Un bain par jour permettrait de réduire les maladies cardiovasculaires

Bonne nouvelle pour les confinés qui disposent d’une baignoire à domicile, une nouvelle étude japonaise montre qu’un bain par jour pourrait permettre de réduire les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC) et d’infarctus.

Sommaire

  1. La température de l’eau lié au risques de maladies cardiovasculaires

Des étudiants de l’université de médecine d’Osaka en partenariat avec d’autres institutions japonaises ont suivi 30.076 participants âgés de 40 à 59 ans, sans antécédents de

maladies cardiovasculaires ni de

cancer en début d’étude.Ils demandèrent aux participants de fournir des informations concernant leurs habitudes quotidiennes notamment leur

consommation d’alcool, leur alimentation, leur

fréquence de sport, leur poids, leur

durée moyenne de sommeil, leurs antécédents médicaux et leurs traitements médicamenteux. Ils ont été suivis de 1990 à 2009. Leurs résultats, parus dans la revue en ligne 

Heart, ont montré qu’après avoir pris en compte des facteurs pouvant potentiellement influer sur les résultats, le fait de prendre un

bain chaud chaque jour était lié à un risque abaissé de 28% de maladies cardiovasculaires, et de 26% de risque d’

AVC, en comparaison avec les personnes qui ne prenaient des bains qu’une à deux fois par semaine, ou jamais.La température de l’eau lié au risques de maladies cardiovasculairesLa température de l’eau semblait être liée au risque de maladies cardiovasculaires. Ainsi les sujets qui préféraient les bains chauds abaissaient leur risque de maladie cardiovasculaire de 26% et ceux qui privilégiaient les bains très chauds voyaient leur risque reculer de 35%. En revanche, aucune association significative entre la température de l’eau et le risque d’AVC n’a été trouvée.Les chercheurs ont noté qu’un nombre fréquent de bains pris par les participants ne semblait pas affecter le risque de mort cardiaque soudaine, ou un certain type d’AVC découlant d’une

hémorragie cérébrale. En revanche, ils ont bien tenu à préciser que la

mort subite associée aux bains très chauds était relativement fréquente au Japon.”Il n’y a pas de doute sur les dangers potentiels des bains à température très élevée, et l’occurrence de décès dans ce contexte augmente avec l’âge, ainsi qu’avec la température de l’eau“, a noté le Dr. Andrew Felix Burden.Alors que les chercheurs notent que le fait de prendre des bains chauds n’est pas sans risque, particulièrement si la température est trop élevée, ils ajoutent qu’il semble tout de même que les bains produiraient des bienfaits sur la santé.Des études précédentes avaient déjà montré que les bains permettaient d’améliorer la qualité de sommeil.Click Here: West Coast Eagles Guernsey

Une carte interactive pour repérer les initiatives des artisans à Paris et en régions

Click:楼凤app
Boucherie, vente directe de produits frais, boulangerie, plats préparés… Le Collège Culinaire de France lance ce jeudi 26 mars une carte interactive regroupant toutes les initiatives de ses membres, depuis la livraison jusqu’au point relais.

Alors que les marchés en plein air ont été interdits d’ouvrir depuis l’annonce du Premier ministre le 23 mars dernier, des alternatives existent pour soutenir les producteurs français et manger sainement. Riche de son panel de 900 producteurs étiquetés “artisans de qualité”, le Collège Culinaire de France a sondé tous ses partenaires pour connaître leur implication dans le cadre de cette crise sanitaire qui ébranle la France et le reste du monde. Chocolatiers, bouchers, restaurateurs qui s’activent désormais pour les repas à emporter ou même apiculteurs et ostréiculteurs, sont indiqués sur une carte pratique, disponible à l’adresse 

Restaurantdequalite.fr/carte-interactive. Un code couleur permet de repérer le type d’initiative, c’est-à-dire des artisans proposant de la vente en ligne, effectuant des livraisons, accueillant le public pour de la vente directe… Au total, 252 initiatives sont indiquées, depuis les Flandres jusqu’aux côtes corses.

