Only 1 State Is Less Patriotic Than New York, Study Says

NEW YORK — Turns out the home of the Statue of Liberty is no beacon of patriotism. New York is the second-least patriotic state in the nation, according to a new WalletHub report that ranks a neighboring state dead last.

The personal finance website determined the most and least patriotic states based on 13 indicators of military and civic engagement. The ranking is based on figures from a range of sources, including the U.S. Census Bureau and the United States Elections Project.

The Empire State placed 49th overall, thanks in part to its low military participation. New York has the fewest veterans per capita, with just 53.8 per 1,000 civilian adults, and the nation’s smallest share of civilian adults in military reserves at just 0.19 percent, according to WalletHub.

New York also struggles with volunteerism — the state had the nation’s fourth-lowest volunteer rate and the second-fewest volunteer hours per resident at just 18.64, the report found.

Only New Jersey is less patriotic than New York, WalletHub says. The Garden State placed 50th on the list overall, ranking 48th in the nation for military engagement and 45th for civic engagement, according to the report.

This isn’t the first time New York has been found to be poor in patriotism. WalletHub ranked the Empire State fifth from the bottom last year and dead last in 2015.

Here are the 10 least patriotic states in America, according to WalletHub. Read the full report here.

Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

    Stabilisation du nombre de décès en 2016

    En 2016, 594.000 personnes sont décédées en France, soit autant qu’en 2015, un chiffre qui reste toutefois "à un niveau élevé" à cause du vieillissement des "baby-boomers", selon une étude publiée jeudi par l’Insee.

    L'année dernière, six décès sur dix (59,2%) ont eu lieu dans des hôpitaux ou cliniques, un gros quart (26%) à domicile, 13,5% en maison de retraite et 1,3% sur la voie publique.

    Cette stagnation fait suite à une année 2015 qui avait vu le nombre de décès “fortement augmenter” (+6%). Les années 2015 et 2016 s’inscrivent “dans la tendance à la hausse amorcée au début des années 2010, du fait de l’arrivée des générations nombreuses du baby-boom à des âges de forte mortalité“, écrit l’Institut national de la statistique, qui se base sur les statistiques d’Etat civil.L’année dernière, six décès sur dix (59,2%) ont eu lieu dans des hôpitaux ou cliniques, un gros quart (26%) à domicile, 13,5% en maison de retraite et 1,3% sur la voie publique.Ces proportions ont “évolué au cours du temps“, note l’Insee. Dans les années 1970, avec la “médicalisation des derniers jours de vie“, “de moins en moins de décès ont (eu) lieu au domicile et de plus en plus en établissement“. Depuis les années 1980, les décès en établissement se sont stabilisés, tandis que les décès à domicile ont continué de diminuer et les décès en maison de retraite ont crû.L’outre-mer fait figure d’exception, avec une part toujours importante de décès à domicile (44,2%) et très peu de décès en maison de retraite (3,9%).En France entière, l’Insee observe “des particularités selon l’âge“.Par exemple, les décès sur la voie publique sont “les plus fréquents entre 15 et 24 ans“, une tranche d’âges où ils représentent “un tiers” des disparitions. C’est dû au fait que, chez les jeunes, la moitié des décès sont dus à des “causes externes”, une notion qui comprend les accidents liés aux transports, les accidents domestiques et les suicides.A partir de 70 ans, “plus on est âgé, moins il est fréquent de décéder en établissement de santé“, selon l’Insee. “A partir de ces âges, la part des décès en maison de retraite augmente“. Après 100 ans, “la plupart” des décès ont “lieu à domicile ou en maison de retraite”.Click Here: collingwood magpies 2019 training guernsey

    Palmarès des prénoms : Louise et Gabriel toujours en tête en 2017

    Louise et Gabriel sont les prénoms préférés des Français, selon l’Officiel des prénoms 2018, paru ce jeudi 19 octobre 2017.Pas de changement par rapport à l’année dernière donc… Quelles sont les tendances qui se dessinent chez les garçons et chez les filles? Réponses.

