a vendu un baiser aux enchères, au profit d’un hôpital londonien. Son petit ami n’a pas trop apprécié.
Ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir embrasser la légende Kate Moss. Il faut débourser pour cela 5000 livres sterling, doit 5500 euros.
Jeudi, lors d’une vente aux enchères au profit du Great Ormond Street Hospital à Londres, la top a joué le jeu, et a accepté de donner un baiser au plus offrant. C’est Hosh Ibrahim, un entrepreneur britannique qui a réalisé son rêve, et a goûté les lèvres de la top après avoir été le dernier à surenchérir à hauteur de 5000 livres sterling.
Kate Moss, cheveux en bataille, petite robe noire à fines bretelles et bouche rouge vif, a directement fourni le produit de la vente à son acquéreur, et ce, sous les yeux de son amoureux, Jamie Hince qui l’avait accompagnée au Bloomsbury Ballroom.
Mais Kate ne l’a pas emporté au paradis. Selon The Sun, elle a dû ensuite rattraper le guitariste de The Kills, qui a quitté la salle pour ne pas assister à la scène. Il faut dire que le bel inconnu ne s’est pas contenté d’un petit bisou, et il a eu droit à un vrai baiser langoureux de la brindille.
se donne toujours sans compter sur scène. Mais le bouillonnant quinqua s’est senti mal à Dieppe. Il doit se reposer, même s’il n’a plus de domicile.
La santé revient avec le soleil pour Francis Lalanne… Le chanteur avait vu son ciel s’assombrir après un malaise ce week-end, dans l’ouest de la France lors d’un gala… Depuis, les nouvelles sont meilleures. Mais l’interprète de Rentre Chez Toi va devoir se reposer. La seule question étant « où? », si l’on en croit ses dernières révélations sur M6 où il a admis être… SDF.
La vie de Francis Lalanne a quelque chose d’un chemin de croix, ces temps derniers. Après s’être confié à la télé sur son errance, le poète aux cheveux longs a en effet tremblé dans ses cuissardes avant de s’effondrer sur scène. Un incident qui s’est déroulé au casino de Dieppe où un témoin a raconté que c’est en interprétant la chanson Nathalie de Gilbert Bécaud, que Francis Lalanne « a semblé tituber un peu… comme un flottement… Il a contourné son piano et il est tombé d’un seul coup sur le sol de la scène. Quand il a fait ça, on a cru que ça faisait partie du spectacle. »
Mais là, aucun rapport avec le sens théâtral de Francis Lalanne qui a tout simplement fait un malaise sur la scène du casino de Dieppe. Ce qui lui avait valu d’être transporté au CHU de Rouen dont il est sorti ce lundi, en fin de matinée avant de repartir vers Paris.
D’après son entourage, Francis Lalanne aurait été victime d’un certain surmenage et il s’est engagé à rejouer à Dieppe dans le cadre de sa tournée où il interprète des Textes Immortels (de Brel, Brassens, Ferré, Gainsbourg, Nougaro, etc.) dès que possible. On devrait en savoir plus avant le 11 avril.
« Je suis SDF, je n’ai plus de domicile fixe, j’habite le vent, la route, la bohème », a déclaré Francis Lalanne dans l’émission Accès Privé. Alors qu’il squatte chez des amis Parisiens, se sert du sous-sol d’un bar du 9e arrondissement comme dressing et se promène avec un sac en plastique (avec son gel douche, son déo’ et sa brosse à dents), il affirme ne pas être ruiné. Il a simplement tout vendu après l’explosion de son couple. Un choix de vie. Même si, l’épisode de Dieppe l’a démontré, c’est la vie qui souvent choisit.
En véritable icône de mode, va désormais montrer la «voix» aux petites curieuses qui se rendront au Metropolitan Museum Of Art de New York. Eh oui, la jolie blonde prêtera sa voix aux audio-guides d’une exposition sur la mode.
