Que faire après une inondation ?

La tempête qui a traversé la France, a été à l’origine d’inondations dans de nombreuses communes. Après la montée des eaux quelle attitude adopter ? Quels sont les bons gestes ? Peut-on boire l’eau du robinet ? Comment nettoyer sa maison ?… Pour répondre à toutes ces questions et prévenir les accidents et problèmes de santé, le Ministère de la santé et des sports et l’Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) se mobilisent et mettent à disposition plusieurs outils d’informations.Après une inondation, au-delà du choc psychologique, regagner son domicile peut présenter des risques pour la santé. Avant toute chose, contactez votre mairie pour savoir que faire de retour à la maison.L’eau peut endommager l’habitat (fondations, installations de gaz, de chauffage, d’électricité). Faites appel à des professionnels pour en vérifier l’état avant de rebrancher les installations électriques et le chauffage. Ne rebranchez pas les appareils électriques s’ils sont mouillés. Après une inondation, la maison n’est plus saine : enlevez l’eau et la boue, nettoyez et désinfectez à l’eau de javel, les murs, les sols, sans oublier les aérations.  N’oubliez pas de porter des gants et des bottes, des produits toxiques ont pu entrer dans votre maison. Chauffez doucement et aérez pendant plusieurs jours.  Et si certains murs ou sols restent imbibés d’eau, appelez rapidement votre assureur et les professionnels qui pourront vous aider.Ne buvez pas l’eau du robinet avant d’avoir obtenu l’accord de la mairie. Jetez les aliments restés dans l’eau, dans un réfrigérateur ou un congélateur hors service. Attendez la mise hors d’eau de la fosse septique avant de la faire fonctionner. L’inondation de l’habitat est un événement traumatisant lié notamment à la perte d’objets personnels. Il est normal d’être très affecté, n’hésitez pas à avoir recours à votre médecin.

Pour la population et les services déconcentrés en charge de la gestion de ces risques (Préfectures, DDASS, DRASS, Mairies…), plusieurs outils d’informations sont ainsi mis en place : des spots radio, des outils d’information, une affichette sur les risques encourus et un tract récapitulant l’ensemble des conseils à suivre, qui sont téléchargeables sur les sites

www.sante.gouv.fr ouClick Here: cheap INTERNATIONAL jersey

10 ans au service de la recherche sur le cerveau

Du 8 au 14 mars 2010, la Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRC) organise la campagne du Neurodon. Pour son dixième anniversaire, la FRC appelle à la création d’un Plan Cerveau, capable de prendre en compte tous les enjeux des maladies neurologiques.

