Les jouets en plastique d’occasion peuvent poser des problèmes de santé aux enfants

Les jouets en plastique "d’occasion" (présents dans les foyers, garderies ou les vide-greniers) peuvent présenter des risques pour la santé des enfants car ils ne respectent pas les recommandations internationales de sécurité. Une étude anglaise alerte les parents sur ces dangers.

Les jouets en plastique "d’occasion" peuvent présenter des risques pour la santé des enfants.

200 jouets d’occasion en plastique analysésDes scientifiques de l’Université de Plymouth (Royaume-Uni) ont analysé 200 jouets en plastique d’occasion trouvés dans des foyers, des garderies et des magasins de charité. Les jouets incluaient de petites voitures, des trains des jeux de lego et des puzzles. Les enfants mettent souvent dans leur bouche ce type de jouets pour les sucer ou les mâcher, soulignent les auteurs.De nombreuses substances potentiellement dangereuses retrouvéesAprès analyse de ces jouets par fluorescence aux rayons X et par spectrométrie, les chercheurs ont retrouvé des concentrations élevées de substances telles que l’antimonium, le baryum, le brome, le cadmium ou encore le sélénium . Tous ces produits sont dangereux pour la santé des enfants qui y sont exposés pendant des périodes plus ou moins longues. Ces mêmes substances se retrouvent également dans les bijoux fantaisie, en particulier de couleur jaune, rouge ou noir.Des quantités supérieures à celles recommandéesAfin d’évaluer les conséquences en cas d’ingestion, les chercheurs ont recréé des conditions simulant l’intérieur de l’estomac. Dans cet environnement, ces jouets ont émis des quantités de brome et cadmium bien supérieures aux recommandations internationales de sécurité.Des mesures de sécurité s’imposentSelon le Dr Andrew Turner, il s’agit de la première étude pour détecter ses substances dangereuses pour la santé dans les jouets d’occasion en plastique conduite au Royaume-Uni. “Ces résultats devraient conduire les adultes et en particulier les parents à être particulièrement attentifs et à éviter l’acquisition de jouets en plastique d’occasion“. Par ailleurs, pour le Dr Turner, “des directives de sécurité devraient être appliquées pour que l’industrie du plastique prenne des mesures afin d’éliminer toute substance dangereuse des jouets neufs, ce qui aurait pour conséquence que ces substances ne se retrouveraient plus à terme dans les jouets d’occasion“.

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Madonna, Mel Gibson, Berlusconi…Les Golden divorces de l’année

Pire que la crise financière mondiale, les VIP en instance de divorce ne redoutent rien tant que l’addition salée imposée par leurs ex. Et là, pas de parachute doré pour s’assurer des lendemains heureux ! Mesquin s’abstenir…

Votre grand-mère vous a répété durant toute votre enfance que «ce qui compte, dans la vie, c’est de trouver un bon mari»? Elle n’avait pas tout à fait tort. Encore faut-il, à en croire les beautiful people, le quitter au moment opportun! C’est un fait, dorénavant, l’avenir appartient à ceux qui réussissent leur séparation. Selon l’INED (Institut national des études démographiques) environ 35 % des mariages se soldent par un divorce. Les stars donnent la cadence. Depuis la retentissante désunion de Johnny Hallyday et Sylvie Vartan en 1980 (après vingt-cinq ans de vie commune toute de même!), plus personne ne s’étonne des pérégrinations amoureuses de nos VIP. Encore moins des sommes astronomiques qui sont en jeu lors des joutes juridiques dont la star est le hérault.

