Rome : un péage urbain est en place depuis plus de dix ans

C’est une révolution dans le centre de Rome (Italie), chaque année les voitures sont de moins en moins nombreuses. Derrière des panneaux, il y a huit kilomètres de zone réglementée, surveillée par 72 caméras. De tôt le matin à tard le soir, ces rues sont réservées aux abonnés qui ont acheté très cher leur laissez-passer. Au poste de contrôle de la circulation, des agents vérifient que les voitures qui s’engagent sont bien en règle. Si ce n’est pas le cas, la plaque d’immatriculation lance une alerte. L’amende est de 45 à 300 euros pour les récidivistes.Baisse du trafic et augmentation de la qualité de l’air“Après plusieurs années, les chiffres se sont stabilisés, entre 1 500 et 2 000 véhicules par jour sont verbalisés”, explique Sandro Francalanci, directeur du contrôle de la circulation. En dix ans, 40 000 véhicules par jour auraient renoncé à traverser le centre-ville. Selon les responsables de la ville de Rome, cette politique est positive à plusieurs points de vue : “Le trafic s’est réduit de 35% et proportionnellement la pollution de l’air a baissé de 30%”, rapporte Linda Meleo, adjointe au maire de Rome. Mais il y a un point noir : les transports en commun sont mal développés et ceux qui n’ont pas les moyens de payer le laissez-passer doivent prendre le taxi. En Italie, toutes les villes de plus de 100 000 habitants ont des zones à trafic limité.Le JT

  • JT de 20h du jeudi 18 octobre 2018 L’intégrale

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Corey Feldman, des “Goonies”, dénonce la pédophilie à Hollywood

L’acteur canadien Corey Feldman, l’une des jeunes vedettes de la comédie “Les Goonies”, aujourd’hui âgé de 40 ans, vient de révéler au quotidien britannique The Sun avoir été victime d’actes pédophiles à ses débuts d’acteur.

Voilà des accusations qui pourraient faire grand bruit. Corey Feldman, l’un des jeunes comédiens de la comédie Les Goonies (2e en partant de la gauche sur la photo), aujourd’hui âgé de 40 ans, vient de révéler au tabloïd britannique The Sun avoir été victime d’actes pédophiles à ses débuts d’acteur. “J’étais allongé, je faisais semblant de dormir, et eux faisaient leur “business””, déclare-t-il au quoitidien. Aujourd’hui père de famille et reconverti dans le programme télévisé Dancing on Ice, le Canadien envisage d’écrire un livre sur le sujet, en dénoncant notamment deux personnes haut placées à Hollywood ayant abusé de lui. La disparition de son ami Corey Haim, avec qui il avait partagé l’affiche de Génération perdue, est, selon selon lui, liée à ces agissements. Avec Corey, nous avons été utilisés comme des boucs-émissaires… Les gens doivent savoir pourquoi nous avons été exclus du circuit comme des chiens envoyés à la fourrière, pour que personne ne puisse plus travailler avec nous“, raconte-t-il.

Clément Cuyer avec The Sun

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La consultation chez un généraliste passera à 25 euros en 2017

Les Français devront débourser 2 euros de plus pour une consultation chez le médecin généraliste à compter du 1er mai 2017. Une annonce qui intervient suite à un accord trouvé entre l’Assurance maladie et la Fédération des médecins de France (FMF) après plusieurs mois de négociations.

Le prix d'une consultation chez un généraliste était fixé à 23 euros depuis 2011.

Une consultation de 23 à 25 eurosLa convention, qui devrait être ratifiée et signée le 25 août prochain, prévoit une augmentation de la consultation chez le médecin généraliste de 23 à 25 euros. Une hausse que les patients ne devraient pas trop sentir puisque prise en charge par les complémentaires santé.D’autres mesures ont été intégrées à cette nouvelle convention, comme la hiérarchisation des tarifs des consultations selon leur complexité. A titre d’exemple, une consultation chez un généraliste pour un enfant de moins de 6 ans coûtera 30 euros, de même d’une consultation coordonnée (quand le patient est adressé ensuite à un spécialiste). Une consultation comprenant des actes complexes coûtera 46 euros – c’est le cas par exemple pour le dépistage de

