APPEL A TEMOIGNAGES. Votre mairie a pris un arrêté anti-pesticides ? Racontez-nous

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Arrêtés anti-pesticides, riverains inquiets de voir des produits phytosanitaires épandus à quelques mètres de leur habitation, agriculteurs agressés, débat sur la distance minimale à respecter… La question des pesticides suscite de plus en plus de tensions en France. Alors que la consultation citoyenne sur ce sujet brûlant s’est achevée mardi 1er octobre, “Envoyé spécial”, qui y consacrera un reportage sur France 2 le 24 octobre, et franceinfo se sont associés pour vous donner la parole, avec un dispositif similaire à notre #AlertePollution.En dix jours, nous avons reçu plus de 550 réponses de riverains de parcelles agricoles (67,3%) et d’agriculteurs confrontés au problème (32,7%). Un chiffre conséquent qui nous permet d’avoir une vue d’ensemble du sujet. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de recentrer cet appel à témoignages autour de la question des mairies qui ont pris des arrêtés anti-pesticides ces derniers mois, dans le sillage de Langouët (Ille-et-Vilaine). L’objectif est de réaliser une carte la plus complète possible.Votre maire a pris un arrêté anti-pesticides et vous soutenez/dénoncez cette démarche ? Racontez-le nous – même s’il a été annulé depuis – en remplissant le formulaire ci-dessous et en nous laissant vos coordonnées pour que nous puissions vous recontacter.Click Here: West Coast Eagles Guernsey

Syrie : jusqu’à 1 000 soldats américains vont quitter le nord du pays

C’est la quasi totalité des forces dans le pays. Le chef du Pentagone Mark Esper a annoncé, dimanche 13 octobre, le retrait de jusqu’à 1 000 soldats américains du nord de la Syrie. Il a évoqué une “situation intenable” pour des troupes qui “peuvent se retrouver prises en étau” entre les Kurdes et les Turcs. “C’est une situation vraiment dramatique là-bas. Une situation provoquée par les Turques, par le président Erdogan”, a lancé le ministre américain.Des “guerres sans fin”“Nous n’avons pas abandonné les Kurdes”, s’est-il défendu, alors que les critiques de la communauté internationale pleuvent. De son côté, le président américain a justifié sur Twitter sa stratégie de mettre un terme à la participation des Etats-Unis dans des “guerres sans fin”. “Les Kurdes et la Turquie se battent depuis des années”, a-t-il écrit. “D’autres voudront peut-être venir se battre pour un camp ou l’autre. Laissez-les !”, a lancé le locataire de la Maison Blanche, promettant néanmoins de “surveiller la situation de près”.

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Kenya : quand les excréments des bidonvilles deviennent un engrais bio

Dans une exploitation agricole de Nairobi, au Kenya, Elizabeth Wahito répand un engrais sur les plantes, qui ne risque pas de la contaminer. En effet, il est fait à base d’excréments récupérés dans le bidonville. “Cet engrais est moins cher que les autres et nourrit bien la terre”, explique l’agricultrice. “La plante grandit beaucoup plus vite et surtout, elle donne beaucoup de fruits”, assure-t-elle. Autre avantage de cette récupération des excréments, cela assainit les bidonvilles de la capitale kenyane.Une solution d’assainissementAu Kenya, huit millions de personnes vivent dans ces quartiers, et 70 % d’entre elles n’ont pas accès aux toilettes. À Mukuru, un bidonville de Nairobi, les habitants devaient se partager une cabane sale, et attrapaient souvent des infections. Désormais, pour 8 euros par mois, ils louent des toilettes sèches qu’ils partagent à plusieurs familles. “Avec des toilettes sèches comme nos toilettes, pas besoin de construire d’égouts”, explique Michael Lwoyelo, directeur de Sanergy. Des équipes nettoient régulièrement les lieux, et récupèrent des excréments. Une usine traite alors ces déchets et fournit de l’engrais bio aux agriculteurs du pays.Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Jihadistes français en Syrie : Le Drian se rendra en Irak pour négocier la prise en charge des prisonniers

Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a indiqué mercredi 16 octobre qu’il allait se déplacer en Irak, car la France veut régler la situation des jihadistes étrangers retenus dans les camps kurdes en Syrie. L’intervention turque a créé du chaos et surtout beaucoup d’inquiétudes. “Parmi les 10 000 prisonniers de Daech aux mains des Kurdes, il y a 60 combattants jihadistes français”, indique Stéphanie Desjars en duplex depuis le Quai d’Orsay à Paris.Créer un cadre juridique“Pour la France, il y a urgence à trouver un plan B pour sécuriser leur détention”, explique la journaliste. Jean-Yves Le Drian va donc tenter de passer par l’Irak afin de négocier une prise en charge. “Premier dossier, le transfert de ces prisonniers du Kurdistan syrien vers le sol irakien. Qui s’en chargera ? Et puis le ministre va devoir trouver, avec les autorités irakiennes, un cadre juridique qui permette de juger, en Irak, ces ressortissants français”, relaie-t-elle.Le JT

