Month: May 2020

Le 8 décembre 2010, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a approuvé l’utilisation d’un test novateur pour le diagnostic de la tuberculose. Evalué sur le terrain pendant 18 mois, ce test “d’amplification des acides nucléiques“ pourrait fournir un diagnostic précoce exact de la maladie en près de 100 minutes, contre trois mois actuellement. Le test sera notamment utilisé pour le diagnostic précoce de la tuberculose, de la tuberculose multi-résistante et de la tuberculose associée au VIH.
Un diagnostic en moins de deux heures
“Ce nouveau test représente un tournant majeur pour le diagnostic et les soins de la tuberculose dans le monde. Il est également synonyme d’espoir pour les millions de personnes les plus exposées au risque de tuberculose, y compris résistante. Nous avons les preuves scientifiques, nous avons défini la politique et nous visons désormais à soutenir l’implantation pour que l’effet se ressente dans les pays“, explique le Dr. Mario Raviglione, directeur du département Halte à la Tuberculose à l’OMS.

Selon les données, la mise en oeuvre de ce test pourrait entraîner un triplement du diagnostic du nombre des cas de tuberculose résistante et un doublement du diagnostic du nombre des cas de tuberculose associée au VIH dans les zones à forte prévalence des deux infections.
Une baisse du prix de 75 % a été négociée avec le fabricant du test, Cepheid, pour les pays les plus touchés par la maladie. 116 pays à faible revenus et à revenu intermédiaire où la tuberculose est endémique bénéficieront de ce tarif préférentiel.Mieux lutter contre un fléau qui a fait 1,7 million de victimes en 2009“Il y a eu une forte volonté de lever tous les obstacles, y compris financiers, susceptibles de compromettre le déploiement de cette nouvelle technologie, reconnaît le Dr Giorgio Roscigno, Directeur général de la Fondation pour des outils diagnostiques nouveaux et novateurs (FIND). Pour la première fois dans la lutte antituberculeuse, nous ouvrons simultanément l’accès à une technologie à la pointe du progrès dans les pays à revenu faible, intermédiaire et élevé. Cette technologie permet également le diagnostic d’autres maladies, ce qui devrait encore accroître son efficacité“.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publie aussi des recommandations et des orientations pour intégrer ce test dans les programmes. Elles comprennent des protocoles de dépistage (ou algorithmes) qui optimiseront l’utilisation et les avantages de cette nouvelle technologie pour les personnes qui en ont le plus besoin.Malgré des progrès majeurs dans les soins et la lutte, la tuberculose a tué, selon les estimations, 1,7 million de personnes en 2009 et 9,4 millions de personnes ont développé une tuberculose évolutive l’année dernière. David BêmeSource :Communiqué de l’OMS du 8 décembre 2010Photo : Tuberculose, macrophoto de la bactérie – ©DURAND FLORENCE/SIPAClick Here: Cheap QLD Maroons Jersey

Une protéine anti-stress, nommée opportunémentastressin-B, pourrait favoriser la repousse des cheveux. Du moinsc’est l’espoir que soulève la découverte accidentelle,par des chercheurs californiens, des effets spectaculaires del’astressin-B sur le pelage de souris de laboratoire. Desrésultats qui demande bien sûr confirmation chez l’hommeatteint de certaines formes de calvitie.

Des chercheurs de la faculté de médecine del’Université de Californie ont peut-être trouvé parhasard une solution contre la perte importante de cheveux liéeau stress, alors qu’aujourd’hui seuls quelques médicaments,comme le

minoxidil, sont disponibles et n’ont qu’uneefficacité limitée (repousse d’un duvet et non devéritables cheveux).
Des souris modifiées génétiquement pourêtre stressées
Mulugeta Million et son équipe ont cherché àévaluer la façon dont un traitement expérimental dustress affectait la fonction gastro-intestinale. Pour cela, ils ontutilisé des souris génétiquement modifiées poursurproduire une hormone, le facteur de libération de lacorticotrophine (CRF), ce qui induit un stress chronique.
Ce stress intense a fait perdre tout leur pelage dorsal aux souristestées. Les chercheurs ont ensuite administré à cessouris déplumées de l’astressin-B par voie injectablependant 5 jours, afin d’observer sa tolérance sur le plandigestif. Ils ont également mesuré un éventuelblocage des récepteurs du CRF au niveau du côlon, puisont replacé les souris chauves dans une cage contenant d’autresouris.
Une repousse imprévue du pelage dessouris
Trois mois plus tard, alors qu’ils voulaient vérifier lapoursuite de la bonne tolérance digestive de l’astressin-B,surprise ! Impossible de distinguer les souris les unes desautres, leur pelage avait entièrement repoussé.
Les chercheurs ont donc recommencé l’expérience enutilisant soit de l’astressin-B, soit un placebo, et sont parvenusau même résultat sans équivoque :

