Lucky And In Love: Bridgewater Grad Gets Married Amid Coronavirus

BRIDGEWATER, NJ — It wasn’t the wedding Bridgewater native Lori Marulli and her fiance Patrick Cyrana had envisioned, but it was one they will never forget.

Murelli, a Bridgewater-Raritan High School graduate, had planned to marry Union resident Patrick Cyrana on the beach in Turks and Caicos on April 6. However, with the entire country shutting down due to the outbreak of the new coronavirus, the couple knew their plans were not going to happen.

Instead of waiting, they took their luck into their own hands.

“I said, ‘Well, your name is Patrick and your sister is ordained and you have a St. Patrick’s Day party every year, so why not get married in our living room?’ ” Marulli said to Cyrana.

They decorated their Union home with St. Patrick’s Day decor and wore fun T-shirts with a tuxedo print for Cyrana and a green shirt saying “One Lucky Bride” for Marulli.

The couple were joined by a few friends and family members in their home, and they streamed the ceremony through Facetime for Marulli’s dad.

“It was a very memorable day at our home and will be a great story to tell in the years to come,” Marulli said.

Cyrana’s sister even threw in some hilarious, yet sentimental, vows that ended with an Irish blessing — “…wishing you a rainbow, for sunlight after showers. Miles and miles of Irish smiles, for golden happy hours. Shamrocks at your doorway, for luck and laughter too. And a host of love that never ends, each day your whole life through.”

This unique and impromptu wedding was fitting for the couple, who met through an app in June. Cyrana had just opened Backyard Heroes Fireworks on Route 22 in Springfield when Marulli came to the grand opening. The couple hit it off, and the rest is history.

Marulli and Cyrana also had a wedding reception planned for June at a farm in South Jersey, but the fate of that is up in the air. Marulli’s bachelorette party was also canceled amid all the shutdowns. Now she has two wedding dresses that she hasn’t been able to wear.

Despite all of that, the couple are excited to be married before more things shut down, such as municipal offices, or they have to self-quarantine.

Marulli, who is a teacher in Essex County, is home; and she and Cyrana are considering their time home together as their “homey-moon.”

“At least we are married,” she said. “And you know what: If everything else doesn’t work out, we can still look to the future.”

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Coronavirus : des tests sur les hamsters à Hong Kong prouvent l'efficacité des masques

Des tests sur les hamsters révèlent que l’utilisation de masques réduit notablement la propagation du coronavirus, ont indiqué dimanche des experts de l’université de Hong Kong.

Ces recherches sont parmi les premières à étudier si le port du masque peut empêcher des porteurs symptomatiques ou asymptomatiques du virus Covid-19 d’infecter d’autres individus.Dirigé par le professeur Yuen Kwok-yung, expert reconnu des coronavirus, les chercheurs ont placé des cages contenant des hamsters préalablement infectés près de celles d’animaux en bonne santé.Des masques chirurgicaux ont été placés entre les deux cages, avec un flux d’air allant de la cage des animaux malades à celle des animaux sains.Les résultats ont montré que la transmission du virus était réduite de plus de 60% quand les masques étaient en place. Les deux-tiers des hamsters sains ont été infectés en une semaine quand les masques n’étaient pas en place.Le taux d’infection est tombé à un peu plus de 15% quand les masques étaient placés sur la cage des animaux infectés et à 35% quand ils étaient placés sur la cage des hamsters sains.”Il est très clair qu’utiliser les masques sur les sujets infectés (…) est plus important que n’importe quoi d’autre“, a dit M. Yuen à des journalistes.”Nous savons désormais qu’une grande partie des personnes infectées ne présentent pas de symptômes, donc le port universel du masque est vraiment important“, a-t-il ajouté.Le professeur Yuen est l’un des micro-biologistes qui a découvert le virus Sras quand il est apparu en 2003 et a fait quelque 300 morts à Hong Kong. Il a plaidé très tôt en faveur du port du masque par la population.Quatre mois après l’apparition des premiers cas de Covid-19 en Chine, Hong Kong est parvenu à limiter le nombre de cas à mille, qui n’ont fait que quatre morts.Les experts estiment de l’utilisation des masques ainsi que de larges campagnes de tests et traçage sont les raisons de ce succès, dans une ville de 7,5 millions d’habitants voisine de la Chine.