  • JT de 19/20 du mercredi 16 octobre 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

  • 1

    Retraites : l’appel à la grève élargi pour le 5 décembre

  • 2

    Réforme des retraites : le gouvernement va-t-il opter pour un plan B ?

  • 3

    Brexit : vers un accord entre Bruxelles et Londres ?

  • 4

    Brexit : un accord est-il imminent ?

  • 5

    Taxe d’habitation : les départements inquiets de sa suppression

  • 6

    LREM : un maillage local difficile à construire pour les municipales

  • 7

    Incendie de l’usine Lubrizol : des analyses de sang anormales pour certains pompiers

  • 8

    Radars : bientôt la chasse au défaut d’assurance

  • 9

    Défaut d’assurance : que risquent les conducteurs fautifs ?

  • 10

    La Réunion : “la route du littoral” dans l’impasse

  • 11

    Alimentation : des invendus dans les rayons

  • 12

    L’histoire méconnue de la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre

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Offensive turque en Syrie : les combattants kurdes se sont retirés de la ville de Ras al-Aïn près de la frontière

Les combattants kurdes quittent la ville frontalière de Ras al-Aïn. Les Forces démocratiques syriennes (FDS), dominées par les combattants kurdes, ont achevé, dimanche 20 octobre, leur retrait de cette ville du nord-est syrien. Celle-ci est assiégée par les forces turques et des supplétifs syriens, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).Le chef des FDS, Mazloum Abdi, avait affirmé samedi à l’AFP que ses forces se retireraient d’une zone frontalière de 32 km de profondeur, comme le stipule un accord de trêve négocié par Washington, dès que les forces d’Ankara les laisseraient sortir de Ras al-Aïn. Dimanche, un convoi transportant des blessés, des dépouilles et des combattants des Forces démocratiques syriennes (FDS) a quitté Ras al-Aïn, selon un correspondant de l’AFP sur place.“Un convoi d’environ 55 véhicules est entré dans Ras al-Aïn et un convoi de 86 véhicules en est parti en direction de Tal Tamr”, a indiqué de son côté le ministère turc de la Défense dans un communiqué. “Il n’y a absolument aucun obstacle au retrait” des forces kurdes et “les activités de retrait et d’évacuation de la région sont fermement coordonnées avec nos homologues américains”, a encore affirmé le ministère.Une trêve de cinq joursAprès des discussions jeudi avec le vice-président américain, Mike Pence, la Turquie a accepté de suspendre son offensive militaire pendant cing jours afin de permettre aux forces kurdes de se retirer de la zone frontalière, et de mettre fin à l’offensive si les Kurdes respectaient ces obligations. L’accord de trêve prévoit la mise en place d’une “zone de sécurité” de 32 kilomètres de profondeur pour séparer la Turquie des territoires tenus par la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG). La longueur de cette bande, que le président turc Recep Tayyip Erdogan veut étendre sur environ 450 kilomètres, reste à définir.Le président turc a menacé de reprendre les hostilités si les combattants kurdes ne se retiraient pas. La trêve est ponctuée de combats et bombardements sporadiques dans l’ouest et le nord-ouest de Ras al-Aïn, d’après l’OSDH. Les forces turques et kurdes se sont mutuellement accusées de violer la trève.

Chili : la colère sociale se fait entendre

Un Chilien devant un blindé. L’image est forte, mais finalement le manifestant se jette sur le côté. Mais dans la capitale à Santiago, les protestataires jettent des pavés sur les forces de l’ordre. Les arrestations en masse, les pillages et les violences s’enchaînent dans plusieurs villes chiliennes. Sept personnes ont été tuées dans des combats de rue ou des incendies. L’état d’urgence décrété par le président ne change rien. “Nous sommes en guerre contre un ennemi puissant, implacable, qui ne respecte rien ni personne“, a reconnu Sebastian Pinera.  1400 personnes arrêtées La population clame son slogan : “Le peuple uni ne sera jamais vaincu“. Il y a deux semaines, les autorités ont voulu augmenter le prix du ticket de métro. Les Chiliens dénoncent maintenant les fractures sociales. L’économie crée de trop fortes inégalités. 1 400 personnes ont été arrêtées et les militaires sont dans les rues, une première depuis la fin des années 1990 et la fin de la dictature.  Le JT

  • JT de 13h du lundi 21 octobre 2019 L’intégrale

Les autres sujets du JT

  • 1

    Grève SNCF : encore quelques perturbations, mais le retour à la normale se précise

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    Grève SNCF : comment se faire rembourser des frais engagés ?

