C’est pas le Nirvana pour la déjantée . La veuve de vient de perdre la garde de sa fille, Frances Bean.
Sulfureuse, la veuve de l’icône Rock Kurt Cobain jongle entre carrière musicale avortée, apparitions cinématographiques trash, automutilation et cures de désintoxications…Vilipendée pour sa vie dissolue, ses frasques sexuelles et ses arrestations multiples, la «Dirty Blonde» n’en finit pas d’alimenter les colonnes de la presse à scandale. Un juge de Los Angeles a fini par retirer à Courtney Love, 45 ans, la garde de sa fille pour la confier à Wendy O’Connor et Kimberly Dawn Cobain, respectivement mère et soeur de la défunte idole grunge.
On ne connaissait pas lundi les raisons de cette décision. La mesure judiciaire rendue publique par le site TMZ ne mentionne pas Courtney Love. La veuve de Kurt Cobain, qui s’est suicidé en 1994, a eu affaire à la justice à plusieurs reprises ces dernières années suite à des problèmes de drogue. En 2003, sa fille avait déjà était confiée à sa grand-mère, alors que Courtney était arrêtée et hospitalisée pour abus de pilules miracles. Condamnée en septembre 2005 à 180 jours de « sobritété », pour n’avoir pas respecté les termes de sa liberté conditionnelle, Love ne devait pas détenir d’antalgiques, ni se montrer en public sous l’emprise de la drogue, ni s’en prendre à autrui physiquement.
Espoir. En février 2009, cette mère torturée était honorée du titre de «Femme de l’année» par le magazine féminin ELLE pour avoir su vaincre ses démons. Mais ces derniers mois, la figure centrale de Hole replonge au fond du trou. Aficionados du Web et fan de Facebook, elle est critiquée pour des écrits postés sur Internet dans lesquels elle s’en prend à un ancien membre du groupe grunge. Elle est ainsi en conflit ouvert avec un designer de mode de la Cité des Anges qui estime avoir été diffamé dans ces écrits.
Frances avait-elle à craindre pour sa sécurité?
En tout cas, c’est un coup dur pour la chanteuse peroxydée. Son roc, c’est Frances Bean, 17 ans. Sans sa fille unique, il y a fort à parier que Courtney Love aurait suivi son époux, leader charismatique de Nirvana, dans la tombe. Petit à petit pour les beaux yeux bleus de sa fille chérie, la chanteuse avait tenté de se reconstruire. Tant bien que mal. Et n’avait jamais négligé la chair de sa chair.
Simple et généreux, il n’a qu’un souci: transmettre son savoir. Et a fait du village de son enfance un rendez-vous incontournable des gastronomes. Balade gourmande au cœur de la Haute-Loire. Par
«Il faut s’accrocher, ce qui nous sauvera, c’est la sincérité.» Cette phrase lue dans Le Monde me fit découvrir Régis Marcon. Il était déjà un des rares chefs à avoir 3 étoiles au Michelin. Il avait obtenu le Bocuse d’Or. Le guide Gault Millau l’avait consacré «Chef de l’année». Sa phrase sur la sincérité m’a touché au point que je l’ai, depuis, souvent citée à la fin de mes émissions. J’appris que la grande spécialité de Régis Marcon, c’est la cuisine des champignons. Il en connaît plus de mille espèces, et il en sert une quarantaine dans son restaurant – chutney de chanterelles, brochettes de morilles des pins au romarin, trompette de la mort qu’il mêle à un ragoût de lentilles à l’œuf de caille…
La belle saison, pour les champignons, c’est l’automne. Du coup, en octobre, je suis parti à la rencontre de cet homme. En sortant de Lyon, on découvre vite de belles départementales qui traversent forêts, prairies et monts d’Ardèche, ce que Régis Marcon appelle «les virages peu propices aux limousines». Jusqu’à un village entre Velay et Vivarais: Saint-Bonnet-le-Froid.
