Vivre avec des animaux réduit le risque d'allergies

Une nouvelle étude réalisée par des scientifiques de Göteborg (Suède) révèle que les enfants grandissant avec des animaux ont moins tendance à développer des allergies.

Vivre avec des animaux réduit le risque d'allergies.

Le groupe de recherche, dont l’

étude a été publiée dans le journal “Plos one”, a analysé deux études antérieures portant sur le suivi de santé de certains enfants, et contenant des informations sur la présence ou non d’animaux à la maison. 
Une première étude était basée sur un questionnaire réalisé auprès de 1.029 enfants âgés de 7 à 8 ans, auxquels il avait été demandé de répondre à des questions sur le développement ou non de maladies telles que l’

asthme ou des

allergies. 
Il est apparu après analyse que 49% des sondés qui n’avaient pas grandi avec un animal présentaient au moins une allergie ou de l’asthme, contre 43% pour les enfants ayant vécu avec un animal et 24% pour ceux ayant vécu avec plusieurs animaux. 
La deuxième étude se basait sur une analyse de données de laboratoire sur l’état de santé de 249 enfants âgés de 8 à 9 ans. 
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Via cette étude, les chercheurs ont pu montrer que le taux d’allergie était de 48% chez les enfants grandissant sans animaux, contre 35% chez les enfants vivant avec un animal et 21% pour les enfants ayant plusieurs animaux. 
Cet ensemble de données établit donc que plus les bébés sont exposés à la vie avec des animaux, moins ils sont susceptibles de développer une allergie.

Accouchement : que penser de la méthode Epi-no ?

La méthode Epi-No est une technique de préparation à l’accouchement qui consiste à insérer un ballonnet gonflable dans le vagin pour l’assouplir et ainsi éviter déchirures et épisiotomie le jour J. Dans une recommandation publiée en décembre 2018, le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) estime son utilisation inutile et préconise de l’éviter.

Sommaire

  1. Une méthode « ancestrale »
  2. Un dispositif qui n’a pas fait ses preuves

La méthode « Epi-No » consiste à gonfler un petit ballon dans le vagin en fin de grossesse (à partir de la 37ème semaine), pour « travailler l’élasticité et l’assouplissement de votre périnée afin de le conserver intact » et « mettre toutes les chances de votre côté  pour éviter déchirures et épisiotomie le Jour J ». Après l’accouchement, le ballonnet permet également de re-muscler le plancher pelvien, « en travaillant contre la résistance du ballon ». Remboursé en partie (25,92 €) par la Sécurité sociale lorsqu’il est prescrit par un médecin ou une sage-femme, ce dispositif, qui coûte entre 116 et 122 €,  est  encore peu répandu en France (environ 5000 femmes l’ont utilisé en 2018). La méthode fait pourtant débat puisque le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) a incité les professionnels à ne pas prescrire cette méthode en raison de son inefficacité.Une méthode « ancestrale »Selon le site

Epi-no.fr, le dispositif serait inspiré d’un « savoir ancestral » africain. Les sages-femmes africaines préconiseraient l’utilisation de « courges-calebasses » de différentes tailles pour assouplir leur périnée et ainsi diminuer le risque de déchirures pendant l’accouchement. A nos confrères du

Figaro.fr, Clémence Schantz, sage-femme mandatée par le CNGOF pour évaluer efficacité de l’Epi-No, explique pourtant ne pas avoir trouvé « de référence datée sur cette pratique [en Afrique] ».  Un dispositif qui n’a pas fait ses preuvesLa sage-femme rappelle également que “peu d’études de bonne qualité” ont été réalisées afin de prouver les bienfaits de ce dispositif. En

