C’est le plus puissant qu’a connu l’océan Indien depuis des années. Le cyclone Fani  a touché l’est de l’Inde, vendredi 3 mai au matin. Sur son passage, il y a fait huit morts, dont un adolescent et une femme frappée par des débris de béton, et un autre au Bangladesh voisin, selon l’agence Press Trust of India (PTI). Le monstre météorologique, avec des vents dépassant 200 km/h, s’est fait sentir jusqu’au lointain mont Everest, arrachant des arbres et coupant l’eau, l’électricité et les communications.Plus d’un million de personnes évacuéesEn prévision de son arrivée, les autorités de l’Etat d’Odisha, où 10 000 personnes avaient été tuées en 1999 par un cyclone, ont fait évacuer plus d’un million de personnes, craignant une montée des eaux pouvant atteindre jusqu’à un mètre et demi.Fani a touché terre à Puri, ville indienne côtière de 200 000 habitants célèbre pour son temple de Shree Jagannath, l’un des plus sacrés de l’hindouisme, qui accueille des millions de pèlerins chaque année et a été épargné. “Environ 160 personnes ont été blessées à Puri”, a indiqué un responsable des secours, Prabhat Mahapatra. Au Bangladesh, plus au nord, 400 000 personnes ont été évacuées de villages côtiers vers des abris en dur.

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !L’écologie était la grande oubliée de la conférence de presse d’Emmanuel Macron. Évoquant le rapport de l’ONU selon lequel près d’un million d’espèces serait en voie d’extinction, le président de la République a fait quelques annonces. Il a notamment annoncé l’extension des surfaces marines et terrestres protégées. En effet, l’objectif est de lutter contre l’artificialisation des sols qui est l’un des principaux facteurs de disparition des espèces.Lutte contre la gaspillageEmmanuel Macron a également appelé à intensifier la lutte contre le gaspillage alimentaire. “Nous devons aller encore plus loin en changeant les comportements concrets, en renforçant nos actions à l’école avec l’ensemble des territoires, en responsabilisant davantage les consommateurs, mais aussi les restaurateurs et les distributeurs“, a annoncé le président de la République en direct du palais de l’Élysée mardi matin. Il a également appelé à une réduction de 50% du recours aux produits phytosanitaires.Le JT

• JT de 8h du mardi 7 mai 2019 L’intégrale

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#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Il est la figure mondiale de la lutte contre la déforestation. Pour rencontrer le chef Raoni Metuktire, il faut faire un long voyage. Survoler le parc national de Xingu au Brésil, qui fait partie de la forêt amazonienne, sa jungle mystérieuse et ses innombrables cours d’eau. Nous atterrissons dans une réserve où le mythique chef de tribu est en visite. Il se présente avec le fameux labret, qui perce sa lèvre inférieure, marque des grands guerriers. Il est accueilli comme une sainteté à qui on fait toucher les enfants. “Je vous considère tous comme mes enfants, je vous assure que je fais tout pour protéger notre terre”, confie-t-il à son audience.25% de déforestation supplémentaire en un anRaoni, pourtant âgé de 87 ans, repart au combat contre la déforestation de l’Amazonie, poumon de la planète, à l’heure où le nouveau président brésilien, Jair Bolsonaro, souhaite exploiter la jungle au maximum. Il y a eu 25% de déforestation supplémentaire en un an. “Il faut protéger les limites de nos territoires. Avant on pouvait chasser ici. Maintenant les fermiers pénètrent illégalement sur nos terres”, explique le vieux chef. Le JT

JT de 20h du lundi 13 mai 2019 L’intégrale

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#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !L’organisme de la quasi-totalité des Guadeloupéens et des Martiniquais est contaminé au chlordécone. Ce pesticide, interdit aux États-Unis dès les années 1960, classé “cancérigène possible” par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1979, a été épandu jusqu’en 1993 en Guadeloupe et de Martinique pour combattre le charançon du bananier. Aujourd’hui, alors que les sols de la Martinique et de la Guadeloupe sont pollués pour plusieurs siècles, l’incidence du cancer de la prostate sur ces deux îles se situe parmi les plus élevés au monde. Existe-t-il un lien direct entre la contamination au chlordécone et la survenue de ce cancer ? En février dernier, le président Emmanuel Macron avait suscité l’indignation en déclarant qu’il ne fallait “pas dire que c’est cancérigène”, avant de rétro-pédaler, plaidant un “malentendu”.  “Je ne dis pas qu’il n’y pas de lien, je dis ‘personne n’a établi un lien direct'”. Qu’en est-il ? Nous avons posé la question à Luc Multigner, épidémiologiste à l’Inserm, chef de l’équipe “Évaluation de l’Exposition et Recherche Épidémiologique sur l’Environnement, la Reproduction et le Développement”. Podcast Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Si vous éprouvez quelque mal à vous souvenir de toutes les James Bond girls depuis “Dr. No” jusqu’à “Skyfall” (23 films, et même 24 puisqu’est inclus dans la liste “Jamais plus jamais”), voici un joli pense-bête…

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Vue sur Coming Soon, cette infographie (pas totalement exhaustive, et avec une petite coquille sur Diana Riff Rigg, mais assez complète) mise en ligne par CableTV.com.

