Tabac : la volonté, principale raison du succès d’un arrêt

La majorité des fumeurs souhaitent arrêter de fumer, essentiellement pour préserver leur santé. Malheureusement, beaucoup échouent, invoquant le stress et la dépendance au tabac comme les principales raisons de leur reprise. Le manque d’accompagnement médical pourrait aussi expliquer ces rechutes, seul un quart des fumeurs se tournant vers son médecin lorsqu’ils souhaitent mettre un terme à leur addiction. A la veille de la Journée mondiale de la lutte contre le tabac (31mai), découvrez les résultats d’une enquête exclusive que Doctissimo a menée auprès de plus de 700internautes.

La force de caractère serait la première raison du succès selon les personnes ayant réussi à arrêter de fumer.

Régulièrement décrite comme une maladie dont on ne pourrait guérir qu’avec l’aide de substituts nicotiniques, la dépendance au tabac serait finalement surtout… psychique. Selon notre enquête, les fumeurs et ex-fumeurs pointent tous du doigt le stress comme facteur de tabagisme et de rechute. Pour ceux qui ont réussi à se libérer de la cigarette, c’est leur force de caractère qui serait la raison du succès de leur arrêt. La plupart de ceux qui ont réussi à décrocher ne le devraient finalement plus à eux-mêmes et à leur volonté qu’aux multiples aides au sevrage pourtant disponibles.Les 3/4 des fumeurs veulent arrêterQu’ils soient fumeurs ou ex-fumeurs, ils sont entrés dans le tabagisme à l’adolescence, entre 14 et 16 ans pour la moitié des premiers (37 % pour les seconds) ; s’ils fument beaucoup en soirée (près d’1/3), près de 4 fumeurs sur 10 reconnaissent fumer tout le temps, comme plus de la moitié des ex-fumeurs avant eux.Parmi les fumeurs, seul 1 sur 4 n’envisage pas d’arrêter, trouvant encore du plaisir à fumer (72 %). Mais les ¾ veulent en finir avec la cigarette, à la fois pour préserver leur santé (81 %), à cause de problèmes médicaux déjà présents (40 %), mais aussi en raison du prix trop élevé du tabac (45 %).D’ailleurs, 71 % ont déjà essayé d’arrêter, une, deux voire trois fois (respectivement 1/4, 1/4 et 1/5). Mais beaucoup ont fait cette démarche seuls, sans chercher d’aide (46 %) : seuls 1/4 d’entre eux se sont tournés vers un médecin et 1/5 vers un pharmacien. Autant que vers les sites d’information sur Internet, qui apparaît ainsi comme une source d’information fiable aux yeux des internautes.La moitié des fumeurs préfèrent s’automédiquerIn fine, la majorité de ces fumeurs souhaitant arrêter ont opté pour l’automédication (53 %), privilégiant les

substituts nicotiniques comme les patchs ou les gommes à la nicotine (respectivement 42 % et 27 %), ou la

cigarette électronique (40 %). Les

médecines douces (ou alternatives), comme l’auriculothérapie, l’hypnose ou la sophrologie n’apparaissent pas comme des solutions efficaces, séduisant moins de 5 % des fumeurs voulant arrêter. Plus d’un tiers a préféré arrêter purement et simplement toute consommation de nicotine sans recourir à aucune aide extérieure.Est-ce le manque d’encadrement ou d’accompagnement qui explique leurs rechutes, ou, comme beaucoup le prétendent, le stress (43 %) et la dépendance au tabac (30 %) ? Sans doute un peu tout ça, puisque 37 % pensent que le coaching sous diverses formes (mails, réseaux sociaux, applis, téléphone) pourrait les aider ; mais aussi peut-être une source de motivation supplémentaire qui, selon eux, pourrait prendre la forme si ce n’est d’une rétribution financière en cas de succès (24 % y sont favorables), du moins un

