Ne ratez pas votre test de grossesse !

Vous pensez être enceinte, et pour en être sûre, vous allez acheter un test de grossesse. Mais savez-vous utiliser au mieux ce produit d’autodiagnostic ? Quel produit acheter ? Quand faut-il l’utiliser ? Nous tordons le cou aux idées reçues pour un résultat sans faille.

On peut faire son test dès qu’on pense être enceinte
Non bien sûr, il faut attendre le premier jour des règles suivantes, un peu avant avec les tests précoces. Pourquoi ? Parce que les tests détectent la présence d’une hormone, la hCG, qui est secrétée par l’ovule fécondé lorsqu’il s’implante dans l’utérus. Ainsi, si votre ovulation a eu lieu le 14e jour de votre cycle (en comptant à partir du premier jour des règles), l’ovule a été fécondé aux environs du 16 e jour. Il va donc s’implanter dans l’utérus vers le 21 e jour. L’hormone HCG commence a être secrétée vers le 23e jour. Le taux sera suffisamment élevé pour permettre une détection entre le 25e et le 28e jour (selon les tests), c’est-à-dire au moment ou devraient commencer les règles suivantes.
On peut acheter des tests de grossesse en grandes surfaces
Non, on ne peut pas acheter les tests de grossesse en grandes surfaces. Ils sont vendus exclusivement en pharmacie. Si parfois, on peut en trouver dans des magasins, c’est qu’ils ne respectent pas la loi. Dans tous les cas préférez acheter ces produits en officine, vous pourrez demander conseil.
On peut acheter des tests de grossesse sur Internet
N’achetez surtout pas vos tests sur internet ! Certes, on peut trouver des offres défiant toute concurrence, surtout si on achète des lots de 10. Mais vous vous exposez à deux risques : d’abord, ils peuvent ne pas répondre aux normes européennes, et être beaucoup moins sensibles que ceux vendus en France. De plus, il s’agit de produits fragiles, qui craignent les écarts de température. Ceux que vous commandez risquent d’avoir voyagé dans des conditions pour le moins aléatoires, leur efficacité n’étant pas garantie.
Les produits ont tous la même sensibilité
C’est faux, il existe des tests de différentes sensibilités. Les plus fiables sont ceux qui peuvent détecter 40 à 50 UI (unité internationale) d’hormones par litre. Les tests précoces (3 jours avant la date présumée des règles) détectent à un seuil de 25 UI. Mais on trouve encore des tests qui ne détectent que 100 UI/L.
Les faux positifs sont courants avec les tests de grossesse
Un faux positif, c’est lorsque le test vous dit que vous êtes enceinte alors que vous ne l’êtes pas. C’est aujourd’hui plus rare que par le passé : auparavant, les tests étaient moins spécifiques et pouvaient détecter par erreur d’autres hormones que la hCG. Aujourd’hui, un faux positif sera lié à une cause précise : Par exemple, si vous prenez des médicaments qui contiennent l’hormone hCG qui est détectée par le test (dans le cas de problème de fertilité par exemple). L’autre cause est un avortement spontané, si par exemple il n’y a pas eu d’implantation dans l’utérus. Ce résultat doit être confirmé par une prise de sang pour être sûr.
Les faux négatifs sont courants avec les tests de grossesse
Un faux négatif, c’est lorsque vous êtes enceinte, mais que le test ne l’a pas détecté. Cela est plus courant que les faux positifs mais reste très rare, grâce à la sensibilité plus grande des tests. Cela ne peut s’expliquer que par des évènements précis, tels qu’une ovulation décalée, qui se serait produite en fin de cycle. Cela peut aussi se produire si vous faites le test de manière trop précoce. Et que les taux d’hormones sont trop bas. Tout dépend alors de la qualité du test. Il est dans tous les cas important de bien suivre les instructions (bien prendre les urines du matin, bien attendre le délai indiqué avant lecture) pour éviter les faux négatifs.
Les tests de grossesse sont remboursés
Non malheureusement ils ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale. Il vous en coûtera donc aux alentours de 10 euros.
Alain Sousa

