Utah Firefighter Dies Battling Largest Fire In California History

NORTHERN CALIFORNIA — A Utah firefighter who died Monday while battling the Mendocino Complex Fire in Northern California was identified Tuesday morning by the Draper City, Utah Fire Department as Battalion Chief Matthew Burchett. The chief was one of five Draper firefighters deployed to the wildfires in Lake, Mendocino and Colusa counties, officials with the city’s fire department said in a news release.

“… The team has worked tirelessly to protect lives and property,” Draper FD officials said. “The entire community of Draper is grieving our loss.”

Burchett, 42, leaves behind a wife and a young son. He is the 11th person to die this California fire season.

“This is not only a loss for our Draper Fire Department, but a loss for all fire departments in the nation,” Draper Fire Department officials said. “We appreciate all the heartfelt support from the Draper community, Cal Fire, the state of Utah, and our family of firefighters from across the nation.”

Cal Fire confirmed Monday night that a firefighter fatality had occurred at the Mendocino Complex Fire, the name for both the Ranch and River fires, which together are considered the largest fire in California state history. Burchett was working on an active portion of the Ranch Fire when he was injured before he was airlifted to a local hospital where he died from his injuries, officials said.

Some 3,100 personnel were still assigned Monday to the 350,000-plus-acre complex of wildfires.

“We are extremely heartbroken for this loss,” one Cal Fire chief said. “We are dedicated to investigating what happened and will release more information as it become available.”

“We also mourn as we also battle California’s largest wildfire that continues to burn in extremely steep and remote terrain,” the official said.

Nearly 150 homes have been destroyed since the Mendo Complex Fire first broke out July 27. The cause remains under investigation.

On Monday, the Ranch Fire burning northeast of Ukiah continued to be active, with crews tying in containment lines south of the Eel River, officials said.

Another two firefighters have been injured while battling the blazes.

Cal Fire’s Mendocino and Sonoma-Lake-Napa units are managing the firefight along with the U.S. Forest Service.

Crews were expected to continue Tuesday engaging on the active front of the Ranch Fire, with containment efforts underway on both the east and west flanks of the fire, working to protect the communities of Lake Pillsbury and Stonyford, Cal Fire officials said.

“Fire crews are working in difficult conditions and terrain to bring the fire around threatened communities and back into the Mendocino National Forest,” Cal Fire said. “Firefighters are actively engaging in structure protection where the fire has already reached structures and communities. The south side of the fire has had no significant events and remains in a suppression repair status with patrol.”

Cooperating agencies include Potter Valley Fire, Redwood Valley Fire, Ukiah Fire, California Office of Emergency Services, California Department of Corrections and Rehabilitation, California SR Patrol, Lake County Sheriff’s Office, Mendocino County Sheriff’s Office, Colusa County Sheriff’s Office, Glenn County Sheriff’s Office, California Highway Patrol, Australia and New Zealand Fire, Bureau of Land Management, Hopland Fire, Lakeport Fire, PG&E, AT&T, California Conservation Corps, and additional agencies from throughout California and other states.

Photos via Draper City Fire Department Facebook page

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Maltraitance : peut-on pardonner à ses parents ?

Secrets de famille, violences, mensonges… toutes les familles connaissent des problèmes et des drames. Mais comment reconnaître les situations anormales lorsqu’on est un enfant ? Comment concilier l’amour pour ses proches et prévenir des situations de maltraitance ? Et surtout, comment pardonner et se reconstruire ? Autant de questions abordées dans le film “Pardonnez-moi“ de Maïwenn.

