Nuru, une technique de massage érotique venue du Japon

Cette nouveauté débarque tout droit du Japon, pays où le massage Nuru est une pratique courante. Il consiste à utiliser un gel spécifique à base d’algues nori que les mangeurs de maki connaissent bien, qui permet de décupler les sensations et le plaisir. Les Français peuvent désormais l’acquérir et tenter l’expérience.

Le massage Nuru est désormais réalisable en France (MagicGel Nuru, à partir de 11,90 euros)

Certains pensent n’avoir qu’une seule solution pour tester un massage érotique : ils se rendent dans un salon spécialisé. Désormais, les couples peuvent partager ce moment sensuel à la maison et ainsi pimenter leur relation grâce à une spécialité japonaise : le nuru. Dans la langue du pays au soleil levant, le terme signifie “glissant“. Contrairement aux gels classiques, le nuru n’est pas collant et offre aux amants un corps-à-corps très sensuel. Il s’utilise seul ou mélangé avec de l’eau.  Il est d’ailleurs conseillé  d’avoir recours à de l’eau chaude pour profiter de davantage de fluidité et de sensations. Aujourd’hui, quelques produits sont désormais disponibles en France, tels que NuruXmassage, MagicGelNuru, WetNuru, en vente via Internet. Relaxnews

Tuto beauté : les looks des défilés croisières 2015

Découvrez comment recréer le maquillage des défilés croisière 2015 des grandes griffes parisiennes.

Défilé croisière Chanel ©AFP PHOTO /MARWAN NAAMANI

Christian Dior

Peter Philips, directeur artistique du maquillage chez Christian Dior, a imaginé un look “audacieux et graphique“ pour le défilé de Brooklyn. L’élément clé : le double trait d’eyeliner, assorti aux créations sombres de Raf Simons, sans manquer de légèreté.Chanel

Karl Lagerfeld avait choisi Dubaï pour présenter sa collection : le khôl était donc à l’honneur. Dans cette vidéo, la maquilleuse Sephora Sara Biria utilise de l’eyeliner pour obtenir un effet similaire. Ajouter une teinte dorée au coin interne de l’oeil pour obtenir le look Chanel.Louis Vuitton

Pat McGrath chez Louis Vuitton a joué sur le contraste entre le faste du palais princier de Monaco, où avait lieu la présentation, et la simplicité du maquillage : le nude régnait en maître. La spécialiste avait tout de même choisi un fard à paupières métallique pour plus de glamour. La blogueuse Mikaela South décrit comment utiliser deux fards métallisés dans ce petit clip.Source : Relaxnews

Des thérapies ciblées de 2e génération s'attaquent aux cancers du poumon résistants

Depuis quelques années, une faible proportion de cancers du poumon peut bénéficier de traitements ciblés. Mais après un certain temps, les tumeurs deviennent résistantes à ces molécules. Pour ces patients, de nouveaux médicaments pourraient être bientôt disponibles, si les résultats préliminaires présentés lors du 50econgrès de la société américaine d’oncologie clinique(ASCO2014) sont confirmés.

Pour certains cancers du poumon résistants aux traitements actuels anti-EGFR, des composés de deuxième génération apparaissent.

Cancer du poumon, un cancer redoutableAvec 37 000 nouveaux cas en 2010, le

cancer du poumon se situe, par sa fréquence, au 2e rang chez l’homme et au 3e rang chez la femme. Mais c’est le 1er en termes de décès par cancer, avec 28 700 décès en 20101. Dans la pratique, on distingue deux groupes principaux de cancers du poumon, de pronostic et de prise en charge différents : les carcinomes bronchiques à petites cellules et les carcinomes bronchopulmonaires non à petites cellules (80 % des cas).Plus de 75 % des cancers diagnostiqués le sont à un stade localement avancé ou métastatique, ce qui handicape grandement leur traitement. Souvent inopérable, la tumeur est traitée par