Les Français pourront partir en vacances en France, 18 milliards d'euros pour le tourisme

Les Français pourront partir en vacances en France en juillet et août en dépit du Covid-19, a annoncé jeudi le Premier ministre Edouard Philippe en dévoilant un plan de relance du tourisme "massif", représentant "pour les finances publiques un engagement de 18 milliards d’euros".

Le tourisme fait probablement face à la pire épreuve de son histoire moderne, alors même que c’est un des fleurons de l’économie française, son sauvetage est donc une priorité nationale”, a déclaré le Premier ministre au sortir d’un comité interministériel dédié au secteur.Hôtels, restaurants, voyagistes: toute la filière française est à l’arrêt depuis mi-mars, et 62.000 de ses entreprises ont d’ores et déjà bénéficié de 6,2 milliards d’euros de prêts garantis par l’Etat.Mais “les Français pourront partir en vacances en France au mois de juillet et au mois d’août”, a annoncé jeudi Edouard Philippe, sous réserve toutefois “de possibles restrictions très localisées” en fonction de l’évolution de l’

épidémie de coronavirus.Ils “peuvent prendre leurs réservations“, a-t-il affirmé, en soulignant que “les acteurs du tourisme, de l’hôtellerie, se sont engagés à faire en sorte qu’ils soient intégralement remboursés dans l’hypothèse où l’évolution de l’épidémie ne rendrait pas possible le départ en vacances”.Après avoir débloqué une aide d’urgence, le gouvernement dit vouloir à présent “accompagner à la fois la reprise, puis la relance d’un secteur” mis à terre par l’épidémie de Covid-19 et qui représente 7% du PIB français, ainsi que deux millions d’emplois.”L’effort d’investissement” de l’Etat sera porté par la Banque des Territoires et Bpifrance, “qui ont formalisé un plan de relance Tourisme commun de plus de trois milliards d’euros de financements entre aujourd’hui et 2023″, sous forme de prêts et d’investissements en fonds propre, selon les détails du plan.Au total, l’ensemble des mesures gouvernementales représente “un engagement de plus de 18 milliards d’euros pour les finances publiques: c’est sans précédent, c’est massif, c’est nécessaire”, a déclaré le Premier ministre.Deux revendications du secteur ont été partiellement entendues: le recours à l’activité partielle sera possible jusqu’à fin 2020 pour les entreprises du tourisme et de l’évènementiel, tandis que l’accès au fonds de solidarité, pour les entreprises du secteur des cafés hôtels restaurants, du tourisme, de l’événementiel, du sport et de la culture, sera prolongé jusqu’à fin septembre – les professionnels le demandaient jusqu’à la fin de l’année.En revanche, le gouvernement n’a pas fait de geste sur la TVA, qu’un collectif de restaurateurs emmené par Olivier Bertrand, le patron du groupe Bertrand (Quick, Burger King, Hippopotamus…) souhaitait voir abaissée à 5,5%.Pour “soutenir la demande” et inciter les Français à retourner dans les restaurants lorsqu’ils pourront rouvrir, le plafond journalier des tickets-restaurants sera doublé, à 38 euros, et leur utilisation sera autorisée les weekends et jours fériés, jusqu’à fin 2020.

Un cocktail d'extraits de plantes pourrait aider à soigner les excès d'alcool

Il existe de nombreux mythes et des recettes de grand-mère pour tenter d’apaiser les douleurs découlant des lendemains de fêtes alcoolisées, mais des chercheurs allemands ont trouvéqu’un mélange d’extraits de plantes permettrait de réduire les effets de la veisalgie, plus connue sous le nom de gueule de bois.

