500 familles sollicitées pour mieux comprendre le diabète

Le Centre d’études et de recherches pour l’intensification du traitement du diabète (CERITD) veut accélérer la recherche en matière de prévention du diabète de type2, anciennement appelé non-insulino dépendant. Il lance à cet effet le programme Descendance dont le but sera d’analyser les prédispositions génétiques afin de développer ultérieurement un outil diagnostic. 500 familles sont appelées à se porter volontaires pour participer à l’étude.

500 familles sollicitées pour mieux comprendre le risque héréditaire du diabète de type 2.

60 % du risque de diabète est génétiqueActuellement en France, 5 % de la population est diabétique. Il s’agit pour la très grande majorité (90 %) d’un

diabète de type 2. Jusqu’à présent, les messages de prévention ont surtout porté sur l’hygiène de vie, et plus particulièrement sur l’alimentation grasse et sucrée et la sédentarité, qui font le lit de cette maladie chronique. Mais ce serait ignorer que cette maladie est souvent familiale et génétique, comme l’a rappelé le Dr Guillaume Charpentier, chef du service de diabétologie au Centre hospitalier Sud-Francilien et président du CERITD. “Le

diabète a trop souffert de cette vision selon laquelle il suffit de manger mieux et de se dépenser plus pour le prévenir“. Et le Pr Philippe Froguel, diabétologue et généticien, président de la Société francophone du diabète et directeur du CNRS UMR 8199 “Génomique et maladies métaboliques“ à l’Institut Pasteur de Lille, d’ajouter : “Environ 80 % des diabétiques sont en surpoids ; l’inverse est faux. Ce n’est pas parce qu’on bouge peu, qu’on mange mal, qu’on sera diabétique. C’est le patrimoine génétique qui fera la différence“.Les scientifiques s’accordent désormais à dire que 60 % du risque de diabète est d’origine génétique. Cela ne signifie pas pour autant qu’il faille négliger les recommandations actuelles de prévention que sont le régime alimentaire et la pratique d’une activité physique, au contraire. Confirmer le caractère héréditaire permettra une prise en charge plus précoce. “Bien sûr il faut inciter les patients à bouger et à manger mieux, mais nous arrivons trop tard. La prévention doit être plus ciblée et l’attention portée sur les personnes hautement prédisposées, qui sont à rechercher parmi les enfants de parents eux-mêmes atteints d’un diabète de type 2“, explique le Pr Charpentier. Depuis plusieurs années, une quarantaine de gènes impliqués ont été identifiés.Lancement du programme DescendanceLe diabétologue a donc eu l’idée de lancer le programme Descendance, dont l’objectif est d’analyser le génome de malades et de non-malades appartenant à la même famille afin de calculer le risque que leurs enfants ont de devenir diabétiques dans 30 ans. Travailler au sein des familles permettra en outre de mieux étudier le rôle des facteurs épigénétiques, ces facteurs environnementaux qui modifient la fonction d’un gène.Pour cela, le CERITD cherche à recruter 500 familles composées d’un parent diabétique, d’au moins un enfant également malade et d’un autre enfant non malade (ce dernier doit avoir au moins 35 ans, pour laisser aux gènes le temps de s’exprimer). Un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires et les activités physiques leur sera remis, et ils devront se soumettre à une prise de sang pour que leur génome soit analysé. Les non-diabétiques devront également procéder à un test au glucose, afin de s’assurer qu’ils sont effectivement indemnes de la maladie.Totalement indépendant, le programme Descendance bénéficie d’un financement de la Société francophone de diabétologie (135 000 €) et de ses fonds propres. Les résultats ne sont pas attendus avant 2014. À ce jour, 50 familles ont été recrutées. Pour participer, vous pouvez contacter le numéro vert 0 800 300 341 ou consulter le site

www.ceritd.fr.Amélie PelletierSource– “Du nouveau dans la prévention du diabète : Tous concernés, tous mobilisés autour du Programme Descendance“ – CERITD. Conférence de presse en présence de l’AFD, le 9 mai 2012.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Photos: Midwest Storm Leaves Snow And Holiday Travel Nightmare

Hundreds of flights were canceled last night as a winter snow storm rocked the Midwest, turning holiday travel into a nightmare for many. The National Weather Service even issued a blizzard warning for parts of Nebraska, Kansas, Missouri and Iowa, resulting in the shutdown of many major highways as well.

