Les textos à l’origine du mal de dos ?

Les plus accros au smartphone passent entre deux et quatre heures par jour sur leur portable pour envoyer des textos ou pour surfer sur internet. Selon une étude, ces pratiques seraient très mauvaises pour le dos et les cervicales. Le poids de latêtesur l’épine cervicale peut être multiplié par cinq lors de l’utilisation du portable, à cause de la position penchée qu’elle adopte.

Notre tête, qui pèse environ 5,5 kg, passerait à plus de 27 kg quand l’angle adopté se rapproche des 60°, soit le poids d’un enfant de 8 ans.

Une tête qui pèse lourdL’étude menée par le chirurgien américain Kenneth Hansraj révèle que l’utilisation du portable pour envoyer des textos provoquerait à long terme de sérieux problèmes au dos. Le « text neck », la position penchée de la tête que l’on adopte lorsqu’on envoie des sms augmente le poids de la tête sur l’

épine cervicale. Notre tête, qui pèse environ 5,5 kg, passerait à plus de 27 kg quand l’angle adopté se rapproche des 60°, soit le poids d’un enfant de 8 ans.

Sur la durée, la perte de la courbure naturelle du

rachis cervical peut engendrer une usure prématurée, une déchirure, voire une dégénérescence de l’épine cervicale“, informe l’étude.Comment éviter ce mal de dos ?
Heureusement, il est possible d’éviter ce mal de dos en veillant à ne pas trop pencher la tête au moment d’envoyer des textos et en essayant d’utiliser l’appareil de façon modérée. Le chirurgien Kenneth Hansraj conseille également quelques exercices pour éviter de passer par la case “chirurgie“ : “Pour garder les articulations souples dans votre cou, bougez la tête de gauche à droite plusieurs fois et touchez votre oreille avec l’épaule sur chacun des côtés“.
Aussi, pour limiter les lésions causées par la posture “tête penchée en avant“, Kenneth Hansraj recommande aux utilisateurs de smartphone de renforcer les

ligaments et les muscles qui soutiennent le cou. Pour cela, il existe deux exercices simples : “placer ses mains sur sa tête pour offrir une résistance quand on pousse sa tête vers l’avant et vers l’arrière“ ou encore “se placer dans l’encadrure d’une porte en y plaçant ses bras et pousser la poitrine vers l’avant pour renforcer les muscles de la bonne posture“.Annabelle IglesiasSource :

Assessment of stresses in the cervical spine caused by posture and position of the head, Kenneth K. Hansraj and al, novembre 2014, Surgical Technology International.Illustration :  Surgical Technology InternationalClick Here: Cardiff Blues Store

Alcool chez les jeunes : la campagne "Esquive la tise" mise sur l'humour

Boinge drinking, nekomination… les modes de consommation de l’alcool ont changé chez les jeunes. Au-delà des risques immédiats, ces “ivresses rapides“ peuvent avoir des conséquences à long terme. Pour faire face à cette banalisation, l’Inpes lance une web série montrant des techniques pour éviter de boire sans passer pour un “loser“.

La web série décalée “Esquive la tise“ est lancée par l'inpes pour inciter les jeunes à dire non à l'alcool sans passer pour un looser.

