Vaccin Grippe A : un cinquième cas grave d'effet indésirable

Aujourd’hui, l’Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) fait part d’un nouveau cas grave d’effet indésirable chez une femme enceinte, suite à la vaccination anti-grippe A. Celui-ci vient s’ajouter aux

quatre autres déjà relevés en début de semaine.Du 21 octobre au 15 novembre, plus de 200 000 personnes ont reçu le vaccin contre la grippe H1N1 Pandemrix. L’Afssaps a eu connaissance de 107 effets indésirables, uniquement chez des personnels de santé. Dans 95,3 % des cas, il s’agit de réactions d’intensité bénigne à modérée. Des réactions qui étaient par ailleurs attendues : douleur au point d’injection, maux de tête, fatigue ou encore fièvre. Néanmoins, cinq cas graves d’effets indésirables ont nécessité une hospitalisation. Aux quatre cas rapportés lundi, s’ajoute celui d’une femme enceinte de 38 semaines qui a perdu son bébé. Elle avait reçu le vaccin, car elle était professionnelle de santé. “Deux jours après s’être fait vaccinée, la jeune femme a ressenti de fortes contractions. Arrivée à l’hôpital, les médecins se sont rendu compte que le coeur du foetus ne battait plus“ a indiqué Jean Marimbert, directeur de l’Afssaps. “Aujourd’hui, aucune donnée ne permet de lier le vaccin à cet événement dramatique“ précise-t-il. En effet, toute la difficulté réside dans l’analyse de la causalité.D’ailleurs, des investigations sont encore en cours pour les quatre cas graves précédents. “L’évolution est positive pour ces quatre personnes qui sont rentrées chez elles“, précise Jean Marimbert. Sarah LaînéSource :Suivi de pharmacovigilance des vaccins grippaux A(H1N1), Afsaps – 19 novembre 2009Click Here: cheap Cowboys jersey

Grippe A : découverte d'une protéine naturelle qui bloque le virus H1N1

Le 17 décembre 2009, des chercheurs américains du Howard Hughes Medical Institute ont dévoilé une découverte prometteuse. “IFITM3“, c’est le nom, d’une protéine humaine qui inhibe la prolifération du virus H1N1. Cette protéine préviendrait également les infections dues aux virus du Nil occidental et de la dengue. En étudiant des cellules humaines, les scientifiques ont isolé une protéine produite naturellement par l’organisme. La production de cette protéine est augmentée en cas d’infection par la grippe H1N1. Sa fonction était jusque là inconnue, mais les chercheurs ont découvert qu’elle est en fait un puissant antiviral naturel car elle bloque la multiplication du virus de la grippe A, et de certains autres virus.  

Les auteurs de l’étude expliquent qu’ils ont comparé deux échantillons de cellules de poulets infectés par le virus de la grippe A. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, l’infection est massive en absence de la protéine (à gauche), et quasi nulle quand la protéine est présente (à droite). Pourtant, une même quantité de virus H1N1 a été ajoutée aux deux échantillons. Le virus se multiplie donc 5 à 10 fois moins quand il est en présence de grandes quantités de protéines antivirales. “Cette découverte inattendue pourrait conduire au développement de médicaments antiviraux plus efficaces qui pourraient être utilisés de façon prophylactique afin de réduire la transmission du virus“, espèrent les chercheurs. Le seul frein à cette étude encourageante reste la tolérance de l’organisme à cette protéine, qui n’est produite en temps normal qu’en petite quantité. “Nous ignorons pour l’instant si la surproduction de ces protéines est sans danger pour la santé“, indiquent les auteurs. D’autres travaux sont donc nécessaires pour étudier ses effets à long terme. Par ailleurs, cette étude pourrait expliquer pourquoi des patients en bonne santé ont connu des complications graves de la grippe H1N1. Ces personnes pourraient présenter une anomalie génétique qui ne leur permet pas de produire cette protéine antivirale. Sarah LaînéSource :Researchers Find Human Protein that Prevents H1N1 Influenza Infection, HHMI – 17 décembre 2009Click Here: cheap all stars rugby jersey

Vers une prise en charge simplifiée des thromboses

Très fréquentes, les thromboses veineuses se caractérisent par l’obstruction d’un vaisseau sanguin par un caillot. Ces événements sont à l’origine de très nombreux décès. Face à ce risque, le traitement devrait évoluer vers une prise en charge simplifiée.