Malgré les progrès de la science, le cerveau est encore loin d’avoir livré tous ses secrets. Décrypter ses mystères, comprendre ses dysfonctionnements et les maladies neurologiques sont autant de défis que la médecine doit relever. A l’occasion des 10 ans du Neurodon, il est toujours important d’aider la recherche sur le cerveau.
10 ans de recherche sur le cerveau
Un Français sur trois se déclare concerné, directement ou indirectement, par une maladie neurologique. C’est plus encore que le cancer ou les maladies cardiovasculaires. Les maladies du cerveau, telles que la schizophrénie, la maladie d’Alzheimer, la dépression ou encore les maladies orphelines concernent un grand nombre de malades, nombre qui augmente par ailleurs avec le vieillissement de la population (1). Un quart des plus de 65 ans est à risque de maladie d’Alzheimer, 100 000 sont atteints de la malade de Parkinson.
Face à ces enjeux, la Fondation pour la recherche sur le cerveau rassemble des associations de patients atteints de maladies neurologiques, avec comme objectif principal d’aider la recherche scientifique dans le domaine des neurosciences : six associations partenaires ont déjà rejoint les 5 associations membres fondateurs de la première heure (2). Le Pr. Bernard Esambert, président de la FRC nous présente cette fédération et ses objectifs.
Le coût de la prise en charge de ces maladies à l’échelle européenne est estimé à 400 milliards d’euros. Selon le National Institutes of Health (l’équivalent américain de l’Inserm), l’investissement dans la recherche sur le cerveau peut rapporter jusqu’à 50 % du montant de départ investi. La FRC appelle donc à “investir dans l’ordinateur le plus précieux au monde, le cerveau“.
Après le plan Alzheimer, un grand plan cerveau ?
La recherche contre les maladies du cerveau est-elle à la hauteur des enjeux ? “Il faut reconnaître que la prise de conscience de l’enjeu que représentent les neurosciences s’est progressivement améliorée. Le Plan Alzheimer peut sembler réducteur par rapport aux autres maladies neurologiques. Mais il faut reconnaître qu’il a incontestablement joué un rôle positif dans la connaissance du public de cette maladie et de ses conséquences et comme moteur de tout un secteur de recherche. Il a permis par ailleurs de parler de certaines maladies neurologiques orphelines qu’à la FRC nous avons toujours souhaité associer“ avoue le Pr. Bernard Esambert.
Mais au-delà de cet effort, la FRC appelle à la mise en place d’un “Plan Cerveau“, déjà proposé il y a plusieurs années par le Pr Jacques Glowinski, premier Président du Conseil scientifique de la FRC. Pour donner corps à cette ambition, la FRC organise un très important colloque fin 2010 avec la publication d’un livre blanc sur l’état de la recherche en neurosciences dans notre pays, publié par les Editions Odile Jacob. “L’objectif de ce colloque national est de convaincre les décideurs économiques et politiques de la nécessité de passer à la seconde étape du Plan Alzheimer pour mettre en place un Plan Cerveau“ insiste le Pr. Esambert
Neurodon : la campagne 2010
Pour cette 10e édition du Neurodon, la FRC met de nouveau à disposition du grand public une exposition photographique “Le cerveau dans tous ses éclats“, véritable voyage au coeur du cerveau. Constituée de clichés issus de la photothèque de l’Inserm, cette exposition sera présentée dans plusieurs villes de France.
Un numéro hors série “10ème anniversaire“ de la revue “Recherche en Tête“, avec un rôle inédit pour son parrain Christophe Malavoy : celui de rédacteur en chef. Dans ce numéro spécial, vous pourrez découvrir des données concrètes sur les avancées fondamentales et cliniques de ces dix dernières années.
Deux nouveaux appels à dons d’Audrey Pulvar et Christophe Malavoy, enregistrés en partenariat avec le CFPJ seront diffusés sur les radios. Sans oublier les guides “dix petits exercices…“, “le cerveau notre machine à apprendre“, les appels à dons, affiches, flyers, bannière internet et auto-collants et le site internet de la FRC seul portail français entièrement consacré à la recherche sur le cerveau et les maladies neurologiques.
En partenariat avec la Société des Neurosciences, des rencontres avec les chercheurs sous forme de mini-conférences et d’ateliers seront également proposés en libre accès au public. Retrouvez également la FRC au Festival International des Jeux de Cannes dans le cadre de notre partenariat avec la CLE et le Festival : animations jeux de l’esprit, conférence, etc. Le Cerveau est également à la fête dans le cadre de la Semaine du Cerveau du 15 au 21 mars… Pour le programme complet des manifestations : une seule adresse http://www.frc.asso.fr/
Pour soutenir le Neurodon, vous pouvez faire un don par courrier ou en ligne. Ceux-ci sont destinés à financer des programmes de recherche en neurosciences sélectionnés par appel d’offres. Investissez dans l’ordinateur le plus précieux au monde !
Luc Blanchot
1 – Sobocki et collaborateurs, “Brain research has high returns but Europe is lagging behind“, European Journal of Neurology, 2007, volume 14, pages 708 à 710
2 – La FRC rassemble :
Les membres fondateurs :
Association pour la Recherche sur la Sclérose en Plaques (ARSEP) : www.arsep.orgAssociation pour la Recherche sur la Sclérose latérale amyotrophique (ARS) : www.ars-asso.comFrance Alzheimer : www.francealzheimer.frFrance Parkinson : www.franceparkinson.fr
Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie (FFRE) : www.fondation-epilepsie.fr
Et les associations partenaires :
Amadys (dystonies) http://amadys.dystonies.free.frAramise (atrophie multisystématisée) http://ams.aramise.free.frAssociation pour la Recherche sur les Tumeurs Cérébrales (ARTC) : www.artc.asso.frFrance AVC (accidents vasculaires cérébraux) : www.franceavc.comHuntington France (chorée de Huntington) : http://www.huntington.fr
La Fondation motrice (infirmité motrice d’origine cérébrale) : www.lafondationmotrice.org
3 – Dossier de presse, Campagne du Neurodon 2009, 11 février 2009
Pour faire un don :
Par courrier à la FRC 9 avenue Percier 75008 ParisEn ligne sur www.frc.asso.frPour la première fois : appelez 36 20 et dites “neurodon“ !