Le Tour encore rattrapé par le dopage

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Dans le jargon journalistique, un marronnier est un sujet qui chaque année, à la même époque ressort immanquablement. Et si le chocolat à Pâques ou les soldes d’été sont des exemples sympathiques, il en existe d’autres que l’on aimerait voir disparaître. Parmi eux : le dopage sur le Tour de France. Et pourtant cette fois, on a presque envie de plaindre les organisateurs pour cette mauvaise publicité.
Alors que le chef de l’Etat assurait le 17 juillet 2007 les dirigeants de l’épreuve de son soutien concernant les efforts faits pour arriver à un Tour propre. Le lendemain, c’est la télé allemande qui lâche le Tour. En effet, les chaînes publiques ARD et ZDF ont arrêté, jusqu’à nouvel ordre, sa retransmission. La cause : l’annonce d’un cas de dopage à la testostérone de Patrik Sinkewitz, cycliste de la formation T-Mobile, par la Fédération allemande de cyclisme (BRD). Ce contrôle a eu lieu lors d’un stage d’entraînement de l’équipe T-Mobile en vue du Tour de France le 8 juin, donc avant le début de l’épreuve proprement dite. Depuis, ce coureur a été contraint à l’abandon, suite à un important traumatisme facial après un choc avec un spectateur lors de la 8e étape.
L’équipe T-Mobile avait pourtant semblé faire table rase d’un passé plutôt houleux en changeant différents membres de la direction. C’est cette même équipe qui accueillait l’an passé Jan Ulrich soupçonné dans l’affaire Puerto et qui avait compté dans ses rangs (alors qu’elle s’appelait encore Telekom) Erik Zabel, Bjarne Riis et Rolf Aldag, tous ayant avoué depuis avoir eu recours à l’EPO. Jugeant le comportement de son coureur très décevant, T-Mobile l’a immédiatement suspendu.
Le 19 juillet 2007, c’est la Fédération danoise de cyclisme qui exclut de l’équipe nationale Michael Rasmussen, actuel maillot jaune. Cette décision intervient après que le coureur ait reçu plusieurs avertissements de l’agence antidopage danoise et de l’union cycliste internationale pour ne pas les avoir informé d’indiquer le lieux de ces entraînements (évitant ainsi de possibles contrôles inopinés). Même s’il n’y a pas de soupçons concrets de dopage, le coureur a été individuellement informé de cette décision avant le début du Tour de France le 26 juin. Mais c’est la télé danoise DR1 qui aujourd’hui a fait éclater l’affaire, les instances sportives danoises n’ayant officiellement l’intention d’officialiser l’affaire qu’en août…
Les plus optimistes verront dans ces contrôles le témoignage d’une réelle volonté de lutter contre ce fléau dans le cyclisme tandis que les plus pessimistes se lamenteront de ne pouvoir oublier cette vague de soupçon omniprésente encore autour de ce sport.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Bien choisir son lecteur de glycémie

Evaluer le taux de sucre dans son sang, c’est le quotidien des patients diabétiques. Répété plusieurs fois par jour, ce geste permet de mieux vivre avec sa maladie. Pour minimiser les contraintes de cette autosurveillance, les lecteurs de glycémie sont de plus en plus pratiques. Grâce à nos conseils, choisissez le bon !