A : souris ayant reçu du placebopendant 5 jours, photos prises 3 jours après la dernièreinjectionB : souris ayant reçu de l’astressin-Bpendant 5 jours, photos prises 3 jours après la dernièreinjectionC : souris ayant reçu de l’astressin-Bpendant 5 jours, photos prises 4 semaines seulement après ladernière injection.
Une injection d’astressin-B par jour pendant 5 jours a doncsuffi à déclencher une repousse massive, effets qui sesont maintenus pendant 4 mois. “Il s’agit d’une duréerelativement longue, étant donné que la durée de viemoyenne des souris est de moins de deux ans“, adéclaré Mulugeta Million.
Et si cela marchait aussi sur la calvitiehumaine ?
Ces résultats spectaculaires restent à confirmer chezl’homme, en particulier chez les personnes affectées par unecalvitie temporaire liée au stress (il y a a priori moins dechances que cela marche en cas de perte de cheveux liée àl’hérédité ou à un excès d’hormonesmâles).
Deux points incitent à un certain optimisme :
– Comme chez l’homme, le

minoxidil a provoqué chez ces souris unerepousse de petits poils doux, et non d’un vrai pelage
– La peau humaine contient également des récepteurs auCRF.
Dans quelques années (le temps de faire les études), unmédicament dérivé de l’astressin-B, capable debloquer les récepteurs du CRF, sera donc peut-êtreefficace en cas de perte de cheveux importante liée au stress,que ce dernier soit aigu (chimiothérapie, choc psychologique,etc.) ou chronique. Cela pourrait même marcher, selon lesauteurs, en cas de calvitie liée au vieillissement. Asuivre…
Jean-Philippe Rivière
Sources :
– “CRF Receptor Antagonist Astressin-B Reverses and PreventsAlopecia in CRF Over-Expressing Mice“, Wang L et coll.,PlosOne, février 2011, étude

téléchargeable en ligne
– “Regrowing hair: UCLA-VA researchers may have accidentallydiscovered a solution“, Université de Californie,Los Angeles, 16 février 2011, article

accessible en ligneClick Here: camiseta boca juniors

Depuis le 12 mars, les réacteurs nucléaires accidentés de la centrale de Fukushima, au Japon, rejettent des particules radioactives dans l’atmosphère. Les masses d’air polluées, qui se déplacent au gré des vents, survolent actuellement l’Amérique du Nord et devraient atteindre la France le 23 mars. Néanmoins la concentration en particules radioactives devrait être infime, et donc sans danger.

La situation à Fukushima n’est toujours pas sous contrôle, même si l’arrosage intensif des piscines de stockage des combustibles nucléaires a permis, jusqu’à présent, d’éviter la désintégration complète des barres radioactives. Il est donc probable qu’une certaine quantité de radioactivité continue de s’échapper des réacteurs endommagés par le terrible tsunami consécutif au séisme du 11 mars.
Modélisation de la dispersion du panache radioactif
Cette radioactivité est dispersée dans l’air en fonction des vents. Il en résulte une masse d’air faiblement radioactive (essentiellement de l’iode et du césium radioactifs) qui se déplace, en se diluant, dans les courants atmosphériques de l’hémisphère Nord.
Afin d’évaluer les conséquences de cette dispersion, l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) a réalisé une animation modélisant la dispersion radioactive durant la période du 12 au 26 mars,

accessible sur leur site en cliquant ici.Click Here: racing club camiseta

Le taux de participation au

dépistage organisé du cancer du sein a affiché un léger recul en 2010, passant de 52,3 % en 2009 à 52 % de la population cible un an plus tard, selon les dernières données publiées le 5 avril par l’Institut de veille sanitaire (InVS). Au total, plus de 2,36 millions de femmes ont bénéficié du dépistage organisé du cancer du sein en 2010.