Ouvertement renié par son épouse Veronica, lasse de ses infidélités à répétition, Silvio Berlusconi risque, en divorçant, de perdre bien plus que sa réputation. Sa fortune, estimée 6 milliards d’euros, ainsi que ses villas de San Martino, à Arcore, ou de Certosa, en Sardaigne, pourraient, elles aussi, pâtir du déchirement d’un couple pourtant uni depuis 1979. Le nombre d’années partagées fait souvent la différence. Prenez Rupert Murdoch. Le magnat des médias détient le record de la prestation compensatoire la plus onéreuse alléguée dans le cadre d’un divorce à l’amiable. En 1999, il a concédé pas moins de 1 milliard d’euros à sa seconde femme, Anna, après trente-deux ans de mariage. Certes, le pactole, principalement constitué d’actions, ne s’élevait réellement «que» à 70 millions d’euros. Mais tout de même…

Tout fervent catholique qu’il est, Mel Gibson, risque, lui aussi, de payer cher sa relation extraconjugale avec Oksana Gregorieva. La star de Braveheart pourrait perdre la moitié de sa fortune (estimée à 706 millions d’euros), l’église qu’il possède au cœur de Malibu (d’une valeur de 28 millions d’euros), ses résidences de rêve en Californie, son ranch au Costa Rica, et sa villa dans son île Mago, aux Fidji. Robyn, qui partageait le quotidien de l’acteur depuis vingt-huit ans, sans avoir signé de contrat de mariage, exige également la garde exclusive de leurs sept enfants. C’est souvent là que le bât blesse. Car si Madame tape dans le patrimoine, Monsieur prend souvent un malin plaisir à lui ravir la garde des petits.

Sean Penn, dont le divorce d’avec Robin Wright est imminent, a exigé la garde exclusive de leurs deux enfants. Thierry Henry, lui, n’a pas su négocier ce passement de jambes. S’il n’a eu aucune difficulté à régler les 9,2 millions d’euros réclamés par son ex, l’as du ballon rond a été totalement désemparé de perdre la garde de leur petite Téa (quatre ans). Lui habituellement peu prompt aux aveux, s’est même épanché: «Un père qui ne voit sa fille que cinq fois en huit mois ne peut pas être heureux.» Pour Guy Ritchie, même combat… Madonna lui a, certes, laissé 40 millions d’euros, le château du Wilshire et The Punchbowl, leur pub londonnien, mais leurs fils, Rocco, et David qu’ils avaient adopté au Malawi en 2007, eux, restent à New York avec Maman. Ainsi en a décidé le juge, en mars dernier. Mister Ritchie, qui réside à Londres, a immédiatement fait appel de cette décision. Quitte, s’il le faut, à embaucher les meilleurs avocats de Grande-Bretagne. L’addition pourrait s’avérer salée. Sauvegarder son patrimoine, ça n’a pas de prix!

En 1996, il en avait coûté 26 millions d’euros au prince Charles pour dire bye-bye à Diana. Kevin Costner, lui, a payé le double à son ex, Cindy Silva. Ce qui n’est rien comparé aux 126 millions d’euros (en plus d’une villa luxuriante et 7 hectares de bois) alloués par Michael Jordan à Juanita Vanoy. Certaines stars parviennent parfois à limiter les dégâts. Le richissime propriétaire du club de football Chelsea FC, Roman Abramovitch, s’est délesté de «seulement» 2 % de sa fortune en réglant 190 millions d’euros à Irina. Sur ses 300 millions d’euros, Mick Jagger, lui, n’en a concédé «que» 18 à Jerry Hall, la mère de ses quatre enfants et son épouse durant vingt-deux ans. Comme quoi, quand on n’aime plus, on se remet à compter!

Amélie de Menou

Article paru dans Gala, mai 2009

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L'épilepsie, handicapante, mal connue et mal prise en charge

L’épilepsie, qui touche 640.000 à 810.000 personnes en France, est une maladie handicapante et mal connue, pour lesquelles les associations demanderont une meilleure prise en charge, à l’occasion d’un premier Sommet national samedi à Paris.

Malgré des progrès considérables ces dernières décennies dans les traitements, environ un malade sur cinq en France souffre d'une forme "non stabilisée".

