Comment bien manger durant le ramadan

Demain, samedi 22 août, les musulmans de France débuteront le mois de ramadan, mois durant lequel ils doivent jeûner durant toute la journée. Pas toujours évident de rester en forme dans ces conditions ! Voici donc quelques précieux conseils pour que ce mois soit véritablement une fête.

Les musulmans du monde entier pratiqueront le jeûne du mois de Ramadan à partir du samedi 22 août. Dans le calendrier musulman, le ramadan correspond à mois de jeûne, période pendant laquelle il est interdit de boire, de manger, de fumer et d’avoir des relations sexuelles depuis le lever du soleil jusqu’à son coucher. Le principe de ce mois de jeûne est de se purifier le corps et l’esprit pour se rapprocher encore plus de Dieu, mais aussi de pouvoir partager la situation des déshérités et nécessiteux. Loin d’être une contrainte, le mois de ramadan est une période de fête !
Voici quelques conseils pour bien vous alimenter durant le jeûne :
– le 1er repas, celui de la rupture de jeûne. Il doit être particulièrement sucré pour sustenter l’organisme et le nourrir rapidement pour récupérer de la journée. Il se compose généralement de dattes, de noix et de boissons chaudes (thé ou café généralement), nécessaires pour réhydrater le corps. Ce repas ne doit pas être surchargé, il doit juste apaiser les sensations de soif et de faim ;
– le 2ème repas, généralement pris 2 ou 3 heures après la rupture de jeûne. Il ne doit pas être très lourd, contrairement à ce qui est pratiqué la plupart du temps (couscous, tajines et autres délicieux mets…). Non seulement parce que ce qui est mangé à cette heure n’est pas assimilé mais directement stocké. Mais aussi parce que s’il est trop lourd, la sensation de faim ne se fera pas sentir au matin et pourrait faire sauter le petit déjeuner précédent le jeûne journalier. Bouillon de légumes et/ou chorba, légumes, poisson et viande blanche sont à privilégier au cours de ce repas ; – le 3ème repas précède le jeûne. C’est l’un des repas, si ce n’est LE repas le plus important. C’est là que l’organisme va pouvoir puiser toute l’énergie nécessaire pour tenir toute la journée. Même si cela peut faire mal d’être matinal, il ne faut pas négliger ce repas où, cette fois-ci, tout (ou presque) est possible : fromages, viandes féculents, sucres rapides, potages… il doit être très solide. C’est là que les réserves en eau vont également pouvoir être constituées pour éviter la déshydratation. Typiquement, il se compose d’un potage (pour s’hydrater), de fromages, de viande et de féculents.
Les pratiquants sont également invités à pratiquer l’aumône (le troisième des cinq piliers de l’islam) et à donner aux plus nécessiteux. Les musulmans représentent 5,8 % de la population française et environ 70 % affirment observer le jeûne du ramadan, un chiffre stable par rapport à 2001 mais en hausse depuis 1989 (60 %), selon un sondage Ifop sur l’islam en France rendu public jeudi.
Les horaires précis peuvent être consultés sur le site du Conseil français du culte musulman. Sinon, la plupart des pratiquants rompent le jeûne après la traditionnelle prière à la radio. Les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes malades ne sont pas tenues de suivre le jeûne pour des raisons évidentes de mise en danger de leur santé. D’ailleurs, le Coran prévoit que les personnes inaptes au jeûne (comme les femmes lorsqu’elles ont leurs règles) peuvent rattraper plus tard dans l’année les jours où le jeûne n’a pas pu être assuré.
Néanmoins, de nombreuses femmes enceintes ne conçoivent pas de ne pas le faire, même si cela peut mettre en danger leur santé ou celle de leur foetus. Non seulement parce que c’est une période très importante dans la vie du pratiquant mais aussi parce qu’il pourrait être mal perçu par la communauté de ne pas le suivre. Concernant les personnes qui souffrent de maladies métaboliques chroniques (diabètes, maladie d’Addison, etc.), le suivi par un médecin est fortement recommandé.
Bon ramadan à tous et à toutes !Source : Site du Conseil français du culte musulman, sondage Ifop, le 21 août 2009Photo : FOURMY MARIO/SIPAClick Here: NRL Telstra Premiership