Lors du congrès 2009 de l’Association américaine d’Hématologie, plusieurs études sur les maladies thromboemboliques ont été remarquées. Certains médicaments pourraient rapidement changer la prise en charge, vers plus de confort et moins d’effets secondaires.
Les maladies thromboemboliques : un fléau méconnu
La formation de caillot, ou coagulation est un processus important qui prévient les saignements excessifs quand un vaisseau est atteint. Mais quelquefois, des caillots (thrombus) se forment à l’intérieur des vaisseaux et ne se dissolve pas naturellement, entraînant des situations potentiellement fatales. La thromboembolie veineuse (TEV ou maladie thromboembolique veineuse) englobe la thrombose veineuse profonde (TVP) ou phlébite, dont la complication majeure est l’embolie pulmonaire, potentiellement mortelle. A l’échelle de la planète, c’est le troisième trouble cardiovasculaire (après la coronaropathie et l’accident vasculaire cérébral).
“Au niveau mondial, les maladies thromboemboliques font plus de morts que le sida, le cancer du sein, le cancer de la prostate et les accidents de la route réunis“ précise le Pr. Harry Büller, professeur de médecine au département de médecine vasculaire de l’Academic Medical Center d’Amsterdam. En France, l’incidence annuelle de ces maladies thromboemboliques est de l’ordre de 50 à 100 000 cas, responsables de 5 à 10 000 décès (1). Cette estimation constitue sans doute une évaluation basse. De plus, ces maladies peuvent entraîner certaines complications sur le long terme (2 et 3).
Thromboembolie veineuse : les limites des AVK
Ces maladies thromboemboliques veineuses sont prises en charge par des traitements anticoagulants, comme des anti-vitamines K, durant une période de 6 à 12 mois. Au-delà, la poursuite du traitement reste l’objet de débat. Mais ces anti-vitamines K, comme la warfarine nécessite un suivi très strict : les doses nécessaires pour obtenir l’effet désiré varient d’une personne à l’autre et nécessitent des tests sanguins réguliers appelés le temps de prothrombine. De plus, il existe un très grand nombre d’interactions médicamenteuses avec ces produits. L’alimentation peut également modifier l’action de ces médicaments (diète, prise d’alcool…). Enfin, sur le long terme, les effets secondaires sont plus importants, notamment le risque hémorragique. Un nouvel anticoagulant oral efficace et sûr non soumis aux limitations des anti-vitamines K s’avère donc nécessaire et plusieurs études plaident désormais en faveur de nouveau composés.
De nouveaux anticoagulants, plus sûrs et aussi efficaces
Un nouvel anticoagulant, le dabigatran etexilate, vendu par le laboratoire Boehringer sous le nom de Pradaxa®, a l’avantage d’être un composé oral à action spécifique. Cet inhibiteur réversible direct de la thrombine va bloquer spécifiquement et sélectivement l’activité de la thrombine, qui joue un rôle central dans le processus de formation d’un caillot (thrombus) : la conversion du fibrinogène en fibrine. Lors du congrès européen de cardiologie, des résultats avaient démontré sa supériorité par rapport à la warfarine pour la prévention de l’accident vasculaire cérébral secondaire à une fibrillation auriculaire (4).
