine Marleau” sur France 2, partage la vie de Nicolas Grard, un directeur d’une troupe de théâtre de rue qu’elle a rencontré dans une situation pour le moins originale…

Corinne Masiero continue à surfer sur le succès. Tête d’affiche, depuis 2015, de la série Capitaine Marleau dont la popularité ne se dément pas et dont un nouvel épisode est diffusé sur France 2 ce vendredi 2 avril, l’actrice à la langue bien pendue a le plus atypique des parcours. Avant la lumière, elle a vécu dans la rue et a dû se battre contre des addictions à l’alcool et la drogue. Même sa vie sentimentale sort des sentiers battues : en couple depuis quinze ans, elle partage sa vie avec Nicolas Grard qu’elle a rencontré… lors d’une manif anti-Medef.

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J’avais repéré ce mec qui avait réussi à calmer les gens avec un porte-voix au moment où ça aurait pu mal tourner”, expliquait celle qui a fait polémique lors de la dernière édition des César, en février 2019 au magazine ELLE. “Quatre jours plus tard, je retombe sur lui dans une autre manif. Je me suis débrouillée pour avoir son tél, et je lui ai envoyé un texto : ‘C’est où tu veux, quand tu veux.’ On a dîné ensemble le soir même, on s’est revus le lendemain. Et on ne s’est plus quittés.

© Thomas Samson / Pool / BestimageCorinne Masiero lors du photocall lors de la 46ème cérémonie des César à l’Olympia à Paris, France, le 12 mars 2021.

Nicolas Grard, auteur, comédien… et naturopathe

Depuis, c’est l’amour fou entre les deux artistes. Nicolas Grard est auteur, comédien et directeur d’une troupe de théâtre de rue. Il est aussi conseilleur au Syndicat National des Arts Vivants. “Un mec très indépendant”, comme le décrivait Corinne Masiero elle-même dans les colonnes de Gala en juillet 2020. A ses côtés, l’actrice n’a pas le temps de s’ennuyer. “Il a décidé de devenir naturopathe, nous racontait-elle alors. Il a suivi des cours pendant un an, maintenant il a son diplôme.” Véritable “Géo Trouve Tout de la vie”, le compagnon de l’actrice qui assumait n’avoir pas toujours été fidèle “continue d’être comédien, metteur en scène” et “maintient sa compagnie de théâtre de rue”.

De quoi unir les deux par leur amour du spectacle vivant et leurs convictions politiques. Car la notoriété n’a pas étouffé les idéaux de Corinne Masiero. Elle avait ainsi fait grand bruit en snobant l’invitation d’Emmanuel et Brigitte Macron à l’Elysée pour une projection du film Les Invisibles dans lequel elle joue, afin de protester contre sa politique. La lumière n’aura pas changé Corinne Masiero et c’est surement pour cela qu’elle est tant appréciée.

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Diana : le dernier cadeau insolite du prince Charles

Dans son livre intitulé “Confidences royales” sorti en 2003, Paul Burrell, l’ex-majordome de Lady Diana, se livre sur l’ancienne vie de couple du prince et de la princesse de Galles. L’homme révèle également le dernier cadeau que Charles a offert à Diana.

Le 29 juillet 1981, le prince Charles et la princesse Diana se disaient “oui” pour le meilleur et pour le pire à la cathédrale Saint-Paul de Londres. Un mariage en dents de scie certes, mais qui n’empéchait pas le couple de s’offrir des présents. Dans son ouvrage intitulé Confidences royales, sorti en 2003 aux éditions Michel Lafon, Paul Burrell, l’ancien majordome de Diana, évoque le dernier cadeau offert par Charles à son ex-épouse. Il s’agit d’un chapeau de paille orné de coquillages. “Elle n’était pas sûre que ce soit une blague ou le résultat de son mauvais goût. Elle m’a demandé en rigolant ‘Que dois-je faire avec ça ?“, explique Paul Burrell, sans préciser la date ni l’occasion d’un tel présent.