Coronavirus : l'industrie pharmaceutique promet un vaccin d'ici 12 à 18 mois

Des multinationales de l’industrie pharmaceutique se sont engagées jeudi à fournir un vaccin contre le Covid-19 "partout dans le monde", dans un délai estimé de 12 à 18 mois minimum.

Des multinationales de l'industrie pharmaceutique se sont engagées jeudi à fournir un vaccin contre le Covid-19 "partout dans le monde", dans un délai estimé de 12 à 18 mois minimum.

Des dizaines d’essais cliniques sont en cours pour mettre au point des kits de dépistage moins chers et plus performants, et surtout un traitement ou un vaccin capables de combattre le coronavirus, qui a déjà contaminé plus de 230.000 personnes et fait plus de 9.800 morts dans le monde, selon un décompte de l’AFP.”Nous ferons en sorte, même s’il est produit ailleurs dans le monde, que le vaccin soit accessible à tous ceux qui en ont besoin partout dans le monde“, a assuré Paul Stoffels, vice-président du comité exécutif de Johnson & Johnson.”C’est une promesse que l’industrie [pharmaceutique] fait ensemble“, a-t-il ajouté au cours d’une visioconférence organisée par la Fédération internationale des fabricants pharmaceutiques (IFPMA).Les formalités administratives, telles que les autorisations de mise sur le marché, peuvent être simplifiées et accélérées dans cette course contre la montre, les ressources ne manquent pas et des partenariats public-privé permettent de diluer le risque financier lié aux investissements colossaux qu’exigent la recherche et la production, a-t-il expliqué. “Nous vivons des moments exceptionnels et l’industrie y répond“, a assuré David Ricks, PDG d’Eli Lilly and Company et président de l’IFPMA.”Nous avons trois axes de travail : assurer la distribution (…), rediriger la technologie existante (…) et créer de nouveaux traitements, de nouveaux vaccins, de nouveaux tests de dépistage qui contribueront à éradiquer le Covid-19“, a-t-il ajouté.Mais producteurs et autorités de contrôle ne peuvent transiger sur la sécurité d’un candidat vaccin, et donc accélérer le calendrier des essais cliniques et d’étude des résultats, ont prévenu des responsables de grands groupes.

Cela va prendre de 12 à 18 mois pour avoir un vaccin autorisé sur le marché“, selon David Loew, vice-président exécutif de Sanofi et responsable de Sanofi Pasteur.L’industrie reconnaît que ce délai est une estimation “agressive”, mais réaliste si les délais légaux sont réduits.Une fois la formule validée par les agences de régulation, il faudra cependant produire en quantité suffisante et garantir l’approvisionnement sur toute la planète.”On parle de milliards de personnes, c’est un énorme défi“, a souligné David Loew.Afin de lever les obstacles à la production et au transport, les patrons des grands labos ont appelé les Etats à “classer l’industrie pharmaceutique parmi les secteurs essentiels” de l’activité de leurs pays, en permettant notamment à leurs employés de se rendre dans les usines.”Il y a eu quelques problèmes localement“, selon David Ricks.Sachant que jusqu’à présent, aucun vaccin efficace contre un membre de la famille des coronavirus n’a été conçu, “la plupart des programmes” d’essai clinique lancés contre le Covid-19 sont condamnés à échouer, a mis en garde Rajeev Venkayya, responsable du développement des vaccins au sein du groupe Takeda. L’avantage en revanche d’engager des projets tous azimuts est que “certains réussiront“, a-t-il aussi indiqué.Click Here: gws giants guernsey 2019

Coronavirus : la RATP réduit son offre mardi après une chute de la fréquentation

Les transports en commun exploités par la RATP à Paris et dans son agglomération seront réduits mardi à la suite de mesures contre le coronavirus, a annoncé le groupe après avoir déjà observé une chute de moitié de la fréquentation ce lundi.

Les transports en commun exploités par la RATP à Paris et dans son agglomération seront réduits dès mardi.