Alcool : le péril jeuneLa recherche de l’ivresse chez les jeunes est marquée par un changement des modes de consommation : du binge drinking à la neknomination. Selon les dernières enquêtes françaises, 17,5 % des collégiens puis 61 % des lycéens disent avoir déjà connu une ivresse alcoolique. Si les premières expérimentations d’alcool se font souvent dans un cadre familial et festif (fêtes de famille, anniversaire, jour de l’an…), c’est au cours des années de collège que l’abus d’alcool augmente fortement. Une tendance plus marquée chez les garçons et qui augmente avec l’avancée scolaire :-       19 % des garçons de quatrième, puis 36 % des garçons de troisième affirment avoir déjà été ivres au cours de leur vie ;-       15 % des filles de quatrième, puis 32 % des filles de troisième se déclarent concernées.A 17 ans, le nombre d’ivresses déclarées, répétées (au moins 3 dans l’année) ou régulières (au moins 10 dans l’année), sont en hausse de près de 2 points entre 2008 et 2011, passant respectivement de 26 % à 28 % et de 9 % à 10,5 %.Au-delà des risques immédiats de ces recherches d’ivresses rapides, ces consommations excessive peuvent avoir de graves conséquences à long terme et constituer une perte de chance pour l’avenir.“Esquive la tise“, la websérie dédiée aux 14-18 ansPour résister à la tentation et à la pression sociale, l’Inpes créé la première web-série abordant le sujet de l’alcool. A destination des 14-18 ans, la web-série “Esquive la tise“ s’appuie sur l’humour et le second degré. Les huit vidéos abordent différentes façons d’éviter l’alcool sans passer pour un “loser“. A chaque épisode, l’un des personnages principaux se voit proposer une boisson alcoolisée dont il n’a pas envie, et trouve une manière originale d’esquiver, sans se couper du plaisir de la fête ni se désolidariser du groupe. Selon l’Inpes, “l’idée n’est plus simplement, d’alerter, d’informer mais de débanaliser et de donner les moyens et la volonté d’agir. L’Inpes souhaite, dans cette série, aider les jeunes à faire face à la pression des pairs, particulièrement forte à cet âge-là, sans pour autant diaboliser l’alcool et les situations de consommation“. La web série est diffusée sur You Tube et sur le site

www.jeunes.alcoolinfoservice.fr, l’espace spécifique aux jeunes sur Alcool-Info-Service.fr.

Plutôt que d’informer et de diaboliser, la campagne préfère promouvoir “l’esquive“. Même si on sait que les discours moralisateurs ont peu d’impact sur les adolescents, on peut néanmoins s’interroger sur l’impact réel d’une campagne uniquement basée sur l’humour. Chaque épisode renvoie néanmoins sur l’espace Jeunes du site Alcool-Info-Service.fr.

Lancé il y a un an, le site Alcool Info Service propose des informations et des espaces collaboratifs, ainsi que des services d’aide à distance. Un espace dédié aux jeunes propose des contenus spécifiques (organiser sa soirée, les dangers du binge drinking, les mélanges, aider un proche…), des chats, des forums, etc.Source : Communiqué de l’Inpes – décembre 2014Click Here: camiseta seleccion argentina

Se sentir plus jeune que son âge allongerait la durée de vie

L’âge, c’est dans la tête ! Au-delà de cet adage, une étude confirme que rester jeune dans sa tête permettrait de vivre plus longtemps. Dans le détail : les personnes âgées qui se sentent trois ou quatre ans plus jeunes que leur âge ont un taux de mortalité plus faible que celles qui se sentent plus âgées ou de leur âge.

La perception que les personnes ont de leur âge pourrait refléter leur état de santé, leurs limites physiques et leur bien-être plus tard dans la vie, notent ces chercheurs.

Ces chercheurs ont analysé des données provenant d’une étude sur le vieillissement de 6.489 personnes, âgées en moyenne de 65,8 ans.L’âge, c’est dans la tête !La plupart (69,6%) se sentaient de trois à quatre ans plus jeunes que leur âge tandis que 25,6% avaient le sentiment d’avoir l’âge qu’ils avaient, et 4,8% avaient l’impression d’être plus vieux de plus d’un an.Au cours d’une période de suivi de 99 mois, le taux de mortalité a été de 14,3% chez ceux qui se sentaient plus jeunes, 18,5% dans le groupe ayant l’impression d’avoir leur âge chronologique et 24,6% chez les participants qui se sentaient plus vieux, ont précisé les auteurs de la recherche.Une bonne hygiène de vie pour bien vieillirLe lien entre la perception de l’âge et la mortalité cardiovasculaire s’est avéré très fort, mais pas avec la mortalité par

cancer, relèvent-ils. “Les mécanismes sous-jacents à ces liens méritent d’être étudiés davantage, en les élargissant à un plus grand éventail de comportements favorisant la bonne santé, comme le fait de maintenir un poids sain, de suivre les recommandations médicales et d’avoir un sens du contrôle de soi et le désir de vivre parmi ceux qui se sentent plus jeunes que leur âge“, estiment les auteurs, dont le Dr Isla Rippon de l’University College London.Pour

