AlloCiné a rencontré l’Argentin Pablo Giorgelli, le réalisateur des “Acacias”, Caméra d’Or au dernier Festival de Cannes et Grand Prix au Festival Biarritz Amérique Latine.
Les Acacias
Interview : Clément Cuyer / Cadrage : Adriana Soreil / Montage : Sébastien Olland / Interview réalisée dans le cadre du 20e Festival Biarritz Amérique Latine
A l’occasion de la sortie du documentaire “Il n’y a pas de rapport sexuel”, HPG s’est livré à un petit autoportrait et s’est exprimé sur sa vision du cinéma porno.
Synopsis : Un portrait de HPG, acteur, réalisateur et producteur de films pornographiques, entièrement conçu à partir des milliers d’heures de making-of enregistrées lors de ses tournages. Plus qu’une simple archive sur les coulisses du X, ce film documentaire s’interroge sur la pornographie et la passion pour le réel qui la caractérise.
À l’occasion de la journée internationale de l’épilepsie, le 8 février, l’association Epilepsie France souligne l’importance de l’activité physique comme clé thérapeutique complémentaire au traitement médical. Le sport peut en effet être un moyen pour diminuer l’intensité et la fréquence des crises.
Des séances de sport réduiraient les crises d'épilepsie.
Les personnes épileptiques redoutent la pratique du sportUn malade souffrant d’
épilepsie redoute de faire du sport, car il craint la survenue soudaine d’une crise. Si la personne perd le contrôle de ses mouvements, elle peut se blesser. D’où cette tendance à s’isoler. Sans oublier la dévalorisation portée par le malade qui perd la maîtrise de son image.Mais contrairement à cette idée, Michèle Vidal, professeure d’activités physiques spécialisée dans l’éducation sportive de patients épileptiques au centre de lutte contre l’épilepsie de la Teppe, à Tain-l’Hermitage, près de Valence, témoigne des bienfaits du sport pour améliorer la qualité de vie des patients et leur confiance en eux.Le sport comme thérapeutiqueAu centre spécialisé de la Teppe, qui accueille plus de 400 personnes épileptiques sévères, les séances d’activité sportives font partie du traitement. Michèle Vidal, professeure d’activités physiques, accompagne de jeunes patients tous sports confondus depuis 30 ans, 1 à 3 fois par semaine. “Pour le moment peu d’études scientifiques viennent valider les bienfaits du sport pour le patient épileptique, mais sur le terrain, on observe une réelle diminution de la fréquence et de l’intensité des crises lors de la pratique“, témoigne la professeure. En augmentant les seuils de vigilance, en diminuant le
stress, en redonnant une dimension valorisante à l’individu, le sport agit réellement et activement sur l’épilepsie.Les crises que connaissent les patients sont en effet souvent déclenchées par le stress, l’angoisse ou la peur. Les facteurs émotionnels rentrent en première ligne. L’un des principes des séances consiste à remettre la personne dans son schéma corporel souvent morcelé et de le mettre en situation de réussite pour le valoriser. “Imaginez-vous ne plus avoir la maîtrise de votre corps, ne pas savoir ce qui va vous arriver, ne pas savoir comment vous êtes perçu par les autres… En quelque sorte, vous sentir dépossédé de votre propre corps, car votre conscience ne commande plus, ne maîtrise plus“, explique Michele Vidal. Et d’insister : “Il est très important de redonner une identité au patient épileptique, en le mettant sur un pied d’égalité avec les autres“.Pas de cotre-indicationPour la coach, il n’y a aucune contre-indication à la pratique du sport pour les épileptiques si les patients respectent bien leur traitement et que leur médecin les y autorise. Le but est de choisir des activités moins à risque, éviter par exemple la natation ou l’équitation et s’assurer qu’un professionnel encadre et sécurise l’enseignement. Laïla Ahddar, Présidente de l’association souligne : “il est essentiel que les pratiques sportives se développent pour améliorer la santé et l’équilibre des patients. C’est un défi énorme que nous menons avec acharnement, avec le corps médical“.En France, on compte 500.000 personnes atteintes par la maladie, soit 1% de la population. Elle se résume dans la majorité des cas à des crises impressionnantes de convulsions empêchant les patients d’avoir une vie normale.De manière moins spectaculaire, elles se manifestent parfois par des sensations comme des hallucinations olfactives ou auditives avec ou sans perte de conscience, et par diverses manifestations, comme un regard fixe ou des gestes répétitifs involontairesAFP/RelaxnewsSource : Communiqué de presse de l’association Epilepsie France.Click Here: NRL Telstra Premiership
Les femmes auraient un risque accru de faire une fausse couche si elles ou leur partenaire consomment plus de deux boissons caféinées par jour durant les semaines précédant la conception, selon une étude aux Etats-Unis.