Vous venez d’acheter un réfrigérateur, un lave-linge, une télévision ? Voici l’impact de vos appareils électroménagers sur l’environnement

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Les Français consomment depuis 50 ans davantage de biens chaque année. En plus de la multiplication des volumes, les postes de consommation ont changé, traduisant une mutation de la société et des modes de vie : baisse des dépenses dans l’habillement et l’alimentation, mais hausse dans la communication, la santé, les transports et les loisirs.Si dans l’imaginaire collectif, on considère que les transports ou l’habitat sont les secteurs les plus impactants sur l’environnement – notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre –, les équipements de la maison peuvent représenter un enjeu aussi important que les autres postes (transport, habitat, alimentation) en termes d’émissions nationales et individuelles des Français (jusqu’à 25 % environ soit un quart des émissions par an). L’empreinte carbone par Français a été estimée en 2016 à 10,7 tonnes équivalent CO₂.Or l’impact environnemental de ces biens de consommation est encore peu connu, notamment en raison du manque d’informations sur les impacts de leur fabrication, leur transport et leur distribution, beaucoup étant importés. Et bien souvent, les consommateurs eux-mêmes sous-estiment ce qu’ils possèdent : selon une étude Ipsos de 2016, les Français pensent posséder, en moyenne, 34 équipements électriques et électroniques par foyer quand ils en détiennent en réalité 99 !Afin de mesurer ces impacts, à la fois en termes d’émissions de CO2 (encore appelé “poids carbone”) et de mobilisation de matières premières –, l’Ademe a réalisé une étude portant sur 45 catégories d’équipements à usages fréquents. Rendue publique ce 26 septembre 2018, y sont étudiés les appareils électriques à forte et à faible composante électronique, les textiles, habillement et chaussures, les meubles et les équipements de sport.Le “poids carbone” rend compte des émissions de CO2 engendrées pour chaque produit sur l’ensemble de son cycle de vie (pour sa fabrication, son transport, sa distribution…). La “matière mobilisée” correspond aux matières premières nécessaires pour produire cet équipement. Par exemple, les tonnes de terres excavées pour quelques grammes de minerai dans les puces de nos smartphones ou le pétrole nécessaire à la fabrication des plastiques de nos équipements.

Ministère de la Transition écologique et solidaire, CC BY-NC-ND

Des processus de production destructeursNos choix de consommation ont un impact direct sur l’environnement, comme en témoigne la pression exercée sur les ressources naturelles. La finitude des ressources fossiles et minérales (non renouvelables comme le fer, les métaux rares, le pétrole…) ou énergétiques ainsi que l’épuisement des réserves naturelles en eau sont aujourd’hui incompatibles avec le rythme mondial et national de consommation.Le prix à payer en termes de dégradation des écosystèmes est très élevé, le processus de production des biens et services dans le monde ayant pour conséquence la pollution de l’eau (composés azotés, phosphatés), de l’air (particules fines, SO2 NOx…), des mers (plastique…) et des sols (différents polluants).Cette situation a également des répercussions néfastes au niveau de la santé, fragilisée par l’exposition aux polluants présents dans l’environnement (air, eau, sol…) et les substances nocives contenues dans les produits (biens d’équipements et alimentaires). Et aussi au niveau économique, les coûts de la pollution, de la gestion des déchets et le renchérissement des ressources en raison de leur raréfaction pesant de plus en plus lourd.L’étude conduite par l’Ademe révèle ainsi que l’ensemble des équipements, meubles et électroménagers présents dans la maison pèse en moyenne 2,5 tonnes. Pour fabriquer ces équipements, 45 tonnes de matières premières auront dû être mobilisées ; sachant que le CO2 émis pendant tout le cycle de fabrication s’élève à 6 tonnes de CO2, soit l’équivalent de six allers-retours Paris-New York.

