Jean-Marie Bigard est papa

Pour Bigard, enfin un coin de ciel bleu… layette! A 55 ans, l’humoriste et Claudia, son épouse depuis 1991, ont mis au monde leur premier enfant: un petit Sacha.

La dépression n’était pas loin… Mais Jean-Marie Bigard peut aujourd’hui à nouveau sourire à la vie. Claudia, son épouse depuis 1991 a accouché (par césarienne) d’un petit garçon, prénommé Sacha (2,9 kg et 47 cm à la naissance). La future maman de 46 ans, aurait eu recours à un traitement médical en Italie. Heureux événement pour ce couple qui désespérait de pouponner un jour… même si l’artiste nous confiait en 2007 : «On ne lâchera jamais le morceau.» Grâce à cette naissance, Jean-Marie Bigard met un terme à une série de déconvenues cette année. Depuis ses déclarations sur les attentats du World Trade Center, en septembre dernier, son public l’avait lâché. Il avait même été contraint d’annuler Clérambard, la pièce de théâtre à laquelle il tenait tant.

Dans l’émission On Va S’Gêner de Laurent Ruquier sur Europe 1, le trublion avait fait fort en reprenant à son compte les théories de Thierry Meyssan, auteur du livre L’Effroyable Imposture. Le roi de la vanne en dessous de la ceinture avait affirmé que les attentats du 11 septembre 2001 étaient «un mensonge absolument énorme». Alors que les invités de l’émission commentaient la propos de John McCain qui entendait «attraper Oussama ben Laden», Jean-Marie Bigard s’était lancé dans une démonstration très personnelle sur les tragiques attentats de 2001. Il avait d’ailleurs attaqué fort avec: «Il est mort depuis longtemps, Ben Laden».

Puis, loin de son registre habituel, l’artiste avait mis le paquet: «On en est absolument sûr et certain maintenant que les deux avions qui se sont écrasés sur la forêt et le Pentagone n’existent pas. Il n’y a jamais eu d’avion. Ces deux avions volent encore (…) On commence à penser sérieusement que ni Al-Qaida ni aucun Ben Laden n’ont été responsables du 11-Septembre». Après ces déclarations, l’humoriste a été boudé par les chaînes de télévisions et a vécut des jours difficiles. Désormais aucun doute: le petit Sacha va lui redonner le sourire…

Mardi 23 juin 2009

Michael Jackson: 12 nounous pour son premier bébé

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Depuis la mort du King of Pop, les révélations tombent les unes après les autres. Le mythique interprète de Thriller était exagérément père.

Dès son plus jeune âge, Michael Jackson rêvait de fonder un foyer. En 1997, son premier enfant, Prince Michael naît. Le King of Pop est aux anges et souhaite que son (jeune) fils dispose de tout ce qui se fait de mieux.

Ainsi, Michael Jackson engage 12 personnes, pour être certain que l’enfant ne soit jamais seul. Six nounous et six infirmiers se relaient jour et nuit auprès de l’enfant. Un ancien employé de Neverland témoigne: «Ils travaillaient en se relayant, de manière à ce qu’il y ait toujours au moins deux nounous et deux infirmiers près de lui, ils étaient surveillés par l’équipe de sécurité de Michael Jackson».

Michael, dont l’aversion pour les microbes était mondialement connu, ordonnait aux nounous de jeter les jouets des enfants tous les soirs afin que ces derniers ne soient pas envahis par les germes.

Une nurse révèle: «On devait mesurer la qualité de l’air dans la chambre du petit une fois par heure et lorsque nous lui donnions à manger, chaque ustensile devait être jeté après une seule utilisation». Pour Debbie Rowe, qui n’en est plus à une contradiction près, «Michael était un bon père». Et pourtant! D’après l’auteur J. Randy Taraborelli, (dans son livre Michael Jackson: The Magic And The Madness), Debbie Rowe voyait très peu ses enfants.