chimiothérapie (avec des protocoles prédéterminés selon le type de cancer et le stade de la maladie) et depuis peu par des thérapies ciblées, grâce à une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires à l’origine du cancer.Traitement ciblé du cancer du poumon : l’importance de la mutation EGFRDans le cas des cancers du poumon non à petites cellules (CBNPC), certaines tumeurs du poumon sont porteuses d’une mutation du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR). Cette caractéristique est présente dans environ 10 % des cas dans la population européenne et nord-américaine, et dans 30 à 50 % des cas de la population asiatique. Aujourd’hui, deux traitements spécifiques (des inhibiteurs réversibles de l’activité tyrosine kinase de l’EGFR – TKI-EGFR) sont disponibles : le gefitinib (

Iressa®) et l’erlotinib (

Tarceva®). En France, l’Institut national du Cancer a organisé un réseau de plateformes de génétique moléculaire, qui permet à tous les patients, quel que soit l’établissement dans lequel il est soigné (public ou privé), de bénéficier de la recherche de mutations activatrices de l’EGFR2 et donc du traitement adapté en cas de besoin.

Beaucoup de ces patients répondent initialement bien à ces médicaments, mais tous finissent par devenir résistants, généralement dans les 10 à 14 mois. Chez une grande partie d’entre eux, cette résistance est liée au développement d’une autre mutation, la mutation T790M. Dans ce cas, la seule option (à l’efficacité réduite) est d’associer les deux inhibiteurs de l’EGFR (

cetuximab et

afatinib), une combinaison particulièrement toxique. Mais plusieurs études présentées lors du 50e congrès de la société américaine d’oncologie clinique (ASCO 2014) rapportent des résultats encourageants avec de nouvelles molécules.Une nouvelle option pour les échappements aux traitements ciblés actuelsDans cette étude, 199 patients atteints de CBNPC avancé avec des mutations de l’EGFR, dont la maladie a progressé après une ou plusieurs des traitements ciblés, ont reçu différentes doses de AZD9291, un nouvel inhibiteur de l’EGFR développé par les laboratoires Astrazeneca. Selon les résultats très préliminaires de cette étude de phase I, 51 % des patients voient leur tumeur rétrécir. Parmi les 89 patients présentant une mutation T790M (la forme la plus commune de mutation permettant une résistance aux traitements ciblés), 64 % ont répondu à l’AZD9291, contre 23 % des patients ne présentant pas de mutation T790M. Les réponses au traitement ont été observées à tous les niveaux de dose et dans tous les sous-groupes de patients, y compris ceux avec métastases cérébrales. Des réponses toujours en cours chez presque tous les patients à la fin de l’étude, avec la réponse la plus longue de huit mois.AZD9291 semble ainsi causer moins d’effets toxiques au niveau de la peau que les autres traitements ciblés4. Alors que les médicaments existants bloquent à la fois l’EGFR mutant au niveau de la tumeur et l’EGFR normale au niveau de la peau (et d’autres organes), ce qui conduit souvent à des éruptions cutanées très importantes ou de l’acné, AZD9291 semble agir principalement sur l’EGFR mutant au niveau une tumeur.Une avancée pour des patients jusqu’alors en échec de traitement“Il n’existe actuellement aucun traitement pour les patients atteints de cancer du poumon qui voient leur maladie progresser après un traitement initial avec un inhibiteur de la kinase EGFR“ a déclaré le principal auteur de l’étude le Pr. Pasi Janne du Dana-Farber Cancer Institute et Harvard Medical School à Boston. “Bien qu’il s’agisse de résultats très préliminaires, notre étude suggère que AZD9291 peut offrir un nouvelle possibilité de traitement efficace pour ces patients, sans les effets secondaires cutanés typiques des inhibiteurs de l’EGFR actuels“.Une étude incluant un suivi plus long sera néanmoins nécessaire pour savoir si ce traitement a un effet sur la survie globale – seule donnée réellement pertinente. Selon les auteurs, une étude de phase II avec l’AZD9291 se concentre sur les patients atteints de la mutation T790M chez qui le traitement apparaît plus efficace.L’agence américaine de la santé (FDA) a octroyé à ce médicament le statut de “

