Le réalisateur oscarisé de “The Artist” jouera dans le deuxième film de Riad Sattouf, brillamment passé derrière la caméra il y a trois ans avec “Les Beaux gosses”.
Jacky au royaume des filles : si d’aucuns auraient préféré le voir s’attaquer à une adaptation cinématographique de Pascal Brutal, voici en attendant le titre du film que s’apprête à tourner Riad Sattouf cet automne, une comédie dotée d’un budget de 12 millions d’euros dans laquelle, au sein d’une dictature imaginaire, les femmes ont pris le pouvoir. Il dirigera pour l’occasion un joli casting emmené par Charlotte Gainsbourg, et auquel vient de s’adjoindre le réalisateur Michel Hazanavicius, qui interprètera le mentor de Jacky (Vincent Lacoste). Début du tournage prévu pour la fin du mois — et pour dix semaines, entre la France et la Géorgie.
Actuellement en tournée, Serge Lama vient d’annoncer qu’il devait supprimer certaines dates pour des petits pépins de santé. Rien de grave, mais il doit se faire opérer d’une hanche dans quelques mois.
Déception pour les fans de Serge Lama: ceux qui habitent Saint-Etienne, Caen, Digne-les-Bains et la Belgique n’auront pas la chance de pouvoir aller l’applaudir en concert. Le chanteur vient en effet d’annoncer qu’il supprimait quelques dates de sa tournée pour des raisons de santé. Il souffre de la hanche et doit absolument se faire opérer. L’intervention chirurgicale est programmée pour le début 2012, mais Serge Lama doit alléger son programme de fin d’année.
Il l’a annoncé lui-même sur son blog et s’en excuse: «Je suis vraiment désolé, mais c’était prévisible. C’est une opération qui est assez courante aujourd’hui». Rassurant, il tente même de plaisanter: «Il est possible qu’à mon retour je me mette à faire du rock and roll, je suppose que vous voyez à quel personnage mythique je fais allusion». Toujours très proche de son public, Serge Lama conclut son petit mot d’un «A bientôt et bon courage dans vos difficultés personnelles, dans cette période difficile».
L’inoubliable interprète de Je suis malade ne l’est pas complètement, mais doit composer avec un corps qui le fait souffrir depuis l’âge de 22 ans, lorsqu’il a été victime d’un grave accident de voiture. Il avait fait part de son inquiétude en mars dernier, chez Michel Drucker: «Ce qui m’embêterait, c’est d’être pris par la douleur au milieu de mes concerts et qu’un problème physique me bloque tout à coup. Je ne veux pas que mon corps prenne la décision à ma place». C’est malheureusement ce qui se passe, mais après l’opération et la convalescence, Serge Lama reviendra plus en forme que jamais et pourra à nouveau faire «youpla boum».
Alors qu’il roulait sur l’autoroute A13 à bord d’un véhicule du Conseil régional, le socialiste s’est vu retirer son permis après un excès de vitesse à hauteur d’Evreux (Eure) dans le sens province Paris.
171 km/h. Le temps de quelques minutes, Jean-Paul Huchon s’est pris pour Sébastien Vettel, le jeune allemand qui domine la Formule 1 depuis plusieurs mois. Au volant d’une voiture suédoise, le président socialiste de la région Ile de France a joué les pilotes selon une information de TF1 et LCI.
Les gendarmes qui ont contrôlé celui qui est aussi président du STIF (Syndicat des transports d’Ile-de-France), ont donc procédé à la rétention de son permis sur le champ en raison de son excès de vitesse de 41 km/h. À 9km/h près, l’excès de vitesse de l’une des coqueluches du Petit Journal de Yann Barthès, n’a cependant pas été classé dans la catégorie «grand excès de vitesse» qui sanctionne les infractions de plus de 50km/h.