Pourtant, peu de temps après leur mariage, Charles avait réussi à faire plaisir à Diana avec un cadeau symbolique, un bracelet en or, qu’il équipait chaque année d’un pendentif. Quelques années plus tard, ce dernier contenait les lettres W et H, en l’honneur de William, né en 1982 et Harry, né en 1984. Pour leur dixième anniversaire de mariage, un an avant leur séparation, Charles avait équipé ledit bracelet d’un pendentif “X” en chiffre romain.

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© ALPHA AGENCY / BESTIMAGELe prince Charles et la princesse Diana en visite en Indonésie, le 9 novembre 1989

Le cadeau raté de Diana pour le prince Charles

De son côté, Diana faisait également preuve d’inventivité pour réjouir son bien-aimé. En 1985, la jeune femme avait souhaité faire plaisir à Charles en lui préparant un spectacle de danse avec le danseur Wayne Sleep lors du gala de Noël de Covent Garden. Malheureusement, la réaction du prince Charles à la découverte du numéro n’a pas eu l’effet escompté. Charles était atterré, consterné” rapporte Elle. “Charles pensait qu’elle s’exhibait”, explique un proche de la princesse au Daily Mail. Finalement, ce qui aurait dû être un cadeau pour Charles, l’a été pour les autres membres du public.

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Audrey Pulvar en colère après la polémique des réunions « non-mixtes » : « Vous mentez et vous le savez »

Critiquée pour ses propos tenus sur les réunions non-mixtes, Audrey Pulvar a pris la plume et a publié dans Le Monde une tribune, dans laquelle elle évoque une déformation de ses paroles et fustige “les polémistes de réseaux” et “les dévoreurs de lumière de studios jamais rassasiés d’être vus”.

Une polémique qui enfle depuis plusieurs jours. Invitée sur BFM TV le 27 mars dernier, Audrey Pulvar a provoqué malgré elle le débat en se prononçant sur la question des réunions non-mixtes organisées par l’Unef. Si la candidate aux élections régionales d’Île-de-France s’est refusée à de tels dispositifs, elle a également déclaré que l’on pouvait demander “à une femme blanche” ou “à un homme blanc” de “se taire” et de rester un “spectateur silencieux”. Dans un tweet posté dans la foulée, elle avait également précisé que “les réunions ‘non-mixtes’ ne portent pas que sur des questions de couleur de peau.” Et que “oui, dans une réunion non-mixte LGBTQI +, en tant qu’hétéro” elle se “tairait et écouterait”. Autant de propos qui ont déclenché une polémique que l’ancienne journaliste a tenté d’éteindre dans une tribune postée dans Le Monde. Elle y dénonce une fausse controverse créée par “les voix opportunistes et destructrices de la droite et de l’extrême droite”.

Audrey Pulvar se désespère de voir ses propos faire la une des actualités, alors que la troisième vague de la crise sanitaire s’abat lourdement sur la France. “Un sujet, un seul, occuperait les esprits depuis 72 heures, si l’on en croit réseaux sociaux, chaînes d’info et comptes propagateurs de haine : les propos que j’aurais tenus, intimant ‘aux Blancs’ le silence, quand il s’agit de parler de racisme. Bigre ! Celles et ceux qui ont pris la peine de m’écouter savent, à condition d’honnêteté, qu’il n’en est rien, écrit l’adjointe à la mairie de Paris. Plus loin, elle accuse “les polémistes de réseaux, les dévoreurs de lumière de studios jamais rassasiés d’être vus, jamais à court d’ires, d’excès égotiques, d’effets de manches”. (Vous) qui me traitez de ‘racialiste’, d”indigéniste’, me taxez de racisme, je vous le dis : vous mentez. Vous mentez et vous le savez, poursuit-elle.

“Ecouter l’autre, avant ensuite de prendre la parole”

Adopter une position de recul pour mieux écouter : telle est la demande d’Audrey Pulvar.J’ai utilisé le verbe ‘se taire’, parce que c’est généralement ce que l’on fait, quand on veut réellement écouter l’autre, avant ensuite de prendre la parole…, écrit-elle avant d’ajouter : “c’est ce que moi-même je fais, quand il m’arrive d’assister à des réunions de groupes de victimes de discriminations ne m’atteignant pas au premier chef.” Et de rappeler la situation des personnes de couleur en France. “Oui, pour certaines et certains, pour nous, dont la couleur de peau est autre que blanche, naître, grandir, vivre s’apprend sous le joug d’un déterminisme discriminant. Non, en parler n’est pas être raciste”, expose-t-elle.