“Pardonnez-moi“ est le premier film de Maïwenn. Largement autobiographique, ce long métrage raconte l’histoire de Juliette, qui profite de sa grossesse pour faire un film sur sa famille. Au cours de celui-ci, des secrets enfouis vont être dévoilés, et ce sera l’occasion pour elle de demander à son père de se justifier sur les maltraitances qu’elle a subies.
Un enfant en manque de repères
“La première difficulté lorsque l’on est enfant est de comprendre que la situation est anormale“ souligne Maïwenn. Difficile en effet de se rendre compte que lorsque l’un de vos parents vous inflige des corrections à répétition, vous fait subir des brimades… ce n’est pas une situation normale. Car les enfants n’ont pas d’autres points de repères, ils ne se rendent pas forcément compte et parfois même les confondent avec des gestes d’amour. “Et pour certains enfants, mieux vaut encore la violence que l’indifférence“ souligne le Docteur Dominique Frémy, pédopsychiatre.
On notera dans ce domaine l’initiative d’Enfance et partage, qui a édité un CD-Rom de jeu qui vise à expliquer aux enfants leurs droits et les meilleurs moyens de réagir en cas de maltraitance.
De la difficulté d’alerter
Mais même lorsque l’enfant reconnaît une situation anormale, il est partagé entre l’amour et la douleur. Et souvent son réflexe va être de protéger ses parents, comme le raconte Maïwenn : “La première fois, c’est une maîtresse d’école qui m’a vue couverte de bleus et qui a dénoncé la situation. Mon père est venu me chercher à l’école en pleurant et en me demandant pourquoi j’avais parlé. Et là, j’ai détesté cette maîtresse qui a fait pleurer mon père“. Les enfants sont pris dans une ambivalence, ils ne veulent pas mettre en cause leurs parents. “C’est ce qui rend extrêmement difficile la prévention“ souligne le Dr Frémy. Car personne n’a envie de détester ses parents…
Le long chemin vers le pardon
En grandissant, les enfants ont des réactions diverses en fonction de leurs capacités de résilience : ils enfouissent au fond de leur mémoire, ils coupent les ponts avec la famille… Mais les problèmes ressortent sous une forme ou une autre. “Souvent, c’est au moment de fonder une famille que les victimes de maltraitance veulent comprendre, c’est quand ils souhaitent avoir un enfant qu’ils veulent se reconstruire“ souligne le Dr Frémy. Souvent les enfants ne réclament pas alors de sanction, ils veulent la reconnaissance des actes. C’est d’ailleurs ce que souligne Maïwenn : “L’important c’est que la faute de l’autre soit reconnue, sans forcément que cela aille jusqu’au pardon ou en justice“.
Rompre le cycle
On parle souvent des parents qui maltraitent leurs enfants parce qu’eux-mêmes ont été battus dans l’enfance. Mais cette reproduction est-elle inéluctable ? “Je n’ai jamais frappé ma fille, souligne Maïwenn, mais à un moment j’ai été très dure avec elle, jusqu’à ce qu’elle me dise “Maman tu me fais peur“. J’ai compris que je risquais de reproduire ce que j’avais vécu, mais de manière différente. Car il ne faut pas se leurrer, quand on a eu une enfance violente, le risque est important de reproduire. L’important est d’en parler, d’évacuer cette violence que l’on porte“.
Et, à l’image de Maïwenn, il est possible, peut-être pas toujours de pardonner, mais au moins de comprendre et de se reconstruire, pour vivre sa propre histoire avec ses enfants.
Alain Sousa
Des sites pour aller plus loin :
Le site du film Pardonnez-Moi de Maïwenn : http://www.maiwenn.comLe site d’Enfance et partage : http://www.enfance-et-partage.orgClick Here: cheap sydney roosters jersey

Dossier médical personnel : les Français votent OUI

Réalisé en novembre 2006, un sondage effectué à la demande du groupement d’intérêt public pour le dossier médical personnel (GIP-DMP) témoigne d’une réelle adhésion des Français au projet. Les résultats obtenus sont extrêmement positifs, non seulement 81 % des Français y sont favorables mais 59 % d’entre eux sont même prêts à ouvrir leur dossier médical personnel dès juillet 2007 au moment prévu pour sa généralisation.
L’image du DMP est par ailleurs très positive, on en attend commodité, qualité mais surtout sécurité. 69 % des personnes interrogées voient dans le DMP un service public et d’amélioration de la qualité des soins et près de la moitié d’entre eux donnent la priorité à la sécurité d’accès et d’hébergement de leurs données médicales. Les polémiques qui font rage autour des accès en cas d’urgence sont démenties par ce panel, en effet 95 % des Français estiment que l’accès doit être garanti aux médecins en cas d’urgence vitale.
Pour conclure, on a le sentiment que ce dossier médical personnel se doit d’être un véritable service public, pour le bénéfice de tous et pour améliorer la qualité des soins.Source : communiqué du GIP-DMP du 7 décembre 2006Click Here: cheap sydney roosters jersey

Même Mamie avait des relations avant le mariage !