mélanome, une première consultation de

contraception, etc. – et montera à 60 euros pour des actes très complexes – comme les suivis de

cancers ou de

maladies neuro-dégénératives. Des mesures pour lutter contre les déserts médicauxUne aide de 50 000 euros sera également mise en place pour l’installation d’un médecin généraliste dans les déserts médicaux, sous condition de s’y installer au moins 3 ans.Les dépassements d’honoraires devraient aussi être plus encadrés.L’ensemble des mesures est évalué à 1,3 milliard d’euros, soit le double du montant de la convention précédente.Click Here: cheap nrl jerseys

Prix Lumières 2012 : “The Artist”, Omar Sy et Maïwenn récompensés

La 17ème cérémonie des Prix Lumières, prix décernés aux meilleurs artistes du cinéma français et francophone par la presse étrangère en poste à Paris, a récompensé Omar Sy (Meilleur acteur), “The Artist” (Meilleur film et Meilleure actrice pour Bérénice Bejo) et Maïwenn (Meilleure réalisatrice).

Les grands succès cinématographiques français de 2011 sont au rendez-vous du palmarès des 17e prix Lumières, récompenses décernées chaque année par la presse étrangère en poste en France. Présidés cette année par la comédienne Catherine Jacob, ceux-ci ont récompensé Omar Sy, l’un des héros d’Intouchables, The Artist et la réalisatrice de Polisse, Maïwenn. Omar Sy a été sacré meilleur acteur pour son rôle dans Intouchables, où il partage la vedette avec François Cluzet. Favori de la 69e cérémonie des Golden Globes, The Artist de Michel Hazanavicius a pour sa part reçu le prix du Meilleur film et Bérénice Bejo celui de la Meilleure actrice. Maïwenn a elle été récompensée du prix de la Meilleure réalisatrice pour son long métrage Polisse sur le quotidien de la Brigade des mineurs. La cérémonie, qui se déroulait à l’Hôtel de Ville de Paris, a également rendu hommage au réalisateur de comédies à succès Francis Veber.

 

Le palmarès des 17e Prix Lumières :

Meilleur Film : The Artist de Michel Hazanavicius

Meilleur Réalisateur : Maïwenn pour Polisse

Meilleur Scénario : Jean-Louis Milesi et Robert Guédiguian pour Les Neiges du Kilimandjaro

Meilleure Actrice : Bérénice Bejo pour The Artist

Meilleur Acteur : Omar Sy pour Intouchables

Meilleur Espoir Féminin : Alice Barnole, Adèle Haenel et Céline Sallette pour L’Apollonide – Souvenirs de la maison close

Meilleur Espoir Masculin : Denis Ménochet pour Les Adoptés

Meilleur Film Francophone : Incendies du Canadien Denis Villeneuve

G.M. avec AFP

Omar Sy – © Mireille Ampilhac pour AlloCiné


Maïwenn – © Mireille Ampilhac pour AlloCiné


Denis Ménochet – © Mireille Ampilhac pour AlloCiné


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Francis Veber – © Mireille Ampilhac pour AlloCiné

Faute d'argent, les plus pauvres sacrifient leur santé (Secours populaire)

Alors qu’une étude témoigne d’une diminution du "reste à charge" en matière de santé, le 10e baromètre Ipsos/Secours populaire dresse un constat accablant : pour les plus pauvres, les soins de santé sont un luxe auquel ils sont de plus en plus nombreux à renoncer.

Dans les foyers les plus modestes, 64% indiquent avoir eu des difficultés au moment de payer des actes médicaux mal remboursés par la Sécurité sociale.