Selon l’Organisation mondiale de la santé, 180 millions de personnes sont atteintes de diabète dans le monde et ce chiffre devrait doubler d’ici 2030 ! La France n’est pas épargnée avec plus de deux millions de malades. Face à cette maladie chronique caractérisée, le patient est souvent acteur de sa prise en charge en surveillant lui-même son taux de sucre dans le sang. Une auto-surveillance qui a longtemps été perçue comme une contrainte supplémentaire pour le malade. Mais aujourd’hui, des lecteurs de glycémie nouvelle génération facilitent la vie des diabétiques. Encore faut-il choisir le bon !
L’intérêt de la surveillance glycémique
L’autosurveillance glycémique (ASG) est apparue dans les années 1970. Elle consiste pour le patient diabétique à mesurer lui-même son taux de sucre dans le sang, à l’aide d’un appareil appelé lecteur de glycémie. C’est un élément central de l’éducation thérapeutique et donc de la prise en charge des personnes diabétiques.
Pour les diabétiques de type 1, ces résultats sont très importants car ils permettront d’adapter ou d’ajuster le traitement par insuline. Chez les diabétiques de type 2, cette surveillance est recommandée pour tous les patients traités par comprimés, afin d’adapter leurs posologie. La glycémie est également recommandée chez les patients pour lesquels l’insuline est envisagée à court ou moyen terme selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé.
Indispensable à la prise en charge du diabète, l’autosurveillance glycémique est parfois ressentie comme une contrainte ou un facteur d’angoisse. Au contraire, elle est un outil pour mieux vivre avec son diabète. Encore faut-il pouvoir bénéficier de lecteurs de glycémie fiable et simple associé à un autopiqueur très doux.
Comment fonctionne cette analyse ?
C’est le sang déposé sur la bandelette réactive qui va déclencher une réaction chimique proportionnelle à la quantité de sucre dans le sang. Attention, cette valeur peut être affichée dans deux unités différentes sur certains lecteurs. Dans ce cas, choisissez celle que votre médecin aura indiquée et surtout n’en changez pas en cours de suivi. Pour faire l’analyse, le lecteur et la bandelette ne se suffisent pas, il faut l’associer à un autopiqueur utilisant des lancettes. Chaque marque de lecteur et d’autopiqueur est compatible avec un type de consommables.
Des lecteurs de glycémie de nouvelle génération
Au-delà des efforts concernant l’éducation thérapeutique du patient, les fabricants ont intégré aux lecteurs de glycémie de très nombreux progrès technologiques. En 1974, le premier lecteur de glycémie pesait près d’un kilo, et le premier lecteur de glycémie “portable“ date de 1981, mais il nécessitait une quantité de sang importante, une “grosse“ goutte de 15 à 20 microlitres et un délai d’attente de plusieurs minutes pour vérifier le résultat. Aujourd’hui, les lecteurs sont plus petits, plus maniables, faciles à transporter et plus rapides. Certains éléments sont à prendre en compte avant l’achat de votre lecteur de glycémie :
Le confort : Les derniers lecteurs nécessitent des volumes de sang de plus en plus faibles, ce qui permet des piqûres tout en douceur selon les modèles d’autopiqueur. Vous devrez également vous assurer que le réglage de l’appareil n’est pas trop compliqué ;
La rapidité et la précision : Le temps de lecture de la glycémie est également à prendre en compte, il est moins contraignant d’attendre quelques secondes que plusieurs minutes… Pensez à vous renseigner sur la précision de l’appareil. Certains modèles peuvent signaler si le volume de sang est insuffisant, prendre en compte les facteurs extérieurs comme l’humidité ou la température ainsi que le taux d’hématocrite (taux de globules rouges, un indice important pour pouvoir suivre la glycémie pendant une grossesse) et même reconnaître les bandelettes périmées pour empêcher leur utilisation ;
L’ergonomie : Les petits modèles permettent une prise en main rapide. Leur look peut séduire les plus jeunes patients, chez qui la surveillance de glycémie est parfois mal vécue. Du côté pratique, si vous avez des difficultés à lire les petits caractères, vérifiez la taille de l’affichage ;
La navigation : Certains appareils électroniques permettent une navigation simple entre les analyses récentes ou anciennes. Pensez à vous renseigner sur la compatibilité de l’appareil avec un ordinateur si vous souhaitez tenir un carnet informatique de vos données. Ce sont autant d’atouts pour mieux suivre et ajuster le traitement.
Dans tous les cas, le lecteur doit répondre à vos attentes. Il n’y a pas de bon choix générique car chaque personne a des désirs et des utilisations différentes. Etablissez une liste de ce qui est important pour vous et voyez avec votre médecin et votre pharmacien pour faire le meilleur choix. Dans tous les cas, n’hésitez pas à poser toutes les questions qui vous viennent à l’esprit aux professionnels de santé. Il est important pour vous de connaître parfaitement votre futur lecteur et son utilisation.
Bien utiliser son lecteur
Le bon usage du lecteur est ensuite indispensable. Première recommandation : vérifiez régulièrement que votre lecteur est bien réglé et que les résultats qu’il indique sont fiables. Pour cela, vous pouvez utiliser les solutions de contrôle fournies par les laboratoires. Autre possibilité, utiliser des bandelettes qui permettent un contrôle visuel de la valeur de la glycémie grâce à la couleur.
Vérifiez également que vos bandelettes ne sont pas périmées, elles risqueraient dans ce cas de vous induire en erreur. Elles ne doivent pas être humides et conservées à une température raisonnable.
Ne désinfectez pas le bout de votre doigt, ne touchez pas la bandelette sur sa partie réactive, cela pourrait également fausser le résultat. Vérifiez régulièrement les piles ou batteries ainsi que la propreté de votre appareil.
Et s’il fait trop chaud ou trop froid, prenez des précautions. En effet, les réactifs et bandelettes supportent mal les grandes chaleurs et les grands froids mais également les brusques variations de températures. Si vous devez transporter ces réactifs, conservez-les dans leurs emballages d’origine et choisissez la solution des pochettes isothermes sans y ajouter de glace ou autre.
Anne-Aurélie Epis de Fleurian et Luc Blanchot
Sources :
– Message d’information pour les patients utilisateurs de lecteurs de glycémie concernant les unités de mesure de la glycémie capillaire – AFSSAPS – mai 2007
– Vous et votre suivi glycémique à l’aide d’un lecteur de glycémie en cas de vague de chaleur et de froid – AFSSAPS 2005