Il rapporte un étrange épisode du feuilleton Jackson. «Six mois après la naissance de Prince, les parents ont fièrement posé avec le nouveau né, mais c’était la première fois depuis la naissance que Debbie voyait l’enfant». Un employé de Neverland le confirme : «On ne la voyait jamais, c’est comme si l’enfant n’avait pas de mère». Bambi était un vrai papa poule, et Debbie Rowe une mère absente, mais elle n’avait peut-être pas d’autres choix, que d’ignorer la chair de sa chair. Aujourd’hui, elle ne semble pas non plus certaine de vouloir rattrapper le temps perdu…

Vendredi 3 juillet 2009

Au Qatar, l’alcool coûte deux fois plus cher depuis le 1er janvier

Un pack de 24 bières à 92 euros. En ce début d’année 2019, le Qatar a introduit une taxe de 100% sur les boissons alcoolisées, ce qui double les prix. La Qatar Distribution Company, unique distributeur d’alcool dans ce petit pays conservateur du Golfe, a publié, lundi 31 décembre, une liste des nouveaux prix de la bière, du vin et des spiritueux. Ainsi, la nouvelle taxe porte à 20 euros le prix d’une bouteille de vin rouge Shiraz provenant d’Afrique du Sud et à plus de 80 euros le litre de gin.L’introduction de cette taxe indirecte, un “droit d’accise”, survient quelques semaines après l’annonce par Doha de la mise en place d’une nouvelle “taxe sélective” sur les produits nocifs, dont “une taxe de 100% sur le tabac et ses dérivés ainsi que sur les boissons énergisantes et une taxe de 50% sur les boissons sucrées”. Les produits à base de porc importés sont également concernés par cette hausse des prix.L’achat d’alcool est légal au Qatar à condition d’obtenir un permis spécial et peut être consommé dans des bars, clubs, hôtels disposant d’une licence, mais pas dans l’espace public. A ce propos, les organisateurs de la Coupe du monde de football en 2022 ont déjà indiqué que l’alcool serait disponible pour les fans dans des espaces prévus à cet effet.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Japon : les derniers vœux de l’empereur Akihito

Le dernier discours d’un empereur. Akihito, 85 ans, va abdiquer en avril prochain. Il est le premier monarque japonais, depuis 2 600 ans, à avoir le droit de quitter le trône de son vivant. “En cette nouvelle année, je souhaite à tous les Japonais et au monde entier paix et bonheur”, a-t-il déclaré, lors de ses derniers vœux au palais impérial de Tokyo (Japon). Les Japonais sont venus encore plus nombreux que d’habitude pour dire adieu à un empereur très populaire. “Il a été un roc pour tous les Japonais. J’ai voulu lui dire merci”, confie une Japonaise.Une loi d’exception pour lui permettre de partir“Longue vie”, c’est ce qu’on souhaitait à Akihito dans toutes les cérémonies officielles. Mais lui trouvait que presque 30 ans sur le trône, c’était trop. Il avait brisé un tabou en le déclarant publiquement, le 8 août 2016. Le gouvernement a dû voter une loi d’exception pour lui permettre de partir. Un homme modeste, proche de son peuple. Il avait été le premier monarque japonais à épouser une roturière.Le JT

  • JT de 13h du mercredi 2 janvier 2019 L’intégrale

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VIDEO. Chasse à la glu, à la tendelle… ces pratiques que les défenseurs des animaux dénoncent