Manger sainement, prendre rendez-vous chez le dentiste ou l’ophtalmo… Des comportements indispensables pour rester en bonne santé mais dont se privent les plus pauvres en raison de leur coût, révèle une étude publiée mardi pour le Secours populaire.Les plus pauvres renoncent à des soins et à une alimentation saineParmi les Français les plus pauvres (ceux qui appartiennent à un ménage dont le revenu mensuel net est inférieur à 1.200 euros), la moitié a déjà renoncé ou repoussé une consultation chez le dentiste, soit un bond de 22 points par rapport à 2008, et près de 4 sur 10 un rendez-vous chez un ophtalmologiste (39%, +9 points), selon le 10e baromètre Ipsos/Secours populaire.Dans les foyers les plus modestes, 64% indiquent avoir eu des difficultés au moment de payer des actes médicaux mal remboursés par la Sécurité sociale. Disposer d’une mutuelle santé est financièrement compliqué pour 53% des ménages modestes, et 48% d’entre eux n’ont pas les moyens de se procurer une alimentation saine. 68% des Français jugent que les inégalités en matière d’accès à la santé se sont aggravées”Dans ses permanences d’accueil, le SPF (Secours populaire français, NDLR) perçoit une dégradation de l’état de santé de familles, de mères seules, de jeunes, de retraités, de beaucoup d’enfants. Fait récent, le travail n’apporte plus forcément la garantie d’une autonomie financière : certains salariés ne sont plus à l’abri des privations et peinent également à se soigner“.Sur l’ensemble des Français interrogés, 68 % estiment que les inégalités en matière d’accès à la santé se sont aggravées au cours des dernières années.Plus du tiers des sondés (38%) a déjà connu la pauvreté et cette proportion augmente (3 points de plus par rapport à 2015, selon le baromètre Ipsos).Les femmes et les ouvriers sont les plus affectés”Comme le pointait déjà le baromètre Ipsos-SPF en 2013, les femmes sont souvent le plus affectées (39%). Emplois précaires, temps partiel subi, chômage : ces dernières paient un lourd tribut à la crise mais aussi aux persistantes inégalités de genre. Les ouvriers et employés comptent aussi parmi la catégorie la plus exposée“, explique l’association.Les Français anticipent un avenir sombre pour eux comme pour leurs proches: plus d’un sur deux (55 %) juge que sa vie quotidienne est menacée par la pauvreté, un peu moins que l’année dernière mais 10 points de plus qu’en 2007 (45%), avant la crise économique. Les Français sont également 83% à penser que les risques que leurs enfants connaissent une situation de pauvreté sont plus élevés que pour leur génération.Click Here: cheap Cowboys jersey

Médicaments contre Alzheimer : des médecins appellent à ne plus les prescrire

Efficacité au mieux modeste, mauvaise tolérance… selon laCommission de la Transparence de la Haute Autorité de Santé estime que l’intérêt des médicaments contre Alzheimer est insuffisant pour justifier leur remboursement. Mais avant que la HAS publie un guide relatif au parcours de soins des patients concernés, le débat est vif entre les partisans et les opposants à un déremboursement de ces produits. Dernier épisode : trois syndicats de médecins appellent à ne plus les prescrire alors que la ministre de la santé,Marisol Touraine s’oppose au déremboursement, tant que le protocole de soins ne sera pas mis en oeuvre.

la Commission de la Transparence de la Haute Autorité de Santé estime que l'intérêt médical de ces médicaments est insuffisant pour justifier leur prise en charge par la solidarité nationale.

La

maladie d’Alzheimer touche près de 850 000 personnes en France. Son évolution est le plus souvent progressive, avec une aggravation des troubles cognitifs entrainant une perte d’autonomie puis une apparition de troubles du comportement. Le maintien à domicile peut devenir impossible et une admission en établissement spécialisé est alors être nécessaire.Des médicaments ne modifiant pas l’évolution de la maladie

En Juin 2016, la Haute autorité de santé (HAS) annonçait une réévaluation en cours sur le “service médical rendu” (SMR), c’est-à-dire, l’efficacité des quatre médicaments anti-Alzheimer actuellement sur le marché. Malgré l’opposition au déremboursement de la part des associations, notamment de France Alzheimer, la Commission de la Transparence a donc réévalué cette année les quatre médicaments utilisés dans le traitement de la maladie d’Alzheimer :

Ebixa® (Lundbeck),

Aricept® (Eisai),

Exelon® (Novartis Pharma) et

Reminyl® (Janssen Cilag). Il s’agit de médicaments à visée symptomatique qui ne modifient pas l’évolution de la maladie.
  