L’épilepsie fait peurUne absence, une chute, des convulsions, voire une perte de connaissance… La crise d’épilepsie peut être plus ou moins spectaculaire, avec des conséquences potentiellement graves. “Il y a différents types d’épilepsies, avec pour point commun que c’est une maladie qui touche le cerveau, qui désorganise les neurones“, explique Norbert Khayat, épileptologue dans un établissement spécialisé, la Teppe à Tain-l’Hermitage (Drôme).

L’image classique c’est la crise convulsive. Mais il y a aussi l’épilepsie avec absences, très fréquente chez l’enfant, où le patient a ce qu’on appelle une rupture de contact. Il va arrêter son activité, et cela peut se produire jusqu’à 30 ou 40 fois par jour“, ajoute-t-il.D’autres formes peuvent être “très invalidantes“, souligne le médecin. Ainsi ces épilepsies “focales” qui font secouer un membre hors de tout contrôle. Malgré des progrès considérables ces dernières décennies dans les traitements, environ un malade sur cinq en France souffre d’une forme “non stabilisée”.Surtout, les personnes atteintes de cette maladie neurologique chronique et non contagieuse se sentent encore stigmatisées. “L’épilepsie fait peur“, constate l’association Épilepsie-France, qui réclame de “changer le regard” sur cette maladie, et de l'”intégrer dans les politiques publiques“.Discrimination dans l’emploiRejeté, c’est un mot qui revient souvent chez les épileptiques. Parce qu’ils souffrent de troubles de l’apprentissage, parce que la prise en charge est insatisfaisante, parce qu’ils ont du mal à trouver un emploi“, dit à l’AFP la présidente de cette association, Delphine Dannecker.”Une crise convulsive qui peut se produire n’importe quand, c’est impressionnant. C’est une des premières causes de visites aux urgences, alors que si les gens étaient mieux informés, ou formés, il y en aurait beaucoup moins“, souligne-t-elle.Le réflexe à avoir : coucher la personne en position latérale de sécurité, et l’empêcher de se blesser. La crise finit généralement par passer.Le Sommet national réunit à la mairie du 15e arrondissement de Paris samedi des spécialistes, des institutions publiques, et 15 associations de malades différentes, certaines étant spécialisées dans une forme de la maladie. Ces dernières ont en commun de revendiquer une meilleure prise en compte des besoins spécifiques des malades.

Les neurologues sont par exemple une rareté dans certaines régions. L’Education nationale n’a pas toujours de solution satisfaisante à offrir à un élève épileptique. La reconnaissance du handicap est loin de lever toutes difficultés. Et des discriminations persistent sur le marché du travail, ou face à l’emprunt.”Comme la maladie est mal connue, comme les gens n’en parlaient pas, ça a entraîné une difficulté de diagnostic, et un déficit dans la prise en charge des patients, qui reste très inégale sur le territoire“, déplore le Dr Khayat.D’après l’Organisation mondiale de la santé, 50 millions de personnes dans le monde sont atteintes d’épilepsie, dont plus de la moitié privées d’un traitement adéquat.

DOCUMENT FRANCEINFO. Création d’un sanctuaire marin en Antarctique : la lettre ouverte du réalisateur de “La Marche de l’empereur” à Jean-Yves Le Drian