François Fillon annonce l'abandon de la taxe carbone

Aujourd’hui, mardi 23 mars, le Premier ministre François Fillon a annoncé l’abandon du projet de loi portant sur la contribution climat énergie, plus connue sous le nom de “taxe carbone“. C’est lors d’une réunion avec les députés UMP à l’Assemblée nationale que le chef du gouvernement a fait cette déclaration.

Pour expliquer cette “marche arrière“, le Premier ministre a évoqué la nécessité d’une législation européenne, et pas uniquement franco-française, afin de “ne pas plomber la compétitivité“ des entreprises nationales.Lundi déjà, le porte-parole de l’UMP, Jean-François Copé, avait demandé à ce que la taxe carbone soit abandonnée, estimant sur l’antenne d’Europe 1 qu’elle “n’a de sens que si c’est à l’échelle européenne. Cela ne peut pas être une priorité“.Cette décision d’abandonner une mesure soutenue initialement par le Président intervient deux jours après la défaite de la majorité présidentielle aux élections régionales. Un revirement qui reste étonnant car même après l’annulation par le Conseil constitutionnel en septembre 2009 (

voir notre article), le Premier ministre avait alors déclaré qu’il n’était pas question d’enterrer “une priorité du président de la République et du gouvernement“, nécessaire “pour orienter les comportements des entreprises et des ménages en matière de consommation d’énergie“. Un objectif que le Président avait même ré-affirmé lors de ses voeux.Les réactions politiques sont nombreuses face à cette décision. Le Parti socialiste se réjouit de l’abandon de cette taxe “injuste pour les ménages“, mais s’inquiète dans le même temps de l’abandon des “engagements du grenelle de l’environnement“. Le chef de file d’Europe Ecologie, Daniel Cohn-Bendit a estimé que suite à ces annonces, “Borloo et Jouanno peuvent démissionner“. Même dans les rangs de la majorité, des critiques apparaissent : “Je ne suis pas en phase avec cette décision“, affirme ainsi Chantal Jouannot, la secrétaire d’Etat à l’Ecologie.Et vous, qu’en pensez-vous ? Fallait-il abandonner cette mesure ?

Venez-vous exprimer sur nos forums.Emeline DufourSource : Europe1.fr Photo : STEVENS FREDERIC/SIPAClick Here: cheap nrl jerseys

Des implants mammaires retirés du marché

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé a pris la décision de suspendre la mise sur le marché et l’utilisation d’implants mammaires pré remplis de silicone commercialisés par la société Poly Implant Prothèse (PIP). Suite à une augmentation du nombre d’incidents de ruptures de ces prothèses mammaires, l’Afssaps a mis en évidence lors d’une inspection dans les locaux de la société, que le gel de silicone utilisé n’est pas celui qui avait été déclaré lors de leurs mises sur le marché. Les femmes implantées avec ces prothèses doivent consulter leur chirurgien et peuvent se renseigner auprès d’un numéro vert.

Dans le cadre du dispositif de matériovigileance de l’Afssaps et suite à une augmentation du nombre de ruptures de prothèses pré rempli au silicone de la marque PIP, l’agence a inspecté les locaux de la société et a découvert que le gel introduit dans les implants était différent de celui qu’avait déclaré utiliser ses fabricants lors de sa commercialisation.Suite à ces observations, l’Afssaps,