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Les défenseurs des oiseaux se battent depuis des années contre cette méthode : la chasse à la glu. Cette chasse “traditionnelle” qui date de l’époque de la Grèce antique consiste à capturer des oiseaux à l’aide de tiges en bois enduites de glu et posées sur des arbres ou buissons. Jugée “cruelle” par les défenseurs des animaux, cette technique est pourtant toujours utilisée. Le 28 décembre 2018, le Conseil d’État a même accordé une dérogation pour autoriser la chasse à la glu dans cinq départements – Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse – pour une capture sélective des grives et des merles noirs.Des techniques qui ne devraient plus existerEn revanche, défenseurs des animaux et certains politiques ne sont pas de cet avis concernant la notion de “capture sélective“. “C’est une chasse qui n’est pas sélective (…) nous nous devons de protéger les espèces protégées. Nous devons protéger les oiseaux qui peuvent malencontreusement se coller aux bâtons enduits de colle qui ne leur sont pas destinés”, a notamment déclaré la députée écologiste (EELV) Laurence Abeille. La Ligue pour la Protection des Animaux a, elle, annoncé qu’elle porterait plainte auprès de la Commission européenne. D’autres techniques de chasse traditionnelles perdurent comme la chasse à la matole. L’animal est capturé en faisant tomber sur lui une petite cage en fer. Bougrain Dubourg, président de la Ligue de Protection des Oiseaux, juge cette pratique “complètement illégale”. La chasse à la tendelle quant à elle nécessite l’utilisation d’une grosse pierre plate maintenue soulevée à l’aide de brindilles. En passant, l’oiseau fait tomber les bâtonnets et se retrouve alors piégé, écrasé par la pierre.  En 2009, une directive européenne a interdit les “méthodes de capture ou de mise à mort massive ou non sélective” d’oiseaux mais a malgré tout prévu des dérogations. Click Here: NRL Telstra Premiership

“Yao”: chronique d’un retour en Afrique pour Omar Sy et Philippe Godeau

franceinfo Afrique : Vous avez écrit ce film en pensant à Omar Sy. Pourquoi lui pour une expérience, celle du retour aux sources, qui aurait pu se dérouler n’importe où dans le monde ?Philippe Godeau : Je voulais faire un film en Afrique et j’avais la trame de cette histoire. Je l’ai racontée à Omar et il a trouvé l’idée très intéressante. Avec Agnès de Sacy, je l’ai écrite en pensant évidemment à Omar à chaque page, avec le Sénégal pour décor et en jonglant avec ce qui est déjà la réalité d’Omar, un acteur connu, originaire de ce pays et né dans les Yvelines.Pourquoi souhaitiez-vous tourner en Afrique ?Quand j’étais adolescent, j’allais voir mon père qui travaillait au Mali. Ces voyages m’ont transformé. J’ai eu envie, grâce au cinéma, d’essayer pendant près de 2h de faire ressentir l’expérience d’un voyage en Afrique, et dans ce cas particulier au Sénégal.C’est donc un double, voire un triple retour aux sources pour vous, Omar Sy et son alter ego cinématographique Seydou Tall ?C’est vrai ! Chacun, pour des raisons différentes, avait envie de transmettre et de faire ressentir des valeurs un peu perdues ici : l’hospitalité, le partage, cette notion du temps qui n’est pas la même, la spiritualité qui est partout… Et, encore une fois, ce qu’on ressent en faisant un tel voyage. Omar Sy explique qu’il n’était pas retourné au Sénégal depuis huit ans quand il a fait ce film… Il y avait évidemment une émotion particulière chez lui pendant le tournage. Comment s’exprimait-elle ?Oui, tout à fait ! C’était bien, parce que ça allait avec le film. Il voulait arriver plus tôt au Sénégal et je lui ai dit de venir la veille. Il ne connaissait pas Lionel (Basse) qui joue Yao. Ce qui était important, c’était de tourner, de filmer et de vivre leur voyage dans la continuité de ce nous avions écrit. Au bout de cinq jours, nous avons tourné la scène de la prière (la voiture de son personnage est coincée au milieu de la traditionnelle prière du vendredi). C’est l’expérience d’une immersion très forte dès les premiers jours, celle de se retrouver au Sénégal et au cœur de ce qu’il connaissait déjà. Contrairement à son personnage, Omar est proche de ses racines. L’émotion du personnage et de l’homme se confondait.Seydou Tall apparaît comme un homme vide ou vidé quand il arrive à Dakar, notamment parce que c’est un voyage qu’il aurait aimé faire avec son fils. Comment avez-vous construit ce personnage avec Omar Sy ?A partir de l’idée de quelqu’un qui a réussi selon nos critères. On veut toujours comparer l’Europe et l’Afrique avec les mêmes critères et je pense que c’est une erreur. Mais très vite, à travers cet homme, on s’aperçoit que la réussite professionnelle et financière est très superficielle. Seydou Tall veut faire ce voyage pour se rapprocher de son fils, mais c’est un échec parce que son ex-compagne ne laisse pas ce dernier partir. Seydou Tall est le reflet de beaucoup d’entre nous. Nous avons des métiers prenants et nous oublions l’essentiel.Le personnage de Yao est à la fois ancré dans sa réalité sénégalaise et ouvert sur le monde. C’est un adolescent très sensible, cultivé, qui lit beaucoup de classiques. Quelle était votre ambition pour ce personnage ?Ce qu’il y a un peu dans le film, à savoir cette modernité de l’Afrique, en particulier du Sénégal qui se développe tout en restant très proche de ses traditions. C’est déjà ce que je ressentais quand je faisais mes voyages quand j’étais adolescent. On retrouve également cela chez le personnage de Gloria, une femme indépendante interprétée par Fatoumata (Diawara).Durant le Mondial 2018, il y a eu cette polémique autour du fait qu’on renvoyait les joueurs de l’équipe de France à leurs origines africaines. Avez-vous un avis sur la question ? Je vais répéter ce que j’ai entendu Omar répondre à cette question. Il dit qu’il n’a pas à choisir, qu’il se sent autant Français que Sénégalais. Je partage son opinion. Je trouve justement intéressant de montrer aussi l’autre côté. Seydou Tall, qui perd ses racines et qui est né en France, est un peu démasqué là-bas quand on lui dit : “Tu viens de France, ça se voit”. Je partage l’idée qu’on n’est pas obligé de choisir entre plusieurs origines, on peut être tout à la fois.Pourquoi avez-vous choisi le prénom Yao qui n’est pas du tout sénégalais ? J’avais choisi ce prénom-là. Evidemment, on m’a fait remarquer que ce n’était pas sénégalais. On a changé de titre. Mais, moi aussi, j’ai le droit d’être un peu superstitieux (rires). J’ai très mal vécu ce changement de titre, donc on l’a justifié dans le film en donnant à Yao des origines togolaises.