Les chiffres communiqués par l’InVS révèlent des disparités entre les régions de l’Hexagone. Pour la période 2009-2010, de nombreuses régions ont affiché des taux de participation supérieurs à 60 %, à savoir le Limousin, la Bretagne et les Pays-de-la-Loire. A contrario, la Corse, la Guyane, la Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’Ile-de-France ont présenté des taux inférieurs à 45 %.À noter, Paris est le département où le taux de participation au dépistage organisé du cancer du sein a été le plus faible (27,1 %) sur la période 2009-2010.
Plus de 4,7 millions de femmes âgées entre 50 et 74 ans ont été invitées à réaliser ce dépistage en 2009-2010, contre 4,6 millions en 2008-2009.
L’objectif européen tend à atteindre un taux de participation d’au moins 70 %.Amélie Pelletier avec RelaxnewsSource :Léger recul de la participation au dépistage organisé du cancer du sein entre 2009 et 2010, communiqué de l’InVS (

accessible en ligne).

Pour les 50 ans de Sophie la girafe, Vulli organise le 25 mai une vente aux enchères de ce célèbre jouet pour enfant, relooké par 50 personnalités, au profit de la Fondation Gustave Roussy pour la recherche sur les cancers de l’enfant.

Visibles depuis le 9 mai sur le site de

Vulli, 50 girafes Sophie relookées par Chiara Mastroianni, Kenzo, Chantal Thomass ou encore Fifi Chachnil et bien d’autres vont être mises aux enchères à l’occasion des 50 ans du jouet. Les fonds collectés seront reversés au programme de recherche sur les

traitements personnalisés du cancer, appelé “Révolution Cancer“. “Révolution Cancer“ est un programme de recherche innovant qui a pour ambition “de mettre au point des traitements vraiment personnalisés, guidés par la biologie de la tumeur et du patient. Cette nouvelle approche de la cancérologie nécessite des investissements importants et Vulli y contribue à travers cet évènement“, commente Charles Guépratte, directeur général adjoint de l’IGR.Ce programme de recherche totalement innovant a pour objectif de prouver la plus grande efficacité des traitements personnalisés par rapport à l’approche standard.Amélie PelletierSourceCommuniqué de presse de l’Institut Gustave Roussy, 5 mai 2011.Crédit photo : KENNELL KRISTA/SIPAClick Here: gws giants guernsey 2019

Fan de cosmétiques ? Toujours en quête du soin qui va sublimer votre peau ? Doctissimo, en partenariat avec Lancôme, vous propose de découvrir et de tester en avant-première, une grande innovation dans le domaine du soin du visage. Vous souhaitez participer à ce test exceptionnel ? C’est très simple.

Douze ans de recherche, 17 brevets, le tout nouveau soin du visage Lancôme est à la pointe des dernières innovations. Doctissimo offre une chance à 10 Doctinautes de recevoir et tester en avant première cette toute dernière innovation soin du visage Lancôme.
Vous êtes disponible quelques heures le lundi 6 juin et le mardi 5 juillet pour que l’on recueille vos impressions dans un cadre unique ; parler et donner votre avis face à une caméra ne vous dérange pas ? Vous avez toutes les chances de faire partie de notre cercle de testeuses privilégiées.
Alors pour participer, merci de nous envoyer à l’adresse suivante,

test-innovation-lancome@doctissimo.fr vos :- nom, prénom, âge, coordonnées complètes (adresses mail, postale, numéro de téléphone)- une photo portrait de vous.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Le 2 septembre, les entreprises du médicament (Leem) publiaient une tribune dans 61 titres de la presse quotidienne sous le titre “Médicament : ne nous trompons pas d’enjeu !“. Le but affiché était “d’attirer l’attention des Français sur les risques de détournement des enjeux de santé publique“, à quelques jours du débat sur la réforme du médicament au Parlement. Mais certains arguments concernant notamment l’accès à l’innovation ont irrité les autorités sanitaires, qui ont répliqué le jour même.Dispositif des ATU : L’Afssaps réagit aux arguments du Leem

