Month: February 2020

On en apprend chaque jour un peu plus sur Sophie Davant ! En pleine promotion de son livre Tout ce que j’ai appris de moi – Journal d’une quinqua, la présentatrice raconte même ses déboires : hier soir sur le plateau de C à vous, elle a dévoilé ses mésaventures causées par une injection de Botox®.

Elle n’est pas contre la chirurgie esthétique… mais l’inverse n’est peut-être pas vrai. Hier sur France 5, Sophie Davant a raconté avoir connu quelques soucis suite à une injection de Botox®. « C’est de ma faute, explique la présentatrice. J’allais avec un copain qui voulait me montrer une clinique esthétique pour que j’envoie une équipe faire un reportage. Le monsieur me montre sa clinique et juste avant de partir il me dit : ‘Vous ne voulez pas une petite injection, juste un truc pour lisser au dessus des lèvres ?’ Et donc il m’allonge, il me fait une piqure. Et déjà j’ai très mal. »

La suite ? L’auteur de Tout ce que j’ai appris de moi – Journal d’une quinqua s’est retrouvée avec un énorme hématome au-dessus de la lèvre, obligeant les maquilleuses de son émission à des prouesses. « Je ne sais pas ce qu’il lui avait pris, commente son producteur William Leymergie. Elle est arrivée là, on aurait dit qu’elle s’était pris un coup de Canard WC. C’était bleu et c’était énorme. »

« William me regardait en étant catastrophé, conclue Sophie Davant. Et plus il me regardait plus je riais. » Heureusement, cette injection douloureuse n’aura pas eu trop de conséquences. De quoi continuer à profiter comme elle l’entend de la vie – la présentatrice ne cesse en effet de rappeler que même à 50 ans, « le désir est toujours aussi intense ».

Crédits photos : Abaca

Après avoir reçu le Grand prix spécial du Festival d’Angoulême le 29 janvier dernier, Charlie Hebdo va recevoir un nouveau prix pour la liberté d’expression. Cette fois-ci, ce sont les États-Unis qui remettront la récompense au journal satirique.

Le 5 mai prochain, le PEN American Center, société littéraire américaine qui oeuvre pour défendre la liberté d’expression, remettra le Pen/Toni and James C.Goodale Freedom of expression courage Awardrix au journaliste Jean-Baptiste Thoret, qui représentera l’équipe du journal à New-York. Journaliste à Charlie Hebdo, l’essayiste a échappé de peu au drame des attentats terroristes du 7 janvier dernier. “Lors du drame, j’étais en retard et j’étais en route… un ange a dû passer au-dessus de ma tête, j’ai eu de la chance”, expliquait-il avec émotion à la chaîne LCI au lendemain de la tragédie.

A travers la remise de ce prix, la communauté rassemblant plus de 4000 écrivains souhaite saluer le courage de l’équipe du journal qui a poursuivi son travail en publiant le célèbre “numéro des surveillants” et en refusant de céder aux menaces. C’est cette détermination et cette persévérance que la société américaine de défense de la liberté d’expression a ainsi voulu honorer.

Suzanne Nossel, la directrice de la société qui remettra ce prix a en effet considéré que la récompense revenait de toute évidence au journal satirique français: “En payant le prix ultime pour avoir usé de sa liberté, et ensuite s’être rassemblé comme un seul homme après cette énorme perte, Charlie Hebdo mérite d’être reconnu pour sa détermination après l’une des attaques les plus nocives contre la liberté d’expression.”

Mardi, le courage d’un autre héros des attentats terroristes de janvier dernier a aussi été salué outre-Atlantique. Lassana Bathily a reçu avec émotion la médaille du courage du Centre Simon-Wisenthal à Los Angeles. Le jeune homme avait sauvé de nombreuses vies lors de la prise d’otage de l’Hyper Casher, Porte de Vincennes. Lassana Bathily a indiqué qu’il souhaitait désormais aider les enfants immigrés en France.