With the end of Thanksgiving weekend, travel is always at an all-time high. The National Weather service said that 3 to 9 inches fell across northern Missouri on Sunday, with about a foot of snow and 50 mph gusts of wind battering the city of Chicago. Many people were left stranded at airports, as heavy snow continued into the morning. Jeff Colyer, the governor of Kansas, even issued a state of emergency declaration as conditions worsened throughout the evening, reported AP. Most flights are said to be back on track as of midmorning Monday, with road closures lifted.

Check out photos from the Midwest snow storm below:


Monday Nov. 26, 2018

Crews de-ice an American Airlines plane at O’Hare International Airport Monday in Chicago. The National Weather Service said 7.5 inches of snow fell at Chicago’s O’Hare International Airport and 4.9 inches fell at Midway International Airport. (AP Photo/Noreen Nasir)

Traffic moves slowly down I-69 south Monday morning. The Lansing area received its first significant snowfall overnight. (Matthew Dae Smith/Lansing State Journal via AP)

Commuters walk to a bus stop as snow falls in Chicago early Monday morning. (AP Photo/Kiichiro Sato)


The blizzard’s fury is on full display as the commuter seen above heads to a Chicago bus stop early Monday morning. (AP Photo/Kiichiro Sato)


Patrick Kaczmarek clears snow off his car on earlier this morning outside his home in South Bend, Indiana. (Robert Franklin/South Bend Tribune via AP)


A man walks along Lansing St. in Charlotte Monday morning after the Lansing area’s first significant snowfall occurred the night before. (Matthew Dae Smith/Lansing State Journal via AP)


Sunday Nov. 25, 2018

Heavy traffic is seen on an expressway near O’Hare International airport in Chicago. More than 350 flights already canceled ahead of blizzard-like storm taking aim at Chicago. A winter storm warning has been extended for Cook, DuPage, Grundy, Kendall, Lake and Will counties through 9 a.m. Monday, according to the National Weather Service. (AP Photo/Nam Y. Huh)


A broken-up trailer amid blowing snow on Interstate 80 near Bradshaw, Nebraska is seen Sunday evening in this file photo released by the Nebraska State Patrol. Blizzard-like conditions have closed highways and delayed air travel as a winter storm moved through the Midwest. (Nebraska State Patrol via AP)


A plow removes snow at an entrance of the Kansas Turnpike near Lawrence, Kansas. The turnpike section of I-70 remains open. I-70 is closed west of Junction City, Kansas. The area is under a blizzard warning. (AP Photo/Orlin Wagner)


Traffic moves west along I-70 near Lawrence, Kansas. (AP Photo/Orlin Wagner)


Pedestrians walk as snow falls Sunday in Kansas City, Missouri. Blizzard-like conditions have closed highways and delayed air travel as a winter storm moves through the Midwest. (AP Photo/Charlie Riedel)


Heavy traffic is seen on an expressway near O’Hare airport in Chicago. (AP Photo/Nam Y. Huh)


Passengers sit as they wait for their flight at O’Hare airport in Chicago, Sunday, Nov. 25, 2018. More than 350 flights already canceled ahead of blizzard-like storm taking aim at Chicago. (AP Photo/Nam Y. Huh)


Travelers walk in and out at Terminal 3 in O’Hare airport in Chicago. (AP Photo/Nam Y. Huh)


Rows of corn stalks stand in blowing snow north of Nebraska City, Nebraska. (AP Photo/Nati Harnik)


Workers carry snow shovels as snow falls in downtown Kansas City, Missouri. (AP Photo/Charlie Riedel)


A cardinal perches on snow-covered twigs in Lawrence, Kansas. (AP Photo/Orlin Wagner)


Anthony Walters of Mission, Kansas, wipes snow from a vehicle before loading groceries into it in Roeland Park, Kansas. (Tammy Ljungblad/The Kansas City Star via AP)