    Sommaire

    1. Choix du prénom : les tendances chez les filles
    2. Choix du prénom : les tendances chez les garçons

    Comme chaque année, L’Officiel des prénoms, écrit par Stéphanie Rapoport, dévoile le classement des prénoms les plus donnés en France. Il établit aussi les tendances à venir pour l’année prochaine selon les statistiques de l’Insee et des registres de l’état civil. D’après l’édition 2018, Louise et Gabriel ont été les prénoms les plus plébiscités par les parents en 2017 et ils devraient rester en haut du classement en 2018.Choix du prénom : les tendances chez les fillesChez les filles, les prénoms en “a” ont toujours autant de succès. Dans le top 10 figurent les prénoms Emma (3e place), Léa (6e place), Lina (7e place) et Mila (8e place). La

    mode du rétro devrait continuer en 2018, tout comme les

    prénoms courts. Nouvelle tendance qui se dessine pour l’année à venir : les prénoms en “ia”. Les prénoms Julia (dans le top 20), Victoria ou encore Olivia devraient bientôt détrôner les prénoms en “a”.Voici le top 10 des prénoms féminins :1

    Louise2

    Emma3

    Jade4

    Chloé5

    Alice6

    Léa7

    Lina8

    Mila9

    Manon10

    InèsChoix du prénom : les tendances chez les garçonsChez les garçons, les prénoms en “o” sont moins présents que les années précédentes. Ne figurent que les prénoms Léo et Hugo dans le top 10 du classement. Les

    prénoms bibliques sont toujours autant plébiscités : Gabriel (1ere place), Raphaël (2e place) et Adam (6e place). Petit nouveau dans le top 10, Mohamed, arrive dans le top 20 du classement (prénoms féminins et masculins confondus), et à la 10e place du top 10 masculin.Voici le top 10 des prénoms masculins :1

    Gabriel2

    Raphaël3

    Jules4

    Léo5

    Lucas6

    Adam7

    Louis8

    Liam9

    Ethan10

    HugoClick Here: collingwood magpies 2019 training guernsey

    Stratégie nationale de santé: Agnès Buzyn consulte les internautes

    La ministre de la Santé Agnès Buzyn a lancé mardi une "consultation publique en ligne" pour permettre aux internautes de commenter et d’"enrichir" la stratégie nationale de santé qu’elle entend déployer au cours du quinquennat, a annoncé son cabinet dans un communiqué.

    Un décret officialisant cette stratégie nationale de santé est prévu "avant la fin de l'année 2017" pour une mise en oeuvre "dès le premier semestre 2018".

    Sommaire

    1. Un espace ouvert jusqu’au 25 novembre
    2. Réagir sur les 4 thèmes prioritaires
    3. Avis spécifiques possibles
    4. Enrichir le projet avant son adoption
    5. Déclinaison des 4 volets annoncés en septembre
    6. Egalité d’accès aux soins
    7. Inciter la qualité et la pertinence des soins

    Un espace ouvert jusqu’au 25 novembre”Jusqu’au 25 novembre inclus, les Français pourront s’exprimer sur le projet de stratégie nationale de santé sur un espace dédié hébergé sur le site du ministère: www.strategie.sante.gouv.fr“, précise le communiqué.Le ministère a pour l’occasion mis en ligne sa version initiale de ce projet, “issu d’une phase de concertation menée depuis le mois de septembre avec les autres ministères et avec les représentants du secteur de la santé, des élus et des usagers“. Réagir sur les 4 thèmes prioritairesLes Français sont “appelés à réagir sur les quatre thèmes prioritaires identifiés par le gouvernement”, qui avaient été annoncés en septembre: promotion de la santé et prévention, lutte contre les inégalités sociales et territoriales, qualité et pertinence des soins, innovation et place des citoyens dans la gouvernance du système de santé. Avis spécifiques possiblesIls peuvent également donner leur avis “sur les volets spécifiques relatifs à la santé de l’enfant, de l’adolescent et du jeune, à la Corse et aux collectivités d’Outre-mer“.Un questionnaire permet enfin de dire si l’on est d’accord ou pas avec chacun des grands objectifs affichés, de suggérer quels objectifs devraient être poursuivis “en priorité” en matière de santé et de transmettre des propositions.Enrichir le projet avant son adoption”Les réponses collectées” doivent permettre “d’enrichir le projet” du gouvernement “avant son adoption en Comité interministériel de la Santé au mois de décembre“, assure le cabinet. Un décret officialisant cette stratégie nationale de santé est prévu “avant la fin de l’année 2017” pour une mise en oeuvre “dès le premier semestre 2018“.Déclinaison des 4 volets annoncés en septembreDans le document d’une centaine de pages devant servir de base à la consultation, le ministère décline

    les quatre priorités annoncées en septembre en pistes d’actions à mener “dans les prochaines années“.Le volet de “promotion de la santé” prévoit ainsi de lutter contre les “pratiques addictives” (

