Month: March 2020

C’est au Prix du Quai des Orfèvres, reçu en 1978 que Pierre Magnan doit sa reconnaissance –tardive- du public. Le créateur du Commissaire Laviolette, s’est éteint samedi, dans l’Isère.

«La Provence était présente dans tous ses livres» indique Marie-Laure Gourmet, son éditrice, qui se souvient d’un «conteur formidable, extrêmement généreux et très critique avec son travail». C’est à elle qu’est revenue la lourde charge d’annoncer ce matin la mort de Pierre Magnan: «il est décédé samedi à 15h00 à Voiron, dans l’Isère, où il résidait avec son épouse depuis quelques années». Il avait 89 ans.

Né à Manosque, en 1922, il est d’abord typographe, puis il travaille dans une entreprise de transports frigorifiques. Mais il publie son premier livre en 1946, L’Aube insolite. Il continue d’écrire et travaille à des romans qui ne seront jamais publiés. En 1976, il est licencié économique et se consacre pleinement à sa passion.

Ce n’est qu’en 1978 qu’il obtient la reconnaissance de son talent. Il reçoit le Prix du Quai des Orfèvres pour Le Sang des Atrides, puis le prix RTL-Grand public pour La Maison assassinée qui sera porté à l’écran avec entre autres, Patrick Bruel.

Les téléfilms tirés de ses livres, mettant en scène le commissaire Laviolette participent de cette popularité tardive, avec Victor Lanoux le rôle de son personnage principal.

L’histoire d’amour-haine entre Rihanna et Chris Brown n’en finit plus de connaître des rebondissements. Le dernier en date a vu la chanteuse se désabonner du compte Twitter de son ex. Elle n’aurait pas apprécié certains de ses tweets et les paroles de son nouveau single.

En 2009, le couple R’n’B et glamour se séparait avec pertes et fracas, entre bataille médiatique et affaire judiciaire. Pourtant, au fil des années, Rihanna n’a cessé d’attirer l’attention de Chris Brown, comme si elle ne supportait pas l’éloignement de son bad boy. Un comportement qui lui a valu les critiques de ses fans: en effet, comment pouvait-elle pardonner à celui qui l’avait battue?

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C’est en musique que le duo infernal s’est retrouvé pour chanter leur «Je t’aime moi non plus». Le titre Birthday Cake est ainsi assez explicite sur la nature de leurs sentiments. Mais malgré cette collaboration au nom de l’amitié ou encore tous les messages et photos que lui envoyait Rihanna via Twitter, Chris est resté fidèle à sa petite amie du moment, Tran Karrueche.

Rihanna a reprises ses (mauvaises) habitudes qui l’ont amenée au burn out et à l’hôpital il y a quelques jours. Dans la foulée, elle se désabonnait du compte Twitter de son ex. Selon le site people TMZ, la star se serait sentie visée par les paroles d’un nouveau single mis en ligne. Difficile de ne pas la comprendre: « Ne bai*** pas avec mes vieilles p****, c’est comme une vieille fourrure, toute l’industrie du rap est passée dessus. La traiter comme une citrouille… juste pour la frapper.» Glurps.

Chris Brown a immédiatement posté un message pour se justifier : «Je n’ai donné aucun nom alors si tu t’es sentie offensée, cela veut dire que quelque part, tu te sens coupable.» Ah, l’amour 2.0…

L’annonce des membres du jury du Festival de Cannes crée toujours l’émotion. Et cette année, parmi les acteurs, actrices ou encore réalisateurs figure une personnalité atypique, qui a pourtant toujours travaillé en étroite relation avec le cinéma. Hier, Jean Paul Gaultier a pris ses quartiers d’été à Cannes.

Jean Paul Gaultier –qui vient de fêter ses soixante ans- officie depuis quarante années au sein de la planète mode, y insufflant avec légèreté une touche d’irrévérence chic qui fait sa signature. Mais son œuvre s’est toujours nourrie d’autres expressions artistiques, à commencer par le cinéma. Plus encore, c’est par lui qu’il est devenu couturier, grâce au film Falbalas de Jacques Becker. Choisi en tant que juré pour le 65e Festival de Cannes, sa place est largement légitimée au regard de sa carrière et de ses participations à l’élaboration de costumes cultes.