Elle a joué dans Sex & The City et elle est l’icône de la prestigieuse marque Halston: il n’en fallait pas plus au musée d’art de New York pour faire appel à Sarah Jessica Parker pour guider les visiteurs. Le thème de l’exposition? La mode, bien sûr. Et qui pouvait mieux représenter la féminité et expliquer la mode aux femmes, que cette fashionista de la première heure?
De sa célèbre voix, l’héroïne de Sex & The City guidera donc les visiteurs tout au long de l’exposition intitulée «La femme américaine: confectionner une identité nationale». Une rétrospective des tendances de la femme américaine entre 1890 et 1940. «Grâce à la série, elle est tellement associée à New York, aux Etats-Unis, et au fait d’utiliser la mode comme un moyen de se forger son identité et sa personnalité», expliquait Andrew Bolton, le conservateur de l’institut, au webzine WWDFashion.
L’expo débutera le 5 mai à l’Institut du Costume, un mois à peine avant la sortie du second volet de Sex & The City au cinéma, prévue le 2 juin en France.
Plutôt sympa, de se faire conter les tendances du début du siècle par Sarah Jessica Parker… isn’t It?
Mia Wasikowska, au même titre que Zoe Aggeliki, serait pressentie pour jouer l’un des rôles importants du deuxième volet de “Hunger Games”, celui de Johanna Mason, jeune participante aux jeux et experte dans le maniement de la hache.
Les rumeurs continuent à aller bon train s’agissant du casting du prochain Hunger Games. Après les démentis de Robert Pattinson et de Armie Hammer et la possible participation d’Idris Elba et de Philip Seymour Hoffman, deux nouveaux noms circulent à Hollywood. Ceux de Mia Wasikowska et de Zoe Aggeliki, que l’on verra prochainement dans l’adaptation du comic book R.I.P.D., toutes deux courtisées pour le rôle de Johanna Mason, jeune participante aux jeux issue du District 7 et experte dans le maniement de la hache. Début du tournage prévu en août.
Le joyeux bestiaire de “L’Age de glace” effectue un retour en force sur la capitale en réalisant le meilleur démarrage parisien de l’année avec 11 463 entrées. Une jolie performance boostée par la Fête du Cinéma.
1 – L’Âge de glace : la dérive des continents – 11 463 entrées (26 copies)
2 – Un bonheur n’arrive jamais seul – 2 585 entrées (20 copies)
3 – La Part des anges – 1 827 entrées (19 copies)
4 – Starbuck – 1 205 entrées (13 copies)
5 – Bel ami – 950 entrées (11 copies)
6 – Safe – 925 entrées (11 copies)
7 – La Clinique de l’amour ! – 432 entrées (11 copies)
8 – Alice n’est plus ici (reprise) – 47 entrées (2 copies)
9- Jules et Jim (reprise) – 39 entrées (2 copies)
10 – Off World – 19 entrées (2 copies)
11- Sibérie – 17 entrées (1 copie)
12 – Quand souffle le vent (reprise) – 7 entrées (1 copie)
est revenu ce matin sur Europe 1 sur le passage de hier au soir au Grand Journal de Canal +. L’acteur était venu rendre hommage à , et certaines de ses remarques ont inspiré au chroniqueur un billet assassin.
La première phrase de sa Douche Froide donne le ton: «La marge est étroite entre le génie et la connerie. Longtemps Gérard Depardieu a funambulé sur cette frontière ténue, mais il dansait avec grâce, toujours du bon côté». La conclusion est sans appel: «Hier sur Canal +, Chabrol et Depardieu sont morts en même temps. Pour Depardieu, on préférait la version d’avant». Entre les deux, Guy Carlier tire à boulets rouges sur l’interprète de Cyrano de Bergerac. Ses saillies ne sont pas aussi bien troussées que celles écrites par Edmond Rostand, mais elles sont tout aussi assassines.
Certes, dans son témoignage et sa réaction au décès de Claude Chabrol, Gérard Depardieu n’a pas fait preuve de la plus grande des finesses. En comparant le décès du réalisateur à celle de son chat («j’ai peut-être ressenti une chose aussi forte avec la mort de mon chat »), il a plus fait preuve de maladresse qu’autre chose. Mais il a aussi affirmé: «C’est la première fois que j’ai vu un homme faire l’amour avec la vie. (…) Je plains les gens qui ont été proches de lui au quotidien car ce sera une absence lourde».
