Liverpool warned over Werner pursuit amid Mane exit talk

Liverpool have been warned by Steve Nicol that Timo Werner could decide to move elsewhere despite hinting that a move to Anfield would suit him.

The Germany international has scored 27 goals in 36 matches in all competitions this season with his goals helping RB Leipzig challenge for the Bundesliga title.

His impressive performances have seen Werner heavily linked with moves to Liverpool and Manchester United among others.

There has been recent speculation that Liverpool forward Sadio Mane could leave for Real Madrid this summer and such a blow would be lessened by having Werner lined up as a replacement.

Werner has been flirting with the idea of a move to Liverpool over the past month but Nicol has a warning for his former club.

On the possibility of selling Mane, Nicol told ESPN: “That’s only any good if you bring in Timo Werner.

“Unfortunately there aren’t many [players like Werner] around.

“What if Werner wants to go elsewhere?

“The way it’s being talked about is if it’s done. ‘Timo Werner says he wants to go, so it’s done’.

“Guess what, there was a guy called Kylian Mbappe who told everyone he wanted to go to Real Madrid, he ended up at PSG.”

 

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Former Spurs man names ‘only club’ he’d return to England for

Former Tottenham defender Kieran Trippier would “only” return to the Premier League to be reunited with Sean Dyche at Burnley.

Trippier joined Atletico Madrid last summer and has been one of the best English performers of a season in which they knocked holders Liverpool out of the Champions League.

The right-back was happy for the “small revenge” of helping beat the side that conquered Tottenham in last June’s final as Trippier was robbed of a fairytale ending to his north London spell.

The 29-year-old spent four years at Tottenham but cherishes the three he had at Burnley more, with his retirement plan centering around a potential return.

“I would love to retire there,” he told the Burnley Express. “That’s my aim, to retire at Burnley. I have a great relationship with Sean Dyche.

“I want to play as high as I can for as long as I can, but I’ll know when the time is right. If I’m at Atleti for another two years that’ll take me to 32 and Burnley’s the only club that I’d come back to England for.

“That’s the way I want it to plan out. I want to play here for as long as I can and then finish playing for a manager like Sean Dyche while ending my career at Burnley. That’s where I want to finish.

“I’ve spoken to him a couple of times a week ever since I left Burnley,” he added of his former manager. “I always have done. We have a great relationship.

“We’re in contact all the time about family, football, he still mithers me about taking me back one day! It’ll happen one day for sure, I’ll 100% be back playing for them.

“After that I’d start my coaching badges and I’d love to coach at Burnley. I’d just love to go wherever Sean Dyche goes because I have a great relationship with him.”

 

Aston Villa chief wants season ‘stopped’ with ‘no relegations’

The Premier League should be cancelled with no teams relegated this season, according to Aston Villa sporting director Jesus Garcia Pitarch.

The Premier League has been suspended until April 4 and the EFL until April 3 at the earliest due to the coronavirus pandemic, while in some other countries top-flight football has been halted until further notice.

Villa are two points adrift of Premier League safety with a game in hand on the teams around them with a victory in their match to spare taking them out of the relegation zone.

OPINION: Football has enough money to leave no casualties…

And Pitarch thinks that only fair resolution for all teams would be to see the season “stopped” with “no relegations”.

“At Aston Villa we are beginning to think about this,” Pitarch told Cope’s ‘Game Time’.

“If the peak of the Coronavirus is to occur in May, no one thinks of a competition in which players, coaches, and health personnel of the club will continue to appear every day.

“There are clubs that do not see admissible that the competition resumes on June 30th.

“The most reasonable thing that everyone thinks is that, if the league has to be stopped, that there are no relegations. There is a certain unanimity that there should be no descent.”