Pathé Films

Yao, un film de Philippe Godeau,Sortie française: 23 janvier 2019Click Here: Golf special

Les Muppets se paient “Hunger Games” ! [VIDEO]

Après “Millénium”, c’est au tour de “Hunger Games” de passer à la moulinette des Muppets, qui s’offrent une nouvelle bande-annonce parodique pour fêter la sortie en DVD et Blu-Ray de leur dernière aventure, le 20 mars prochain.

Côté comm’, les Muppets n’ont pas fait les choses à moitié pour leur grand retour sur les écrans, nous gratifiant de divers teasers et bandes-annonces parodiques dont une, sans doute la plus marquante, qui s’attaquait au Millenium de David Fincher (voir notre article). Aujourd’hui, c’est au tour d’Hunger Games d’y passer, à l’occasion de la sortie en DVD et Blu-Ray de leur nouveau film, le 20 mars prochain aux Etats-Unis (et le 2 mai chez nous). Plutôt Jennifer Lawrence ou Piggy ? A vous de choisir !

Maximilien Pierrette



“Les Pirates !” : visite des studios Aardman ! [VIDEO]

7 ans après “Wallace et Gromit : Le Mystère du Lapin-Garou”, les studios Aardman nous présentent leur dernier bijou en pâte à modeler : “Les Pirates !” L’occasion de faire un petit tour du propriétaire…

Mission : Noël, c’était eux mais pas vraiment. Car LE truc des studios Aardman, c’est la pâte à modeler, à l’oeuvre sur Chicken Run ou Wallace et Gromit : Le Mystère du Lapin-Garou, leur dernier long métrage fait avec cette technique, il y a 7 ans. Aujourd’hui, Peter Lord fait son grand retour avec Les Pirates !, qui aura nécessité 5 années de production, ce qui paraît énorme… sauf quand on connaît les différentes étapes de fabrication, qui nous ont été présentées en janvier dernier, lors de notre visite des studios, à Bristol. Si vous vous vous demandez comment se fait un film Aardman, la réponse se trouve ci-dessous.