    tabac,

    alcool, drogues et autres addictions), en limitant “l’exposition des jeunes à la publicité” pour ces produits ou “en agissant sur la fiscalité” de l’alcool et, comme déjà annoncé, du tabac.Pour “promouvoir une alimentation saine“, et lutter ainsi contre de nombreuses maladies chroniques, le ministère compte par ailleurs réglementer le marketing et la promotion des produits destinés aux enfants ou “peu favorables au plan nutritionnel“.Autres ambitions affichées: publier un rapport annuel sur l’exposition de la population aux substances toxiques et “diminuer la consommation d’antibiotiques de 25 % d’ici 2020“.Egalité d’accès aux soinsPour sa deuxième priorité, la lutte pour un égal accès aux soins, le ministère réaffirme sa volonté de “renforcer l’accès aux droits sociaux”, notamment pour les publics les plus fragiles, et de limiter les sommes restant à la charge des patients (avec l’objectif d’offres avec un reste à charge zéro en optique, dentaire et pour les audioprothèses, ou en incitant les praticiens à limiter leurs dépassements d’honoraires).Autre pan de ce volet, les déserts médicaux, qui ont déjà fait l’objet d’un plan détaillé par le Premier ministre le mois dernier.Inciter la qualité et la pertinence des soinsCôté pertinence des soins, la réforme des modèles de financement pour inciter “à la qualité et à la pertinence” est également au programme. Des pistes sont également évoquées concernant la qualité de vie au travail des personnels de santé, l’émergence d’organisations innovantes ou encore la participation des usagers dans le système de soins…Click Here: brisbane lions guernsey 2019

    Diabète de type 1 chez l'enfant : 2.000 nouveaux cas par an entre 2013 et 2015

    Plus de 2.000 enfants par an ont été diagnostiqués avec un diabète de type 1 entre 2013 et 2015 en France et les taux les plus élevés ont été observés en Corse et en Provence-Alpes-Côte d’Azur, selon une étude inédite publiée à l’occasion de la Journée mondiale du diabète mardi.

    Au niveau national, la majeure partie des enfants diagnostiqués (42%) avait de 10 à 14 ans (contre 36% âgés de 5 à 9 ans et 22% de 6 mois à 4 ans).

    Sommaire

    1. Première estimation nationale de l’incidence du diabète de type 1
    2. Diabète de type 1 : d’importantes disparités régionales
    3. Des variations qui restent en partie inexpliquées
    4. De l’importance d’un diagnostic précoce

    Première estimation nationale de l’incidence du diabète de type 1Durant cette période, “6.424 enfants (2.008 en 2013, 2.130 en 2014 et 2.286 en 2015) ont été identifiés comme nouvellement atteints de diabète de type 1: 3.411 garçons et 3.013 filles“, souligne cette étude parue dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l’agence Santé publique France.Le diabète, un trouble d’assimilation des sucres par l’organisme, existe sous deux formes.

    • Le diabète de type 2 (près de 90% des cas) correspond à une hausse prolongée du taux de sucre dans le sang, souvent associée à l’obésité et aux modes de vie (sédentarité, alimentation…).

    • Le diabète de type 1, qui apparaît le plus souvent de manière brutale chez l’enfant ou chez le jeune adulte, est caractérisé par une production insuffisante d’insuline, une hormone secrétée par le pancréas.

    Cette étude, qui porte sur les enfants de six mois à 14 ans, “est la première à produire une estimation nationale de l’incidence du diabète de type 1 de l’enfant en France à partir de bases de données médico-administratives“, souligne le BEH.Diabète de type 1 : d’importantes disparités régionales”Les taux d’incidence (nouveaux cas, ndlr) les plus élevés ont été observés dans les régions Corse (21,7 pour 100.000 personnes-années), Provence-Alpes-Côte d’Azur (21,1) et Hauts-de-France (19,7)“.

    Les taux les plus bas ont été relevés en Guyane (3,6 pour 100.000 personnes-années), en Guadeloupe (12,2), à La Réunion (14,2) et, en métropole, dans les régions Pays de la Loire (15,8), Nouvelle-Aquitaine (16,8) et Normandie (16,9).Des variations qui restent en partie inexpliquées”Les causes de ces variations géographiques, qu’elles soient au niveau régional ou international, sont mal connues dans la littérature, malgré les nombreux facteurs étudiés pour les expliquer : facteurs environnementaux ou interactions entre génétique et environnement“, notent les auteurs de l’étude.”Plus probablement, ces variations doivent être expliquées par une combinaison complexe de causes“, jugent-ils.