 

“J’ai envie qu’il rentre” : des proches d’un Français détenu depuis deux ans en Indonésie se mobilisent pour sa libération

La mobilisation s’organise pour demander la libération du Français Mathias Echène, détenu depuis deux ans en Asie. Cet entrepreneur Aveyronnais, emprisonné depuis 2017 en Indonésie, vient d’être extradé vers Hong Kong où il est poursuivi dans le cadre d’un litige commercial avec d’anciens associés. Une affaire digne de Kafka, car ni lui, ni sa famille ne connaissent exactement les raisons de son arrestation, de sa détention et de son extradition.  Condamné en 2015 à Hong Kong Parmi les proches qui se mobilisent, il y a la sœur de Mathias Echène. “J’ai peur, j’ai envie qu’il rentre en France et qu’il retrouve ses enfants”, dit-elle à franceinfo. “Tout le monde s’interroge sur le pourquoi du comment et surtout quand il va sortir. Là, on ne sait rien”, rajoute son ami de toujours, Jean-François. Le comité de soutien se mobilise pour tenter de faire pression et pour alerter l’opinion explique Herminie, une amie du détenu. “Bien avant qu’il n’entame sa grève de la faim, nous étions déjà très inquiets, confie-t-elle. Il a perdu énormément de poids, c’est très compliqué de supporter cela de quelqu’un que l’on aime.”>> Mathias Echène, Français détenu à Bali depuis deux ans : “Chaque jour, j’ai espoir que ce soit le dernier en prison” Pour les proches de Mathias Echène, une chose est certaine : il ne devrait pas être en prison comme il l’est depuis 780 jours. Ancien trader, il s’était reconverti dans la construction de maisons de luxe à Bali. Après un différend commercial, ses associés ont lancé des poursuites civiles et pénales à Hong Kong, ils l’accusaient de surfacturations frauduleuses sur deux projets immobiliers à hauteur de 700 000 euros. En mars 2015, le Français a été condamné, en son absence,  par le tribunal de Hong Kong à verser des indemnités de près de trois millions d’euros à ses ex-associés.Le quai d’Orsay inquietL’imbroglio est autant commercial que politique assure sa soeur Gabrielle. “Je n’y comprends rien à cette affaire-là. Je ne comprends pas non plus les tenants et les aboutissants pour les autorités indonésiennes”. L’affaire inquiète jusqu’au quai d’Orsay. Le ministre des Affaires étrangères désapprouve la gestion du dossier par les autorités Indonésiennes et de Hong Kong et annonce un suivi particulier de l’affaire.

“J’ai envie qu’il rentre” : des proches d’un Français détenu depuis deux ans en Indonésie se mobilisent pour sa libération – reportage Nathanaël Charbonnier–‘—-‘–

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Egypte : le cybermilitant historique Wael Ghonim dit “fuck you” au président Sissi

Cheville ouvrière sur Facebook du soulèvement du 25 janvier 2011 Place Tahrir au Caire, l’opposant Wael Ghonim est revenu en force sur les réseaux sociaux pour dénoncer les pratiques du président Sissi. Depuis son exil californien, ce symbole de la révolution aujourd’hui âgé de 38 ans et marié à une Américaine a dévoilé sur son compte Twitter, qui affiche près de trois millions d’abonnés, les pressions de l’ambassade d’Egypte à Washington pour le museler. Dans un enregistrement vidéo posté le 19 septembre 2019, il affirme avoir reçu des menaces de la part d’un certain Chérif Zahran lui intimant l’ordre de cesser ses attaques contre le pouvoir. Attaques qui “ne resteraient pas sans conséquences”, aurait prévenu ce dernier.pic.twitter.com/V94f9mi1CF — Wael Ghonim (@Ghonim) September 19, 2019

Le lendemain, face à son refus d’obtempérer, les hommes de la sécurité d’Etat ont fait irruption au domicile de ses parents au Caire. Ils y ont confisqué les passeports et les téléphones de son père et sa mère et arrêté son frère Hazem.Un appel au secours pour son frère HazemDans son post, Wael Ghonim s’adresse à l’opinion internationale et lance un appel au secours pour son frère “une personne apolitique”, précise-t-il, dentiste de son métier. Et l’opposant de rajouter, en anglais dans le texte : “Ils ont menacé mon père d’une escalade si je ne me taisais pas et moi je leur dis fuck you (‘allez-vous faire foutre’)”.La vidéo avait été précédée de deux tweets. L’un adressé au site officiel du président Sissi comportant ces mêmes mots et l’autre aux sites officiels des deux présidents américain et égyptien.