“Ce projet comporte en effet des mesures qui auront pour conséquences de freiner l’accès des patients à l’innovation et de menacer directement l’emploi de milliers de salariés dans l’ensemble des régions françaises“. Outre

l’argument de l’emploi déjà employé par le Leem dès l’annonce du plan en Conseil des Ministres, le Leem estime que “les conditions plus restrictives d’obtention des Autorisations Temporaires d’Utilisation (ATU) empêcheront de nombreux malades atteints de pathologies lourdes d’accéder rapidement à des médicaments vitaux qui ne sont pas encore commercialisés“.Des arguments qui ont fait bondir l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) qui a tenu à rappeler que “son intention n’est pas de restreindre l’accès aux molécules innovantes à travers le dispositif des ATU mais d’en étendre l’accès et d’en renforcer la transparence et la sécurisation. Elle a permis en 2010 d’autoriser l’utilisation de plus de 240 médicaments dans le cadre de 22 800 ATU nominatives ainsi que d’une vingtaine de médicaments dans le cadre d’ATU de cohorte“.Le dispositif actuel des ATU

Présentée aux membres du Conseil d’administration de l’Afssaps le 6 juillet 2011, l’amélioration du dispositif des ATU prévoit de

privilégier les ATU de cohorte au profit des ATU nominatives, qui seraient plus étroitement suivies.Actuellement, le système des ATU permet, avec l’autorisation obligatoire et préalable de l’Afssaps, d’utiliser des médicaments sans autorisation de mise sur le marché (AMM) en France en dehors du cadre des essais cliniques. Cette mesure dérogatoire à l’AMM classique peut être accordée “si le médicament vise à traiter une maladie rare ou grave ou s’il n’y a pas de traitement alternatif approprié et si l’efficacité et la sécurité du médicament sont présumées“.
On distingue :
– L’ATU dite nominative, délivrée pour un seul malade nommément désigné, à la demande et sous la responsabilité du médecin prescripteur.
– L’ATU dite de cohorte, qui concerne un groupe ou sous-groupe de patients, traités et surveillés suivant des critères parfaitement définis dans un protocole d’utilisation thérapeutique et de recueil d’informations. L’ATU de cohorte est délivrée à la demande du titulaire des droits d’exploitation, qui s’engage à déposer une demande d’AMM dans un délai fixé. Ce fut le cas pour

deux nouvelles antiprotéases pour le traitement de l’hépatite C ainsi que

deux nouvelles molécules dans le traitement du mélanome métastasiques.Les évolutions du dispositif des ATU

Les évolutions visent à privilégier les ATU de Cohorte (et donc plus tard les Autorisations de Mise sur le Marché), la mise en place d’essais cliniques au profit des ATU nominatives, qui seront mieux encadrées. Selon l’Afssaps, ces ATU nominatives font actuellement l’objet d’un suivi moins actif des données d’efficacité et de tolérance, et elles risquent d’installer des utilisations hors AMM.Pour ce faire, le dossier de soumission des ATU de cohortes pourra être rapidement rempli par les industriels, appuyés si nécessaire par les médecins demandeurs (il s’agit d’un dossier allégé permettant de surveiller l’étendue de l’accès à une molécule dans un type de pathologie avant toute mise sur le marché des médicaments). Ce dossier sera donc rapidement évalué par l’Afssaps. Les ATU nominatives continueront à être accessibles en sus des ATU de cohorte, dès le dépôt du dossier à l’Afssaps et/ou s’il existe un essai clinique concernant la molécule candidate.Par ailleurs, l’Afssaps souhaite offrir une cartographie des molécules proposées dans les différentes situations pathologiques rencontrées et ce sur tout le territoire national. “Ce progrès sera effectué grâce à la mobilisation conjointe des médecins soucieux d’accès à l’innovation dans un cadre régulé et transparent, des industriels offrant dans un cadre responsable l’accès de leurs molécules à l’ensemble des malades“ précise l’Afssaps.Face à ce qui ressemble donc fort à un faux procès, l’agence conclut en invitant tous les acteurs de la santé à travailler de concert : “L’Afssaps s’engage à accroître l’accès aux ATU encadrées et à publier régulièrement l’évolution de ce dispositif étendu. Cette expansion rendra lisible l’accès aux médicaments concernés, grâce à la mobilisation conjointe des industriels, des médecins prescripteurs et des patients isolés ou engagés dans l’univers associatif“.David BêmeSources :Communiqué de l’Afssaps du 2 septembre 2011Communiqué du Leem du 1er septembre 2011