    De l’importance d’un diagnostic précoceAu niveau national, la majeure partie des enfants diagnostiqués (42%) avait de 10 à 14 ans (contre 36% âgés de 5 à 9 ans et 22% de 6 mois à 4 ans).

    Le BEH souligne l’urgence du diagnostic du diabète de type 1 chez l’enfant en raison du risque “d’aggravation très rapide vers l’acidocétose” (complication qui consiste en une augmentation de l’acidité du sang en raison du manque d’insuline) : “L’acidocétose peut conduire à un coma, voire à un décès“.Quelque 3,3 millions de personnes (soit 5% de la population) sont traitées pour un diabète (quel que soit le type) en France, rappelle Santé Publique France.

    40% des Françaises complexées par leur apparence physique, deux fois plus que les hommes

    Près de 40% des Françaises ne sont pas satisfaites de leur apparence physique contre 20% des hommes, révèle une enquête Yougov publiée ce mercredi. Faire un régime est la démarche citée en numéro 1, tous sexes confondus, pour améliorer le regard porté sur soi.

    Seuls 17% des Français, tous sexes confondus, sont satisfaits de leur apparence physique.

    Ce constat est d’autant plus significatif chez les femmes âgées de 25 à 44 ans qui sont 35% à confier ne pas être à l’aise avec leur image, selon une étude Yougov menée pour Invisalign, une société californienne de solutions en orthodontie.L’étude révèle que seuls 17% des Français, tous sexes confondus, sont satisfaits de leur apparence physique et 3% la considèrent comme le principal appui pour prendre confiance en soi au quotidien.

    Interrogés sur les attributs physiques qu’ils préféraient chez eux, les sondés citent les yeux, la silhouette puis le sourire. Avoir un sourire harmonieux est un moyen de booster la confiance en soi au travail pour 19% des interrogés et 1/3 des 18-24 ans.Pour gagner en confiance, les participants au sondage citent trois actions prioritaires qu’ils seraient prêts à mettre en oeuvre : faire un régime (28%), se relooker (12%) ou corriger l’alignement de leurs dents (9%). Seuls 6% semblent convaincus par la chirurgie esthétique pour améliorer leur estime de soi au quotidien.Selon l’étude, 20% ont davantage confiance en leurs qualités relationnelles qu’en leurs qualités physiques, surtout les séniors de plus de 55 ans (28 %).Enfin, pour 26%, le cercle familial représente un soutien de taille pour booster la confiance en soi.

    L'hospitalisation à domicile a confirmé son rebond en 2016

    Le nombre de journées d’

    hospitalisation à domicile (HAD) a augmenté de 6,3% en 2016, un rythme en accélération pour la deuxième année consécutive selon une étude publiée mardi par la Drees, le service de statistiques des ministères sociaux.

    Plus de 4,92 millions de journées d'HAD ont été réalisées en 2016, contre environ 4,63 millions l'année précédente.

    Plus de 4,92 millions de journées d’HAD ont été réalisées en 2016, contre environ 4,63 millions l’année précédente, selon les données de l’étude “Dix ans d’hospitalisation à domicile”.La hausse a ainsi été plus forte l’an dernier qu’en 2015 (+4,3%) et surtout en 2014 (+1,6%), où la croissance a été la plus faible après plusieurs années de ralentissement.En dix ans, l’HAD a connu une “nette progression dans l’offre de soins hospitalière“, passant de 2,1% à 5% de l’activité totale de court et moyen séjour.En 2016, les 313 établissements autorisés ont pris en charge plus de 110.000 patients, âgés de 62 ans en moyenne.Plus de la moitié de l’activité d’HAD a été consacrée aux “pansements complexes” et aux

    soins palliatifs, la durée moyenne de séjour s’établissant à 28 jours.Indicateur privilégié des pouvoirs publics, le “taux de recours” était l’an dernier de 20 patients par jour pour 100.000 habitants, loin de l’objectif fixé par le ministère de la Santé, qui voulait porter ce ratio à 30 d’ici 2018.Si le secteur associatif “occupe toujours une place prédominante“, loin devant le secteur public, les établissements privés lucratifs ont continué à renforcer leur position dans l’HAD.En dix ans, le secteur lucratif a “connu l’essor le plus important“, multipliant son activité par près de 9, quand le public et l’associatif ont un peu plus que doublé leurs nombres de journées.Résultat : la part de marché du privé a bondi de 4% à 15%, tandis que l’associatif a reculé de 67% à 59% et le public de 29% à 25%.Click Here: new zealand rugby team jerseys

    Une secrétaire médicale fait condamner l'Etat après une vaccination contre l'hépatite B

    L’Etat est condamné à verser plus de 190000 euros à une secrétaire médicale ayant développé une maladie neurologique qu’elle attribue à sa vaccination contre l’hépatite B. Cette décision de justice établit un lien de causalité entre le vaccin et les troubles neurologiques de la plaignante, alors qu’aucune étude n’a jusqu’alors réussi à prouver un tel lien.