(Le régime égyptien est insulté par ce que je dis. Va te faire foutre Sissi. J’espère que tu sais que tu ne peux pas dicter à mon père ce que je fais. Libère mon frère et renvoie-le sain et sauf à la maison. On n’est pas dans la jungle.) Dans ce dernier, il ajoute à l’adresse de @realDonaldTrump que des menaces lui sont parvenues de l’ambassade “qui se trouve près de la Maison Blanche” et que sa fille, âgée de seize ans, “pleure parce que son oncle a été séparé de sa grand-mère”.

Cette reprise de service de Wael Ghonim sur les réseaux sociaux intervient quelques jours après la campagne “ça suffit comme ça Sissi” lancée sur les mêmes réseaux par l’entrepreneur en bâtiment, Mohamed Ali, accusant Abdel Fattah al-Sissi et l’armée égyptienne de corruption.Une campagne que le cyberactiviste mentionne d’ailleurs, tout en accusant l’entrepreneur de l’avoir menée dans son propre intérêt. Dans un message posté sur Facebook, il reproche à Mohamed Ali de s’en prendre à ses anciens associés “parce qu’ils se sont moqués de toi”, lui dit-il. “Tu sais très bien que s’ils t’avaient parlé avant tes vidéos et donné tout l’argent que tu voulais on n’aurait jamais entendu parler de tes vidéos, toi l’homme aux principes en plastique”, lui a-t-il rappelé.Les autorités égyptiennes ont pris soin de rejeter les accusations de Mohamed Ali, mais n’ont pas réagi aux accusations de pressions sur la famille de Wael Ghonim, ni démenti l’arrestation de son frère.Click Here: cheap nsw blues jersey

Vidéo. Au Burkina, les habitants fuient les attaques jihadistes

Embuscade contre des soldats, violences sur des civils, le nord du Burkina Faso est de plus en plus en proie à des attaques jihadistes. Au point que certains observateurs considèrent que la région est perdue pour le pouvoir de Ouagadougou. Depuis quatre ans, le pays sombre et l’épicentre des violences se situe à Djibo. Selon un décompte effectué par l’AFP, le bilan de ces attaques s’élève à 580 morts depuis 2015.

Reportage AFP Olympia de MaimontFace à l’impuissance de l’armée, les populations fuient vers le Sud. Le nombre de ces déplacés est estimé à 300 000. “On ne comprend pas. On ne sait pas ce que les jihadistes veulent. Les enseignants ont fui. Le centre de santé est fermé. On avait peur. La seule échappatoire c’était fuir”, explique à l’AFP un de ces réfugiés.Ces éleveurs n’ont plus rien, ils sont arrivés un peu par hasard à Yagma, au nord de Ouagadougou. Mais si les villageois leur ont offert le gîte, aucune aide ne vient pour leur permettre simplement de manger.Click Here: cheap nsw blues jersey

Zimbabwe : l’eau devient une denrée rare dans la capitale

Dans la capitale du Zimbabwe Harare, l’eau potable pourrait bientôt ne plus couler des robinets en raison des difficultés financières de son unique usine de traitement. Le 23 septembre 2019, celle-ci a dû suspendre la distribution de l’eau faute d’avoir pu importer les produits chimiques nécessaires au traitement, dont le coût s’élève à 3 millions de dollars américains par mois. Motif : le pays manque cruellement d’argent. Dans ce contexte, en attente de paiement et de dédouanement, les produits sont restés bloqués à la frontière sud-africaine.Finalement, le maire de la capitale, Enock Mupamawonde, a annoncé à la presse avoir déniché “des stocks de produits chimiques pour reprendre la production d’eau”. La ville les aurait achetés à des fournisseurs locaux, précise Reuters. Pendant ce temps, la population doit faire la queue pendant des heures pour tenter de trouver le précieux liquide.

