“Papa maréchal”, la nouvelle comédie de Fabrice Eboué et Thomas Ngijol

Un an après le succès remporté par “Case départ”, le tandem Fabrice Eboué / Thomas Ngijol se reformera pour les besoins d’une nouvelle comédie, “Papa maréchal”.

Avec le succès de Case départ (près de 2 millions de spectateurs), il paraissait plus que probable que le tandem Fabrice Eboué / Thomas Ngijol se reforme pour le tournage d’une nouvelle comédie. Ce sera bientôt chose faite avec Papa maréchal ou comment le dictateur d’un pays francophone imaginaire (Thomas Ngijol) tente de convaincre l’agent d’un club de football (Fabrice Eboué) de ramener au pays un joueur sur le point de signer avec l’équipe de France… Produit par Légende Films, ce film sera réalisé par Fabrice Eboué en solo. Le tournage est quant à lui prévu en novembre en Afrique du Sud.

 

G.M. avec Le Film Français

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La bande-annonce de “Case départ”

Points de vue sur l’entrepreneuriat au Sénégal

Dans le cadre de la 28ᵉ conférence annuelle organisée par l’association internationale de management stratégique francophone (#AIMS2019) à Dakar (Sénégal) du 11 au 14 juin 2019, cinq enseignants-chercheurs résidant en France croisent leurs ressentis. L’organisation de cette édition en Afrique est l’occasion de poser la question de la signification et de l’adaptation de l’entrepreneuriat, et plus largement du management africain/en Afrique. Retours sur trois journées riches en réflexions et émotions au pays de l’hospitalité et de la débrouille.Deux femmes et trois hommes. Deux Africains et trois Européens. Tous enseignants-chercheurs en gestion dans des business schools françaises. Nous ne nous connaissons pas (bien). En amont de la conférence #AIMS2019, sur une plage au bout de l’Afrique (île de Ngor), nous entamons ensemble notre expérience en Teranga sénégalaise. Marchander une traversée en pirogue, voyager avec une inconnue sur les genoux, se laisser guider par un jeune dans le village, se faire mordre par un pélican pourtant domestiqué… une première expérience “touristique” de la côte de Dakar qui soude une certaine complicité au sein du groupe.#OWEEAfroMakers

Ker Thiossane axe ses activités autour de l’art et des nouvelles technologies depuis 2002. (AUTEURS)

Le lendemain, la partie académique de notre voyage débute réellement avec la rencontre de makers et entrepreneurs locaux. C’est l’occasion de tester le protocole de recherche « OWEE » développé par le collectif RGCS, pour la première fois en Afrique après une trentaine d’éditions en Europe, Amérique et Asie. Ces open-walked event-based experimentations sont des postures d’observation et d’appropriation des phénomènes autour des nouvelles pratiques de travail et du futur du travail. Nous partons à la découverte de deux espaces collaboratifs d’innovation de Dakar :le centre des arts numériques « Kër Thiossane »et le social change hub « Jokkolabs ».

#OWEEAfroMaker à Ker Thiossane, lieu de recherche, de résidence, de création et de formation. (AUTEURS)

Kër Thiossane (Kër signifiant “maison”, et Thiossane “traditions”) s’ancre dans les traditions pour ouvrir sur le futur : construit dans la maison d’enfance du propriétaire, elle héberge notamment une école, un fab lab, et accueille des artistes en résidence. Cet espace nous plonge au cœur d’un écosystème qui marie arts, sciences et technologies, en appui sur la logique des communs (ressource partagée et gérée par une communauté). La visite de leurs jardins artistiques et partagés dans le quartier Sicap permet de poursuivre les discussions autour des notions de communauté, de pouvoir, d’entraide, de formation, de développement.Jokkolabs, laboratoire du changement social

Jokkolabs Dakar est un espace de travail partagé professionnel avec une atmosphère communautaire. (AUTEURS)

Revenant sur nos pas, nous avons partagé des taxis pour nous rendre chez Jokkolabs dans une autre partie de la ville. Ces déplacements ont été l’occasion de former, déformer et reformer notre groupe au contact des autres participants ; pour la plupart, des collègues chercheurs participant à la même conférence, mais aussi un couple de Français curieux en vacances à Dakar ! L’occasion de se présenter, de partager nos étonnements, de poser des questions, de parler de nos travaux respectifs, de comparer avec d’autres espaces et pratiques ailleurs dans le monde…Arrivés chez Jokkolabs, nous découvrons ce laboratoire de changement sociétal par l’entrepreneuriat. L’entrepreneur nous y est présenté comme celle ou celui qui imagine un futur qui n’existe pas, dans une visée de transformation sociale. Ici tout est fait pour construire à partir du pouvoir des “liens” (c’est d’ailleurs la signification du terme Jokko). Jokkolabs construit des ponts entre les communautés éducatives, économiques et politiques ; les jeunes et les plus expérimentés ; les pays et les continents.