Elu designer de l’année par Sephora, le couturier et photographe Karl Lagerfeld a souhaité imaginer une collection capsule de maquillage et d’accessoires, pour l’enseigne de parfums et de produits cosmétiques. Commercialisée en édition limitée pour les fêtes de fin d’année, cette mini-ligne regroupe de nombreux produits, à l’effigie du créateur ou estampés de ses citations fétiches.La collection de maquillage “Karl Lagerfeld pour Sephora“ comprend une palette de cinq ombres à paupières reprenant les couleurs emblématiques du jean, complétées d’indispensables comme le blanc, l’or et l’argent, ainsi qu’un coffret de deux vernis à ongles brillants noir et or.Côté accessoires, Karl Lagerfeld a imaginé deux trousses : une pour les voyages, à glisser dans sa valise, et l’autre pour les sacs à main, toutes deux gravées de ses célèbres citations.

Les amoureux du grand couturier pourront également opter pour une boule à neige renfermant la silhouette de Karl Lagerfeld. Cette dernière a d’ailleurs été déclinée en poupée haute couture.Cette ligne capsule sera disponible en édition limitée chez Sephora, à compter du 6 novembre prochain. Les produits sont proposés à des prix compris entre 15€ (la trousse de sac) et 35€ (la palette de cinq fards à paupières).Source : Relaxnews

PITTSBURGH, PA – Watching virtually any recent newscast, you probably know Pittsburgh’s Squirrel Hill neighborhood as a place of incredible carnage. You probably know it as the community where a man with a heart full of hate, armed with an assault rifle and three handguns, burst into the Tree of Life synagogue and shot 11 people to death.

It is that place, unfortunately. But Squirrel Hill is more than that, much more. I know that because I’ve lived there for much of my adult life.

Squirrel Hill is the place where I romanced my wife at haunts such as the Squirrel Hill Cafe, a dive bar in the best sense of the term – smoky, casual and serving great, cheap cheeseburgers. When the late Anthony Bourdain taped an episode of “Parts Unknown” in Pittsburgh last year, he was wise enough to film part of it at this Pittsburgh institution, known affectionately to its regulars as the Squirrel Cage.

It’s the place where we decided to stay after we got married because we wanted to raise a family in the city’s most culturally and ethnically diverse neighborhood. In addition to a large Jewish population, you’ll find eastern European immigrants and Asians, as well as many graduate students from the University of Pittsburgh and Carnegie Mellon University.

When we had children, we took them as toddlers to places such as Blue Slide Park, an idyllic playground area of the city’s Frick Park named after the blue slide built into its cascading hillside. The park was made famous by the late rap star Mac Miller, who named his debut album after it. We returned there in September to join several thousand people at a memorial after Miller, who went to high school just a few blocks from the park, died of a suspected drug overdose.

As they got older, our daughters got to appreciate the neighborhood’s many ethnic dining options. They also formed opinions on which of the neighborhood’s two most famous pizza parlors is best. Aiello’s and Mineo’s are located just a few storefronts away from each other on Murray Avenue and friendly disagreement over which makes the best pie has divided families and friends for generations.

Saturday morning was quiet in the neighborhood until the gunfire erupted. When I learned of what was unfolding, I went up the street to get as close to the synagogue as I could.

From where the media was stationed, I reported for hours knowing there were multiple fatalities but not knowing precisely how many or the victims’ identities. The experience was nerve-wracking, but I received text updates from home as some of the congregants we know checked in via social media to mark themselves safe.

But it wasn’t long before we learned that Cecil Rosenthal, 59, and his brother, David Rosenthal, 54, were among the dead. The special needs brothers lived two blocks from us. My wife knew Cecil from seeing him regularly at Tree of Life services.

The week has been acutely awful. But throughout this ordeal, I’ve witnessed many things that make me glad I call Squirrel Hill home.

I saw several thousand people gather in the rain in the heart of the neighborhood business district for a vigil for the victims. Occurring mere hours after the massacre, it was organized primarily by female students from the neighborhood’s Taylor Allderdice High School and they spoke eloquently at the event despite their youth.