 2015 et 

2016, deux études ont pourtant mis en évidence l’inefficacité de la technologie Epi-No dans la prévention des déchirures anales et périnéales lors de l’accouchement.Dans ses dernières recommandations pour la pratique clinique « Prévention et protection périnéale en obstétrique », le CNGOF rapporte que « l’utilisation du dispositif Epi-No n’apporte pas de bénéfices pour la protection périnéale obstétricale. » Les experts rappellent que seul

le massage périnéal au cours de la grossesse  à fait ses preuves pour diminuer “le taux d’épisiotomie ainsi que les douleurs périnéales et l’incontinence aux gaz dans le post-partum. »Click Here: nrl shops

Bébés nés sans bras : trois nouveaux cas recensés dans les Bouches-du-Rhône

Le Parisien révèle que trois petites filles sont nées en 2016 sans bras autour de l’étang de Berre, dans les Bouches du Rhône. Ces possibles "cas groupés" s’ajoutent à ceux détectés dans l’Ain, le Morbihan et la Loire-Atlantique sans qu’aucune cause n’ait été identifiée. Initiée fin octobre, une enquête des autorités sanitaires doit donner ses premières conclusions à la fin du mois.

Sommaire

  1. Trois nouveaux cas de bébés sans bras dans les Bouches-du-Rhône
  2. Pas de registre national, pas de cause identifiée…
  3. Une nouvelle enquête dont les conclusions sont attendues fin janvier

Trois nouveaux cas de bébés sans bras dans les Bouches-du-RhôneSelon

Le Parisien, ces trois petites filles sont nées en 2016 (en juin, août et novembre) dans un rayon de 3 km autour de Vitrolles. Ces 3 cas viennent s’ajouter à la

quinzaine rapportés dans l’Ain, le Morbihan et la Loire-Atlantique. Ces 3 malformations dites d’agénésie transverse des membres supérieurs (ATMS) concerne normalement 1 cas sur 10 000 naissances. Les causes peuvent être génétiques, liées à des contraintes physiques ou dues à des substances toxiques (alimentation, environnement, voire médicaments dans le cas du thalidomide, anti-nauséeux qui avait fait naître des milliers d’enfants sans bras entre 1957 et 1962). Plusieurs facteurs entrent sans doute en ligne de compte.Avec trois cas en moins d’un an sur un rayon de 30 km autour de l’étang de Berre (une zone particulièrement polluée), il est clair que ces chiffres interpellent. Ce sont les familles elles-mêmes qui ont lancé l’alerte auprès du Registre d’étude des malformations en Rhône-Alpes (

Remera). Sa directrice et lanceuse d’alerte Emmanuelle Amar déclare que les données ont été transmises à Santé Publique France. Interrogée dimanche soir par le Parisien, la ministère de la santé a déclaré que “de la même manière que des enquêtes ont été diligentées dans l’Ain, le Morbihan et en Loire-Atlantique, tous les nouveaux clusters doivent être investigués sur la base d’informations concordantes, suivant une méthodologie précise, et permettant d’en tirer des conclusions scientifiques“.Pas de registre national, pas de cause identifiée…L’affaire des bébés sans bras a débuté en septembre 2018 : une enquête de France 2 mettait à jour un rapport faisant état de 7 cas d’enfants nés sans bras ou sans main en 5 ans dans un rayon de 17 k autour de Druillat, dans l’Ain. Emmanuelle Amar, directrice de Remera lançait l’alerte alors que deux autres cas groupés étaient dévoilés dans le Morbihan et la Loire-Atlantique.Début octobre, une