remboursement des méthodes de sevrage au-delà du délai aujourd’hui défini par la loi (33 %).La première tentative fut la bonne pour 29 % des ex-fumeursSi l’on s’intéresse aux ex-fumeurs, ceux qui sont parvenus à mettre fin à leur addiction, on s’aperçoit qu’ils n’ont pas forcément essayé plus de fois que les autres – la première fois fut même la bonne pour 29 % d’entre eux. La majorité (72 %) a tout de même rechuté une ou deux fois avant d’arrêter définitivement, pour cause de stress et de dépendance trop forte. Cela fait maintenant plus d’un an qu’ils n’ont pas touché à la cigarette (67 %).Qu’est-ce-qui explique alors leur réussite ? Leur volonté et leur force de caractère, estiment plus de la moitié d’entre eux. Et l’on serait tenté de les croire, car rien ne distingue vraiment leurs tentatives de celles de ceux qui ont échoué…Motivation principale à l’arrêt : préserver sa santéLes motivations des ex-fumeurs sont les mêmes : préserver leur santé (67 %), ne pas aggraver un problème médical déjà présent (24 %) et le prix du tabac (23 %).Eux non plus n’ont pas fait appel à un médecin (seuls 8,5 % ont eu une prescription médicale), préférant de loin s’automédiquer (47 %) ou ne rien faire de particulier (44 %). Parmi toutes les méthodes disponibles sur le marché, eux aussi ont eu recours aux patchs (37,5 %), à la cigarette électronique (24 %), aux gommes à la nicotine (19 %)… Et eux non plus n’ont pas cru aux médecines alternatives pour les aider à décrocher. Au final, la bonne méthode fut l’arrêt pur et simple, sans aucune aide extérieure, pour 42 % d’entre eux.Est-ce justement le fait d’avoir réussi à arrêter sans accompagnement ? Toujours est-il qu’ils ne croient pas autant que les fumeurs aux vertus de diverses incitations pour aider à l’arrêt, comme un prolongement du remboursement des méthodes de sevrage (seuls 16 % pensent que cela aurait pu leur permettre d’arrêter plus facilement) ou du coaching (15 %) ; même si 23 % n’auraient pas été contre une rétribution financière en cas de succès…Amélie PelletierSource : Enquête exclusive Doctissimo, menée du 27 avril au 19 mai 2015, après de 706 internautes (438 femmes et 268 hommes).Click Here: Cardiff Blues Store

Neuf ados sur 10 bien dans leur peau

Complexés et mal dans leur peau les ados? Pas du tout! En effet, l’enquête “Bien dans sa tête bien dans son corps“ réalisée à la demande de la Fondation Pfizer, montre qu’ils sont aujourd’hui relativement bien équilibrés et ne souhaiteraient pas changer leur corps, même si pour 1 jeune sur 2, le poids reste un sujet de préoccupation physique majeur.

Contrairement à ce que pensent les adultes, les ados se sentent bien dans leur peau.

Les ados sont globalement satisfaits de leur corps. Un constat en décalage avec ce qu’imaginent les adultes, qui  sont 6 sur 10 à le penser, alors même que seuls 9% estiment que les jeunes se trouvent “très bien dans leur corps“.  L’image du corps corrélée au bien-êtreLe sentiment d’estime pour leur corps varie selon le sexe : les garçons sont 84% à dire l’aimer, contre 69% pour les filles. Logiquement, l’image qu’ils ont de leurs corps dépend également de leur niveau de bien-être : si 93% des ados qui vont bien disent aimer leur corps, ce chiffre tombe à 55% pour ceux qui vont mal. Près de 19% des garçons et 26% des filles avouent pourtant avoir des complexes.Le corps reste un objet de virilité pour les adolescents, qui sont 52% à avoir déjà pratiqué la musculation et plutôt un objet de séduction pour les filles qui sont 27% à avoir déjà fait un

régime dans cette tranche d’âge.  Les 15-18 ans, dans leur majorité, ne souhaitent pas imposer de transformation à leur corps. Seuls 12% des jeunes ont déjà fait un