Le détail du poids carbone des différents biens de consommation étudiés dans l’étude est disponible dans un tableau.

Des pistes pour consommer plus sobrementPour les consommateurs, prendre conscience de l’impact environnemental, sanitaire et économique de leurs achats passe notamment par l’adoption de nouvelles habitudes, réflexes.On peut déjà éviter de se suréquiper, en questionnant son besoin avant tout achat. (En ai-je vraiment besoin ? Est-il possible de faire avec ce que je possède déjà ?). Si l’achat est toujours d’actualité, on pourra se renseigner sur l’acquisition de biens plus durables. L’Écolabel européen, qui apporte des garanties sur la prise en compte des conséquences environnementales ou l’étiquette énergie, pourra par exemple aider à comparer facilement les appareils électroménagers.Une attention particulière pourra aussi concerner le sur-dimensionnement de certains équipements. Sur une même catégorie de produit, le recours à des produits plus grands (pour les télévisions, smartphones, tablettes ou écrans) entraîne en effet des poids carbone et matières plus élevées en proportion.

Ademe, CC BY-NC-ND
Ademe, CC BY-NC-ND

Si les incitations à acheter des équipements neufs sont nombreuses – 88 % des Français changent ainsi leur téléphone portable alors qu’il fonctionne encore –, résister au renouvellement trop fréquent de ses équipements aidera à réduire le poids carbone de sa consommation.Dernière piste à explorer : l’augmentation de la durée de vie des produits. Cela implique, pour les fabricants, de concevoir des produits plus facilement réparables, plus adaptables aux évolutions technologiques et plus faciles à entretenir. Pour les consommateurs, d’entretenir ses biens, de respecter leurs conditions normales d’utilisation, de les réparer ou les faire réparer en cas de panne, ou encore de leur donner une seconde vie, en les donnant ou les revendant.

Pierre Galio, Chef du service “Consommation et prévention”, Ademe (Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie)La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.

L'homosexualité incompatible avec le don du sang ?

La récente affaire d’Alexandre M., jeune décorateur qui s’est vu refuser le droit de donner son sang parce qu’il est homosexuel, relance le débat sur homosexualité et don du sang. Entre la grogne des associations qui parlent de mesure discriminatoire et la position des instances officielles qui arguent de la sécurité des donneurs, il semblait important de faire la lumière sur les arguments des uns et des autres.