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    Radicalisation dans la police : multiplication des signalements

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    Tornades : comment se forment-elles ?

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    Intempéries : le sud-est de la France fortement touché

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    Des pluies torrentielles frappent l’Italie

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    Allemagne : l’industrie automobile, fleuron du pays, est en pleine crise

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    General Electric à Belfort : le plan de la direction validé en attendant les négociations

  • 9

    Guyane : des fumées toxiques s’échappent d’une décharge

  • 10

    Saint-Nazaire : un taux de cancers supérieur à la moyenne qui inquiète

  • 11

    Violences conjugales : l’alcool est-il un facteur trop négligé ?

  • 12

    Des communes équipées de caméras pour lutter contre les infractions routières

  • 13

    Vidéosurveillance : une méthode à succès en France

  • 14

    Périgord : l’huile de noix décroche son label AOC

  • 15

    Feuilleton : la folie du chocolat (1/5)

  • Des Congolais mettent en garde le pouvoir contre une nouvelle intervention militaire régionale en RDC

    Des documents émanant de l’Etat-major de l’armée congolaise circulaient déjà sur les réseaux sociaux depuis quelques jours, sans que l’on puisse attester de leur authenticité. Il y était question d’une série d’opérations militaires conjointes que prépareraient les armées rwandaise, burundaise, ougandaise, tanzanienne et congolaise pour éradiquer les nombreux groupes armés actifs dans l’est de la RDC.”On a peur que ça dégénère”L’information semble se confirmer au lendemain d’une réunion, qui a regroupé de hauts responsables militaires de ces pays à Goma, chef-lieu de la province congolaise du Nord-Kivu, où sévissent de nombreux groupes armés. Les détracteurs de ce projet dénoncent une opération qui risque de se solder par une nouvelle occupation de leur pays par ses voisins.Une bêtise qu’il faudra absolument éviter est celle d’autoriser l’entrée des troupes rwandaises, ougandaises et burundaises en RDCJuvénal Munubo, député de la coalition au pouvoirà l’AFPElu du territoire de Walikale dans le Nord-Kivu, ce député estime que l’apport des voisins de la RDC doit se limiter à l’échange des renseignements pour combattre les différents mouvements rebelles locaux et étrangers présents dans la région. Pas question d’opérations conjointes, insiste-t-il. “On a peur que ça dégénère sur le sol congolais surtout que ces armées ne s’entendent pas entre elles. Vous savez qu’il y a des tensions entre le Rwanda et l’Ouganda. Entre le Burundi et le Rwanda. Comment des pays, qui ne s’entendent pas, pourraient nous aider à faire la paix”, interroge le député Juvénal Munubo.”L’histoire de notre pays devrait nous assagir”A Kinshasa, des Congolais inquiets s’interrogent sur les contours de cette opération qui suscite méfiance et suspicion au sein de l’assemblée nationale congolaise. Des parlementaires veulent en savoir plus et multiplient les mises en garde. Ces armées qui viendront, quand est-ce qu’elles partiront de notre pays ?, demandent-ils.“Je pense que l’histoire que nous avons tous vécue dans ce pays devrait nous assagir et ne pas nous autoriser à faire n’importe quoi”, a mis en garde le président du Sénat, Alexis Thambwé Mwamba, qui a inscrit la question à l’ordre du jour.Deux guerres dévastatrices ont déjà ravagé la RDC ces dix dernières années. Kinshasa a toujours accusé ses deux voisins, le Rwanda et l’Ouganda, de vouloir le déstabiliser, alors que ces derniers considèrent la RDC comme base arrière des mouvements rebelles hostiles à leurs régimes.L’embarras des casques bleus de l’ONULa perspective d’une opération militaire régionale dans l’est de la RDC a plongé dans l’embarras la mission des Nations unies déployée dans le pays. La Monusco rappelle que ses 17 000 casques bleus n’ont “pas de mandat pour soutenir les armées étrangères” qui se préparent à intervenir dans la partie orientale. Pour l’instant, les états-majors des armées concernées se sont gardés de fournir le calendrier des opérations sur le terrain. “Pour ne pas faire la part belle à l’ennemi”, a déclaré à la presse le porte-parole de l’armée congolaise, le général Léon Richard Kasonga.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