qui expliquait en 2004 qu’une “prothèse remplie de gel de silicone a une durée de vie que l’on ne peut estimer précisément a priori puisqu’elle dépend de l’éventuelle survenue de complication“, annonce aujourd’hui qu’elle retire du marché les prothèses mammaires pré remplies de silicone de la marque PIP et interdit leur commercialisation ou leur utilisation suite à ces incidents.Depuis 2001, date de la réintroduction sur le marché français des implants pré remplis de silicone, 30 000 femmes ont reçus des prothèses mammaires de ce type sur les 500 000 qui portent des implants, toutes marques confondues. L’agence conseille donc à ces femmes implantés avec les prothèses mammaires PIP de consulter leur chirurgien et de procéder à une échographie annuelle. Les médecins qui ont implanté ces prothèses seront directement informés par l’Afssaps. Par ailleurs, un numéro vert (le  0800 636 636), est mis à la disposition des femmes concernées.La rupture de prothèse mammaire est un phénomène connu mais imprévisible. Le silicone peut alors se répandre dans l’enveloppe fibreuse qui entoure l’implant sans qu’aucun symptôme apparaisse, puis provoquer une réaction inflammatoire. Il est donc important que toute femme porteuse d’implants mammaires respecte le suivi médical régulier qui lui a été recommandé après son intervention.Emmanuelle VieillardSource : “Implants mammaires en gel de silicone de la société Poly implant prothèse“, communiqué de presse de l’Afssaps – 30 mars 2010Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

La Boudeuse boudée par Borloo

Le 18 octobre dernier, la Boudeuse quittait les eaux bretonnes de Fécamp pour une expédition de deux ans. Menée dans le cadre du Grenelle de la mer,

la mission Terre-Océan dirigée par le charismatique capitaine Patrice Franceschi devait permettre de répondre à différentes problématiques sur la biodiversité, le développement durable, le réchauffement climatique, etc. Aujourd’hui, ce superbe trois-mâts de 1916 a quitté Caracas au Vénézuela pour rejoindre la Martinique… où il sera revendu !

“Hier, 1er juin 2010 à minuit, il a été officiellement mis fin à la mission TERRE-OCEAN du Grenelle de la Mer effectuée par le trois-mâts d’exploration La Boudeuse, capitaine Patrice Franceschi“ annonce l’équipage (scientifiques de tous bords, marins, écrivains, philosophes, médecins, écrivains, mécaniciens, scaphandriers…) sur leur site internet. La Boudeuse, c’est un fameux trois-mâts qui devait parcourir durant deux ans les mers du monde de l’Amérique du Sud à l’Océan Pacifique.
On ne peut qu’imagine leur déception à l’annonce de cette décision…
Ils expliquent que “ cette décision intervient au vu de l’épuisement définitif de tout financement public ou privé pour la poursuite de la mission.“ En particulier, “l’endettement immédiatement exigible avoisine les 400 000 euros“, notait le capitaine dans son journal de bord, en ajoutant que “les mathématiques comptables, inexorables et implacables dans leur rude froideur, ont fini par nous rattraper et nous imposer leur joug. Mettre fin à la mission et vendre le navire n’est donc pas, d’une certaine manière, un choix mais une conséquence.“ Car pour mettre fin à ces dettes contractées, le bateau va être vendu en Martinique pour la somme de 2 millions d’euros.
L’aventurier explique notamment que le ministère de l’Ecologie lui avait promis 500 000 euros en janvier dernier mais que rien n’est arrivé. Du côté du ministère, qui “regrette sincèrement l’arrêt de cette mission“, on assure qu’“aucune demande de subvention n’a été faite…“.Emeline DufourSource : Le site de la mission Terre-Océan/Europe1.fr

Secourisme : 5 propositions de l'Académie de Médecine

Dans un rapport adopté fin juin, l’Académie de médecine plaide pour le développement du secourisme en France. Dressant un état des lieux contrasté de ce qu’elle estime une démarche citoyenne, elle émet plusieurs propositions susceptibles de faire progresser la formation des citoyens aux gestes de premiers secours.