Alexandre M., décorateur à Saint-Christollès-Alès dans le Gard, souhaitait donner son sang, un geste citoyen qui ne peut qu’être salué. Il entame les démarches mais seulement voilà, il y a un hic. Il est homosexuel et à ce titre, il se voit donc refuser le droit de donner son sang. Il décide donc de porter plainte pour discrimination, mais celle-ci ayant été classée sans suite par le tribunal d’Alès, il décide donc d’entamer une grève de la faim et se dit prêt à aller jusqu’au bout.
L’homosexualité, une contre-indication depuis 1983
L’homosexualité masculine est une contre-indication au don du sang depuis 1983 en raison d’un risque d’exposition de plus élevée au virus du Sida. Bernard David, directeur médical de l’Etablissement français du sang, tient à insister sur le fait que “cette contre-indication est une mesure de sécurité qui a tout à voir avec le receveur mais rien à voir avec une quelconque discrimination. D’ailleurs, le Conseil national d’éthique et la HALDE ont validé ces mesures de sécurité qui sont reconnues en tant que telles.“
En 2009, des données épidémiologiques toujours bloquantes
Plusieurs critères sont pris en compte pour qu’une personne puisse donner son sang : son âge, son état de santé et certains éléments de sa vie personnelle (voyages, pratiques sexuelles, usage de drogues, etc.). Par exemple, une personne ayant eu plusieurs partenaires sexuels dans les 4 mois précédant le don se verra refuser son don.
Ces critères évoluent cependant ; Ainsi, l’arrêté du 14 janvier 2009 repousse à 65 ans l’âge limite du premier don tandis que les donneurs réguliers pourront donner jusqu’à 70 ans. Mais cet arrêté récent réitère également le fait que l’homosexualité masculine demeure une contre-indication. Et ce, alors même qu’en novembre 2007, la ministre de la Santé, Mme Bachelot, promettait d’autoriser les homosexuels mâles à donner leur sang. Interrogée par RMC sur l’affaire d’Alexandre M., elle appuie les recommandations officielles.
Selon Stéphane Vambre, président d’Act up, “c’est d’autant plus énervant qu’elle revient sur des déclarations qu’elle avait faites en 2007 dans lesquelles elle affirmait vouloir mettre fin à ce qu’elle appelait elle-même une discrimination. Mais ce qui m’inquiète le plus, ce sont ses propos par rapport aux homosexuels. Elle argue du fait que le taux de prévalence du VIH est plus élevé chez les homosexuels. Certes, c’est vrai, mais il faut également savoir que le taux de dépistage dans la population homosexuelle est également plus élevé“.
Pour Bernard David, directeur médical de l’Etablissement français du sang, “si l’attitude de Mme la ministre a évolué entre 2007 et aujourd’hui, c’est qu’elle a pris toute la mesure des données épidémiologiques disponibles. Le risque global est réel et nous ne pouvons pas faire autrement que de prendre des mesures larges. C’est bien pour cela que la ministre a décidé de ne pas toucher à la contre-indication en vigueur. Ce qui compte avant tout, c’est la sécurité de receveur et du donneur.“
Comment sont établis les critères ?
Selon Bernard David, “Le risque est mesuré de façon régulière, tous les ans, par l’Institut national de veille sanitaire. Or, les données épidémiologiques concernant les homosexuels mâles font apparaitre qu’ils sont plus touchés par le VIH que la population générale. Par ailleurs, plusieurs études comportementales ont montré que les homosexuels mâles ont des pratiques sexuelles plus à risques que les hétérosexuels. En particulier, la fidélité au sein d’un couple est moins respectée et le multi-partenariat est beaucoup plus fréquent.“
Et les homosexuelles alors ?
Le fait d’être une femme homosexuelle n’est pas une contre-indication au don du sang. Ce que nous confirme Bernard David “Il faut parler des relations sexuelles à risque, c’est le critère le plus important pour déterminer la contre-indication. Ce qui nous importe, c’est d’identifier les risques pour le receveur.“
Pourtant, le président d’Act up souligne que ça n’est pas si évident que cela : “En théorie, l’interdiction ne concerne que les homosexuels mâles mais en pratique, les femmes homosexuelles aussi sont concernées. J’ai l’exemple d’une de mes amies, militante à Act up, qui a souhaité donner son sang mais à qui cela a été refusé parce qu’elle est homosexuelle… Elle a certainement eu à faire à une personne qui n’était pas suffisamment informé. Nous avons d’ailleurs fait plusieurs testings qui ont confirmé cette discrimination.“
Discrimination ou principe de précaution ?
Alors, existe-t-il une discrimination envers les homosexuels pour ce qui concerne le don du sang ? Ce qui est sûr, pour Bernard David, c’est qu’“il existe un malentendu avec les associations d’homosexuels qui se disent victimes de discrimination. Il est important de comprendre que ça n’est pas du tout le principe de cette mesure. Encore une fois, c’est uniquement une mesure de sécurité pour le receveur. Dans l’état actuel des choses et avec les données épidémiologiques dont nous disposons, il n’est pas question de faire courir un risque quelconque au receveur.“
Pour le président d’Act up, Stéphane Vambre, les choses ne sont pas aussi simples… “Le pire, pour lui, c’est que la ministre de la Santé se dit prête à ne plus exclure les homosexuels des dons une fois que le taux de prévalence du VIH aura baissé. La question que l’on peut se poser est : comment souhaite-t-elle arriver à cela ?“
Encore une fois, rappelons l’importance des campagnes d’information, de dépistage et autres pour ne jamais relâcher la vigilance autour du VIH. Des campagnes d’information ciblées vers les homosexuels pour faire diminuer les pratiques à risques, et par là-même le taux de prévalence du VIH, serait une piste à sérieusement envisager.
Yamina Saïdj
Sources :
Interviews téléphoniques de Stéphane Vambre et de Bernard David, août 2009Site de l’Etablissement français du sangBase de données VIH de l’institut national de veille sanitaire
RMC.fr
Des sites pour aller plus loin :
Les indications et contre-indications au don du sang, sur le site de l”établissement français du sang :
http://www.dondusang.net/rewrite/article/44/puis-je-donner/indications-/-contre-indications/indications-/-contre-indications.htm?idRubrique=36
Act Up :
http://www.actupparis.org/
Institut national de veille sanitaire :
http://www.invs.sante.frClick Here: cd universidad catolica