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !C’est un projet déjà tombé à l’eau plusieurs fois. Alors que se tient actuellement la 37e réunion annuelle de la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l’Antarctique (CCAMLR), le réalisateur français Luc Jacquet, oscarisé en 2006 pour “La Marche de l’empereur”, plaide en faveur de la création d’un grand sanctuaire marin en mer de Weddell. Dans une lettre ouverte adressée au ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, et qu’il publie sur franceinfo, Luc Jacquet appelle le gouvernement français à protéger “la forteresse de l’Antarctique”. Il s’exprime ici librement.En ce moment même, la Commission pour la conservation de la faune et la flore marines de l’Antarctique (CCAMLR) tient une réunion décisive en Australie pour décider de la création d’une zone protégée en Antarctique. Un représentant de la France mandaté par Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, siège à cette commission.Monsieur le ministre, l’Antarctique est le seul continent à avoir résisté à la colonisation humaine… du moins jusqu’au XXe siècle. Tout comme est préservé l’océan qui l’entoure, “hors” du reste du monde, protégé par une immense “muraille” d’eau tournant à toute vitesse autour du continent blanc, le courant circumpolaire. Une forteresse entourée par des douves comme les places fortes du Moyen Âge. Jusqu’à il y a peu, il était protégé aussi par le coût exorbitant des moyens qu’il fallait déployer pour s’y rendre, par le froid et les tempêtes qui rendaient toute forme de travail presque impossible, par l’éloignement, etc. Mais aujourd’hui, ses ressources sont devenues désirables et économiquement viables tout simplement parce que nous avons écumé les territoires et les ressources plus accessibles. Pourtant, après l’Antarctique, il y a le vide, le vide intersidéral. C’est la dernière frontière de notre conquête absolue de la planète.Une question de civilisation, sinon d’humanitéJe pense à cet instant au bruit du pas des manchots sur la glace qui s’arrêtent près de vous, et semblent bien se demander qui vous êtes et ce que vous faites là. Pas de peur en eux : ils n’ont pas eu le temps d’apprendre à nous fuir. Quelle responsabilité ressent-on alors en faisant une pose sur la banquise aux côtés de ces animaux superbes et vulnérable ! Leur écologie, tout comme celle de toutes les créatures vivantes de ces régions, est une ode à la modestie et à la ténacité, un art de survivre poussé à l’extrême simplement pour entretenir le foyer de la vie, là où la vie n’est plus possible. Cet acharnement à vivre est une donnée universelle dans laquelle chacun d’entre nous peut se retrouver et s’inspirer.Monsieur le ministre, ne prenons pas d’assaut la forteresse de l’Antarctique. Tout est ici plus fragile qu’ailleurs, en permanent équilibre entre la vie et la mort.Luc JacquetJe ne veux même pas convoquer ici les arguments physiques bien documentés aujourd’hui quant à l’indispensable importance de ces lieux dans les machines climatiques et océaniques. Je veux juste parler de civilisation – je n’ose dire d’humanité. La mer de Weddell est un des moteurs indispensables de la productivité océanique qui irrigue tout l’écosystème Antarctique. Préservons-la de toute forme d’exploitation, gardons-la pour ce qu’elle est, sans l’encombrer de nos intentions maladroites, c’est le meilleur service que l’on puisse rendre à nos enfants. Même à des milliers de kilomètres de là, il suffit de jeter un coup d’œil à la Terre depuis l’espace pour le comprendre.Click Here: liverpool mens jersey

Epilepsie : apprendre à gérer son stress réduit la fréquence des crises

Selon cette nouvelle étude publiée dans la revue Neurology, les techniques de gestion du stress seraient utiles pour réduire la fréquence des crises chez les personnes atteintes d’épilepsie.

La relaxation aide à réduire les crises d'épilepsie. ©GregorBister / Istock.com

Malgré l’apparition de nouveaux médicaments contre l’

épilepsie, au moins un tiers des patients continuent à avoir des crises, indique une étude américaine publiée le 14 février 2018 dans la revue Neurology.Le stress comme déclencheur des crisesComme le rapporte la plupart des patients épileptiques, le déclenchement de ces crises est souvent dû à un épisode de