piercing et 7% un

tatouage. Près de 17% des adolescents qui vont mal ont déjà infligé des scarifications à leur corps, selon cette enquête. Le poids reste un sujet important à leurs yeuxLe poids reste néanmoins un sujet de préoccupation partagé entre les garçons et les filles. Un ado sur 2 pense en effet que pour être bien dans sa tête et dans son corps, il est important (note entre 8 et 10 sur 10) de ne pas avoir de kilos en trop et 55% des 15-18 ans affirment qu’être mince est essentiel.Près de 22% des jeunes de cette tranche d’âge disent même être obsédés par leur poids, dont 30% des filles et 32% des adolescentes qui vont mal. Concernant la perception qu’ont les adolescents de leur corps, seul 1 sur 4 estime avoir le rapport poids/taille idéal et 7 sur 10 se voient comme étant maigres, les garçons plus que les filles.D’après les ados, il faut être beau pour réussir…L’influence sociale, marketing et médiatique n’y est pas étrangère. 95% des adolescentes pensent que les médias “imposent une certaine image du corps“. Pour beaucoup, les normes physiques conditionnent la réussite sociale. Ainsi, 8 ados sur 10 considèrent qu’il faut être beau pour réussir dans la vie.RelaxnewsSource :

Sondage réalisée entre le 14 et le 23 octobre, l’enquête a interrogé 801 adolescents de 15 à 18 ans et 802 adultes de 25 ans et plus constituant un échantillon national représentatif de la population selon la méthode des quotas.  Découvrez les premiers enseignements de “Prévention Ados“ et de l’enquête Fondation Pfizer/Ipsos Santé 2015Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Algérie: la statue aux seins nus de Sétif à nouveau vandalisée

Dans la vidéo mise en ligne en direct sur Facebook, on voit l’homme, pris sur le fait, sauter dans la foule et s’enfuir. Poursuivi par des citoyens, il a été arrêté quelques minutes plus tard par la police.

Comme en décembre 2017, l’agresseur est monté sur le socle de la fontaine (Aïn Fouara) et a tenté de défigurer l’œuvre de Francis de Saint-Vidal, érigée en 1898, et d’en détruire les seins. Tout comme en 2017, il a été interrompu dans sa destruction par des citoyens en colère.

C’est la quatrième fois en vingt ans que la statue subit des actes vandalisme. En 1997, c’était avec une bombe artisanale. 

Interpellé en mars 2018 par des députés islamistes à l’Assemblée nationale (APN), qui demandaient l’enlèvement de «l’impudique» statue et sa mise à l’abri des regards dans un musée, le ministre algérien de la Culture Azzedine Mihoubi a rétorqué: «Ce n’est pas à la statue de Ain El Fouara d’aller au musée. C’est à ceux qui appellent à son déplacement d’y aller.» Pour les radicaux islamistes, toute représentation figurative, a fortiori une femme nue, est illicite. 

Restaurée pendant plusieurs mois, la statue avait de nouveau été inaugurée le 5 août dernier. Avant de subir un nouvel outrage ce mardi 9 octobre 2018.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Francophonie: pourquoi la France soutient le Rwanda

Fin d’un psychodrame qui a failli briser la traditionnelle unanimité qui prévaut pour le choix du représentant de l’Organisation internationale de la Francophonie. Retour également à la tradition qui veut que le poste échoit à un Africain.

Exit donc Michaëlle Jean la Canadienne, actuelle secrétaire générale. Elle aurait bien aimé faire un second mandat, mais Paris en a jugé autrement. Il fallait aux yeux d’Emmanuel Macron offrir le poste à un, ou une Africaine. Car c’est sur le Continent que se joue l’avenir du français et accessoirement l’avenir de l’influence française… Selon un diplomate cité par Jeune Afrique, Emmanuel Macron «est convaincu que, si elle n’est pas portée par une voix africaine, la Francophonie ne sera plus pertinente.»
 
