Le webdoc sur l’autisme, à la découverte des parcours de l’autisme en France

Méconnu du grand public, l’autisme bouleverse le quotidien des familles dont les enfants en sont atteints. Pour mieux appréhender ces conséquences, l’association Vaincre l’autisme diffuse le webdoc de l’autisme. Réalisé en collaboration avec l’agence CARE et PIW, part à la découverte des parcours de l’autisme en France, à travers Maxence, Noam, Rachel, Marie et leurs familles. Découvrez-le sur Doctissimo.

Le Webdoc de l'autisme, c'est un portail avec des témoignages émouvants, des informations sur l'autisme et de nombreux contenus multimedia.

Le Webdoc de l’Autisme part à la découverte des parcours de l’

autisme en France,à travers les portraits de différentes personnes et familles touchées par l’autisme : Marie, 30 ans, diagnostiquée du syndrome d’Asperger à 29 ans ; Rachel, 16 ans, dont la mère nous raconte sa bataille pour traiter sa fille ; comme les mères de Maxence et Noam d’ailleurs. Diagnostic, scolarisation, prise en charge, avancées scientifiques, insertion professionnelle… Autant de sujets abordés dans ce webdocumentaire via des témoignages des familles et de grands chercheurs. Le Webdoc aborde également les questions de la recherche et des avancées scientifiques qui nourrissent les espoirs de traitements et donc d’une vie meilleure pour les familles.

Le Webdoc de l’Autisme, c’est aussi une plateforme imaginée comme un portail, complet, d’informations et de connaissances sur l’autisme en France et à l’international. Les internautes sont invités, tout au long du documentaire, à en savoir plus via de nombreux autres contenus multimédias.Yamina SaïdjSource : le

Webdoc de l’Autisme

Vitamines et autres oligo-éléments : une dépense inutile ?

Sur la base de 3 grandes études, des médecins américains concluent que les vitamines et autres compléments alimentaires n’ont pas de bénéfice chez les personnes ne présentant pas de déficit nutritionnel. De plus, une consommation régulière et non justifiée de certains de ces compléments serait dangereuse pour la santé.

Les vitamines et complément alimentaires, inutiles ?

La nouvelle surprendra les adeptes des

vitamines,

oligo-éléments et autres

compléments alimentaires pour préserver la santé, améliorer ses performances et peut-être allonger son espérance de vie en prévenant des maladies chroniques. Le numéro de décembre 2013 de la revue Annals of Internal Medicine fait le point sur l’utilité des suppléments vitaminiques et compléments alimentaires sur la base de 3 grandes études et leur conclusion est sans appel : non seulement il n’existe aucune évidence indiquant des bénéfices sur la santé ou la prévention de maladies, mais la consommation non justifiée de certaines de ces substances exposerait à des risques pour la santéDes études chez des personnes de profils différentsLa première étude est une revue de la littérature incluant plus de 400 000 adultes sans déficit nutritionnel ayant consommé soit des multivitamines, soit des vitamines prises isolément. Les études analysées comparaient des sujets prenant ces compléments alimentaires à des personnes prenant un placebo (comprimés sans aucun produit actif). Les auteurs ne retrouvent aucune différence entre les deux groupes en ce qui concerne la mortalité toutes causes confondues ni la survenue de

maladies cardiovasculaires ou de

cancer.La deuxième étude a été conduite sur près de 6 000 hommes âgées de 65 ans et plus. Là encore il s’agissait d’une étude comparative (multivitamines contre placebo). Après un suivi de 12 ans, aucune différence n’a été retrouvée en ce qui concerne l’état cognitif ni la mémoire verbale.Enfin la troisième étude comparait l’effet des multivitamines à hautes doses à un placebo dans une population d’hommes et de femmes ayant eu un infarctus du myocarde. Là encore, aucune différence sur la récurrence d’accident cardiovasculaire n’a été retrouvée.Certains compléments en excès seraient dangereux pour la santéD’autres études montrent, mais pas de façon uniforme, qu’en l’absence de carence alimentaire, la consommation régulière et pendant des périodes longues de

bêta-carotène, de

vitamine E et de

vitamine A à doses élevées contribuent à augmenter la mortalité. Les deux premiers ont par ailleurs été corrélés avec une augmentation de survenue de cancer, raison pour laquelle leur consommation a diminuée aux Etats-Unis.Dans leur éditorial, les auteurs invitent le public à ne plus acheter ces produits. Rappelons que la vente de vitamines et autres compléments alimentaires ne cesse d’augmenter aux Etats-Unis et qu’en 2010, le chiffre d’affaires de ce marché était de 28 milliards de dollars. Dr Jesus CardenasSource : Guallar E, Stranges S, Murlow C, Apple LJ et al. Enough is enough : Stop wasting money on vitamin and mineral supplements. Annals of Internal Medicine 2013 ; 159 : 850-1 (

résumé disponible en ligne).