stress d’où la nécessité d’apporter d’autres outils aux patients.Pour les besoins des travaux, 66 personnes qui continuaient à avoir au moins quatre crises deux mois avant le début de l’étude malgré la prise de médicaments ont été initiés à des techniques de gestion du stress par une psychologue pendant 3 mois.Ils devaient ensuite pratiquer deux fois par jour à la suite d’un enregistrement audio.La relaxation contre les crisesAfin de prévenir ou gérer leurs crises, la moitié des participants a appris une technique de relaxation musculaire progressive, une méthode de réduction du stress qui vise à contracter puis détendre chaque groupe musculaire ainsi que des techniques de respiration.L’autre moitié constituant un groupe témoin également suivi par la psychologue a quant à elle exécuté des tâches ciblant l’attention telles que l’écriture de leurs activités de la veille, selon l’étude.L’étude montre peu de différence entre les deux approches : le groupe de gestion du stress avait 29 % moins de crises durant l’étude qu’avant tandis que le groupe témoin affichait 25 % moins de crises.Apprendre à gérer son stressLe fait d’avoir suivi une prise en charge psychologique en rapportant chaque jour leurs niveaux de stress, la qualité du sommeil et l’humeur a permis à l’ensemble des patients de mieux reconnaître les symptômes et de réagir au stress, souligne l’étude. D’autres techniques seront évaluéesPour aller plus loin, d’autres techniques de réduction du stress parmi lesquelles la thérapie cognitive basée sur la méditation de pleine conscience seront évaluées dans le but d’améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’épilepsie, conclut l’étude.Click Here: liverpool mens jersey

Biodiversité : 60% des animaux ont déjà disparu

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !D’ici peu, les éléphants d’Afrique ne pourraient être qu’un lointain souvenir. Ces quarante dernières années, cette espèce a perdu 86% de sa population. Les braconniers ne lui laissent aucun répit. Les grands singes, les félins, les rhinocéros subissent le même déclin. Durant la même période, 60% de la population des animaux vertébrés a disparu. Une seule espèce est responsable de ce désastre : l’être humain. Pour se nourrir et assumer sa croissance, il détruit les forêts, l’habitat naturel des animaux.L’humain est aussi menacéCes forêts disparaissent principalement dans les tropiques, en Amazonie, en Afrique, en Indonésie et dans l’est australien. Pour le WWF, la prochaine conférence mondiale de la biodiversité doit se saisir du problème. Sans action concrète, les scientifiques ne prévoient pas un déclin, mais un effondrement de la population animale. Dépendant de cette biodiversité, l’humain est lui aussi menacé.Le JT

  • JT de 12/13 du mardi 30 octobre 2018 L’intégrale

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Image du corps : mieux vaut éviter les publications de ses amis sportifs sur les réseaux sociaux

Consulter en masse les photos ou vidéos de ses amis publiant leurs activités sportives sur les réseaux sociaux peut conduire à une mauvaise image de son propre corps, prévient une nouvelle étude américaine publiée récemment.

Regarder les photos et vidéos de ses amis sportifs sur les réseaux sociaux peut entraîner quelques complexes<br />
©svetikd / Istock.com

Les publications de ses amis affichant leurs activités sportives via des photos ou vidéos sur les réseaux sociaux peut générer une anxiété au niveau de son propre poids par effet de comparaison, indique une étude qui s’est intéressée à ce phénomène psychologique auprès de 232 individus connectés à leur réseau social préféré.Plus les personnes qui postent ces informations nous ressemblent, plus le processus d’identification est fort, a trouvé l’étude.Les activités physiques recensées par les participants concernaient aussi bien la randonnée, la marche à pied, la gymnastique ou des entraînements en salle de sport. Pour quelques personnes, cette “bonne référence” a été cependant un moteur pour devenir plus actifs tandis que pour une majorité, plus le nombre de posts visualisés était nombreux, plus le poids devenait un sujet de préoccupation personnelle.Ainsi, les auteurs de l’étude mettent en garde contre ce phénomène conduisant potentiellement à une mauvaise image de soi qui s’aggraverait surtout chez les personnes déjà complexées par leur poids.Ces travaux ont été publiés dans la revue Health Communications.(AFP/Relaxnews)Click Here: liverpool mens jersey

Pollution : l'exposition pendant la grossesse peut entraîner des troubles cognitifs chez l'enfant

L’exposition à la pollution atmosphérique, y compris à des niveaux inférieurs aux limitations européennes, pourrait retarder le développement cérébral chez les enfants, alerte une étude conduite par des chercheurs du Barcelona Institute for Global Health (ISGlobal).