    Quand la Russie utilise Facebook pour développer ses intérêts en Afrique

    Facebook a supprimé 35 comptes, 73 pages et sept groupes de discussion sur son réseau jugés “toxiques”. Mais ces “influenceurs” particuliers exerçaient également sur les autres réseaux sociaux comme Twitter ou Instagram.Au total, explique le Stanford Internet Observatory, 1,7 million de comptes Facebook “likaient” ces pages à l’activité très soutenue. Ainsi pour le seul mois d’octobre 2019, 8900 publications y ont été enregistrées.
    En République centrafricaine, “un réseau de pages Facebook a été créé pour faire connaître et louer le large éventail d’activités entreprises par le gouvernement russe en RCA, du soutien militaire aux manifestations culturelles”, selon le Stanford Internet Observatory.

    Une page du site d’information soudanais Sudan Daily, particulièrement pro-russe. (Sudan Daily)

    Liens avec le groupe WagnerAu Soudan, la Russie a soutenu deux sites d’information, dont le Soudandaily.org qui fréquemment republie des informations de Sputnik, le très poutinien média russe. Sur Facebook, les activités ont commencé au milieu de l’année 2018 et se poursuivent après le coup d’Etat qui a provoqué le départ d’Omar al-Bashir. “Le contenu a légèrement soutenu le gouvernement au pouvoir et parfois critiqué les manifestants”, explique le Stanford Internet Observatory.Selon le Stanford Internet Observatory, un groupe de pages Facebook ciblait la Libye. Mais l’observatoire n’a pas trouvé, de son côté, de liens évident avec le groupe Wagner, une officine paramilitaire de plus en plus active en Afrique.

    Document du groupe Wagner, selon le Stanford Internet Observatory. Le document comprenait un exemple de publication d’une page appelée ليبيا القذافي (Libya Gaddafi). La publication représentait une photo de l’ancien président Mouammar Kadhafi, superposée sur un contour de la Libye. Le message se veut “un message patriotique sur le meilleur moment pour la mère patrie”. Sous-entendu: le meilleur moment, c’était quand Kadhafi était au pouvoir. (Capture d’écran du site du Stanford Internet Observatory)

    (Document du groupe Wagner. Le document comprenait un exemple de publication d’une page appelée ليبيا القذافي (Libya Gaddafi). Le message se veut “un message patriotique sur le meilleur moment pour la mère patrie”. C’est à dire: le meilleur moment, c’était quand Kadhafi était au pouvoir).En revanche, le site spécialisé DailyBeast est plus catégorique. Selon lui, les mercenaires de Wagner jouent la carte du maréchal Haftar contre le gouvernement de Tripoli reconnu par l’ONU. Pure opération de déstabilisation qui passe également par le soutien à Saif al-Islam, le fils de l’ancien dictateur Kadhafi, adversaire d’Haftar ! Du billard à trois bandes dont l’objectif est particulièrement cynique : parvenir à “l’équilibre” au profit de Moscou, selon les propres termes de l’officine.Qui dit groupe Wagner dit Yevgeny PrigozhinOr, qui dit groupe Wagner dit Yevgeny Prigozhin, bien que l’oligarque russe se défende de tout lien avec cette entreprise de sécurité qui déploie ses hommes (mercenaires ?) un peu partout en Afrique. Prigozhin réputé pour être le bailleur de fond de ce groupe. Rappelons que trois journalistes russes ont été assassinés en Centrafrique alors qu’ils enquêtaient sur les activités de Wagner dans le pays.

    Yevgeny Prigozhin en compagnie de Vladimir Poutine le 20 septembre 2010. (ALEXEI DRUZHININ/AP/SIPA / AP)

    Et tout ce travail d’influence par le biais d’Internet rappelle furieusement l’activité de l’Internet Research Agency, outil de propagande de Poutine, financé par Yevgeny Prighozin. Un outil épinglé pour son rôle dans la campagne présidentielle américaine de 2016. Le 30 septembre 2019, le Trésor américain a imposé de nouvelles sanctions à l’oligarque russe.Des méthodes similaires pour un but identique : renforcer les intérêts de la Russie.Click Here: essendon bombers guernsey 2019

    Nora Arnezeder, naissance d’une égérie

    Artiste multicarte, la comédienne, révélation de Faubourg 36, a joué les mannequins devant l’objectif de Peter Lindbergh. Pour la campagne du sac New Lock, a tourné neuf courts-métrages sous la direction de Peter Lindbergh (à gauche) et Darius Khondji.