En 1989, JPG passe de l’autre côté du miroir fashion en réalisant les costumes du film de Peter Greenaway, Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant, mais il sera réellement plébiscité pour son travail sur le long-métrage Kika de Pedro Almodovar en 1994. Victoria Abril, muse caliente du créateur et du réalisateur, y campe une animatrice d’un show tv trash, drapée dans une improbable armure. «J’ai dit à Jean Paul que je voulais créer une sorte de robot militaire (…), comme si elle avait été victime d’une catastrophe mais en y ajoutant du glamour», expliquait alors Almodovar.

En 1995, c’est la consécration mode pour Gaultier. Créateur des costumes du film de Jean Pierre Jeunet La cité des enfants perdus, il est nommé pour la première fois aux César. Ses classiques y sont réinterprétés, comme la marinière portée par la petite héroïne ou encore le corset, qu’il a largement démocratisé lors des tournées de Madonna. Le Cinquième élément, film culte de Luc Besson, propulse également le créateur génial à l’international avec ses incroyables costumes néo-futuristes, divinement portés –entre autres- par Milla Jovovich.

Après un break de quelques années, Jean Paul Gaultier renoue avec ses amours cinématographiques sous la houlette de son ami Pedro Almodovar. La mauvaise éducation en 2004 lui offre un univers oscillant entre les années 1950 et les décomplexées eighties, puis La Piel que habito (2011), explore quant à elle un univers un brin dark. «J’ai rencontré Gaultier au milieu des années 1980, explique Almodovar. Dans un club parisien mythique Les Bains Douches, puis après à un concert pour la lutte contre le sida. Tout de suite je me suis senti en phase avec son éclectisme, son sens de l’humour et son audace naturelle. En plus, nous sommes tous les deux appelés les enfants terribles, bien que nous ne cherchions jamais le scandale!»

Déjà présent sur le tapis rouge de Cannes auprès du réalisateur espagnol en 2011, c’est en tant que juré qu’il va donc officier cette année. Olé!

L’enfant terrible d’Hollywood a maintenant toute d’une grande. A 37 ans, l’actrice d’E.T. l’extra-terrestre et de Charlie et ses drôles de dames s’est mariée ce week-end avec Will Kopelman. Et elle serait enceinte.

La vie amoureuse de Drew Barrymore est digne d’une comédie romantique à l’américaine. A l’âge de 16 ans, l’actrice se retrouve fiancée, avant que le mariage ne soit annulé. Puis elle épouse un barman de Los Angeles en 1994, avant de divorcer deux mois plus tard. En 2001, elle épouse l’humoriste Tom Green, mais le couple se sépare un an plus tard. Son penchant pour les musiciens fait bientôt la une des magazines people, lorsqu’elle se met à fréquenter Fabrizio Moretti, le batteur des Strokes. Mais sa relation la plus connue et la plus médiatisée est celle qui l’unit et la désunit à l’acteur Justin Long de 2007 à 2010. Ils ont même tourné ensemble un film au titre plus qu’évocateur: Trop loin pour toi.

Depuis début 2011, Drew sort avec Will Kopelman, consultant en art et fils de l’ancien patron de Chanel. Les rumeurs vont alors très vite: il serait fou amoureux, elle voudrait se poser, ils vont se fiancer. C’est chose faite en janvier 2012. Elle s’était même confiée à Gala sur ses projets avec Will.