Les femmes auraient un risque accru de faire une fausse couche si elles ou leur partenaire consomment plus de deux boissons caféinées par jour durant les semaines précédant la conception.
Sommaire
Plus de 500 couples suivis pendant 4 ans
Plus de risque de fausse couche si les parents boivent beaucoup de café
Les compléments vitaminés pourraient réduire ce risque
Ce risque est similaire les sept premières semaines de grossesse, indiquent également les auteurs dont les travaux ont été publiés jeudi soir en ligne dans la dernière édition de la revue Fertility and Sterility.Plus de 500 couples suivis pendant 4 ansToutefois, les femmes qui prennent des compléments multivitaminés tous les jours avant de concevoir et au début de leur grossesse ont moins de risques de faire une
fausse couche, ont également constaté ces chercheurs des Instituts nationaux de la Santé (NIH) et de l’université de l’Etat d’Ohio.
Les auteurs ont analysé des données d’une étude longitudinale nationale sur la fertilité et l’environnement (LIFE) conçue pour examiner les liens entre la conception, le mode de vie et les substances chimiques dans l’environnement. L’étude LIFE avait porté sur 501 couples dans le Michigan et au Texas de 2005 à 2009.Pour cette recherche spécifique, les scientifiques ont comparé plusieurs facteurs dans le mode de vie comme le fait de
fumer, de boire des boissons caféinées et de prendre des compléments multi-vitaminés parmi 344 couples dont la femme est tombée enceinte.Plus de risque de fausse couche si les parents boivent beaucoup de caféIls ont déterminé avec des questionnaires leur consommation de caféine et de compléments multivitaminés pendant sept semaines avant la conception et les sept premières semaines de grossesse.
Selon leur mode d’évaluation, un ratio supérieur à 1 indique un risque accru de perte du foetus pendant chacun des jours de la grossesse depuis la conception.
Un score inférieur à 1 signale une réduction du risque quotidien de fausse couche, précisent ces scientifiques qui soulignent aussi que leur étude n’établit pas de façon concluante un lien de cause à effet. Il s’agit seulement d’une observation.
Il y a eu 98 fausses couches parmi ces 344 grossesses, soit 28%.Selon ces chercheurs le risque de fausse couche augmenterait dans un ratio de 1,74 si une femme consomme plus de deux boissons caféinées par jour en moyenne.Mais ce risque est presque aussi élevé (1,73) si le partenaire masculin boit ces mêmes quantités de caféine, relève le Dr Buck Louis, chercheur de l’Institut national de la santé de l’enfant et du développement humain, partie des NIH, le principal auteur de l’étude.“La consommation de boissons caféinées par l’homme qui conçoit l’enfant est tout aussi fortement liée que chez la femme à la perte du foetus“, pointe-t-il.Les compléments vitaminés pourraient réduire ce risqueLes auteurs citent également comme risque accru l’âge plus avancé du couple ainsi que l’accumulation dans l’organisme de substances chimiques présentes dans l’environnement, qui est souvent plus grande chez les personnes plus âgées.Ces chercheurs ont enfin déterminé une réduction de 55% (ratio de 0,45) du risque de fausse couche chez les femmes qui ont pris des compléments multivitaminés tous les jours avant la conception.Si elles continuent pendant les premières semaines de grossesse, le risque est même réduit de 79%.Click Here: camisetas de futbol baratas
Il existe très peu de statistiques fiables sur les personnes transgenres, faute de collecte de données mais aussi à cause du secret pesant encore sur beaucoup et des situations très différentes rencontrées dans le monde. Une méconnaissance parfois accentuée par un vocabulaire complexe, en évolution constante.