A shopper dashes to her car during a blizzard after shopping at the Walmart in Roeland Park, Kansas. (Tammy Ljungblad/The Kansas City Star via AP)


Police from Roeland Park, Kan., watched as the driver of a van tried to a navigate a slick street that hit the Kansas City area. (Tammy Ljungblad/The Kansas City Star via AP)


A plow clears snow from Road 438 in Douglas County near Lawrence, Kansas. The area is under a blizzard warning. (AP Photo/Orlin Wagner)


Electric rental scooters are covered with fresh snow on a sidewalk in downtown Kansas City, Missouri. (AP Photo/Charlie Riedel)

(Source: AP News)


Lead image by AP Photo/Orlin Wagner; Sourced from AP News.

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“A Thousand Words” : la bande-annonce ! [VIDEO]

“A Thousand Words”, la nouvelle comédie avec Eddie Murphy, a sa bande-annonce. Le film raconte l’histoire d’un homme ordinaire qui réalise qu’il lui reste 1000 mots à prononcer avant de mourir…

Et si votre mort était suspendue à vos paroles ?  C’est le point de départ de la nouvelle comédie dans laquelle Eddie Murphy a le rôle titre, A Thousand Words ! Eddie Murphy, grand bavard et inépuisable menteur, est victime d’un sort qui le condamne à compter ses mots pour retarder l’échéance de sa mort. Il n’a plus que 1000 mots à prononcer…

Pour ce film, qui devrait sortir en France le 16 mai 2012, l’acteur retrouve le réalisateur de Norbit et Appelez-moi Dave, Brian Robbins.

Pour l’anecdote, ce film devait initialement être réalisé par Alain Chabat, avec Gad Elmaleh dans le premier rôle (lire l’article). Alain Chabat produit cependant le film.

BB

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L’étude NutriNet-Santé met un pied en Belgique

Le grand programme de recherche sur les habitudes alimentaires via Internet, lancé en 2009 en France, vient d’ouvrir un volet destiné aux Belges francophones.

Dorénavant, l'étude NutriNet-Santé concerne aussi les internautes belges.

Après la France, la Belgique. L’étude

NutriNet-Santé1 a inauguré ce  weekend (7 juin), un volet destiné à recueillir des informations sur les comportements alimentaires des Belges francophones. Cette étude, lancée en 2009 en France, est un vaste programme de recherche  visant à faire progresser les connaissances sur les liens entre la

nutrition et le risque de maladies.L’étude est menée sur Internet, grâce à la participation de “nutrinautes“ qui répondent à des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires. Après quatre ans d’existence, NutriNet-Santé regroupe déjà près de 250 000 participants en France. L’objectif est de recruter 500 000 volontaires francophones, dont 50 000 Belges. Un appel à volontariat a été donc lancé2.L’inauguration du volet belge s’est faite en présence du coordinateur français de l’étude, professeur Serge Hercberg et de la ministre de la Santé de la Fédération Wallonie Bruxelles, Fadila Labaan. Le parrain de cette nouvelle étape de l’étude est le dessinateur et humoriste Philippe Gueluck.Violaine BadieSource : communiqué de NutriNet-santé, 7 juin 20131 – Plus d’informations sur le site français de NutriNet-Santé :

www.etude-nutrinet-sante.fr2 – Inscriptions et détails sur le site internet destiné aux Belges :

www.etude-nutrinet-sante.beClick Here: camiseta seleccion argentina

Les autorités russes publient une photo du cinéaste Oleg Sentsov, en grève de la faim depuis quatre mois

Les autorités pénitentiaires russes ont rendu publique, samedi 29 septembre, une photo du cinéaste ukrainien Oleg Sentsov, en grève de la faim depuis plus de quatre mois dans un camp du grand Nord russe où il purge une peine de vingt ans de détention. On y voit le réalisateur, qui a été hospitalisé vendredi, ausculté par un médecin. Oleg Sentsov, 42 ans, y apparaît encore affaibli, amaigri et vieilli. Une précédente photo, réalisée sur le lieu de détention d’Oleg Sentsov, avait été diffusée le 9 août. Hospitalisé pour des “examens supplémentaires”Le cinéaste, opposé à l’annexion de la Crimée par la Russie, a été transporté à l’hôpital de Labytnangui (grand Nord russe) pour des “examens supplémentaires et des consultations de spécialistes”, ont indiqué vendredi les services pénitentiaires régionaux. Il a entamé son mouvement de protestation le 14 mai pour exiger la libération de tous les “prisonniers politiques” ukrainiens détenus en Russie.Arrêté après l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, Oleg Sentsov a été condamné à vingt ans de détention pour “terrorisme” et “trafic d’armes” à l’issue d’un procès qualifié de “stalinien” par Amnesty International et dénoncé par Kiev, l’Union européenne et les États-Unis.Click Here: camiseta seleccion argentina