Deux métros sur trois seront en circulation mardi, 70% des bus et tramways, 60% des RER B et la moitié des RER A, a annoncé la RATP à l’AFP. Pour les deux lignes de RER, les interconnexions seront maintenues.Ces mesures font suite aux annonces effectuées lors du week-end par le gouvernement, qui a ordonné la fermeture des lieux publics jugés non indispensables et a déjà réduit drastiquement les transports de longue distance en train, en car ou avion.Mais les prévisions de la RATP restent “évolutives”, a précisé le groupe, alors que le président Emmanuel Macron doit prononcer une nouvelle intervention télévisée ce lundi à 20H00, dans un contexte de spéculations sur un confinement total du pays.Pour l’heure, “on constate une baisse de 50% en moyenne de la fréquentation aujourd’hui (lundi) tous réseaux confondus“, par rapport à la normale en semaine, a détaillé la RATP.Le bilan de l’épidémie a grimpé. Le 16 mars, la France compte 1210 cas supplémentaires, et 21 nouveaux décès en 24 heures. Le bilan total en France est de 6636 cas détectés, et 148 décès dans le pays, qui est officiellement entré samedi dans le stade 3 de l’épidémie.Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Coronavirus en France : l'Assemblée nationale touchée à son tour

L’Assemblée nationale n’a pas été épargnée par le coronavirus, après l’hospitalisation d’un député, nouveau signe d’une épidémie désormais considérée comme "inexorable" après un nombre record jeudi de nouveaux cas et de décès en 24 heures.

L'Assemblée nationale n'a pas été épargnée par le coronavirus, après l'hospitalisation d'un député.

Un député LR du Haut-Rhin, Jean-Luc Reitzer, a été hospitalisé en “réanimation”, un salarié de l’Assemblée nationale est aussi infecté et un autre cas est “suspect”, a ainsi annoncé la présidence de l’Assemblée jeudi soir.Selon le bilan national établi à 16h00 et annoncé en début de soirée par Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, 423 personnes ont été contaminées sur le territoire français, dont 138 nouveaux cas confirmés et trois nouveaux décès rapportés, qui portent à sept le bilan total des personnes décédées.Un peu plus tard jeudi soir, la RATP a annoncé qu’un conducteur de bus parisien avait également été contaminé par le coronavirus, après un premier cas concernant une agente d’une station de métro.Dans la foulée, la préfecture du Morbihan affirmait dans un point à 20h30 qu’un nouveau cas s’ajoutait, portant à 23 cas le nombre de personnes infectées dans ce département, l’un des plus touchés.De même, en Occitanie, quatre nouveaux cas ont été confirmés jeudi soir par l’Agence régionale de santé dans son “point de situation à 21h00”.La hausse des cas enregistrée jeudi représente la plus forte augmentation de contaminations et de décès en une journée depuis le début de la crise.Cette accélération a conduit Emmanuel Macron à avertir les Français sur le caractère “inexorable” de cette épidémie.”Il y a un moment où, nous le savons tous (…) une épidémie est de toutes façons inexorable“, a déclaré jeudi le chef de l’Etat qui a reçu une vingtaine de spécialistes à l’Elysée pour “essayer de stopper