Cette nouvelle étude, menée par des chercheurs de la Johannes Gutenberg-University, s’est intéressée à une combinaison d’extraits de plantes comme l’

acérola, la

figue de Barbarie, le

ginkgo biloba, le

saule et le

gingembre associés à des

vitamines et minéraux comme le

magnésium, le

potassium, le

bicarbonate, le

zinc, la

riboflavine, la

thiamine et l’

acide folique, pour voir si ce cocktail réduisait les symptômes de la

gueule de bois.Les chercheurs ont fait appel à 214 sujets bien portants âgés de 18 à 65 ans qui ont été assignés de façon aléatoire à trois groupes.Le premier groupe a reçu le complément sous forme de complément soluble aromatisé comprenant les extraits de plantes, mais aussi de vitamines et de minéraux (plus des extraits de

stévia et d’inuline) 45 minutes avant et immédiatement après avoir arrêté la boisson qu’ils avaient choisie (bière, vin blanc, cocktail au vin blanc).Le deuxième groupe a reçu le complément soluble aromatisé mais ne comprenant pas les extraits de plantes, uniquement les minéraux et les vitamines, alors que le troisième groupe n’a reçu qu’un placebo à base de glucose.Les scientifiques ont effectué des prises de sang et des échantillons urinaires auprès des participants avant et après avoir bu de l’alcool, ainsi que 12 heures plus tard.Leurs résultats, publiés sur le site de 

BMJ Nutrition Prevention & Health, ont montré que la quantité moyenne d’alcool bue était environ la même pour les membres des trois groupes (0,62 ml/minute), mais la gravité des symptômes de la veisalgie variait beaucoup selon les participants.Il semblait cependant que la prise du complément comprenant les extraits de plantes apaisait certains des symptômes. En comparaison avec les sujets qui avaient reçu le placebo sucré, ceux qui avaient reçu les vitamines, minéraux et extraits de plantes bénéficiaient d’une réduction de 34% en moyenne des

maux de tête et d’une baisse de 42% des nausées.Comme le fait de prendre les mêmes compléments sans les extraits de plantes n’affaiblissait pas les symptômes de  gueule de bois, les chercheurs en ont conclu que les extraits de plantes semblaient être la clé. Le fait que les vitamines et minéraux seuls n’avaient pas non plus d’effets semble montrer que l’alcool l’affecte pas les

niveaux d’électrolytes présents dans le corps, ces minéraux qui aident à équilibrer les niveaux d’acidité et d’eau dans le corps. Leurs résultats viennent étayer des recherches précédentes qui avaient montré que les composés de

polyphénols et de flavonoïdes présents dans les cinq extraits de plantes inclus dans l’étude pouvaient aider à réduire l’impact de l’alcool sur le corps. “De plus amples recherches sont nécessaires pour détricoter les mécanismes sous-jacents“, ont cependant précisé les chercheurs.Click Here: nrl shops

Les "orteils covid", un indice de la maladie pour les enfants sans symptômes ?

Des dermatologues espagnols ont observé chez des enfants et adolescents, des lésions cutanées présentes sur les pieds et les orteils. Selon eux, cela pourrait être le signe d’une infection au Covid-19. Mais à l’heure actuelle, cela reste une simple hypothèse.

Sommaire

  1. Des lésions cutanées bien spécifiques
  2. Pour le moment, aucune preuve entre lésions et Covid-19

Fièvre, maux de tête, toux, perte d’odorat et de goût, troubles digestifs, conjonctivite… Les

symptômes du Covid-19 sont nombreux et peuvent différer d’un cas à l’autre. Chez certains malades, l’infection à ce coronavirus peut se manifester par

des lésions sur la peau telles que de l’urticaire, une éruption cutanée, avec une rougeur diffuse ou simplement sur le visage. Serait-ce possible que ces manifestations se retrouvent également chez des enfants atteints du Covid-19 ? C’est la piste empruntée par des dermatologues espagnoles du Conseil général des collèges officiels de pediatres spécialisés dans le traitement de maladies du pied. Ils ont en effet remarqué que plusieurs cas pédiatriques présentaient des lésions de couleur pourpre ressemblant à des engelures, naissant autour des orteils mais guérissant au bout de quelques semaines sans laisser de cicatrices. Suite à ces observations, les professionnels ont décidé d’ouvrir un registre de cas possibles de Covid-19. 