Lors de la précédente réévaluation en 2011, la HAS avait déjà conclu à un service médical rendu (SMR) faible tout en préconisant des mesures de bon usage pour réduire le risque de survenue des effets indésirables. Elle réitérait également la nécessité de disposer à l’avenir de données permettant d’apprécier l’impact de ces médicaments en conditions réelles d’utilisation.
  
Aujourd’hui, avec le recul, compte tenu de la confirmation de la faible efficacité de ces médicaments, de l’existence d’effets indésirables potentiellement graves et sachant que la prise en charge des personnes touchées doit être globale, la Commission de la Transparence conclut à un service médical rendu insuffisant pour justifier leur remboursement.Une efficacité au mieux modeste, à court terme, et des effets indésirables
Les données nouvelles confirment que l’efficacité des médicaments du traitement symptomatique de la maladie d’Alzheimer est, au mieux, modeste. Elle est établie uniquement à court terme, essentiellement sur les troubles cognitifs, dans des études cliniques versus placebo dont la pertinence clinique et la transposabilité en vie réelle ne sont pas assurées. Les patients de ces études sont en effet plus jeunes que ceux qui sont pris en charge en pratique réelle, et contrairement à ceux-ci ne présentent ni comorbidités, ni risques d’interactions médicamenteuses. De surcroit, les effets sur les troubles du comportement, la qualité de vie, le délai d’entrée en institution, la mortalité, la charge de la maladie pour les aidants ne sont toujours pas établis.
  
Il n’est pas possible de vérifier si les conditions d’utilisation des médicaments, telles que définies par la Commission de la Transparence en 2011 (réévaluation attentive de la prescription à six mois, décision en réunion de concertation pluridisciplinaire au-delà d’un an) ont été mises en œuvre. Or, les données accumulées depuis la commercialisation des médicaments confirment le risque de survenue d’effets indésirables (troubles digestifs, cardiovasculaires ou neuropsychiatriques pour les plus notables) potentiellement graves, pouvant altérer la qualité de vie. En outre, dans une population âgée, souvent polypathologique et polymédiquée, il existe un risque supplémentaire d’effets indésirables graves du fait d’interactions médicamenteuses.
  
Au regard de l’absence de pertinence clinique de l’efficacité de ces médicaments et des risques de survenue d’effets indésirables, la HAS considère donc que ces médicaments n’ont plus de place dans la stratégie thérapeutique.Privilégier les approches non médicamenteuses et multidisciplinairesLa prise en charge non médicamenteuse peut avoir lieu en ambulatoire ou en institution. Elle s’accompagne d’un soutien aux aidants familiaux. Elle doit dans tous les cas être mise en place par un personnel formé et s’inscrire dans le cadre d’un parcours de soins coordonné. Selon la HAS, elle peut prendre différentes formes :

  • une amélioration de la qualité de vie qui doit favoriser un confort physique et psychique et un environnement adapté ;
  • une prise en charge orthophonique qui vise à maintenir et à adapter les fonctions de communication du patient ;
  • une stimulation cognitive avec des mises en situation ou des simulations de situations vécues (trajet dans le quartier, toilette, téléphone, etc.) dont l’objectif est de ralentir la perte d’autonomie dans les activités de la vie quotidienne ;
  • une prise en charge psychologique et psychiatrique du patient et de son entourage ;
  • une promotion de l’exercice physique (notamment la marche).