I saw people weeping while hugging each other in front of the makeshift memorial to the victims outside of Tree of Life, where bouquets of flowers continue to pile up even while FBI investigators continue their grim work inside the building.

I saw people who live across the street from the synagogue graciously allow their yards be used as makeshift TV studios for the dozens of reporters from all over the world who flocked here to cover the story.

I saw a grandmother and her two young grandchildren bringing a box of doughnuts to a weary police officer standing watch outside Tree of Life. He accepted the gift with probably his first smile since the shootings.

I saw people gratefully shaking the hands of police officers outside the Zone 4 building about a block away from the synagogue. They were first on the scene and several were wounded confronting the gunman.

I saw thousands of people march through the neighborhood streets, peacefully singing songs of the Jewish faith before stopping near Tree of Life. They then held up and then tore pieces of black construction paper while participating in the Jewish ritual mourning act of Kriah.

Kriah is always performed while standing. The act of standing while tearing material shows strength at a time of grief. The Kriah ritual couldn’t have been more appropriate, because the community has shown remarkable strength while grieving in the wake of the killings.

Squirrel Hill is my neighborhood. It’s a close-knit community where we have been forced to collectively confront a toxic mix of homicidal hate, rage and insanity.

We have done so with dignity and determination.

Perhaps, in these darkest of days, we can find some solace in that.

Eric Heyl is Patch’s Pittsburgh field editor. He can be reached at 412-334-4033 or Eric.Heyl@Patch.com.

Photo: Heyl.

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*Patch would like to warn readers of extremely graphic images and video towards the bottom of this publication. We advise readers to continue at their discretion, as they may find the below images and video upsetting.

SHELBY COUNTY, IN — The Shelbyville/Shelby County Animal Shelter wants the public’s help as staff members try to figure out what happened to an injured dog found walking on the road by a good Samaritan over the weekend. In a Facebook post Saturday, Nov. 3, the shelter said it received a call from a good Samaritan Friday, Nov. 2 who told them the male dog was wandering the road “in the vicinity of 900 North and 400 West in Shelby County Indiana.” According to the shelter, the Pit Bull/ Terrier mix was picked up by Animal Control after the phone call on Friday.

The shelter is looking for answers on what exactly was done to the dog.

“He is not microchipped and his collar hangs as if he once fit into it,” The shelter’s Facebook post states. “Unfortunately, there were no tags identifying his owner.”

“The vet believes he is between two and three years old,” the shelter added. “The damage appears to be from burns, but at this time unsure if it is chemical or from fire.”

Patch reached out to Chris Browder with the Shelbyville/Shelby County Animal Shelter Monday regarding Justice’s recovery. (Subscribe to the Indianapolis Patch daily newsletter which is delivered to your inbox once a day to keep you updated with breaking news and other updates, for free. Make sure to “Like” Indianapolis Patch on Facebook).

Browder told Patch he had just spoken to Justice’s “devoted veterinarian” at IndyVet. According to Browder, Justice is resting quietly while in the best hands. Browder also told Patch the veterinarian said the dog was able to eat a little.

“They were able to check his mouth and he has lacerations on his tongue, possibly from licking off the chemical,” Browder said. “They are changing his bandages today. He is also been given meds (medicines) to protect his stomach in case of chemicals being ingested.”

The shelter continues posting updates about Justice’s recovery on Facebook, as the dog is also battling an infection from what shelter workers called “horrific” wounds. Justice has, however, wagged his tail a couple of times, which the shelter said was “a wonderful moment,” though he has a long way to go with his recovery.

The shelter is asking for any tips – big or small – regarding what was done to the poor dog, especially information leading to the person(s) responsible and charges.

Anonymous tips can be made by emailing cbrowder@cityofshelbyvillein.com or by calling the shelter at 317-392-5127.

While the shelter said everything Justice needs financially to help his recovery will be provided, there have been many questions regarding donations. To donate, the shelter said you can stop by on weekdays between 11 a.m. and 5 p.m., excluding Election Day on Nov. 6, or mail a check to: Shelbyville/Shelby County Animal Shelter, 705 Hale Road, Shelbyville, IN 46176, and to please write Justice4Justice in the check’s memo spot.

More updates: Shelbyville/Shelby County Animal Shelter

Main photo via Shutterstock; Images and video of Justice: IndyVet via Chris Browder

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