Des lésions cutanées bien spécifiques“Les lésions surviennent chez les enfants et les adolescents en bonne santé, notent les dermatologues dans un article1. Il s’agit d’une série de cas pédiatriques et concerne généralement les enfants vers la fin de la première décennie ou les

adolescents. Nous n’avons pas de répartition par sexe.”Les signes cutanés “affectent principalement les pieds et parfois les mains. Les orteils et les doigts sont généralement touchés, mais dans certains cas la région plantaire aussi”. Plus précisément, “les lésions n’affectent pas tous les orteils et les doigts, en moyenne trois, souvent séparés par des orteils et des doigts non affectés”.“Les lésions sont parfois arrondies, de quelques millimètres et multiples ou affectent l’intégralité du doigt avec généralement une démarcation claire niveau métatarsophalangien (partie sous le gros orteil, ndlr). Au départ, ils ont une couleur pourpre rougeâtre ou bleuâtre et peuvent devenir bulleux ou présenter des croûtes noirâtres dans l’évolution ultérieure. Ils sont généralement douloureux et évoluent en 2 semaines” avant de disparaître sans laisser de traces cutanées.Pour le moment, aucune preuve entre lésions et Covid-19Mais les dermatologues tiennent à être prudents. À l’heure actuelle, il n’est pas possible de confirmer que ces manifestations cutanées sont le signe d’une infection au coronavirus. Les médecins expliquent ne pas avoir pu tester tous les cas pédiatriques présentant ces lésions. Ils savent seulement que deux enfants soumis à un test d’écouvillonnage (qui permet de réaliser des prélèvements dans un but diagnostique) étaient positifs. “Si d’autres observations et données de laboratoire confirment que nous sommes confrontés à un signe clinique de COVID-19, cette réaction cutanée pourrait être utile pour identifier les enfants et les adolescents présentant des formes d’infection minimales, mais qui pourrait être sources potentielles d’infection supplémentaire (forme plus sévère, ndlr).”Click Here: cheap kanken backpack

Au Japon, des locations courte durée pour éviter des "corona-divorces"

"Avant d’envisager le divorce, appelez-nous": une entreprise au Japon a opportunément adapté son message en ces temps de confinement face au Covid-19, en suggérant à des personnes mariées de s’offrir un répit dans ses appartements de location courte durée.

Sur son site internet, la société Kasoku, concurrente locale d’Airbnb, promeut désormais ses logements meublés comme des “refuges temporaires” à la disposition de ceux qui veulent échapper un temps à leurs familles, que ce soit pour travailler plus tranquillement ou s’aérer l’esprit.Les Japonais n’ont pas interdiction de sortir de chez eux depuis l’instauration de l’état d’urgence dans plusieurs régions de l’archipel il y a une semaine. Cependant le gouvernement recommande vivement de limiter les déplacements à l’essentiel, le télétravail s’est répandu et les écoles sont fermées.Kasoku a eu cette idée après avoir eu vent de pics de divorces en Chine ou en Russie après les mesures de confinement, explique à l’AFP Kosuke Amano, un porte-parole de la société.Elle propose un tarif d’entrée plutôt accessible de 4.400 yens (37,50 euros) par nuit, avec l’option gratuite de 30 minutes de consultation d’un avocat spécialiste des procédures de divorce.Lancée le 3 avril, cette campagne de communication aurait déjà séduit une vingtaine de clients, selon M. Amano.”Parmi nos clients, nous avons une femme qui a préféré partir après une grosse dispute avec son mari, et une autre qui voulait du temps pour elle car elle est fatiguée de gérer les enfants toute la journée depuis que les écoles sont fermées pendant que son mari est en télétravail“, a-t-il détaillé.Si l’entreprise a construit son offre sur un ton léger, elle a néanmoins attiré des personnes avec de graves difficultés, dont une femme victime de violences conjugales.Kasoku dispose d’environ 500 logements dans l’ensemble du pays, principalement à Tokyo, qui sont actuellement vides pour la plupart à cause de l’effondrement du tourisme, même si la demande de bureaux à distance permet de compenser partiellement cet impact.La société a lancé sa campagne alors que le mot-dièse “#corona-divorce” était parmi les principales tendances sur Twitter au Japon.Même la chaîne de télévision publique NHK livre désormais dans une émission matinale des conseils pour éviter les conflits de couple durant cette période de confinement.La société japonaise conserve une représentation très traditionnelle des rapports hommes-femmes, ces dernières restant principalement vues comme responsables des tâches ménagères et de l’éducation des enfants, quand bien même elles exercent une activité professionnelle.Le Japon était classé 121e sur 153 pays dans l’indice 2020 des inégalités entre les sexes du Forum économique mondial.