Dansez comme… Barbie

Ceci n’est pas une blague et c’est même le chorégraphe de Beyoncé qui vous apprend les pas de danse ! A l’occasion de la sortie d’une nouvelle poupée Barbie articulée pouvant exercer plus de 100 poses différentes, Mattel a décidé de ressortir un vieux tube pour mieux nous faire danser. Et quelle est cette chanson qui va nous faire remuer ? “I’m a Barbie girl“, cela ne s’invente pas…Dans les années 90 quand la chanson du groupe Aqua était sortie, on ne peut pas dire que cela avait plu à Mattel. Le fabricant de jouets avait même poursuivi le groupe scandinave arguant qu’ils avaient terni la réputation de la poupée Barbie en la transformant en objet sexuel dans leur chanson et leur clip*.Douze ans plus tard, Mattel fait machine arrière et va même jusqu’à utiliser le fameux tube (en changeant tout de même certaines phrases) pour promouvoir le lancement de sa nouvelle Barbie Fashionista, une version capable de se déhancher comme une vraie pop star.POur mettre en valeur cette particularité, Mattel a recruté le chorégraphe de star connu et reconnu JaQuel Knight. Après avoir travaillé avec Britney Spears et Beyoncé notamment sur son succès “Single Ladies“, il nous explique sa barbie-chorégraphie. A découvrir (au premier ou au second degré) si vous-aussi, vous voulez danser comme Barbie, ou juste pour le plaisir de voir JaQuel Knight entonner : “I’m a Barbie Girl, in a Barbie World“. Assez drôle…

Et pour celles qui ont une petite soeur fan de Barbie, voici ce que ça donne avec la star des poupées plastiques.

* MTV News 12 septembre 1997Source : influencia.net – 16 septembre 2009Click Here: camisetas de futbol baratas

Ce week-end, c'est l'opération Cuisines en fête !

Entre le travail, les enfants, les amis et les courses, il est parfois difficile de trouver le temps de cuisiner et surtout, pour retrouver l’envie de se mettre aux fourneaux. Pourtant, le “fait-maison“ présente de nombreux intérêts, tant nutritionnels que gustatifs. Sans parler du plaisir de se retrouver à table pour partager un vrai moment convivial autour du repas.

Pour faire redécouvrir à tous la joie de cuisiner et de faire soi-même ses plats, Francine organise l’opération Cuisines en Fête, avec le parrainage du ministère de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche. Il a lieu chaque année lors du dernier week-end de septembre.Cette 7ème édition de l’événement gourmand de la rentrée, parrainée par le grand chef étoilé Guy Martin, se déroulera du vendredi 25 au dimanche 27 septembre 2009.
A travers plus de 900 initiatives locales dans toute la France, Cuisines en Fête célèbre le fait maison : cours de cuisine, concours de recettes, ateliers dégustations, portes ouvertes…
Retour quelques temps fort de cette manifestation :
– A Paris, Le Bercy Village propose de nombreux ateliers de cuisine gratuits pendant 3 jours. Cookies et pain frais attendent les apprentis gourmands à Cour Saint-Emilion !
– Dans le pays de Grignan, dans la Drôme provencale, initiations à l’oenologie, dégustation de truffes et concours de pâtisseries pour enfants sont au programme.
– A Rennes, la maison de quartier de Binquenais organise un grand repas sur le thème de la découverte des saveurs du monde. Tous les habitants du quartier sont invités à participer à ce grand repas convivial. Source : Dossier de presse de l’opération Cuisines en fête.Click Here: Putters

Prix Nobel de Médecine 2009 pour la découverte des télomères

Le prix Nobel de Médecine a été attribué aujourd’hui à 3 chercheurs américains pour leur co-découverte en 1984 des télomères. Ce sont des petites séquences ADN situées à chaque extrémité des chromosomes. Quelles sont les implications de cette découverte ? Pourquoi cette découverte a-t-elle été promue ?