Mais ce nouveau composé est-il aussi efficace dans la prévention des maladies thromboemboliques ? La réponse a été présentée lors du congrès 2009 de l’association américaine d’hématologie (ASH) (5) et a donné lieu à une publication dans la prestigieuse revue The New England Journal of Medicine (6). Un large essai en double aveugle (ni le patient ni le prescripteur ne connaît son médicament) impliquant 2 539 patients a permis de montrer qu’un traitement de 6 mois par warfarine ou dabigatran etexilate étaient identiques tant en terme d’efficacité qu’en terme de toxicité. Mais si dans le cadre d’études cliniques, l’utilisation de la warfarine est très bien contrôlée, c’est plus difficile dans la pratique clinique, ce qui majore le risque de thrombose ou à l’inverse de saignement. De plus, ce nouveau médicament ne nécessite pas de suivi particulier, ni d’ajustement de doses et comporte moins de risque d’interactions médicamenteuses. “Nous sommes très contents de ces résultats et pensons qu’ils vont changer les pratiques de prise en charge des maladies thromboemboliques veineuses, qui affecte un très grand nombre de patients“ déclare ainsi le principal auteur de cette étude le Pr. Sam Schulman. Le dabigatran etexilate pourrait s’avérer utile pour plus de patients et pourrait demain remplacer la warfarine comme traitement de référence.
D’autres anticoagulants sont sur les rangs. Ainsi, toujours lors du congrès 2009 de l’ASH, un autre médicament a montré des résultats intéressants. Le rivaroxaban, développé par les laboratoires Bayer, agit en inhibant le facteur Xa (un des facteurs de la coagulation). Il a été comparé à un placebo chez 1 197 patients déjà traités pendant 6 mois par un anticoagulant classique après un premier accident thromboembolique (phlébite, embolie pulmonaire par exemple), afin d’observer s’il diminuait le risque de récidive.
Résultat : par rapport aux patients ne recevant pas de traitement (groupe placebo), les patients sous rivaroxaban ont connu une réduction du risque de récidive de thrombose veineuse de 82 % (8 contre 42 patients). Quatre saignements majeurs sont apparus chez les patients traités mais aucun n’a été fatal ou ne s’est produit dans un organe critique. “Un composé Rivaroxaban de 20 mg, une fois par jour, offre aux cliniciens et aux patients une option simple si le traitement anticoagulant continu est indiqué“ déclare le Pr. Harry R. Buller de l’Academic Medical Center d’Amsterdam.
L’arrivée imminente de ces composés dans le traitement ou la prévention des récidives des maladies thromboemboliques devraient changer la prise en charge. Il restera ensuite aux cliniciens à choisir entre les différents médicaments désormais à leur disposition.
David Bême
1 – Maladie thrombo-embolique veineuse (135) – Corpus Médical de la Faculté de Médecine de Grenoble2 – Arch Intern Med 2000;160:769-74.3 – Blood Rev 2002;16:155-65.4 – Connolly S, Ezekowitz D, Yusuf S, et al. Dabigatran versus warfarin in patients with atrial fibrillation. N Eng J Med 2009;361:1139-51.5 – Congrès de l’American Association of Hematology (ASH) – abstract n°1 – 6 décembre 20096 – Schulman S, Kearon C, Kakkar AK, et al. Dabigatran etexilate versus warfarin in the treatment of acute venous thromboembolism. N Engl J Med 2009;361. Publié en ligne le 6 décembre 2009