Pour rappel, le 17 mars dernier, la présidente du syndicat étudiant, Mélanie Luce, avait reconnu au micro d’Europe 1, que des réunions fermées aux personnes blanches étaient organisées, ceci afin de “permettre aux personnes touchées par le racisme de pouvoir exprimer ce qu’elles subissent”. Une déclaration qui n’avait pas manqué de provoquer un séisme dans la classe politique. Réagissant à ces propos, le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, avait demandé à ces réunions soient rendues “illégales”. “Cette pente-là est gravissime. Elle s’insinue parfois dans la jeunesse avec les apparences de la générosité, de la lutte contre les discriminations. En réalité, cela monte les gens les uns contre les autres, c’est antirépublicain”, avait-il réagi.

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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« Un mois de vacances en fait pour les gens aisés » : Pascal Praud désabusé par le télétravail

Ce mercredi 31 mars, Pascal Praud dit tout ce qu’il pense du télétravail, privilégié en temps de confinement, dans Les auditeurs ont la parole, sur les ondes de RTL. Un avis, comme à son habitude, plus que tranché.

Le débat interminable. Dans Les auditeurs ont la parole, sur les ondes de RTL ce mercredi 31 mars, Pascal Praud fait part d’un avis tranché sur le télétravail, plébiscité en période de confinement. Lorsqu’un anonyme lui fait savoir que, à la place d’Emmanuel Macron, il imposerait le télétravail obligatoire et un contrôle des déplacements, l’animateur prévoit un scénario catastrophe. “Ce qui est terrible, c’est que les gens qui sont les plus aisés, qu’est-ce qui va se passer vendredi ?“, lance-t-il, “ils vont aller dans leur maison secondaire avec leurs enfants faire du télétravail et être en vacances pendant un mois. C’est ça qui va se passer. Donc ces gens-là, ça va être un mois de vacances.” Les travailleurs les plus pauvres ne connaîtront pas la même chance, à en croire son analyse.

“En revanche, les gens qui ne sont pas aisés, les gens qui n’ont pas de maison de campagne ou de maison secondaire, ils vont rester. Et pour eux, ça va être l’enfer, poursuit Pascal Praud. “Et c’est ça qui est très compliqué dans ces mesures !” Toutes les spéculations ont été bonnes. Après avoir refusé une remise sous cloche en janvier 2021, Emmanuel Macron s’est résolu à y céder. Ce mercredi 31 mars, et comme annoncé dans une nouvelle allocution présidentielle, le chef de l’État a annoncé que les restrictions sanitaires déjà appliquées dans seize départements français depuis le 20 mars s’étendent cette fois sur l’ensemble du territoire. Le président de la République a annoncé la fermeture des écoles pour une durée de trois semaines ainsi qu’un recours systématique au télétravail.

Nouveau sujet de désaccords, même pour la présidence

Les choix promettent d’en froisser plus d’un, notamment Pascal Praud qui s’oppose au confinement avec fermeté depuis plusieurs semaines (après avoir été prêt à l’accepter sans broncher dans Paris, au mois de février 2021). Mais pas que. Outre le docteur Martin Blachier qui fait part du même scepticisme face au confinement, une proche d’Emmanuel Macron pourrait aussi faire part de sa propre frustration. Après les dernières annonces du locataire de l’Élysée, Natahalie Saint-Cricq a relevé deux clans adverses au sein de la présidence. À savoir, “un camp qui voulait à tout prix se battre pour maintenir les écoles ouvertes, le camp Blanquer, Emmanuel et bien sûr Brigitte Macron et un autre, plutôt partisan d’une fermeture des écoles. La Première dame a donc de quoi être agacée.

Crédits photos : Agence / Bestimage

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