l’arrivée, ensuite pour ralentir” la propagation de la maladie.Selon le Pr Jean-François Delfraissy, spécialiste des maladies infectieuses qui participait à la réunion, le passage de la phase 2, en cours actuellement, à la phase 3 – celle de l’épidémie, qui imposera des restrictions plus contraignantes – interviendra “entre quelques jours et une ou deux semaines“.Cette phase 3, quand elle sera décrétée, impliquera, entre autres, la suspension de transports en commun, une restriction des rassemblements et des fermetures d’écoles, soit un ensemble de mesures qui auront un impact important sur la vie quotidienne.Les treize régions métropolitaines sont désormais touchées, a encore souligné M. Salomon, ainsi que la Guadeloupe et la Guyane en Outre-mer. Seuls la Martinique, Mayotte et la Réunion sont exempts de cas avérés.L’Oise, avec 105 cas, présente le regroupement le plus important du territoire. Restrictions confirmées La France est l’un des principaux foyers du virus en Europe, avec l’Italie et l’Allemagne.Les deux dernières régions qui restaient à l’écart de la contamination, la Corse et le Centre-Val de Loire, ont rapporté leurs premiers cas. Pour la plupart, les personnes nouvellement confirmées positives, jusqu’en Guyane, avaient participé au rassemblement d’une église évangélique de Mulhouse entre le 17 et le 24 février. Des restrictions collectives, décidées le week-end dernier – et interdisant en particulier les rassemblements de plus de 5.000 personnes en milieu clos – ont été confirmées dans un arrêté paru jeudi. Le président du Parlement européen, David Sassoli, a décidé jeudi d’annuler la session plénière prévue à Strasbourg pour la semaine prochaine et de l’organiser à Bruxelles.Pour l’heure, le report des municipales (15-22 mars) n’est pas à l’ordre du jour. Mais de nombreuses annulations d’événements ont déjà été annoncées, comme le MIPTV à Cannes, deuxième plus grand événement mondial dédié aux professionnels de la télévision prévu du 30 mars au 2 avril.Le marathon de Paris, prévu le 5 avril avec environ 60.000 inscrits, est reporté au 18 octobre, a également indiqué jeudi l’organisateur Amaury Sport Organisation (ASO).Coût économique L’effet du virus pèse déjà lourd sur les entreprises. La ministre du Travail Muriel Pénicaud a indiqué que 400 entreprises avaient demandé des mesures de chômage technique pour 6.000 salariés, principalement dans le tourisme et la restauration.Les voyagistes ont d’ailleurs demandé à être reçus “de manière urgente” par le gouvernement. Ils constatent “une baisse de l’activité en février de près de 25%, avec une décroissance accrue lors de la dernière semaine (-60%) et un risque majeur d’annulations et de reports sur les commandes enregistrées“, indiquent-ils dans un communiqué. Jeudi, une “bonne centaine” d’écoles, collèges et lycées restaient fermés, essentiellement dans l’Oise (35.000 élèves touchés) et le Morbihan (9.000). Une seule a fermé ses portes en Ile-de-France, à Louvres (Val-d’Oise).Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Enquête #Noustoutes : 9 femmes sur 10 ont déjà été victimes de pression pour un rapport sexuel