Jokkokids est un projet pluridisciplinaire open source pour les enfants qui explore et connecte le numérique, le faire et l’expression de soi. (AUTEURS)

Notre visite commence par un espace consacré aux enfants “Jokkokids”, dont la philosophie est de préparer ces derniers à la maîtrise des outils numériques, à la pratique du faire (make) et à l’expression de soi. La suite de la visite nous mène dans les salles de coworking, mi-dedans, mi-dehors. Puis nous nous installons sur le roof top où le vent apporte une bise bienvenue pour un stimulant échange avec le fondateur Karim Sy, poursuivi par un déjeuner avec quelques résidents (“Jokkoworkers”). Les discussions portent essentiellement sur la dynamisation de l’entrepreneuriat, la digitalisation, le contexte politique de l’Afrique et l’éducation.Plus que de simples “bidouilleurs”

Echange avec Karim Sy, fondateur de Jokkolabs, sur le rooftop à Dakar (AUTEURS)

Depuis le début de cette learning expedition, ce sont souvent les mêmes interrogations qui remontent. Qu’est-ce qui est différent ici de ce que nous connaissons mieux en Europe et Amérique du Nord ? Que signifient faire et entreprendre dans le contexte de l’Afrique ? Plus globalement, y a-t-il un modèle spécifique de management en Afrique, voire africain ? L’on pourrait également reformuler la question pour savoir s’il est (réellement) nécessaire d’adapter les modèles de management à ce territoire, ou ensemble de territoires. Est-ce une nécessité ? Une urgence ? Un contre-sens ? Une utopie ? Une dystopie ? S’agit-il en fait d’adopter une perspective contextualiste ou essentialiste de la question ; une vision normative ou performative ?

Ker Thiossane cherche à relier le développement des pratiques artistiques numériques aux enjeux de l’éducation, la citoyenneté, l’écologie et l’urbanisme. (AUTEURS)

Dans un pays comme le Sénégal, où beaucoup ont l’habitude de se débrouiller avec ce qu’ils trouvent, que signifie alors être un maker ? Les décharges et les rues regorgent de bricoleurs frugaux aux ressources limitées. L’universitaire franco-américain Navi Radjou, spécialiste de l’innovation frugale, a décrit de manière détaillée dans plusieurs ouvrages cet art de la débrouillardise. En Inde, on parle de “jugaad” ; au Sénégal, de “djengou” et en Côte d’Ivoire, de “grigra”. Comment expliquer dans ces conditions l’arrivée de fab lab “occidentaux” en Afrique de l’Ouest ? Assiste-t-on à une récupération de pratiques traditionnelles ou à l’émergence de nouvelles pratiques ?Pratiques de “djengers” Le Djengou est ancré dans la vie quotidienne d’une grande partie de la population sénégalaise – comme dans celle d’autres pays africains connaissant le même contexte socio-économique tel que la Côte d’Ivoire. Avec le temps, il est devenu plus qu’une pratique, une philosophie de vie qui va au-delà de l’individuel pour embrasser le collectif.Dans des quartiers souvent défavorisés, les “djengers” fabriquent des produits pour leur propre usage mais qui bénéficient également au plus grand nombre. Ils mettent par exemple au point des boîtiers électriques artisanaux permettant à plusieurs foyers de se connecter au réseau d’électricité publique et donc de partager les frais d’un seul abonnement. La même chose se produit pour la connexion au réseau d’opérateurs de chaînes de télévision privées.