Jennifer Aniston cherche un nom pour son parfum

On ne compte plus le nombre de célébrités qui ont lancé leur parfum. Nous ne serons donc pas étonné(e)s d’apprendre que Miss Aniston a décidé elle aussi de se jeter dans l’aventure olfactive. Mais si le lancement est imminent, l’ex-Madame Pitt n’a toujours pas choisi le nom qu’elle souhaitait donner à son parfum. Le mystère reste entier.

A 41 ans et avec une plastique de rêve, Jennifer Aniston fait son entrée dans l’univers de la beauté. L’actrice va bientôt commercialiser un parfum. Et selon le magazine américain OK ! cela fait 20 mois qu’elle y travaille, dans le plus grand secret.Mais à quelques semaines du lancement, il semblerait que la star planche encore sur le nom de sa fragrance et qu’elle ait du mal à se mettre d’accord avec les responsables de la publicité. Elle souhaiterait donner son nom à son parfum, mais comme Aniston ne convainc pas vraiment tout le monde, le mot Echo a été évoqué… pour être mieux rejeté. Car ce futur parfum devra “capturer l’idée d’amour et de liberté à n’importe quel âge, ce qui est difficile à réaliser en un seul mot“ explique une source proche d’Aniston, au magazine OK !.Si le nom n’est toujours pas trouvé, ce qui est sûr c’est que l’actrice a l’intention de “faire une campagne de pubs télé très glamour“ pour lancer sa fragrance.Jessica XavierSource : OK !, mars 2010© ADMEDIA/SIPAClick Here: st kilda saints guernsey 2019

Contraception : Nouvelle campagne décalée en direction des jeunes

Le 8 avril, une nouvelle campagne de communication sur la contraception est lancée par les autorités sanitaires. Destinée aux adolescents, filles et garçons, elle vise à sensibiliser sur les risques et les conséquences d’une grossesse non désirée survenue trop tôt.Près d’une femme sur cinq déclare déjà avoir eu recours à l’interruption volontaire de grossesse au cours de sa vie. Cette proportion s’élève à 6,3 % chez les 15-19 ans. Parmi les jeunes filles qui ont eu recours à l’IVG en 2007, 30 % déclaraient ne pas avoir utilisé de contraception dans le mois de survenue de la grossesse. L’absence de méthode contraceptive concerne tout particulièrement les plus jeunes, les moins diplômées ou encore les femmes au chômage. Ces données mettent en évidence à la fois un problème d’information et d’accès à la contraception mais aussi un problème de reconnaissance sociale de la sexualité de certaines femmes, les jeunes en particulier, qui retardent leur entrée dans une démarche contraceptive efficace.

Hommes enceintes : L’accouchement
envoyé par

Inpes. –

Regardez les dernières vidéos d’actu.D’un point de vue créatif, cette campagne s’inscrit dans la continuité de celle menée en septembre 2009. L’accent est mis sur l’implication des hommes car la question de la contraception concerne le couple et pas uniquement la femme. En effet, les recommandations émises par la HAS, l’Afssaps et l’Inpes auprès des professionnels de santé rappellent que le fait que la femme et l’homme soient impliqués dans le choix du contraceptif représente un enjeu capital pour l’efficacité de la méthode contraceptive.

Au total, quatre films diffusés sur des sites en affinité avec les 13-19 ans avec pour signature : “Faut-il que les garçons soient enceintes pour que la contraception nous concerne tous ?“ et deux spots radios seront diffusés. Tous renvoient vers une page Internet dédiée intitulée “Trop tôt pour avoir un bébé“ sur le site

www.choisirsacontraception.Luc BlanchotSource : Communiqué de l’INPES – 8 avril 2010Dessin : INPES
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Un synopsis pour le film sans titre de Terrence Malick

Où l’on en apprend un peu plus sur le fameux film sans titre de Terrence Malick avec Ben Affleck et Rachel McAdams, actuellement en cours de montage…

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En langage médiatique on parle parfois de séquences : disons qu’on est dans une mini-séquence Terrence Malick ces derniers jours, puisqu’après l’annonce de ses deux projets pour 2012 (voir l’article), voici qu’on en apprend un peu plus sur son film sans titre actuellement en post-production, et un temps intitulé The Burial. Alors que FilmNation Entertainment, la société chargée de la vente des droits du film, a commencé à présenter dans la plus grande confidentialité quelques images et un scénario aux distributeurs, une source anonyme ayant lu ce dernier (sachant que sur un tournage Malick peut bouleverser une scène selon l’inspiration du jour…) permet au Los Angeles Times de sortir quelques infos sur la trame du film, qui reposerait sur un triangle amoureux, avec un « sujet international sous-jacent », le tout entièrement situé dans un contexte contemporain – contrairement à l’usage malickien. Quelques distributeurs américains auraient par ailleurs, sur la seule foi de quelques images et du script, formulé des offres… que le réalisateur aurait pour l’instant déclinées.