(“Nous n’avons presque plus d’eau à nos robinets. Nous prions chaque jour pour que le choléra ne revienne pas. Il y a bien eu quelques forages mais il faut faire la queue très longtemps pour obtenir de l’eau. Pourtant, il y a bien d’autres choses pour lesquelles nous devons faire la queue dans la vie”, a expliqué un habitant à CNN.)Un manque d’eau qui ne date pas d’hierEn fait, le manque d’eau ne date pas d’hier. “On n’en a plus au robinet depuis plus de 10 ans maintenant. J’ai dû installer dans ma propriété deux gros réservoirs de 5000 litres”, a indiqué à l’AFP Tapiwa Moyo, un habitant de Glen Lorne, quartier de classes moyennes dans l’est de la capitale. Dans ce contexte, de nombreux citoyens sont obligés d’utiliser de l’eau tirée de puits creusés dans des conditions sanitaires douteuses à l’origine de fréquents cas de choléra. En 2018, la maladie avait entraîné la mort d’une cinquantaine de personnes. Il s’agissait de la plus grave épidémie depuis une décennie.

Des femmes prennent de l’eau à un puits à Warren Park, banlieue de Harare (Zimbabwe) le 24 septembre 2019. (REUTERS – PHILIMON BULAWAYO / X02381)

Crise économique et financièreMais la sécheresse n’explique pas tout. “Les problèmes d’eau ont été aggravés par l’environnement économique difficile que nous connaissons tous”, concède le maire de la capitale cité par Newsday. De fait, le Zimbabwe est englué depuis près de vingt ans dans une crise économique et financière catastrophique, héritage de la dictature de l’ex-président Robert Mugabe (1980-2017). Ce dernier est mort début septembre à l’âge de 95 ans, après avoir été renversé par l’armée fin 2017. Ruiné par l’hyperinflation, le chômage de masse et la dévaluation de sa devise (le dollar du Zimbabwe), le pays manque de tout, du carburant à la farine, en passant par l’électricité et les devises fortes. Les coupures de courant durent parfois 18 heures par jour.Les services publics de base comme la distribution d’eau n’échappent pas à ce désastre. L’usine de traitement de Morton Jaffray, la seule qui alimente les quelque 4,5 millions d’habitants de l’agglomération d’Harare, subit régulièrement des pannes. Selon le maire, 55% de l’eau se perd dans les fuites des canalisations, totalement obsolètes.

Enfants transportant de l’eau à Harare, au Zimbabwe, le 10 septembre 2019. (SIPHIWE SIBEKO / X90069)

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Chine : le manifestant blessé par balles à Hong Kong dans un état critique

Un jeune manifestant de 18 ans est actuellement soigné à l’hôpital dans un état critique mardi 1er octobre. Il a été touché au niveau de la poitrine par un policier. C’est la première fois en 17 semaines de contestation à Hong Kong qu’un manifestant est touché par un tir à balles réelles de la part des forces de l’ordre. Sur les réseaux sociaux, des milliers de Hongkongais ont écrit des messages de soutien, certains promettent qu’ils vont se venger.Pari réussi pour les pro-démocratieAu total, plus d’une cinquantaine de manifestants ont été blessés mardi. La police a également interpellé plus d’une centaine de contestataires. Un coup de filet qui a permis de rétablir le calme mardi soir dans l’ancienne colonie britannique. Mais les manifestants ont réussi leur pari de marquer le coup en ce 70e anniversaire du régime communiste, de braquer les yeux du monde entier vers leur lutte pour la démocratie plutôt que vers le grand défilé militaire à Pékin.Le JT

  • Le JT de 23h de franceinfo du mardi 1 octobre 2019 L’intégrale

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Réchauffement climatique : Lagos et Alexandrie risquent d’être submergées avant la fin du siècle

