Plus de 4200 adultes baptisés durant le week-end de Pâques

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4251 adultes baptisés cette annéeSelon le chiffre communiqué par la Conférence des évêques de France, 4251 adultes avaient prévu cette année de se faire baptiser durant ce week-end de Pâques.La cérémonie a lieu habituellement durant la vigile pascale, autrement dit cette année dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 avril.Eric et sa fille Blanca ont reçu le sacrement du baptême. Cet homme n’a pas eu d’instruction religieuse durant son enfance. Il n’a découvert sa foi qu’à l’âge adulte. 

J’y ai trouvé beaucoup d’espoir et c’est cet espoir-là qui m’a porté et m’a aidé à sortir d’une situation difficile.Eric Morell

43 % de nouveaux convertis en 10 ans en FranceDepuis 2 ans, le nombre de demandes baisse un peu, 8 de moins cette année par rapport à 2018, mais en 10 ans le chiffre a augmenté de 43 %. La moitié d’entre-eux sont âgé de 26 à 49 ans. 

Souvent les convertis adultes sont très solaires. On sent qu’ils ont fait cette rencontre personnelle et il la partage très facilement aux autres. Et pour nous les vieux catholiques ça fait du bien d’être bousculé dans notre foi.Stéphan Lange Curée de la Paroisse Saint-André 

Des baptêmes et des apostasiesMais si certains demandent le sacrement du baptême d’autres à l’inverse y renonce, c’est ce que l’on appelle l’apostasie.En raison notamment des scandales qui secouent l’Eglise catholique, le nombre de demandes de débaptisations augmente depuis 2 ans même si pour y parvenir certains décrivent un véritable parcours du combattant. Bien évidemment, l’Eglise catholique communique peu voire pas du tout sur ce phénomène mais on parle de milliers de demandes par an en France.Entre 2017 et 2018, le nombre de demandes d’apostasie a été mutilplié par 2 dans certains diocèses.

Sandrine Bonnaire: « Les hommes que j’ai aimés sont très différents »

Dans le film Joueuse, elle se met aux échecs, dans la vie, elle enchaîne les succès! Entretien avec une amoureuse sans préjugés.

Une jeune femme dissimulée derrière un tee-shirt ample nous sert un café. «C’est pour quand?» lui demande l’actrice dans un sourire… Sandrine Bonnaire est ainsi. Cette attention aux autres dans la vie comme une inspiration… et cette façon singulière au cinéma de poétiser toutes ces femmes simples, qu’on regarde trop peu ou mal (La cérémonie, Quelques Jours Avec Moi, Un Cœur Simple). On a souvent jugé l’actrice un peu rugueuse. Sans bien la regarder. Sandrine Bonnaire est une joueuse pleine de surprises, à l’image d’Hélène, son personnage dans le premier long métrage de Caroline Bottaro.

Gala: Joueuse est un film débordant de sensualité… Etait-ce pour vous une évidence en pensant à la passion des échecs?

Sandrine Bonnaire: Les échecs ne sont qu’un prétexte pour parler d’un éveil sensuel. Le film commence par un plan où Hélène est face à son miroir, elle s’attache les cheveux, met sa blouse mais ne se regarde pas. Quand elle surprend, en faisant le ménage dans un hôtel, ce couple d’Américains en train de jouer aux échecs, ce qu’elle voit en premier c’est un couple qui s’aime. En achetant un échiquier à son mari, elle se dit qu’il pourrait la regarder avec la même passion. Hélène ne veut plus être une simple femme de ménage, elle veut être désirable.

Gala: N’est-ce pas aussi une mise en abyme du jeu d’acteur?

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S. B.: Tout à fait… c’est amusant parce que je me sens assez proche du personnage d’Hélène. Je viens d’une famille de onze gamins. Chez nous, on était regardé en masse, mes parents n’avaient pas le choix : allez, les mômes, hop, au lit… Tout était fait en groupe. Alors jeune, j’avais envie de faire l’exception, d’être regardée. D’ailleurs, avant de faire du cinéma, j’étais très excentrique, je me maquillais beaucoup. Quand je suis tombée par hasard sur Pialat, mon destin a changé. Je n’étais pas prédestinée à faire ce métier, je venais d’un milieu modeste, je n’aurais pas pu me payer des cours. Maurice Pialat a été mon mentor, celui qui m’a regardée.