Si sa récente actualité était plutôt de savoir si la belle était enceinte ou non, à 37 ans, une autre bonne nouvelle est tombée hier, relayée par les sites américains de People et US Weekly. Le couple s’est dit oui dans la résidence de Drew Barrymore à Montecito près de Santa Barbara. Elle portait une robe blanche Chanel, et lui était habillé par Tom Ford. Il faudra attendre un peu pour voir les photos officielles de mariage, l’exclusivité étant réservée au magazine People. Mais l’on sait déjà que Cameron Diaz était demoiselle d’honneur et que Reese Witherspoon et Busy Philipps comptaient parmi les invités. Un mariage, un bébé, une famille… c’est une toute nouvelle carrière qui attend Drew Barrymore!

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5eme volet des aventures de la chasseuse de zombies Milla Jovovich, “Resident evil : retribution” s’est octroyé ce week-end la première place d’un box-office US qui fait toujours grise mine. En sortie limitée, “The Master” de Paul Thomas Anderson réalise un score plus que prometteur.

Dans un contexte toujours aussi morose -si on se réfère au top 12, les salles américaines ont connu leur deuxième pire week-end de l’année-, Resident Evil: Retribution de Paul W.S. Anderson débarque à la 1ère place avec un peu plus de 20 millions de recettes, un chiffre décevant si on le compare aux résultats des premiers épisodes de la saga. Il n’en relègue pas moins l’horrifique Possédée (numéro 1 des quinze derniers jours) à la 3e place. La deuxième marche du podium est occupée par Le Monde de Nemo 3D, mais avec 17,5 millions de dollars, soit presque moitié moins que Le Roi Lion 3D en son temps, on est en droit de se demander si le hameçon de la 3D est aussi efficace que certains l’imaginaient…

De Paul W.S. Anderson à Paul T. Anderson

Deux films tirent néanmoins leur épingle du jeu : Arbitrage, thriller financier de Andrew Jarecki avec Richard Gere, avec 2 millions de $ de recettes dans 197 salles et surtout The Master, le nouveau long métrage de PT Anderson. Auréolé de 2 prix à Venise et bénéficiant d’une critique enthousiaste, le film, qui revient sur l’ascenson d’un chef religieux, a réuni quelques 730000 fidèles dans seulement 5 salles à Los Angeles et New York. Des résultats très encourageants à quelques jours de sa sortie nationale vendredi prochain dans plus de 600 salles.

Le teaser de “The Master”

The Master

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Un an après les noces du siècle, Catherine et William, duchesse et duc de Cambridge, semblent voguer sur les eaux calmes de l’amour. Et lors du mariage de la cousine de Will, Emily McCorquodale, les tourtereaux sont apparus plus soudés que jamais.

A chaque apparition officielle ou familiale, Kate et William rivalisent d’élégance l’un envers l’autre. Lors du mariage d’une des cousines du Prince William, Emily McCorquodale -fille de Lady Sarah McCorquodale-, qui s’est unie à James Huntt dans le Lincolnshire, Kate a fait sensation, tout sourire dans son manteau craie, qui dévoilait subtilement une robe Jenny Packham aux motifs fleuris, qu’elle portait déjà lors d’un match de Polo à Los Angeles en juillet 2011.

Notre « récessionista » était comme à son habitude juchée sur ses escarpins nude signés L.K. Bennett, aux côtés de son mari, le Prince William, absolument charmant avec son manteau queue-de-pie gris, sa cravate aubergine et son chapeau haut-de-forme de circonstance. Peu après le jubilé de la Reine Elizabeth II fêtant ses soixante ans de règne en grande pompe –et tout en style-, le jeune couple royal qui a célébré ses noces de coton semble très amoureux, malgré les épreuves. Car si la grand-mère de Will affiche une forme de jeune fille à 86 ans, son grand-père, le prince Philip, a été hospitalisé peu après les festivités. Très proche de lui, William s’est immédiatement rendu à son chevet. Même s’il a pu rentrer chez lui, sa santé reste toutefois fragile, ce qui doit probablement continuer de préoccuper le duc de Cambridge.Unis pour le meilleur et pour le pire –devant près de deux milliards de personnes!-, Catherine et William affichent l’un pour l’autre un soutien indéfectible.

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Kate et William ne se sont pas rencontrés sur internet mais leur amour est à haut débit comme sur Meetic!