Le terme transgenre désigne les personnes dont l'identité, exprimée et/ou ressentie, ne correspond pas à celle associée au sexe qu'elles avaient à la naissance.
Les personnes transgenresCe terme désigne les personnes dont l’identité, exprimée et/ou ressentie, ne correspond pas à celle associée au sexe qu’elles avaient à la naissance.Il englobe les personnes qui ont subi une opération mais aussi celles ayant seulement suivi un traitement hormonal, un suivi psychologique… ou rien de tout ça.Selon une étude faisant autorité aux Etats-Unis et datant de 2011, 0,3% de la population américaine se définit comme étant transgenre.
une personne née de sexe féminin et qui vit désormais comme un homme est un “homme transgenre“.
une personne née de sexe masculin et qui vit désormais comme une femme est “une femme transgenre“.
A noter que certains trouvent péjoratif d’employer le mot en tant que nom (“les transgenres”), l’expression consacrée étant “les personnes transgenres”.Identité de genre ou identité sexuelle ?Venue de l’anglais, l’expression “identité de genre” est de plus en plus employée en français, au détriment de l'”identité sexuelle”, pour mieux distinguer la notion d’identité des organes biologiques.”Plusieurs associations, ainsi qu’un avis de la CNCDH (Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme), mettent en garde contre l’utilisation du terme ‘identité sexuelle’ qui entretient l’idée que se sentir homme ou femme est liée à une prédisposition biologique, imposée par les attributs sexuels de naissance“, explique ainsi l’association française des journalistes LGBT.‘Changer de sexe’ ou ‘réassignation’ ? Les associations de défense des droits des personnes transgenres mettent en garde contre l’emploi de l’expression “changement de sexe” pour évoquer la procédure chirurgicale, expliquant que ces individus mettent en fait “leur corps en adéquation avec ce qu’elles sont”, selon l’association des journalistes LGBT. S’inspirant de l’anglais, l’expression “réassignation sexuelle” lui est donc préférée.Pour justifier ce choix lexical, ses défenseurs s’appuient sur un nombre croissant d’études démontrant que l’anatomie et l’identité proviennent de processus biologiques distincts, influencés par les gènes et les hormones. Si anatomie et identité concordent le plus souvent, des facteurs biologiques peuvent donc mener à un déphasage, avancent-ils.Orientation sexuelleAttention, l’identité de genre, ou sexuelle, n’a rien à voir avec l’orientation sexuelle: un homme ou une femme transgenre peut être hétérosexuel, homosexuel ou bisexuel.TransitionMot désignant la période au cours de laquelle une personne transgenre passe vers sa “nouvelle” identité. Processus complexe, il peut inclure une intervention chirurgicale, des traitements hormonaux, un suivi psychologique mais ce ne sont pas des étapes “obligées”. Il passe aussi par une évolution dans le cercle intime, avec l’annonce à ses proches, l’emploi d’un nouveau nom…De la répression aux lois anti-discriminationLa situation varie grandement pour les personnes transgenres dans le monde. Aux Etats-Unis, où les lois anti-discrimination sont parmi les plus avancées, leur interprétation au niveau du système de santé change selon les Etats. Certains ont ces dernières années ordonné aux systèmes privés et publics d’assurance santé de ne plus exclure les soins des personnes transgenres de leur couverture. Il s’agit notamment de la capitale Washington, de New York, la Californie… En tout une dizaine d’Etats, selon le Centre américain pour l’égalité transgenre (NCTE).En Europe, le Parlement européen a adopté dès 1989 une résolution interdisant la discrimination à l’égard des personnes transsexuelles. Mais parmi les 28 Etats membres, les législations varient aussi grandement. Seuls 13 Etats interdisent explicitement la violence contre les personnes transgenres, selon “Transgender Europe”, une association européenne.Si Human Rights Watch souligne les grandes avancées accomplies ces dernières années pour les personnes LGBT dans le monde, l’ONG dénombre également 80 pays qui “punissent les relations homosexuelles consenties et ceux qui débattent des droits des personnes LGBT avec des peines de prison, des coups de fouet et même la peine de mort”.Click Here: camisetas de futbol baratas
C’est en couplant deux techniques de pointe mini-invasives, robot chirurgical Da Vinci Xi et endoscopie, que les chirurgiens de Gustave Roussy ont pu enlever une tumeur située dans le rhinopharynx d’un homme jeune de 28 ans.