Eté 2018, les jeux sont faits. La France soutient la candidature de Louise Mushikiwabo. Surprise, elle est rwandaise, et proche du président Paul Kagame, pourtant en froid avec Paris depuis qu’il est au pouvoir. Car Paul Kagame accuse la France d’avoir une responsabilité dans le génocide de 1994.

Le choix passe mal de l’autre côté de l’Atlantique. Dans un premier temps, les Premiers ministres canadiens et québécois soutiennent leur compatriote. Finalement, à quelques jours du congrès, «Ottawa largue Michaëlle Jean», comme l’écrit le site canadien Le Devoir. Le premier ministre du Québec, François Legault enfonce le clou.

 

Pourtant, Louise Mushikiwabo participe depuis 2008 au gouvernement de son pays. En tant que ministre de l’Information puis des Affaires étrangères, elle cautionne le choix du Rwanda de retenir l’anglais comme la langue de l’enseignement et de l’administration. Embarrassant pour la future représentante de la Francophonie!

Embarrassante aussi la réputation du régime Kagame. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la démocratie ne souffle pas sur le Pays des mille collines. «Louise Mushikiwabo n’incarne pas les valeurs de la Francophonie et sa désignation serait une grande erreur de casting lourde de conséquences», écrit le site Contrepoints.

Michaëlle Jean secrétaire générale de la francophonie (AFP)

A l’inverse, Monde Afrique dresse un portrait au vitriol de Michaëlle Jean et de son «bilan calamiteux». Ottawa finit donc par «lâcher» sa candidate dans un étrange pari pour l’avenir, croit savoir Le Devoir. En fait, il s’agit  d’obtenir le soutien des pays africains à la candidature du Canada au Conseil de sécurité de l’ONU. 54 votes qui peuvent compter dans…trois ans.
 
Mais l’enjeu est bien plus grand. L’OIF doit sceller la réconciliation du Rwanda et de la France, et tourner la page de l’accusation sur le génocide. Puisque l’Union Africaine – présidée par Paul Kagame – soutient la candidature de Louise Mushikiwabo, Paris se rallie à ce choix. Cela ne plait pas à tout le monde sur le Continent. Alex Kipré, écrivain et éditeur ivoirien, journaliste au quotidien gouvernemental Fraternité Matin, «déplore que cela soit encore l’extérieur qui nous dicte nos lois» rapporte l’AFP. «Ca fait Françafrique» ajoute le journaliste.

En tout cas, Paul Kagame est devenu l’homme incontournable de l’Afrique de l’Est.

Salima, la candidate française, remporte le concours The Brush Contest de L'Oréal Paris

Quelques semaines après la finale de son premier concours international de make-up, L’Oréal Paris communique le nom de la grande gagnante : la Française Salima El Aliani, qui rejoint par conséquent l’équipe de make-up designers de la marque de cosmétiques.

Salima El Aliani, la grande gagnante du concours The Brush Contest de L'Oréal Paris.

Lancé en janvier dernier, le concours diffusé sur YouTube avait pour mission de dénicher des talents dans l’univers du maquillage. Organisée en marge du Festival de Cannes, en présence d’Eva Longoria, la finale internationale a récompensé la candidate française.Âgée de 23 ans, cette audidacte, qui se consacre au quotidien à la mise en beauté des futures mariées, rejoint les rangs de la prestigieuse équipe d’artistes maquillage L’Oréal Paris.

Source : Relaxnews – Youtube

Vitiligo : une maladie qui altère la qualité de vie

Le vitiligo est une maladie qui altère profondément la qualité de vie des patients qui en sont atteints. Bien que son origine reste mal identifiée, il existe différentes options thérapeutiques dont l’indication dépend de la forme de la maladie. Une nouvelle approche thérapeutique est désormais disponible pour repigmenter le vitiligo non évolutif et les cicatrices post-traumatiques dépigmentées.

Le vitiligo touche près d'un million de Français.