Drépanocytose : la HAS ne préconise pas un dépistage pour tous les nouveau-nés

Depuis2000, le dépistage de la drépanocytose concerne tous les nouveau-nés dans les DOM et les nouveau-nés de parents originaires de zone géographique à risque en métropole. Faut-il l’étendre à tous les nouveau-nés déjà dépistés pour 4 autres maladies? Faute de pouvoir démontrer les bénéficesd’une telle stratégie, la Haute Autorité de Santé ne recommande pas un tel élargissement.

La Haute Autorité de Santé ne recommande pas d'étendre le dépistage de la drépanocytose à tous les nouveau-nés.

La drépanocytose, une des maladies génétiques les plus répanduesLa

drépanocytose est une des maladies génétiques les plus répandues dans le monde. Elle toucherait plusieurs dizaines de millions de personnes et environ 10 000 personnes en France. Il s’agit d’une maladie liée à une mutation génétique. Pour que la maladie soit présente, deux copies du gène muté doivent avoir été transmises, l’une par la mère et l’autre par le père (deux parents porteurs du gène muté sans être malade ont une chance sur quatre d’avoir un enfant atteint). 

Appelée aussi anémie falciforme, elle est liée à une anomalie de l’hémoglobine à l’origine d’une anémie, d’une obstruction des vaisseaux pouvant provoquer des crises très douloureuses, ainsi qu’une sensibilité aux infections bactériennes. Il est ainsi essentiel de mettre en place une prise en charge médicale afin d’éviter ou de limiter les complications de la maladie. Dans certains cas, elle peut nécessiter des traitements lourds allant jusqu’à une greffe de moelle osseuse pour les formes les plus sévères. La drépanocytose concerne essentiellement des personnes originaires d’Afrique sub-saharienne, de certaines régions de la péninsule arabique, de l’Inde et du pourtour méditerranéen. Depuis 2000, ce dépistage concerne dans les DOM tous les nouveau-nés et en métropole les nouveau-nés de parents originaires de zone géographique à risque ; 382 cas ont été identifiés en 2012 (72 dans les DOM, 310 en métropole).La HAS ne préconise pas d’étendre le dépistage de la drépanocytoseA la demande de la Direction Générale de la Santé (DGS), la Haute Autorité de Santé a évalué l’intérêt d’élargir ce dépistage à l’ensemble des nouveau-nés en métropole. Une demande de plusieurs associations et spécialistes favorables au dépistage universel. Selon ces dernières, un tel élargissement permettrait une meilleure qualité de soin pour tous, une meilleure compréhension de la maladie par le personnel soignant, un dépassement de l’idée qu’il s’agit d’une “maladie ethnique“. – Manque de données épidémiologiques fiablesEn se basant sur une revue de la littérature scientifique, les données épidémiologiques, les expériences européennes et américaines, des auditions d’experts, des représentants d’association la HAS dit avoir constaté “une hétérogénéité des stratégies de DNN dans les 5 pays européens où il est actuellement réalisé, ainsi qu’un manque de données épidémiologiques fiables“. Ce dépistage néonatal de la drépanocytose est réalisé à une large échelle dans seulement 5 pays en Europe : Royaume Uni, France, Belgique, Espagne, Pays-Bas.- Arguments éthiques et politiques versus arguments scientifiques ?Concernant l’analyse coût-efficacité de cette stratégie universelle au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, la HAS juge que ce sont des arguments éthiques et politiques qui ont prévalu : “Finalement, aux États-Unis et au Royaume Uni, un consensus s’est dégagé sur l’idée qu’un dépistage ciblé, fondé sur l’ethnicité maternelle, soulevait des questions pratiques et éthiques que les décideurs politiques avaient voulu éviter. Le souhait de promouvoir un dépistage uniforme a contribué au choix du dépistage néonatal universel de la drépanocytose dans ces deux pays“.- Des expériences internationales difficilement transposablesEnfin, dans ces pays, les contraintes légales en matière de consignation de l’information sur l’origine familiale tant dans les dossiers médicaux que dans les bases médico-administratives, sont différentes de celles existant en France où la loi “interdit de collecter ou de traiter des données à caractère personnel qui font apparaître, directement ou indirectement, les origines raciales ou ethniques…“. Enfin, les contextes historiques, culturels et sociaux des pays pratiquant un dépistage universel seraient, selon la HAS, difficilement transposables à la France. – Une stratégie nationale qui “fonctionne“Concernant la stratégie nationale, la HAS rappelle qu’elle a permis d’identifier 382 cas de drépanocytose chez les 309 858 enfants testés. Si le nombre de nouveau-nés dépistés augmente (passant de 27 % en 2006 à 34 % en 2012), le nombre de cas détectés reste stable. Ce qui traduit selon la HAS, “une bonne qualité du ciblage“.Faute de données épidémiologiques et démographiques précises, de rapport étayé sur les possibles difficultés à mettre en œuvre la stratégie actuelle par les professionnels de santé et d’indicateurs pouvant laisser penser que cette stratégie manque d’efficacité, la HAS juge que “l’efficacité et l’efficience de l’extension de ce dépistage à tous les nouveau-nés en France métropolitaine ne sont pas scientifiquement démontrées“. Elle “ne préconise pas d’étendre le dépistage de la drépanocytose à tous les nouveau-nés“. Faut-il informer les porteurs du gène muté ?Que faire des résultats de ce dépistage en cas d’hétérozygotie (identification d’un nouveau-né qui a un seul gène muté) ? L’enfant hétérozygote n’est pas malade mais pourra éventuellement transmettre la mutation à sa descendance. Faut-il en informer ses parents ? Doit-on lui révéler plus tard ?… La Haute Autorité de Santé n’était pas directement interrogée sur la question mais elle a réalisé un état des connaissances et des débats quant aux conséquences de la transmission de cette information pour le nouveau-né et ses parents.Se gardant de se prononcer d’un point de vue éthique, elle estime que le contenu de l’information devrait faire l’objet d’un consensus entre les professionnels de santé en lien avec les associations concernés et sa délivrance devrait permettre un temps d’échange entre parents et professionnels de santé formés. Des conditions qui selon elles ne sont pas totalement remplies dans la situation actuelle de dépistage ciblé (et donc encore moins en cas de dépistage universel qui augmenterait le nombre d’hétérozygotes détectés).Là-encore, la HAS amène des éléments objectifs mais laisse aux politiques (ou aux professionnels de santé) trancher. Elle appelle enfin de ses vœux à “une information sur la drépanocytose pour les professionnels de santé qui ne sont pas en première ligne“, jugeant que cela “pourrait être utile pour améliorer leur connaissance générale sur la maladie“. David BêmeSource : 