AG

La Haute Cour du Kenya a refusé, le 24 mai 2019, d’abroger des lois datant de l’époque coloniale qui criminalisent l’homosexualité. Elle a estimé qu’une telle décision ouvrirait la voie à des unions entre personnes du même sexe.La question de savoir quel lien peut avoir l’homosexualité avec le PIB (produit intérieur brut) part du constat que sa légalisation serait un acte de modernité. Une société tolérante et inclusive générerait un environnement favorable à l’investissement. La sympathie qu’on peut avoir pour le pays fait qu’on va y séjourner plus volontiers en vacances, ou y investir pour des entreprises.Or selon un rapport d’Amnesty International paru en juin 2013, l’homosexualité reste passible des tribunaux dans près des trois quarts des 54 pays africains. “Dans 36 pays africains, les lois prévoient des sanctions pénales pour les rapports consentis entre personnes de même sexe, parfois même la peine de mort comme en Mauritanie, en Somalie ou au Soudan” explique Dorothée Delaunay, d’Amnesty, au Figaro. Dans ce contexte, dépénaliser l’homosexualité devient alors un marqueur fort.Une ONG qui milite pour les droits LGBT, Open for Business, a même quantifié ce que les lois anti-homosexuels font perdre à l’économie du Kenya. Le montant est estimé par l’ONG à 1,3 milliard de dollars (environ 1,2 milliard d’euros), soit 1,7% du PIB. On se situe bien évidemment dans le domaine de l’estimation.Un plus pour le tourismeParmi les points faibles du Kenya, l’ONG pointe du doigt le très mauvais classement de la capitale Nairobi en termes d’attractivité, tout en bas de l’échelle. La ville n’est pas assez innovante, n’attire pas des travailleurs spécialisés dans leur domaine. Elle n’offre pas non plus une bonne qualité de vie. Selon l’enquête, les entreprises à haute valeur ajoutée se développeraient d’avantage dans les sociétés inclusives.C’est dans le domaine du tourisme que les attentes sont les plus fortes. En 2013, la profession traversait une crise profonde, due aux avertissements lancés aux voyageurs quant aux menaces de kidnapping et de violence en tous genres. Selon Aljazeera, ces alertes venaient d’Europe et des Etats-Unis, à la fois contributeurs de touristes et très “gay friendly”.“Pour l’heure, ce segment LGBT n’est pas significatif dans nos hôtels”, explique à Al Jazeera Hasnain Noorani, directeur de Pride Group. “Peut-être que si l’homosexualité était autorisée, cela augmenterait l’attractivité du Kenya auprès de la communauté LGBT dans le monde.” Une homosexualité qui, aux yeux de Hasnain Noorani, ne doit pas s’afficher. “Nous ne voulons pas contrarier les clients qui ne partagent pas les mêmes choix.”Les discriminations à l’égard de la population LGBT se mesurent aussi dans le domaine de la santé. En particulier, la lutte contre le sida se révèle particulièrement compliquée dans un milieu qui se cache et où le dépistage est difficile. Le taux de prévalence du sida s’élève à 18,2% dans le milieu LGBT kényan, contre 5,6% pour le reste de la population. Le coût de la maladie est estimé à 1 milliard de dollars (900 millions d’euros).Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Le Conseil constitutionnel algérien estime qu’il est “impossible” d’organiser l’élection présidentielle le 4 juillet comme cela était prévu, après le rejet des deux seules candidatures, rapporte la télévision publique, dimanche 2 juin. Ce scrutin était censé permettre l’élection d’un successeur au président Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné le 2 avril sous la pression conjuguée de la rue et de l’armée.

Le conseil constitutionnel rejette les deux candidatures à la présidentielle. Dit que c’est au chef de l’état de convoquer à nouveau le corps électoral.
(APS)#Algérie — Leïla Beratto (@LeilaBeratto) 2 juin 2019

La haute juridiction ne fournit pas de nouvelle date pour la tenue de ce scrutin, ajoute la télévision. “Il revient au chef de l’Etat de convoquer de nouveau le corps électoral et de parachever le processus électoral jusqu’à l’élection du président de la République et la prestation du serment constitutionnel”, explique la juridiction dans un communiqué.Un scrutin dénoncé par les manifestantsLe Conseil constitutionnel devait se prononcer avant le 5 juin sur la validité des deux seuls dossiers de candidature déposés, mais il semble peu probable qu’ils remplissent les conditions requises, notamment les parrainages de 600 élus ou de 60 000 électeurs.Le scrutin a pour seul objectif le maintien du “système” au pouvoir, estime le mouvement de contestation inédit qui réclame au préalable le départ de tous les dirigeants actuels ayant participé au régime d’Abdelaziz Bouteflika, parmi lesquels le général Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée depuis 2004.Devenu le véritable détenteur du pouvoir depuis le départ de Bouteflika, le général Gaïd Salah a réclamé cette semaine des “concessions mutuelles” dans le cadre d’un “dialogue” dont il n’a pas défini les formes.