“The Muppets” : la bande-annonce [VIDEO]

Après un excellent Teaser qui parodiait ouvertement le “Millenium” de David Fincher, place cette fois-ci à la bande annonce toute aussi excellente et drôle du film “The Muppets” ! Kermit la grenouille et toute sa bande vous donne rendez-vous en salle le 11 avril 2012. En attendant, images !

Synopsis : Engagé pour réaliser un film, Gonzo dépense tout le budget dès le premier jour, et doit donc se débrouiller pour terminer le long métrage sans le moindre sou, avec l’aide de ses amis Muppets.

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Carragher reveals argument he used to persuade Owen to stay

Jamie Carragher “was convinced” Michael Owen shouldn’t leave Liverpool to join Real Madrid.

Owen burst onto the scene at Anfield as a teenager, spending eight years in the first team before departing in 2004.

The striker himself claims that he decided to sign for Real “to prove Carra wrong”, his former team and roommate having been there when he received the call from his agent.

Carragher says his argument was not “just thinking of Liverpool”, and rather took Real’s striking options at the time into consideration.

“He actually took the call to go to Real Madrid in the room in pre-season,” he told Sky Sports.

“So I was the first person, before maybe even his family, who knew about the Real Madrid situation and we actually had a good chat about it. I was convinced he shouldn’t go.


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“I wasn’t just thinking of Liverpool – I was desperate for him to stay, he was a top player – but more that, at that time, Real Madrid had Raul, Morientes and Ronaldo. He was just convinced that he would still play. He was saying, ‘well when I came through at Liverpool it was Robbie Fowler and Stan Collymore, that didn’t bother me!’

“He had such self-belief. Stevie Gerrard was after him… thankfully no Real Madrid call!”

Gerrard, coincidentally, named Owen as one of the two best strikers he ever played alongside at Liverpool.

“I played with Michael when I was quite young,” he said last month. “I always knew that Michael was on the same page and the same wavelength. I didn’t use to have to look twice.”

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Klopp, Henderson impress in crunch Premier League meetings

Liverpool manager Jurgen Klopp and captain Jordan Henderson both had telling impacts in this week’s Premier League meetings.

In an attempt to outline plans to resume the Premier League season, separate summits were held with managers and captains or PFA representatives of all 20 top-flight clubs on Wednesday.

The meetings were designed to explain medical protocols and assuage existing concerns, but The Athletic reports that stakeholders ‘remain divided’ over Project Restart.

It is stated that clubs are ‘mostly on board to begin stage one of a phased return to training over the next week’. But the complications will come in the next stages, as players start to train in larger groups and eventually work towards full matches.

Mark Noble and Troy Deeney ‘spoke up with authority’ about health issues in particular, while Jose Mourinho was said to be the most vocal among the manager.

The Portuguese ‘launched an passionate defence of the many sectors linked to the football industry who may stand to lose out if the sport does not return rapidly and in a strong fashion’.

Liverpool also had an impact across both meetings. A source said that Klopp carried a “sense of humility and perspective” in his message, while captain Henderson ‘impressed’.

Klopp was among a group of four managers who ‘were particularly vocal over their concerns around player welfare,’ alongside Frank Lampard of Chelsea, Watford’s Nigel Pearson and Brighton coach Graham Potter.

Pearson and Potter ‘also outlined significant concerns’ on ‘the statistics surrounding BAME players’ and how they are said to be more susceptible to some aspects of the virus.

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Ferguson ‘had no idea’ of Man United title winner’s struggles

Former Man United striker Luke Chadwick has opened up on the abuse he suffered as a player over his appearance.

Chadwick broke into the Man United first team in 1999, making his debut for the Treble winners before making 16 Premier League appearances in the 2000/01 season – enough to earn a title medal.

He left permanently in 2004 after a spate of loan deals, with the 39-year-old now working as a coach for Cambridge’s academy.

Chadwick was taunted over his appearance from a young age, an issue he attributes to a childhood fear of dentists, not having braces when he was younger and then having to undergo corrective surgery to move his jaw forward.