Obésité de l'enfant : gare au manque de sommeil !

Alors que l’obésité continue de progresser chez l’adulte, les programmes nationaux (notamment le Programme National Nutrition Santé dont la deuxième édition se termine en 2011) ont eu un impact sur le surpoids chez l’enfant. Informant et accompagnant les parents dès la naissance sur les réflexes à adopter face à ce risque, les infirmières puéricultrices insistent notamment sur l’importance d’un sommeil de qualité, pointée par une récente étude néo-zélandaise.Laurence Guéry, infirmière puéricultrice, coordinatrice du Réseau de Prévention et Prise en charge de l’Obésité des Yvelines (REPOP 78) et membre de l’ANPDE (Association Nationale des Puéricultrices Diplômées et des Etudiantes), recommande le triptyque “dormir-bouger-manger“ pour lutter contre l’obésité chez l’enfant1.“Les premiers résultats des deux PNNS sont encourageants !“, déclare Laurence Guéry. Même si, chez l’adulte la courbe de l’obésité poursuit sa croissance, celle de l’enfant connaît une réduction de 20 % et coïncide avec la mise en place du PNNS 1 et 2. Une légère augmentation de la consommation de fruits et légumes et une prise de conscience vis à vis de l’alimentation, notamment face au sel et aux aliments sucrés, sont à noter. “C’est la première fois depuis 40 ans que la courbe de

l’obésité fléchit“, précise-t-elle.

Savoir dormir“Face à

l’obésité de l’enfant, il faut une véritable hygiène de vie dont le sommeil fait partie“, affirme Laurence Guéry. Une mauvaise qualité ou un manque de sommeil augmenterait les risques d’obésité. Son rôle est prépondérant dans la mise en place des mécanismes de régulation de l’appétit et de la dépense énergétique. Un manque perturbe les secrétions hormonales, en particulier celle de l’insuline, et augmente ainsi le risque d’obésité.Une récente étude néo-zélandaise publiée dans le British Medical Journal2 a évalué les habitudes de sommeil de 244 enfants de 3 à 5 ans pour voir comment la durée de sommeil pouvait affecter leur

indice de masse corporelle (IMC) à l’âge de 7 ans. Résultat : chaque heure de sommeil supplémentaire est associée à une réduction de

