Algues vertes : une plage interdite d'accès dans les Côtes-d'Armor

La mairie d’Hillion (Côtes-d’Armor) a interdit samedi pour une durée indéterminée l’accès à l’une de ses plages en raison d’échouages d’algues vertes et des difficultés à les collecter.

La mairie d'Hillion a interdit samedi pour une durée indéterminée l'accès à l'une de ses plages en raison d'échouages d'algues vertes.

Dans un arrêté daté du 22 juin consulté par l’AFP, le maire Mickaël Cosson interdit l’accès à la plage de La Grandville “à toute personne et aux animaux pour une durée indéterminée”.Pour justifier sa décision, l’édile invoque “l’impossibilité technique de collecter les algues vertes échouées sur le secteur concerné” et “le risque potentiel en matière de santé publique présenté par les amas d’algues échouées non collectées sur ce secteur”.”C’est un problème de ramassage, un tracteur ne peut pas forcément aller dans des zones rocheuses ou dans la vase et quand les algues arrivent à ces endroits on est souvent en difficulté“, a déclaré M. Cosson à l’AFP. “Il est temps, au 21ème siècle, d’employer des moyens différents de ceux de nos grands-parents, à savoir les tracteurs, pour ramasser les algues“, a-t-il ajouté, souhaitant voir déployés des moyens “plus efficaces”. Le maire précise que d’autres plages de la ville, telles la plage de l’Hôtellerie et de Fonteneau ont déjà été fermées il y a une semaine, tandis que la plage de baignade de Lermot n’est elle pas concernée.En se décomposant les algues vertes émettent du sulfure d’hydrogène (H2S), un gaz extrêmement toxique à forte dose.”Il y a cette année des amas d’algues vertes beaucoup plus importants qui sont arrivés dès mars car les taux de nitrates dans les rivières sont élevés“, a réagi auprès de l’AFP André Ollivro, co-président de l’association Halte aux algues vertes, pour qui le fond de la baie de Saint-Brieuc concentre “50% des algues vertes de Bretagne“. L’association va lancer le 6 juillet une pétition pour “demander à l’Etat de rendre obligatoires les mesures d’azote à l’hectare chez les exploitants agricoles“. C’est à proximité de la plage de La Grandville qu’un joggeur avait été retrouvé mort en septembre 2016 dans une vasière, à l’embouchure du fleuve côtier du Gouessant. L’enquête avait été classée sans suite en avril 2017, faute de preuves.Début juin, la famille de la victime a demandé une réparation financière du préjudice subi auprès de la commune, de l’agglomération et de l’Etat.

Festival De Cabourg: le cinéma romantique à l’honneur

La 23ème édition du Festival du Film de Cabourg a débuté le 10 juin pour s’achever le 14 juin. Au programme, des films romantiques, des mélos, et des torrents de larmes!

La 23e édition du Festival du Film de Cabourg s’est ouverte mercredi 10 juin. Dédié aux films romantiques, ce festival décerne quatre prix: celui du Premier Rendez-Vous (qui récompense la meilleure première performance), le prix de la Jeunesse, et le prix du Grand Jury dont Sam Karmann décernera le Swann d’Or.

Le public peut ainsi découvrir, en avant-première, les comédies romantiques qui seront diffusées dans les salles obscures dès cet été. Et croiser une foule de stars françaises qui ont prévu de passer le week-end en Normandie. Citons par exemple Rachida Brakni, la femme d’Eric Cantona, dont le ventre s’arrondit de jour en jour, mais aussi la révélation belge Déborah François (Le Premier Jour du Reste de Ta Vie), l’ex-jury de la Nouvelle Star Sinclair ou encore Vincent Lindon, dont le personnage de maître nageur dans Welcome est remarquable de justesse, feront un tour du côté de Cabourg. En 2008, le Festival Du Film De Cabourg avait rencontré un franc succès, attirant plus de 100 000 visiteurs. Pour combien de mouchoirs consommés?

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Vendredi 12 juin 2009

Un extracteur de sperme pour les donneurs qui bloquent

Pour aider les donneurs qui ont un peu de mal à se laisser aller, la chine introduit dans ces centres de dons des extracteurs de sperme, des machine destinées à stimuler et récolter le sperme.