Capitale économique du Nigeria, Lagos est très menacée par l’élévation du niveau de l’océan. Comme la ville égyptienne d’Alexandrie, elle se situe à moins d’un mètre au-dessus du niveau de la mer. Sous les coups de boutoir des vagues de l’océan Atlantique ou de la Méditerranée, ces grandes villes côtières vont avoir du mal à maintenir leurs activités humaines et économiques.Une partie de Lagos, plus peuplée des villes d’Afrique, pourrait même disparaître avant la fin du siècle. Toute la région côtière du golfe de Guinée est concernée. Au Togo, le littoral est rongé par l’océan et perd dix mètres par an. “Si rien n’est fait, nous aurons une perte de plus de 30% de nos terres agricoles en front de mer, les infrastructures côtières subiront aussi ces effets négatifs“, affirme le directeur du programme du développement durable du PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), le Dr Selly Camara.Alexandrie également sous la menace des eauxLa montée des eaux affecte également Alexandrie. La grande ville égyptienne sur la Méditerranée abrite le principal port du pays et un grand centre industriel. Lagos et Alexandrie, situées sur les côtes, connaissent déjà des inondations massives. Seules des actions rapides, comme l’édification de digues, peuvent en atténuer les conséquences. A condition d’investir “des dizaines de milliards de dollars par an”, affirme le dernier rapport du Giec.La montée du niveau des mers est une des conséquences directes de la fonte des glaciers terrestres et de la banquise, sans oublier la dilatation de l’eau sous l’effet de la chaleur. Le niveau des océans a augmenté 2,5 fois plus vite au début du XXIe siècle qu’au XXe et va continuer de s’accroître, selon le Giec.Le réchauffement climatique, c’est également plus de cyclones (fréquence multipliée par 30) et 150 millions de personnes menacées de déplacement. Sans parler des énormes dégâts causés par les inondations.Plus de cyclones et d’inondationsMême si l’accord de Paris est respecté par tous les pays signataires, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui, les scientifiques affirment que l’eau montera d’environ un mètre d’ici la fin du siècle. Et plus encore si on échoue à prendre des mesures drastiques.Même dans un monde à +2°C, de nombreuses mégapoles et petites îles devraient être frappées d’ici 2050, au moins une fois par an, par un événement extrême qui ne se produisait jusqu’alors que tous les cent ans. Plusieurs grandes villes dans le monde situées le long des deltas et des côtes sont concernées. C’est le cas pour New York, Shanghaï, Karachi, Calcutta, Dacca, Jakarta, Manille, La Nouvelle-Orléans… Toutes ces villes encourent de graves dangers causés par des vagues de submersion.Si les pays les plus riches pourront financer des plans de protection, les pays africains plus démunis, risquent de multiplier les risques. “Nous devrions également envisager d’investir dans des logements abordables, des écoles ou encore des hôpitaux à l’intérieur des terres, plutôt que de gaspiller de l’argent dans des infrastructures côtières coûteuses, comme les digues“, affirment les experts du Giec.Click Here: Atlanta United FC Jersey

Le paludisme, un fléau qui tue chaque année plus de 450 000 personnes, dont 93% en Afrique

La conférence de financement du Fonds mondial pour la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme, qui se tient les 9 et 10 octobre à Lyon en présence du président français Emmanuel Macron, devrait annoncer avoir réuni 14 milliards de dollars pour lutter contre ces trois maladies. Le paludisme (qu’on appelle aussi malaria) est connu depuis de très nombreuses années, mais la maladie continue de faire des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde, notamment en Afrique.Qu’est ce que le paludisme ?Le paludisme est une maladie provoquée par des parasites du genre PlasmodiumLe parasite est transmis à l’homme par la piqûre de moustiques infectés. Ces moustiques, “vecteurs” du paludisme,  appartiennent tous au genre Anophèle. Le paludisme est transmis à l’homme par la piqûre d’Anophèle femelle, elle-même infectée après avoir piqué un homme impaludé : la femelle, en prenant le repas de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite à son hôte. Les mâles ne piquent pas.”Chez un sujet non immunisé, les symptômes apparaissent généralement au bout de 10 à 15 jours après la piqûre de moustique infectante. Les premiers symptômes – fièvre, maux de tête et des frissons – peuvent être modérés et difficiles à attribuer au paludisme. S’il n’est pas traité dans les 24 heures, le paludisme à Plasmodium falciparum peut évoluer vers une affection sévère souvent mortelle“, précise l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).Les chiffres du paludisme

