est un homme très impulsif. Et parfois violent. Il va devoir répondre de violences conjugales et tente d’alléger sa peine en plaidant coupable.
L’acteur Charlie Sheen n’est pas du genre à prendre des pincettes. Mais il pourrait bien finir avec des bracelets, voire derrière les barreaux… Et, pour limiter la casse, une fois n’est pas coutume, après le « cassage » de figure de sa chère et trop tendre Brooke Mueller, il plaidera coupable. C’est en tout cas la version quasi officielle qui circule dans le tout-Hollywood avant l’ouverture de l’un des procès les plus médiatiques de l’année.
Charlie Sheen, nous assure-t-on, est en effet finalement prêt à plaider coupable des accusations de violences conjugales envers sa femme Brooke Mueller, afin de bénéficier d’un allégement de peine. L’acteur de 44 ans fera donc acte de contrition au moins par stratégie judiciaire lors d’une audience devant la justice qui est prévue ce lundi 7 juin à Aspen ( dans le Colorado). People.com, qui est allé se renseigner auprès d’une source très proche du dossier en est sûr, en tout cas.
Souvent femme varie, Charlie Sheen aussi. Car lors d’une précédente audience, en mars, l’acteur avait plaidé cette fois non coupable. Ce revirement changera la donne, lors de cette sorte d’audience préliminaire, qui donnera lieu au vrai procès qui doit avoir lieu à partir du 21 juillet. Le risque est gros pour Charlie Sheen: il pourrait être puni de un à trois ans de prison, assortis d’une paire d’années de mise à l’épreuve. Mais le plaider-coupable lui permettrait de s’en sortir avec 30 jours d’incarcération. Il faut dire que Charlie Sheen n’y était pas allé avec le dos de la cuiller avec Brooke Mueller, mais avec un couteau qu’il lui avait placé sous la gorge en menaçant de l’égorger lors d’un Noël pas vraiment super-magique mais frisant le delirium tremens. Pourtant, Brooke Mueller lui avait fait un magnifique cadeau, par la suite, en demandant l’abandon des poursuites. Mais le 8 février, la justice avait décidé de jouer tout de même le Père Fouettard en maintenant la procédure…
Deadline.com vient de confirmer la nouvelle: va bel et bien camper J. Edgar Hoover, le fondateur du F.B.I. Et pour rendre l’information un peu plus excitante, le biopic sera réalisé par himself.
Même front dégagé, même visage joufflu, même coupe de cheveux: Leonardo DiCaprio vient d’être confirmé pour interpréter J. Edgar Hoover, le fondateur du F.B.I.
Après avoir incarné Howard Hughes pour Scorsese dans Aviator, l’acteur, habitué au biopic, va donc prêter ses traits à celui qui a fondé en 1935, puis dirigé jusqu’à sa mort (1972), le Bureau fédéral d’investigations aux Etats-Unis.
Et pour ne rien gâcher, le film sera réalisé par Clint Eastwood, produit par Brian Grazer (L’Echange), et écrit par Dustin Lance Black (le scénariste de l’oscarisé Harvey Milk). Ce long-métrage, qui marque la première collaboration d’Eastwood et de DiCaprio, promet donc d’être un film coup de poing. Tant par son équipe technique, que par le casting, et l’histoire elle-même, qui retrace la vie de Hoover, un directeur très controversé aux méthodes pas vraiment légales pour mettre la pression aux politiciens. Politique, scandales, équipe de choc: une bonne vieille recette pour attirer les curieux dans les salles.
Et le beau Leo devrait continuer dans la même veine, puisqu’il travaillerait sur un autre projet de biopic avec son réalisateur fétiche
. Le comédien changerait ainsi de camp, et ne traquerait plus les vices des politiciens, puisqu’il en incarnerait un: Roosevelt, dans un long appelé The Rise Of Theodore Roosevelt. En attendant, le tournage du biopic sur Hoover est prévu pour la fin de l’année.
Quand se réveille, ça fait mal! Il va tourner pour Tony Scott, puis Nicolas Poiret, avant de monter sur les planches au Théâtre Edouard-VII et, après avoir enregistré un duo avec , entrera en studio pour un nouvel album! Une bonne claque aux vilaines petites rumeurs.
Si certains faisaient de médiocres paris sur la santé de Johnny, ils en auront pour leurs frais. Le rocker fourmille de projets comme un jeune premier et va frapper fort, très fort, dans les mois qui suivent, avec un tournage aux côtés de Mickey Rourke, un rôle plus important dans un film de Nicolas Poiret, une pièce de Tennessee Williams au Théâtre Edouard-VII et, alors qu’il vient d’enregistrer un duo avec Patrick Fiori, il prépare son nouvel album et s’apprête à entrer en studio.