La grande majorité des Américains ont eu des rapports sexuels avant le mariage, incluant ceux qui se sont abstenus de relations durant leur adolescence. De plus, contrairement à une idée reçue selon lequel le sexe pré-marital est plus courant aujourd’hui qu’hier, l’étude américaine de l’Institut Guttmacher montre que même parmi les femmes nées dans les années 1940, près de 9 sur 10 ont croqué la pomme avant de passer devant le maire.
Cette nouvelle étude s’appuie sur le résultat de plusieurs enquêtes nationales sur le comportement sexuel avant le mariage et son évolution dans le temps. Selon cette analyse, à 44 ans, 95 % avouent avoir goûté au fruit défendu avant le mariage. Même parmi ceux qui se sont abstenu de relation jusqu’à 20 ans ou plus, la proportion atteint 81 % !
Principal auteur de cette étude, Lawrence Finer de l’Institut Guttmacher (institut indépendant sur la santé sexuelle) estime qu’aux Etats-Unis, avoir des relations avant le mariage est un comportement stable depuis les années 1950, qu’il s’agisse des femmes ou des hommes. Seule différence d’époque, le mariage intervenant aujourd’hui plus tardivement, la période de rapports sexuels avant le mariage est désormais plus longue.
Ces conclusions jettent à nouveau le discrédit sur la politique américaine de lutte contre les grossesses non désirées et les infections sexuellement transmissibles, qui vise à promouvoir l’abstinence avant le mariage. « Il serait beaucoup plus efficace de donner aux jeunes les informations et les conseils nécessaires à une sexualité plus sûre » conclut Lawrence Finer.Sources :Public Health Reports – janvier/février 2007 – volume 122Communiqué de presse de l’institut Guttmacher du 19 décembre 2007

Beauté : la crème des yaourts

Le groupe Danone se lance sur un marché si nouveau que sans doute peu de gens en ont entendu parler : la dermonutrition. Outre Atlantique, on parle de « Cosmeto-food »
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La dermonutrition serait donc l’alliance de l’alimentation et de la cosmétique, ou comment et quoi manger pour être belle…
Fer de lance de cette nouvelle gamme : un nouveau yaourt, baptisé Essensis, aux vertus prétendument beauté. Avec son huile de bourrache, son thé vert et sa vitamine E, il serait « le premier produit alimentaire courant qui nourrit la peau de l’intérieur ». Pour l’instant, aucune étude clinique ne vient appuyer ces mérites. Mais Danone en promet pour bientôt. Alors après les aliments santé, les aliments beauté ? Il est clair que la fonction essentielle de l’alimentation et de nourrir son organisme : votre corps est le reflet de vos repas, et de tout ce que vous mangez. Et, ce n’est pas un yaourt seul qui va vous aider a être belle, mais l’ensemble de vos menus, qui doivent être un équilibre entre tous les groupes d’aliments. A défaut d’être efficace, ces nouveaux yaourts ont en tout cas le mérite de proposer des associations gustatives intéressantes : litchi-raisin ou framboise-grenade. Et avec sa couleur fushia, il devrait égayer votre frigo. Autre avantage : à un peu plus de 2 euros les quatre, cela reste moins cher qu’une crème de beauté…Source : Communiqué Danone, janvier 2007

Du bonheur de cuisiner avec ses petits-enfants

Parmi les relations qui se tissent entre les grands-parents et les petits-enfants, on néglige souvent de mentionner une expérience de partage savoureuse : le lien culinaire. Pourtant, faire la cuisine le dimanche avec Mamie, apprendre ses recettes, ses tours de main et ses astuces constituent une part essentielle du patrimoine familial. A l’occasion de la fête des grands-mères le 4 mars, apprenez à renouer avec les traditions.