La prise en charge globale des patients et de leur entourage promue dans les différents plans Alzheimer se poursuit via le plan maladies neuro-dégénératives 2014-2019 pour améliorer leur autonomie et leur qualité de vie. Un guide du parcours de soins pour la maladie d’Alzheimer sera élaboré par la HAS afin d’accompagner la prise en charge des patients et de leur entourage. Associations, ministre de la santé et syndicats de médecins en désaccordLe 20 octobre, l’association

France Alzheimer s’inquiète du déremboursement de ces médicaments : “Ces traitements symptomatiques participent à une prise en soin des personnes malades qui comprend un volet médical et un volet médicosocial. Leur déremboursement total envoie un signal négatif et dangereux à toutes les personnes malades qui bénéficient de ces traitements et à toutes celles qui sont engagées dans une démarche de diagnostic“.Le 21 octobre, la HAS publie dans

un communiqué que “Au regard de l’absence de pertinence clinique de l’efficacité de ces médicaments et des risques de survenue d’effets indésirables, la HAS considère donc que ces médicaments n’ont plus de place dans la stratégie thérapeutique“.Interrogée sur RTL le 26 octobre, la Ministre de la Santé déclare qu’il n’y aura pas de déremboursement de ces 4 médicaments dans l’état actuel des choses et qu’elle veut d’abord que soit mis en place “un protocole de soins“. Pour la Ministre, les médicaments incitent par ailleurs les patients à consulter et donc à se faire diagnostiquer. Concernant le parcours de soins, elle a déclaré : “je veux mettre en place un protocole de soins élaboré par les scientifiques en lien avec les associations de patients“. Et d’ajouter : “tant que ce protocole de soins ne sera pas élaboré et mis en œuvre, la question du déremboursement ne peut pas et ne doit pas se poser“.Le 4 novembre, dans un communiqué conjoint, trois syndicats de médecins MG France, la FMF et le Bloc, déclare prendre “aujourd’hui leurs responsabilités en recommandant aux médecins de cesser complètement la prescription de ces médicaments“. Ce communiqué traduit le tollé de plusieurs médecins qui fustigent un manque de courage des autorités sanitaires, qui sont pressées d’attendre… “Plus de dix ans ont été nécessaires pour que les autorités sanitaires françaises se décident au retrait du Mediator, dont la dangerosité et l’inefficacité étaient prouvées. Combien d’années seront nécessaires pour que l’inutilité et les effets secondaires des médicaments de la maladie d’Alzheimer, confirmés il y a quelques jours par la Haute Autorité de Santé, aboutissent à leur retrait ? (…) En cas de plainte d’une famille, les responsables politiques et sanitaires seront mis en cause. Les prescripteurs, informés des risques, et qui continueraient à prescrire, pourraient l’être aussi” soulignent les syndicats, qui préconisent que l’argent aujourd’hui dédié au remboursement de ces médicaments soient plus efficacement utilisé en accompagnant les malades et les aidants, notamment en facilitant le maintien à domicile par des “solutions de répit”.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Dormir aide à se protéger des expériences traumatisantes

Une nouvelle étude, publiée dans la revue , rappelle l’effet thérapeutique du sommeil sur le fonctionnement du cerveau. Des chercheurs de l’Université de Zurich, en Suisse, suggèrent de dormir pour prévenir les troubles post-traumatiques.

Selon de chercheurs suisses, dormir aide à se protéger des expériences traumatisantes.

Dormir dans les 24 heures qui suivent une expérience traumatisante pourrait traiter les émotions négatives et intégrer les souvenirs pénibles de manière plus efficace, concluent des chercheurs suisses de l’Université de Zurich et de l’Hôpital Universitaire Psychiatrique de Zurich.Une étude simulant un traumatismeLes chercheurs ont invité 65 femmes en bonne santé à regarder un film traumatisant en laboratoire. Un premier groupe a dormi la nuit entière suivant la séance tandis qu’un second est resté éveillé. Un électroencéphalogramme (