C’est une série de bonnes nouvelles de Johnny Hallyday qui pleuvent dans l’édition du Parisien de ce jour. Le quotidien nous annonce en effet que l’Idole des Jeunes « va refaire du cinéma » et « participera en janvier au film de Tony Scott » dont le tournage débutera en janvier. Certes, c’est « un petit rôle » que tiendra Jojo dans Potzdamer Platz, thriller tourné à Porto Rico, mais il y retrouvera un ami
: Mickey Rourke. Lequel fait partie du casting avec Christopher Walken et Javier Bardem.”
En France, Johnny Hallyday devrait aussi participer à un film « écrit et réalisé par Nicolas Poiret, fils de Jean et de Caroline Cellier. » Le rocker devrait interpréter l’époux de Sabine Azéma. Et Le Parisien nous promet un « long-métrage à l’ambiance proche de « Fargo » des frères Coen ». Belle référence. Et si Johnny Hallyday jouera du Tennessee Williams en septembre au 2011, il vient d’enregistrer un duo avec Patrick Fiori intitulé Je Viendrai Te Chercher, dans les bacs et sur les plateformes de téléchargement légales le 27 septembre.
Musique encore et toujours pour Johnny Hallyday qui concocte un nouvel album. Du coup il est « à la recherche de chansons inédites » a appris Le Parisien auprès de son entourage. Sortie prévue à l’automne 2011. Quel tourbillon! Et ça, c’est de l’actu sur Johnny comme on l’aime!
Découvrez le poster du nouveau film de Sam Raimi “Oz the Great and Powerful”.
Le premier poster officiel de Oz, The Great and Powerful a été dévoilé. Attendu en 2013, le film qui revisite le pays d’Oz a à son casting James Franco, Mila Kunis ou encore Rachel Weisz.
Le photographe américain Herman Leonard, célèbre pour ses clichés en noir et blanc de géants du jazz, s’est éteint, samedi, à Los Angeles.
L’an dernier, encore, il avait exercé ses talents lors du Festival de Jazz de Montréal, immortalisant des légendes comme Tony Bennett et Dave Brubeck. Le photographe Herman Leonard, qui s’était installé dans la cité des Anges après l’inondation de sa maison à la Nouvelle-Orléans, est décédé, à l’âge de 87 ans, au Centre médical Cedars-Sinai.
Doué pour capté l’émotion du chant, la mélodie d’un instant, la magie des volutes de fumée, il était considéré comme l’un des grands «preneur de vues» de la scène jazz du milieu du XXe siècle. Au cours de sa carrière, il a livré la véritable chronique d’une ère musicale, entre New York, Paris et Londres…
Né en 1923 en Pennsylvanie, de parents roumains, Herman Leonard obtient son diplôme de photographe peu après la Seconde guerre mondiale, avant d’ouvrir son premier studio en 1948 à Big Apple. C’est alors qu’il fréquente les clubs de jazz, avec lesquels il passe des accords pour saisir des clichés des musiciens qui le font rêver. Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Billie Holiday, Louis Armstrong, Duke Ellington et Miles Davis passeront devant son objectif. De ces rencontres, restent des épreuves en noir et blanc à l’esthétique léchée et de nombreuses pochettes de disques.
En 1956, il est choisi par
pour devenir ses yeux pendnat un voyage en Extrême-Orient. De retour d’expédition, l’homme au regard perçant et au profil d’aigle s’installe dans la Ville Lumières où il continue à travailler sur les jazzmen, tout en se diversifiant dans la mode, les voyages, et la publicité…
En 1980, Leonard quitte Paris pour l’île d’Ibiza, où il vit sept ans et prépare la publication de son premier livre. Sa première exposition est organisée Londres en 1988, où il pose ses sacoches.
Au début des années 1990, c’est en Louisiane qu’il décide de traîner ses guêtres et ses flashes, devant les trompettistes. En 2005, l’ouragan Katrina détruit une grande partie de sa maison et de son studio, et emporte 8.000 photos d’archives. Par bonheur, des pellicules étaient conservés au musée de l’art du sud des Etats-Unis d’Ogden.
La fondation Grammy, à L.A, propose de numériser son œuvre et d’organiser la conservation de sa collection (plus 60.000 négatifs), exposée dans de nombreux musées aux Etats-Unis, notamment à la Smithsonian Institution de Washington. Caché, des années, derrière son appareil, Herman Leonard entre aujourd’hui, dans la lumière…
Très belle audience sur TF1 pour la série le Mentalist, chouchou des Français(es) et poule aux oeufs d’or de la Une qui a sérieusement distancé un téléfilm diffusé sur France 2.