Données chiffrées sur le paludisme (Partenariat RBM)

Dans le monde, quelque  216 millions de personnes sont atteintes de paludisme. Il a tué 435 000 personnes dont 93% en Afrique, estime l’OMS pour 2017. Environ 40% de la population mondiale est exposée à la maladie et 500 millions de cas cliniques sont observés chaque année.”Depuis 2000, les taux de mortalité liés au paludisme ont chuté de 60% à l’échelle mondiale et de nouveaux pays sont déclarés exempts de la maladie chaque année. Néanmoins, après des années de recul constant, le nombre de cas de paludisme repart à la hausse – les dix pays les plus touchés d’Afrique ont ainsi fait état d’une augmentation en 2017“, précise le Global Fund.Les enfants de moins de cinq ans sont les principales victimes du paludisme. Ils représentent 61% des décès, selon l’OMSla carte du paludisme

Carte du paludisme dans le monde (partenariat RBM)

La transmission du paludisme touche 91 pays et territoires à travers le monde, faisant peser un très lourd fardeau sur les pays de l’Afrique subsaharienne. En 2017, près de la moitié des cas dans le monde ont été enregistrés dans cinq pays : le Nigeria (25%), la République démocratique du Congo (11%), le Mozambique (5%), l’Inde (4%) et l’Ouganda (4%), selon les données de l’OMS.La lutte contre le paludisme

Outils de prévention contre le paludisme (OMS)

Pour l’OMS, la lutte contre le paludisme passe avant tout par la lutte contre le moustique porteur de la maladie. “Deux formes de lutte antivectorielle sont efficaces dans beaucoup de situations : les moustiquaires imprégnées d’insecticide et la pulvérisation d’insecticide à effet rémanent à l’intérieur des habitations“, précise l’OMS. En 2017, environ la moitié de la population exposée au risque de paludisme en Afrique était protégée par des moustiquaires imprégnées, contre 29% en 2010. Néanmoins, “près de 300 millions de personnes en Afrique subsaharienne n’ont toujours pas accès à des moustiquaires imprégnées d’insecticide et au moins 15 millions de femmes enceintes ne reçoivent pas le traitement préventif dont elles ont besoin pour rester en bonne santé et protéger leur enfant à naître“, selon le Partenariat RBM. La maladie peut être prévenue au moyen d’antipaludiques.  Il existe aussi désormais un vaccin (Le RTS,S/AS01) conférant une protection partielle pour le jeune enfant. Il est actif contre Plasmodium falciparum, le parasite du paludisme le plus meurtrier au niveau mondial qui est aussi le plus courant en Afrique. Son utilisation – lors d’essais cliniques à grande échelle chez des enfants avec l’administration de quatre doses – a permis d’éviter environ quatre cas sur dix sur une période de quatre ans. Ce vaccin est testé dans trois pays, le Ghana, le Malawi et désormais le Kenya.Le danger de la résistance aux insecticides et aux antipaludiquesLa lutte contre les moustiques est “menacée par l’émergence d’une résistance de l’Anophèle aux insecticides. Selon le dernier Rapport sur le paludisme dans le monde, 68 pays ont signalé une résistance à au moins une des cinq classes d’insecticides généralement utilisées entre 2010 et 2017, et 57 une résistance à deux classes ou plus“, avertit l’OMS.L’autre menace qui pèse sur le combat contre la maladie est la résisance de Plasmodium aux produits antipaludiques.Aujourd’hui les ambitions de l’OMS sont de :-Eliminer le paludisme dans au moins 10 pays d’ici à 2030.
-Empêcher la réapparition du paludisme dans tous les pays exempts.”