Month: April 2020

Le Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) s’est plaint lundi 24 juillet des "informations fausses" annoncées par Marlène Schiappa au sujet des violences obstétricales.

Sommaire

1. Episiotomie : des chiffres à confirmer
2. Les obstétriciens en colère

Dans un communiqué de presse du secrétariat d’Etat chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, publié ce lundi 24 juillet, Marlène Schiappa demande un rapport au Haut Conseil à l’Egalité, concernant les chiffres précis de l’épisiotomie. Pour rappel, cette incision est pratiquée sur le périnée de la future mère lors de l’accouchement par le médecin accoucheur ou la sage-femme pour faciliter la sortie du bébé. S’il est bien fait, cet acte médical ne laisse aucunes séquelles. En revanche, si l’incision est ratée, des risques de mutilation et d’incontinence peuvent apparaître. Jusqu’au début des années 2000, l’épisiotomie était pratiquée dans 70 % des cas.Episiotomie : des chiffres à confirmerSelon une étude de l’association “Maman Travaille” fondée par Marlène Schiappa elle-même, menée en 2013 sur 983 mères, 75 % d’entre elles affirmaient avoir subi une épisiotomie. Un pourcentage que Marlène Schiappa a relayé devant la délégation aux droits des femmes du Sénat, le jeudi 20 juillet, tout en affirmant que ces chiffres devaient être vérifiés.Quelques années plus tôt, en 2002-2003, le taux d’épisiotomies était de 70 % rapportait le Collectif interassociatif autour de la naissance (CIANE). Toutefois, dans son enquête sur les accouchements de novembre 2013, il notait pour la période 2010-2013 : 47 % d’épisiotomies pour un premier enfant dont 85 % sans consentement demandé et 70 % d’extractions instrumentales pour les primipares.De son côté, l’association “Femmes pour le dire” a dévoilé de nombreux témoignages de femmes handicapées, victimes de violences obstétricales, reçues par la secrétaire d’Etat chargée de l’égalité hommes-femmes le 17 juillet dernier.Les obstétriciens en colèreLes professionnels de santé concernés n’ont pas tardé à réagir face à ces chiffres qu’ils estiment faux. Dans une lettre ouverte destinée à Marlène Schiappa, Israël Nisand, président du CNGOF a écrit que “Non madame la secrétaire d’Etat, les obstétriciens ne maltraitent pas leurs patientes et entendent à leur tour ne pas l’être par une secrétaire d’Etat mal informée“.Cette polémique survient après celle de la diminution des crédits du Secrétariat d’Etat, et celle des VAE petite enfance sur les jeunes mères.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

La maison française lève le voile, ce mercredi 16 août, sur le visuel de la campagne publicitaire dédiée à son très attendu parfum "Gabrielle Chanel", dont la sortie est programmée au 1er septembre prochain. Ambassadrice de Chanel depuis plusieurs années déjà, Kristen Stewart incarne cette nouvelle fragrance dans une campagne réalisée par le photographe Karim Sadli.

Kristen Stewart incarne le parfum "Gabrielle Chanel" dans une campagne signée Karim Sadli.<br />
©Karim Sadli pour Chanel

Il s’agit sans aucun doute du parfum le plus attendu de la rentrée. Du nom de la grande couturière et fondatrice de la maison de la rue Cambon, “Gabrielle Chanel” est le premier féminin inédit de la marque de luxe française depuis la sortie de “Chance” en 2003.À quelques semaines du lancement de la fragrance, Chanel présente le visuel de la campagne, incarnée par l’actrice américaine Kristen Stewart, ambassadrice de la maison depuis 2013. D’abord approchée par la maison française pour prêter son image aux collections mode et accessoires, l’héroïne de “Twilight” s’est également illustrée dans les campagnes beauté de Chanel. Elle a récemment posé pour le sac “Gabrielle” de Chanel, aux côtés de Pharrell Williams, Caroline de Maigret et Cara Delevingne.Les visuels de la campagne ont été confiés au photographe Karim Sadli, alors que le film publicitaire, qui sera dévoilé à la rentrée, a été réalisé par Ringan Ledwidge.Concocté par Olivier Polge, le parfum “Gabrielle Chanel” rend bien évidemment hommage à la fondatrice de la maison française, mais aussi aux femmes de caractère, courageuses, audacieuses et passionnées. Le sillage s’articule autour de notes d’ylang-ylang, de jasmin, de fleur d’oranger et de tubéreuse. Il sera mis en vente à compter du 1er septembre prochain (à partir de 97€ les 50ml).(AFP/Relaxnews)Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Avoir ses premières règles avant 12 ans ou même plus jeune, dès sept ans, augmente le risque de dépression et de troubles du comportement avant 30 ans, indique une étude américaine publiée dans la revue "Pediatrics".