Pour Henri Julien, médecin et auteur du rapport, “la diffusion et le développement du secourisme en France ne paraissent pas au niveau attendu pour un pays avancé“. Seuls 40 % des Français seraient initiés au secourisme, contre 80 % des citoyens allemands. La faute à un manque d’impulsion politique, souligne l’auteur pour lequel “le secourisme doit devenir une cause nationale“.Avec ses collaborateurs, il émet une série de propositions visant à une meilleure diffusion du secourisme en France : – Mieux définir le secourismeIl suggère en particulier de donner une définition générique à ce terme, qui serait “l’ensemble des gestes de secours reconnus destinés, en situation d’urgence, à préserver l’intégrité physique et psychique d’une victime d’accident ou de maladie, notamment en attendant l’arrivée des secours organisés“ – Mieux protéger le secouriste bénévolePrenant l’exemple du Québec, où il existe une loi exonérant le témoin bénévole pratiquant les gestes de premiers secours de toute poursuite civile ou pénale, les auteurs proposent de s’en inspirer pour la reformuler ainsi : “Toute personne qui porte secours à autrui dans le cadre de l’article 122-7 du code pénal est exonérée de toute responsabilité pour le préjudice qui peut en résulter, à moins que ce préjudice ne soit dû à sa faute intentionnelle ou à sa faute lourde. Cette disposition ne s’applique pas aux personnels de sécurité, de santé ou de secours dans le cadre de l’exercice de leurs professions ainsi qu’à toute autre personne rétribuée pour cette action ou agissant dans le cadre de ses missions“. – Renforcer le pilotage du secourisme en FranceLes auteurs déplorent par ailleurs “l’absence d’un véritable projet“ politique concernant le secourisme, qui dépend de multiples tutelles (Santé, Intérieur, Jeunesse et Sport, Éducation nationale, etc.). Ils suggèrent par conséquent de mettre en place une structure de l’État assurant à la fois l’harmonisation et la coordination des actions interministérielles, la promotion du secourisme, son suivi, tout en favorisant les recherches et les publications dans le domaine. – Généraliser l’obligation de formationA l’image de ce qui se fait dans beaucoup d’autres pays, les membres de l’Académie de médecine souhaitent que le caractère obligatoire de la formation aux premiers secours soit renforcé, et qu’un “parcours civique secouriste“ jalonne la vie des Français : ils suggèrent ainsi un apprentissage des gestes de premier secours à l’école, avec un approfondissement de cet enseignement lors de la Journée d’appel de Préparation à la Défense (JAPD). L’examen du permis de conduire serait l’occasion d’apprendre les gestes à effectuer lors d’un accident de la route, tandis qu’un module pédiatrique pourrait être enseigné lors de la préparation à l’accouchement. La pratique d’un sport à risque, l’insertion dans le monde du travail ou encore le départ à la retraite pourraient être le cadre de modules spécifiques, adaptés à la situation. – Financer le coût de la formationPour les auteurs du rapport, “le coût de la formation volontaire est un frein à la diffusion du secourisme“. Ils plaident donc pour la généralisation de sa gratuité, ou, pour le moins, l’instauration d’une aide pour les personnes défavorisées. Ils jugent par ailleurs la formation trop longue et suggèrent de faire appel à des procédés pédagogiques modernes qui diminueraient le temps de l’enseignement.Les membres de l’Académie de médecine estiment par ailleurs que les secouristes professionnels devraient avoir accès à des matériels modernes, comme les appareils automatisés de mesure de la glycémie ou les dispositifs de maintien de la liberté des voies aériennes. Ils demandent aussi à ce qu’ils puissent utiliser trois médicaments d’urgence : l’adrénaline injectable en sous-cutanée en cas de choc anaphylactique, la

Trinidrine spray pour soulager une douleur coronarienne, et enfin la

Ventoline ® pour traiter une crise d’asthme.Amélie PelletierSource: Rapport “Secourisme en France. Panorama et perspectives“, Académie de Médecine, 29 juin 2010,

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Kate Moss et TopShop, c'est fini !

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Après 14 collections, Kate Moss arrête sa collaboration avec l’enseigne britannique TopShop. Les mauvaises langues diront que c’est parce que la brindille ne faisait plus recette. Le fondateur de la marque, Philip Green, explique lui, que “le partenariat est naturellement arrivé à sa fin“. La fille du PDG est pressentie pour prendre la relève. Mais pas de querelle de succession pour le moment. L’heure était à la fête, lundi 1 er novembre, lors du lancement de l’ultime collection.Lundi soir, Kate Moss lançait sa dernière collection pour TopShop, dans la boutique d’Oxford Circus. Cette collection automne/hiver 2010 est la dernière d’un partenariat prolifique qui a donné naissance à 14 autres. Et pour clôturer cette belle histoire comme il se doit, 3 autres lignes supplémentaires ont été lancées simultanément :
– Kate Iconic, une ligne de vêtements qui reprend les 10 pièces best-seller de ces 14 dernières collections ;
– 1 in 50, une ligne d’accessoires ;
– une collection de bijoux d’inspiration vintage.Pourquoi vouloir mettre fin à une collaboration qui a connu un gros succès à son lancement ? Le succès s’est-il émoussé avec le temps ? Loin des considérations financières, le PDG de TopShop a expliqué au Women’s Wear Daily que “cette collaboration nous demande énormément de travail et Kate a envie de faire autre chose, tout comme moi. Mais notre relation est plus forte que jamais.“