première enquête de Santé Publique avait rendu ses conclusions. A l’époque, 7 cas avaient été recensés dans l’Ain, ce que l’enquête n’avait pas considéré comme “un excès par rapport à la moyenne nationale“. A l’inverse, les 2 cas signalés en Loire Atlantique et en Bretagne constituait un excès par rapport à la normale. Aucune cause n’avait été identifié pour ces cas. Ce qui avait fait réagir Emmanuelle Amar qui parlait d’un “plausible scandale sanitaire“. Selon elle, ces malformations pourraient être dues à des produits phytosanitaires. Une piste qui n’aurait pas été explorée par Santé publique France qui indique à nos confrères de France Info que ce type d’investigation ne rentre pas dans le cadre de leur mission. Cette affaire avait également révélé le manque de moyens liés à la surveillance des malformations congénitales et l’absence d’un registre national. Seuls 6 registres existent en France (Bretagne, Paris, Antilles, Réunion et deux en Auvergne-Rhône-Alpes), ils ne couvrent que 19 départements et 19 % des naissances.Santé publique France avait proposé de créer une “fédération nationale des six registres sur une base de fonctionnement commun“, qui était déjà effective mais n’avait pas retenu la création d’un vrai registre national (

évoqué pourtant dès 2016 par Marisol Touraine, alors ministre de la Santé).Une nouvelle enquête dont les conclusions sont attendues fin janvierFin octobre,

la ministre de la Santé décidait de lancer une nouvelle enquête avec l’aide de l’Agence nationale de sécurité sanitaire alimentation, environnement, travail (Anses) et Santé Publique France. Elle avait dans le même temps assurer que le maintien du financement des registres régionaux.Les premières conclusions de cette nouvelle enquête devait intervenir fin janvier. Jusqu’alors, rien n’a filtré et selon Le Parisien, le recensement des cas serait encore en cours et le “comité scientifique” et le “comité d’orientation et d’information” annoncés fin octobre ne seraient toujours pas constitués.Click Here: nrl shops

Le challenge avirose, pour se reconstruire après un cancer du sein

La seconde édition du challenge avirose, la compétition d’aviron indoor pour les femmes après un cancer du sein, aura lieu ce samedi 9 février.

Lancé l’an passé avec succès, le challenge Avirose aura lieu ce samedi 9 février au stade Charléty. Le principe ? Une épreuve en équipe de 4 rameurs, un relais 4X500m en aviron indoor. Petite nouveauté cette année, sur les 4 femmes qui composent une équipe, au moins 2 doivent être suivies pour un cancer du sein. Top départ pour les 33 équipes à 18h. L’épreuve est ouverte à toutes et pas uniquement aux femmes licenciées des clubs d’aviron. Seule obligation : le dress code rose !Ce challenge Avirose a été initié par Jocelyne Rolland dans le cadre du programme Aviron Santé en partenariat avec la Fédération Française d’aviron depuis 5 ans. Le but : permettre l’accès à la pratique d’aviron à un très large public (seniors, sédentaires, patients atteints du cancer…). Aujourd’hui, le programme est proposé dans 60 clubs labellisés Aviron Santé et encadré pour 101 coachs formés.Activité idéale pour les patientes ayant eu un cancer du sein, l’aviron permet de renforcer les 4 membres et le buste avec un geste adapté pour les femmes opérées du sein. Plus d’informations :

http://www.aviron-indoor.fr/fr/

Un cinquième des personnes âgées se font aider chez elle au quotidien

Quelque 21% des des personnes de plus de 60 ans vivant chez elles se font aider pour des actes essentiels de la vie quotidienne, dont la moitié par des professionnels, selon une étude de la Drees publiée vendredi.

Quelque 21% des des personnes de plus de 60 ans vivant chez elles se font aider pour des actes essentiels de la vie quotidienne, dont la moitié par des professionnels.

Sans surprise, le taux de recours à une aide extérieure croît avec l’âge: elle est inférieure à 10% pour les plus “jeunes” (60 à 74 ans), le plus souvent les courses ou le ménage, mais dépasse les 40% après 75 ans.