L’histoire du film serait donc celle d’un coureur de jupons (Ben Affleck), lequel, se sentant désoeuvré, voyage à Paris, où il entame une liaison avec une “femme européenne” (Olga Kurylenko) – expression qui doit probablement signifier quelque chose de précis pour un Américain mais qui reste assez vague ici. Ce personnage revient ensuite en Oklahoma et épouse sa conquête (en partie pour des questions de visa). Quand leur relation commence à battre de l’aile, il renoue une idylle avec une jeune fille du coin (Rachel McAdams), avec laquelle il a eu une longue histoire.

Toujours selon l’une des sources du Los Angeles Times, le film pencherait un peu plus vers le happy end qu’à l’accoutumée, et comporterait quelques personnages secondaires « intrigants », tel celui de Javier Bardem, un prêtre auprès duquel Ben Affleck vient chercher conseil. Bref, réponse en salles… en 2012 ? 2013 ?

A.G.

Les grossesses après 30 ans protègent contre le cancer de l'endomètre

Être mère à 40 ans aurait aussi des vertus ! Constamment mises en garde contre les risques d’une maternité tardive, les femmes qui ont un enfant alors qu’elles ont depuis longtemps soufflé leurs 20bougies auraient un risque de cancer de l’endomètre bien moindre que leurs benjamines, affirment les auteurs d’une étude publiée dans l’American Journal of Epidemiology.

Le risque de cancer de l'endomètre serait réduit de 44% chez les femmes qui ont mené une grossesse après 40 ans.

Le

cancer de l’endomètre, qui affecte le corps de l’utérus, est en augmentation ; il frappe aujourd’hui près de 5 000 femmes par an. On estime que 1 800 en décèdent chaque année. 
Survenant après la 

ménopause, ce cancer serait favorisé par la prise d’estrogènes (dans le cadre de 

traitement hormonaux de substitution), certains médicaments 

d’hormonothérapie contre le 

cancer du sein notamment (mais le bénéfice de ces traitements reste largement supérieurs aux risques), la surcharge pondérale et les maladies associées (

obésité, 

diabète, 

hypertension…). On distingue deux types de cancer de l’endomètre : 
– le cancer de l’endomètre de type 1, le plus fréquent, qui serait liée à l’exposition aux estrogènes
– le cancer de l’endomètre de type 2, le plus rare mais aussi le plus agressif, qui, lui, serait indépendant de l’imprégnation hormonale.Si la

maternité tardive a déjà été associée à un moindre risque de cancer de l’endomètre, les médecins manquaient néanmoins de données objectives issues d’études suffisamment larges. Les travaux réalisés par Veronica Setiawan, doctorante en médecine préventive à l’école de médecine Keck de l’Université de Californie du Sud, ont porté sur 4 cohortes et 13 études, soit un total de 25 233 femmes dont 8 671 souffrant d’un cancer de l’endomètre. Et les résultats confirment le lien. En effet, comparées aux femmes dont la dernière

grossesse remontait à leurs 25 ans, celles qui avaient eu leur dernier enfant entre 30 et 34 ans avaient un risque de cancer de l’endomètre réduit de 17 % ; pour celles qui avaient accouché entre 35 et 39 ans, ce risque était réduit de 32 % ; et pour celles qui devenaient mères passé 40 ans, il l’était de 44 %.“L’âge tardif lors de la dernière maternité est un facteur protecteur contre le cancer de l’endomètre, même après la prise en compte des facteurs connus pour leur capacité à influencer la maladie“, conclut l’auteur. Et cette dernière d’ajouter que l’effet protecteur conféré par une maternité tardive semble se prolonger dans le temps et ne pas varier en fonction du type de cancer de l’endomètre.
Des travaux doivent à présent être approfondis pour comprendre pourquoi l’âge tardif de la dernière maternité protège contre le risque de cancer de l’endomètre. Plusieurs mécanismes potentiels ont déjà été évoqués par le passé, rappelle Veronica Setiawan :
– les femmes capables d’être enceintes à un âge avancé auraient un endomètre d’excellente “qualité“ ou auraient moins de cycles menstruels sans ovulation ;
– une exposition prolongée à la