Comme chaque citoyen titulaire d’un permis de conduire, JPH (qui aurait déjà eu dans le passé un retrait de permis de conduire) risque une amende de 135 €, une suspension de permis pouvant aller jusqu’à 3 ans et il se verra retirer 4 points de son permis. Jean-Paul Huchon s’ajoute ainsi à la longue liste d’autres hommes politiques surpris en flagrants délits de non respect du code de la route comme le rappelle le Figaro. «Durant la campagne présidentielle de 2007, des journalistes d’Auto Hebdo avaient suivi les candidats à l’élection, se souvient le quotidien. Nicolas Sarkozy avait été suivi à 190 km/h sur une autoroute, Jean-Marie Le Pen à 185 km/h, tandis que François Bayrou avait été surpris à 120 km/h sur une voie limitée à 70 km/h. Ségolène Royal s’était elle fait piéger à 158 km/h sur une double voie limité à 110 km/h. Xavier Bertrand a, lui, été flashé de nuit à 140 km/h sur une voie limité à 90 km/h entre Pornic et Nantes en 2010. Enfin, José Bové a été flashé à 135 km/h au lieu de 90 km/h à l’automne 2009.» À qui le tour?
Reconnue comme l’une des stars les plus sexy de l’année, Cheryl Cole a pourtant bien failli payer le prix de son extrême minceur.
Elle a frôlé la mort. Cheryl Cole laisse en tout cas entendre que sa vie ne tenait plus qu’à un fil à un moment de sa vie. La chanteuse britannique se confie dans l’édition de novembre du magazine InStyle et raconte comment des médecins l’ont forcé à prendre du poids, tant sa santé était en péril.
L’année dernière, la vie de Cheryl Cole a été bouleversée par une terrible maladie. Affaiblie physiquement, elle a contracté la malaria lors d’un voyage en Tanzanie, et a dû être hospitalisée d’office dès son retour en Grande Bretagne. Son espérance de vie n’était alors plus estimée qu’à 24 heures. Cheryl Cole menait à l’époque une vie uniquement tournée vers sa carrière, faite de beaucoup de travail et peu de considérations pour sa propre santé.
Alertée par les médecins sur son état, la jeune femme a alors «ouvert les yeux sur l’importance de la santé». A 28 ans, Cheryl Cole dit aussi vouloir «moins penser boulot, boulot, boulot et plus prendre du temps pour elle et ses amis».
Pour son nouveau projet professionnel, l’ex-épouse d’Ashley Cole, allie réussite et santé puisqu’elle interprète une femme enceinte tout en rondeurs aux côté de Cameron Diaz et Jennifer Lopez.
Fort de ses succès en tant qu’acteur et réalisateur, Guillaume Canet est très sollicité par les journalistes. Soucieux de son image, le compagnon de Marion Cotillard, se livre rarement. Il l’a fait avec parcimonie dans L’Express Styles.
Très discret sur sa vie privée, Guillaume Canet n’a pas dérogé à sa ligne de conduite lors de son interview à L’Express Styles. L’acteur, qui assure actuellement la promotion du film dramatique Une vie meilleure de Cédric Kahn, s’est expliqué sur ses raisons de préserver son jardin secret.“J’ai très vite compris qu’un acteur donnait déjà beaucoup, dans un film, de sa personnalité, de sa personne. Quand, en plus, il est scénariste, il puise en lui des choses intimes. Je n’aurais plus rien à moi si j’avais sans cesse confessé mes sentiments, si j’avais dévoilé ce que j’ai éprouvé à la naissance de mon fils, etc.”
Papa d’un petit Marcel en mai dernier avec sa compagne Marion Cotillard, Guillaume n’a pas du tout apprécié que des paparazzi essaient de faire intrusion dans sa vie privée. “Des paparazzi tentaient de photographier par-dessus le portail. Ils m’ont gâché ce premier jour avec mon fils. En plus d’être malheureux, j’étais très en colère.”
Guillaume n’en dira pas plus. Sa compagne Marion Cotillard s’était montrée beaucoup plus diserte dans le magazine Elle. « Je suis effectivement complètement apaisée par la maternité. Je n’étais pas particulièrement stressée avant, mais je vis une grande plénitude, une vraie joie de vivre. […] Avec mon fils, nous sommes ensemble depuis peu de temps, mais j’ai l’impression qu’il est là depuis toujours et je n’ai jamais autant appris qu’avec lui. »
L’égérie Dior avait aussi expliqué pourquoi elle avait appelé son fils Marcel. « En fait, ce prénom vient de plein de sources différentes, car j’ai plusieurs Marcel dans ma famille. La première fois que je me suis dit que j’appellerais mon fils Marcel -si un jour j’en avais un-, c’était il y a des années. J’étais sur un bateau, au Japon avec des amis, et ils m’avaient appris qu’ils avaient appelé leur fils Marcel, et j’avais trouvé ça sublime. » Marion est donc plus disposée que son compagnon, à se confier sur leur petit Marcel.