breakthrough therapy“ pour les patients en phase métastatique d’un cancer du poumon EGFR+ avec une mutation T790M, qui a progressé pendant un des traitements ciblés commercialisé. Ce statut est réservé aux médicaments capables de répondre à des besoins médicaux non satisfaits, et qui ont démontré significativement une meilleure efficacité que le traitement standard. Une classification qui devrait permettre une autorisation de mise sur le marché plus rapide.Notons que dans ce domaine des résistances aux médicaments ciblant l’EGFR, la recherche progresse rapidement. Deux autres études5,6 rapportent sur des effectifs plus réduits (moins d’une centaine de patients) des résultats également très intéressants avec des molécules baptisées HM61713 et CO-1686, là-encore chez ceux présentant une mutation T790M. David Bême 1 – Cancer du poumon – Institut national du Cancer (

accessible en ligne)2 – Mutations de l’EGFR dans le cancer du poumon : mise en évidence d’une cible moléculaire permettant un accès spécifique aux thérapies ciblées – InCA – février 2010 (

accessible en ligne)3 – A phase I clinical trial evaluating AZD9291, a third-generation EGFR tyrosine kinase inhibitor, for patients with non-small cell lung cancer that no longer responds to standard EGFR inhibitors. (Abstract #8009^) – ASCO 2014 – Cette recherche a été financée par Astra Zeneca. (

accessible en ligne)4 – Ces effets secondaires restent cependant importants par leur fréquence (diarrhée (30 %), rash (24 %) et nausées (17 %)), même s’ils semblent moins importants en intensité qu’avec les autres traitements ciblant l’EGFR. Des effets secondaires de grade ¾ sont survenus chez 16% des patients. Six patients (3 %) ont eu des réductions de doses et 7 (4 %) ont arrêté le traitement à cause des effets secondaires.5 – Clinical activity and safety of HM61713, an EGFR-mutant selective inhibitor, in advanced non-small cell lung cancer (NSCLC) patients (pts) with EGFR mutations who had received EGFR tyrosine kinase inhibitors (TKIs) – (Abstract #8011) – ASCO 2014 – (

accessible en ligne)6 – First-in-human evaluation of CO-1686, an irreversible, highly selective tyrosine kinase inhibitor of mutations of EGFR (activating and T790M).- (Abstract #8010) – ASCO 2014 – (

accessible en ligne)Click Here: camiseta rosario central

Baseline Study : Google veut révolutionner la santé

Google pourrait avoir lancé un de ces projets scientifiques les plus ambitieux. Appelé “Baseline Study“, le projet prévoit de recueillir l’information génétique et moléculaire de 175volontaires (avant de l’étendre à des milliers) pour définir ce qu’est un corps en bonne santé. Les enjeux en santé sont immenses… tout comme les moyens de la firme californienne.

Google peut-il révolutionner la prise en charge de notre santé ?

Aujourd’hui à la tête du projet “Baseline Study“, Andrew Conrad, un spécialiste de biologie moléculaire qui a rejoint en mars 2013 Google X (le département de recherche de Google), a constitué une équipe de 70 à 100 spécialistes en physiologie, biologie, optique, imagerie, biologie moléculaire…Percer les secrets des corps en bonne santéLes 175 premiers volontaires seront ainsi soumis à différents tests : génome complet, mais aussi histoires génétiques de leurs parents, réaction de leur métabolisme à certains aliments ou médicaments, réaction cardiaques au stress, etc. Une collecte de données qui pourrait bénéficier du développement de dispositifs portables pour mesure le rythme cardiaque, le niveau d’oxygénation ou d’autres paramètres (Google est également à l’origine de la création de

 lentilles permettant de détecter la glycémie au niveau des larmes, un dispositif que la firme va

développer en association avec Novartis) et de l’effondrement du prix du séquençage du génome lié aux progrès technologiques…