Dérive au cœur du quartier populaire Sicap Liberté II #OWEE. (AUTEURS)

Ces pratiques, certes illégales, ne paraissent pas pour autant illégitimes aux yeux des “djengers” et de ceux qui partagent cette philosophie. Leurs cours et garages sont-ils en quelque sorte des makerspaces informels ? Au regard de cette philosophie du partage et de la collaboration, tous les djengers sont-ils des makers ? Et les makers en Afrique se doivent-ils d’être des djengers ?Faux amis, vrais jumeaux ?Plusieurs participants à l’OWEE AfroMaker ont été frappés par de fortes similitudes entre le discours de la fondatrice du centre Kër Thiossane et celui portés par ceux des makerspaces occidentaux. À tel point qu’à certains moments il pouvait être difficile en fermant les yeux de savoir si l’on était à Paris, Dakar ou San Francisco ! Les auteurs du livre “Makers : enquête sur les laboratoires du changement social” ont mis l’accent sur ces dynamiques d’internationalisation et de réseau des makerspaces à l’échelle locale, nationale et internationale. Mais nous nous interrogeons sur l’intérêt et l’impact que ces nouveaux espaces institués de la débrouille peuvent avoir en retour sur les pratiques du faire traditionnellement ancrées dans la culture et le contexte socio-économique de l’Afrique de l’Ouest. Un risque de désappropriation est-il à craindre ? Ou est-ce une façon de stimuler des processus d’innovation inversée ?

Que signifie être un maker au pays de la débrouille ? (AUTEURS, CC BY)

Nous n’avons évidemment pas la prétention de répondre à ces questions après quelques heures de pérégrinations marchées et palabrées sur le sujet. Mais nous avons le sentiment que chercher à mieux comprendre le phénomène encore émergent des makers et des makerspaces depuis la fenêtre de l’Afrique permettrait de couvrir certains angles morts des recherches pourtant de plus en plus nombreuses sur le sujet. Cette expérience nous amène par exemple à souligner que les makers sont plus que de simples “bidouilleurs” ayant le sens de “l’hospitalité” et qu’ils ne le sont pas seulement par nécessité.Alors qu’est-ce que le mouvement des makers a à apprendre du “Djengou” ? C’est ce que notre petit groupe continuera d’explorer dans les années à venir.Julie Fabbri, Professeur en stratégie et management de l’innovation, EM Lyon; Amadou Lô, Assistant Professor in Strategy and Innovation Management, Toulouse Business School ; Christian Gnekpe, Professeur de management stratégique, Toulouse Business School ; Pauline Fatien Diochon, Professeur Associé en Management, SKEMA Business School et Thibault Daudigeos, Professeur Associé au département Homme, Organisations et Société, Grenoble École de Management (GEM)Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.Click Here: Cardiff Blues Store

Cannes 2012 : zoom sur “Elefante Blanco” de Pablo Trapero [Un Certain Regard]

Zoom sur “Elefante Blanco” de Pablo Trapero présenté en Sélection Officielle – Un Certain Regard.

Présenté en Sélection Officielle – Un Certain Regard, Elefante blanco est le quatrième long métrage de Pablo Trapero a être sélectionné à Cannes. L’histoire se déroule de nos jours en Argentine dans le “bidonville de la Vierge” dans la banlieue de Buenos Aires. Julian (Ricardo Darin) et Nicolas (Jérémie Renier), sont deux prêtres, amis de longue date, qui œuvrent pour aider la population. Julian se sert de ses relations politiques pour superviser la construction d’un hôpital. Nicolas le rejoint après l’échec d’un projet qu’il menait dans la jungle, où des forces paramilitaires ont assassiné les habitants. Profondément choqué, il trouve un peu de réconfort auprès de Luciana, une jeune assistante sociale, athée et séduisante. Alors que la foi de Nicolas s’ébranle, les tensions et la violence entre les cartels dans le bidonville augmentent. Quand le ministère ordonne l’arrêt des travaux pour l’hôpital, c’est l’étincelle qui met le feu aux poudres. Comme tous les films de Pablo Trapero, Elefante Blanco ne déroge pas à la règle et fait passer un message politique. Lors de notre rencontre avec le réalisateur celui-ci nous a précisé que pour lui, “un film est une proposition qui permet au spectateur de découvrir un lieu et les gens qui y vivent afin que celui-ci continue à penser à ces gens et à leur vie après le film.” En ce sens ses films sont effectivement politiques puisqu’ils font part d’une réalité qui existe.