C’est Michèle Marcon qui m’accueille, son mari est en comité régional. Il est 15 h 20, nous sommes en fin de service. Elle m’offre du thé: les sucres servis sur le côté de la tasse sont en forme de champignon! Des champignons, il y en a partout autour de nous: salières, poivrières, même les pièces d’un jeu d’échecs posé sur une table basse sont des champignons stylisés. Je vois sortir de table un couple de clients âgés, des Allemands qui venait fêter leurs soixante-deux ans de mariage ! Ils me disent en français avoir «déjeuné leur rêve». Ils avaient réservé leur table et leur chambre depuis vingt-neuf mois…
Régis va bientôt rentrer. Michèle est heureuse de pouvoir parler de leur aventure commune, elle qui n’apparaît pas sur le nom du restaurant, Régis et Jacques Marcon, Jacques, le fils aîné, que je rencontrerai un peu plus tard dans la journée. Elle a seize ans et lui dix-huit quand ils se rencontrent à Lalouvesc. Le couple reprendra l’auberge de la maman de Régis, où cette femme cuisinait par cageots entiers cèpes et canaris (j’ai donc appris que le canari est aussi un champignon) qu’elle servait à la louche à sa clientèle familiale. Jusqu’en 1987, ce sont huit année de démarrage.
Michèle me confie qu’ils ne savaient pas où ils allaient. Un jour de mai 1987, le téléphone sonne dans la cuisine de l’auberge, où l’appareil en bakélite, suspendu au mur, est le seul lien de Régis avec le monde extérieur. C’est Christian Millau qui appelle et c’est le coup de feu. Régis n’a pas le temps de rire de la bonne blague de cet imposteur qui se fait, croit-il, passer pour M. Millau. Il raccroche. Il en dit deux mots à sa femme. Le téléphone sonne à nouveau. Il s’agissait bel et bien du grand Christian Millau, qui avait entendu parler de lui. Il vient un lundi, jour de fermeture, et se retrouve seul à dîner – des champignons, bien sûr, et une tarte aux lentilles. L’éditorial du magazine du journaliste gastronomique sera consacré au chef Régis Marcon, et depuis, le téléphone n’a plus cessé de sonner.
Pourtant, il faut y faire venir les clients dans ce village de deux cent vingt habitants, protégé des grands axes routiers, à 1500 mètres d’altitude. Régis songe à partir en ville, au Puy sans doute. Michèle s’accroche à leur première idée : rester dans leur campagne, car elle était écolo bien avant la mode. Pour la nature, donc, et surtout pour les enfants : le premier de leurs quatre petits était déjà arrivé.
Jacques est aujourd’hui en cuisine avec son père. C’est lui qui gouverne et sort les plats. Le père pose le dernier coup d’œil du maître avant le service en salle. Je rencontre Jacques: «Mon père partait au marché le samedi à 4 heures du matin, il s’endormait au volant, je parlais fort pour le réveiller. En juillet-août, il n’avait pas un jour de congé, je me sentais obligé de l’aider en tant que fils aîné.» Jacques fait maintenant le marché. Je le reverrai à son retour, à 8 h 30 le lendemain matin, embrasser son père : le maître et l’élève, le père de cinquante-trois ans et le fils de trente et un.
Jacques me dit: «Le marché, c’est formidable, tu fais ta carte en direct en voyant les produits. Grâce à ma mère et mon père, nous avons sauvé Saint-Bonnet-le-Froid qui serait devenu un village-dortoir. On a permis aux écoles de continuer à vivre. Il y a aujourd’hui vingt-deux commerces, dont dix de bouche.» Son père nous rejoint et enchaîne: «Il y a aussi plusieurs hôtels. Le nôtre, bien sûr, construit avec les pierres de la maison de ma mère. » Avant de construire, Régis a montré les plans à un des plus grands chefs de France qu’il admire, Michel Bras. La réponse de Michel Bras fut claire: «Ce que j’en pense, c’est que vous êtes fous ! » Depuis l’affaire fonctionne à merveille.
Dans ce lieu décontracté, même depuis les trois étoiles, l’ambiance reste celle d’une ferme. «A Saint-Bonnet, nous avons une foire aux champignons et, récemment, elle allait disparaître. Je décidai de cuisiner la plus grande tarte aux champignons du monde : trois mètres de diamètre, et depuis nous sommes dans le Guinness Book des records! On a sauvé la foire. Trente-cinq à quarante mille visiteurs pendant deux jours ! Toutes les personnes du village viennent donner un coup de main.»