Le collectif #NousToutes révèle les résultats d’un sondage sur le consentement mené auprès de près de 100 000 femmes. Pression, insultes, violences physiques et psychologiques… les résultats de ce que subissent beaucoup de femmes au cours de leur relation et de leur sexualité sont édifiants.

Sommaire

  1. 81,2% des femmes rapportent des faits de violence au cours d’un rapport
  2. 1 femme sur 6 débute sa vie sexuelle par un rapport non consenti et désiré
  3. Même quand le consentement est exprimé il n’est pas entendu 
  4. Les numéros et contacts utiles pour la prévention des violence sexuelles conseillés par #NousToutes (@noustoutesorg)

 “Consentir, c’est s’engager dans une relation ou des

pratiques sexuelles lorsqu’on en a véritablement envie soi-même”. C’est la définition donnée par Nathalie Bajos chercheuse de l’Inserm. Une définition dont l’apprentissage devrait être acquis dès le plus jeunes âge et pour lequel il y a de grosses lacunes. Les résultats d’une enquête sur le consentement dans les rapports hétérosexuels menée par le collectif #NousToutes lancée le 7 février 2020 sur les réseaux sociaux à laquelle 96 600 femmes ont répondu en 10 jours sont édifiants : 9 femmes sur 10 déclarent avoir fait l’expérience d’une pression pour avoir un rapport sexuel. Dans 88% des cas, c’est arrivé plusieurs fois. 81,2% des femmes rapportent des faits de violence au cours d’un rapportUne trentaine de questions ont été posées à chaque volontaire du type : “Au cours de votre vie, avez-vous déjà ressenti une pression de la part d’un partenaire pour avoir un rapport sexuel ?”, “Un partenaire vous a-t-il déjà menacé (explicitement, par sous-entendu ou sur le ton de l’humour) d’aller voir ailleurs ou de vous quitter si vous n’acceptiez pas un rapport sexuel ?”. “Les répondant.e.s pouvaient systématiquement répondre : “Je ne sais pas” ou “Je ne souhaite pas répondre”, expliquent le communiqué. 1 femme sur 6 débute sa vie sexuelle par un rapport non consenti et désiréOn apprend également que pour 1 femme sur 6 le début de la sexualité se fait “par un rapport non consenti et désiré et dans 36% de ces cas, ce rapport a eu lieu avant 15 ans”. “Les réponses à l’enquête #NousToutes montrent également que les femmes qui commencent leur vie sexuelle par un rapport non désiré et consenti sont bien plus souvent confrontées à des violences dans leur vie sexuelle”, commentent les auteures. “81,2% des femmes sondées ont déclaré avoir déjà été victimes de violences psychologiques, physiques ou sexuelles au cours de rapports sexuels avec un ou plusieurs partenaires”.Même quand le consentement est exprimé il n’est pas entendu Aujourd’hui la parole se libère et pousse les femmes à s’exprimer mais au-delà d’oser prendre la parole, il semble qu’un besoin de pousser à écouter soit tout aussi nécessaire. Car même lorsque le non consentement est clairement dit, les résultats ne sont pas bons “Frigides”, “coincée”, “chiante”, “pas normale”… Ce sont les réflexions dévalorisantes que  49,1% des répondantes ont admis avoir déjà reçu quand elles ont exprimé leur non désir pour avoir un rapport sexuel. “74,6% des femmes interrogées ont déjà demandé à arrêter un rapport sexuel en cours. Pour 38,2% de ces répondantes, il est arrivé que le rapport se poursuive malgré leur demande d’arrêter.”, rapporte le sondage. “Nous ne pourrons pas construire une société d’égalité entre les sexes si le corps des femmes est nié, si leurs désirs sont ignorés de leurs partenaires ou d’elles-mêmes, si elles ne sont pensées dans la sexualité que comme objets et non sujets”, scandent les auteures du sondage #Noustoutes qui demande à ce que le consentement devienne un sujet politique. “#NousToutes demande à nouveau au gouvernement de créer et d’appliquer effectivement un module obligatoire dans la scolarité sur la question de l’égalité et sur la prévention des violences sexistes et sexuelles et de fixer un seuil d’âge de non-consentement pour les enfants. Nos corps sont politiques. Nos désirs sont politiques.”Les numéros et contacts utiles pour la prévention des violence sexuelles conseillés par #NousToutes (@noustoutesorg)
Viols femmes informations (Collectif féministe contre le viol) : 0 800 05 95 95
Gratuit et anonyme (lundi-vendredi, de 10h à 19h) pour les victimes de viols et d’agressions sexuellesSolidarités Femmes : 3919Ouvert 7 jours sur 7, du lundi au vendredi de 9h à 22h, les samedi, dimanche et jours fériés de 9h à 18h.Le chat de la police pour signaler une situation de violence sexiste ou sexuelle et demander de l’aide :

https://www.service-public.fr/cmiChat de l’association En avant toutes(s), à destination des jeunes femmes :

https://commentonsaime.fr/ Ouvert lundi-mardi : 15h-17h, mercredi : 14h-18h, jeudi-vendredi : 15h-21hPour les femmes en situation de handicap : 

  • 01 40 47 06 06 Lundi de 14h à 17h30 et jeudi de 10h à 13h, numéro créé par l’association FDFA
  • 114 : n° d’urgence pour les personnes sourdes ou malentendantes

Le réseau du planning familial :

https://www.planning-familial.org/fr Le réseau des CIDFF, partout en France :

http://www.infofemmes.com/v2/p/Contact/Coordonnees-de-votre-CIDFF/73 En cas d’urgence : 17 (police)

Pour en savoir plus Click Here: cd universidad catolica

Verdir les villes pour vivre en meilleure santé, plaident 600 médecins canadiens

Verdir les villes permet de réduire de façon significative le stress et les risques de maladies graves, ont plaidé jeudi plus de 600 médecins canadiens en appelant le Québec à des investissements majeurs récurrents.