That led to him becoming a target of ridicule for opposition fans and even Friday evening BBC show ‘They Think It’s All Over’, which Chadwick says left him so “anxious” he often refused to leave his own flat.

“I was always so anxious about going out,” he told The Athletic. “Even if people didn’t say anything to me, I was worried they were thinking that about me or that someone might say something. All I would really do was go training, then come home and stay in my flat. And if anyone asked me if I was all right, it was always, ‘Yeah yeah, I’m fine, it’s just what I want to do’.

“I wouldn’t say it affected me on the pitch or that it was the reason why I didn’t have an incredible career at Man United. It was more how it affected me off the pitch. I would be anxious going out. Even going to the Trafford Centre, it was always in the back of my mind that someone might say something negative to me or that people would be looking at me a certain way.

“Everything was about my appearance and the way I looked off the pitch. I just found it really hard to deal with. I was a really quiet, shy boy. I didn’t speak much anyway and it really stunted my growth as a person.”


Chadwick: Keane ‘would make your life a living hell’


The article adds that Sir Alex Ferguson ‘had no idea that his player was so troubled,’ while the abuse he was subjected to by the They Think It’s All Over panel was the most difficult.

“They Think It’s All Over was such a hugely popular show back then,” Chadwick said. “When they started bringing it up, they were bringing me to the attention of millions of people.

“I remember the first time and someone texting me to say, ‘Nice appearance on They Think It’s All Over‘. I was so shocked because I was quite naive back then, even if I was playing occasionally for Man United.

“I looked at that text and I thought, ‘Oh no, what’s this?’. Then more people started talking about it. I watched it the next week and I could see people laughing at these jokes about me. It was obviously funny to other people but, to me, it didn’t feel like that. It was on every Friday and then the next day, when the game was on, it was fresh in people’s minds.

“After that, I would dread every Friday. I wasn’t a hugely confident guy anyway and this just made it worse. I used to half-watch it, hoping and praying that they would stop. But they never did. It just carried on and on. Because it was silly and childish, if it had happened once, I don’t think it would have been that much of a problem. It was the continuation every single week that really got to me. They would bring me up every week.

“I have always asked myself whether I should have tried to speak to them about it. As a 19 or 20-year-old boy, would it have been possible to speak to someone at the BBC and stop them talking about me? Or would they have carried on anyway? You’d like to think it would have stopped. But I don’t know. At the time, it was just accepted.”

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Premier League boss outlines opposition to using five subs

Brighton head coach Graham Potter indicated he was opposed to the Premier League introducing a temporary rule change from football’s lawmakers that would allow a team up to five substitutes per match.

The International Football Association Board (IFAB) last week approved the FIFA proposal as a means of protecting player welfare due to the likelihood of leagues cramming fixtures into a small time-frame in warmer temperatures.

No discussions have so far taken place about the topic between the Premier League and the clubs, according to Brighton chief executive Paul Barber, who believes there are far more important issues to resolve first.

Potter, though, said: “I think as soon as you start to change the rules regarding substitutions, it becomes different to what we started in the first place.”


Every Premier League club’s most used Plan B off the bench…


An addendum to the IFAB media release said individual competitions could suspend the video assistant referee system for the remainder of the season if they so wished.

VAR has proven controversial since being adopted by the Premier League at the start of the 2019-20 season and clubs may well choose a discontinuance.

However, while there is not yet even a definitive resumption date for the league as it looks to conclude a campaign which has been halted for several weeks because of coronavirus, Barber insists any vote on these matters can wait.

Top of the agenda for Barber and Brighton is a vote on medical protocols at the league’s shareholders’ meeting next Monday, where the debate surrounding ‘Project Restart’ is set to continue.


Every Premier League club’s most substituted player


If talks are successful then Brighton are planning for their players to take part in the first phase of training the following day, which would see players tested before working out individually or in small groups as part of Government guidelines.

Barber said: “I know a couple of stories were talking about VAR and five substitutes and things like that. We haven’t had any notice of change. And I wouldn’t expect that to come obviously before medical protocols.

“And then I would expect it to come at a point where we’re talking about the return to play protocols, because that’s where it would really matter.

“So we’ve got no notice of that yet and so no idea when we might be asked to talk about it or even vote.”

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No Immunity After AZ Lawmaker Brags He Drives 140 MPH, Ducey Says

PHOENIX, AZ — Arizona Gov. Doug Ducey is pushing for a statewide vote as early as next year to end constitutional protections that give lawmakers immunity in certain circumstances, including for traffic citations. Ducey is calling for “needed reform” after an Arizona lawmaker claimed legislative immunity when a sheriff’s deputy stopped him for speeding in March, and boasted that he sometimes drives as fast as 140 mph.