Le robot permet également de mieux voir dans la zone opératoire avec la caméra 3D.
Prendre en étau la tumeurPrendre en étau la tumeur en intervenant par la bouche avec le robot et par le nez avec l’endoscopie a permis l’ablation de la tumeur difficilement accessible et d’éviter une opération beaucoup plus traumatisante. Fort de son expertise, et grâce au soutien de la Fondation Philanthropia, l’Institut poursuit l’exploration de nouvelles indications en chirurgie robotique pour offrir une meilleure prise en charge à ses patients.L’endoscopie classique par voie nasale a des limitesLe rhinopharynx est la partie supérieure du pharynx (gorge) allant de l’arrière du nez au voile du palais. Situé profondément sous la base du crâne et à proximité des artères carotides qui alimentent le cerveau en oxygène, c’est une zone “chirurgicalement sensible” qui exige ultra-précision malgré un accès difficile. Lorsqu’une tumeur s’y développe et qu’elle est localisée près du voile du palais, son exérèse avec des instruments d’endoscopie classique par la voie nasale trouve ses limites.Un robot qui facilite grandement l’intervention”En introduisant par la bouche les instruments du robot Da Vinci Xi qui possède des angles d’attaque différents des instruments d’endoscopie
endoscopie classique, nous avons pu retirer cette tumeur qui était située près du voile du palais sans que le patient n’ait de séquelles fonctionnelles importantes. Le robot permet également de mieux voir dans la zone opératoire avec la caméra 3D. C’est typiquement le genre de tumeur qui auparavant soit ne pouvait pas être opérée du fait de sa localisation soit pouvait l’être mais au prix de lourdes séquelles esthétiques et fonctionnelles pour les patients” explique le Dr Antoine Moya-Plana, chirurgien ORL à Gustave Roussy. Une technique beaucoup moins invasiveAuparavant, les patients qui ne pouvaient pas bénéficier de la chirurgie étaient uniquement traités par
radiothérapie. Dans d’autres cas, on utilisait la voie ouverte dite transfaciale qui consiste à ouvrir le visage en deux pour enlever la peau et les os afin d’accéder au rhinopharynx situé derrière le nez. Les séquelles opératoires étaient très lourdes et les résultats peu probants.Une technique moins invasive qui consiste à couper le palais en deux s’est ensuite développée mais les suites opératoires sont compliquées et comportent d’importantes séquelles pour parler, manger et boire ; de plus, la cicatrisation de la bouche, processus long et complexe, décale dans le temps la radiothérapie post-opératoire.En attaquant la tumeur, d’un côté par le nez et de l’autre par la bouche en passant à travers les cordes vocales sans ouvrir le palais en deux grâce au robot chirurgical, la radiothérapie chez ce patient a pu être initiée rapidement après l’opération.
Formula 1 director of motorsport Ross Brawn says the time has come for the sport to “wind it down” as its costs can no longer be justified.
As F1 scrambles to mitigate the potentially devastating effects of the current crisis sparked by the coronavirus pandemic, the sport’s chiefs are also taking the opportunity to question the future.
Excess spending has been the norm in F1 for years, but it’s also been the prerogative of the top teams whose massive budgets have ensured their success at the pinnacle of motorsport but also a widening divide with Grand Prix racing’s less endowed mid-field competitors.
Next year’s budget cap, the exact level and details of which remain to be determined, will perhaps reduce the chasm, but Brawn insists a fundamental rethink of F1’s economy is imperative.
Formula 1 making progress on cost cap but not there yet
“Perhaps this is a time for a reset,” Brawn told Sky Sports. “And a time to say that in the good times F1 operated at a certain level, but now’s the time to take a view on that and decide if we need a re-set in terms of the costs and investments that are needed for F1.
“I think when we introduced the budget control there was always the anticipation that if we had a crisis, we could turn the dial down.
“I think to quote a Spinal Tap quotation, the dial has been set at 11 for too long. We need to wind it down.”
In hindsight, Brawn believes that Formula 1 is the victim of its own success as top teams were given a free rein to spend at will, which they freely did because of the very positive return-on-investment.