progestérone au cours de la grossesse serait particulièrement bénéfique à un âge avancé, au moment où le cancer de l’endomètre se développe ;
– les cellules malignes ou pré-malignes de l’endomètre, qui se développent à un certain âge, seraient éliminées pendant la grossesse.Pour l’auteur, “cette étude met en évidence un facteur protecteur important du cancer de l’endomètre, et lorsque l’on connaîtra les mécanismes exacts sous-jacents, cela nous aidera à mieux comprendre comment se développe le cancer de l’endomètre et ainsi à mieux le prévenir“.Amélie Pelletier
Source
 Age at last birth in relation to risk of endometrial cancer: pooled analysis in the approximately 13 percentage points for each five-year delay in last births“, American Journal of Epidemiology (résumé en ligne sur le

site de la revue et sur le

site de l’école Keck de l’Université de Californie du Sud)

Man Utd to seal £20m transfer thanks to ‘secret agent’ Giggs

Man Utd will look to complete a deal for Swansea defender Joe Rodon this summer thanks to advice from Ryan Giggs, according to reports.

The centre-back had a breakthrough season for the Swans last term, following their relegation to the Championship, and he’s built on that this campaign with 21 appearances.

His impressive displays for Swansea have now reportedly alerted a number of clubs and the Daily Mirror claims that Man Utd ‘plan on sealing a £20m move’ for Rodon.


FEATURE: Five Prem loanees who finished above their parent clubs


A number of defenders are expected to leave Old Trafford this summer with the likes of Chris Smalling – who has been on loan at Roma – Phil Jones and Marcos Rojo all likely to depart.

Man Utd are ready to bring in Rodon in their place after ‘the advice of secret agent Ryan Giggs‘ with the Wales boss ‘a big fan and has recommended his old club sign the 22-year-old’.

Daniel James – who Giggs also urged Ole Gunnar Solskjaer to sign – has been a big hit in his first season and Man Utd are set to take his advice again.

In a recent interview with The Athletic, Giggs said that he sees a lot of similarities between Rodon and Man Utd legend Gary Pallister.

“Joe has grown over the last year or so. He is quick. Sometimes you don’t appreciate it,” Giggs said.

“It was the day after a game and we gave some players running drills, box to box. He was running with someone fast and went past them, effortlessly. I thought, ‘Oh, I hadn’t seen that .’

“It made me think a little bit of Gary Pallister. You don’t think of him as quick but when he got going at his peak, he was.

“When Pally got into the channels, no one out-ran him. So that suits the way I want to play.

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“I want my full-backs high, so if central defenders do have to get out wide and cover those positions, they are comfortable.

“In possession, Joe shows composure and he’s a good character. I saw him giving the ball away and being unhappy with himself. I liked that. Bit intense but set standards and if he didn’t keep to them, he wasn’t happy with himself.”

 

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Neville names Man Utd player most likely to win Ballon d’Or

Gary Neville believes Paul Pogba is the ‘most likely’ future Ballon d’Or winner of the current Manchester United squad.

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Manchester United have not had a Ballon d’Or winner since Cristiano Ronaldo in 2008, with George Best their most recent before that in 1968.

But Neville feels Pogba has the ability to win the award, naming him as the ‘most likely’ candidate of Ole Gunnar Solskjaer’s side.

Solskjaer hinted at a possible midfield partnership between Pogba and Bruno Fernandes earlier this week, suggesting that “we’ve been discussing that as a coaching team, of course, and we are looking forward to it”.

Neville agrees that the pair could strike up a compelling union when the Premier League returns and Pogba is back to full fitness.