Crédits photos : /NEWSCOM/SIPA

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Ils étaient plusieurs centaines, proches et moins proches, à se réunir vendredi au cimetière Agramonte de Porto, au Portugal pour un dernier hommage à Manoel de Oliveira. Au milieu de la foule d’admirateurs du cinéaste de 106 ans, disparu jeudi dernier, l’acteur américain John Malkovich, a applaudi au passage du cercueil de son ami, et estimé réalisateur.

« Le cinéma n’est pas mort avec Manoel de Oliveira, mais Manoel de Oliveira était unique et le cinéma ne sera plus le même sans lui ». C’est ce qu’a déclaré John Malkovich, ce vendredi, en marge de l’enterrement du réalisateur portugais, disparu cette semaine à l’âge de 106 ans. Celui qui a joué dans trois de ses films, dont Je rentre à la maison (2001), a fait le déplacement à Porto, vendredi, pour lui rendre un dernier hommage, après une pluie de témoignages de gratitude à travers le monde du cinéma.

L’occasion d’applaudir une longue carrière – riche d’un peu plus de trente films et d’une bonne vingtaine de court-métrages – et de consoler le public, très ému, au cimetière d’Agramonte à Porto. C’est dans cette ville du nord du Portugal, que le réalisateur mythique a été inhumé dans son caveau familial.

Outre la famille du doyen du cinéma – sa veuve Maria Isabel Carvalhais – plusieurs personnalités de la culture étaient présentes sur place, notamment l’acteur portugais Luis Miguel Cintra et Ricardo Trepa, mais aussi ses compatriotes le président Anibal Cavaco Silva et le Premier ministre Pedro Passos Coelho qui avaient assisté à la cérémonie funèbre en l’église du Christ-Roi.

Deux jours de deuil national ont été décrétés au Portugal, parce que selon Pedro Passos Coelho: «Tous les Portugais ont aujourd’hui le cœur serré à l’idée de le voir partir. Il faisait pratiquement partie de notre famille». Au mois d’avril prochain, les fidèles découvriront un long métrage autobiographique inédit tourné en 1982, La Visite ou Mémoires et confessions, que Manoel de Oliveira a choisi de laisser à la postérité, comme un ultime cadeau posthume.

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Lorsque l’on se penche sur la vie de Céline Dion, on s’aperçoit qu’elle a souvent croisé la mort, sorte d’épée de Damoclès éternellement au-dessus de sa tête. La chanteuse semble connaître deuil sur deuil. Et en ce moment, tout s’évertue à le lui rappeler.

On ne peut s’empêcher de s’émouvoir devant le destin de Céline Dion. S’ajoutant à sa peine face au combat de son mari, René, contre le cancer, des souvenirs et de morbides anniversaires hantent son début d’année 2015.

En 1995, sa nièce, Karine, succombe à une longue maladie qu’elle aura combattue avec le soutien de sa tante: la mucoviscidose. Céline Dion a alors 25 ans et reste jusqu’au bout avec sa nièce, qui s’éteint à l’âge de 16 ans. Deux ans plus tard, dans son album D’eux, Celine Dion offre une chanson à sa mémoire: Vole. Cet album, qui est encore aujourd’hui l’album francophone le plus vendu de l’histoire de la musique, a eu 20 ans le 27 mars dernier.

Dix ans plus tard, en 2003, elle perd Eddy Marnay, célèbre parolier français, qui était devenu l’un de ses amis proches. Ce dernier, qui écrira l’essentiel de ses chansons durant les années 1980, collaborait également avec Edith Piaf ou encore Mireille Mathieu. Touchée par sa disparition, Celine Dion nommera son fils, né en 2009, Eddy.