Gala: En parlant de regard, vous a-t-on déjà dit que vous jouiez très bien de la nuque, comme Romy Schneider dans les films de Sautet?

S. B.: (rires) Vous avez raison, j’adore jouer de dos, on peut exprimer tellement de choses à travers une posture. D’ailleurs je suis souvent frustrée sur les tournages parce que je suis une femme assez physique et j’aimerais pouvoir l’exploiter davantage. Je fais beaucoup de sport, du tennis, je cours, j’adore aussi la danse. Même dans la vie quotidienne, je ne suis pas une chochotte, je peux pousser un cadis de course énorme, tout en portant ma fille. J’ai des bras costauds (elle joint le geste à la parole), enfin, musclés!

: On vous dit fin cordon bleu. La cuisine, est-ce aussi un exercice sensuel?

S. B.: Ah, oui. J’aime malaxer les choses… D’ailleurs, j’invente des plats en fonction des couleurs et ça fait des choses assez… bonnes. Dans mes salades, je vais mettre du orange, du vert, du rouge, j’adore les couleurs. On me dit très forte pour les salades! Dans la cuisine, il y a quelque chose de joyeux, on choisit son maraîcher, ses produits. Cuisiner c’est prendre soin de soi et en faire cadeau aux autres.

Gala: Quel est pour vous le comble de la sensualité chez un homme?

S. B.: Pfff… je ne sais pas. Je n’ai pas de style en particulier. J’ai besoin de connaître les gens pour leur trouver du charme. Je me souviens quand j’avais vingt ans, j’étais très très amoureuse d’un homme. Il pesait cinquante kilos, il était tout petit… J’ai appris à le connaître et ç’a été une des plus grandes histoires de ma vie, j’étais amoureuse folle, je le trouvais extrêmement sensuel. Gracieux, raffiné, très à l’écoute des autres. Les hommes que j’ai aimés sont vraiment très différents.

Gala: C’est plutôt bon signe… vous ne restez pas crispé sur le même archétype!

S. B.: Si c’est pour toujours rêver d’un type d’homme, autant garder le même! Non, non… Je suis passé de la personne dont je vous parle au père de mon premier enfant, qui fait 1,96 m et est très extraverti (William Hurt, ndlr)! Bref, le jour et la nuit.

Gala: Qu’est-ce qui vous a le plus touché quand vous avez rencontré votre mari actuel, le scénariste Guillaume Laurent?

S. B.: C’est difficile comme question… A notre première rencontre, au festival de Cabourg, on s’est beaucoup parlé, ce qui m’a d’abord touché c’est qu’on puisse discuter aussi simplement sans se connaître. Il y avait une évidence, un naturel. Ce n’était pas du tout de l’ordre de la confidence, je n’aime pas non plus les gens qui se livrent trop facilement, je trouve cela suspect. Il a parlé de son enfance, de son parcours, moi aussi. Il y avait un lien, magique.

Gala: Aimez-vous plutôt les jeux de l’amour ou du hasard?

S. B.: Les jeux de l’amour, je ne vois pas trop ce que cela peut être. Il y a une notion de manipulation que je n’aime pas. Plutôt hasard. Le hasard qu’on provoque… Je crois au destin.

Gala: Vous le trouvez, joli le vôtre?

S. B.: J’ai un sublime destin. Ma bonne étoile a été Pialat. Je suis la septième de ma famille, il paraît que ça porte bonheur, le chiffre sept.

Gala: A quel jeu avez-vous le plus joué avec vos deux filles?

S. B.: Aux princesses… je n’en peux plus de jouer aux princesses! j’ai déjà eu ça avec ma première et rebelote avec la seconde. Elles se donnent toujours le beau rôle et moi je suis la marâtre, la sorcière. Faire l’actrice, c’est mon métier, alors j’ai un peu l’impression de faire des heures sup à la maison!