Des habitants errent dans les rues dévastées de Port-au-Prince, abrutis par le choc, ils s’efforcent de venir en aide aux personnes bloquées. Aux Etats-Unis, un bastion de célébrités, emmené par le chanteur d’origine haïtienne Wyclef Jean, a annoncé sa mobilisation.
Des corps sans vie ou blessés jonchent les rues de la capitale surpeuplée du pays le plus pauvre des Amériques. La secousse a duré plus d’une minute, allant jusqu’à faire sauter les véhicules en pleine rue et soulever un rideau de poussière sur la cité, ravagée.
Le courant est coupé. Des centaines de milliers d’habitations ont été détruites. Les forces de l’ONU fouillent les décombres et tentent d’éloigner les pillards des commerces et surtout des magasins d’armes.
Des ruines de Port-au-Prince, une ville de quatre millions d’habitants, s’échappent des cris et des sanglots. Le séisme, de magnitude 7 sur l’échelle de Richter, a très fortement perturbé les communications dans un pays aux infrastructures déjà très rudimentaires, rendant quasi impossible l’acheminement de blessés vers les centres hospitaliers encore debout. «Certaines écoles sont remplies de cadavres», a déclaré le président Préval. D’énormes moyens militaires commencent à arriver à Haïti, où le bilan pourrait largement dépasser les 100 000 morts.
De leur côté, des vedettes réagissent à la catastrophe meurtrière et encouragent leur public à aider les sinistrés.
Médecins sans Frontières a fait savoir mercredi que
et
«effondrés par la nouvelle» allaient offrir un million de dollars au fond d’urgence médicale de l’organisation. L’ONG envoie en conséquence des équipes supplémentaires, dont des chirurgiens, et un hôpital sous tente gonflable pour accueillir cent malades avec deux salles d’opérations. Click Here: Rugby league JerseysAngelina Jolie, ambassadrice de bonne volonté du Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), avait par le passé récolté des fonds pour Yele Haïti, l’organisation de Wyclef Jean. L’ancien chanteur des Fugees, 37 ans, a lui appelé l’armée américaine à diriger les efforts humanitaires et exhorté la communauté internationale à «aider les Haïtiens de toutes les manières possibles».
«Je ne peux pas assez souligner la tragédie que c’est, et le fait que des mains inutiles ne feront qu’aggraver les choses», a déclaré l’artiste hip-hop devenu ambassadeur itinérant du pays. Avant de solliciter bienfaits pour sa fondation Yele Haïti (www.yele.org), qui soutient depuis 2005 les projets éducatifs, artistiques ou sportifs.
D’autres stars du showbiz ont fait part de leur solidarité dans des messages sur Twitter, voire contribué financièrement. «Les gens en Haïti ont besoin de notre aide et de notre attention», écrit ainsi l’acteur
, qui a créé récemment une organisation caritative pour soutenir les écoles haïtiennes. Le couple Demi Moore et Ashton Kutcher a porté la voix de l’Unicef, tout comme les starlettes Nicole Richie et Paris Hilton.
Le chanteur de Coldplay, Chris Martin, s’est engagé en rappelant qu’il avait visité par l’intermédiaire de l’Oxfam «ce pays d’une extrême pauvreté aux conditions de vie brutales».
Dans le milieu sportif, le cycliste américain Lance Armstrong a annoncé depuis l’Australie un legs de 250 000 dollars (172 000 euros) de son organisation Livestrong.