Rapport d’orientation Dépistage néonatal de la drépanocytose en France  – HAS – 10 mars 2014

L’arrivée de la bilharziose en Europe inquiète les chercheurs

Maladie qui touche principalement les zones tropicales et subtropicales, la bilharziose (aussi appelée schistosomiase) a gagné l’Europe par la Corse. Cette infection souvent asymptomatique peut provoquer des complications intestinales ou uro-génitales chez l’homme, plusieurs années après la contamination.

La bilharziose est une maladie causée par des parasites présents dans certains mollusques d’eau douce comme les planorbes. 

Classée parmi les maladies parasitaires négligées (Neglected Tropical Disease – NTD), la

bilharziose est causée par des parasites présents dans certains mollusques d’eau douce comme les planorbes. L’homme contracte les bilharzies au contact de l’eau, laquelle permet le passage des larves du parasite à travers la peau. Cette contamination se manifeste par des rougeurs et un 

prurit, suivis trois semaines plus tard d’une fièvre et d’une éruption cutanée. Les vers devenus adultes vivent dans les gros vaisseaux veineux et pondent des oeufs qui traversent différents organes avant d’être excrétés dans les selles ou les urines. La maladie peut provoquer des

diarrhées sanglantes, des

cystites et dans les cas les plus graves des

cancers de la vessie.Plusieurs cas de bilharziose signalés en CorseLa bilharziose touche principalement les régions tropicales et subtropicales (Afrique, Moyen-Orient, Amérique du Sud, est de l’Asie), où elle est particulièrement mortelle. Plus de 200 millions de personnes dans le monde en sont infectées, dont 85 % en Afrique. Mais depuis 2011, plusieurs cas de schistosomiase ont été signalés en Corse, après que des personnes se sont baignées dans la rivière Cavu. La maladie aurait été introduite par des personnes infectées qui ont contaminé les rivières de Corse en urinant, transmettant ainsi le parasite au mollusque vecteur, présent dans les rivières de l’Ile de Beauté. La situation inquiète des chercheurs européens qui se posent beaucoup de questions quant à l’expansion du schistosome en Europe du sud et à sa virulence chez l’homme.Le réchauffement climatique favorise son expansionPlus préoccupant, les chercheurs du laboratoire Interactions Hôtes-Pathogènes-Environnements ont détecté une hybridation entre le parasite classique S. haematobium et le parasite S. bovis connu pour contaminer le bétail. Conséquence, la maladie pourrait aussi se transmettre par les animaux d’élevage, ce qui favoriserait son expansion dans d’autres pays européens. “Le changement climatique et l’augmentation de la température dans le sud de l’Europe peuvent permettre au schistosome d’effectuer son cycle de vie en infectant des espèces de mollusques adaptées et dont les aires de répartition changent ; ou en s’adaptant aux espèces de mollusques présentes“, alerte par ailleurs le chercheur Jérôme Boissier, co-auteur de l’article publié dans la revue The Lancet Infectious Deseases.Face à cette situation plutôt inquiétante en ce début d’été propice aux baignades, l’équipe de chercheurs demande aux gouvernements, aux organismes de recherche ainsi qu’aux agences de financement de la recherche de “considérer la nécessité d’investir dans la recherche sur les maladies liées aux mollusques vecteurs“.Diagnostic, traitement et prévention de la bilharzioseLe diagnostic de la bilharziose repose sur la mise en évidence d’œufs du parasites (biopsie du rectum, urines, selles etc) et la sérologie. Le traitement actuel repose sur le 