Guy Carlier ne l’a pas entendu de cette oreille et s’en est pris violemment à lui allant jusqu’à déclarer que Depardieu «est devenu un clown pathétique et sentencieux dont les neurones semblent confits par l’alcool comme ces mirabelles de Nancy rabougries dans leurs bocaux d’eau-de-vie». Il le compare au passage à Shrek, Eve Angeli, Jean-Claude Van Damme, Steevy Boulay et Francis Lalanne. Ces derniers apprécieront. Ou pas.
Certes on sent poindre derrière les mots cruels de Carlier, la déception, le désamour. Il regrette le Depardieu du Dernier Métro et des Valseuses, des films de Pialat et de Téchiné. Il lui reproche d’être invité des médias parce qu’il est un bon client comme on dit, dont on est sûr que les réflexions créeront le buzz. On se souvient d’ailleurs des récentes déclarations de Gérard Depardieu sur Juliette Binoche. Mais la charge de Guy Carlier est lourde. On attend désormais de connaître la réaction de l’intéressé.
Révélée dans la série Les Bleus diffusée sur M6, a été choisie par David Fincher pour rejoindre le casting de son adaptation de la saga Millenium. Une véritable aubaine pour cette jeune actrice.
Encore débutante dans le cinéma français, Elodie Yung peut déjà toucher du doigt le rêve américain. La jeune actrice, révélée dans la série Les Bleus, premiers pas dans la police, diffusée sur M6, vient de recevoir une proposition qui ne se refuse pas: tourner dans le prochain film de David Fincher. Depuis son tout premier long-métrage, Alien 3, et surtout depuis Seven, le réalisateur est devenu une pointure à Hollywood et chacun de ses nouveaux projets créé l’événement.
Le prochain n’échappera pas à la règle puisqu’il s’agit de l’adaptation américaine de la saga Millenium, les romans écrits par le Suédois Stieg Larsson. Le réalisateur a déjà commencé le tournage de The girl with the dragon tatoo et doit continuer ses prises de vue au printemps, en Suède.
C’est là qu’Elodie Yung rejoindra l’équipe. La petite frenchie a été choisie pour interpréter le rôle de Myriam Wu, la copine de Lisbeth Salander, l’héroïne de l’histoire. Elle donnera la réplique à Rooney Mara, qui endosse les habits de la célèbre gothique, et
, choisi pour être Mikael Blomkvist. Comme le rapporte Le Parisien ce vendredi, l’heureuse élue a déclaré «c’est ma bonne nouvelle de l’année».
Pour ceux qui auraient raté ces précédentes prestations à la télé ou au cinéma (on l’a vue notamment dans Fragile(s) et Banlieue 13 – Ultimatum), il est possible de découvrir la belle Elodie sur Internet dans Let her, un court-métrage réalisé par Paul Mignot dans la collection Mood (dont les photos et les films seront exposés à partir du 24 mars à La cantine du Faubourg). Une superbe production en noir et blanc au cours de laquelle Elodie Yung s’exprime en anglais. C’est peut-être d’ailleurs ce qui a convaincu David Fincher de choisir l’actrice, séduit par son joli minois et son aisance dans la langue de Shakespeare.
Collection Mood. Exposition à partir du 24 mars à La cantine du Faubourg, 105 rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris.
A slew of Deutsche Bahn-backed reports has been released in the past few months arguing that the current model in Germany is not stifling competition. Earlier this month, a report from the Community of Rail Infrastructure Managers (CER), which represents the incumbent rail operators, said that a mandated separation would raise the costs of rail transport without delivering any proven boost to competition.
“The imposition of one single European model for all national rail systems would lead to increasing costs for all stakeholders,” said CER chairman Mauro Moretti. “Today member states’ budgets could not cope with the rising costs deriving from such a reform, nor could the European citizens.”