Plus le niveau de dépendance augmente, moins l’aide de l’entourage uniquement suffit face à la multiplicité des difficultés rencontrées par le senior“, observe le service statistique des ministères sociaux, qui a mené cette étude en 2015 en interrogeant environ 15.000 personnes.Ainsi, parmi ceux qui se font aider, les plus autonomes (avec un degré de dépendance reconnu, ou “GIR”, entre 5 et 6) sont 58% à solliciter uniquement leur entourage familial ou amical, et 20% à cumuler aide familiale et professionnelle.En revanche, chez les plus dépendants (GIR 1 à 2), “une aide professionnelle devient nécessaire pour réaliser des actes de plus en plus complexes : toilette, habillage…”, si bien que 77% sont aidés à la fois par leurs proches et par des professionnels.Mais seuls 4% ne sont assistés que par des professionnels, “ce qui est probablement révélateur de la difficulté du maintien à domicile des personnes les plus dépendantes sans aide de l’entourage”, notent les auteurs de l’étude.Chez les moins de 75 ans, 61% des seniors aidés le sont au moins par leur conjoint, et 33% au moins par leurs enfants. Chez les plus de 75 ans, les enfants deviennent les aidants familiaux principaux (à 63%), devant le conjoint (29%).Click Here: cheap kanken backpack

Autisme : une consultation plus longue pour favoriser le dépistage précoce

“ ”, a annoncé le secrétariat d’Etat auprès du Premier Ministre chargé des personnes handicapées dans un

communiqué de presse publié le 18 février 2019. L’objectif de cette consultation est de favoriser le dépistage précoce et de limiter le développement du sur-handicap.

Sommaire

  1. Favoriser le dépistage précoce
  2. Former les médecins dits “de première ligne”
  3. Repérer des signes d’alerte chez l’enfant

Favoriser le dépistage précoceEn France, les

Centres de ressources autismes (CRA) estiment que les enfants âgés de 0 et 5 ans représentent 34, 5% du total des diagnostics alors que la

Haute Autorité de Santé recommande une intervention avant l’âge de 4 ans. “ L’enjeu principal d’un repérage puis d’un

diagnostic précoce de trouble du spectre de l’autisme (TSA) est la possibilité de mettre en œuvre des interventions adaptées aux enfants avec TSA, globales, personnalisées et coordonnées, dans le but de favoriser leur développement et leurs apprentissages et de réduire les sur-handicaps ”.

Former les médecins dits “de première ligne”Les médecins dits “de première ligne” (médecins généralistes, pédiatres) sont les premiers à entretenir un contact régulier avec l’enfant et ce, dès son plus jeune âge.  C’est pourquoi la mise en oeuvre de la consultation longue “s’accompagnera d’une communication vers les professionnels de santé afin qu’ils connaissent non seulement les signes d’alerte des TSA mais aussi les bonnes pratiques relatives à l’accompagnement des enfants autistes. Elle permettra aux médecins généralistes et pédiatres confrontés à des signes d’alerte de prendre le temps d’explorer ces troubles de l’enfant avec des outils validés », souligne Claire Compagnon, déléguée interministérielle à la stratégie nationale pour l’autisme au sein des troubles du neuro-développement. En plus de réduire le “délai de diagnostic”, la déléguée ministérielle explique que cette consultation vise aussi à “

éviter l’errance des familles”.

Repérer des signes d’alerte chez l’enfantDans son communiqué, le secrétariat d’Etat auprès du Premier Ministre rappelle les signes qui peuvent alerter sur l’existence de troubles autistiques :

  •  l’absence de babillage, de pointage des objets à distance pour communiquer ou d’autres gestes sociaux (comme faire coucou ou au revoir, etc.) à 12 mois et au-delà ;
  • l’absence de mots à 18 mois et au-delà ;

  • l’absence d’association non écholalique de mots (c’est-à-dire hors de la répétition stricte des derniers mots de l’interlocuteur) à 24 mois et au-delà.