Le vitiligo, une maladie à l’origine encore mystérieuseLe

vitiligo est une maladie de l’

épiderme qui correspond à une perte acquise (qui n’est pas présente à la naissance) des

mélanocytes, ce qui a comme conséquence une dépigmentation, c’est-à-dire, l’apparition de taches blanches sur la peau qui touchent différentes parties du corps, en particulier le visage, les extrémités, les articulations et les zones de friction.D’origine mal connue, des études montrent que le vitiligo correspond à une altération de la fonction immunitaire déclenchée ou aggravée par le stress mais de multiples autres facteurs ont été évoqués.En France, on estime que le vitiligo touche entre 0,5 et 2 % de la population, soit environ 1 million de personnes dont une sur 2 est diagnostiqué avant l’âge de 20 ans. Cependant, le vitiligo peut apparaître à tout âge et son évolution est imprévisible.Le vitiligo, une source de souffranceLe Pr Thierry Passeron, service de dermatologie du CHU de Nice et chef d’une équipe Inserm est formel : “Dans la mesure où les plaques de vitiligo ne provoquent aucun symptôme, beaucoup de gens et parfois même des professionnels de santé considèrent le vitiligo comme un problème purement esthétique, mais en réalité il s’agit d’une vraie maladie qui peut altérer profondément la qualité de vie des patients“.En effet, des études montrent que pour de nombreux patients, le vitiligo est une source de souffrance psychologique comparable à celle de la

dépression ou de certains

cancers. Il engendre ainsi un sentiment de honte, des problèmes sociaux ou encore sexuels et peut même être une source de difficulté à l’emploi. Ainsi, dans les pays occidentaux, 1/3 des patients se disent prêts à payer 5 000 € par an pour traiter leur maladie. En Inde par exemple, le vitiligo est souvent confondu avec la lèpre et de ce fait, les gens évitent le contact avec les patients.Une maladie qui prend plusieurs formesIl existe plusieurs formes cliniques de vitiligo mais les dermatologues classifient la maladie en 2 types principaux :- Le vitiligo généralisé ou non segmentaire aussi dit vulgaire qui est la forme la plus fréquente et se caractérise par des plaques de dépigmentation nombreuses, de taille variée et symétriques.- Le vitiligo segmentaire qui se limite à une ou plusieurs plaques de taille limité et asymétriques.Le Pr Passeron précise cependant qu’il existe également des formes mixtes et que toutes les formes peuvent être évolutives ou non évolutives (plaques stables depuis au moins un an). Par ailleurs, dans le vitiligo on observe souvent ce que les dermatologues appellent le phénomène de Koebner, qui est en fait le développement de plaques de dépigmentation après un traumatisme, grattage ou sur des zones de friction comme les plis, d’où la recommandation faite aux patients d’éviter les frottements mais sans pour autant les contraindre à modifier leurs habitudes et activités quotidiennes.Différents traitements selon la forme et l’extension du vitiligoActuellement, il existe différentes stratégies thérapeutiques pour traiter le vitiligo en fonction de sa forme et extension. Ainsi, pour les formes localisées, les

dermocorticoïdes  à activité forte sont souvent prescrits, sauf sur le visage. Le