Fait amusant, lors de cette 65ème édition, Pablo Trapero est en compétition contre lui-même puisqu’il a réalisé un segment du long métrage 7 jours à la Havane, également présenté en sélection officielle – Un certain regard.

 

Tout sur le film

 

 

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Canada : deux suspects recherchés pour meurtres, dont ceux de deux étrangers

Ils sont recherchés par toutes les polices canadiennes. Deux jeunes Canadiens sont soupçonnés de trois meurtres récents dans l’Ouest canadien, dont ceux de deux étrangers, un Australien et une Américaine, a annoncé, mardi 23 juillet, la police fédérale canadienne.Kam McLeod, 19 ans, et Bryer Schmegelsky, 18 ans, qui étaient jusqu’ici considérés comme “portés disparus” dans le nord de la province de Colombie-Britannique, sont en fuite et ont été aperçus dans la Saskatchewan (ouest), a dit une porte-parole de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) lors d’une conférence de presse. Tous deux sont considérés comme étant “dangereux”, a souligné la police.

Vus récemment à quelque 2 000 km de là où ils étaient initialement recherchés, les deux suspects “continuent vraisemblablement de se déplacer”, ont ajouté les forces de l’ordre.Ils sont soupçonnés des meurtres de l’Australien Lucas Fowler, 23 ans, et de sa petite amie Chynna Deese, une Américaine de Caroline du Nord âgée de 24 ans, dont les corps avaient été retrouvés lundi dernier le long d’une route dans le nord de la Colombie-Britannique. Ils sont également soupçonnés du meurtre d’un homme d’une cinquantaine d’années, que la police cherche toujours à identifier et qui a été tué à la fin de la semaine dernière à environ 470 km des premiers crimes.#DeaseLake #C.-B. – Mise à jour sur une enquête menée par la GRC de Dease Lake : La police sollicite l’aide du public afin d’identifier un homme décédé https://t.co/cRCPU3qLU3 pic.twitter.com/e60xUFJApc — GRCenCB (@GRCenCB) July 22, 2019

Le corps de cette victime avait été retrouvé non loin d’un véhicule incendié appartenant aux deux suspects. La police avait hésité dans un premier temps à établir un lien entre ces deux enquêtes pour homicide, mais n’avait finalement pas exclu lundi cette “possibilité”.Click Here: Maori All Blacks Store

L’enfant poussé du 10e étage du Tate Modern de Londres est un touriste français

Un adolescent a été arrêté, dimanche 4 août, pour avoir jeté un garçon de six ans du haut d’une plateforme d’observation située au 10e étage du musée Tate Modern de Londres. L’enfant est un ressortissant français en visite à Londres. Il a été transporté par hélicoptère à l’hôpital et se trouve dans un état critique mais stable selon la police. Le jeune homme de 17 ans est en garde à vue et soupçonné de “tentative de meurtre”.

Le Tate Modern, un musée d’art moderne situé sur les rives de la Tamise et un des lieux touristiques les plus visités du Royaume-Uni, a été fermé immédiatement après le drame. Plusieurs visiteurs ont été interrogés comme témoins.La police a été alertée vers 14h40, a-t-elle précisé dans un communiqué. La victime “a été retrouvée sur un toit du cinquième étage” du bâtiment. Le suspect “est resté avec le public présent sur la plateforme du 10e étage et rien n’indique que la victime le connaissait”, ajoute le communiqué.Click Here: NRL Telstra Premiership

Manger de la viande, un danger pour le climat ?

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Le monde risque de devoir changer ses habitudes alimentaires s’il ne souhaite pas voir la planète disparaitre. Notre système alimentaire actuel réchauffe l’atmosphère et dégrade les sols. Les experts du climat sonnent l’alerte. “La façon de produire les aliments que nous mangeons contribue à la perte des écosystèmes naturels et au déclin de la biodiversité”, assure Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec).Adapter ses habitudes alimentaires23% des émissions de gaz à effet de serre seraient liés à l’agriculture. En 50 ans, l’approvisionnement en viande par habitant a plus que doublé. Face à ses menaces, chacun tente d’y répondre de la meilleure des manières. Certains Français continuent de manger de la viande mais d’une manière plus responsable. “Je consomme moins de viande mais au moins de la viande de qualité, tout simplement”, confie une cliente d’un marché. Le JT