La barre des 8 millions de téléspectateurs a été atteinte lors de deux prime time consécutifs. Alors que M6 parvenait à ce score en diffusant la rencontre Bosnie-Herzégovine/France ce mardi, ce mercredi soir TF1 en faisait de même avec le Mentalist.
Troublés par Trou Noir, titre du troisième épisode de la saison 2 des aventures de Patrick Jane (alias Simon Baker), pas moins de 8 187 000 téléspectateurs, c’est-à-dire 31,8% de part de marché, ont suivi les 45 minutes de suspense tant attendues.
De quoi miner Le Chat Et Les Souris (mais juste un peu, hein !) téléfilm adapté de l’ouvrage d’Agatha Christie. Grâce aux prestations des acteurs Antoine Duléry et Marius Colucci, quelque cinq millions de personnes ont succombé à cette page de la collection Petits Meurtre de France 2, soit près de 20% de part de marché.
Pendant ce temps, sur M6,
enfourchait son scooter et mobilisait ses copains agents immobiliers pour jouer les hommes de pierre dans Recherche Appartement Ou Maison sur M6, émission qui a fait télé-cohabiter 2 773 000 personnes (10% du public).
Actuellement à l’affiche de Potiche, enchaîne les projets et pourrait bien s’essayer dans un tout autre genre, le biopic. En effet, le comédien pourrait camper , Président disparu en 1996.
La politique a le vent en poupe auprès des cinéastes. Alors que Denis Podalydès prête ses traits à Nicolas Sarkozy, et que
souhaiterait être incarné par Alain Delon, voici que Fabrice Luchini va camper le Président François Mitterrand.
Actuellement en cours d’écriture, l’adaptation cinématographique du livre de Raphaëlle Bacqué Le Dernier Mort de Mitterrand, se concentrera sur le suicide au sein même de l’Elysée de l’ancien conseiller du président socialiste.
Alors que la production recherche encore ses comédiens, plusieurs noms circulent déjà quant aux personnages principaux. André Dussolier est pressenti pour incarner François de Goussouvre, retrouvé mort une balle dans la tête en 1994. Proche de François Mitterrand, le conseiller était chargé de protéger le secret de l’existence de la fille illégitime du Président, Mazarine Pingeot.
Et c’est Fabrice Luchini qui aurait été choisi pour camper le chef de l’Etat. Après Jean-Louis Trintignant dans Le Bon Plaisir, et Michel Bouquet dans Le Promeneur du Champ de Mars, c’est désormais le protagoniste de Rien Sur Robert et Beaumarchais l’Insolent, qui va prêter ses traits à celui que l’on surnommait Tonton.
Et les deux comédiens se connaissent bien, pour avoir déjà joué ensemble dans Un Air Si Pur, sous la direction d’Yves Angelo… Qui devrait signer la réalisation du film en projet. Mieux: le scénario est écrit par Marc Dugain, qui a réalisé Une Exécution Ordinaire, dans lequel Dussolier incarnait Staline.
Prévu en 2011, le tournage devrait donc rassembler des cinéastes qui se connaissent bien, et pas des moindres.
Sorti il y a une semaine, le nouvel album de Bleu Noir cartonne et s’empare de la première place des classements de ventes.
Malgré des critiques désastreuses et dans un contexte d’industrie du disque moribonde, Mylène Farmer a réussi un coup de force avec son nouvel album et prouve une fois de plus qu’elle est l’artiste féminine française numéro un en France.
En une semaine, Bleu Noir, son nouvel opus, sorti le 6 décembre dernier, s’est hissé à la première place des classements avec 151 162 ventes dont 139 176 sur support physique. Mylène Farmer signe ainsi le meilleur démarrage pour un album en 2010, devant deux autres poids lourd,
et
.
Alors que tous les professionnels du disque se plaignent de la crise, des téléchargements illégaux et de leur influence sur les ventes de disque, Bleu Noir se débrouille mieux que les précédents opus de la rousse chanteuse, Point de suture et Avant que l’ombre. Le premier extrait Oui mais…Non cartonne lui aussi et se maintient à la première place des ventes de singles depuis deux semaines.