Les jeunes femmes qui ont eu leurs premières règles avant 12 ans, voire dès sept ans, ont plus de risques de connaître des symptômes dépressifs à l'âge adulte et des comportements "antisociaux" à l'adolescence.

Après avoir suivi 8.000 femmes de la puberté jusqu’à l’aube de leur 30 ans, trois chercheuses américaines ont constaté que celles qui avaient eu leurs premières règles à l’âge de 12 ans ou plus jeunes avaient plus de risques de connaître des symptômes dépressifs et des comportements “antisociaux” et ce, plus de dix ans après l’adolescence.Les participantes suivies dans le cadre de l’étude ont eu leurs premières règles en moyenne à l’âge de 12 ans, tandis que 19% ont passé ce cap à l’âge de 11 ans, 7% à dix ans et 1% à sept ans.Sans établir un lien direct entre

puberté précoce et apparition d’une dépression ou de comportements transgressifs chez les adolescentes, les chercheuses avancent que la puberté précoce constitue cependant un facteur de risque parmi d’autres et devant être pris en considération. L’étude évoque des pubertés précoces pouvant apparaître dès huit ou neuf ans.”Si votre enfant se développe plus tôt que les autres, il est important de porter plus d’attention à son ressenti et à son comportement afin d’envisager d’éventuels traitements (psychothérapie ou médicaments) et de prévenir des problèmes pouvant se manifester plus tard“, conseille aux parents Ellen Selkie, psychologue pour adolescents ayant écrit un texte accompagnant l’étude.Le bouleversement hormonal lié à une exposition aux oestrogènes de façon précoce pourrait expliquer un risque plus élevé de dépression chez les jeunes femmes, suggèrent les chercheuses, qui font également le lien entre le sentiment de se sentir différente qu’éprouvent certaines filles et les changements physiques et la fragilité psychologique accompagnant la puberté.Plus globalement, la puberté précoce, multifactorielle, qui touche de plus en plus de petites filles, serait liée au développement de maladies à l’âge adulte, parmi lesquelles le diabète gestationnel.À noter que les

perturbateurs endocriniens (pesticides, phtalates, bisphénol A…) sont soupçonnés d’être impliqués dans certains troubles comme l’

obésité, le

diabète et la puberté précoce.En France, 1.173 nouveaux cas de puberté précoce par an ont été dénombrés entre 2011 et 2013 chez les filles, d’après les premières données nationales présentées dans le cadre des Rencontres Santé publique France à Paris en mai dernier.

Une reconstruction mammaire qui ne laisse quasiment aucune trace : c’est ce que permet une chirurgie novatrice, réalisée à l’aide d’un robot, à l’Institut Paoli-Calmettes, spécialisé dans le cancer, à Marseille.

Une reconstruction mammaire qui ne laisse quasiment aucune trace: c'est ce que permet une chirurgie novatrice, réalisée à l'aide d'un robot, à l'Institut Paoli-Calmettes, spécialisé dans le cancer, à Marseille. ©gbh007 / Istock.com

“On prélève un lambeau du grand dorsal (ndlr: mode de reconstruction qui est basé sur le prélèvement du muscle dorsal) avec quasiment aucune cicatrice“, a expliqué à l’AFP le professeur Gilles Houvenaeghel, qui réalisait jeudi la 100e intervention de ce type à l’IPC.Une intervention possible grâce au robot Da Vinci XiLa patiente subit d’abord une

mastectomie (ablation du sein) classique, avec une incision de 4 à 7 centimètres. Puis le chirurgien installe sur son sein les bras du