Les liens entre grands-parents et petits-enfants sont souvent privilégiés, basés sur l’échange, la convivialité, la douceur et le plaisir. Entre eux la complicité est souvent le bon moyen pour transmettre ses valeurs. Et dans ces moments que l’on partage avec ses grands-parents, l’alimentation tient une place essentielle : aller faire le marché, cueillir les légumes du jardin, les éplucher, écosser les petits pois, faire la pâte à crêpes, les tartes ou les confitures… Ces instants qui sont autant de souvenirs magiques pour les enfants.
Les liens familiaux
Et lorsque les enfants grandissent, ces moments se transforment en transmission du savoir “culinaire“. Celui-ci est essentiel à l’heure ou les générations ont d’autant moins le temps de faire la cuisine et se tournent de plus en plus vers des plats préparés ou vite faits. Ces mets, qui sont parfois des recettes transmises depuis des générations et dont le secret est jalousement gardé, font réellement partie de l’identité familiale. Ces recettes que l’on a pris l’habitude de savourer en famille sont une partie intégrante des liens. Ce patrimoine doit être transmis aux différents membres pour être préservé. Car il n’est inscrit nul part et risque d’être perdu. Qui n’a pas goûté les biscuits aux amandes d’une amie et tenté sans succès d’en obtenir la recette secrète issue des fourneaux de sa grand-mère ? Il suffit de parler des recettes familiales pour voir s’allumer des étoiles dans les yeux de nombre d’enfants.
Les incontournables
Chaque famille a bien sûr ses recettes, et ses petits plats favoris. Mais il existe tout de même quelques “incontournables“ pour des moments à partager entre petits et grands. Ce sont par exemple les confitures, un moment gourmand que les enfants adorent faire avec les grands-parents. Ensuite les desserts sont une valeur sûre, les tartes notamment (rhubarbe, abricots…) mais aussi l’incontournable clafoutis, ou la charlotte. N’oublions pas les crêpes pour lesquelles on trouve autant de recettes savoureuses que de grands-mères.
Pour les plats, les recettes sont souvent celles liées aux origines familiales, mais adaptées “maison“. A l’heure des préparations clefs en main, il faudra aussi certainement se tourner vers Mamie pour obtenir LA recette de la sauce béchamel ou de la sauce au beurre blanc qui accompagnera votre poisson. A noter, plusieurs livres ont d’ailleurs essayé de réunir ces recettes traditionnelles et familiales (La cuisine des grands-mères, Tante Marie, la véritable cuisine traditionnelle, La bonne cuisine de Maman Saint-Ange…).
Revenir aux traditions et aux origines
Ce “savoir“ culinaire va bien sûr au-delà des recettes. Il s’agit aussi des “tours de main“ et conseils qui vont permettre de personnaliser les plats, de réussir les mets. Sans oublier la transmission de cette sagesse populaire qui ne s’apprend pas à l’école : choisir les fruits et légumes, composer les bouquets aromatiques, etc. Et puis notre monde est fait de diversité, nos grands-parents sont parfois issus de pays différents du notre et les traditions culinaires y sont souvent riches et variées. Apprendre à retrouver ses racines dans la cuisine est aussi un moyen de créer ce lien fort avec ses grands-parents. Sans oublier l’amour de faire la cuisine et de déjeuner en famille, qu’aucun livre ou aucune mission ne pourra transmettre comme le fait un grand-père ou une grand-mère.
Alain Sousa et Anne-Aurélie Epis de Fleurian
Des livres pour en savoir plus :
La cuisine de grand-mère, éditions Atlas, 9,99 EurosTante Marie, la véritable cuisine traditionnelle, Editions Taride, 14, 50 EurosLa bonne cuisine de Maman Saint-Ange, Editions Larousse, 24,90 EurosClick Here: New Zealand rugby store

Arrêter de fumer progressivement, c'est possible !