  • Soir 3 du vendredi 9 août 2019 L’intégrale

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Brésil : Jair Bolsonaro licencie le directeur de l’organisme qui a divulgué les données sur la déforestation en Amazonie

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Il a fini par plier. Accusé par le président brésilien d’exagérer l’ampleur de la déforestation en Amazonie, Ricardo Galvao a annoncé, vendredi 2 août, qu’il  laissait son fauteuil de directeur de l’Institut national de recherche spatiale (INPE), un organisme public de référence dans ce domaine. “Ce que j’ai dit au sujet du président a causé un malaise, donc je serai limogé”, a-t-il affirmé. Ricardo Galvao était dans le viseur de Jair Bolsonaro depuis plusieurs semaines. Ce dernier a en effet peu apprécié que son organisme divulgue les chiffres sur la déforestation amazonienne. Il faisait référence à des chiffres reposant sur des données satellite faisant étant d’une augmentation de 88% de la déforestation en Amazonie en juin par rapport au même mois de l’année en 2018. Le chef de l’Etat expliquait alors avoir “la sensation que les données que l’INPE a fournies à la presse ne correspondent pas à la réalité, qu’elles sont au service des ONG”. “Si toute cette dévastation dont vous nous accusez était réelle, la forêt amazonienne serait déjà un grand désert”, avait également déclaré ce climato-sceptique notoire.”Un acte de vengeance”Pour Márcio Astrini, un responsable de Greenpeace Brésil, “le limogeage du directeur de l’INPE est juste un acte de vengeance contre ceux qui révèlent la vérité” carBolsonaro sait que son gouvernement est le principal responsable de l’état de dévastation actuelle de l’Amazonie.” Au Brésil, les ONG dénoncent depuis des décennies le fait que de grands propriétaires terriens repoussent sans cesse les frontières des terres agricoles, le plus souvent au détriment de la forêt, empiétant entre autres sur des zones censées être réservées aux tribus autochtones. “Nous sommes en présence d’une grande offensive de secteurs qui font du profit sur le dos de l’Amazonie et le président de la République montre son ignorance totale en ce qui concerne les questions environnementales”, déplore par exemple Joao Paulo Capobianco, un ancien vice-ministre de l’Environnement de l’écologiste Marina Silva. Selon lui, l’intervention présidentielle sur l’INPE est “du jamais vu dans l’histoire du Brésil”.Click Here: Golf special

Malmström approves French, Italian Schengen measures

Malmström approves French, Italian Schengen measures

Commissioner warns that measures not in line with “spirit” of Schengen area.

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7/25/11, 5:35 AM CET

Updated 5/21/14, 11:27 AM CET

Cecilia Malmström, the European commissioner for home affairs, has said that measures taken by Italy and France to stem the flow of Tunisians across the EU’s Schengen area of borderless travel are allowed under EU law. But in a statement released today (25 July), she also warned that the measures, taken in April, run counter to the “spirit” of the Schengen rules.

Malmström’s statement followed an assessment by the European Commission’s services of assurances and clarifications provided by Italy and France following the arrival of thousands of Tunisians in Italy earlier this year.

“From a formal point of view, steps taken by Italian and French authorities have been in compliance with EU law,” Malmström said. “However, I regret that the spirit of the Schengen rules has not been fully respected.”

Malmström underlined the importance of “coherent interpretation” and “smooth implementation” of the Schengen rules and said that she would present legislative proposals on the matter in September, as previously announced.

Italy had given some Tunisian migrants temporary documents which enabled them, in principle, to travel elsewhere in the Schengen area. Malmström said that the Schengen rules do not at present define the conditions under which this is permitted and said that EU guidelines on the issue “could have an added value”.

France countered Italy’s measures by imposing spot-checks at the border with Italy, in order to prevent Tunisians from reaching France. “Our analysis confirms that police checks carried out by French authorities remained within the limits compatible with the Schengen Borders Code,” Malmström said.

Authors:
Toby Vogel 

EU ministers mull eurozone finance tax

EU ministers mull eurozone finance tax

Strong opposition from non-eurozone countries.

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Finance ministers from the European Union have raised the possibility of introducing a financial transaction tax solely in the 17 countries of the eurozone.