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La perception que les personnes ont de leur âge pourrait refléter leur état de santé, leurs limites physiques et leur bien-être plus tard dans la vie, notent ces chercheurs.AFP/RelaxnewsSource : Associations Between Self-perceived Age and Mortality – Isla Rippon, Andrew Steptoe – JAMA Intern Med. Published online December 15, 2014 (

abstract accessible en ligne)Click Here: los jaguares argentina

La "gastro" s'installe, la grippe en embuscade

La gastro-entérite s’installe en France métropolitaine, avec un seuil épidémique atteint dans trois régions la semaine dernière, tandis que la grippe devrait monter en puissance dans les prochaines semaines, indique mercredi le réseau de surveillance Sentinelles-Inserm.

Les taux d'incidence les plus élevés ont été notés en Limousin (491 cas pour 100.000 habitants), Champagne-Ardennes (447), Nord-Pas-de-Calais (346), Auvergne (289) et Ile-de-France (267).

Le nombre des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale la semaine dernière a été estimé à 150.000 nouveaux cas, soit 234 cas pour 100.000 habitants, un peu en dessous du seuil épidémique (274 cas pour 100.000 habitants) qui pourrait être atteint “dans les prochaines semaines“ selon le réseau de surveillance.Les taux d’incidence les plus élevés ont été notés en Limousin (491 cas pour 100.000 habitants), Champagne-Ardennes (447), Nord-Pas-de-Calais (346), Auvergne (289) et Ile-de-France (267).Le réseau souligne que “l’augmentation des cas de

gastroentérites“ est confirmée“ par un autre modèle de détection, reposant sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health) : la semaine dernière, trois des quatre classes médicamenteuses surveillées avaient atteint leur seuil d’alerte.La

grippe saisonnière reste pour sa part encore relativement peu active, avec un nombre de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale la semaine dernière estimé à 69 cas pour 100.000 personnes, soit légèrement moins que la semaine précédente (77).Mais le réseau Sentinelles prévoit que l’activité grippale devrait continuer d’augmenter dans les prochaines semaines en France métropolitaine, en se basant sur un modèle de prévision reposant à la fois sur les données historiques et sur les ventes de médicaments.La semaine dernière, les régions les plus touchées par la grippe étaient le Nord-Pas-de-Calais (130 cas pour 100.000 habitants) et le Poitou-Charente (110), soit en dessous du seuil épidémique (172 cas pour 100.000 habitants).Plusieurs syndicats de médecins libéraux ont appelé à la fermeture des cabinets pendant les vacances de Noël du 23 au 31 décembre. Les spécialistes se sont joints mercredi au mouvement entamé la veille par les généralistes.AFP/RelaxnewsSource : Bulletin sentinelles 2014s51Photo : ©auremar /shutterstock.comClick Here: Putters

Le régime alcalin, la méthode minceur des stars

Ce plat est “alcalinisant!“ Ce doit être la phrase tendance prononcée par toutes les stars adeptes du régime alcalin, une méthode minceur qui consiste à s’intéresser à l’équilibre acido-basique de l’organisme. Les éditions Larousse publient le 3 mars un livre de recettes pour tenter l’expérience.

Le régime alcalin consiste à maintenir le corps à un pH idéal, lui permettant de fonctionner au mieux. Ce niveau se situe à 7,4, quand l'échelle se mesure de 1 à 14.