robot Da Vinci Xi, commercialisée par Intuitive Surgical. Trois d’entre eux sont équipés d’instruments chirurgicaux, et le quatrième d’une caméra.Un déplacement du muscle du dos vers le seinAssis devant un écran 3D, les mains sur des joysticks, le chirurgien dirige les bras de l’appareil, qui lui permettent d’atteindre des zones difficiles d’accès, sans jamais toucher la patiente. Il excise alors un muscle du dos, qu’il déplace ensuite jusque dans le sein, ce qui permet de lui redonner du relief, même sans prothèse.Une technique qui ne laisse qu’une cicatrice minimeLa technique permet de “conserver toute la peau, l’aréole, le mamelon, en ne laissant pas de cicatrice, ni dans le sein, ni dans le dos, juste une petite sous l’aisselle, due à l’incision initiale“.Autre bénéfice: “Cette chirurgie est moins douloureuse car on n’enlève pas de peau, et permet de réduire la durée d’hospitalisation de 7-12 jours à 3-4 jours“.

Une intervention qui peut être proposée à la majorité de femmesL’intervention peut être proposée à toutes les femmes devant subir une mastectomie, à l’exception de celles qui doivent porter des charges lourdes au quotidien, ou pratiquent un sport intensif, et seraient gênées par l’ablation d’un muscle du dos. Ce mode de reconstruction est aussi déconseillé aux patientes qui doivent encore subir des

chimiothérapies ou

radiothérapies post-opératoires.En France, seuls 2 établissements utilisent la technique pour la chirurgie du seinLancé au début des années 2000, le robot Da Vinci est aujourd’hui principalement utilisé dans l’ablation de la prostate (80% des interventions aux Etats-Unis) et dans divers types d’interventions gynécologiques (notamment

hystérectomies).En France, où il est arrivé en 2014, seul l’IPC et l’institut Gustave Roussy à Paris, à moindre échelle, l’utilisent pour la chirurgie du sein.

La sortie de “Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes”, l’adaptation par David Fincher du best-seller phénomène de Stieg Larsson, est aussi l’occasion de découvrir son excellente bande-originale, composée par Trent Reznor et Atticus Ross.

La sortie ce 18 janvier de Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, l’adaptation par David Fincher du best-seller de Suédois Stieg Larsson, est aussi l’occasion de découvrir son excellente bande-originale. On ne change pas une équipe qui gagne : un peu plus d’un an après l’Oscar de The Social Network, le réalisateur retrouve Trent Reznor (le leader de Nine Inch Nails) et Atticus Ross, pour une bande-son électro-indus à la fois oppressante et mélancolique, qui vous plongera sans peine dans l’ambiance unique de ce Millenium sous haute tension. Cette BOF est particulièrement luxueuse : sortie sous l’appellation d’origine The Girl With The Dragon Tattoo, elle se présente sous la forme d’un coffret 3CD digipack avec pas moins de 39 titres. Parmi ceux-ci, l’hyper efficace single Immigrant Song, reprise du classique de Led Zeppelin, ici portée par la voix de Karen O, la chanteuse des Yeah, Yeah, Yeah. A ne pas manquer.

Clément Cuyer

BOF The Girl With The Dragon Tattoo (Mute/Naive)

Coffret Digipack 3 volumes

Disponible

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La bande-annonce de “Millenium” avec la reprise du “Immigrant Song” de Led Zeppelin

Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

“Millénium”, “L’Amour dure trois ans”, “Trust”, les autres sorties de la semaine et des images de “La Dame de fer” : c’est le programme du Plein 2 Ciné du 18 janvier ! A voir si vous n’étiez pas devant France 2 hier soir…

Au programme de cette émission :

Millenium : David Fincher repasse en mode thriller

L’ Amour dure trois ans : Frédéric Beigbeder s’auto-adapte

Trust : virage sérieux pour David Schwimmer

Plan large : les autres sorties de la semaine

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Bonus : La Dame de fer

Maximilien Pierrette

It’s a sad Easter weekend for the world of motorsport which mourns the passing of Sir Stirling Moss, one of the sport’s greatest heroes.

Moss’ legendary status in the sporting world at large never wavered since he was forced to retire retired from racing in 1962.

Needless to say, it’s been a steady stream of tributes since Sunday morning’s sad announcement, with a host of motorsport personalities from all horizons honoring Moss’ memory and life.

Sir Stirling is survived by his third wife Susie and two children, son Elliot and daughter Allison.

Today, the sporting world lost not only a true icon and a legend, but a gentleman. The Team and the Mercedes Motorsport family have lost a dear friend. Sir Stirling, we’ll miss you. pic.twitter.com/XEsDf68A7r