Les études de récolte de données sur une large échelle ne sont pas une nouveauté (en particulier le séquençage d’ADN pour des centenaires ou des génies2,3), ce qui l’est en revanche dans le projet de Google c’est la quantité de données amassées et la puissance de calculs inégalée de la firme. Le but est de pouvoir définir ce qu’est un corps en bonne santé et par là-même identifier des “biomarqueurs“ jusqu’alors ignorés permettant d’évaluer un risque pour la santé ou une cible thérapeutique.Par exemple, cette étude pourrait révéler que certaines caractéristiques d’un individu lui permettent de décomposer les aliments gras plus efficacement qu’une autre, qui se verrait alors plus à risque de maladie cardiovasculaire. L’espoir est de pouvoir développer une médecine de prévention personnalisée, mais également d’identifier des pistes pour développer de nouvelles cibles thérapeutiques et donc de nouveaux traitements. “Cela n’a rien révolutionnaire, confiait le Dr Conrad au Wall Street Journal. Nous nous posons juste la question différemment : pour être proactif, qu’avons-nous besoin de savoir ? Vous devez savoir à quoi ressemble un élément réparé, qui fonctionne bien“.Qui, mieux que Google, peut régner sur le big data en santé ?Mieux identifier les interactions entre ADN, enzymes, protéines, facteurs épigénétiques… dans un organisme aussi complexe que le corps humain est un défi de taille. Pour le relever, mieux vaut disposer d’un budget important (pour extraire toutes les données à suivre pour chaque individu), d’une bonne capacité de traitement de ces données (extraire de la masse de données stockées, celles qui peuvent avoir une pertinence médicale) et d’une armée de spécialistes capables d’orienter ce tri et de l’interpréter. Et aujourd’hui, Google dispose de tous ces éléments !Selon l’article du Wall Street Journal, ces données seront anonymisées et ce projet sera supervisé par des comités institutionnels, afin de contrôler la manière dont ces informations seront utilisées. On comprend qu’autant d’informations pourraient largement intéresser plus que leur simple propriétaire. Ces données pourraient valoir de l’or pour les assureurs soucieux de réduire leurs risques. Elles pourraient changer l’issue d’un entretien d’embauche ou un contrat de mariage… On comprend ainsi pourquoi Google avance aussi prudemment, l’omniprésence (voire l’omniscience) de la firme californienne pouvant finir par inquiéter.Google s’intéresse de plus en plus à la santé. En septembre 2013, la firme avait annoncé la création de Calico destiné à s’attaquer aux défis “de l’âge et des maladies associées“. Cette division est dirigée par Arthur Levinson, l’ancien patron de Genentech, un des pionniers des biotechnologies. Google a par ailleurs investi presque 4 millions de dollars (3 millions d’euros) dans une entreprise spécialiste de l’analyse du code génétique, 23andMe, dont la cofondatrice Anne Wojcicki est mariée au cofondateur de Google Sergey Brin. Le marché mondial de la santé est évalué à 10,8 trillions (millions de millions) pour l’année 2017, selon des chercheurs du Freedonia Group. David Bême Source :1 – Wall Street Journal – 27 juillet 2014 (

accessible en ligne)2 – La Fondation X Prize a lancé le concours

Archon Genomics X Prize, qui offrira une récompense de 10 millions de dollars (7 millions d’euros) pour le décryptage du code ADN complet de 100 centenaires.3 – En Chine, le Beijing Genomics Institute veut séquencer l’ADN des surdoués avec un QI supérieur à 160. POur en savoir plus, lire l’article “

Comment la Chine fabrique ses futurs génies“ sur le NouvelObservateurPhoto : TRIPPLAAR/SIPAUSA/SIPAClick Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Les marques se teintent de rose pour lutter contre le cancer du sein

Comme tous les ans, les marques de cosmétiques sont nombreuses à se mobiliser pour Octobre rose, la campagne de lutte contre le cancer du sein, en reversant une partie de leurs bénéfices à des associations ou des organismes luttant contre la maladie.