Propos recueillis par Emmanuelle Pavon-Dufaure

Article paru dans Gala, août 2009

Sri Lanka : un quotidien sous tension

En plein cœur de la capitale Colombo (Sri Lanka), les alertes à la bombe sont régulières, trois jours seulement après les attentats qui ont fait 359 morts. Une moto abandonnée est immédiatement suspecte. Le quartier se voit alors bouclé et les démineurs placent des charges explosives près du véhicule. Heureusement, cette fois-ci, il n’était pas piégé, c’était une nouvelle fausse alerte.Un couvre-feu décrété sur la capitaleC’est le quotidien des Sri lankais depuis dimanche 21 avril et les attentats qui ont touché la ville. Dans la matinée, trois opérations de déminage similaires ont été menées dans la capitale. La peur est partout, les habitants redoutent de sortir de chez eux. Par endroit, la capitale est complètement déserte et des militaires sont présents à chaque coin de rue. Un nouveau couvre-feu a été décrété à Colombo en début de soirée.Le JT

  • JT de 13h du mercredi 24 avril 2019 L’intégrale

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Paludisme : des risques multifactoriels d’expansion à l’heure de la mondialisation

Ce 25 avril, Paris célèbre officiellement la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Cette maladie, transmise par les moustiques appartenant au genre Anopheles, est causée par des microorganismes appelés Plasmodium, dont le plus dangereux est Plasmodium falciparum, seule espèce capable d’entraîner un accès aigu mortel.Cet événement se tient alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce une stagnation des progrès de la lutte contre le paludisme, après plus de 10 années d’avancées.Une situation préoccupante qui pourrait se prolonger. Des indices laissent en effet supposer que les moustiques vecteurs de la maladie ont trouvé une nouvelle alliée de taille : la mondialisation.Lutte contre le paludisme : les raisons de la stagnationEntre 2015 et 2017, le nombre de cas reportés n’a pas significativement diminué. La mortalité due au paludisme, ou mortalité palustre, est restée pratiquement inchangée dans le monde : environ 435 000 décès annuels ont été recensés, essentiellement des enfants vivant en Afrique subsaharienne. Il faut cependant souligner que cette stagnation survient après une remarquable et encourageante réduction de 57 % entre 2000 et 2015, fruit d’un engagement international à saluer. Pourquoi la lutte contre le paludisme marque-t-elle le pas ? Les raisons sont multiples.Parmi les plus notoires, on peut citer la biologie du parasite, lequel est doté d’une exceptionnelle capacité à se multiplier et à être transmis par les moustiques. Le faible recours aux systèmes de soins ainsi que les inégalités d’accès aux traitements antipaludiques efficaces sont également problématiques, tout comme, plus localement, l’insuffisante mise en place de programmes de prévention, au premier rang desquels figure la distribution de moustiquaires imprégnées d’insecticide à longue durée d’action. Les politiques de lutte peuvent aussi subir le contrecoup des conflits armés, dans certains pays. Enfin, les résistances aux insecticides développées par les moustiques favorisent la progression de la maladie.À ces problèmes “classiques” sont venus s’en ajouter deux autres, au cours des dernières décennies : le changement climatique et la mondialisation des échanges.Une maladie sensible au climatLe climat influence considérablement la géographie et l’épidémiologie du paludisme. En effet, la répartition et l’abondance des moustiques vecteurs dépendent de nombreuses composantes climatiques. Il en va de même pour la modulation du contact être humain-vecteur et le succès du développement du parasite à l’intérieur du vecteur.L’humidité est un facteur important dans le cycle du moustique vecteur, car elle influence la survie des adultes. Pour cette raison, en insectarium, on s’efforce de maintenir une humidité de 80 %. De faibles écarts, même de l’ordre de plus ou moins 5 %, peuvent avoir un fort impact négatif sur la survie de ces insectes. Ce point est important, car contrairement à ce qu’on pourrait penser, la longévité du vecteur est une variable plus importante que son abondance pour conférer une forte aptitude à transmettre la maladie. En effet, plus un moustique infecté vit longtemps, plus il risque de transmettre la maladie à un nombre croissant de personnes.