Son fils justement, jumeau de Nelson et petit frère de René-Charles, aurait pu être frère une troisième fois. En 2009, quelques jours avant son accouchement, la chanteuse s’effondre sur un plateau de télévision canadien. Elle attendait en réalité des triplés, mais l’un des foetus n’a pas survécu. “Son coeur s’est arrêté de battre (…). Ce petit bébé a décidé de laisser la place aux deux autres. Et ça fait un choc… Au départ, je voulais juste être enceinte mais maintenant je resterais toujours avec cette interrogation… Moi qui souhaitais avoir une fille, je me demanderai toujours… J’ai gardé le placenta et je suis quand même habitée par trois petits bébés.”

Un des moments les plus durs de la vie de la chanteuse canadienne aura néanmoins été la mort de son père. En 2003, après avoir longuement lutté avec un cancer des os, Adhémar Dion, alors âgé de 80 ans, s’éteint dans son sommeil. De ce trop-plein de tristesse et de peine naîtra une chanson, Parler à mon père, ballade aux accents déchirants. Il y a quelques jours, Céline postait sur sa page Facebook une photo de lui. Il aurait eu 92 ans le 2 mars dernier.

Céline's father Adhémar Dion would have been 92 years old today.
“Papa, our world is filled with your memories, your…

Posted by Céline Dion onMonday, March 2, 2015

Crédits photos : DELALANDE/SIPA

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Le Belge Stromae a eu l’ultime privilège de clore le festival de musique Coachella ce dimanche. Pour ce chant du cygne sous le soleil californien l’interprète de Tous les même à eu le droit à une visite surprise…

À quoi rêve-t-on quand on est Stromae? Le chanteur de 30 ans aux millions d’albums vendus n’est pas encore totalement blasé et c’est une chance. Invité à enflammer la scène de Coachella ce week-end, le francophile adoré outre-Atlantique a largement rempli sa mission.

Parmi la foule déchaînée se déhanchant au son de Alors on danse? un festivalier est allé plus loin encore pour prouver son admiration pour Stromae. À la surprise générale, Kanye West a rejoint sur scène le chanteur. Lui aussi adepte des mélodies et des textes du jeune Belge, le rappeur a sauté avec entrain sur le tube dansant de Stromae. Un peu surpris de cette visite, le dandy a cependant continué sa chanson en face à face avec un Kanye très content de son effet.

L’époux de Kim Kardashian ne vient pas de découvrir Stromae. Dès 2010 à la sortie en Europe de Alors on danse?, le rappeur s’en est emparé pour un remix hip-hop plus approprié au marché américain à l’époque. En apparaissant à ses côtés à Coachella en 2015, Kanye West donne un coup de projecteur supplémentaire à la carrière du Belge sur ce continent. Le prestigieux magazine Billboard a d’ailleurs salué son show qui fut “honnête et passionnant, efficace et drôle, assuré et ambitieux”. Les critiques musicales américaines pensent même qu’il “ne faut pas s’étonner de voir Stromae remplir des stades d’ici au cours de l’année prochaine”.

Kanye West posant avec Stromae et ses musiciens pic.twitter.com/cXvQ06Inun

— Kanye West France (@KanyeWestFR) April 20, 2015

Crédits photos : Scott Dudelson/ Getty

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Dans un entretien accordé à ABC vendredi soir, Bruce Jenner est longuement revenu sur un des mystères de sa vie : son identité sexuelle. Désormais femme, le beau-père de Kim Kardashian a suscité l’admiration de nombreuses personnalités.

Après des mois de rumeurs et autres spéculations, la vérité est là. Vendredi soir, dans une longue interview donnée sur la chaîne américaine ABC, Bruce Jenner a officiellement dévoilé sa transformation en femme. «Je voudrais dire que j’ai toujours été très préoccupé par mon identité sexuelle. Je suis là, coincé, et je déteste le mot, une fille coincée dans un corps de garçon» a d’abord déclaré l’ancien athlète, champion olympique du décathlon en 1976. Questionné par la journaliste Diane Sawyer sur sa transformation sexuelle, le beau-père de Kim Kardashian, souriant, a ensuite fait la révélation tant attendue à son sujet : «Oui, au fond, je suis une femme. Les gens me regardent différemment. Je suis très enthoousiaste quant à l’avenir».