Lors de ce lancement, Kate Moss arborait une nouvelle frange qui n’aura échappé à personne. La brindille a confié à une journaliste du

Telegraph qu’elle s’ennuyait un soir au point de se couper la frange avec des ciseaux de cuisine. En plus d’avoir du mal à imaginer le top sulfureux en train de s’ennuyer dans sa cuisine, on peut s’étonner de la perfection de cette frange… En plus de ses qualités de business woman, Kate Moss aurait-elle des talents de coiffeuse ?La collection est en vente en ligne sur le site

Topshop.com.Juliette RobinSources :

www.wwd.com

www.topshop.comPhoto : © SipaClick Here: Cheap France Rugby Jersey

Narcotiques Anonymes lance sa 1ère campagne de communication

L’association Narcotiques Anonymes lance une campagne jusqu’à fin janvier pour aider les personnes qui souffrent de problèmes d’addiction aux produits “modifiant le comportement“, dont l’alcool, les médicaments ou les drogues. Cette campagne nationale, aussi bien diffusée sur des chaînes télévisées qu’en radio ou dans la presse écrite, vise également à mieux faire connaître le rôle de l’association auprès du grand public.

Par l’intermédiaire de ce dispositif d’information, l’association souhaite faire connaître son existence et son action pour permettre aux personnes qui présentent différents problèmes d’

addiction de trouver facilement de l’aide.Narcotiques Anonymes organise chaque année une cinquantaine de réunions à Paris et une cinquantaine en province. Fonctionnant sur le modèle des Alcooliques Anonymes, cette association accueille toute personne dépendante pour “l’aider à traverser chaque journée“. “Un dépendant seul est en très mauvaise compagnie, a l’habitude de dire Katia, bénévole à NA. Assister aux réunions permet de relativiser et de partager sa souffrance avec des personnes capables de la comprendre“.La campagne est notamment déclinée en un film publicitaire mettant en avant trois “situations dramatiques“ basées sur la consommation de drogue, d’alcool, ou de médicaments. Les téléspectateurs peuvent ainsi découvrir les potentielles issues d’une telle consommation, à savoir la prison, l’hôpital ou la morgue.Le film, les spots diffusés en radio et les annonces publicitaires mettent également l’accent sur le numéro vert de l’association (0 800 88 12 88) qui permet au public dépendant de prendre contact avec Narcotiques Anonymes pour obtenir de l’aide ou des informations.Les internautes peuvent, quant à eux, se rendre sur le

site internet dédié à l’association pour obtenir des renseignements et découvrir la liste des réunions organisées.Amélie Pelletier avec RelaxnewsSourcesCommuniqué de presse de

Narcotiques AnonymesClick Here: West Coast Eagles Guernsey

Médicaments dangereux : le Pr Maraninchi, directeur de l'Agence du médicament, réagit

Alors que vient de paraître un ouvrage polémique dénonçant l’inutilité voire la dangerosité d’un certains nombres de médicaments qui emplissent nos armoires à pharmacie, le PrDominique Maraninchi, directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des médicaments(ANSM, ex-Afssaps), défend avec vigueur le travail de cette agence sanitaire dont “l’objectif principal est la sécurité du patient“.

Dominique Maraninchi, directeur général de l'ANSM, se veut rassurant quant à la sécurité et l'utilité des médicaments disponibles en France.