Arrêter de fumer, quel fumeur n’y a jamais songé ? Mais il n’est pas si facile de sauter le pas. Comment réussir à se passer de cet ennemi si envahissant, de ce compagnon quotidien qu’est la cigarette ? Comment choisir “LA“ méthode qui vous conviendra le mieux ? Et si vous arrêtiez progressivement ?

Le tabac est une véritable drogue dont on ne décroche pas facilement. Une drogue légale, une drogue en vente libre, mais une drogue quand même. Dépendance physique, dépendance psychologique, les fumeurs doivent gérer le manque. Alors qu’on a longtemps pensé qu’il fallait s’arrêter totalement et brusquement, des méthodes de sevrage plus progressives sont aujourd’hui reconnues. Avec toujours le même objectif final en ligne de mire : écraser définitivement sa dernière cigarette.
Arrêter brutalement ne convient pas à tous
Les entreprises, comme les lieux publics, se sont mises à l’heure de l’interdiction complète et dans moins d’un an, ce sera au tour des bars, des restaurants et des boîtes de nuit. Pas facile d’allumer sa cigarette n’importe où. Pour fumer, il faut user de tous les stratagèmes, se cacher, sortir dans la rue et la “satisfaction“ de tirer sur sa cigarette en prend alors un coup… Les messages sanitaires ont été entendus et personne n’ignore plus les méfaits du tabac sur la santé. Les fumeurs sont de plus en plus nombreux à vouloir arrêter.
Si certains fumeurs parviennent à stopper du jour au lendemain, cette méthode brutale ne convient pas à tous et nombreux sont ceux qui replongent quelques semaines ou quelques mois plus tard. C’est alors la culpabilité ou le sentiment de manque de volonté qui vous submergent. A tort ! Car arrêter d’un seul coup n’est pas l’unique méthode, chaque personne fonctionne différemment l’objectif restant d’arrêter de fumer à terme. Et si vous optiez pour un arrêt progressif, pour un arrêt qui dure… ?
Comment procéder ?
L’angoisse de l’arrêt brutal n’est pas une alliée pour arrêter alors commencez par choisir des objectifs simples et progressifs.
Evaluer tout d’abord votre degré de dépendance. Mieux connaître les rapports qu’on entretient avec le tabac permet de se fixer des objectifs plus réalistes.Etape 1 : Fixez-vous une date d’arrêt dans les six semaines. Identifier les cigarettes qui vous semblent les plus indispensables et conservez-les. Eliminez toutes les autres en les remplaçant par des gommes ou des comprimés si vous ressentez un manque. Vous réduirez ainsi votre consommation quotidienne en vous aidant des substituts nicotiniques. Cette étape peut durer jusqu’à trois semaines.
Etape 2 : Eliminez les cigarettes difficiles une à une tout en continuant à utiliser gommes et comprimés en cas de besoin. Les laboratoires ont mis au point des formes faciles à transporter afin d’avoir toujours à portée de main la dose de nicotine pour éviter la tentation. Cette étape peut également durer trois semaines.
Si vous continuez à ressentir des sensations de manque, vous pouvez continuer à prendre des substituts nicotiniques, mais il faut garder à l’esprit qu’il faudra réduira progressivement ces prises.
Comment se faire aider ?
N’hésitez pas à recourir à l’aide d’un tabacologue qui pourra évaluer votre dépendance et vous aider dans votre arrêt pas à pas. Mais demandez également l’aide de votre pharmacien qui connaît bien les substituts nicotiniques et saura vous conseiller ce qui vous convient le mieux. Sachez-vous entourer pour réussir ce défi du quotidien.
Juliette LauzanneClick Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Garde alternée, allocations familiales partagées