Bien qu’il ne soit pas «génétiquement» né femme, Bruce Jenner l’affirme «mon cœur et mon âme et tout ce que je fais dans la vie, ça fait partie de moi, ce côté féminin fait partie de moi, c’est ce que je suis». En revanche, l’ancien héros du sport américain reste fidèle à son orientation sexuelle. «Je ne suis pas gay. Je suis, pour autant que je sache, hétérosexuel. J’ai toujours été avec une femme, à élever des enfants».

Sur les réseaux sociaux, de nombreuses réactions ont immédiatement fleuri au fil de l’interview. «Tellement fier de toi, mon héros» a notamment déclaré sur Twitter sa fille et mannequinKendall Jenner. «J’aime Bruce Jenner. Il tient une part très importante dans la perception des gens au sujet des transgenres. C’est un nouveau monde et nous avons tous énormément de choses à apprendre, ne soyez jamais embarrassés» a pour sa part réagi Miley Cyrus. Même son de cloche pour Cara Delevingne, proche des membres de la famille Kardashian : «Je respecte tellement Bruce Jenner. Ce qu’il a fait demande beaucoup de courage. Lui et sa famille méritent tout le soutien et l’amour du monde». Parmi les autres fans du sportif, Elton John a lui aussi tenu à faire part de son admiration. «C’est un acte d’une grande bravoure, surtout quand vous êtes plus âgé. Je l’admire pour ce qu’il a fait, je l’admire à 100%» a expliqué l’interprète de Your Song à Access Hollywood. Une chose est sûre : vendredi soir, Bruce Jenner a réalisé l’épreuve la plus difficile de sa vie. Une nouvelle étape couronnée de succès.

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Paul McCartney est une légende vivante de la musique. Modeste, il affirme pourtant que travailler avec Kanye West a été une chance pour lui.

On aurait pu penser qu’avoir été un membre des Beatles ne laisserait pas le loisir d’être modeste (il s’agit tout de même de l’un des plus grands groupes de l’histoire de la musique, qui a posé les base de la pop telle qu’on la connaît aujourd’hui). Paul McCartney nous prouve le contraire dans une interview accordée au magazine britannique London Evening Standard. Il a dernièrement collaboré avec le rappeur Kanye West (le mari de Kim Kardashian) pour deux morceaux: Only One, et le succès FourFiveSeconds avec Rihanna. “Je suis chanceux que quelqu’un comme Kanye (West) se soit dit ‘Oui j’aimerais bien travailler avec Paul McCartney’. J’ai été assez flatté — je pensais ‘Pourquoi diable voudrait-il travailler avec moi?’ Et c’est quelques mois plus tard que j’ai commencé à me dire ‘Peut-être que je devrais l’appeler et lui demander s’il y a des choses intéressantes dans les essais qu’on a fait?’ Mais là j’ai pensé ‘Je ne peux pas faire ça — ça fait un peu stupide! Je vais juste laisser tomber et la jouer cool.’ Et un jour il m’envoie Only One, et là, Rihanna est sur le deuxième enregistrement (FourFiveSeconds, ndlr).”

Modeste, et même visiblement un peu impressionné, Paul McCartney ne semble pas se rendre compte de sa stature de star interplanétaire. Actuellement en tournée, il a d’ailleurs expliqué que les places pour ses shows sont parties en 10 minutes. Sa série de concert à travers le monde a déjà débuté il y a plusieurs mois, réunissant plus de 2 millions de personnes, selon son pronducteur. À 72 ans, le chanteur (d)étonne. “C’est super de travailler avec différents artistes. Mon secret est que je suis toujours ouverts à toute proposition — j’ai toujours l’impression d’avoir 30 ans.”