Un verdissement “optimal” des villes visant 40% de canopée plutôt que les 10 à 20% actuels pourrait ainsi réduire de 9% le risque de

maladies cardiovasculaires, a dit Alain Poirier, médecin spécialiste en santé publique lors d’une conférence de presse à Montréal.Le verdissement entraînerait aussi une diminution des cas d’

asthme, d’

autisme, ainsi que des risques de

diabète, d’

hypertension artérielle,

d’embonpoint ou d’obésité et des cas de

mortalité respiratoire ou des suites de

cancers, a-t-il ajouté.Les coûts annuels de ces maladies au Québec ont été estimés à plus de 26 milliards de dollars” (18 milliards d’euros), a précisé Jérôme Dupras, professeur en économie écologique à l’université du Québec. “La prévention – même très partielle – de ces maladies par un verdissement efficace présente un potentiel énorme d’économies en coûts de santé, chaque année“, a ajouté M. Dupras, également bassiste des Cowboys Fringants, groupe musical québécois réputé.Les arbres en ville permettent de retenir le carbone, lutter contre les îlots de chaleur, filtrer les polluants atmosphériques et les particules fines d’ozone, tandis que leurs réseaux racinaires contrôlent les eaux de ruissellement, a énuméré M. Dupras.Les médecins et 600 autres professionnels de la santé du Québec et plus de 45 partenaires, dont des universités et des villes, demandent au gouvernement du Québec de consacrer chaque année 1% du budget dédié aux infrastructures publiques à la plantation d’arbres, soit 170 millions de dollars par an. Le ministère de la Santé du Québec accapare actuellement 50% du budget de la province francophone, les soins monopolisant 98% des dépenses, a souligné le Dr Poirier.En 2014, la banque canadienne TD a estimé à 58 milliards de dollars les “services intangibles” rendus par les arbres dans quatre villes canadiennes (Vancouver, Toronto, Montréal et Halifax).”Les changements climatiques sont une menace à la santé, et sont à l’origine d’un dangereux réchauffement de nos villes“, a rappelé Claudel Pétrin-Desrosiers, présidente de l’Association québécoise des médecins en environnement (AQME).Les arbres urbains “captent jusqu’à 24% des polluants atmosphériques, responsables de 3.800 décès par année au Québec“, a-t-elle souligné.

Climat, malbouffe… "Menace immédiate" pour la santé de tous les enfants, alerte l'ONU

Dérèglement climatique, malbouffe, marketing des fabricants de tabac… La santé des enfants fait partout face à une "menace immédiate" et aucun pays dans le monde ne protège leur avenir de façon satisfaisante, avertit l’Organisation des Nations unies (ONU).

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  1. “Pratiques commerciales néfastes”

Des avancées ont été réalisées au cours des 20 dernières années dans le domaine de la