Les fumeurs risquent-ils de développer une forme plus sévère du Coronavirus ?

De nouvelles recherches canadiennes ont montré que les fumeurs et les personnes atteintes de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) pourraient être plus susceptibles de développer des cas graves de Covid-19 du fait de la présence d’une molécule en plus grande quantité dans leurs poumons qui permet au virus d’y pénétrer et de déclencher l’infection.

Sommaire

  1. Les fumeurs plus à risque

Cette nouvelle étude, menée par des chercheurs de l’Université de Colombie-Britannique et de l’Hôpital St. Paul de Vancouver, a analysé des échantillons provenant des poumons de 21 sujets souffrant de

BPCO et de 21 participants ne souffrant pas de cette maladie.Les scientifiques ont testé les échantillons pour mesurer les niveaux d’une molécule appelée

angiotensine (qui convertit les enzymes ACE-2), qui se trouve à la surface des poumons et qui fait office de “point d’entrée” pour le

coronavirus dans les cellules pulmonaires.D’autres facteurs concernant les patients, comme le fait de savoir s’ils étaient actuellement

fumeurs, anciens fumeurs ou s’ils n’avaient jamais touché une cigarette, étaient aussi consignés.Leurs résultats, repris aujourd’hui dans l’

European Respiratory Journal, ont montré que les sujets atteints de BPCO enregistraient un niveau plus élevé d’enzymes ACE-2 dans leurs poumons en comparaison avec les patients ne souffrant pas de cette maladie.De plus, une plus forte concentration de ces enzymes avait aussi été trouvée chez les participants qui fumaient.Les chercheurs ont ensuite comparé leurs données à deux groupes d’études pré-existantes comprenant au total 249 personnes (des fumeurs, des non-fumeurs, des anciens fumeurs et des fumeurs actuels).Les fumeurs plus à risqueLeurs résultats ont montré une fois de plus que les personnes qui fumaient au moment de l’étude enregistraient une concentration accrue d’ACE-2 dans leurs poumons, alors que les non-fumeurs et même les anciens fumeurs enregistraient des taux bien plus bas.Le principal auteur, le Dr. Janice Leung a commenté ces résultats en notant que “les données émergeant de Chine laissent penser que les patients atteints de BPCO courraient un risque plus important de développer une forme plus grave de