A partir du 1er juin 2007, s’ils le souhaitent, les parents séparés ou divorcés ayant choisi la résidence alternée pour leurs enfants pourront se partager équitablement le montant des allocations familiales.
Cette nouvelle disposition, qui entrera en vigueur dès le 1er mai, s’inscrit dans la loi de financement de la Sécurité Sociale. Les premières allocations partagées pourraient donc être versées début juin. Cette mesure concerne au moins 10 % des couples divorcés , sans compter les couples séparés.
Pour bénéficier de cette nouvelle mesure, rien de plus simple : il suffit aux parents d’en faire la demande auprès de leur Caisse d’Allocations Familiales et de remplir un formulaire spécifique. En plus d’être offert aux nouveaux cas de résidence alternée, ce dispositif s’applique aussi aux anciennes situations, pourvu que la garde alternée soit effective. Cependant, si les parents le préfèrent, ils peuvent bien entendu continuer de désigner un allocataire unique. En cas de désaccord, précise le Ministère de la santé, le partage devient la règle si la résidence alternée est effective. Le calcul des droits tiendra compte du nombre d’enfants en résidence alternée.
Dans le cas des familles recomposées, chacun de ces enfants compte pour une demie part à ajouter à la part des enfants du nouveau foyer. Ainsi une famille recomposée qui compte 2 enfants en résidence permanent et 2 enfants en résidence alternée percevra 2 parts entières + 2 demies parts, soit en tout 3 parts pour 4 enfants.
Si vous avez opté pour ce mode de garde, n’hésitez pas à demander plus de renseignements à votre Caisse d’Allocations Familiales. Source : Communiqué de presse du Ministère de la santé, avril 2007Journal Officiel du 13 avril 2007

Une journée pour la santé et la sécurité au travail

Plus de 270 millions d’accidents du travail se produisent chaque année, dont 355 000 entraîneront le décès de la victime. C’est pour essayer de faire baisser ces chiffres que l’Organisation Internationale du travail a décrété le 28 avril Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail.
Bien sûr, le constat est plus alarmant dans les pays en développement, où les lieux de travail sont parfois insalubres, et les conditions loin d’être sécurisées. Mais même en Europe, il existe de fortes disparités : certains pays ont ainsi un taux d’accidents du travail deux fois plus élevé que leurs voisins. Et souvent, la couverture sociale et la prise en charge des accidents varient énormément d’un pays à l’autre. Parmi les initiatives mises en avant lors de cette journée, on notera le programme « Safework », proposé par le Bureau international du travail (BIT). Celui-ci a pour but de promouvoir une protection de base pour tous les travailleurs, conforme aux normes internationales du travail. Le BIT travaille notamment avec les Etats et les entreprises des différents pays, en les incitant à prendre des engagements fermes en matière de santé et de sécurité.
En espérant que cette action permettra aux travailleurs de tous les pays de travailler sans risque.Source : communiqué de l’Organisation Internationale du travail, avril 2007.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Peut-on cibler sa minceur ?

Comme beaucoup de femmes vous ne souhaitez pas changer de corps mais juste affiner votre ventre ou bien redessiner vos cuisses. Depuis quelques années, les compléments alimentaires maximisent vos efforts alimentaires et sportifs. Pour cibler sa minceur, suivez le guide !