Ducey signed an executive order last week that directs state troopers to cite lawmakers if they violate traffic laws, but he wants to make the change permanent in the Arizona Constitution by putting it to a referendum vote.

Quoting Theodore Roosevelt, who said “no man is above the law and no man is below it,” Ducey tweeted that “we must make sure those words hold true in Arizona today.”

“I intend to work in collaboration with the Legislature to address this as one of our first orders of business next session, by referring this to the people,” he wrote. “There is bipartisan support for this needed reform.”

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A body camera video obtained by television station KLPZ shows state Rep. Paul Mosley, a Republican from Lake Havasu City, telling a La Paz County sheriff’s deputy that he sometimes drives as fast as 140 mph as he rushes to get home from the state capitol to surprise his wife. Mosley’s district near the California border is about 150 miles west of Phoenix.

“I don’t break the law because I can, but because, you know, I’m just trying to get home,” Mosley said, according to the video.

When he was stopped, Mosley was driving 97 mph hour in a 55 mph zone.

Though he wasn’t ticketed, the mess cost Mosley, who is seeking re-election, the endorsement of the Arizona Fraternal Order of Police.

“Rep. Mosley’s recklessness, his demeanor and his utter disregard for the safety of the public represent the exact opposite of what the Arizona Fraternal Order of Police looks for in an elected official,” the group’s president, John Ortolano, said in a statement. “Potentially lethal speeding isn’t a joke. We will not stand with those who think it’s acceptable or funny to risk the lives of others while behind the wheel of a lethal weapon.”

In signing the executive order, Ducey said: “No one is above the law, and certainly not politicians. Everyone should know that, but clearly a reminder is needed. Public safety must come first, and we have a responsibility to ensure that our officers are supported in enforcing the law, and have the tools, under the Constitution, to hold all bad actors accountable. This executive order will provide Arizona’s officers with the support and trust they need to exercise their professional judgment and expertise without regard for an individual’s political stature.”

The March incident wasn’t the first time Mosley escaped getting a ticket. The Arizona Republic reported that he has been pulled over multiple times by Arizona Department of Public Safety officers since taking office in 2017. Each time, he received a warning, and law enforcement agencies have said their hands were tied and they couldn’t issue citations to lawmakers while the Legislature is in session.

The Arizona Constitution provides for legislative immunity and says lawmakers are “privileged from arrest in all cases except treason, felony, and breach of the peace, and they shall not be subject to any civil process during the session of the legislature, nor for fifteen days next before the commencement of each session.”

However, House attorneys and outside lawyers told the Arizona Republic they don’t think the provision gives lawmakers immunity for speeding violations.

Ducey’s executive order applies to state law enforcement officers, but he encouraged other law enforcement entities to adopt similar policies.

The Associated Press contributed reporting.

Lead photo by Laura Segall/Getty Images

Mom Also Charged In Burning Death Of Louisiana Baby; 2 In Custody

NATCHITOCHES, LA — The mother of a baby boy whose severely burned body was found near railroad tracks in Natchitoches Parish has now been charged in his murder, authorities said. Hannah Barker, 22, is the second person charged in the horrific death of 6-month-old Levi Cole Ellerbe.

Barker initially told authorities the baby had been kidnapped by intruders who sprayed her with a chemical believed to be mace the evening of July 17. She said she fled to escape them and discovered her son missing when she circled back to her home in the Mayberry Mobile Home Park.

Barker, who was arrested Wednesday, is being held in the Natchitoches Parish Detention Center awaiting a 24-hour hearing, according to a police news release. She was charged with being a principal to first-degree murder in her son’s death.


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Previously arrested was Felicia Marie-Nicole Smith, 25, who was booked on suspicion of first-degree murder. Additional charges against Smith, police said.

Police didn’t say how the two women know each other. No further information will be released “due to the extremely rapidly growing nature of this investigation,” the police department said.

“The Natchitoches Police Department and the Louisiana State Fire Marshal’s Office have worked tirelessly together in order to learn the facts behind this homicide,” the release said. “The two agencies have worked as one since this investigation’s conception through extremely long days and nights with little to no sleep.”

The baby was still alive when he was found near railroad tracks on Breda Avenue. He was taken to the Natchitoches Regional Medical Center and later airlifted to University Medical Center in New Orleans, where he died of his injuries.

Photo of Hannah Barker via Natchitoches Police Department