Un élevage de moustiques dans les laboratoires de l’IRD, à Montpellier.  (IRD)

La température joue également un rôle essentiel dans le cycle de la maladie. Elle influence non seulement la durée du développement du parasite dans le moustique mais aussi la durée du développement aquatique initial du moustique (sous forme de larve puis de nymphe), ainsi que la survie de sa forme adulte. Au-delà de 35 °C et en-deçà de 18°, le développement de Plasmodium falciparum dans le moustique est stoppé ; aux températures de 20°, 24° et 30°, il est respectivement de 20, 11 et 9 jours.En pratique, on ignore à quelle température vit précisément un anophèle. Toutefois, en situation d’inconfort, il va se déplacer activement en quête d’un micro-habitat lui convenant mieux.Prémunition et risques de décèsToutes les populations ne sont pas égales face à la maladie. L’épidémiologie du paludisme à Plasmodium falciparum est en effet radicalement différente en fonction du niveau de transmission.Dans les zones endémiques, c’est-à-dire là où la maladie est présente de façon habituelle, une seule piqûre infectée n’entraîne le plus souvent pas d’accès palustre. Ceci est dû à l’acquisition progressive par les habitants d’une prémunition, un état immunitaire qui se manifeste par une protection relativement efficace sur le plan de la maladie, mais pas assez efficace pour éliminer tous les parasites.Cette prémunition ne peut se construire et s’entretenir qu’à la faveur de réinfections multiples, presque permanentes, de l’être humain par son parasite. Dans les zones de forte transmission, elle s’établit dès le plus jeune âge, en quelques années. Si bien qu’au-delà de 5 ans, on estime que le risque de décéder du paludisme devient très faible.La situation est différente dans les zones indemnes de transmission. La population humaine y est “immunologiquement naïve” : elle n’est pas protégée contre le parasite, et une seule piqûre d’un moustique infecté entraîne fréquemment un accès palustre. Dans ces régions, toutes les classes d’âge peuvent tomber malades et risquer le décès. C’est par exemple le contexte des zones d’altitude en Afrique.

Une flaque de pluie : un gîte naturel de larves d’anophèles, vecteur du paludisme. (IRD/Vincent Robert, Author provided)

Le changement climatique peut donc aggraver la situation dans ces régions : un évènement climatique exceptionnel, une modification de la température ou du régime des pluies peuvent faire émerger des conditions favorables aux anophèles et à la transmission. Des épidémies de paludisme, ordinairement limitées dans le temps et dans l’espace, peuvent voir leur dynamique se modifier, avec des conséquences dramatiques en termes de morbidité et de mortalité.Par ailleurs, l’augmentation des températures (qui raccourcit la durée du développement du parasite dans le moustique) et l’augmentation de l’humidité (qui augmente la longévité du vecteur) vont dans le sens de l’accroissement de la transmission du paludisme. Toutefois, ces facteurs aggravants sont intriqués dans des réseaux complexes de relations, et jouent probablement un rôle très secondaire sur le terrain.Ce n’est pas le cas de l’intensification des déplacements des êtres humains et des marchandises à la surface de la Terre, qui favorise les mouvements exceptionnels de moustiques vecteurs et leur implantation dans de nouvelles régions. Là, le danger est bien réel.Circulation mondiale : quand les moustiques voyagentL’accroissement de la circulation des êtres humains et des échanges commerciaux à la surface de la Terre entraîne le déplacement involontaire de très nombreux passagers clandestins indésirables, qu’il s’agisse d’espèces invasives ou de vecteurs de maladies, comme les anophèles porteurs du paludisme.Un exemple classique est celui du paludisme dit « d’aéroport », qui touche des personnes qui n’ont jamais voyagé en zone de transmission, mais qui ont une proximité avec un aéroport international. Dans ces cas, qui restent rares, un anophèle infecté en zone d’endémie a voyagé par avion, puis a transmis le parasite après être sorti de l’appareil. Au total, 30 cas ont été déclarés en France entre 1969 et 2008.Ces exemples de déplacement d’un moustique par l’être humain n’ont pas été suivis d’une implantation dans le pays d’arrivée. Mais cela arrive parfois. Ainsi,Anopheles arabiensis, une espèce de moustique africain, a été observée dans l’état du Natal (Brésil) en 1930, peu après l’intensification du trafic des bateaux à vapeur entre les continents africain et sud-américain. Cette invasion a été responsable d’une épidémie de paludisme sans précédent : les anophèles locaux étaient de « mauvais vecteurs » de Plasmodium, contrairement aux nouveaux venus, bien plus efficaces pour transmettre le parasite. Heureusement, au Brésil ce vecteur a pu être éliminé au début des années 1940.