tacrolimus en application locale est un autre traitement (mais ce médicament n’a pas l’indication pour traiter le vitiligo) ou encore les lampes  et le laser excimer (utilisé pour traiter la cataracte). Pour les formes généralisées, les dermatologues utilisent la photothérapie UVB à spectre étroit, seule ou associée à d’autres traitements locaux. Pour les patients à peau noire ou très mate, l’exposition au soleil est aussi recommandée, ce qui n’est pas le cas pour les peaux claires.En cas d’échec de ces traitements, la greffe de peau mince ou de mélanocytes pris directement sur la peau saine du même patient (greffe cellulaire autologue) sont la référence du traitement de 2ème intention des vitiligos segmentaires ou non segmentaires qui sont stables depuis au moins 1 an. Problème : en général, les taches de vitiligo réapparaissent après des périodes variables, en général d’un an. Selon le Pr Passeron, la fréquence de récidives diminue notablement grâce à l’application, après traitement, de tacrolimus par voie locale.La greffe cellulaire autologue disponible en kitLa greffe autologue de mélanocytes constitue donc  l’option thérapeutique de 2ème intention. La technique, développée en 1992, est utilisée chez de nombreux patients. Pour le Dr Michel Pascal, dermatologue spécialiste de lasers dermatologiques (Paris), il existe un dispositif médical, Viticell® qui permet de réaliser au cabinet une suspension cellulaire autologue à partir d’une biopsie de peau fine. Initialement réservé aux dermatologues hospitaliers, le kit  Viticell® est désormais disponible pour des dermatologues exerçant en ville et équipés pour des petites interventions.Viticell® contient les réactifs et les dispositifs nécessaires à la préparation de la suspension de cellules épidermiques autologues qui sont ensuite appliquées au goutte à goutte sur la surface à traiter. Le kit permet ainsi d’obtenir un nombre suffisant de cellules avec une viabilité cellulaire de 94 % et contenant 1 % de mélanocytes.Viticell® est indiqué dans la repigmentation de la peau dans le cas d’un vitiligo non évolutif ou sur des cicatrices post-traumatiques hypochromatiques. Des études montrent que l’utilisation du kit permet une repigmentation significative chez 70 % des patients traités, les meilleurs résultats atteignant 84 % dans le vitiligo segmentaire.Pour l’instant non remboursé, son coût est de 480 € plus les honoraires du dermatologue pour l’autogreffe et le suivi.Dr Jesus CardenasSource : Conférence de presse du 25 juin 2015 organisée par les laboratoires Genevrier.

1ères séances : Alvin et les Chipmunks rigolent !

“Alvin et les Chipmunks 3” profite de la période des fêtes en réalisant le meilleur démarrage parisien de ce mercredi 21 décembre avec 3601 entrées, devant “Happy New Year” et “La Délicatesse”.

1 – Alvin et les Chipmunks 3 – 3601 entrées (15 copies)

2 – Happy New Year – 1726 entrées (16 copies)

3 – La Délicatesse – 1583 entrées (24 copies)

4 – A Dangerous Method – 1465 entrées (20 copies)

5 – Le Havre – 1244 entrées (20 copies)

6 – L’Irlandais – 584 entrées (7 copies)

7 – La Clé des champs – 374 entrées (7 copies)

8 – Les Boloss – 221 entrées (7 copies)

9 – Carmen Jones – 25 entrées (une copie)

10 – Le Miroir – 24 entrées (3 copies)

11 – Hell and Back Again – 22 entrées (une copie)

12 – Voyage à deux – 14 entrées (une copie)

13 – Comédie érotique d’une nuit d’été – 13 entrée (une copie)

14 – Ne nous soumets pas à la tentation – 7 entrées (une copie)

Clément Cuyer avec Rentrak France

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Faire 5 heures de sport par semaine permettrait de diminuer le risque de cancer du sein

Une équipe de chercheurs canadiens a mis en évidence que doubler son activité physique de 150 à 300 minutes par semaine aurait une influence pour prévenir le risque de cancer du sein chez la femme ménopausée.

Doubler la durée hebdomadaire d'activités physiques de 150 à 300 minutes a un impact réel pour réduire le risque de cancer du sein chez la femme ménopausée.

Les chercheurs ont récemment établi que le taux de graisse corporelle était associé à un risque accru de développer un cancer du sein après la ménopause. Agir sur la diminution de cette masse graisseuse permettrait ainsi de diminuer le risque de développer la maladie.C’est ce qu’a mis en évidence une équipe de chercheurs canadiens dirigée par la professeure Christine Friedenreich, membre de l’Alberta Health Services in Edmonton, à Alberta au Canada.Les résultats, publiés dans la revue