“The paradox of F1 is that success breeds that,” he said. “If you’re a brand like Mercedes the rewards that come from being successful in F1 are so great, they are many factors above what you spend.
“So although the budget of Mercedes is high, the rewards they are getting are even higher. And therefore they can justify spending a bit more each year.
“We all remember when Mercedes was an old man’s car, and now it’s not, it’s the hip car. They have changed the perception of Mercedes. And they’ve done a lot of that through F1. So it’s extremely valuable.
“So paradoxically the success of F1 has then driven the ability for certain teams to justify their budgets.
“Red Bull’s the same. Red Bull are able to show a multiple of what they invest in F1 in terms of what the returns they get for branding.”
For Brawn, the financial breach between the top of the grid and the rest of the field must significantly reduced if F1 is to remain a sustainable business model.
“We’re a very successful sport, in many ways, and particularly commercially,” he added.
“So therefore for those who can justify it keeps driving those budgets on, and creates the gap between the teams that don’t have that opportunity, or don’t have that situation, and the teams that do.
“There’s too big a void between the front three, it’s three teams really that enjoy a high level of budget, and the rest who are trying to make a model work which is sustainable.”
Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers
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Former Newcastle United forward Faustino Asprilla thinks Real Madrid midfielder James Rodriguez should hold out for a transfer to Man Utd this summer.
The Colombian has played just 13 times for Los Blancos this season, not helped by injury issues after returning from a two-year loan at Bayern Munich last summer.
He has been linked with a move to Manchester United recently with Real president Florentino Perez willing accept ‘less than €30m (£26m)’ for Rodriguez.
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And his compatriot Asprilla thinks Rodriguez should think about moving to Man Utd if the Premier League club make a move for him this summer.
“Manchester United would be a good place for James,” Asprilla told Colombian radio station Blu Radio.
“It’s been a while since they have been winning trophies and they are thinking about strengthening the team for next season.
“They’ve got good players – like Juan Mata, who plays in a similar style to James, although he’s a little more dynamic and attacking but I think James could easily fit into that side.”
Asprilla added: “James needs to go where he will play, a club where the coach has expressly asked for him and wants him in his team.
“Not where he will be an impulse signing, bought on a whim by the president. With his talent, he could play anywhere.”
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Odion Ighalo thinks there is a lot more to come from Bruno Fernandes with him still settling into life at Man Utd.
The 25-year-old has quickly become a fan favourite at Man Utd following his £65million move from Sporting in January, with three goals and four assists already to his name.
And Ighalo has tipped the Portugal international to shine when the Premier League returns and has been impressed with the early relationship he has built up with Anthony Martial.
FEATURE: Five swap deals that could genuinely happen this summer
“He is intelligent, he has foresight, he has vision,” said Ighalo (via the Metro). “He sees what he wants to do with the ball before it comes to him.
“You can see the understanding between him and Martial, you can see the understanding between me and him, so he’s a very good player. And he’s not even settled down yet!
“He comes from a very different place to the Premier League. When that guy has settled down, he’s going to take the Premier League by storm.”
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Real Madrid will not pursue a deal to sign Tottenham striker Harry Kane in the summer.
Kane faces an uncertain future in north London after insisting he won’t stay at Tottenham “for the sake of it”.
Spurs are apparently ‘furious’ and ‘exasperated’ with the striker, leading to suggestions that they could sanction a world-record move to Manchester United.
It has also been claimed that United would be Kane’s preferred destination were he to leave his boyhood club, although doubt has been cast on that after Sky Sports denied Ole Gunnar Solskjaer was interested.
That blow has been compounded by the Daily Mail, who report that Real Madrid ‘have no intention of joining the race’ to sign the striker.
Real are one of precious few clubs who could afford the sort of £200m fee Tottenham are demanding, but are ‘planning a summer without a major signing’ due to the current global pandemic.
With players having agreed to take a pay cut during the suspension of the La Liga season, Real are making clear provisions to guard against the financial impact of uncertainty.
As a result, they will focus instead on persuading Kylian Mbappe to move to Spain either next year or when his PSG contract expires in 2022.
That will significantly reduce Kane’s potential options, as while Real are ‘leaving the field open’ for United, Old Trafford executives seem similarly reluctant to sanction such expensive deals in the current climate.
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