Grâce à l'imagerie cérébrale, les chercheurs ont constaté des anomalies de l'épaisseur du cortex cérébral et ce, dans différentes zones chez les enfants âgés de 6 et 10 ans.

Les enfants qui ont été exposés in utero à la pollution de l’air présentent des anomalies dans plusieurs régions du cerveau dont le cortex, affirme une étude qui a suivi le développement cognitif de 783 enfants aux Pays-Bas. Le cerveau du foetus étant particulièrement vulnérable pendant la grossesse, l’étude suggère que “l’exposition à un environnement pollué même à des niveaux bien au-dessous de ceux considérés comme sûrs puisse causer des dégâts cérébraux permanents“.Les travaux ont mesuré les niveaux de particules de dioxyde d’azote, un polluant présent dans l’air causé par le trafic et la fumée de cigarette, de particules fines et de plus grosses particules auxquelles les mères avaient été exposées pendant la grossesse à leur domicile.Grâce à l’imagerie cérébrale, les chercheurs ont constaté des anomalies de l’épaisseur du cortex cérébral et ce, dans différentes zones chez les enfants âgés de 6 et 10 ans.Ces modifications observées dans ces régions du cerveau peuvent conduire à des difficultés de self-control comme la gestion de l’impulsivité associés à des comportements addictifs ou de l’hyperactivité, selon l’étude. Seuls 0,5 % des femmes enceintes ont été exposées à des niveaux considérés comme dangereux pour la santé, constate l’étude qui révèle des niveaux moyens de dioxyde d’azote “à la limite sûre“.Ces anomalies cérébrales contribuent en partie à la difficulté avec le contrôle inhibiteur – la capacité de régler le sang-froid sur des tentations et le comportement impulsif – associés à des comportements de dépendance comportement ou de l’hyperactivité.Les retards cognitifs observés tôt dans la vie pourraient avoir des conséquences graves à long terme comme le risque significatif de développer des troubles psychiques et des difficultés scolaires, concluent les auteurs de l’étude.Click Here: liverpool mens jersey

Florence Thune (Sidaction) : "On peut aujourd'hui mener une vie normale grâce aux traitements"

A l’occasion de l’édition 2018 du Sidaction qui se tiendra jusqu’ au 25 mars, Florence Thune, directrice générale de Sidaction, met l’accent sur le dépistage précoce, y compris chez les jeunes, pour bénéficier le plus tôt possible de traitements efficaces. Autre priorité, la lutte contre les clichés et idées fausses afin de changer l’image du VIH et des personnes séropositives.

Florence Thune, directrice générale de Sidaction. ©Sidaction

Quelle est le principal message que vous souhaitez transmettre pendant ce sidaction ?Nous souhaitons répandre l’idée que l’on peut aujourd’hui mener une vie normale grâce aux traitements efficaces- les antirétroviraux- et avoir une vie sexuelle sans contaminer son partenaire grâce au médicament

Truvada. Pour la majorité de la population, le

VIH rime encore avec l’idée de mort. On veut également insister sur le droit à une sexualité liée au plaisir sans jugement et sans tabou et cela passe par des outils de prévention comme le

préservatif,  chez les jeunes notamment. 43 % des jeunes se disent mal informés sur le VIH, quels conseils leur donneriez-vous ?Pour trouver des informations sérieuses sur la

contraception, la

sexualité et le VIH, je conseille de se rendre sur le site développé par Santé publique France

onsexprime.fr plutôt que de se perdre sur les réseaux sociaux. Il ne faut pas hésiter à se faire dépister en demandant une prescription à son médecin ou en allant dans un des Centre Gratuit d’Information de Dépistage et de Diagnostic (CeGIDD) accompagné d’un adulte si l’on est mineur. Les tests en vente libre en pharmacie sont aussi une bonne option mais au prix de 22 euros non remboursé, il représente un coût élevé pour les jeunes.Pourquoi, selon vous, y-a-t-il encore autant de clichés autour du sida, surtout chez les jeunes ?Malheureusement, il y a moins de témoignages de personnes qui mènent, grâce aux traitements, une vie normale avec le