Régime alcalin : maintenir le corps à un PH idéalKirsten Dunst, Victoria Beckham, Jennifer Aniston ou encore Gwyneth Paltrow s’extasient devant des plats “alcalisants“. Le mot est ultra-tendance et le concept vient tout droit des Etats-Unis. Pour

perdre du poids, ou entretenir une ligne de guêpe, les adeptes s’intéressent à un paramètre sur lequel les habitués des régimes ne s’étaient pas encore penchés : le pH de l’organisme. La méthode minceur consiste à maintenir le corps à un

pH idéal, lui permettant de fonctionner au mieux. Ce niveau se situe à 7,4, quand l’échelle se mesure de 1 à 14.Pour atteindre cet objectif, les patients doivent éviter de contaminer leur corps avec trop d’acidité. Ils ne doivent pas par exemple consommer en excès viandes, poissons, sucres, produits industriels… L’idée est de piocher dans ses réserves de minéraux. Les résultats promis du régime alcalin ne s’observeraient pas seulement sur la balance. Ceux qui l’ont testé auraient aidé leur organisme à mieux digérer,  à éviter le déséquilibre de la flore intestinale et à mieux éliminer les toxines. Au menu…Il est possible d’éviter que le corps soit trop acide en évitant de manger trop vite, en mâchant les aliments suffisamment ou en consommant de trop grandes quantités de nourriture. Le stress, mais aussi les problèmes de sommeil, la pollution ou une activité sportive trop intense peuvent aussi empêcher l’organisme d’atteindre un équilibre acido-basique idéal. Les aliments acides, tel que le citron n’ont rien à avoir donc. Au contraire.Ceux et celles qui souhaitent tester le régime alcalin devront composer un menu à base de légumes, de fruits bien mûrs et sans conservateur, de céréales telles que le quinoa, le sarrasin, l’orge, d’herbes fraîches, de graines et d’épices, d’huile d’olive, de lin ou de pépins de citrouille. Pour élaborer un plan d’attaque nutritionnel, les éditions Larousse publient le 3 mars le livre de Natasha Corret et Vicki Edgson, intitulé “Le régime alcalin – les clés et les meilleures recettes de l’équilibre acido-basique“. Une centaine de recettes sont compilées et permettent de tenter l’expérience. (“Le régime alcalin – les clés et les meilleures recettes de l’équilibre acido-basique“, Natasha Corret et Vicki Edgson, éditions Larousse, 14,90 euros).AFP/Relaxnews

87% des seniors vivent bien leur âge

Le 1er baromètre européen du Bien Vieillir révèle que les personnes âgées de 65 ans et plus sont épanouies, connectées et considèrent qu’elles ont encore leur place dans la société. Une vision optimiste de la vie après 65 ans que ne partagent pas les plus jeunes…

Environ 84% des personnes âgées de 65 et plus déclarent que les sources de plaisir sont nombreuses et variées quand on est senior.

Une population plutôt en forme
Concernant la santé, seulement 34% des

seniors interrogés sont préoccupés par leur

poids, 35% par des

troubles de la vue et/ou de l’

audition (Ils sont 50% après 80 ans). Les pertes de mémoire fréquentes concernent 16% des personnes interrogées et les problèmes de motricité (difficulté à attraper des objets) concernent 15% des seniors.
Qui a dit que le

sexe n’était pas une affaire de seniors ? Pas eux en tout cas, puisqu’ils seraient 47% à déclarer aimer ou vouloir faire plus souvent  l’amour ou des relations sexuelles.Des seniors très connectés
Alors que 43% des 15-64 ans pensent que vieillir n’est pas une partie de plaisir, 84% des personnes âgées et 76% des plus de 80 ans déclarent que les sources de plaisir sont nombreuses et variées quand on est senior.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les seniors aiment surfer sur Internet (81%), envoyer des mails régulièrement (67%), s’informer sur la Toile (62%) et 38% des seniors interrogés vont même sur les