Grâce à cette nouvelle consultation, les médecins pourront prendre le temps d’approfondir les signes d’alerte à l’appui de questionnaires adaptés : “ pour les enfants de 16 à 30 mois, le M-CHAT, complété en cas de résultats confirmant un risque de TSA par un entretien structuré plus précis avec les parents au moyen du questionnaire de suivi M-CHAT-R/F. Après l’âge de 4 ans, le questionnaire de communication sociale SCQ ; chez l’enfant et l’adolescent sans trouble du développement intellectuel associé, les questionnaires ASSQ (Autism Spectrum Screening Questionnaire), AQ (Autism-spectrum Quotient) et SRS-2 (Social Responsiveness Scale)” seront privilégiés.

Né à 268 grammes, un bébé japonais a pu sortir de l’hôpital sain et sauf

Un jeune bébé pesant à la naissance 268 grammes a pu quitter l’hôpital universitaire Keio à Tokyo après 5 mois en unité de soins. Il serait le plus petit bébé prématuré à quitter la maternité en bonne santé.

En août 2018, les médecins de l’hôpital universitaire Keio à Tokyo ont décidé d’effectuer une césarienne d’urgence en raison d’un arrêt de croissance du foetus. A 24 semaines d’aménorrhée, le bébé était alors si petit qu’il tenait dans les deux mains.Il a passé 5 mois dans le service des grands prématurés de l’hôpital et pèse aujourd’hui 3,2 kg et peut respirer et se nourrir normalement (allaitement). Il s’agit selon les

données internationales du plus petit garçon collectées par l’Université de l’Iowa.Un bébé est considéré comme prématuré s’il naît avant 37 semaines d’aménorrhée, soit avant 8 mois et demi de grossesse. Il existe différents stades de prématurité mais, la très grande prématurité correspond à la naissance d’un enfant avant 28 semaines, soit avant 6 mois de grossesse. Dans ce cas, on parle aussi de d’extrême prématurité.Si depuis 20 ans, il y a une nette amélioration de la survie des enfants nés prématurément, les taux de survie restent directement corrélés à la durée de la grossesse.

Ainsi en France, le

taux de survie chez les très grands prématurés est de :

  • 94 % entre 27 et 31 semaines,
  • 75 % à 26 semaines,
  • 59 % à 25 semaines,
  • 31 % à 24 semaines
  • moins de 1% avant 24 semaines. 

Arrivés un peu trop tôt, les bébés prématurés n’ont pas fini de se développer comme ils auraient dû le faire dans le ventre de leur mère…A la naissance, ils ont souvent : 

  • Des difficultés respiratoires qui vont nécessiter une assistance ventilatoire, leurs poumons n’étant pas assez matures ;
  • Un problème au 

    canal artériel ;

  • Une immaturité digestive qui donnera lieu à des modalités spécifiques d’alimentation ;
  • Une immaturité de nombreuses fonctions du foie (les prématurés ont souvent 

    un ictère après quelques jours de vie) ;

  • Une immaturité du système nerveux central ;
  • Une immaturité rénale.

Les

grands prématurés sont accueillis en service de réanimation néonatale où ils reçoivent les soins nécessaires et adaptés à leurs risques et bénéficient d’une surveillance renforcée. Ils sont ensuite orientés vers les soins intensifs, puis en service de néonatalogie quand leur état de santé est stable

Reste à charge zéro : la première mutuelle de France appliquera la réforme dès juillet

Harmonie Mutuelle a annoncé lundi qu’elle appliquerait dès juillet dans ses réseaux de soins la réforme du reste à charge zéro, qui prévoit un remboursement intégral par l’Assurance maladie et les complémentaires santé de certaines lunettes, prothèses dentaires et auditives d’ici à 2021.

Harmonie Mutuelle a annoncé lundi qu'elle appliquerait dès juillet dans ses réseaux de soins la réforme du reste à charge zéro.