Moustique Anopheles gambiae femelle en plein repas de sang. (IRD/Nil Rahola)

Plus récemment, en 2013, la présence d’un anophèle asiatique Anopheles stephensi a été détectée en zone urbaine à Djibouti, puis les années suivantes en Éthiopie, avec une considérable recrudescence des cas de paludisme associés. Cet anophèle est connu comme un redoutable vecteur en zone urbaine en Inde, et sa répartition à l’Est semblait jusqu’ici limitée au golfe Persique. Ces observations sont inquiétantes car elles surviennent à un moment où l’élimination du paludisme était envisageable à Djibouti. Ce n’est plus le cas actuellement, à moins que l’espèce vectrice en soit éliminée. De plus, on ignore si cette expansion de l’aire de répartition en cours va se poursuivre ou non, en particulier dans le contexte urbain africain, ce qui constituerait un défi majeur pour le futur.Enfin, le moustique Anopheles bancroftii a été détecté pour la première fois en Nouvelle-Calédonie en 2017, dans une zone proche de l’aéroport de Nouméa, laissant penser que cette introduction a été réalisée par avion. Rappelons que la Nouvelle-Calédonie était une des très rares terres tropicales émergées sans anophèle et donc indemne de paludisme.Ces différents exemples récents sont alarmants. En effet, jusqu’ici les anophèles ne se comportaient pas comme des espèces invasives (à l’exception notable de l’implantation d’Anopheles arabiensis au Brésil), contrairement à de nombreux autres moustiques dont le fameux Aedes albopictus (le tristement célèbre moustique tigre asiatique, vecteur de la dengue, du chikungunya ou du virus Zika).Dans les années à venir, il s’avérera donc indispensable de suivre attentivement l’évolution des déplacements d’anophèles, et de mettre en place une surveillance appropriée.Vincent Robert, Directeur de recherche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
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“The Expendables 2” : le teaser du trailer [VIDEO]

Impatients de découvrir la bande-annonce du prochain “Expendables” ? Eh bien, en attendant les nouvelles images qui seront dévoilées ce jeudi, régalez-vous d’un teaser faisant la part belle aux explosions et à l’abattage de Terry Crews.

Découvrez le teaser du trailer de The Expendables 2, film d’action de Simon West dont la sortie en France est prévue le 22 août prochain… Avec Sylvester Stallone, Jean-Claude Van Damme, Chuck Norris…

Tout sur le film…

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“Maleficent” : (encore) du renfort pour Angelina Jolie

Pas moins de cinq acteurs et actrices rejoignent le casting de “Maleficent”, nouvelle adaptation de “La Belle au bois dormant” centrée cette fois sur le personnage de la sorcière.

Parmi les projets de Disney cette année figure en bonne place Maleficent, relecture du conte La Belle au bois dormant qui adoptera le point de vue de la méchante, interprétée par Angelina Jolie. Si l’on savait déjà que Mme Pitt serait accompagnée par Elle Fanning et Sharlto ‘Distric 9/Looping’ Copley, on apprend aujourd’hui via le Hollywood Reporter que le casting s’est subitement étoffé, avec l’arrivée de cinq nouvelles recrues, toutes britanniques : Imelda Staunton, Miranda Richardson, Kenneth Cranham, Sam Riley (en bras droit d’Angie) et Lesley Manville. Début du tournage le mois prochain, pour une sortie américaine programmée le 14 mars 2014.

A.G.

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Honey containing GM needs approval before sale

Honey containing GM needs approval before sale

Avocate general opinion blow for Bavarian beekeeper.

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Honey containing even the tiniest traces of genetically-modified material needs to be approved by regulators before it can be sold in the European Union, a judge at Europe’s highest court said today (9 February).

Under EU rules all genetically-modified (GM) crops or food made with GM ingredients need to be approved before they can be sold in the EU.

Today’s non-binding opinion by Yves Bot, an advocate general at the EU’s Court of Justice, spells out that even “a minute quantity of pollen” from a GM crop would mean that “honey must be the subject of an authorisation to be placed on the market”.

Advocate generals’ opinions are not binding on the court, but they are often followed in judgments.