Les marques de cosmétiques sont nombreuses à se mobiliser pour Octobre rose, la campagne de lutte contre le cancer du sein.

À partir du 15 septembre, celles qui le souhaitent pourront notamment s’offrir la collection Pinking About You d’Essie, composée de deux vernis et un top coat. Pour chaque flacon de vernis vendu, un euro sera reversé au magazine Rose, qui soutient les malades (Collection Pinking About You, Essie, à partir du 15 septembre chez Monoprix, 11,90€).

De son côté, la marque Estée Lauder relance le 1er octobre la Evelyn Lauder Dream Collection, dont 10% des recettes sont reversés à l’association Le cancer du sein Parlons-en ! La ligne se compose cette année d’une poudre compacte, d’une trousse à maquillage contenant un rouge à lèvres et deux vernis à ongles, une édition limitée de la bouteille du sérum Advanced Night Repair agrémentée d’un porte-clés ou encore un pin’s (Evelyn Lauder Dream Collection, de 15€ à 160€,

sur esteelauder.fr et sur les stands Estée Lauder des grands magasins).

En même temps, Clinique s’engage avec une trousse à maquillage contenant un rouge à lèvres en édition limitée, disponible dans les grands magasins, les parfumeries Marionnaud et

sur Clinique.fr. Une fois de plus, la marque reversera 10% des bénéfices récoltés sur cette trousse à l’association au célèbre ruban rose (Trousse Long Last Lipstick, Clinique, 22€).

En octobre, les inconditionnelles de la marque Darphin pourront aussi faire un geste grâce au Sérum Intral de la marque. Habillant son sérum rose d’un carton de la même couleur pour l’occasion, la marque reversera 10% des bénéfices de chaque bouteille à l’association Le cancer du sein, Parlons-en ! (Sérum Intral Darphin, 59€,

sur darphin.fr et dans les pharmacies participant à l’opération).

Source: RelaxnewsClick Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

Les hommes pardonnent davantage l'infidélité que les femmes

Près de la moitié des hommes (48%) pardonne si leur moitié a succombé au charme d’un autre, révèle une étude Ipsos pour le site de rencontres extraconjugales Geleeden.com, dévoilée jeudi 23 octobre. De leurs côtés, les femmes ne passent pas si vite l’éponge et ne sont que 40% à tourner la page d’une infidélité.

68% des Français qui ont “fauté“ avouent ne pas s'attendre à être pardonnés.

Reste à savoir ce qu’entendent les Français par “infidélité“. Une aventure virtuelle apparaît bien plus facile à pardonner chez les hommes (59%) comme chez les femmes (48%). Pour les autres définitions à donner, les deux genres ne s’accordent plus.Car, quand les hommes (46%) passent plus facilement l’éponge suite à une histoire d’amour platonique, les femmes, elles, préfèrent oublier une histoire hétérosexuelle d’un soir (39%). Même si leurs hommes ne sont pas allés plus loin que quelques mots doux, les Françaises ont davantage de mal à oublier une histoire d’amour platonique (31%).Par ailleurs, ces messieurs sont plus nombreux à pardonner un flirt homosexuel (44%) que ces dames (22%).

Bref, les Françaises se montrent plus rancunières que leurs homologues masculins. Pour autant, celles et ceux qui ont commis un faux pas cherchent-ils le pardon ? Pas nécessairement. 68% des Français qui ont “fauté“ avouent ne pas s’attendre à être pardonnés. Ce n’est pas qu’ils assument leur infidélité, mais plutôt qu’ils craignent la réaction de leur partenaire ou bien même la culpabilité.

AFP/RelaxnewsCette étude a été menée auprès de 819 Français âgés de 15 à 65 ans, interrogés en juin 2014. Il s’agit d’une étude européenne menée en Italie, en Espagne, en Allemagne et au Royaume-Uni. Photo : ©Artsiom Kireyau/shutterstock.comClick Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Pratique sportive et qualité de l'air vont de pair

D’après les résultats d’une récente étude réalisée par Withings, société spécialisée dans les objets connectés, la qualité de l’air aurait des conséquences directes sur la sédentarité.