Elizabeth H. Blackburn, Carol W. Greider et Jack W. Szostak, les trois co-lauréats du Nobel 2009 de médecine, ont résolu un problème scientifique majeur : comment se fait-il que lorsque les chromosomes se dupliquent (multiplication des cellules), pourquoi ne sont-ils jamais abîmés ?
Réponse, trouvée en examinant les chromosomes d’un organisme unicellulaire qui répond au doux nom de Tetrahymena : il existe des petits “bonnets“ protecteurs composés également d’ADN situés à chaque extrémité des chromosomes, les télomères. Les 3 chercheurs ont également découvert que ces télomères étaient fabriqués par une enzyme, la télomérase.
Cette découverte ouvre des perspectives thérapeutiques intéressantes. Si les télomères sont raccourcis, la cellule vieillit. Si la télomérase a une activité forte, la longueur des télomères est maintenue, et le vieillissement de la cellule est retardé, comme par exemple dans une cellule cancéreuse. Conséquence, une des pistes actuellement creusées par les chercheurs en cancérologie vise à bloquer par un médicament ou un “vaccin“ l’activité de la télomérase des cellules du cancer.
Par contre le phénomène de vieillissement de l’organisme entier est plus complexe, il ne suffit pas d’avoir des télomères très longs ou une télomérase en pleine forme pour vivre éternellement…
D’autres chercheurs ont depuis également démontré qu’il existait des maladies qui affectaient les télomères et donc endommageaient les cellules de l’organisme : certaines formes héréditaires d’anémie, des maladies de peau ou des poumons.
Cette découverte est donc bien majeure, ayant permis de mieux comprendre le fonctionnement de l’organisme humain et ouvrant des perspectives thérapeutiques prometteuses.
Jean-Philippe Rivière
Source : communiqué de presse de l’Assemblée Nobel, 5 octobre 2009© Image :

site de l’Assemblée Nobel

Vaccin grippe A et adjuvants : nouvelles recommandations

“Un courrier sera prochainement envoyé aux femmes enceintes, les invitant à prendre conseil auprès de leur médecin concernant la vaccination contre la grippe A“, indique ce matin Didier Houssin, directeur général de la santé. Cette déclaration intervient au moment où le Haut conseil de la santé publique (HCSP) vient de préciser ses recommandations sur l’utilisation des vaccins contre la grippe H1N1.