D’autres bouteilles à la mer ont été lancées par les rappeurs P. Diddy et LL Cool J, la jolie Jessica Alba ou encore le groupe Artists for Peace and Justice (Artistes pour la paix et la justice, APJ), qui compte parmi ses membres le réalisateur Oliver Stone et les acteurs Charlize Theron, James Franco et Josh Brolin. Après la stupeur et le désarroi, une armée hollywoodienne se forme, contre le pire…
Jeudi 14 janvier 2010
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Plus qu’un jour ou deux à patienter avant la bande-annonce du très attendu “Django Unchained” de Quentin Tarantino. Et les quelques images dévoilées par la chaîne E.T. ne risquent pas de faire baisser l’impatience…
Un zoom très tarantinesque, des répliques qui claquent et des vrais morceaux de Leonardo DiCaprio en méchant dedans. Dire qu’on attend avec impatience la bande-annonce du Django Unchained de Quentin Tarantino rentre dans la catégorie “euphémisme”, et la bonne nouvelle c’est qu’il ne va plus falloir patienter très longtemps, puisque les images accompagneront Prometheus, dont la sortie américaine est prévue ce vendredi 8 juin. Et histoire de nous mettre encore plus l’eau à la bouche, la chaîne E.T. nous en offre un avant-goût. Attention quand même : la vidéo ci-dessous risque de provoquer une vague de trépignements…
Avec deux présidents de marque (Michael Madsen côté américain et Lambert Wilson côté français), le Champs-Elysées Film Festival avait décidé de frapper fort pour sa première édition. Ajoutez-y Harvey Weinstein, à qui un hommage a été rendu, et vous aurez une petite idée du beau monde présent à l’ouverture. Si non, découvrez notre émission Tapis rouge consacrée à l’événement.
Pour enterrer définitivement l’année 2009, a osé: elle a publié sur son site officiel les articles de presse les plus risibles la concernant. Brit Brit va mieux: elle s’amuse!
Britney Spears est peut-être une paumée mais c’est une jolie farceuse. La chanteuse ne s’est-elle pas offert dernièrement un cadeau vraiment jouissif: mettre en ligne sur son site les 75 articles de presse les plus bidons dont elle a été la cible en 2009? Amours, sexe, famille, pétage de plombs, junk food, caprices, régimes… Certains journalistes ont fait preuve d’une imagination décoiffante!
En voici deux perles. Le Daily Star a fait pleurer dans les chaumières en se penchant sur son enfance marquée par la pauvreté. Vivant dans une caravane avec les siens, la chanteuse n’avait que de l’écureuil ou de l’opossum (adorable petit marsupial) à se mettre sous la dent, grâce aux exploits de son papa chasseur, une fine gâchette.
Quant au Mirror, il l’a carrément fiancée au chorégraphe bollywoodien Sandip Soparrkar. Revêtue d’un sari rouge – un cadeau de son chéri –, elle l’a présenté à ses parents lors du dernier réveillon de l’an. Une soirée i-nou-bliable, of course !
Call for talks on sharing savings tax information but Austria and Luxembourg concerned about secrecy.
The Danish government is bidding to end a three-year impasse on European Union negotiations with other countries about transparency on taxation of savings. Officials from Denmark, which holds the rotating presidency of the Council of Ministers, have called a series of high-level talks on the issue.
Member state officials dealing in taxation matters met on 2 February, but failed to make sufficient progress to force the issue onto the agenda of a gathering of national finance ministers on Tuesday (21 February). Danish officials hope further preparatory talks will permit it to be considered when the finance ministers hold their next meeting, in Brussels on 13 March.
At stake is the opening of discussions with five non-EU countries on the sharing of savings tax information with the EU. The EU wants to reach a deal with Switzerland and then deals with Liechtenstein, Andorra, San Marino and Monaco.
However, two EU countries, Luxembourg and Austria, have long opposed the opening of negotiations on anti-fraud agreements, because they fear that any agreement would impinge on their own culture of banking secrecy.
Bilateral deals
Since the end of 2011, pressure has increased on the EU to make some kind of breakthrough on the matter, as the UK and Germany have signed bilateral agreements with Switzerland. These do not require an exchange of personal information and therefore preserve banking secrecy – but the European Commission has said it will challenge the agreements, because they overlap with EU competencies.
Intensifying the urgency of an EU-wide approach, Austria has now announced that it will begin its own talks with Switzerland on a bilateral agreement. The leaders of the member states, who will hold a summit on 1-2 March, are expected to call for negotiating directives to be rapidly adopted.
Taxation of savings income has been deadlocked since June 2009, when national finance ministers called for “rapid continuation of work in order to find constructive solutions”.
The last three countries to hold the presidency of the Council of Ministers tried to make progress but in vain.
The anti-fraud agreements would bring standards in the five non-EU member states into line with the requirements of the inter-governmental Financial Action Task-Force. But they would not be as high as those that would be brought in within the EU and would subject Austria and Luxembourg to a mandatory higher level of automatic exchange of information than the non-EU countries.