Se retrouver seul dans une pièce froide avec un paquet de magazines ou une sélection de films pour adultes alors que tout le monde à l’extérieur  de la porte sait ce que vous êtes venu faire à de quoi en refroidir plus d’un. Le fait qu’on attende de vous un résultat, peut mettre la pression aussi ! Pour aider les donneurs de sperme qui auraient du mal à se laisser aller étant donné le processus peu excitant, les hôpitaux chinois désormais proposent le recours à une machine baptisée : extracteur de

sperme. 

Une machine qui reproduit les mouvements d’un acte sexuel Sous son nom un peu barbare se cache une machine rose et grise avec la forme d’une sorte de grand pupitre électronique au sommet de laquelle trône un écran pouvant diffuser des films pornographiques histoire de mettre le donneur dans l’ambiance. Quelques centimètres sous l’écran se trouve un tuyau dans lequel il faut insérer

le pénis. La machine peut s’adapter à la taille de n’importe quel membre masculin et masse la verge de manière à recréer des mouvements semblables à ceux d’un acte sexuel et l’amplitude du mouvement, la vitesse et la force de la machine peuvent être réglées selon la volonté du sujet pour le porter jusqu’à éjaculation et récolter ensuite le sperme.Un procédé mis en place par le système de santé chinois qui espère grâce à cela pallier au manque de

don de sperme dans le pays qui tente de faire augmenter son taux de natalité depuis la fin de la politique de l’enfant unique. Cette machine devrait arriver également dans les établissements de don américains et allemands et français prochainement.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

La combinaison cannabis-opiacés est associée à des taux élevés d'anxiété

Une nouvelle étude américaine suggère que combiner opiacés et cannabis pour gérer les douleurs chroniques pourrait traduire une consommation problématique d’alcool, de tabac, de sédatifs ou de cocaïne.

Sommaire

  1. Le cannabis, alternative aux opioïdes ?
  2. La consommation combinée d’opioïdes et de cannabis pose problème

Aux Etats-Unis, la crise des opiacés continue de faire des ravages. En 2017, 47 600 décès ont été attribués à une surdose d’opiacés, selon les Centres de contrôle des maladies (CDC). Ces médicaments qui contiennent des dérivés de l’opium sont généralement consommés pour soulager les douleurs chroniques.Le cannabis, alternative aux opioïdes ?
A ce titre, l’usage du

cannabis, et plus précisément du cannabidiol, peut représenter une alternative efficace pour réduire la consommation d’opiacés. Une dizaine d’Etats américains a légalisé le cannabis à usage récréatif, comme le Colorado ou la Californie. Ces Etats enregistrent une réduction d’au moins 20% des décès par overdose aux opiacés, d’après une étude publiée mercredi 7 août dans le journal 

Economic Inquiry. 
Mais que se passe-t-il pour les patients qui combinent les deux solutions ? C’est la question que s’est posée Andrew Rogers, doctorant à l’université de Houston (Texas, Etats-Unis). “Il est important de noter que la co-consommation de substances est généralement associée à de moins bons résultats que la consommation d’une seule substance, mais peu de travaux ont examiné l’impact de la co-consommation d’opioïdes et de cannabis“, souligne le doctorant. La consommation combinée d’opioïdes et de cannabis pose problèmePubliée dans le 

Journal of American Medicine, sa recherche a porté sur 450 adultes qui ont subi des douleurs intenses à modérées pendant plus de trois mois. L’objectif était d’analyser l’usage unique d’opiacés, comparativement à l’usage combiné d’opiacés et de cannabis, en tenant compte de la douleur, de l’état de santé mentale du patient et de son éventuelle consommation d’autres substances psychoactives. 

L’étude a été réalisée sous la supervision de Michael Zvolensky, Hugh Roy et Lillie Cranz Cullen, professeurs de psychologie à l’université de Houston. L’analyse montre que, comparé aux patients qui ne consomment que des opiacés, la co-consommation d’opiacés et de cannabis était associée à des symptômes élevés d’

anxiété et de

dépression, ainsi qu’à des problèmes de consommation de tabac, d’alcool, de cocaïne et de sédatifs. 
Ces résultats mettent en évidence une population vulnérable de consommateurs de plusieurs substances qui souffrent de douleur chronique et indiquent la nécessité d’une évaluation et d’un traitement plus complets de la douleur chronique“, conclut Andrew Rogers.

Manger des noix régulièrement réduirait les risques de décès par maladies cardiovasculaires

Une étude iranienne présentée lors du congrès mondial de cardiologie qui se tient à Paris jusqu’au mercredi 4 septembre affirme que manger des noix, des pistaches ou des amandes au moins deux fois par semaine pourrait réduire les risques de 17% de mourir d’une maladie cardiaque.