Covid-19. Nous avons donc émis l’hypothèse que cela pourrait s’expliquer par les niveaux d’ACE-2 dans leurs voies respiratoires qui pourraient être plus élevés en comparaison avec les personnes ne souffrant pas de BPCO, ce qui pourrait peut-être faciliter l’infection des voies respiratoires par le virus.””Nous avons trouvé que les patients atteints de BPCO et les personnes qui continuaient à fumer enregistraient des taux plus élevés d’ACE-2 dans leurs voies respiratoires, qui pourraient faire augmenter leur risque de développer des infections plus graves de Covid-19. On devrait donc conseiller aux patients atteints de BPCO de respecter strictement la distanciation sociale et un lavage de mains efficace pour prévenir l’infection”, a ajouté le Dr. Leung.“Nous avons aussi trouvé que les anciens fumeurs affichaient des niveaux similaires d’ACE-2 en comparaison avec les personnes qui n’avaient jamais fumé“. Ces données devraient encourager les fumeurs à arrêter afin de se protéger du Covid-19, a continué la scientifique.Le professeur Tobias Welte, infectiologue auprès de l’European Respiratory Society qui a aussi pris part à cette étude, ajoute que “cette étude donne une idée pour expliquer pourquoi certaines personnes seraient plus à risque de développer des symptômes plus graves de Covid-19 que d’autres. Mais elle ne nous dit pas s’il est possible de manipuler les taux d’ACE-2 pour améliorer la survie des patients infectés par le Covid-19 ou si cela ferait une différence chez les patients atteints de BPCO qui contractent l’infection.”

Les Etats-Unis ont commencé des tests d'immunité au coronavirus

Plusieurs études ont été lancées ces derniers jours aux Etats-Unis pourtester, dans des échantillons de la population, combien de personnes ont réellement été infectées par le nouveau coronavirus et sont potentiellement immunisées.

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont commencé une étude dans les villes foyers les plus actifs de l’épidémie, selon le site spécialisé Statnews. Ce type de test, dit de sérologie, cherche des anticorps particuliers dans le sang d’une personne, afin de voir si elle a déjà rencontré le coronavirus, même sans le savoir, comme c’est fréquent. Quand le système immunitaire rencontre un virus, il en garde la mémoire sous la forme d’anticorps, souvent à vie.Le directeur des CDC a déclaré que le quart peut-être des personnes infectées par le coronavirus n’avait pas de symptôme.Séparément, Jay Bhattacharya, professeur de médecine à Stanford en Californie, a indiqué à l’AFP avoir collecté des échantillons de sang de 2.500 volontaires dans le comté de Santa Clara (Silicon Valley) samedi, choisis pour être représentatifs de la population du comté, ainsi que sur 500 de leurs enfants. Quelques gouttes de sang ont été prélevées par une piqûre rapide sur un doigt.”Nous publierons le chiffre de la prévalence dès que c’est humainement possible“, dit Jay Bhattacharya.Egalement en Californie, des chercheurs de l’Université de Californie du Sud ont prévu une étude dans les prochains jours à Los Angeles sur 1.250 volontaires représentatifs de la population de la ville. “Les résultats devraient être publiés d’ici le 15 avril”, dit à l’AFP le responsable de l’étude, le professeur Neeraj Sood.L’objectif de nombreux gouvernements est de généraliser ces tests afin de déterminer qui peut sortir du confinement auquel la moitié de l’humanité est aujourd’hui soumise. Mais tous les tests d’anticorps ne sont pas égaux et ne permettent pas de savoir si la personne, tout en ayant rencontré le virus, a suffisamment d’anticorps pour être être protégée contre une future infection.

Covid19 : un village italien entièrement épargné suscite la curiosité des chercheurs

Un village italien de Lombardie, en plein foyer épidémique ne compte absolument aucun cas de covid-19 confirmé et suscite l’intérêt des chercheurs.

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  1. Une étude prévue pour évaluer le nombre de personnes asymptomatiques
  2. Ses cas de Covid-19 qui se guérissent spontanément 

Alors que l’Italie a dépassé la barre des 100 000 cas confirmés de Covid-19,  Ferrera Erbognone un petit village où aucun des 1000 habitants n’as été déclaré infectés par le

Covid-19 suscite à la fois curiosité et espoir. C’est d’autant plus surprenant que cette commune se situe en Lombardie, région considérée comme l’épicentre de l’épidémie Covid-19 dans le pays et que l’âge moyen de la majorité de sa population est de 60 ans. 