Philippe Even, ancien doyen de la faculté de médecine et Paris et président de l’Institut Necker, et Bernard Debré, urologue et député UMP de Paris, n’y vont pas par quatre chemins : dans “

Le Guide des médicaments utiles, inutiles et dangereux“ qu’ils viennent de publier aux éditions du Cherche Midi, sur les 20 000 médicaments examinés, 50 % seraient inutiles, 20 % mal tolérés et, surtout, 5 % dangereux, affirment-ils. Dénonçant à la fois l’art de la manipulation dont fait preuve l’industrie pharmaceutique (“la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries“), et son génie pour inventer des maladies et créer de nouveaux marchés, mais aussi la bienveillance voire la complicité des agences sanitaires qui participent à la mise sur le marché des produits, les deux co-auteurs jettent un nouveau pavé dans la mare en remettant en cause le système du médicament français, lequel avait déjà fait l’objet de toutes les critiques en 2009 lors de

l’affaire du Mediator.“Des dizaines de médicaments n’ont aucune efficacité notable et comportent des risques majeurs“, assure ainsi le Pr Even dans une interview accordée à nos confrères du Nouvel Observateur¹. Il dénonce notamment les stratégies des “laboratoires [qui], avec l’appui de nombreux spécialistes complices, ont multiplié les traitements préventifs donnés pendant dix à trente ans à des gens sains pour prévenir des pathologies qu’ils n’auront jamais“. Et le Pr Even de citer les

statines, indiquées dans le traitement de l’

hypercholestérolémie, qui, selon lui, n’ont pas fait preuve de leur efficacité en prévention primaire, autrement dit chez des personnes qui n’ont pas encore fait d’

événement cardiovasculaire.Le directeur de l’ANSM veut rassurer les patientsPlutôt que de répondre aux critiques émises dans ce livre, le Pr Dominique Maraninchi², directeur général de l’ANSM, préfère rappeler l’important travail réalisé depuis deux ans pour garantir aux patients la sécurité qui leur est due. Réaffirmant l’indépendance de l’expertise scientifique au sein de l’ANSM, le Pr Maraninchi rappelle que cette agence intervient aussi bien en amont qu’en aval de la mise sur le marché des médicaments. “Notre travail se fait en plusieurs étapes qui concernent toute

la vie d’un produit : l’agence donne un avis scientifique indépendant auprès des firmes qui souhaitent développer des produits de santé ; c’est elle qui délivre l’autorisation de réaliser des

essais cliniques ; et c’est elle qui intervient dans l’évaluation des médicaments soumis à enregistrement“. À l’issue de ces phases longues, l’agence statue sur l’autorisation de mise sur le marché du produit, en fonction de ses indications.Les médicaments peuvent être comparés à une autre molécule qui existe déjà dans la même indication, mais cela se fait à la demande du laboratoire, lequel choisit le produit auquel il veut être comparé. L’ANSM peut, à ce moment-là, refuser cette demande. L’agence, de son côté, assure une comparaison continue des médicaments par rapport aux recommandations de prise en charge d’une pathologie, toujours dans le souci de garantir la sécurité optimale aux patients.Les alternatives thérapeutiques sont indispensables

Alors que les Prs Even et Debré s’insurgent contre la multiplicité des produits similaires indiqués dans une même pathologie, le directeur général de l’ANSM défend l’idée qu’il existe plusieurs produits pour une même indication. “Il est extrêmement important pour les patients qu’il existe des alternatives thérapeutiques“, notamment en cas d’intolérance ou de mauvaise tolérance à certains médicaments. Autre argument avancé par le Pr Maraninchi pour défendre la diversité thérapeutique : “Si une firme s’arrête de produire un médicament, il est indispensable que d’autres fabriquent des molécules concurrentes“.S’il dénonce en termes à peine voilés “un ouvrage littéraire et non scientifique“, le Pr Maraninchi reconnaît toutefois que certains des points soulevés par les auteurs de l’ouvrage méritent de l’être : ainsi en est-il de la trop forte consommation des médicaments en France. Pour y remédier, l’ANSM “investit dans une juste prescription“. Comprendre : l’agence sanitaire vérifie les indications des médicaments ; aux prescripteurs ensuite de rester dans ce cadre et de ne pas délivrer des ordonnances à tour de bras, hors AMM…Pour une évaluation permanente des médicamentsLe directeur général de l’ANSM soutient également l’idée d’une évaluation permanente des bénéfices et des risques des produits sur le marché. Celle-ci est, selon lui, beaucoup plus active depuis la réforme du système du médicament fin 2011 et “la directive européenne de pharmacovigilance [qui] donne, depuis juillet 2012, le pouvoir juridique à l’ANSM d’exercer cette pharmacovigilance en vie réelle“. “On fait du réactif mais surtout on a une démarche proactive qui consiste à aller évaluer les bénéfices et les risques d’un médicament sans consulter les firmes“, grâce à des moyens autonomes et une expertise interne indépendante, assure Dominique Maraninchi. Certaines molécules sont ainsi dans le viseur de l’ANSM : les