‘They could be amazing together if they compromise and work to help each other,’ he said on Twitter.

Pogba could yet leave this summer, with a range of players offered to United in a part-exchange deal.

Real Madrid may use Lucas Vazquez, Alvaro Odriozola and James Rodriguez as makeweights, while Juventus could propose a transfer involving Douglas Costa or Alex Sandro.

The Serie A champions might also appeal to Solskjaer’s desire to sign a right winger by making Federico Bernadeschi available.

Angel di Maria and Julian Draxler have also been mentioned as PSG explore their options, but the belief is that United no longer wish to sell Pogba.

The Frenchman has one year left on an Old Trafford contract that also contains an automatic one-year extension option. United are yet to activate that but can do so at any point to protect their asset and ensure as much of a return as possible on their record signing.

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SC Teacher Gave Low Mark When Student Refused Sex: Lawsuit

CHARLESTON, SC — A Charleston high school math teacher tried to coerce a student into sexual acts, then gave him a poor grade when he refused, according to a new lawsuit filed in the sensational case that began last year with the arrest of the teacher, Jennifer Danielle Olajire-Aro, 27.

Olajire-Aro, a pre-calculus and algebra teacher at Charleston’s Burke High School, was arrested in December and charged with one count of sexual battery with a student 16 or 17 years of age, according to court records. The criminal case against her is pending.

The lawsuit claims the defendant Charleston County School District “has a history of employees engaging in romantic relationships with students, committing sexual acts on students, storing and viewing pornography on CCSD issued computers, and the like.”

The student, referred to as John Doe, was enrolled in Olajire-Aro’s math class in 2017 when she began flirting with him and talking to him about sex, before, during and after class, according to the lawsuit, which was filed in Charleston County Circuit Court.

The complaint says the teacher “encouraged and coerced” John Doe to have sex with her at school, in her vehicle, at her home and, at least once, in the presence of her 10-month-old baby, and sent inappropriate messages to him on her phone and in a social media applications. The teacher’s advances were “public, direct and obvious,” the lawsuit states, and the student began skipping math class to avoid both his teacher and his peers.

When the student refused Olajire-Aro’s advances, she reminded him “that she alone controlled what grade he would receive in her class,” according to the complaint. The teacher “acted on her threat” and changed his math grade from 98 to 89, according to the lawsuit.

The case blew open when John Doe explained his lower grade to his mother. Olajire-Aro was arrested in Dec. 19, 2017, three days before school was scheduled to dismiss for winter break.

In an unrelated case, a former employee at Dunston Primary Schools in North Charleston is accused of downloading child pornography on a school-issued computer and later molesting students in his office, The Post and Courier reported.

The Charleston County School District continues to face a maelstrom of criticism over its handling of the investigation, which dragged on for about two years — during which time the employee at the center of it, Marvin Gethers, was promoted from student concern specialist to a higher-paid position of parent advocate, according to a bombshell report by television station WCSC last month. He was arrested on child pornography charges in 2016, but died before his case could go to trial.

Gethers wasn’t fired or suspended, even though two children came forward and said he had sexually assaulted them during the investigation, WCSC reported.

Pornography was discovered on his laptop during a routine virus scan by a district IT employee in January 2014.

“I would like to know who knew what when, and who failed to act,” Beverly Gadson-Birch said Monday at a school board meeting, The Post and Courier reported.

The lawsuit filed Thursday in Charleston County District Court on behalf of the student and his mother accuses the Charleston County School District of negligence and intentional infliction of emotional distress. They are asking a jury to award actual and compensatory damages, including medical and health care expenses.

Mark A. Peper, the plaintiffs’ attorney, told The Post and Courier that if the school district “won’t fix the problem, the courts will.”

“Where the safety, protection and well-being of our students is paramount, acts such as these and others by employees under the direct supervision of the CCSD are outrageous, and must be regarded as atrocious and utterly intolerable,” he said.

Photo via Shutterstock