Même si c’est un papa heureux, Guillaume semble avoir pour leitmotiv l’un de ses meilleurs films: « Ne le dis à personne »
Leur décision risque de faire des orphelins. Valeur ajoutée du Grand Journal de Canal+ depuis 2006 (après une saison dans 20h10 pétantes), Omar Sy (34 ans) et Fred Testot (qui fêtera ses 38 ans le 20 février) auraient selon le magazine Télé 2 Semaines, pris la décision de ne pas continuer leur célèbre SAV des émissions la saison prochaine.
Le SAV des émissions c’est fini! C’est le magazine Télé 2 Semaines qui a annoncé la triste nouvelle aujourd’hui.
Après sept années et des milliers de sketch, les deux acolytes qui «hésitaient déjà à rempiler l’année dernière» ont cette fois-ci décidé de passer à autre chose. Télé 2 semaines explique ce choix par le fait que les deux comédiens «avaient de plus en plus de mal à trouver de nouveaux personnages et à concilier leurs agendas respectifs». «Si l’on continue le SAV après cinq ans, c’est essentiellement parce que ça nous amuse, confiait Omar Sy, le nouveau chouchou des Français dans le quotidien Le Monde dans une interview prémonitoire en novembre 2009. Pour nous, c’est la base de tout. Ce n’est pas tant le concept de ce programme qui est inépuisable, mais notre envie de le faire». Dans cette interview, les deux amis se confiaient aussi sur leurs personnages récurrents qui ont fait le succès du programme. «Tata Suzanne, Jean Blaguin, Rocco ou encore Doudou existent au départ pour créer la surprise chez celui qui répond, soulignait Fred Testot dans Le Monde. La première fois qu’ils apparaissent, ils ne sont pas écrits: c’est une déconnade, improvisée pour faire une blague à l’autre. Ensuite, on décide d’en faire revenir certains, de leur inventer une vie, des histoires…». Interrogés à l’époque sur la fin de leur collaboration, Omar et Fred répondaient de concert: «On a remarqué que les duos se séparaient souvent parce qu’au bout d’un moment l’un avait envie de fonctionner tout seul. Le cinéma nous permet de nous séparer périodiquement, comme ça on ne se séparera pas plus tard». Inséparable à la vie comme à la scène, nul doute que le plus célèbre duo du PAF a déjà d’autres idée de collaborations!
Julie Depardieu et Philippe Katerine viennent d’offrir un petit frère à leur premier enfant, Billy. Les heureux parents sont comblés.
Un nouveau rayon de soleil estival vient de se pencher sur la vie de Julie Depardieu et Philippe Katerine. L’actrice et son compagnon musicien ont accueilli leur deuxième enfant. D’après le site PurePeople.com, la fille de Gérard Depardieu a accouché jeudi 9 août.
Un petit Alfred dont s’occupera Billy. Les deux extravagants parents auraient donc choisi un prénom bien plus classique pour ce deuxième bébé tant attendu. Julie Depardieu et Philippe Katerine, 39 ans chacun, consolident leur si belle famille par l’arrivée rapprochée de ce deuxième enfant, un an après leur premier garçon. Pour l’interprète de La banane, il s’agit du troisième enfant puisque Katerine est déjà papa d’une fille nommée Edie.
Julie Depardieu et Philippe Katherine se sont rencontrés sur le tournage du film de Thierry Jousse, Je suis un No man’s land en 2010. Depuis, ces deux-là sont inséparables et risquent de l’être pour les années à venir…
Exemption protecting agricultural sector from cartel fines breaches EU law, Commission says.
The European Commission has accused the Hungarian government of tampering with the independence of the national antitrust authority and has threatened to take legal action against the country.
The dispute arose after the government of Prime Minister Viktor Orbán intervened in April 2013 in an antitrust investigation into the national market for watermelons.