l’IMC de 0,49 à l’âge de 7 ans. Ce qui correspond (pour une taille moyenne) à 0,7 kg. “Alors que cela semble mineur à un niveau individuel, les bénéfices en termes de santé publique, appliqués à la population générale sont considérables (…) Notre étude montre une réduction de 61 % d’être en surpoids ou obèse à 7 ans pour chaque heure supplémentaire de sommeil“ précisent les auteurs. Une différence principalement liée à un dépot plus important de masse graisseuse chez les enfants en manque de sommeil.Savoir bougerAlors que l’environnement est de plus en plus incitatif pour permettre aux enfants de bouger avec plaisir, on constate que le manque d’activité physique (favorisé par les jeux vidéo) reste un facteur important d’obésité. “Même s’il pleut, il y a toujours des activités qui permettent de faire bouger les enfants. Bouger au quotidien doit devenir systématique, au moins 30 minutes par jour ! Les parents doivent également limiter le temps que passent les enfants devant les écrans quels qu’ils soient“, précise Laurence Guéry.Savoir mangerSelon Laurence Guéry, manger de façon conviviale et en famille protège de l’obésité. “Les parents devraient apprendre à leurs enfants à manger avec plaisir. C’est un moment de partage, de découvertes de nouvelles saveurs, de transmissions familiales et culturelles“. Or, de mauvais réflexes peuvent facilement s’installer : les repas ne sont plus structurés et les plus jeunes ont pris l’habitude de manger seuls et, souvent, devant la télévision. “C’est une pratique alimentaire délétère“, poursuit-elle. Elle préconise également de favoriser la diversité des aliments, en offrant aux enfants de découvrir de nouveaux aliments. “Nous sommes programmés pour préférer les aliments gras et sucrés. Ainsi, apprécier une variété alimentaire est un vrai apprentissage ! Si on veut que nos enfants mangent de tout, il faut précocement les mettre en lien avec tous les aliments et ne pas être rebuté par la surprise d’un enfant face à un nouveau goût. Au contraire, il faut verbaliser son émotion car cela ne veut pas dire qu’il ne l’apprécie pas. Il faut aller au-delà du “bon, pas bon“ ou “j’aime, j’aime pas““, explique Laurence Guéry.La bonne quantitéLorsqu’un enfant est obèse, lui interdire de manger des produits sucrés ou gras n’est pas forcément une solution. Il faut recadrer le rythme alimentaire et diversifier. “C’est une question de quantité. On mange moins à 2 ans qu’à 4 ans ou qu’à 15 ans ! Les besoins sont également différents en fonction de l’activité et du sexe“. Un jeune en surpoids a toujours tendance à sous-évaluer la quantité : il ne comptabilise pas tout ce qu’il mange. Sur le plan cognitif, l’obèse présente des distorsions : “il va manger une boîte entière et aura l’impression de n’avoir pris qu’une cuillère“ conclut Laurence Guéry.Luc BlanchotSources :1 – Dossier de presse – ANPDE – 27 mai 20112 – Longitudinal analysis of sleep in relation to BMI and body fat in children: the FLAME study – BMJ 2011;342:d2712 –

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Déchets électroniques : 9 Français sur 10 connaissent la reprise du "un pour un"

Votre micro-onde vient de rendre l’âme ? Votre téléphone portable a bu la tasse ? Bien évidemment, vous avez prévu des remplacer. Saviez-vous que pour l’achat d’un appareil électronique ou électrique, le magasin est tenu de reprendre l’appareil usagé ? En fait, d’après une enquête réalisée de l’association CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), près de neuf Français sur 10 (84 % exactement) connaissent ce principe dit de reprise de “un pour un“.
Les Français connaissent le principe du recyclage…
Click Here: los jaguares argentinamais l’appliquent encore trop peu

Et il y a du progrès puisqu’en 2009, ils n’étaient que 81 %. Pour autant, seuls 27 % des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête* ont indiqué l’avoir fait. Pour ce qui est des sites marchands sur le web, seuls 22 % d’entre eux proposent cette reprise (le plus souvent payante, à hauteur de 12 euros alors que c’est le plus souvent gratuit en magasin). Ce qui explique certainement pourquoi seules 13 % des personnes interrogées ont indiqué avoir renvoyé l’appareil chez le cyber-marchand. Dans les autres cas, on peut supposer que la majorité de ces appareils finissent avec les autres ordures ménagères, là où ils n’ont rien à faire. En effet, la plupart de ces appareils contiennent nombre de substances chimiques potentiellement dangereuses dont les phtalates par exemple. Un effort nécessaire de la part des industrielsChaque année, nous produisons entre 16 et 20 kg d’e-waste (nom anglais pour déchets électroniques et électriques) par année par habitant. Et le plus souvent, ces déchets vont se retrouver à l’autre bout de la planète, au Brésil, en Ghana, en Inde ou en Chine dans d’immenses décharges à ciel ouvert.En 2009, près de 371 000 tonnes de déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) ménagers ont été collectées, soit 5,7 kg/an/hab. Le problème reste donc entier, d’autant que la consommation de produits high tech, futiles donc indispensables pour certains, ne cesse de grimper tandis que l’industrie ne cesse de produire plus et plus de produits à l’obsolescence programmée… Pour la CLCV, “il apparaît donc essentiel que les professionnels de la distribution mettent plus en avant la reprise, et ce d’autant plus que les consommateurs sont favorables à ce geste de tri. Ainsi, 93 % du panel se dit prêt à rapporter des petits appareils électriques ou électroniques usagés dans des contenants libre-service en magasins. Les consommateurs sont d’autant plus en droit d’attendre que ce dispositif fonctionne à plein qu’ils le financent par l’éco-participation, qu’ils payent lors de l’achat“.Emeline Dufour *Cette enquête a été menée auprès 1 016 personnes interrogées par Internet via le panel de consommateurs Maximiles – MV2 Conseil selon un échantillon national représentatif, du 13 au 23 mai.Photo : Le site d’Allonnes de l’entreprise Envie, dans la Sarthe, avril 2011 © GILE MICHEL/SIPASource :