The legal case arose when an amateur beekeeper in Bavaria took the state to court in Germany, after finding traces of genetically-modified pollen from a nearby maize crop (MON 810) in samples of his honey. The maize, Monsanto’s MON 810, was being grown on nearby land owned by the state for research purposes.

The opinion was published as the EU debates how to reform its GM approval system. In a confidential paper, the European Commission recently proposed that governments could be allowed to ban GM crops to preserve consumer choice to buy non-GM crops. This choice could be compromised by widespread planting of GM crops, as GM seed and pollen could not be contained in fixed zones.

National government officials will discuss this idea tomorrow (11 February) at a meeting in Brussels, along with other reasons they might use to ban GM cultivation. The Commission has also proposed maintaining public order and protecting public morals as reasons for governments to ban cultivation, but governments still have to approve the list.

 

Authors:
Jennifer Rankin 

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'I don't give a sh*t about the Scudetto' – Brescia owner Cellino calls for further postponement amid coronavirus 'plague'

The Italian outfit’s president says that football is the furthest thing from his mind with the city one of the epicentres of the Covid-19 crisis

Brescia owner Massimo Cellino has decried hopes that Serie A could be restarted before the end of the campaign, saying that football must come second to combatting the “plague” of coronavirus.

The Italian city has been one of the epicentres of Europe’s Covid-19 pandemic, with a higher rise in confirmed cases than any other location on Tuesday, as authorities continue to struggle to contain the spread of the disease.

The club sit at the foot of the top-flight, having seen a merry-go-round campaign of hiring and firing in the coaching job not unlike that presided over by Cellino during his days as owner of Leeds United.

More teams

But the 64-year-old says that football is the furthest thing from his mind as his nation sits in the grip of its greatest peacetime crisis in recent memory.

“I keep getting news from Brescia, and it’s all unbelievable,” he told  Corriere dello Sport . “Yet, the city is facing this with a disconcerting dignity.

“It’s breaking my heart. They have parents, family, friends and acquaintances who are dying every day, and they are suffering but in silence.

“People only have one desire, to get back to work and start living again. And you want to talk to me about the championship, about the title?

“I don’t give a sh*t. I’m scared to leave the house, I’ve got a depression coming on.

“If we’re speaking in terms of football, everything must be postponed to next season. We must be realistic, gentlemen. This is the plague.

“[The fans] don’t want it to start again. They’re the ones who forbid it, not the federation. Life comes first. There are ultras who are in hospital on oxygen, others who are mourning their loved ones, and others who are still intubated.

“We can’t play again this year. Let’s start thinking about next season. Some people still haven’t realised what’s going on, and those people are worse than the virus itself.

“I don’t believe in miracles anymore, I haven’t for some time now. The season’s been and gone, if someone wants to have that damned Scudetto then let them have it. Done. It’s over.

“I’m not saying this because Brescia are last. We are bottom because we deserve it. Let them do what they want. I’m thinking about those who are going to lose their job, those who are dying.”

Ending the speculation in food commodities

Ending the speculation in food commodities

In praise of France’s bid to regulate the food markets.

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Updated

The European Commission’s 11th-hour decision, made under French pressure, to put on hold the publication of the strategy on how to secure Europe’s supply of raw materials was very welcome (“Raw materials plan delayed”, EuropeanVoice.com, 25 January). 

France’s President Nicolas Sarkozy was right to be concerned about the strategy’s omission of food commodities. He is also right to want to use France’s presidency of the G20 to push for action to address the role of financial market speculation in driving up commodity prices, including farm goods.

Clearly, it is good news that the Commission picked up on these issues in the strategy published a week later (“Commission bows to French pressure on food-price paper”, 27 January-2 February). But Europe cannot just talk the talk; it must also walk the walk. The Commission ought to move to integrate measures to tackle food speculation within the review of the Markets in Financial Instruments Directive (MiFID) later this year and work with the G20 to ensure appropriate measures are also adopted at the global level.

Even when harvests are good, price volatility will continue to affect millions of people unless governments intervene to regulate the market.

Just three years after the 2007-08 spike in cereals prices on world markets, the sharpest seen in 34 years, food prices are on the rise again and causing alarm. Since the start of the year, the increasing cost of food has prompted, or contributed to, riots in a range of countries, including Algeria.