Selon l’Afssaps, “le suivi suivi de pharmacovigilance n’a pas fait apparaître de problème de tolérance ou de réactions immunologiques anormales“ avec les adjuvants, notamment les sels d’aluminium et un squalène, le MF59 (utilisé dans un des vaccins contre la grippe saisonnière depuis 8 ans et administré à 45 millions de personnes). Pourtant leur innocuité sur le long terme fait encore débat, notamment pour les personnes à l’immunité fragilisée.
C’est pourquoi le HCSP publie de nouvelles recommandations pour ces populations particulières. Ainsi, il conseille l’utilisation d’un vaccin non-adjuvanté pour les femmes enceintes, les enfants de 6 à 23 mois et les sujets souffrant de déficits immunitaires. “Aucun élément ne nous permet de dire que les adjuvants comportent une dangerosité particulière, mais nous manquons de données sur leur action chez ces cas particuliers“, précise le professeur Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations.
C’est donc “par précaution“ que cette décision a été prise. Par contre, si la pandémie devenait plus active et que les vaccins sans adjuvant s’avéraient insuffisants pour protéger les patients avec efficacité, le HCSP recommande l’utilisation d’un vaccin avec adjuvant pour les femmes enceintes à partir du deuxième semestre, les nourrissons de 6 à 23 mois avec facteurs de risque et les patients ayant subi une greffe de moelle osseuse. “Il reviendra au médecin de prendre une décision au cas par cas pour l’administration d’une forme adjuvantée ou non du vaccin aux femmes enceintes“, selon Didier Houssin.En revanche, “en l’absence de données cliniques, le HCSP ne recommande pas l’utilisation d’un vaccin avec adjuvant“ pour certaines populations dans tous les cas. Les vaccins avec adjuvants sont ainsi déconseillés aux sujets porteurs de certaines maladies telles que la sclérose en plaques ou le lupus, et aux nourrissons âgés de 6 à 23 mois sans facteur de risque. Dans, ces cas, le HCSP recommande “de vacciner leur entourage immédiat (personnes vivant sous le même toit et adultes en charges de la garde des enfants)“.
Ces nouvelles recommandations posent donc la question de la disponibilité d’un nombre suffisant de vaccins sans adjuvant. En effet, sur les 94 millions de doses de vaccins commandés par la France, on compte une majeure partie de vaccins avec adjuvants. Par ailleurs, les deux premiers vaccins autorisés à la vente contiennent des adjuvants. Il s’agit des vaccins des laboratoires GSK et Novartis, à qui la France a commandé respectivement 50 et 16 millions de doses.
Le vaccin de Baxter, non-adjuvanté, qui a reçu un premier feu vert européen la semaine dernière, a quant à lui été commandé à seulement 50 000 doses. Ce qui parait bien insuffisant pour couvrir l’ensemble des populations concernées par les dernières recommandations du HCSP. “Nous sommes actuellement en discussion avec Sanofi, pour une nouvelle commande d’environ 1 million de vaccins non-adjuvantés“, a annoncé le directeur général de la santé, Didier Houssin.
Alors que les processus de validation européenne des vaccins -avec et sans adjuvant- de Sanofi sont encore en cours, Jean Marimbert, directeur de l’Afssaps, a indiqué que l’agence française allait procéder à une évaluation nationale du vaccin non-adjuvanté de Sanofi, afin d’accélérer sa disponibilité. Rappelons que la France a commande au total 28 millions de doses à Sanofi.Sarah LaînéSources :Afssaps, Les adjuvants dans les vaccins pandémiques H1N1, point presse du 25 septembre 2009Conférence de presse du ministère de la santé, 8 octobre 2009PHOTO : IMAGEBROKER/IMAGO/SIPA

Donocoeur : Mobilisation pour la recherche en cardiologie

La Fédération Française de Cardiologie (FFC) lance le Donocoeur, une campagne de mobilisation en faveur de la recherche en cardiologie qui se déroulera du 31 octobre au 8 novembre. Si beaucoup de progrès ont déjà été réalisés pour lutter contre les maladies cardiovasculaires, beaucoup sont encore à venir.
“En 25 ans, la mortalité cardiovasculaire a baissé de 50 % grâce à la recherche. Et c’est tant mieux ! Mais aujourd’hui, le monde de la cardiologie s’inquiète : les modes de vie sédentaires, l’hypertension artérielle, l’obésité… sont autant de facteurs de risque pour faire repartir à la hausse la mortalité par maladies cardiovasculaires“, déclare le Professeur Jacques Beaune, Président de la FFC qui lance cette campagne destinée à générer une prise de conscience et susciter des dons pour soutenir la recherche en cardiologie.Grâce à la générosité de ses donateurs, la Fédération Française de Cardiologie occupe depuis sa création, aux côtés des institutionnels, une place significative dans le financement de la recherche en cardiologie. Ces 10 dernières années, la FFC a ainsi soutenu 266 projets de recherche et leur a consacré près de 4 millions d’euros d’aide, sous forme de bourses d’études ou de financement de tout ou partie d’un projet de recherche mené en France.Le lancement de Donocoeur vise à favoriser les dons en faveur de la recherche. Une priorité selon la FFC, qui rappelle que les prévisions de l’Organisation Mondiale de la Santé sur l’augmentation des décès par maladies cardiovasculaires dans les années à venir sont alarmantes.