Une étude prévue pour évaluer le nombre de personnes asymptomatiquesLe phénomène rapporté publiquement par l’agence de presse italienne ANSA, intrigue évidemment les chercheurs, désireux de comprendre comment tous les habitants de Ferrera Erbognone peuvent passer à travers la vague épidémique qui submerge le pays. Une étude sera menée sur le sujet par l’Institut Mondino de Pavie, selon le média local. Des tests de dépistage et des analyses sanguines sont prévus afin d’évaluer le nombre de personnes porteuses du Sars Cov-2 qui pourraient être asymptomatiques parmi les habitants du village. L’évaluation du nombre d’anticorps de ces personnes pourrait aider à favoriser des pistes pour lutter contre le virus. Les résultats sont attendus dans les deux mois à venir. Néanmoins, le gouvernement italien a tenu à rappeler qu’il fallait être prudent et ne pas créer de faux espoirs car il se pourrait que cette situation soit tout simplement un “hasard”. Ses cas de Covid-19 qui se guérissent spontanément S’il est rare qu’ils soient tous concentrés sur une seule ville, dans la plupart des cas le Covid-19 se guérit de façon spontanée et naturelle. Des chercheurs de l’université de Melbourne1 (Australie) se sont intéressés à l’un de ses cas et ont conclu que tout serait une question de bonne immunité. Pour leur étude, ils ont suivi le cas d’une habitante de Wuhan, âgée de 47 ans hospitalisée en Australie 11 jours après son arrivée souffrant de symptômes déjà depuis 4 jours. Selon le groupe d’étude, elle n’avait aucune maladie chronique, ne prenait aucun traitement et n’avait pas d’habitudes de vie à risques pour sa santé. Au bout du 13e jour, les symptômes de la patiente ont complètement disparu sans aucun traitement à part une maintien de son hydratation liquide par intraveineuse. Les chercheurs rapportent une augmentation des cellules de son système immunitaire depuis le 7ème jour d’atteinte de la maladie jusqu’au 20e de la disparition totale prouvant une réaction de défense du corps semblable à une infection grippale sans gravité.Click Here: Cheap QLD Maroons Jersey

Le coronavirus pourrait devenir saisonnier, prévient un expert américain

Il est probable que le Covid-19 puisse revenir selon des cycles saisonniers, a prévenu mercredi un expert américain, soulignant le besoin urgent de trouver un vaccin et des traitements efficaces.

Il est probable que le Covid-19 puisse revenir selon des cycles saisonniers, a prévenu mercredi un expert américain, soulignant le besoin urgent de trouver un vaccin et des traitements efficaces.

Directeur de l’institut national des maladies infectieuses, Anthony Fauci a relevé lors du point-presse quotidien de la “task force” de la Maison Blanche que le coronavirus commençait à se répandre dans les pays de l’hémisphère Sud, où l’hiver arrive.”S’ils connaissent une épidémie importante, il nous sera indispensable d’être prêts à faire face à un deuxième cycle“, a mis en garde l’expert. “Cela rend encore plus importante la nécessité de développer un vaccin, de le tester rapidement et de faire en sorte qu’il soit prêt et disponible pour ce prochain cycle“, a-t-il ajouté.Deux essais cliniques sont actuellement en  cours en Chine et aux Etats-Unis pour des vaccins qui pourraient ne pas être sur le marché avant un an ou un an et demi.

Des traitements sont également à l’étude — de nouveaux médicaments et d’autres déjà existants, comme les antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine.Le Dr Fauci a laissé entendre que le Covid-19 se portait mieux par temps froid que dans un climat chaud et humide, faisant écho à une étude préliminaire chinoise allant dans ce sens.Cela s’expliquerait par le fait que les gouttelettes expulsées par les malades subsistent plus longtemps à l’air libre dans le froid, et que les défenses immunitaires sont affaiblies en hiver.Autre explication potentielle : les virus se dégradent plus rapidement sur des surfaces chaudes, la couche de gras protectrice qui les enveloppe séchant plus rapidement. Des taux d’infection réduits ne sont pas pour autant synonymes d’éradication du virus. Près de 2.500 cas de coronavirus ont ainsi été recensés en Australie, qui a déploré 8 morts jusqu’ici.