    La môme Arnezeder, vingt ans tout rond, suit les traces de la comédienne

    . Elle est la nouvelle égérie Dior. Son minois, révélé dans le film Faubourg 36 où elle poussait la chansonnette avec une touchante candeur, a séduit la maison de couture qui l’a choisie pour promouvoir le sac New Lock. Un intitulé clin d’œil à la silhouette New Look qui fut le mythique symbole de la première collection de Christian Dior, en 1947.

    En septembre dernier, Nora, incarnait déjà le visage d’Idylle, le parfum de Guerlain. Le 16 octobre, elle a offert son meilleur profil à l’objectif expert de Peter Lindbergh. Le photographe-star du magazine Vogue a par le passé su «révéler»

    ou Naomi Campbell. Il a cette fois fait poser la jeune comédienne avenue Montaigne dans les locaux de Dior. Un catalogue et neufs petits films accompagnent le lancement de cette campagne. De quoi rassurer la jeune fille d’Aix-en-Provence qui craignait de disparaître après le succès de Faubourg 36. Celle que l’on a vue, par le passé, au bras du réalisateur Christophe Barratier et qui prépare un album dont elle a écrit les textes, est en train de devenir une vraie it girl.

    Adepte de yoga, Nora, qui a vécu à Bali à l’adolescence, cultive toutefois une sagesse rare à son âge. Il y a quelques années déjà, alors qu’elle venait de monter à Paris pour prendre des cours de théâtre et de chant, elle avait boycotté le casting de la Star Academy, désireuse de ne pas céder à cette forme de mirage cathodique. Malgré son incursion dans le monde du luxe, elle ne succombera pas, c’est promis, aux vertiges de la mode et répète au fil des interviews que l’abus de marques peut nuire à la santé mentale. Mûre la môme!

    Candice Nedelec

    Samedi 12 décembre

    Johnny Hallyday: Ceux qui l’aiment ont pris l’avion

    D’aprèsTF1, , qui a été réopéré à Los Angeles pour des lésions consécutives à une opération d’une hernie discale, a été replongé dans un coma artificiel. Ses proches se pressent à son chevet.

    Hier,

    était apparue en larmes à la sortie de l’établissement médical. Canal+ affirmait que la jolie blonde avait demandé à son entourage de prendre l’avion pour se rendre à Los Angeles.

    et Laura Smet, les deux premiers enfants de Johnny Hallyday se sont envolés aujourd’hui vers 10h30 de Roissy, destination la Cité des Anges. Ils ont décidé de rendre visite à leur père au Cedars-Sinaï. Le chanteur et la comédienne étaient accompagnés de l’animateur de télévision Nikos Aliagas, fan inconditionnel du Taulier et surtout vrai ami de Johnny.

    Le rocker français s’est réveillé hier soir dans la clinique de Beverly Hills. Le temps de reconnaître sa femme Laeticia, puis les médecins ont préféré rendormir notre Jojo pour lui épargner des souffrances inutiles. Un sommeil profond destiné à éviter les douleurs et les complications éventuelles. Aussi appelé «sédation», le coma artificiel permet de traiter un patient gravement atteint, le plus souvent, lorsque le malade est sous respirateur et le supporte mal. Le King français, qui a ingéré un grand nombre de médicaments à base de cortisone pour apaiser ses douleurs, notamment pendant ses shows, aurait un système immunitaire affaibli. Il serait sous forte perfusion d’antibiotiques.

    Pourtant, Jean-Claude Camus, le manager du chanteur, assurait ce matin que notre bête de scène s’était remise de son acte de chirurgie et se sentait beaucoup mieux. S’il a décrit son pote Hallyday «conscient et tiré d’affaires», Camus a aussi hurlé au «massacre» et clairement mis en cause le docteur Stéphane Delajoux, qui avait opéré Johnny, le 26 novembre dernier. Laura Smet est d’ailleurs en couple avec le frère du praticien aujourd’hui décrié. Elle avait présenté Julien Delajoux à son papa lors du Concert d’Adieu au Stade de France. La jeune femme, rayonnante depuis leur coup de foudre de début mai, avait délibérément choisi cet ultime rendez-vous de l’idole des jeunes avec son public pour présenter son amoureux à son paternel et à sa tribu recomposée.

    Espérons que sa famille auprès de lui, l’icône rock retrouvera la flamme et le courage de combattre le mal qui l’affecte.

    J.B

    Vendredi 11 décembre 2009

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