Another report published by DB in July showed that competitiveness in the German rail market is actually increasing. This year, the market share of DB’s competitors passed the 20% mark for the first time, and operating performance on Germany’s rail network rose by 1.6%. But the Commission suspects this is only for those sections of the market where DB allows competitors to operate. CER, Deutsche Bahn and SNCF all say that member states should be allowed to choose whether they separate or not.
Patchwork patterns
Speaking to European Voice, Siim Kallas, European commissioner for transport, said such a patchwork of ownership patterns would discourage the development of a pan-EU rail market, which is the ultimate goal. “I cannot see how we can organise a functioning European network if you don’t separate railway services and operating rolling stock,” he said, adding that having different operating structures in each country hinders long-distance freight and passenger traffic.
“If we want to offer an alternative to road transport, then we have to have a pan-European functioning railway network that doesn’t only have very strong national railway companies like Deutsche Bahn and SNCF,” he added.
“There must be some kind of inter-operability, not only in technical terms but also of logistics and functioning and rules.”
Eurostar, which is the only dedicated high-speed international rail company in Europe, is a prime illustration of this problem. The company has had great difficulty expanding its operations beyond its current Paris-London-Brussels axis because of high charges for track access levied by national companies.
Kallas says the infrastructure initiatives to establish pan-European rail networks, such as the Ten-T network in the Connecting Europe facility, will be meaningless if the rail market structure is not reformed to foster greater competition. A country-by-country approach will not work, he says, because smaller countries are reluctant to open their rail market to Deutsche Bahn if Germany is not going to reciprocate.
A high-level expert review has called for banks to separate risky investments from retail activities.
Banks in the European Union should separate their risky investment activities from the retail side of their business, a high-level expert review group has told the European Commission today.
The group, headed by the president of Finland’s central bank, Erkki Liikanen, said that the ring-fencing of risky activities would protect consumers and the financial system from the sort of turmoil seen in the financial industry over the past few years.
In a statement Liikanen said that, under the group’s plan, “deposits, and the explicit and implicit guarantee they carry, would no longer directly support risky trading activities”.
Banking sector analysts say that rules to ensure that retail banking operates separately from riskier trading activities would protect the bank’s ordinary savers if parts of the institution collapsed.
If the measures proposed by the independent review panel were implemented it would represent a radical overhaul of the EU’s banking sector, but there is little indication that Michel Barnier, the European commissioner for the internal market and services who ordered the independent review, is in any rush to push through new legislation.
He said that the Liikanen report would “feed our reflections on the need for further action”.
He added: “I will now consider the next steps, in which the Commission will look at the impact of these recommendations both on growth and on the safety and integrity of financial services.”
The group also said that it supported bank ‘bail-ins’, an idea already being pursued by the Commission that would force bondholders to pay for a bank collapse, rather than taxpayers having to foot the cost of a ‘bail-out’. The panel said bankers’ bonuses should be given as bonds with these conditions.
The Liikanen proposals are similar to those proposed in the UK by the Vickers report and in the US by the Volcker rule.
Martin Schulz is to present this year’s Charlemagne Prize.
Every year since 1950, the German city of Aachen, whose cathedral contains the tomb of the Emperor Charlemagne, has conferred the Charlemagne Prize on someone deemed to have done great things for European unification.
This year, on the tenth anniversary of the signing of the EU’s membership agreements with the Baltic states, the prize is to be awarded to Dalia Grybauskaite, the president of Lithuania and a former European commissioner. By tradition, the prize is awarded on 9 May.
An interesting twist this year is the choice of orator: Martin Schulz, the president of the European Parliament. The organising committee has effectively turned to a local boy made good, since Schulz is a former mayor of Würselen, which is a town in the district of Aachen. Moreover, the local boy wants all the publicity he can get, as he is engaged in a semi-official campaign for the socialist nomination to be the next president of the European Commission.
Quite how the plain-speaking Grybauskaite will cope with being praised by Schulz is an intriguing question.