anti-inflammatoires, pour leurs effets secondaires cardiovasculaires, les

antimigraineux, les

benzodiazépines ou encore les

anticancéreux. La réponse de l’agence sera adaptée à la réévaluation du rapport bénéfices/risques, assure son directeur général.Pointées du doigt par les auteurs du livre, les statines “sont bénéfiques pour la population cible“,  affirme Dominique Maraninchi. “L’

athérome et les complications de l’

athérosclérose ont une morbidité et une mortalité importantes. Lutter contre ces complications est efficace. Or, le lien entre

cholestérol et complications d’athérosclérose a été clairement établi“, explique-t-il  pour mettre fin au débat sur l’intérêt des statines. Quant aux pilules, et plus particulièrement les

pilules de 4ème génération, le directeur général de l’ANSM estime que l’existence d’un grand nombre de

pilules constitue “un bien pour de nombreuses femmes“. “Il est important qu’elles aient accès à la diversité“, poursuit-il, arguant que “certaines associations hormonales ne conviennent pas à certaines femmes“. Il souligne en revanche que “les nouvelles pilules ne sont pas forcément mieux“ contrairement à ce que pourrait le laisser croire le terme “génération“ appliquée aux contraceptifs oraux. Il reconnaît d’ailleurs qu’“en France, il y a une sur-utilisation des produits les plus nouveaux par rapport aux anciens“. La faute à qui ? Là encore, le Pr Maraninchi préfère ne pas se prononcer et laisse ainsi à chacun le soin d’établir la part de responsabilité des différents intervenants.Amélie PelletierSources
1. Le guide des médicaments utiles, inutiles… ou dangereux – Le nouvel observateur (

consultable en ligne).
2. Interview du Pr Dominique Maraninchi, directeur générale de l’ANSM, lundi 17 septembre 2012.
Philippe Even (Crédit photo: BALTEL/SIPA)
Dominique Maraninchi (Crédit photo: DURAND/SIPA)Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Jessica Chastain sera Lady Di

Jessica Chastain devrait jouer le role de Lady Di dans “Caught in flight”, un film de Oliver Hirschbiegel autour de la relation entre la Princesse et le chirurgien pakistanais Hasnat Khan.

A l’heure des bilans, Jessica Chastain s’imposera comme une des éclatantes révélations de l’année. Vue dans The Tree of Life et L’ Affaire Rachel Singer, mais aussi à Cannes dans Take Shelter et à Venise dans le dernier film d’Al Pacino, elle est actuellement à l’affiche de La Couleur des sentiments, en attendant la sortie, le mois prochain, de Killing Fields, et le tournage d’Horizons aux côtés de Tom Cruise. Preuve supplémentaire qu’elle est une actrice en vue : Jessica Chastain devrait elle aussi avoir droit à son biopic… Le blog Thompson on Hollywood relaie une information issue du American Film Market (qui se tient jusqu’au 9 novembre à Los Angeles) : l’actrice a été choisie pour jouer le rôle de Lady Diana dans Caught In Flight de l’Allemand Oliver Hirschbiegel (La Chute, Invasion, la série Borgia…). Ecrit par Stephen Jeffreys (Rochester), le film est centré sur la liaison secrète de la Princesse avec le chirurgien pakistanais Hasnat Khan. Caught In Flight pourrait entrer en phase de tournage au printemps prochain, sur plusieurs territoires, notamment le Pakistan, l’Angola, Paris et le sud de la France. A noter qu’aucun des deux biopics annoncés il y a un an (l’un avec Keira Knightley, l’autre avec Charlize Theron) n’a encore vu le jour.

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JD