réseaux sociaux au minimum une fois par mois.Des seniors très entourés
La solitude des seniors n’est malheureusement pas un choix : seulement 9% d’entre eux aiment rester seuls. Les autres aiment partager des moments de plaisir avec leur conjoint (39%) et leurs enfants (23%).
Là où les jeunes et moins jeunes ne tombent pas d’accord, c’est sur à la place accordée par les seniors à leurs amis, leurs petits enfants et leur conjoints. Pour partager des bons moments, les seniors interrogés préfèrent la compagnie de leurs meilleurs amis (15%) à celles de leurs petits enfants (14%). Rien à voir avec le point de vue des plus jeunes qui sont 40% à penser que les seniors placent leurs petits enfants et leurs conjoints avant les amis.Les problèmes de santé et la pauvreté nuisent à l’optimisme des seniorsNaturellement, l’état d’esprit des seniors change quand des problèmes de santé surviennent. 59% de ceux qui souffrent de problèmes de santé ou qui éprouvent des difficultés importantes estiment que leur vie n’est plus une source de plaisir (contre 16% pour l’ensemble), tout comme 22% des seniors les plus pauvres.Seniors : quelle place dans la société ?Si 83% des personnes âgées interrogées pensent qu’elles occupent une place à part entière dans la société, elles regrettent (58%) que les pouvoirs publics ne prennent pas suffisamment en compte la prise en charge de la dépendance dans leurs pays. Une vision partagée par les plus jeunes aussi (55%).La perte d’autonomie des seniors créé la dépendance
L’enquête révèle que 49% des seniors comptent sur leurs enfants et 45% sur leur conjoint pour les aider financièrement et physiquement en cas de perte d’autonomie.
Maison de retraite ou aide à domicile ? 67% des seniors interrogés souhaitent rester chez eux dans un environnement adapté plutôt que d’être en maison de retraite. Cette dernière option est en revanche privilégiée par les 80 ans et plus (56%).Ainsi, les seniors manquent d’anticipation en ce qui concerne la perte d’autonomie et le maintien à domicile.Annabelle IglesiasSource : Baromètre européen du Bien Vieillir Korian, réalisé par l’Institut du Bien Vieillir Korian et Ipsos au cours du second semestre 2014 via internet auprès d’un échantillon représentatif de la population âgée de 65 ans et plus dans 4 pays européens : la France, la Belgique, l’Italie et l’Allemagne (plus de 4000 seniors interrogés). Un échantillon “miroir“ de plus de 4000 personnes, représentatif de la population âgée de 15 à 64 ans, a également été interrogé dans les mêmes pays.Click Here: cheap INTERNATIONAL jersey

Présidentielle au Cameroun : l’opposant Maurice Kamto revendique la victoire

Le candidat à la présidentielle camerounaise Maurice Kamto a revendiqué la victoire, lundi 8 octobre, face à Paul Biya, président sortant et grand favori du scrutin. “J’ai reçu pour mission de tirer le penalty, je l’ai tiré et je l’ai marqué” a-t-il déclaré à la presse à Yaoundé. “J’ai reçu du peuple un mandat clair que j’entends défendre jusqu’au bout”, a poursuivi cet ancien ministre de la Justice, âgé de 64 ans, sans donner de chiffre ni indiquer sur quoi il basait ses affirmations.Cette revendication a provoqué l’ire du pouvoir en place. Maurice Kamto est “manifestement hors-la-loi, a déclaré le ministre de la Communication. “Quiconque se met en travers [des institutions nationales] rencontrera naturellement la rigueur de la loi, parce que la force appartient à la loi.”“J’invite le président de la République à organiser les conditions d’une transition pacifique afin de mettre le Cameroun a l’abri d’une crise électorale dont notre pays n’a nullement besoin”, a également déclaré Maurice Kamto.Click Here: cheap sydney roosters jersey

Turquie : mystérieuse disparition d’un journaliste saoudien

Mais où est donc passé Jamal Khashoggi ? Ce journaliste saoudien est porté disparu depuis le 2 octobre 2018 à 13 heures 14, alors qu’il rentre au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, en Turquie. Le motif : il vient chercher un document pour son mariage. La fiancée de Jamal Khashoggi l’attend d’ailleurs à l’extérieur du bâtiment, mais elle ne le reverra pas. À partir de cet instant, il disparaît en effet totalement.Un journaliste critique du prince héritierCe journaliste vit habituellement aux États-Unis où il travaille pour le Washington Post. Régulièrement, il y critique la politique menée par Mohammed Ben Salman, le prince héritier d’Arabie saoudite. Que s’est-il passé derrière les fenêtres du consulat ? Jamal Khashoggi a-t-il été éliminé par son pays, parce qu’il dérangeait ? C’est ce qu’affirment des manifestants. Un ami du journaliste avance même un incroyable et macabre scénario, selon lequel le journaliste aurait été démembré à l’intérieur du consulat.Le JT

  • JT de 20h du mardi 9 octobre 2018 L’intégrale

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En Corée du Sud, une application sur smartphone pour lutter contre le suicide des jeunes

La Corée du Sud propose des applications pour smartphones destinées à réduire le nombre élevé de suicides chez les jeunes, en alertant les parents dont les enfants seraient considérés en danger, a annoncé vendredi le ministère de l’Education.