Décalé au 6 février 2013, “Gangster Squad” n’en demeure pas moins très attendu. Et pour patienter, découvrez quelques photos de tournage commentées par le réalisateur Ruben Fleischer.

“Josh Brolin, Robert Patrick, Anthony Mackie, Michael Peña, Ryan Gosling et Giovanni Ribisi. Six acteurs incroyables et des types parmi les plus drôles jamais réunis” : voici le genre de commentaire que l’on peut actuellement lire dans le magazine W, qui a publié quelques photos de tournage de Gangster Squad, avec un petit mot de Ruben Fleischer, le réalisateur. Découvrez-en ci-dessous, et le reste sur ce site.

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Maximilien Pierrette avec Movie Web

“Une course-poursuite se termine par une chute à travers une lucarne, directement dans un studio où se tient une séance photo avec la pinup Bettie Page.”

“Dans cette scène, le personnage de Ryan Gosling, Jerry Wooters (un flic), se présente à Grace Faraday, jouée par Emma Stone. Il y a une grande alchimie entre ces deux-là.”

Johnny Hallyday donnait le dernier de ses trois concerts au Stade de France dimanche soir. Un spectacle grandiose qui prouve une fois de plus que le chanteur, du haut de ses 69 ans, est une légende vivante.

Dimanche soir, Johnny Hallyday se produisait pour la neuvième fois au Stade de France. Un record pour un artiste français, et même international, qui n’est pas près d’être battu. C’était le troisième et dernier des trois concerts que le chanteur avait prévu au Stade de France pour sa grande tournée, débutée mi mai en France.

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En attendant que le rocker ne monte sur scène, le spectacle était dans les tribunes, notamment celle des VIP. De nombreuses personnalités se sont empressées de venir voir le show de Johnny parmi lesquelles David Hallyday, M.Pokora et Gad Elmaleh, photographiés par la maîtresse des lieux Nicolle Coullier qui, avec son mari Gilbert, produit la tournée de Johnny. Les spectateurs du Stade de France ont également pu apercevoir Laeticia et ses filles, le chanteur Christophe, Karl Zéro, Antoine Duléry, Adriana Karembeu, Jean-Luc Reichman…

Et c’est à 21h30 passées de quelques minutes que Johnny Hallyday est apparu dans une boule d’acier sur les premiers riffs de guitare d’Allumer le feu, hymne taillé pour les stades et pour les débuts de concerts; précisément pour mettre le feu. Puis le taulier déroule et interprète tous ses plus grand titres: Né dans la rue, Excuse moi partenaire, le sublime Marie, puis le moment frisson de la soirée avec Diego et Quelque chose de Tennessee accompagné par un orchestre symphonique dirigé par Anne Gravoin, la compagne de Manuel Valls.

C’est quasiment sans temps mort que Johnny enchaîne les titres s’offrant juste un intermède pendant lequel ses choristes ont mis le feu au Stade de France avec l’inusable Knock on the wood. Viens ensuite l’incontournable Gabrielle, repris en chœur par tous les spectateurs présents, les poignets en croix. Johnny Hallyday a également accueilli quelques guests le temps d’une chanson: la Québécoise Marie Mai, pour Vivre pour le meilleur, Pascal Obispo pour un détonnant Rock’n roll attitude et Louis Bertignac pour un électrique Fils de personne. Le rocker s’est offert une «pause» acoustique avec certains de ses vieux tubes comme L’idole des jeunes, Elle est terrible ou Joue pas de rock’n roll pour moi. Pour l’occasion, avec ses musiciens, il s’est installé sur un bout de scène articulé qui lui a permis d’avancer dans la fosse.

Puis, retour aux guitares électriques pour une fin de show tonitruante. Que je t’aime, repris par tout le public, Oh ma jolie Sarah, L’envie, suivies de Dégage et de Toute la musique que j’aime en rappel, avant de conclure, accompagné au piano par le talentueux Yvan Cassar, par un émouvant Quand on n’a que l’amour. 2 heures 30 de concert au cours desquelles Johnny, qui a fêté samedi ses 69 ans, a pu faire taire tous ceux qui doutaient encore de sa capacité à assurer le show.