santé des enfants et des adolescents, mais “ces progrès sont aujourd’hui au point mort” voire “menacés“, estiment les auteurs d’un rapport publié mercredi dans la revue médicale britannique The Lancet.Pour parvenir à cette conclusion sévère, ce groupe de 40 experts indépendants en santé infantile du monde entier, convoqués par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Unicef, a construit un nouvel indice mesurant la possibilité des enfants de s’épanouir, à partir des données de 180 pays (indicateurs de mortalité, d’état de santé, de nutrition, d’éducation…).Sans surprise, ce sont des pays riches qui arrivent en tête avec la Norvège en première position, suivie par la Corée du Sud, les Pays-Bas et la France. Inversement, le bas du classement est occupé par des pays d’Afrique subsaharienne : République centrafricaine, Tchad, Somalie et Niger.Mais les auteurs du rapport, intitulé “Un avenir pour les enfants du monde ?”, mettent en regard de ce classement des mesures de “durabilité” (évolution des émissions de CO2, inégalités de revenus…) et soulignent que “si beaucoup de pays à haut revenu ont un très bon score à l’index d’épanouissement, ils sont proches du bas du classement pour leur contribution à la durabilité écologique“.Quant aux pays les plus pauvres, si leurs émissions de gaz à effet de serre sont parmi les plus faibles, “beaucoup sont exposés aux effets les plus sévères d’un changement climatique rapide“.”Pratiques commerciales néfastes”Seuls neufs pays sont à la fois en mesure d’atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 par habitant fixés pour 2030 tout en étant situés dans les 70 meilleurs scores pour l’index d’épanouissement : l’Albanie, l’Arménie, la Grenade, la Jordanie, la Moldavie, le Sri Lanka, la Tunisie, l’Uruguay et le Vietnam.”Les pays doivent revoir leur approche de la santé des enfants et des adolescents en faisant en sorte, non seulement de prendre soin d’eux aujourd’hui, mais en protégeant le monde dont ils hériteront“, souligne Helen Clark, ancienne Première ministre de Nouvelle-Zélande et co-présidente de la commission d’experts convoquée par l’OMS et l’Unicef.Parmi les menaces pesant sur la santé des générations futures, le rapport évoque en premier lieu la pollution de l’air et l'”intensification des menaces climatiques“.”Si le réchauffement climatique dépasse 4°C d’ici 2100 comme le prévoient les projections actuelles, cela entraînera des conséquences sanitaires désastreuses pour les enfants, en raison de la hausse du niveau des océans, des vagues de chaleur, de la prolifération de maladies telles que le

paludisme et la

dengue, ainsi que de la

malnutrition“.Les experts dénoncent aussi des “pratiques commerciales néfastes” pour la santé des enfants, exposés au marketing de marques d’

aliments ultra-transformés, de boissons sucrées, d’alcool, de cigarettes électroniques ou de tabac. De nombreuses études montrent que “l’auto-régulation par les industriels ne fonctionne pas“, souligne Anthony Costello, pédiatre et ancien directeur de l’Institute for Global Health (Royaume-Uni), évoquant l’exposition aux publicités pour l’alcool pendant les rencontres sportives et l’explosion de l’obésité infantile et adolescente, multipliée par 11 entre 1975 et 2016.Aussi, ils appellent les gouvernements nationaux à durcir leur réglementation en la matière.Ils leur recommandent également de s’attaquer “avec la plus grande urgence” aux émissions de CO2 pour “faire en sorte que les enfants aient un avenir sur cette planète“, de prendre en compte la voix des plus jeunes dans les décisions politiques et d’évaluer systématiquement les effets de ces décisions sur la santé infantile.Click Here: Putters

Depakine® : les femmes enceintes toujours exposées

Si la mise en place de mesures de réduction de l’exposition au valproate des femmes enceintes et en âge d’avoir des enfants s’est avérée efficace, celle-ci persiste néanmoins, met en garde l’ANSM.

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  1. 124 enfants nés en 2018 exposés in utero
  2. Des analyses complémentaires en cours
  3. Renforcement des mesures de réduction de l’exposition

Début février, le groupe pharmaceutique Sanofi a été mis en examen pour “tromperie aggravée” et “blessures involontaires” dans

l’affaire de la Depakine®, un

antiépileptique dont les risques de malformations congénitales notamment sont connus depuis longtemps. Quelques jours plus tard, dans le cadre du suivi de l’exposition aux médicaments contenant du valproate ou un dérivé (

Depakine®, Depakine Chrono 500®, Micropakine®, et génériques, Depakote®, Depamide®), l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a publié des données sur la période de 2013 à 2019 : si cette exposition a fortement diminué chez les femmes enceintes et en âge de procréer grâce aux mesures de restriction mises en place depuis 2015, les efforts doivent être poursuivis.124 enfants nés en 2018 exposés in uteroL’ANSM révèle qu’au cours de cette période, le nombre d’enfants nés de grossesses exposées au valproate a diminué de 82%. En revanche, 124 enfants nés en 2018 auraient été exposés in utero au valproate, “dont 92 issus de mères épileptiques et 32 de mères atteintes de