Un peu plus de la moitié des adolescents sud-coréens âgés de 14 à 19 ans confie avoir pensé au suicide, selon une étude réalisée l'an dernier par la Fondation coréenne pour la promotion de la santé, un organisme public.

La Corée du Sud affiche l’un des plus fort taux de suicideCes applications sont programmées pour détecter des mots “liés au suicide“ sur les réseaux sociaux, dans les messageries ou les recherches internet effectuées par les enfants sur leur téléphone.En cas d’alerte, les parents recevront un message sur leur propre téléphone portable, mode de communication privilégié dans ce pays hyperconnecté, patrie de Samsung.“Le suicide des jeunes est devenu un problème social dont la prévention nécessite des mesures systématiques et ambitieuses“, a plaidé le ministère dans un communiqué.Elles ne sont pas obligatoires mais les autorités espèrent que ces applications rencontreront un franc succès.“Nous espérons que les applications seront vite adoptées par les écoles, les élèves et les parents dans tout le pays“, a indiqué à l’AFP un responsable du ministère de l’Education.La Corée du Sud affiche le taux de suicide le plus élevé de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) avec 29,1 cas pour 100.000 habitants en 2012, soit 40 suicides par jour.Le suicide des jeunes est particulièrement prégnant chez les étudiants à l’approche du difficile concours d’entrée aux universités dont leur avenir dépend.Selon les chiffres du ministère de l’Education, 878 écoliers se sont suicidés entre 2009 et 2014, dont 118 en 2014.Les raisons les plus souvent citées à l’origine des suicides de jeunes scolarisés sont des différends familiaux, la dépression et la pression scolaire.Un peu plus de la moitié des adolescents sud-coréens âgés de 14 à 19 ans confie avoir pensé au suicide, selon une étude réalisée l’an dernier par la Fondation coréenne pour la promotion de la santé, un organisme public.Soigner les causes, pas les symptômesLes enseignants ont réservé un accueil prudent à l’initiative de leur ministère, estimant qu’il fallait agir sur les causes du mal plutôt que sur ses symptômes.Le Syndicat coréen des enseignants et des professionnels de l’éducation a en outre soulevé la question du respect des données privées. “Toute surveillance directe des réseaux sociaux et des services de messagerie est susceptible de susciter des inquiétudes“, a-t-il indiqué dans un communiqué.Le syndicat a par ailleurs suggéré d’engager une révision du concours d’entrée à l’université, source de grand stress pour les lycéens qui font rarement appel aux professionnels ou à leurs parents quand ils sont au désespoir.Quelque 650.000 lycéens passent chaque année ce concours couperet dans ce “dragon“ asiatique où la concurrence individuelle est exacerbée.La préparation commence dès l’école primaire et, avec elle, l’extrême pression à laquelle les écoliers sont soumis, chez eux et dans la classe.Un enjeu tel oblige le pays entier. Aussi, traditionnellement, le gouvernement suspend le trafic aérien pendant les quarante minutes que dure la principale épreuve orale de langue, l’armée reporte ses exercices aériens et la circulation automobile est interdite dans un rayon de 200 mètres autour des centres d’examen.Les administrations publiques et les grandes entreprises, ainsi que la Bourse, ont ouvert une heure plus tard de façon à réduire les embouteillages et permettre aux jeunes d’arriver à l’heure.En cas de problème, ces derniers peuvent composer le numéro des urgences, le 112, et demander une escorte de motards de la police sur le pied de guerre à proximité des centres d’examen.AFP/RelaxnewsPhoto : ©leungchopan/shutterstock.comClick Here: cheap nrl jerseys

Achat de médicaments sur internet : le rôle-clé du pharmacien

Une enquête Ipsos sur la vente en ligne de médicaments sans ordonnance pour Doctipharma montre que les Français sont prêts à acheter leurs médicaments sur internet mais seulement s’ils ont la garantie que leur pharmacien est là à chaque étape de la dispensation. Ils restent globalement assez peu informés sur ces nouvelles pratiques.