“Recyclage des appareils électriques et électroniques : Les distributeurs doivent faire plus“,communiqué de presse du CLCV, 14 juin 2011

Obésité : les boissons sucrées pointées du doigt

On le sait : les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 et l’obésité sont favorisées par de mauvaises habitudes alimentaires. La malbouffe, les aliments gras, salés et sucrés et la sédentarité sont des facteurs de risques bien identifiés de ces troubles. Aujourd’hui, une chaire de spécialistes cardiovasculaires, l’International Chair on Cardiometabolic Risk (ICCR), pointe du doigt les boissons sucrées.

D’après l’ICCR la suppression des

boissons sucrées, telles que les boissons gazeuses et

édulcorées, les colas, les jus de fruits et les nectars, pouvait permettre de lutter contre l’

obésité abdominale, mais également contre le

diabète de type 2 et les

maladies cardiovasculaires. Les diverses études présentées par l’International Chair on Cardiometabolic Risk mettent en avant le rôle “non négligeable“ d’une consommation excessive et répétée de boissons sucrées dans le développement de l’obésité et du surpoids, arguant que l’évolution de la prévalence de ces troubles suit celle de l’absorption de boissons sucrées depuis plusieurs années.Ainsi, l’organisme révèle que la consommation de ces boissons est passées de 39 litres par an et par habitant en 1990 à 58 litres en 2007, alors que la prévalence du surpoids chez les plus jeunes a bondi de 3 % dans les années 1960 à 14,5 % en 2007. L’ICCR parle également d’un lien possible entre la consommation de boissons sucrées et le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires. Plusieurs études épidémiologiques et cliniques ont montré que le risque de diabète est supérieur chez les personnes consommant des boissons sucrées (1 à 2 par jour) par rapport à celles qui n’en consomment pas du tout. Mais, les mécanismes et modalités de cette corrélation boissons sucrées/diabète restent à démontrer. Ce qui est bien connu par contre, c’est le mécanisme de non compensation calorique liée à l’absorption d’un liquide sucré. L’ICCR explique notamment que “la consommation de boissons sucrées apporte une charge calorique supplémentaire qui n’est pas compensée comme lors de l’ingestion d’un aliment solide à haute valeur énergétique. Ce défaut de compensation serait à l’origine du gain de poids“. Pour éviter à l’organisme un apport calorique supplémentaire dont il ne peut pas se débarasser, le mieux est encore de boire de l’

eau. Donner aux enfants le réflexe de boire de l’eau pour se désaltérer, lors des repas et réserver les boissons sucrées à quelques occasions reste une arme préventive très efficace. “Il est important que la consommation de boissons sucrées soit prise en compte, au même titre que l’activité physique, l’équilibre énergétique et la qualité d’acides gras, dans la démarche de prévention de l’obésité et des maladies cardiovasculaires“, conclut l’organisme. Emeline Dufour avec RelaxnewsSource : Communiqué de presse “La suppression des boissons sucrées : un outil efficace pour lutter contre l’obésite abdominale, le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires“, ICCR, 19 juillet 2011.Click Here: Golf special

La France, pays le plus touché par la dépression ?

La dépression progresse à travers le monde et est plus susceptible de toucher les personnes vivant dans les pays les plus riches, d’après une étude publiée le 25 juillet dans la revue BMC Medicine. L’étude a analysé des données fournies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sur les taux de dépression de 18 pays. La France arrive en tête (21 %) suivie des Etats-Unis (19,2 %). Pour les personnes qui résident dans les pays aux revenus les plus élevés, l’âge moyen de la dépression est autour de 25-26 ans, selon l’étude.