Les résultats indiquent que les personnes qui ont consommé des noix deux fois ou plus par semaine présentaient un risque de décès cardiaque réduit de 17%.

Présentée lors du 

Congrès mondial de cardiologie ESC, l’étude a été réalisée sur une cohorte de 5.432 adultes originaires d’Iran âgés de 35 ans et plus, par des chercheurs de l’Institut de recherche cardiovasculaire d’Ispahan (Iran). Les travaux ont porté sur la composition riche en polyphénols, en fibres et en minéraux de ces aliments et leurs éventuelles vertus protectrices contre les maladies cardiaques.”Des études européennes et américaines ont établi un lien entre les fruits à coque et la protection cardiovasculaire, mais les preuves sont limitées dans la région de la Méditerranée orientale“, explique le Dr Noushin Mohammadifard, qui a dirigé l’étude. “Les noix sont une bonne source de gras insaturés et contiennent peu de gras saturés“, ajoute-t-il.

Au début de l’étude, les participants ne présentaient pas d’antécédents de maladies cardiaques. Ces derniers ont été interrogés tous les deux ans de 2001 à 2013 sur les habitudes alimentaires. Tout au long de la période de suivi, 751 troubles cardiovasculaires ont été identifiés chez les volontaires, dont 594 coronaropathies, 157

accidents vasculaires cérébraux, ainsi que 179 décès liés à une cause cardiovasculaire et 458 décès toutes causes confondues.Les résultats de la recherche indiquent que les personnes qui ont consommé des noix deux fois ou plus par semaine présentaient un risque de décès cardiaque réduit de 17%, comparé à celles qui n’en mangeaient qu’une fois toutes les deux semaines. Ces estimations tiennent compte de facteurs annexes comme l’âge, le sexe, l’éducation, le tabagisme et le niveau d’activité physique.Selon les recommandations de l’European Society of Cardiology, 30 grammes de noix non salées par jour sont considérés comme l’une des caractéristiques d’une alimentation saine. D’après le Dr Mohammadifard, les noix fraîches crues représentent l’alternative la plus saine, “car les graisses insaturées peuvent s’oxyder dans les noix périmées, ce qui les rend nocives“.

Des années après, l'ombre du cancer plane sur le 11-Septembre

En 2001, l’attentat contre le World Trade Center continue de faire des victimes. De nombreux cas de cancers surviennent chez les personnes exposées aunuage de cendres et de débris toxiques qui a suivi l’effondrement des deux tours.