Jean-Luc Godard réalisera son prochain film, “Adieu au langage”, en 3D. Une première pour le cinéaste.

Deux ans après Film Socialisme, Jean-Luc Godard revient à nouveau derrière la caméra pour un film, baptisé Adieu au Langage. Mais la grande nouveauté pour le cinéaste de 82 ans est qu’il tournera en 3D. Un choix plutôt étonnant de la part du cinéaste suisse, dans la mesure où ce type de technologie se prête davantage à des oeuvres plus commerciales que le cinéma exigeant de l’artiste. “J’ai toujours apprécié l’introduction de nouvelles techniques” plaide le metteur en scène; “parce qu’elles n’ont pas encore de règles pour le moment. Et on peut en faire ce que l’on veut”. A moins qu’il ne se soit laissé séduire par le formidable usage de la 3D par Wim Wenders pour son film Pina, ou encore dans le documentaire signé Werner Herzog, La Grotte des rêves perdus.

 

En cours de production, le film réunit au casting Héloïse Godet, Zoé Bruneau, Kamel Abdelli, Richard Chevalier et Jessica Erickson. Il met en scène “un couple ne parlant plus le même langage. Un chien recueilli par eux intervient alors et prend la parole. Comment est-ce que je vais faire ça, je ne sais pas encore. Le reste est simple” explique le cinéaste. Peut être pourrait-il procéder avec une voix off comme dans le dérangeant Baxter de Jérôme Boivin ? Distribué par Wild Bunch, le film n’a pour le moment aucune date de sortie.

OP avec The FilmStage.

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Jeff Wittenberg est un des rares journalistes à avoir suivi le voyage d’Emmanuel Macron entre Tokyo et Osaka. Il a pu passer une trentaine de minutes avec le président à bord du Shinkanse, le train à grande vitesse japonais. “Le moins que l’on puisse dire c’est qu’Emmanuel Macron nous est apparu peu optimiste sur les chances de succès de ce G20 sur la question du climat. Pourquoi ? Parce qu’à côté des États-Unis, qui on le sait ont déjà refusé l’accord de Paris sur le climat, Emmanuel Macron craint que d’autres pays leur emboitent le pas. Il a cité notamment le Brésil“, rapporte le journaliste.Pas d’accord au rabais”Alors un échec du G20 est-il possible ? Oui, nous a dit le président même s’il fera tout pour l’éviter, mais il ne veut pas d’un accord au rabais. Et il nous a cité cette phrase : ‘vous imaginez nos concitoyens qui vont nous dire vous êtes allé à l’autre bout du monde, votre bilan carbone est discutable, tout ça pour aboutir à des mots sur une page qui ne sert à rien’. Voilà ce qu’a dit le président qui espère donc que ce G20 servira à quelque chose, mais manifestement ce n’est pas gagné“, conclut Jeff Wittenberg. Le JT

• JT de 13h du jeudi 27 juin 2019 L’intégrale

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Controversial Morocco fishing deal to be extended

One-year extension for pact that campaigners say breaks international law.

A fishing deal between the European Union and Morocco that has been deemed illegal is set to be extended by one year.

Member-state officials last night (17 February) decided to back a proposal from the European Commission to extend the controversial accord by one year when it lapses at the end of the month. Ministers could approve the deal as soon as Monday (21 February), according to an EU official.

In 2005 the EU agreed to pay the Moroccan government €144 million to allow European boats to catch fish in North African waters. The deal has always been disputed by Western Sahara’s independence movement, which says it ignores their rights and bolsters Morocco’s claim to the land. The mostly desert territory has been under Moroccan control since 1976, after the collapse of Spanish colonial rule.

Lawyers at the European Parliament have argued that the EU-Morocco fishing agreement breaches international law because it ignores the right of the Saharawi people to control their own natural resources.

At yesterday’s meeting, Germany and a number of other countries voiced doubts about extending the agreement. A decision was eventually reached by a qualified-majority vote. But a proposal drafted by Spain – the main beneficiary of the agreement – France and Poland for a two-year extension was defeated.

The Commission reluctantly settled for a one-year extension, arguing that it needed to ensure legal certainty while it examines documents from the Moroccan government on access to fish for the Saharawi people.

Maria Damanaki, the European commissioner for fisheries, has said that she will not renew the agreement on a permanent basis unless the benefits for Saharawis are unequivocal.