sida, qui travaillent et qui ont une vie amoureuse et sexuelle et parfois des enfants. Ce sont ces exemples vécus- comme celui de Lucie Hovhannessian, une jeune femme séropositive de 26 ans qui vient de publier un livre ” Presque comme les autres”- qui permettent de lutter contre les préjugés et les idées reçues. La parole est plus libre et sans tabou dans le cadre de rencontre au sein des associations. Quelle est, d’après vous, la priorité aujourd’hui de la lutte contre le sida ? Il faut continuer à parler du sida pour éviter de le banaliser et inciter les personnes à se faire dépister. En France, 27 % des personnes apprennent leur séropositivité en moyenne 7 à 8 ans après à un stade avancé. Certaines infections ou pathologies pulmonaires ou neurologiques doivent alerter les patients et les médecins. Par ailleurs, la recherche se focalise aujourd’hui sur l’allègement des traitements c’est à dire des injections trimestrielles ou une prise de médicaments 4 jours sur 7. En plus de la recherche d’un vaccin de prévention, l’autre axe est de mettre au point un traitement qui amènerait à la rémission du VIH, en le maintenant inactif.L’édition 2018 du Sidaction se déroulera jusqu’à dimanche 25 mars à minuit.Plus d’infos :

don.sidaction.org

Les disputes parentales exposent les enfants à des difficultés relationnelles

Les enfants qui vivent sous un toit où les parents se disputent souvent présentent plus de risques de devenir anxieux et d’avoir des difficultés relationnelles à l’âge adulte, selon une étude américaine.

Les enfants exposés à des conflits parentaux développeraient une anxiété.

Les disputes parentales peuvent causer des dégâts à long terme chez les enfants, en détériorant leur capacité à décrypter correctement les émotions chez les autres, indique une nouvelle étude américaine.Pour arriver à cette conclusion, des chercheurs de l’Université du Vermont aux Etats-Unis ont mené une expérience auprès de 99 enfants âgés de 9 à 11 ans, répertoriés en deux groupes selon la fréquence des conflits qu’ils vivaient à la maison et si ces altercations pouvaient, selon eux, menacer le mariage de leurs parents.Ils ont observé une série de photographies où des couples apparaissaient “heureux, fâchés ou neutres”. Les enfants qui évoluaient dans des milieux parentaux peu conflictuels ont évalué les photos avec précision en attribuant la bonne émotion à chaque situation. A l’inverse, ceux qui baignaient quotidiennement dans une ambiance sous tension  n’ont pas réussi à identifier l’émotion neutre en la classant soit dans la catégorie “fâché” ou “heureux”, décrit l’étude.

Pour les chercheurs, cette sorte de distorsion de la perception serait due à un phénomène d’hypervigilance et d’anxiété de la part des enfants qui sont exposés à des conflits parentaux. Ils seraient à l’affût de la moindre expression interprétant celle-ci comme une émotion négative, selon les auteurs de l’étude.Autre hypothèse avancée par l’étude, les émotions neutres n’auraient pas pu être acquises ou jugées intéressantes car ces enfants seraient habitués à fonctionner sur un mode comportemental binaire : le retrait en vue d’une menace ou l’ouverture en fonction de la disponibilité du parent paraissant heureux. Ce paramétrage pourrait se répercuter à l’âge adulte en faussant l’interprétation dans les rapports humains et dans les relations amoureuses notamment.L’étude met particulièrement en garde les parents dont les enfants sont timides. Ces derniers seraient plus sensibles aux disputes et percevraient plus difficilement les attitudes neutres, y compris lorsque leur foyer n’est pas sous tension.Si les conflits dans le couple sont difficilement évitables, les auteurs de l’étude rappellent qu’il est important de dire aux enfants que, même si les parents se disputent, ils se soucient l’un de l’autre et peuvent accomplir des choses ensemble.Click Here: liverpool mens jersey