Jaquelin Febrillet avait 26 ans et travaillait à deux rues du World Trade Center lorsque les avions détournés par des jihadistes ont percuté les tours jumelles, le 11 septembre 2001 à New York.En 2016, quinze ans après les attentats les plus meurtriers de l’histoire, cette syndicaliste professionnelle, devenue mère de trois enfants, était diagnostiquée d’un cancer métastatique. Avec une seule explication logique : le nuage de cendres et de débris toxiques dans lequel elle s’est retrouvée prise le jour de la catastrophe.Richard Fahrer, 37 ans aujourd’hui, travaillait lui fréquemment à la pointe de Manhattan comme arpenteur de 2001 à 2003.Il y a 18 mois, après des douleurs à l’estomac, on détectait sur ce jeune père un cancer agressif du colon, qui frappe généralement des hommes beaucoup plus âgés et pour lequel il n’avait aucune prédisposition.Bien au-delà des près de 3.000 personnes tuées et plus de 6.000 blessées dans l’effondrement du World Trade Center (WTC), New York n’en finit pas de compter les personnes atteintes de cancers et d’autres maladies graves, notamment du poumon, liées au nuage toxique qui a plané des semaines durant sur le sud de Manhattan.Pas que les secouristesLes dizaines de milliers de pompiers et bénévoles mobilisés sur le site du WTC ont été les premiers touchés : dès 2011, une étude publiée dans le journal scientifique The Lancet montrait qu’ils étaient confrontés à des risques accrus de cancer.Quelque 10.000 d’entre eux ont été recensés comme étant atteints d’un cancer par le WTC Health Program, programme fédéral de soins réservé aux rescapés des attentats.Jaquelin Febrillet ou Richard Fahrer font eux partie des gens “ordinaires”, travaillant ou résidant au sud de Manhattan dans la foulée de la catastrophe, une catégorie de malades qui ne cesse d’augmenter.Fin juin 2019, plus de 21.000 d’entre eux étaient enregistrés dans le programme de soins — deux fois plus qu’en juin 2016.Et sur ces 21.000, près de 4.000 ont été diagnostiqués avec un cancer, ceux de la prostate, du sein ou de la peau étant les plus fréquents.S’il est “impossible, pour un individu précis, de déterminer la cause exacte (du cancer) car aucun test sanguin ne revient estampillé WTC“, plusieurs études ont montré que “le taux de cancer a augmenté entre 10 et 30% chez les gens exposés“, explique à l’AFP David Prezant, médecin en chef des pompiers new-yorkais, à l’origine d’études de référence sur le sujet.Et ce taux devrait encore augmenter à l’avenir, dit-il, en raison du vieillissement des personnes exposées et de la nature de certains cancers, comme celui du poumon ou le mésothéliome, qui prennent 20 à 30 ans à se développer.“Personne ne pouvait prévoir”C’est dans ce contexte que Donald Trump a ratifié fin juillet une loi repoussant de 2020 à 2090 la date limite à laquelle des demandes pourront être déposées auprès d’un fonds fédéral spécial d’indemnisation.Il sera ainsi régulièrement réapprovisionné, après avoir épuisé son enveloppe initiale de 7,3 milliards de dollars, avec une indemnisation moyenne de 240.000 dollars par malade et de 682.000 dollars pour une personne décédée.Après avoir repoussé plusieurs fois la date limite du fonds, le Congrès a reconnu qu’il fallait pouvoir couvrir “une personne qui était bébé (lors des attentats) jusqu’à la fin de sa vie“, explique l’avocat Matthew Baione, qui représente Mme Febrillet et M. Fahrer dans leurs démarches d’indemnisation.”Il n’y a jamais eu d’attaque comparable au 11-Septembre“, souligne-t-il. “Personne ne pouvait prévoir ce qui se passerait avec des milliards de tonnes de matériaux de construction en combustion pendant 99 jours“, qui ont libéré dans l’air des quantités inédites de produits chimiques, dont des dioxines, de l’amiante et d’autres substances cancérogènes.En attendant de connaître toutes les conséquences pour la santé de la tragédie, Jaquelin Febrillet et Richard Fahrer déplorent que la ville de New York n’en ait pas fait plus, après les attentats, pour protéger les résidents du quartier.”Il y aurait pu y avoir plus d’efforts pour limiter l’exposition des adultes sains et les empêcher d’entrer dans la zone de la catastrophe“, dit M. Fahrer.La priorité était que “la ville revienne à la normale, la Bourse de New York a rouvert au bout de quelques jours“, mais “on ne nous a jamais dit que quelque chose pouvait arriver“, regrette Mme Febrillet.Click Here: Golf special

Les pires goûters selon 60 millions de consommateurs

Dans son numéro d’octobre, le magazine analysé la composition de 36 marques de gâteaux sucrés. Et les résultats n’apportent aucune bonne surprise.

Sommaire

  1. Du sucre et des matières grasses
  2. Des taux importants d’acrylamide

C’est l’heure du goûter pour 60 Millions de consommateurs. Dans son numéro d’octobre, le magazine a passé au crible la composition de 36 références de

gâteaux sucrés : 4 moelleux au chocolat, 5 gâteaux aux fruits, 16 biscuits au chocolat et 11 biscuits secs. “Chaque biscuit a subi une série d’analyses pour déterminer la valeur calorique (pour 100 grammes de produit), le profil et les quantités d’acides gras, les teneurs en glucides et sucres, fibres, sel”, explique le magazine, cité par nos confrères du HuffingtonPost. A partir de ces analyses, le mensuel a même pu déterminer une sorte de ”