Avec “près de deux ans d’avance“, la première mutuelle de France a décidé “de mettre en oeuvre intégralement les paniers de soins sans reste à charge dans ses réseaux conventionnés (5.200 centres d’optique, 3.500 centres d’audition, 3.200 dentistes) dès juillet 2019“, écrit-elle dans un communiqué.”Cela signifie que les adhérents individuels d’Harmonie Mutuelle qui iront dans les enseignes des réseaux conventionnés pourront choisir parmi une gamme d’équipements dont le reste à charge sera nul ou maîtrisé“, précise la mutuelle.”La compensation se fera alors par le versement automatique d’une prestation complémentaire“, détaille-t-elle.Pour les entreprises clientes et leurs salariés, la mutuelle invite à “renégocier” les contrats collectifs, leurs adhérents pouvant “solliciter le fonds d’action sociale” du groupe “en cas de reste à charge pénalisant“.Harmonie Mutuelle, qui revendique “plus de 4,6 millions de personnes protégées“, assure par ailleurs qu’elle “ne procédera à aucune hausse de cotisation pour gérer cette anticipation“.Elle entend ainsi “réaffirmer son engagement” dans la lutte contre “le renoncement aux soins pour raisons financières“.Promesse de campagne d’Emmanuel Macron, le

reste à charge zéro doit entrer en vigueur par étapes.Une concertation avec l’ensemble des acteurs du secteur avait abouti à la définition d’un panier “100% santé”, accessible à tous les assurés et pris en charge à 100% par l’assurance maladie et les complémentaires santé (mutuelles, institutions de prévoyance, assurances).En décembre, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, avait accusé certaines complémentaires de “saboter” la réforme et rappelé “leur engagement” de ne pas l’utiliser pour justifier des hausses de prix.La Mutualité française, qui fédère une grande partie des mutuelles, avait dans la foulée proposé “d’accélérer” sa mise en place avec un déploiement “dès le second semestre 2019”.Elle avait appelé “l’ensemble des acteurs concernés – les pouvoirs publics, l’assurance-maladie, les complémentaires et les professionnels de santé – à se mobiliser“, en précisant que “naturellement, les établissements mutualistes s’y inscriraient et proposeraient les paniers de soins à reste à charge zéro“.Click Here: ADELAIDE CROWS 2019 MEN’S HOME GUERNSEY

Des composés du café pourraient freiner le cancer de la prostate

Pour la première fois, des scientifiques ont identifié des composés présents dans le café qui pourraient inhiber la croissance du cancer de la prostate. Cette étude réalisée sur des cellules cancéreuses résistantes aux médicaments et sur un modèle murin reste très préliminaire.

Le café est un mélange complexe de composés dont l’influence sur la santé humaine a fait l’objet de nombreuses études. Il devient de plus en plus évident que certains cafés sont associés à une réduction de l’incidence de certains cancers, notamment du cancer de la prostate.Des scientifiques japonais ont étudié les effets de deux composés présents dans le café, l’acétate de kahweol et le cafestol, sur des cellules cancéreuses de la prostate et sur des animaux. Ces deux hydrocarbures ont pu inhiber la croissance de cellules résistantes aux médicaments anticancéreux tels que le cabazitaxel.L’acétate de kahweol et le cafestol sont des hydrocarbures, naturellement présents dans le café Arabica. Le processus de fabrication a une incidence sur le fait que ces composés restent dans le café après avoir été brassés (comme dans un expresso) ou s’ils sont éliminés (si le café est filtré).Les chercheurs ont initialement testé 6 composés, naturellement présents dans le café, sur des cellules cancéreuses de la prostate cultivées in vitro. Ils ont découvert que les cellules traitées avec de l’acétate de kahweol et du cafestol se développaient plus lentement que les cellules de contrôle. Ils ont ensuite testé ces mêmes composés sur des cellules cancéreuses de la prostate transplantées sur des souris (16 souris). Au total, 4 souris ne recevaient pas de traitement, 4 ont été traitées avec de l’acétate de kahweol, 4 avec du cafestol et les souris restantes ont été traitées avec une combinaison d’acétate de kahweol et de cafestol.Le Dr Hiroaki Iwamoto de l’Université de Kanazawa, Japon, premier auteur de l’étude, a déclaré : “Nous avons constaté que l’acétate de kahweol et le cafestol inhibaient la croissance des cellules cancéreuses chez la souris, mais que l’association semblait fonctionner en synergie, conduisant à une croissance tumorale nettement plus lente que chez la souris non traitée. Après 11 jours, la tumeur non traitée avait plus que quadruplé de volume (342%), alors que les tumeurs chez les souris traitées avec les deux composés avaient un peu plus que doubler par rapport à la taille initiale (167%)“.Cette étude préliminaire nécessite de plus amples recherches avant de savoir si ces résultats sont extrapolables à l’homme. Le Professeur Atsushi Mizokami de l’Université de Kanazawa a ainsi précisé : “Ces résultats sont prometteurs, mais ils ne devraient pas inciter les gens à modifier leur consommation de café. Le café peut avoir des effets à la fois positifs et négatifs (par exemple, il peut augmenter l’hypertension), nous devons donc en savoir plus sur les mécanismes qui sous-tendent ces résultats avant de pouvoir penser aux applications cliniques. Cependant, si nous pouvons confirmer ces résultats, nous pourrions avoir des candidats pour traiter le cancer de la prostate résistant aux médicaments“.