    Sommaire

    1. Les premiers symptômes trois mois après la vaccination 
    2. Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques
    3. Des décisions de justice qui s’opposent à l’avis des scientifiques

    La cour administrative d’appel de Nantes vient de condamner l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales) à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale âgée de 64 ans. La plaignante se bat depuis plusieurs années pour faire reconnaître le lien de causalité entre la

    vaccination contre l’hépatite B, obligatoire selon le code de la santé publique, en  mai 1964 et l’apparition d’une maladie neurologique douloureuse quelques mois plus tard.Les premiers symptômes trois mois après la vaccination En juillet 1964, soit trois mois après avoir reçu le vaccin, Mme L. a commencé à souffrir de douleurs musculaires et de fatigue généralisée. ces troubles peuvent s’apparenter à une myofascite à macrophages, une maladie neurologique qui attaque les tissus musculaires qui pourrait être favorisée par l’aluminium contenu dans certains vaccins. Utilisé comme adjuvant, il permet d’améliorer leur efficacité mais pourrait comporter des risques chez des personnes génétiquement prédisposées,

    rapporte le chercheur Romain Gherardi, chef de service à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil). Notons cependant que ce lien n’a pas été confirmé par d’autres études indépendantes sur le sujet et que cette maladie n’a pratiquement pas été observée en dehors de la France alors que les vaccins contenant de l’aluminium sont utilisés partout dans le monde.Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaquesMme L. n’est pas la première à être indemnisée. Le 21 juin 2017, la Cour de justice de l’Union européenne a reconnu coupable le laboratoire Sanofi-Pasteur de la sclérose en plaques contractée par M. W.  deux mois après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B (entre 1998 et le milieu de l’année 1999). En l’absence de lien de causalité prouvé scientifiquement, la Cour de justice de l’UE avait justifié sa décision par “un faisceau d’indice graves, précis et concordants”. Les symptômes graves qui se sont manifestés chez le jeune homme peu de temps après l’administration du vaccin ont suffi à faire condamner le laboratoire, même en l’absence de preuves scientifiques.Des décisions de justice qui s’opposent à l’avis des scientifiquesA quelques jours de la mise en application des

    11 vaccins obligatoires (dont celui de l’hépatite B) en France, cette condamnation risque de nourrir la défiance des Français envers les vaccins. Récemment, l’Inserm a publié une

    mise au point sur les connaissances liées aux vaccins. Concernant les sels d’aluminium, leur avis est clair : “Au vu des données disponibles à ce jour à l’échelle internationale, avec un recul d’utilisation de 90 ans et des centaines de millions de doses injectées, l’innocuité des sels d’aluminium contenus dans les vaccins ne peut être remise en cause. Une équipe de chercheurs français a suggéré un lien entre la lésion au site d’injection dénommée myofasciite à macrophages, qui contient des traces d’aluminium comme un tatouage contient de l’encre, et l’existence de symptômes chroniques tels que fatigue, douleurs musculaires ou articulaires, ou troubles cognitifs. L’analyse indépendante de leurs résultats n’a pas permis à ce jour de démontrer l’existence de ce lien. Par ailleurs, cette maladie n’a pratiquement pas été observée hors de France alors que les vaccins contenant de l’aluminium sont utilisés partout dans le monde“.

    L'addiction aux jeux vidéo va être reconnue comme une maladie par l'OMS

    Le "trouble du jeu vidéo" (Gaming disorder) va être reconnu prochainement comme une maladie par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a annoncé vendredi à Genève un porte-parole de l’agence de l’ONU.

    Un individu doit montrer une addiction anormale au jeu pendant au moins un an avant d'être diagnostiqué comme souffrant de "gaming disorder", qui va être classé comme "un comportement addictif".