JAMA Oncology, ont montré que doubler la durée hebdomadaire d’activités physiques de 150 à 300 minutes avait un effet significatif pour réduire la masse graisseuse, en particulier chez les femmes obèses, et par extension qu’elle avait également un impact réel pour réduire le risque de cancer du sein chez la femme ménopausée.Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont suivi pendant 12 mois 400 femmes ménopausées, sans maladie, âgées de 50 à 74 ans avec un indice de masse corporel (IMC) compris entre 22 et 40. Puis deux groupes ont été formés.Des hypothèses soutenues par 100 études épidémiologiquesLe premier devait faire 150 minutes d’exercices par semaine, l’autre 300. Les activités choisies étant le

tapis de course et le

vélo elliptique.Dans le détail, ces travaux ont mis en évidence que les réductions moyennes de graisse corporelle étaient de 1kg plus importante dans le groupe qui pratiquait 300 minutes de sport que dans le groupe qui n’en faisait de 150. Ces baisses ont été constatées précisément au niveau de la graisse abdominale sous-cutanée, de la graisse abdominale totale, du tour de taille et du rapport taille-hanches.“Une association probable entre l’activité physique des femmes ménopausées et risques de développer un cancer du sein est soutenue par plus de 100 études épidémiologiques avec une forte justification biologique pour soutenir l’hypothèse que la perte de graisse est un important médiateur de cette association même si ce n’est pas le seul. Cette étude nous fournit des éléments pour encourager les femmes ménopausées à faire au moins 300 minutes d’activités sportives par semaine“, conclut le Pr Christine Friedenreich.Source : Relaxnews

Isabelle Carré guide de luxe de l’expo Romy Schneider [VIDEO]

Jusqu’au 22 février, l’Espace Landowski consacre une exposition à Romy Schneider. Rencontre avec la comédienne mythique en compagnie de deux passionnés, l’actrice Isabelle Carré, à l’affiche des “Vents contraires” de Jalil Lespert, et Jean-Pierre Lavoignat, commissaire de l’exposition.

Exposition Romy Schneider du 4 novembre 2011 au 22 février 2012.

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Espace Landowski, 28 avenue André Morizet, Boulogne Billancourt.

De 10h00 à 19h00. 11 € Plein Tarif / 8 € Tarif Réduit / gratuité pour les moins de 12 ans.

 

La visite commentée : interview Isabelle Carré / Jean-Pierre Lavoignat

Propos recueillis par Laetitia Ratane

"50 nuances de Grey": 100.000 exemplaires vendus depuis mardi

Cent mille exemplaires du quatrième tome de la série érotique à succès “Cinquante nuances de Grey“, sorti mardi en version française, ont déjà été vendus dans l’Hexagone, “un démarrage plus fort“ que pour le tome 3, selon l’éditeur.

“Grey: Cinquante nuances de Grey par Christian“ e raconte la relation sado-masochiste entre Anastasia Steele et l'homme d'affaires Christian Grey du point de vue de Christian.

Nous allons réimprimer 60.000 exemplaires“, a déclaré à l’AFP le directeur commercial de JC Lattès, Philippe Dorey. Le roman de la Britannique E.L. James, “Grey: Cinquante nuances de Grey par Christian“, est sorti simultanément en France, en Belgique et en Suisse où il a été tiré au total à 500.000 exemplaires (440.000 en France), ainsi qu’au Canada (75.000 exemplaires).Le livre raconte la relation sado-masochiste entre Anastasia Steele et l’homme d’affaires Christian Grey du point de vue de Christian.Déjà paru aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne le 18 juin, “Grey: Cinquante nuances de Grey par Christian“ a été numéro un des ventes pendant plusieurs semaines dans ces pays. Aux Etats-Unis, “Grey“ s’est écoulé à plus d’un million d’exemplaires la semaine de sa sortie. La trilogie d’origine a été vendue à plus de 125 millions d’exemplaires dans le monde. En France, où le premier tome était sorti en octobre 2012, la série s’est vendue au total à plus de 7,2 millions d’exemplaires, toutes éditions confondues.L’adaptation au cinéma du premier tome, sortie en France en février, a rapporté 570 millions de dollars dans le monde. La suite est attendue sur grand écran le 10 février 2017.AFP/RelaxnewsClick Here: Golf special