troubles bipolaires [autre indication du valproate, NDLR]”.Chez les femmes en âge de procréer, l’exposition a diminué de 55%. “Cette diminution a porté à la fois sur les initiations (-69%) et sur les renouvellements de traitement (-53%)”, précise l’ANSM.Des analyses complémentaires en coursL’agence affirme que “des analyses complémentaires sont en cours afin de caractériser de façon plus détaillée le contexte de prescription chez ces femmes enceintes et d’étudier l’intérêt de mettre en place des mesures ciblées auprès des prescripteurs”. En effet, si le valproate et ses dérivés sont contre-indiqués pendant la grossesse, ils peuvent être prescrits durant cette période dans le traitement de l’épilepsie si et seulement s’il n’existe pas “d’alternative thérapetique appropriée”. Chez les femmes en âge d’avoir des enfants, ils sont utilisés “si aucun autre traitement n’est possible et que l’ensemble des conditions du programme de prévention des grossesses est rempli (notamment : utilisation d’au moins un moyen de contraception, signature d’un accord de soins)”.L’ANSM ajoute par ailleurs que durant la période étudiée, “une part croissante des grossesses exposées a été interrompues”, volontairement ou médicalement.Renforcement des mesures de réduction de l’expositionElle conclut en expliquant que les mesures de réduction de l’exposition au valproate sont “maintenues” et seront “prochainement renforcées, via l’intégration de la carte patiente à l’intérieur ou sur l’extérieur de la boîte du médicament, l’apposition d’un QR code sur ces boites et sur les notices renvoyant vers une page d’information dédiée sur le site Internet de l’ANSM”.

Gastro-entérite : vos risques de l’attraper dépendraient aussi de votre groupe sanguin

Se laver les mains et éviter les contacts directs avec les personnes contaminées pourrait ne pas suffire à prévenir la gastro-entérite chez certains : selon une récente étude, le groupe sanguin des individus aurait également son rôle à jouer dans la transmission du virus.

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  1. Les personnes appartenant au groupe sanguin B plus résistantes aux virus
  2. Mais le risque n’est pas nul !

Alors qu’une épidémie de

gastro-entérite sévit sur toute la France, les Pays de la Loire, les Hauts-de-France et la Nouvelle-Aquitaine sont particulièrement touchés, montre le dernier

bulletin épidémiologique du réseau Sentinelles. Et si les habitants de ces régions présentaient une susceptibilité génétique aux norovirus, les virus responsables de la maladie ? Une étude suédoise publiée dans la revue MDPI suggère en effet que selon son

groupe sanguin, un individu aurait plus ou moins de risques de la contracter. 

Les personnes appartenant au groupe sanguin B plus résistantes aux virusAprès avoir passé en revue plusieurs travaux, les scientifiques ont découvert que parmi les 29 souches de norovirus identifiées, certaines ont besoin de la présence d’un

oligosaccharide (type de molécule), baptisé antigène H1, pour infecter les cellules et ainsi engendrer les

symptômes de la gastro-entérite. “Or 20 % de la population européenne est constituée de personnes qui ne fabriquent pas ledit antigène H1, explique à

The Conversation Patricia L. Foster, professeure de biologie à l’université de l’Indiana aux Etats-Unis. Elles sont donc résistantes aux nombreuses souches de norovirus qui l’utilisent pour s’arrimer aux cellules.”Et ces personnes sont celles appartenant au groupe sanguin B. “À l’inverse, les personnes qui sont des groupes sanguins A, AB ou O auront tendance à tomber malades, précise la professeure. Lorsqu’une souche de norovirus infecte un groupe de personnes, [c’est donc] le groupe sanguin de chacun [qui] déterminera qui va tomber malade.”Mais le risque n’est pas nul !Mais même pour les personnes appartenant au groupe sanguin B, le risque d’attraper la gastro-entérite n’est pas nul. C’est pourquoi tout le monde se doit d’appliquer des règles d’hygiène simples pour limiter au maximum la transmission de la maladie, parmi lesquelles un lavage régulier et rigoureux des mains ainsi que l’évitement des contacts directs avec les personnes déjà infectées.

Gastro-entérite, grippe, rhume…10 idées reçues sur les maladies de l’hiver

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