Dans de nombreuses villes de Chine, la pollution dépasse le seuil critique 97% de l'année.

L’enquête s’est penchée sur le rapport entre l’activité physique de personnes utilisant des traqueurs connectés de type smartwatch, et l’indice de pollution. En étudiant pendant un an les données d’habitants de Paris, Pékin et Los Angeles, le bilan est clair. La toxicité de l’air pousse les sportifs à réduire leurs activités physiques et à se sédentariser.A Pékin par exemple, lorsque l’indice de qualité de l’air est meilleur, les sportifs ressortent de chez eux, et la durée de l’activité sportive est même plus longue. Elle augmente de 21% par rapport aux jours où le seuil de pollution est critique.A Paris et à San Francisco, ce sont plutôt les conséquences indirectes de la pollution qui freinent les habitants dans leur élan. En effet, les changements climatiques brusques, grand froid ou fortes chaleurs, entraînent une diminution du nombre de pas par jour de l’ordre de 600 en moyenne par individu.L’étude a été réalisée par Withings en analysant, sur une durée d’un an, les données numériques de 5000 utilisateurs de traqueur d’activité connecté, puis en croisant ces résultats avec les données quotidiennes de qualité de l’air et de température.AFP/Relaxnews

Why Italy should ❤︎ the ESM

Nicola Rossi is a professor of political economy at the University of Rome Tor Vergata and a board member of Istituto Bruno Leoni, a policy think tank. Alberto Mingardi is executive director of Istituto Bruno Leoni, a presidential fellow at Chapman University and an adjunct scholar at the Cato Institute.

The Italian government should drop its opposition to taking out loans from the European Union’s bailout fund.

Known as the European Stability Mechanism (ESM), the fund has the benefits of being available now, when it is needed to respond to the COVID-19 pandemic. Other instruments, such as eurobonds or an EU recovery fund, will not be available for some time, whatever agreement is reached among Europe’s grandees.

What Italy needs now is the capacity to respond to an emergency, not money that will come later to be splashed on whatever pet projects officials may have. Using funds meant for an emergency for anything other than an emergency is fiscal demagoguery — alas, fiscal demagoguery sells well in the Italian political market.

The creativity of Italian economists and politicians is running unbridled. A substantial enlargement of the “entrepreneurial state” seems to be in order, together with previously unimaginable infrastructure investments, from run-of-the mill construction projects to all matter of “green” efforts.

In Rome and in provincial capitals, more than 400 experts have been gathered into a plethora of “task forces” and tasked with fantasizing about how to spend the funds that, due to the pandemic, should pour into the country.

Wishes are potentially infinite, resources are not. In real life, economic constraints help people sort their wishes in order of priority, so resources can be used wisely. If Italy were having a rational calculation, the order of the day should be clear: Strengthen the country’s healthcare infrastructure to make life with the coronavirus more manageable.

The money that Italy borrows from the ESM may not be enough to support endless nationalization, but it would be of undoubted help in dealing with what Italy actually needs. Why then is the Italian political class resisting them so strongly?

The answer commonly given is that Italy’s problem with the ESM is that its money usually comes with strings attached. During the last decade’s financial crisis, countries that used the fund were required to implement structural reforms and put in place austerity programs. This time around, the most likely condition will be that money disbursed by the fund be spent on matters related to health care — hardly something to be opposed.

A look at the calendar offers another possible reason for Italy’s reluctance.

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The International Monetary Fund projects that Italy’s GDP will plunge by 9 percent this year. It also estimates that measures taken by the government to counter the epidemic will produce a budget deficit of 8 percent and that Italy’s debt-to-GDP ratio will rise from about 135 percent today to 155 percent by the end of the year.

That should be doable. With measures already announced — including bond buying by the European Central Bank, the European Commission’s SURE program and, if common sense prevails, the use of the ESM — Italy will have to sell less debt on the financial markets than it would have had to if the virus hadn’t arrived.