Nutri-score”, le fameux étiquetage facultatif qui évalue la valeur nutritionnelle d’un produit à l’aide d’une échelle de couleur et de lettres allant de A à E, souvent absent des emballages des produits évalués ici.  Alors quels sont les bons et les mauvais élèves parmi les stars du goûter?Du sucre et des matières grassesAutant tuer le suspens tout de suite : “Aucun biscuit de notre essai n’est assez bon d’un point de vue nutritionnel pour être consommé régulièrement”, tranche le magazine. Premier élément qui justifie cet avis catégorique : la trop forte quantité de sucre. Les pires en la matière étant les Barquettes fraise U Mat & Lou (50 g de sucres pour 100 g) et le Pim’s orange de LU. Ce dernier est d’ailleurs celui qui a obtenu la plus mauvaise note des 5 gâteaux aux fruits évalués. Côté teneur en gras, lui aussi omniprésent dans ces biscuits, les mauvais élèves sont le Palmito de LU, le Palmier au beurre de St Michel, le Kinder Délice et les Oreo. Au contraire, les fibres, se font remarquer par leur absence. Seulement un tiers des références à base de céréales atteignent les 3g/100g explique 60 Millions de consommateurs, relayé par Le Figaro. De bien tristes résultats, qui transparaissent dans l’évaluation du Nutri-Score par le magazine, où, 31 des 36 références s’en tirent avec un E, la plus mauvaise note. Les 5 autres font légèrement mieux avec un D. Des taux importants d’acrylamideAutre caractéristique inquiétante, la forte teneur en acrylamide de certains gâteaux. “Une substance qui se forme au moment de la cuisson à haute température de certains aliments riches en asparagine (un acide aminé) et en amidon, explique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) sur son site internet. Cette molécule est reconnue comme cancérogène avéré pour l’animal et possible pour l’Homme par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).” Les goûters concernés ici le BN, le Petit Beurre 5 céréales Casino Bio, le Palmier au Beurre St Michel et le Granola au chocolat au lait de LU.Sur l’ensemble des critères évalués, quelques marques s’en tirent tout de même un peu mieux : les Fourrés chocolat noir bio Bjorg, le Savane Chocolat Brossard, les Lunettes à la fraise Carrefour bio et les Butter Rings pur beurre Sondey de Lidl. Amoureux des biscuits, 60 Millions de consommateurs vous préconise de favoriser les biscuits secs, moins riche en sucre et matière grasse. Même si

opter pour un fruit semble toujours la meilleure alternative.Click Here: New Zealand rugby store

DIRECT. COP24 : “Le monde ne va pas du tout dans la bonne direction”, dénonce l’ONU

Retrouvez ici l'intégralité de notre live #COP2423h56 : En marge de la conférence de l’ONU sur le climat, le président nigérian a dû démentir des rumeurs sur sa mort à la suite de graves problèmes de santé. “C’est le vrai moi, je vous assure”, a déclaré Muhammadu Buhari, répondant à des messages sur les réseaux sociaux selon lesquels il avait été remplacé par un imposteur venu du Soudan.23h52 : Envie d’un dernier conseil lecture avant d’éteindre la lumière ? Voici une sélection de nos meilleurs articles du jour :13h41 : Le vice-président de France nature environnement redoute que cette absence d’Emmanuel Macron et Edouard Philippe à la COP24 préfigure un recul sur la fiscalité écologique. Qu’ils fassent un geste momentané sur le diesel, pour calmer les esprits, on peut le comprendre”. “Mais s’ils enterrent un certain nombre d’objectifs fiscaux, c’est problématique”, ajoute Jean-David Abel auprès de franceinfo.13h35 : “Le sommet de l’Etat français ne sera pas présent à la COP 24 et c’est très dommageable. Ce n’est pas comme si la Pologne était à 12 heures d’avion.” 12h35 : A l’occasion de la , nous lançons #AlertePollution, une enquête participative. Grâce à vos signalements, nos journalistes vont enquêter. Si vous souhaitez nous aider, rendez-vous sur l’adresse franceinfo.fr/AlertePollution.10h58 : Vous en avez assez de voir votre environnement pollué ? Un liquide coloré dans la rivière du coin ? Une déchetterie sauvage à quelques kilomètres ? Franceinfo a lancé #AlertePollution, une enquête participative. Aidez-nous en remplissant ce formulaire ou en nous contactant via les applications chiffrées WhatsApp ou Signal, au 06 13 76 73 41.