Austria and Luxembourg fear that moves to curtail their own banking secrecy would result in a flight of capital to the five non-EU member states if they were not on an equal footing.
Commission says UK must introduce legislation on works councils or face possible legal action.
The UK could be taken to the European Court of Justice for failing to introduce EU-wide rules on employment in Gibraltar, the European Commission said today.
The Commission announced that the UK had two months to bring its legislation into line with the European Union’s directive on European works councils or face possible court action.
Commission officials said that although the UK introduced appropriate legislation in 2010, it did not cover Gibraltar.
British authorities said that this would be corrected in November 2011 but the Commission says it has received no notification that this has occurred.
EU member states had to bring in laws complying with the works councils directive by 5 June 2011 and send notification to that effect to the Commission.
The aim of the directive was to increase the rights of employees who work for large companies based in more than one member state. Under the new law, these companies have to set up works councils, if requested by employees, as a way of informing and consulting with staff. The move affects about ten million employees in the EU.
The decision to warn the UK was part of a package of 186 actions the Commission took today against member states for failing to implement EU legislation.
‘Mega-lorries’ on the way as Commission changes direction
Changes to legal interpretation of EU rules on maximum vehicle size.
The European Commission is to announce a change to its legal interpretation of the European Union rules on maximum vehicle size, in a move that will allow so-called mega-lorries to cross borders between member states.
Under current rules, lorries on EU roads cannot be longer than 18.75 metres or heavier than 40 tonnes with cargo. But, following the development of extra-large ‘megalorries’ – which are nine metres longer and 20 tonnes heavier than normal lorries – the rules were changed to allow member states to conduct trials of larger vehicles. These trials could be conducted only within member-state borders and for a maximum of five years.
The Netherlands, Germany and the Nordic countries, which favour mega-lorries, have started their own trials, and there are reports of the restrictions being circumvented by decoupling and recoupling the lorries at the borders between the Netherlands, Germany and Denmark.
As recently as 2010, Siim Kallas, the European commisioner for transport, re-affirmed that cross-border trials would violate EU rules. But Commission sources now indicate a change in interpretation of the text, which would allow the mega-lorries to cross into other member states with trials.
Change of plan
Kallas was expected to announce the change at a conference held by the International Road Union on Wednesday (29 February). However, following an angry reaction from campaign groups, MEPs and member states, the announcement was postponed.
Far from being an administrative change, many see this as being a green light to introduce mega-lorries throughout Europe.
Kallas is now expected to make the announcement to the Parliament’s transport committee instead, when it meets later this month. The Commission may also notify member states of the change over the coming week.
MEPs are concerned that making the change via legal interpretation rather than by revising the directive bypasses the co-decision process. The directive is due for revision next year.
“The Commission only yesterday concluded a public consultation on exactly this issue,” said William Todts of campaign group Transport & Environment. “So at the time they were asking stakeholders and members states to answer a whole set of questions related to cross-border traffic, they were working on a new interpretation. It is not very respectful to stakeholders.”
Road haulage associations have been lobbying for the large vehicles to be allowed, saying they would cut costs by 20%-30% and result in fewer trucks on the road. But rail organisations say it would result in a 30% shift of freight from rail to road, which would be contrary to the climate goals set out in the Commission’s transport white paper. There are also safety concerns about the extra-large lorries.
Lithuania plans to break up its gas utility under EU ‘unbundling’ rules.
Gazprom, Russia’s state-owned energy giant, is taking Lithuania to international arbitration over the Baltic country’s plan to break up its only gas utility under the European Union’s ‘unbundling’ rules.
Gazprom announced the move in a statement today (1 March).
Lietuvos Dujos, the Lithuanian company in question, purchases, transmits and distributes Russian gas in Lithuania and manages the transit of Russian gas to Kaliningrad, a Russian exclave. Gazprom owns 37% of the company and says that the legal challenge is a way of protecting its investment.
Lithuania is planning to split the company’s sales and transmission divisions in line with the EU’s third energy package.
Last year, Lithuania’s government asked the European Commission to investigate Gazprom after the company refused to grant Lithuania the same price cuts as neighbouring Latvia and Estonia, in retaliation against its unbundling plan.