EEG) a mesuré l’activité du cerveau des participantes.L’étude précise que la nature des images vidéo stressantes est proche de celles liées à un traumatisme vécu, sauf qu’elles disparaissent de façon fiable après quelques jours.Toutes les participantes ont rapporté avoir subi des souvenirs intrusifs et désagréables au cours la semaine suivant le visionnage du film.Le sommeil atténue les expériences traumatisantesD’après les résultats, le groupe de “dormeuses” a été moins marqué émotionnellement lorsqu’il était à nouveau confronté aux images désagréables, contrairement aux personnes restées éveillées, d’où l’effet protecteur du sommeil selon les chercheurs.Le

sommeil aiderait donc à affaiblir des émotions connectées à la

mémoire, comme la peur déclenchée par des expériences traumatisantes. Il permettrait aussi de mieux contextualiser les souvenirs, les traiter puis les stocker dans la mémoire. Ce processus prendrait vraisemblablement plusieurs nuits, selon les chercheurs.Une stratégie de prévention”Cette approche offre une alternative importante aux tentatives actuelles qui essaient d’effacer les souvenirs traumatisants ou de les traiter avec des médicaments“, souligne Birgit Kleim, auteur de l’étude. Selon la chercheuse, “l‘utilisation du sommeil pourrait devenir une stratégie de prévention adéquate et naturelle.”Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Mal de dos : plus d’un Français sur 3 en souffre régulièrement

Neuf Français sur dix ont déjà souffert d’un mal de dos, selon un sondage Vexim-Opinionway. Ils sont plus d’un tiers à déclarer avoir eu mal au dos régulièrement ces cinq dernières années.

On l’appelle le mal du siècle et pour cause, il touche de plus en plus de Français, et ce dès le plus jeune âge. Selon un sondage mené sur plus de 1000 personnes, neuf sondés sur dix déclarent avoir déjà été touchés par un mal de dos. Parmi eux, 38 % avouent avoir souffert du dos plus de 10 fois ces cinq dernières années.
Aussi, ce mal toucherait davantage les femmes que les hommes. Elles sont plus de la moitié (61 %)  à souffrir du dos régulièrement contre 39 % des hommes.Un mal de dos difficile à soulagerPour soulager les douleurs, les Français disent avoir recours à deux, voire trois modes de traitement. Parmi les traitements utilisés, les médicaments (antidouleur, antalgique ou anti-inflammatoire sous forme de crème/gel) constituent le réflexe numéro un pour 51% des personnes interrogées.Seulement 22 % des sondés se disent tout à fait satisfaits de leur traitement. Mais le sondage révèle que plus la douleur est fréquente, plus le niveau de satisfaction est faible. Ils sont 31 % à ne pas parvenir à soulager les douleurs.A noter que 20% des Français déclarent ne rien faire face au mal de dos. Cette proportion est plus importante chez les jeunes puisqu’un tiers des 25-34 ans reste passif face à la douleur.Les causes du mal de dos
Dans le top 3 des

causes du mal de dos,  on retrouve la

mauvaise posture (46 % des sondés), le

stress  (13 %) et l’alimentation (7 %).
Le mal de dos est un des motifs fréquents d’arrêt de travail : 25 % des sondés ont déjà été arrêtés à cause d’un mal de dos. Ce chiffre monte à 38 % chez les personnes victimes de douleurs dorsales récurrentes.Créer une filière du dos en FranceCes chiffres montrent que le mal de dos touche quasi tous les Français. Et pourtant, les solutions existantes ne s’avèrent pas toutes efficaces pour soulager les douleurs. C’est pourquoi, la société Vexim (spécialiste de la microchirurgie innovante du dos) envisage de créer  une filière du dos en France qui regrouperait pour la première fois l’ensemble des professionnels du dos au sein de l’Observatoire du dos. “Cette nouvelle structure aura vocation à comprendre et analyser les causes du mal de dos, anticiper les évolutions sociétales et scientifiques inhérentes au secteur, et faire des propositions pour répondre aux enjeux de la filière du dos”, a déclaré Vincent Gardès, directeur général de Vexim.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Eté 2017 : la ligne make-up douce et onirique de Paul & Joe

La marque Paul & Joe Beauté invite les femmes à rêver cet été grâce à une collection de maquillage placée sous le signe des songes et de la féerie. Un thème qui se caractérise par des textures vaporeuses, et des teintes douces et nacrées. À découvrir en édition limitée dès le 1er mai prochain.

Le fard à joues gel de la collection "Daydream Believer" pour l'été, par Paul & Joe Beauté.