Voici les pourcentages de personnes ayant déjà subi une dépression ou qui devront y faire face au cours de leur vie, selon l’étude : Hauts revenus : • Japon : 6,6 %• Allemagne : 9,9 %• Italie : 9,9 %• Israël : 10,2 %• Espagne : 10,6 %• Belgique : 14,1 %• Nouvelle Zélande : 17,8 %• Pays Bas : 17,9 %• Etats-Unis : 19,2 %• France: 21%Revenus moyens/bas : • Chine : 6,5 %• Mexique : 8 %• Inde : 9 %• Afrique du Sud : 9,8 %• Liban : 10,9 %• Colombie : 13,3 %• Ukraine : 14,6 %• Brésil : 18,4 %Au-delà de cette comparaison des données nationales (parfois difficilement accessibles), les chercheurs sont allés à la rencontre de plus de 89 000 personnes à travers 18 pays pour les interroger. D’après les auteurs, cette étude est donc la première à évaluer la dépression grâce à des sondages standardisés. Le questionnaire auquel devait répondre chacune des personnes interrogées, comportait notamment des questions sur les symptômes de la dépression, comme la tristesse, les cycles du sommeil, l’intérêt porté aux activités quotidiennes, mais aussi sur leur âge, leurs revenus et leur état civil. Les chercheurs pensent que les taux plus élevés de dépression dans les pays riches pourraient s’expliquer par de plus grandes disparités salariales. Une étude précédente, publiée au printemps dernier, s’était intéressée aux différences d’humeur entre Américains et Européens. Elle avait conclu que les Européens souffrent plus de dépression face à une surcharge de travail, alors que les Américains répondent mieux à ce genre de situation.En France, le

diagnostic d’une dépression passe par une première consultation chez le médecin généraliste, généralement le premier que les patients consultent. Même s’il est habilité à prescrire des

antidépresseurs après avoir repéré des symptômes dépressifs, son rôle majeur consiste néanmoins à orienter le patient vers un professionnel, psychiatre ou psychologue clinicien. A noter que ce dernier ne peut pas prescrire de médicaments.

Emeline Dufour avec RelaxnewsPhoto : Métro parisien en 2009 © MARZARI Emanuelle/SIPAClick Here: cheap sydney roosters jersey

Les Français ont moins acheté de vêtements en juillet, à cause des soldes avancées

Très clairement, l’avancement des soldes d’été, au 22 juin dernier au lieu du 30 juin une année plus tôt, a eu un impact fort sur les ventes de vêtements en juillet dernier. Selon le Distribilan de l’Institut français de la mode (IFM), publié le 2 septembre, les ventes d’articles d’habillement et de textiles, en juillet, se sont effondrées de 15,8 %, en valeur. A contrario, juin affichait un satisfaisant + 9 %.

Hormis le tissu au mètre et la mercerie-laine, tous les secteurs de l’habillement et du textile révèlent des chiffres négatifs pour juillet. Le secteur qui a le plus souffert est celui des petites pièces pour femmes (- 20,1 %).Les réseaux de distribution n’ont pas été épargnés par cette tendance baissière, qu’ils soient indépendants multimarques, chaînes spécialisées ou organismes de vente par correspondance. Après avoir garni leur panier fin juin, les Français sont donc partis les valises pleines en vacances en juillet.Depuis le début de l’année, les grands magasins profitent le plus des achats de vêtements et de textiles des Français. En valeur, ils sont les seuls à présenter une hausse aussi nette – les autres étant soit dans le rouge, soit stables -, avec + 6,7 %, comparé à la même période l’an passé.Globalement, sur la période, les Français ont acheté autant d’articles d’habillement et de textile que l’an passé. Les petites pièces pour les femmes affichant cette fois encore le plus mauvais taux, soit – 4,6 %.En ce qui concerne la maroquinerie, les accessoires de mode et les chaussures, l’IFM note une hausse générale sur les sept premiers mois de l’année.
Source : Relaxnews