Crédits photos : COLLET GUILLAUME/SIPA

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C’est un papa fier et admiratif qui a posté sur Instagram il y a quelques jours une photo de sa deuxième fille, Sistine, une magnifique blonde de 16 ans. Un bel avenir se profile pour la jeune femme qui espère devenir mannequin.

Robe dorée effet métallique, chignon serré et fard à paupière sombre… Sistine Stallone n’est pas une adolescente comme les autres. Et ça tombe bien, parce qu’elle ne veut justement pas l’être. La jeune femme, élevée devant les objectifs des photographes, a décidé de suivre le chemin de la célébrité de son père Sylvester Stallone. Ce n’est cependant pas les plateaux de tournage qui attirent la jeune femme mais les catwalks… Sistine Stallone rêve en effet de devenir mannequin.

Mais pas question pour elle de se lancer dans le mannequinat en s’exhibant sans aucune pudeur sur les réseaux sociaux pour faire le buzz. C’est en tout cas ce qu’assure son père en légende du cliché diffusé sur Instagram: “Sistine veut être une top model sérieuse. Je suis sûr qu’elle peut le faire.” Jusqu’ici, assez peu connue de la scène médiatique, la jeune Sistine a été propulsée sous les feux des projecteurs par son père ces derniers jours. Celui-ci multiplie en effet sur les réseaux sociaux les photographies parfois artistiques ou amateurs la mettant en scène.

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La fille de Sylvester Stallone et Jennifer Flavin ne devrait pas avoir trop de mal à percer dans le milieu de la mode. Avec un père aussi renommé, une maman ex top model, mais aussi une beauté indéniable, elle devrait prochainement rejoindre les nouvelles recrues du mannequinat américain.

Le grand public a découvert Charlotte Salomon avec le roman de David Foenkinos, paru l’an dernier. Les éditions du Tripode lui offrent un sublime hommage en publiant son oeuvre magistrale, Vie? ou Théâtre?Photos: Collection Jewish Historical Museum, Amsterdam © Charlotte Salomon Foundation Charlotte Salomon ®

Elle devait son prénom à une tante morte noyée trois ans avant sa naissance. Descendait d’une lignée de femmes dont tous les membres, depuis trois générations, s’étaient suicidés. La seconde guerre mondiale a déjà commencé quand Charlotte Salomon apprend ce secret familial. Dernière étudiante juive des Beaux-Arts de Berlin, elle fuit l’Allemagne en 1938 pour rejoindre ses grands-parents réfugiés près de Nice. Sa grand-mère se défenestre le 5 mars 1940. Charlotte reste seule, dans un pays dont elle ne parle pas la langue, avec un grand-père qui semble la rejeter. Sous la double menace de l’histoire familiale et de l’histoire tout court, elle décide de la raconter dans une oeuvre difficile à décrire: 1300 gouaches, d’innombrables calques calligraphiés de texte, de la musique aussi. Le sous-titre de Vie? ou Théâtre?? L’opérette aux trois couleurs.

Rouge, jaune, bleu, Charlotte Salomon s’est contentée de ces trois seuls tubes pour composer un roman graphique monumental – 820 pages dans cette édition de l’oeuvre intégrale, une première mondiale. Durant deux ans, elle a peint, écrit, mis en musique son histoire dans une forme de “liberté proche de la folie” commente Frédéric Martin, qui dirige les éditions du Tripode.

En septembre 1943, elle est dénoncée et déportée avec son époux, Alexander Nagler. Charlotte Salomon, enceinte de cinq mois, est assassinée dès son arrivée à Auschwitz-Birkenau. Elle avait 26 ans. “Charlotte Salomon est un peu la grand-mère de la bande dessinée indépendante” s’amuse l’éditeur. La publication intégrale de son oeuvre, une première mondiale, constitue un travail titanesque et un témoignage inédit.

Vie? ou Théâtre? de Charlotte Salomon, Le Tripode. www.le-tripode.net

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