Des matières soyeuses, des harmonies de rose, des reflets nacrés et de la fraîcheur : c’est ce que propose Paul & Joe Beauté pour les mises en beauté estivales, faisant voyager les beauty addicts au pays des rêves. Une belle façon d’oublier le quotidien et de profiter pleinement de l’été.Un teint frais et veloutéBaptisée “Daydream Believer”, la collection se compose de deux essentiels pour un teint naturel, tout en transparence, rehaussé d’une touche de couleur pour raviver l’éclat de la peau.

La “Poudre Pressée Soyeuse” permettra à chacune de se concocter un teint naturel au fini velouté, avec une protection anti-UV adaptée à la saison estivale. Le tout décliné en deux teintes naturelles : Rose et Beige Multiple (40€). Paul & Joe propose également le “Fard à Joues Gel”, constitué d’ingrédients de base aqueuse à 80%, destiné à sublimer le teint de façon subtile. Ce blush sera disponible en trois teintes, un rose doux, un nude et un pêche (29€).Un regard féeriquePour les yeux, la marque joue une nouvelle fois la carte des teintes douces et naturelles avec un accent porté sur les roses, les beiges, le chocolat, ou le vert d’eau, mais chacune des nuances sélectionnées se pare de reflets nacrés, accentuant l’aspect onirique de la collection. Trois harmonies sont proposées dans des boîtiers aux couleurs et aux motifs des collections de prêt-à-porter de Sophie Mechaly, fondatrice de Paul & Joe (38€).

Détail ultime, mais non des moindres : la bouche se fera glossy cet été avec le “Brillant à Lèvres Coloré”, proposé dans deux nuances de rose (Musing et Figment). Ce produit s’adapte toutefois aux lèvres de chacune, créant des couleurs uniques selon les carnations (23€).La collection “Daydream Believer” sera mise en vente dès le 1er mai 2017, en édition limitée.

SOS hépatites veut renforcer le dépistage pour éradiquer l'hépatite C

L’association SOS hépatites veut "faire de la France un laboratoire mondial de l’éradication" de l’hépatite C en renforçant notamment le dépistage, a-t-elle indiqué jeudi dans un communiqué.

L'association SOS hépatites veut "faire de la France un laboratoire mondial de l'éradication" de l'hépatite C en renforçant notamment le dépistage.

On estime qu’il reste 110.000 personnes susceptibles d’être traitées dans l’Hexagone. Mais parmi elles, 75.000 restent à dépister. Tout l’enjeu est donc de trouver ces 75.000 porteurs cachés“, a souligné l’association, en marge d’un congrès à Paris sur les maladies du foie, EASL 2018.SOS hépatites prône de “repenser le dépistage et de ne pas le réserver aux seuls publics exposés“, en incitant tout le monde à passer des tests.Dans le volet prévention de sa stratégie santé, dévoilé le 26 mars, le gouvernement assure vouloir éliminer l’

hépatite C à l’horizon 2025.

Certains traitements seront d’ailleurs bientôt disponibles dans les pharmacies de ville, en plus des hôpitaux.


Pour ceux que le virus menace silencieusement d’une cirrhose ou d’un cancer du foie, 2025, c’est loin ! C’est dès 2018 qu’il faut engager la dernière bataille“, juge SOS hépatites.L’hépatite est une inflammation du foie provoquée par un virus. Il en existe cinq types, mais la B et la C sont responsables de plus de la moitié des nouveaux cas de cancers du foie, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les

hépatites B et C causent environ 1,4 million de morts par an.En novembre, lors d’un Sommet mondial organisé par l’OMS, des spécialistes ont estimé que neuf pays pourraient éradiquer l’hépatite C d’ici 2030: le Brésil, l’Égypte, la Georgie, l’Allemagne, l’Islande, le Japon, les Pays-Bas, l’Australie et le Qatar.”Pour la plupart des autres pays, il sera pratiquement impossible d’atteindre ces objectifs sans des politiques pour améliorer l’accès au diagnostic et aux traitements“, avait alors expliqué Homie Razavi, directeur du Centre d’Analyse des Maladies (CDA), basé aux États-Unis.Click Here: essendon bombers guernsey 2019