Soutenu par une campagne média, le Donocoeur sera relayé sur Internet avec le site www.donocoeur.fr, via lequel le public pourra faire un don et s’informer sur la recherche en cardiologie : près de 50 vidéos de chercheurs et cardiologues proposent un panorama complet des grandes avancées dans le domaine du cardiovasculaire. Enfin, un livre, “A votre bon coeur“, mettant en avant 29 travaux de chercheurs, sera offert aux donateurs généreux.Luc BlanchotSource : Communiqué de la Fédération Française de cardiologie – octobre 2009

Grippe A : la progression s'intensifie selon le GROG

Pour la semaine du 19 au 25 octobre, le réseau des Groupes régionaux d’observation de la grippe  (GROG) a estimé à 167 000 le nombre de grippe A/H1N1. Soit 15 % des infections respiratoires aiguës recensées par ce réseau, contre 9 % la semaine précédente.

Le GROG note ainsi que la circulation du virus H1N1 s’est intensifiée au cours des deux dernières semaines, “tout particulièrement dans les grandes villes françaises“. La région Ile-de-France est la plus touchée, avec “le pourcentage le plus élevé de prélèvements positifs pour la grippe H1N1“.
L’activité grippale est également soutenue dans les grandes villes telles que Lyon, Lille, Marseille et Toulouse. Selon ces estimations, le nombre de cas de grippe A en France est donc passé de 41 000 début octobre, à 167 000 la semaine dernière, alors qu’a contrario, la circulation des rhinovirus (responsables des rhumes, rhino-pharyngites) diminue.
Ces chiffres sont donc en faveur d’une flambée du nombre de cas de grippe A (et non des décès, heureusement, même s’il faut s’attendre à une augmentation de leur nombre dans les semaines qui viennent). Des données qui rejoignent celles de l’Institut de Veille Sanitaire, également publiées aujourd’hui et synthétisées dans la prochaine news.Sarah LaînéSource :Bulletin GROG pour la semaine du 19 au 25 octobre – 28 octobre 2009Click Here: New Zealand rugby store

Neostrata, les acides de fruits en pharmacie

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Pour améliorer la qualité de notre peau et lutter contre le vieillissement cutané, nous connaissons toutes les AHA, plus connus sous le nom d’acides de fruits. La marque NeoStrata a réuni ces substances naturelles dans une gamme de soins complète, Homecare, disponible en pharmacie.

NeoStrata étudie depuis plus de 30 ans les bénéfices des Hydroxyacides (pour lesquels la marque a déposé plus de 100 brevets) pour notre peau. Forte de cette expérience, la marque propose aujourd’hui 2 gammes de soins pour lutter contre le vieillissement cutané, mais aussi pour prendre soin de sa peau au quotidien. L’une est destinée à l’usage des professionnels, les peelings NeoStrata Skin Rejuvenation System, et une autre destinée au grand public, Neostrata Homecare.Cette dernière gamme, que l’on peut retrouver en pharmacie, a été pensée pour répondre à chaque problème, chaque sensibilité cutanée. Chaque produit a été conçu avec un type d’hydroxyacide spécifique ou une certaine concentration pour que vous puissiez trouver le soin qui vous convient : peau grasse à imperfections, peau normale, peau desséchées et/ou stressée. C’est au total 15 produits qui vous permettront de prendre soins de vous de façon ciblée.
L’intérêt de choisir des soins à base d’acides de fruits c’est qu’ils ont d’excellents pouvoir hydratants. Ils assurent le renouvellement cellulaire et favorisent la synthèse de collagène et des fibres élastines.
Les acides de fruits en plus de vous hydrater, vous aident également à lutter contre le vieillissement prématuré cutané.
Juliette Robin
Source : Communiqué Neostrata – Novembre 2009