    Les risques d’addiction liés à ce “trouble” vont être ajoutés à la 11e liste de la Classification internationale des maladies (CIM), qui sera publiée en juin, a précisé Tarik Jasarevic lors d’un point de presse.Cette liste, dressée par l’OMS, est basée sur les conclusions d’experts de la santé dans le monde entier.La définition courante de ce ”

    gaming disorder” est “un comportement lié aux jeux vidéos sur internet ou hors ligne, qui se caractérise par une perte de contrôle sur le jeu, une priorité croissante accordée au jeu par rapport à d’autres activités, au point qu’il prenne le pas sur d’autres centres d’intérêt”, a expliqué M. Jasarevic.


    Parmi les autres symptômes figurent “la poursuite et l’augmentation de l’activité de jeu malgré l’apparition de conséquences négatives”. Selon les experts de l’OMS, un individu doit montrer une addiction anormale au jeu pendant au moins un an avant d’être diagnostiqué comme souffrant de ce trouble, qui va être classé comme “un comportement addictif”, a ajouté le porte-parole.Mais il a souligné qu’il était prématuré de spéculer sur l’ampleur du problème. “Le trouble du jeu vidéo est un concept relativement nouveau et les données épidémiologiques dans la population n’ont pas encore été rassemblées“, a-t-il dit.Malgré l’absence de statistiques, “les experts de la santé sont d’accord pour dire qu’il y a un problème” et que la prochaine inclusion du “gaming disorder” dans la CIM est une étape “appropriée”, a affirmé M. Jasarevic. “Il y a des gens qui appellent à l’aide“, a-t-il poursuivi, en notant que la reconnaissance formelle de leur condition contribuera à déclencher de nouvelles recherches et de nouvelles ressources pour combattre ce problème.Click Here: Cardiff Blues Store

    Les Français satisfaits des hôpitaux malgré des prises en charge trop expéditives

    Plus de 9 Français sur 10 jugent satisfaisanteleur dernière prise en charge dans un établissement de santé malgré le manque de temps et de conseils accordés par les personnels soignants, selon un sondage Odoxa pour MNH GROUP, la FHF et Orange Healthcare publié lundi.

    D'après les résultats, les patients estiment qu'ils ont été "bien traités (89%), écoutés (84%) et compris (83%).

    Plus de 9 patients sur 10 se disent satisfaits de leur dernière visite dans un établissement de santé. Ce degré de contentement concerne aussi bien la qualité des soins, leur “expérience-patient” ou la relation avec les personnels, rapporte un baromètre santé Odoxa publié ce lundi 22 janvier.Dans le détail, 77% à 92% des patients interrogés sont satisfaits des relations avec les divers interlocuteurs hospitaliers (infirmiers, aide-soignant, médecin, etc.), qu’ils parviennent à “très bien” identifier (84 %).D’après les résultats, les patients estiment qu’ils ont été “bien traités (89%), écoutés (84%), compris (83%) et dans une moindre mesure qu’on leur a accordé suffisamment de temps (70%).On retrouve ce même bémol lors des consultations accordées à l’hôpital : 69% des interrogés pensent que le temps de l’entrevue a été suffisant pour échanger avec le médecin et bénéficier de ses conseils.Concernant les informations fournies sur l’hospitalisation (diagnostic, examens, risques ou suites possibles), les patients les jugent complètes et bien comprises (86%).90% des Français satisfaits de leur médecinL’information donnée au patient sur les médicaments administrés est quant à elle perfectible : 30% des patients se disent “très bien informés”, selon l’étude.À l’hôpital, seuls 42% des patients se disent avoir été informés sur les règles de bonne hygiène de vie et de diététique, 36% sur les sujets de prévention et 34% sur les conseils de pratique de sport lors d’une consultation avec un médecin.En règle générale, l’enquête révèle que plus de 9 Français sur 10 sont satisfaits de leur médecin, quel que soit son profil : homme ou femme, “jeune” ou moins jeune, en ville ou à l’hôpital, généraliste ou spécialiste, et ce indifféremment de son sexe.Méthodologie : L’enquête “Baromètre Santé 360” pour MNH GROUP, la FHF et Orange Healthcare a été menée par Odoxa auprès de 991 Français représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus ainsi qu’un panel de de 1509 personnes ayant fréquenté un établissement de santé ces 3 dernières années issues de deux échantillons représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus, parmi lesquelles 1150 patients venus pour une consultation ou hospitalisation, et 598 proches de patients ayant accompagné un proche hospitalisé.Click Here: liverpool mens jersey