Biltricide (

Praziquantel) en prise unique, efficace sur toutes les espèces de bilharzioses. La prophylaxie consiste à éviter de se baigner en eau douce (lac, marigot, rivière à courant faible) dans les régions d’endémie (Sud du Maghreb, Egypte, Afrique noire, Antilles et Amérique du Sud tropicale). L’eau de mer est inoffensive.Si vous devez entrer au contact d’une eau suspecte pour traverser une étendue d’eau par exemple, conservez vos chaussures (hautes de préférence) et vos pantalons serrés aux chevilles, et traversez le plus rapidement possible. Une fois dégagé, frottez-vous avec de l’eau saine savonneuse ou une solution alcoolique. Certains spécialistes préconisent en cas de contamination probable une prévention médicamenteuse par le Biltricide.Annabelle Iglesias Source :

Schistosomiasis reaches Europe, Jérôme Boissier and al, juin 2015, The Lancet Infectious Diseases.Click Here: camisetas de futbol baratas

Bande-annonce : “What to Expect When You’re Expecting”! [VIDEO]

La bande-annonce de la comédie “What to Expect When You’re Expecting” avec Cameron Diaz, Jennifer Lopez, Anna Kendrick et Chase Crawford vient d’être dévoilée!

La bande-annonce de la comédie What To Expect When You’re Expecting de Kirk Jones a été dévoilée. Le long métrage, adapté du best-seller d’Heidi Murkoff, suit les relations de 7 couples se préparant à devenir parents. Cameron Diaz,Jennifer Lopez, Anna Kendrick, Elizabeth Banks,Chace Crawford, Brooklyn Decker, Matthew Morrison et Dennis Quaid se partagent l’affiche de ce long métrage qui sortira sur les écrans américains le 11 mai 2012.

Laëtitia Forhan

Szafnauer sees F1 return in Austria in July as ‘plausible’

Racing Point team boss Otmar Szafnauer believes there’s a “plausible” chance of Formula 1 returning to action in early July in Austria.

Following the announcement yesterday by Paul Ricard to scrap the French Grand Prix, the Red Bull Ring in Austria is now next in line to raise the curtain on F1’s disrupted 2020 season.

Formula 1 boss Chase Carey expressed on Monday his confidence that the Spielberg event will indeed allow F1 to get itself in gear, a view also shared by Szafnauer.

    Barcelona ready to run summer closed-door race for F1

“If Austria do a very good job as a country to contain the spread of the virus into July, and there’s testing available for all of the Formula 1 employees or participants to actually test, I think it’s plausible to put on a race in early July,” the Racing Point boss told CNN.

“If by sometime in June, we say yes, it’s on, it’s happening, we’re safe to go. I think all the teams will be able to make it, no problem.”

Earlier this month, Austria became the first European country to start easing coronavirus restrictions, but all public sporting events will remain banned until the end of June.

However, the country’s government and local authorities in Styria aren’t dismissing the possibility of F1 setting up shop at the Red Bull Ring for a race, or perhaps even two, behind closed doors.

“Of course I support the idea of Formula 1 coming to Styria and to the Red Bull Ring even this year,” said Styria’s governor, Hermann Schützenhöfer.

“We must not lose our positive attitude during the crisis.

“It would be wonderful to send images from an exciting grand prix, as well as the beautiful images from the Murtal region around the world, at least via TV.”

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Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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