Objectif ventre plat
Si vous estimez avoir besoin de façonner votre taille pas de panique, c’est une zone facile à affiner, alors avec de la volonté et un peu d’exercice, vous pourrez atteindre vos objectifs. Soyez nombriliste, personne ne viendra vous le reprocher…
Que manger ?
Tout d’abord, il est indispensable de varier au maximum son alimentation. Se priver totalement d’un aliment crée des frustrations, augmentant ainsi le risque de “craquer“ sur la première pâtisserie. Rien n’est interdit, tout est question de quantité ! Ensuite, manger dans le calme et mastiquer soigneusement chaque bouchée permet de se sentir rassasié avec des quantités raisonnables. Privilégiez les fibres et, évidemment, limitez les graisses. Faites donc la part belle aux légumes cuits, aux crudités, aux fruits, aux légumes secs et aux céréales complètes, en mangeant du pain complet par exemple. Les aliments riches en fibres, comme les noix et les lentilles, stimulent le transit intestinal, ce qui vous aidera à retrouver un ventre plat. Enfin, buvez beaucoup d’eau, de thé ou de tisanes qui vous aideront à éliminer les toxines. Pour éviter tout ballonnement, préférez boire entre les repas.
Que proscrire ?
Les boissons gazeuses, les épices et les chewing-gums font gonfler, limitez donc leur consommation. Même si les crudités sont saines, n’en abusez pas. Riches en eau, elles favorisent sa rétention. Pas génial pour retrouver une taille de guêpe. Pour finir, ne mangez ni trop épicé, ni trop salé. Il est donc conseillé d’éviter les plats industriels, souvent très riches en sel. Si vous parvenez à suivre correctement ces recommandations et que vous respectez les conseils suivants, vous vous approcherez peu à peu de vos objectifs, courage donc !
Quels exercices ?
Le renforcement de la sangle abdominale est essentiel pour retrouver un ventre plat. Tous les exercices qui sollicitent les abdominaux sont efficaces, alors plus d’hésitations, mettez-vous-y ! Pour observer des résultats, il est nécessaire d’être très régulier et puisque les graisses ne commencent à brûler qu’au bout de 15 minutes, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Attention cependant à préserver votre dos lors de ces exercices.
Quels compléments alimentaires ?
Depuis quelques années, les compléments alimentaires spécifiques ventre plat, vous font de l’oeil, utilisez-les, ils peuvent optimiser vos efforts. Composés généralement de plantes, ils se présentent sous forme de gélules ou de comprimés. Pour le ventre plat, on ciblera d’abord la digestion afin de la faciliter et d’éviter les sensations de ballonnement et de gonflement. Les compléments stars sont le plus souvent composés de fenouil, de charbon végétal ou d’argile verte ou encore de ferments lactiques qui permettront de rééquilibrer la flore intestinale. On pourra aussi y associer une action minceur avec du thé vert pour brûler les calories de la ceinture abdominale.
Des cuisses et des fesses de top model
Pas de chance, chez la femme, les graisses ont tendance à s’accumuler au niveau des cuisses et des fesses ! A ces endroits les dépôts graisseux servent de réserves pour fournir les ressources nécessaires pendant la grossesse et l’allaitement. Et ces dépôts sont malheureusement plus difficiles à éliminer. Mais quelques conseils simples vous permettront d’affiner vos gambettes.
Que manger, que proscrire ?
Comme pour le ventre, certaines habitudes alimentaires sont bonnes à prendre. Pour éviter au maximum l’apparition des capitons, ayez une alimentation saine et équilibrée. Reportez-vous donc aux conseils adaptés au ventre plat. Si vous rêvez d’amincir votre silhouette, de toute évidence vous devez limiter au maximum la consommation d’alcool. Même s’il n’a jamais fait de mal à personne quand il est consommé raisonnablement, il est en effet le meilleur ami des kilos superflus !
Quels exercices ?
Dans les cas de “culotte de cheval“, il faut travailler sur la musculature basse mais surtout sur la cellulite. Le renforcement de ces muscles n’amincit pas vos cuisses, il les tonifie ce qui améliore votre apparence. Choisissez de préférence des sports alliant fermeté et douceur : la bicyclette, la natation, la randonnée, l’aérobic et les exercices spécifiques pour renforcer vos fessiers. En complément du sport, les massages sont aussi efficaces par leur pouvoir drainant et désinfiltrant.
Quels compléments alimentaires ?
Comme pour le ventre plat, il existe de nombreux compléments permettant de donner un coup de pouce à votre régime. Qu’ils soient sous forme de gélules, de sirops ou de poudre à diluer dans une bouteille d’eau, ils remplissent généralement au moins deux de ces fonctions : drainer, brûler les calories, couper la faim et favoriser la diurèse.
Parmi les grands classiques, retenez que :
– le maté, le kola, le thé vert et le guarana, sont d’excellents brûleurs de graisses ;
– la reine des prés, le pissenlit, le cassis, le thé vert, l’écorce de bouleau et le frêne ont à la fois des propriétés draînantes et diurétiques ;
– le konjac, les graines de caroube et le fucus regorgent de fibres qui gonflent au contact de l’eau, les mucilages. Ils coupent donc efficacement la faim.
L’été arrive, plus une minute à perdre… Si vous voulez choisir sans complexe le maillot de bain de vos rêve, c’est le moment d’attaquer un petit régime !
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