28% des parents regrettent leur choix de prénom pour leur enfant

Choisir un prénom est loin d’être facile! Il est souvent l’objet de longues discussions au sein du couple, mais il n’est pas rare que la famille, voire les amis s’en mêlent…. Réfléchissez bien avant de faire votre choix! Car, selon un sondage commandé par le site

channelmum.com,et réalisé auprès de 2000 parents britanniques, près de 28% d’entre-eux regretterait le choix du prénom de leur enfant.

Sommaire

  1. Trouver un prénom original
  2. Imiter les stars
  3. Les 10 raisons de regretter son choix de prénom

Selon

un sondage réalisé auprès de 2000 britanniques pour le site parental Channelmum, 28% des parents regretteraient le prénom choisi pour leur enfant.Trouver un prénom originalAinsi, 1/3 d’entre-eux auraient changé d’avis après s’être rendu compte que

le prénom qu’ils pensaient unique et original ne l’était pas tant que ça puisque de nombreux autre petits le portent. Au point qu’1 parent sur 20 aurait pris l’habitude d’appeler leur enfant par un prénom différent de celui inscrit sur leur livret de famille. 14% auraient même envisagé de changer officiellement le prénom de leur bambin. Imiter les starsSJ Strum, expert en prénom du site ChannelMum, met en garde les parents tentés d’imiter les célébrités en donnant un prénom trop original, comme Apple (Gwyneth Paltrow et Chris Martin) ou Shiloh (Brad Pitt et Angelina Jolie) : “suivre la tendance initiée par les célébrités, c’est prendre le risque de choisir un prénom que vous ou votre enfant allez finir par détester,” prévient-il.  Mais imiter les stars n’est du gout de tout le monde; 1 sondé sur 10 raconte ne plus aimer le prénom de son enfant parce qu’une célébrité a choisi le même. Par exemple, les parents d’un petit Georges avouent avoir commencé à douter après avoir appris que

le Prince William et Kate Middleton avait également prénommé leur fils Georges. Les 10 raisons de regretter son choix de prénomLe site parental dresse une liste des principales raisons de regret :

  • Le prénom est devenu trop populaire
  • les parents étaient stressés lors du choix du prénom
  • Le prénom ne va pas à l’enfant
  • Un proche a choisi le même prénom pour son bébé
  • Le prénom est difficile à épeler
  • Quelqu’un portant le même prénom est devenu célèbre
  • Une star a prénommé son bébé de la même façon
  • L’association avec son deuxième prénom ou son nom de famille est gênante

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