Hungary is a major producer of watermelons and Hungary’s government sought to ensure that domestic producers were not undercut by cheaper imports. At the behest of Orbán’s Fidesz party, the Hungarian parliament adopted a law preventing the Hungarian competition authority from sanctioning cartels involving agricultural products unless it received permission from the ministry of agriculture.
But Joaquin Almunia, the European commissioner for competition, argues that this breaches EU competition law and has given Hungary two months to bring its legislation into line.
This warning by the Commission is the latest in a string of high-profile challenges to laws introduced by Orbán, who won an absolute majority in parliamentary elections earlier this month.
In the face of pressure from the Commission and the European Court of Justice, Orbán has amended laws that were perceived as encroaching on the independence of the governor of Hungary’s central bank and of Hungary’s judiciary.
Last week, the ECJ found that Hungary had breached EU laws when it replaced its data protection supervisor, who is meant to be independent of government interference.
European Commission appoints Mariana Kotzeva to replace Czech Marie Bohatá at statistics office.
The European Commission has appointed Mariana Kotzeva of Bulgaria as deputy-director of Eurostat, the EU’s statistics office. She is scheduled to replace Marie Bohatá, a Czech who is to retire, on 1 July.
Kotseva will be the most senior Bulgarian civil servant in the European Union’s administration.
Kotzeva is currently a special adviser at Eurostat, a post she has held since 2012. She previously served as the head of Bulgaria’s national statistics institute and an adviser to Bulgaria’s president.
She also advised the United Nations Development Programme and Serbia’s labour and employment ministry.
Kotzeva holds a doctoral degree from the University of National and World Economy in Sofia, where she is an associate professor, and master’s degrees in economics and in statistics.
Ex-prime ministers could get management roles in next Commission
Summer blog: A shake-up of the Commission’s structure could give former national leaders more influence.
Jean-Claude Juncker, the president-elect of the European Commission, is reported to be considering giving management roles to former prime ministers who are members of the college of commissioners.
The ex-prime ministers would take on a ‘filter’ role between the president and the rest of the commissioners, according to Finnish newspaper Helsingin Sanomat.
This potential shake-up of the Commission’s structure could give these ‘ministers without portfolio’ greater influence as they would be co-ordinating the work of commissioners with more traditional portfolios.
There is ongoing speculation about a possible change in the Commission’s structure. With the expansion of the Union to 28 members, not all countries are able to secure a heavyweight post in the Commission, leading to calls for a division between ‘senior’ and ‘junior’ portfolios.
Commenting on the rumours in Finnish media, Olli Rehn, a former commissioner and now an MEP and vice-president of the European Parliament, questioned the benefits of filter roles. “A weighty portfolio is the best way to ensure influence,” he said.
Three countries have put forward a former prime minister as their candidate for the next Commission – Finland, Latvia and Estonia.
When Rehn left to become a member of the European Parliament in July, Jyrki Katainen took over the portfolio dealing with economic and monetary affairs and the euro until the end of the Barroso Commission.
Katainen’s prominent role as an interim commissioner was no great surprise as he stepped down as Finland’s prime minister in April to seek a heavyweight EU post such as president of the European Council or, as a former finance minister, president of the Eurogroup.
But in July he said that he is not expecting to get any of those top jobs and is instead hoping for a post “focused on the economy” in the next college.
Estonia’s nominee, Andrus Ansip, resigned in March after a fall in support for his centre-right Reform Party. He had been prime minister since 2005 and set a record as the longest-serving leader in the European Union.
Ansip stood as a candidate in the European Parliament elections but choose not to take up his seat when the current prime minister, Taavi Rõivas, nominated him as the country’s next commissioner. Ansip has expressed a preference for the monetary affairs portfolio, though he would also like to deal with energy, neighbourhood policy or regional policy.
The Latvian government has nominated Valdis Dombrovskis. He resigned as the country’s prime minister after four years in November 2013 following the collapse of a supermarket in Riga. He stood as a candidate in the European Parliament elections, receiving the highest number of personal preference votes. Dombrovskis, a member of the centre-right Unity party, has said that he would be interested in an economic or financial portfolio.
Juncker, who is still waiting for official nominations from five countries, is working on the composition of the next college.
On 30 August, a special European Council will take place, with decisions on top jobs expected to be taken.