Propos recueillis par Maximilien Pierrette – Voix et montage : Seb Olland


Dutch support for ABN Amro cleared

Dutch support for ABN Amro cleared

Dutch government wins European Commission’s approval to provide bank with €6.9bn in restructuring aid.

The European Commission today approved a multi-billion euro package of aid provided by the Dutch government to ABN Amro in the process of breaking up the bank.

The €6.9 billion provided by the Dutch government will be used to separate Dutch assets belonging to ABN Amro from the remainder of the bank.

These assets will then be integrated into Fortis Bank Nederland, which is owned by the Dutch state.

“This recapitalisation package is a further step towards the restructuring of Fortis Bank Nederland and ABM Amro,” Neelie Kroes, the European commissioner for competition, said.

Fortis Bank Nederland contains part of the old Fortis banking group, which was rescued and broken up by the Dutch, Belgian and Luxembourg governments in October 2008, at the height of the financial crisis.

The Fortis banking group had been part of a consortium, with Santander and Royal Bank of Scotland, that had bought ABN Amro in 2007. Fortis Bank Nederland inherited Fortis’s share of the takeover.

The Commission said it would take this new aid into account in an ongoing investigation into whether the Dutch government paid too much when it took over the Dutch parts of Fortis into state ownership in 2008.

The Dutch government’s aid includes a guarantee on a €34.5bn portfolio of Dutch mortgage loans, a counter-guarantee on a €950 million liability, a cash payment of €740m, a subscription to a mandatory convertible security worth €3.1m and the conversion into capital of loans granted to FBN.

Authors:
Jim Brunsden 

From second choice to first choice

From second choice to first choice

Kristalina Georgieva’s double win at the EVawards.

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In January Kristalina Georgieva was Bulgaria’s second choice as European commissioner. But second choice need not mean second rate, as her impressive double victory at the EVawards 11 months later confirmed. Georgieva was named the European Commissioner of the Year and went on to triumph as the overall European of the Year, helped by support from Bulgarian voters. The victory of Meglena Kuneva in the 2008 EVawards appears to have made the awards known to her domestic constituency.

But nationality was not an issue for the panel of experts that had nominated her. Georgieva has impressed in the reshaped portfolio of commissioner for co-operation, humanitarian aid and crisis response, winning plaudits for being a compassionate and authoritative voice for the EU after floods in Pakistan, earthquakes in Haiti and Chile and less visible disasters, such as hunger in Niger and conflict in Kyrgyzstan. Her confident grasp of policy detail and political common sense has impressed many in Brussels and beyond.

Receiving the award of European Commissioner of the Year, Georgieva described her job as both the best and the worst in the Commission. “I am the commissioner with the best job because what I do is in the cause of the most precious European values, that is, of solidarity of European people at home and abroad.” Her victory reflected the fact that eight out of ten Europeans are in favour of humanitarian aid, she said.

“I am also the commissioner with the worst job because there is so much pain and suffering in the world.” She dedicated her award to humanitarian aid workers – “What they do is a mission; it is not just a job…they are the heroes that deserve your applause,” she told the audience at the awards ceremony.

Collecting her second award as European of the Year to warm applause, the commissioner was visibly surprised. “I am simply out of words. The responsibility is heavy on my shoulders.”

Speaking afterwards to European Voice, she said her victory was a sign that “Europe is united and Europe is strong” because it had chosen a commissioner who embodies solidarity. The commissioner clearly relishes the practical nature of her work. She cited proudly the mission statement of her department: “It is four words – helping where needed most.”

Her double victory reflected her practical job, she suggested. “I believe that it is a reflection of this portfolio; it is a very practical portfolio, one in which one can see results. I can talk about citizens in a way they understand.

“I can talk [about] the mother of four kids, that we give them food from the European Commission and that that food makes the difference between her kids dying and having a future. And people understand that.”

Authors:
Jennifer Rankin