60% des Français sont prêts à acheter leurs médicaments sans ordonnance en ligne dès lors qu'ils sont sur le site d'une pharmacie.

Aujourd’hui, les seuls médicaments autorisés à la vente sur internet en France sont ceux dispensés sans ordonnance. Au moment où le gouvernement doit se repencher sur les conditions d’exercice de la vente en ligne de médicaments (suite notamment à l’annulation par le Conseil d’Etat de l’arrêté ministériel relatif “aux bonnes pratiques de dispensation des médicaments par voie électronique“), l’enquête Ipsos pour Doctipharma apporte un nouvel éclairage.Achats de médicaments sur Internet : un usage limité qui tend à se développerAujourd’hui, une faible proportion (6 % des Français) a déjà acheté un médicament sans ordonnance par internet. Mais cette pratique tendrait à se développer : plus d’un tiers des Français (34%) prévoit de le faire dans les 5 prochaines années. Les achats sur Internet sont principalement motivés par l’envie de se constituer son armoire à pharmacie (pour 7 acheteurs sur 10). Conscients qu’il s’agit d’une évolution, 46 % des interviewés sont persuadés que cette possibilité d’achat via le site d’une pharmacie va se généraliser. Conscient que le médicament n’est pas un produit comme les autres, ils sont 60% à se dire prêts à acheter leurs médicaments sans ordonnance en ligne dès lors qu’ils sont sur le site d’une pharmacie (et même 70 % si ce site est celui de “leur pharmacie“).Pour passer de l’officine à Internet, les Français attendent également des avantages concrets pour les convaincre de passer par internet : le paiement sécurisé (75%), des prix moins élevés (70%), le retrait de la commande chez son pharmacien (71%), la gratuité (71%) et la rapidité (66%) de la livraison.Les Français sont mal informés sur la vente de médicaments en ligneDe nombreux Français sont encore mal informés et pensent que la vente de médicaments sur internet n’est pas du tout contrôlée en France (64%) et que la plupart des médicaments sont des contrefaçons (69%). Ils pensent massivement aussi que l’on a plus de risque d’acheter des médicaments incompatibles entre eux que dans une pharmacie (87%). Un Français sur 5 pense aujourd’hui que la vente de médicaments sur ordonnance est autorisée sur internet en France.Le rôle prépondérant du pharmacienLe rôle du pharmacien reste central pour les rassurer (92%, devant le ministère de la santé (78%), l’Ordre des Pharmaciens (77%), les laboratoires pharmaceutiques (44%) ou encore les sites d’information médicale (39%).) et les accompagner sur l’achat de médicaments en ligne (afin notamment de les assurer que le site sur lequel ils achètent est bien celui d’une pharmacie (80%), qu’ils puissent toujours être informés sur l’incompatibilité avec d’autres médicaments (64%), leurs effets secondaires (62%) ou encore la posologie (61%)…).Vers de nouvelles missions pour le pharmacien 2.0 ?Le pharmacien 2.0 a donc un rôle de conseil prépondérant et peut-être d’autres missions à envisager. Ainsi, 55 % des patients se disent intéressés par la transmission via mobile de leur ordonnance à leur pharmacien qui les alerterait que leur commande est prête (55 %). 46% des interviewés souhaiteraient pouvoir disposer de fiches pratiques de conseil sur des problèmes de santé qui peuvent les concerner. Près d’un patient sur cinq voudrait pouvoir prendre des rendez-vous pour des entretiens pharmaceutiques (20%). Source : Cette enquête a été réalisée du 11 au 20 février 2015 auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 Français âgés de 18 ans et plus (méthode des quotas INSEE : sexe, âge, profession de la personne de référence du ménage, région et catégorie d’agglomération).