09h53 : Dans l’Aube, la compagnie SPPE a par exemple obtenu en mars le droit de continuer à extraire du pétrole jusqu’en 2040 sur sa concession de Saint-Lupien. A La Conquillie (Seine-et-Marne), le canadien Vermilion a obtenu en février la concession qu’il attendait depuis plusieurs années. La même entreprise pourra continuer à chercher de l’or noir au large du Cap Ferret (Gironde) puisque son permis Aquila a été renouvelé en janvier. La liste complète des projets prolongés est disponible dans notre article.09h53 : “La loi Hulot ne sert pas à grand-chose, c’est une posture”

Pour les militants spécialisés, cette loi ne sert à rien. Elle autorise la poursuite des projets en cours et ouvre même la porte à leur prolongation après 2040.09h52 : C’est le totem vert du gouvernement, celui qu’il brandit à chaque critique sur son bilan écologique. Grâce à la loi Hulot, votée en décembre 2017, nous serions en train de vivre “la fin de l’exploitation pétrolière en France”. Pourtant, depuis son entrée en vigueur il y a un an, la France a autorisé la poursuite de 18 projets hydrocarbures. Notre journaliste Thomas Baïetto vous explique comment dans cet article.

Fin du titre actuel d'homéopathe décidé par l'Ordre des médecins

Le Conseil de l’Ordre des médecins a mis fin jeudi au titre actuel d’homéopathe pour les futurs médecins, tout en envisageant de l’accorder à l’avenir sous réserve de la création d’un "éventuel diplôme inter-universitaire", indépendant de l’industrie pharmaceutique.

Ce titre utilisé notamment par des médecins généralistes est une dérogation car ce n'est pas l'équivalent d'une spécialité.

Tout médecin envisageant de pratiquer l’homéopathie ne peut plus désormais acquérir ce qualificatif. Toutefois, les médecins déjà dotés du titre d’homéopathe pourront le conserver, la mesure à effet immédiat n’étant pas rétroactive, selon un communiqué de l’ordre.”Réuni en session plénière, le Conseil national de l’Ordre des médecins a adopté à une très large majorité une décision mettant fin aux conditions dérogatoires du droit au titre vis à vis de l’homéopathie“, a-t-il annoncé.  Ce titre utilisé notamment par des médecins généralistes est une dérogation car ce n’est pas l’équivalent d’une spécialité (cardiologue, pneumologue…).L’ordre rappelle qu’il reconnaissait l’homéopathie comme “orientation d’activité” depuis 1974 et que, depuis 1984, les médecins devaient justifier d’une formation de 300 heures, universitaire ou non.

Parmi les critères généraux d’évaluation (…) pour accorder le droit au titre figurent notamment l’exigence d’une formation universitaire validée de type DIU (diplôme interuniversitaire, NDLR), d’une formation qui respecte les règles de déontologie médicale, d’une formation n’ayant pas de lien d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique.”L’ordre des médecins appelle donc les “universités à travailler ensemble à l’élaboration éventuelle d’une maquette de diplôme plus globale sur l’intégration des médecines complémentaires et alternatives“. Si les universités décidaient de créer ce diplôme, alors dans un second temps, l’ordre “pourrait” se pencher à nouveau sur la question. “L’application de ces nouvelles dispositions sera effective pour les nouveaux et futurs inscrits à une formation universitaire (en homéopathie, ndlr) à compter de ce jour“, précise-t-il.Début juillet, le gouvernement a annoncé que l’homéopathie ne serait plus remboursée qu’à 15% au 1er janvier 2020, contre 30% actuellement, puis que ce taux tomberait à zéro au 1er janvier 2021. Il s’est rangé à l’avis de la Haute Autorité de santé (HAS) qui avait conclu à l’absence d’efficacité avérée de ces produits pharmaceutiques.

10 bobos soignés à l’homéopathie

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Un concours Miss Centrafrique sponsorisé par la Russie

Le 9 décembre 2018, une centaine de personnes, essentiellement des officiels et les familles des candidates, ont assisté au concours Miss Centrafrique, organisé à Bangui grâce à l’aide de la Russie. La cérémonie était retransmise en direct par le partenaire de l’événement Radio Lengo Songo (“Nouons la solidarité”). Le nouveau média, qui émet 24h sur 24, a été financé par Lobaye Invest, une entreprise d’extraction du diamant, considérée comme proche du Kremlin. Un sponsor qui s’affiche sur les panneaux publicitaires déployés à Bangui. Lobaye Invest a déjà décroché des contrats d’exploration en Centrafrique.Plusieurs journaux gratuits ont aussi récemment vu le jour à Bangui, à l’instar de La Feuille volante du président qui, dans son numéro de septembre, saluait l’accomplissement de la formation par la Russie d’une promotion de militaires centrafricains.Formation militaire et médiation diplomatique Cette médiation est critiquée par les alliés historiques de la Centrafrique, dont la France, qui estiment que cette initiative concurrence celle menée par l’Union Africaine (UA) depuis juillet 2017.