A large number of imported items including mobile handsets, cars and motorcycles, fruit juices, perfumes and footwear will become costlier as the Finance Minister Arun Jaitley hiked customs duties on these products in the Union Budget 2018-19. However, select items such as imported raw cashew nuts, solar tempered glass and raw materials and accessories of cochlear implants will become cheaper with the government today reducing import duties on these items.

Here is a list of what is getting deare :

1. Footwear

2. Vegetable, fruit juices, including orange and cranberry

3.Sunglasses

reuters/representational image

4.Miscellaneous food preparations other than soya protein

5.Perfumes and toilet waters

6.Coloured gemstones

7.Diamonds

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Vous avez prévu de vous faire un (ou plusieurs) ciné(s) ce week-end, mais vous ne savez pas quoi aller voir ? Les tops presse et spectateurs vont peut-être pouvoir vous aider…

Les meilleures sorties du 3 octobre selon la presse *

1er – Después de Lucia – Note moyenne : 3,7 étoiles sur 5

En tête cette semaine des évaluations de la presse selon notre baromètre, le film mexicain Después de Lucia. Les Inrockuptibles estiment que cette oeuvre “saisit par son sujet aussi bien que par sa mise en forme.” Pour Le Journal du Dimanche, le réalisateur “tricote habilement tragédie intimiste et analyse réaliste d’un fait de société, à savoir le harcèlement à l’école.” Enfin, L’Express voit le film comme “une belle leçon d’humanité.”

L’intégralité des critiques presse de Despues de Lucia

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2ème – Diana Vreeland: The Eye Has To Travel – Note moyenne : 3,4 étoiles sur 5

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A la deuxième place de ce classement, le documentaire Diana Vreeland: The Eye Has To Travel, consacré à une grand figure de la mode. “Portrait attachant et vibrant qui fait la part belle à une créativité exceptionnelle, à une fascinante extravagance” pour La Croix, le film est pour L’Humanité “un documentaire essentiel 
qui comble certaines lacunes 
et peut contribuer à comprendre les origines du pop art.” Libération souligne un mérite de ce documentaire : “nous envoyer une carte postale de cette époque à la fragile magie, les sixties.”

L’intégralité des critiques presse de Diana Vreeland: The Eye Has To travel

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3ème – Kirikou et les hommes et les femmes – Note moyenne :  étoiles sur 5

La troisième marche du podium est occupée par le film d’animation français Kirikou et les hommes et les femmes. Pour 20 Minutes, “si l’effet de surprise a disparu de ce troisième long métrage, on aime toujours autant le bonhomme débrouillard faisant la nique à la bêtise et à l’intolérance.” Pour Le Parisien, “le réalisateur Michel Ocelot envoie de jolis messages sur le racisme ou l’amour. Le tout avec une animation, un graphisme et une mise en musique toujours aussi enchanteurs.” Enfin, Ouest France met en avant “du beau travail, accompli et délicat, qui réjouira une nouvelle fois le cercle des amis de Kirikou. Mais pas seulement.”

 

L’intégralité des critiques presse de Kirikou et les hommes et les femmes

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Les meilleures sorties du 3 octobre selon les spectateurs **

1er – Taken 2 – Note moyenne : 3,6 étoiles sur 5

L’intégralité des critiques spectateurs de Taken 2

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2ème – Después de Lucia – Note moyenne : 3,5 étoiles sur 5

L’intégralité des critiques spectateurs de Despues de Lucia

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3ème – Kirikou et les hommes et les femmes- Note moyenne : 3,4 étoiles sur 5

L’intégralité des critiques spectateurs de Kirikou et les hommes et les femmes

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* Selon les étoiles du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 5 octobre 2012, et pour des films ayant au moins 10 critiques

** Selon les étoiles du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 5 octobre 2012