The second day of their meeting in Wroclaw, Poland, was dominated by the issue of the levy, which has been given greater impetus since the finance ministers of France and Germany wrote to the European Commission in support of the idea on 9 September.

François Baroin and Wolfgang Schäuble re-stated their case today but were met with fierce opposition, particularly from finance ministers from outside the eurozone.

The EU has failed to convince the G20 group of the richest and emerging economies that a transaction tax should be introduced at a global level so the Commission is to publish a proposal for an EU-only scheme next month.

After today’s meeting Didier Reynders, Belgium’s finance minister, said that there was a possibility that the 17 members of the eurozone would go it alone.

“I’m sure that if it’s impossible at a worldwide level we need to organise it in the European Union, at least in the eurozone,” he said. “I’m sure that it’s possible to start with the 17.” Reynders added that he did not believe that a treaty change would be needed.

The UK government, which believes the tax would see the City of London lose its dominance as a centre of financial transactions, is against the plan.

Following today’s meeting, which was also attended by central bank governors, Anders Borg, the finance minister of Sweden, said that he too was opposed. Sweden introduced a tax on financial transaction in 1990s but scrapped it after investors moved business away from Sweden.

“Most of our derivative and bond trading went to London during the years that we had a transaction tax so if you don’t get a solution that is universal [on a global level] it is very likely to be detrimental for European financial markets,” he said.

“We cannot foresee that we would introduce such a tax. To my mind it would be very difficult for the 17 so I would not argue for that.”

Jacek Rostowski, Poland’s finance minister, who hosted the meeting, acknowledged that member states were “very much divided” on the issue.

However, this will not dissuade the Commission from making its proposal.

“There isn’t a common position,” said Michel Barnier, the European commissioner for the internal market, who also attended the meeting. “We don’t start the discussions thinking they’re not going to work out,” he said.

He said that a financial transaction tax was “technically simple, economically bearable, financially productive and fair”.

“We know it’s complicated and there are disagreements but that doesn’t mean [member states] can’t be convinced.

“My work is to convince and to build a consensus, even if that looks unlikely at the start.”

Authors:
Ian Wishart 

‘Play every day for nine days in festival of football’ – Man Utd legend Neville can see ‘spectacular’ finish to season

The ex-Red Devils defender sees no reason why the remaining games on 2019-20 schedules could not be squeezed in once the coronavirus crisis is over

Manchester United legend Gary Neville says a “festival of football” could bring the 2019-20 campaign to a close, with Premier League stars prepared to “play every day for nine days”.

The vast majority of clubs in the English top-flight still have nine fixtures left to take in this season.

It remains to be seen when said games will go ahead, with competitive action having been shut down indefinitely during the coronavirus pandemic.

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Authorities around the world are still hoping to get their respective schedules completed, but there has also been plenty of talk regarding divisions being declared null and void.

Neville believes that situation can be avoided as there will be a desire on the part of those on and off the field to deliver a “spectacular” finale once restrictions are lifted.

The eight-time Premier League title winner told Sky Sports: “The last thing I’m worried about is sorting out the fixtures.

“If football players need to play every day for nine days to finish the Premier League as a worst-case scenario, they would do it because they’d get their heads around it and make it a festival of football.

“It would be something spectacular. Football can bring some hope and joy to the country when we finally come out of this crisis.

“Doing a festival of football where the league is finished in two weeks, the Champions League gets finished in a week and the FA Cup is finished in four days could be something quite special.

“I’m not saying they are the examples that should be followed, but there could be something quite spectacular about football fans coming together after this crisis is over.

“It would bring some joy back to the nation as football does impact so many people.”

The ex-England international added: “The least of my worries are the calendar as once the crisis is over I think footballers, the authorities, the associations will want to play as many matches as psychically possible in a week, a month or a three month period to get everything back on track.

“If you think about the Christmas period, clubs play four games in eight days. When we were going to win the Premier League with Manchester United we had a backlog of fixtures due to FA Cup and we played four games in a week. It is possible over a six or an eight-week period that there might be four games a week.

“I’m not concerned about squeezing more games in. Players, clubs, managers and physios will understand that you can’t complain about fixture congestion next season due to the circumstances. It’s a global crisis and football has to react and compromise.”

Premier League football has been postponed until at least the end of April, while UEFA has pushed Euro 2020 back 12 months in an effort to help get domestic campaigns completed by the end of June.