Au-delà des chiffres, il faut retenir la performance de Mylène Farmer malgré un léger désamour avec son public depuis quelques années et de vives critiques sur sa production artistique. L’interprète de Libertine semblait un peu tourner en rond et manquer d’inspiration. Pour son Bleu Noir, la chanteuse a décidé de frapper un grand coup et de se renouveler. Première victime du grand nettoyage farmerien (qui ne regrette rien): Laurent Boutonnat. Le pygmalion, l’homme de tous les succès, son fidèle complice, celui qui l’a lancé. C’est la première fois depuis Maman a tort que Boutonnat ne participe pas à un album de Mylène Farmer. Leur collaboration avait survécu au naufrage cinématographique de Giorgino. A la place, elle a préféré s’entourer de Moby, Red One et Darius Keeler du groupe Archive.
The economic crisis and EU red tape have led to a sharp drop in the number of clinical trials in the EU
Over the past decade, Europe’s pharmaceutical industry has faced a serious problem – a decline in the output from research being conducted. The reasons are myriad, including a lack of confidence in investment and austerity-driven budget cuts. But what inhibits researchers most, they say, is cumbersome EU regulation.
In 2001, when the EU passed the clinical trials directive, the aim was to harmonise the way in which drug trials are conducted to facilitate more information-sharing and avoid duplication. But, according to researchers, the requirements that have been in place since 2004 have resulted in a bureaucratic tangle that has slowed down the pace of research. Even small-scale clinical trials can require huge amounts of documentation.
The European Commission acknowledges that the problem exists and is trying to do something about it. “It is too complex when it is a multi-national trial, an assessment is repeated in each member state,” said Paola Testori, director-general of the Commission’s health department. “It has a negative impact not only on the pharmaceutical industry but also on patients.” The Commission estimates that the directive contributed to a 25% decrease in the number of clinical trials between 2007 and 2011. The number of clinical trials in Europe each year is now less than half that conducted in the United States.
Last year the Commission put forward a proposal to revise the directive and simplify the authorisation procedure by requiring only one application per clinical trial – although this would still be subject to approval by each member state concerned. The proposal would also give the Commission the right to check that the rules are being properly applied.
The European pharmaceutical industry has welcomed the proposal, but it is concerned that it may be watered down by the member states and overburdened with transparency requirements by the European Parliament.
The proposal would allow member states to opt out of the ‘single EU submission’ for some sensitive issues such as stem-cell research. But several member states want this opt-out to be much wider, covering areas such as medications that are used by ‘vulnerable’ people. “That is something we are concerned about, [that] it would fragment the assessment,” said Gabriella Almberg, head of government affairs for the European Federation of Pharmaceutical Industries and Associations (EFPIA). “There is no proper definition of what is a vulnerable person…it could be almost everyone.”
Almberg said the industry is also worried about moves by Glenis Willmott, a centre-left British MEP who is guiding the legislation through the Parliament, to expand the directive’s transparency requirements. The Commission’s proposal requires that clinical trial results are made public and seeks to make it easier to tell whether a trial is ongoing. It would set up a ‘transparency database’ where companies would have to publish summaries of their clinical study reports one year after they are conducted. But Willmott wants to see the full reports published. “A simple summary has the potential to be biased and misleading,” she said.
Almberg said such a requirement could risk the disclosure of commercially sensitive information before a company has had a chance to market its drug. “We would be concerned about having to publish that before we have the medicine on the market,” she said. “We also question the value – patients don’t have an interest in this when the medicine is not available to them anyway.”
The issue has become one of the most contentious in the revision of the directive, and Willmott held a special hearing on the issue yesterday (10 April). Health campaigners say the revision should put questions of transparency and patient safety ahead of commercial concerns.
One aspect of the Commission’s proposal that has concerned both the pharmaceutical industry and health campaigners is its failure to set out a framework for ‘ethics committees’ in member states, which look at patients’ rights issues in clinical trials, such as informed consent. There have long been complaints that the 2001 directive allowed member states to operate these bodies in widely divergent ways, and the 1,800 ethics committees active in Europe do not systematically communicate.
The Commission proposal has created alarm because it does not specify that the analysis of ethics should be carried out at national level. MEPs want to make clear that ethics is a national competence. The Parliament’s environment committe will vote on the proposal next month.
Financial concerns
The slowing down of clinical trial activity in Europe cannot be blamed entirely on the EU directive. The economic crisis plays a part too. Member states are trying to constrain spending on national health services as part of general austerity drives, and industry complains of a reduction in incentives for investment in research and innovation.
Measures adopted have included increased VAT on medicines and strict new pricing environments. Spain has lowered the price of generic medicines by 30%, while the UK has cut 1.9% off branded National Health Service medicines. Germany has introduced a price freeze on reimbursable medicines.
All of this, combined with the general economic downturn, has made pharmaceutical companies increasingly cautious about investing in long-term research. Even if a revision of the EU’s clinical trials rules reduces administrative burdens, economic conditions could still hold down research budgets.