The question then is, what happens next? Compared with 2020, it is reasonable to expect the economy to rebound in 2021, but it is unlikely that Italy will fully recover, due to the over-regulation and rigidity of the its economy.

Meanwhile, the EU’s emergency measures, including a relaxation of the fiscal targets under the EU treaties, cannot be expected to last forever. The result: 2021 will be the year in which the law of gravity returns, at least when it comes to Italy’s finances.

This explains why Italy’s political class is so interested in things like the Recovery Plan or the long-standing idea of eurobonds, which cannot possibly come into being before 2021.

With a general election due in 2023, and very possibly occurring well before then, fiscal reality would be bad news for Italy’s politicians. What better than a spigot of newly arrived European funds that keeps public spending on the rise as the country heads to the polls.

Italy is in very serious trouble. When the coronavirus hit, the country had yet to fully recover from the 2008 financial crisis. This new shock will likely roll back efforts businesses have made over the last 10 years to get back into the black. It’s difficult to imagine that they will be able to quickly start investing.

We need to prepare for years of very slow growth at a time when the government’s ability to ramp up spending will be small if not non-existent.

The sad truth is that Italy needs exactly what it needed before: structural reforms. But such reforms are hard to imagine with a political class that remains in office by opening the public purse.

We are coming to a point in which the interests of the country and Italy’s political class are becoming seriously misaligned.

If Italy says “no” to the ESM, as a way to pursue irresponsible spending, the consequences will be dire. The country could easily find itself forced to turn to the ESM in a few years — not because of the coronavirus, but because it did not succeed to manage its books.

This time, however, any assistance will come with painful conditions: draconian austerity and an economic management plan dictated by the troika. And this time, there will be no alternative.

Keane: Ferdinand, Rooney ‘not for me’ in Man Utd dressing room

Roy Keane says that certain players, including Wayne Rooney and Rio Ferdinand, were “not for him” during his later years as Man Utd captain.

The former Republic of Ireland international won seven Premier League titles, four FA Cups and a Champions League during his successful time at Old Trafford under Sir Alex Ferguson.

When Jamie Carragher asked how Keane dealt being in his 30s and dealing with youngsters coming through like Rooney and Cristiano Ronaldo, the Man Utd legend replied on Sky Sports: “Your dressing room is always changing, most summers one or two new players would come in, the dynamics change, young players coming in.


GOSSIP: ‘Determined’ Man United to let trio go for £130m


“Obviously people like Wayne [Rooney] and Rio [Ferdinand], [Darren] Fletcher and [John] O’Shea and all these lads were in the dressing room.

“I think the dynamics were changing, which I always used to roll with, I didn’t mind I enjoyed it as it would give you a new type of energy especially if they were good players, you go ‘listen, they’ll help us win trophies’.

“But towards the end I remember thinking with some of these lads: ‘nah I’m not really getting some of these. I don’t get their banter, I don’t get their humour.’

“I probably very rarely had a conversation with any of them. I was constantly thinking of the bigger picture, where they going to be good players for Man United and that was the most important thing.

“So even when I left the club there wasn’t a lot of players I actually missed one bit, I just thought ‘no they weren’t for me’ the game was changing. I looked around the dressing room sometimes after training and the amount of players on their phones and all that type of thing.

“I’m a bit old school and a bit grumpy or whatever I don’t know and I didn’t get it. Wayne and Rio, I didn’t get their banter, I didn’t get what they stood for sometimes. You know, that was just a personal thing but the game is changing obviously and I’ve changed with it.

“Towards the end at United with the type of players that were coming through, I didn’t always get them. I just thought personality-wise they are not for me. But they were all obviously very, very good players and I was a professional and I was delighted to play with them.

“But in terms of having banter with them and having a cup of tea and a coffee or anything like that with them, nah forget it.”

 

We could not keep away from the camera for long so we made a Football365 Isolation Show. Watch it, subscribe and share until we get back in the studio/pub and produce something a little slicker…

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