But while the strategy has addressed the omission of food commodities, it contains some worrying elements. Among its proposals to ensure European access to raw materials, the Commission argues it should force developing countries to ban or curb the use of export taxes, which many rely on to help them develop. This risks selfishly serving European interests at the expense of poor countries.

 

From:

Elise Ford

Oxfam International

Brussels

Morocco fishing deal causes rights row

Morocco fishing deal causes rights row

‘Fish-for-cash’ deal to be extended by one year, but campaigners say pact breaks international law.

By

2/9/11, 10:19 PM CET

Updated 4/12/14, 8:46 PM CET

A controversial fishing agreement between the European Union and Morocco looks set to be extended by one year, renewing criticisms that the EU is ignoring the rights of people living in disputed territory, in breach of international law.

The European Commission is expected to propose tomorrow (11 February) a one-year extension to the EU-Morocco fisheries partnership, a ‘fish-for-cash’ exchange that widens EU fishery opportunities. In 2005, the EU agreed to pay Morocco €144 million for rights to fish in Moroccan and Western Saharan waters.

Critics say that by extending the deal, the Commission is giving legitimacy to Morocco’s claims to Western Sahara, annexed in 1978 shortly after the end of Spain’s colonial administration. Lawyers at the European Parliament share the view of campaigners that the fisheries deal breaches international law, by ignoring the rights of the Saharawi people to control their natural resources.

Isabella Lövin, a Swedish Green MEP, said that extending the agreement would be tantamount to “legitimising occupied territory” and “completely wrong”. Citing the recent uprisings in Egypt and Tunisia, she said: “It would be extremely unfortunate at this moment of history to prolong the agreement…[as] now we are seeing the spirit of people in north Africa not accepting undemocratic rule.”

Western Sahara’s independence movement, the Polisario Front, condemned the decision, blaming Spanish national interests. “Instead of wanting to go forward, it [Spain] is sullying the reputation of all EU countries for 100 fish licences tainted by human-rights abuses,” Mohamed Beissat, Polisario’s representative to the EU, told European Voice. Polisario is considering a legal challenge to any extension, Beissat said. “We are determined to pursue our rights,” he said, citing legal opinions from the UN and the European Parliament that EU fishing in the Western Sahara is illegal.

Maria Damanaki, the European commissioner for fisheries, has always said that the EU would renew the agreement, which is due to lapse at the end of this month, only if the Moroccan government could prove that the Saharawi people were benefitting from it. Following her request for this information in February 2010, the Moroccan government sent papers to Brussels in December. The Commission now says that it needs time to analyse the files before deciding on a new agreement.

Informal UN-brokered talks between Morocco and the Polisario are due to resume in March. The last round of talks in January yielded no movement.

Time pressure

With the agreement due to lapse, the Commission faced a dilemma. Damanaki’s preferred option was to exclude the disputed territory to the south of Morocco from any extension of the agreement, but this was blocked by Commission colleagues. The second option, a one-year extension to the current deal, was presented to EU deputy ambassadors yesterday (9 February), at the request of Spain. “We are in an urgent situation now in order to avoid a legal vacuum. The Commission has decided that the ‘north only’ is no option,” said an EU source familiar with the details.

Doubts remain about whether the extension will come into effect in time, as EU member states and the European Parliament both have to give their approval.

The Parliament’s lawyers are also questioning a separate trade deal aimed at opening up trade in agricultural produce and fish between the EU and Morocco. The Parliament’s legal service has advised the Commission to clarify whether the trade deal is in line with the wishes of the western Saharawi people, according to a confidential opinion prepared last month, and seen by European Voice. According to Sara Eyckmans at Western Sahara Resource Watch, a campaign group, the EU is obtaining increased quantities of produce from Western Sahara, especially tomatoes, melons and cucumbers.

“Will the EU accept this produce coming from Western Sahara, stamped as ‘from Morocco’?” she asks. “That would be accepting Morocco’s claims, and illegal,” she asserts.

A spokesman for Damanaki declined to comment on the details of the fisheries agreement. He said: “A proposal is under construction and is likely to be adopted by the end of the week.”

Authors:
Jennifer Rankin