Mariah Carey: le drame

Elle avait commencé sur une mauvaise note, mardi soir, en faisant attendre les fans trois heures dans le froid, face au gigantesque arbre de Noël installé au Rockefeller Center, à New York. Pour donner le coup d’envoi des fêtes de fin d’année, Mariah Carey a de nouveau été invitée à se produire, mercredi, entonnant son tube All I want for christmas is you. La diva était malheureusement tenue de chanter en direct. Le résultat catastrophique a obligé l’artiste à s’excuser publiquement.

Elle caracolait au sommet des hits parades depuis le début des années 90, Mariah Carey n’est hélas aujourd’hui plus qu’une pâle copie d’elle-même. Propriétaire d’un organe puissant couvrant naguère 5 octaves, qui lui avait rapporté un nombre impressionnant de récompenses, la diva est depuis plusieurs années à bout de souffle. Autrefois capable de faire siffler ses cordes vocales (une prouesse piquée à la chanteuse Minnie Riperton, l’interprète de la ballade Lovin you, NDLR), Mariah a prouvé cette semaine que toutes les plus belles choses ont une fin.

Invitée mercredi dernier par la chaîne NBC à pousser la chansonnette au Rockefeller Center, à New York, la blonde n’a pas hésité à revêtir ses habits de fête pour reprendre joyeusement le titre féérique All I want for Christmas is you. Un spectacle à première vue, tout à fait normal… Quand on ne tendait pas l’oreille. En effet, plus tard dans la semaine, le site américain TMZ a publié un enregistrement a cappella de ladite performance. Et le résultat est un crève-cœur.

Mais alors, comment une star de l’envergure de Mariah Carey a-t-elle pu s’autoriser un tel écart de conduite, pour un concert si important ? Habituellement, on sait que les artistes préfèrent enregistrer un premier jet en studio pour chanter en play back le jour J (c’était notamment le cas de Beyoncé, à l’inauguration du second mandat de Barack Obama, NDLR). Cette semaine cependant, un conflit d’agenda a empêché l’interprète de Hero de se rendre aux enregistrements.

En cause : un rendez-vous important avec ses avocats, qui a retenu Mimi pendant plusieurs heures cruciales. Actuellement au beau milieu d’une procédure de divorce avec Nick Cannon, la maman de Monroe et Moroccan essaye d’obtenir la garde de ses enfants. Un climat tendu qui ne lui facilite pas la tâche. Ainsi, rapporte TMZ, Mariah aurait présenté ses excuses à ses fans sur Twitter, expliquant en ces termes, jeudi : « J’ai perdu le contrôle hier soir. Je présente mes excuses à tous ceux qui sont venus, vous savez bien que jamais je n’ai voulu vous décevoir ».

Ingrid Chauvin: “Je ne serai plus jamais la femme que j’étais avant”

Alors que le téléfilm Rumeurs sera diffusé ce soir sur France 3, Ingrid Chauvin, 41 ans, a accordé une interview au journal Le Parisien.

L’année écoulée a été particulièrement difficile pour Ingrid Chauvin, mais fidèle à elle-même, elle a fait preuve d’un immense courage, et neuf mois après la disparition subite de sa petite fille, Jade, 5 mois, elle est debout. Dans un entretien au Parisien, elle explique comment.

Ce soir, elle sera sur France 3, dans Rumeurs, un téléfilm dirigé par son époux, Thierry Peythieu. Le tournage a commencé en avril dernier, soit un mois à peine après le drame qui les a ébranlés tous les deux. Une façon pour elle de s’accrocher à la vie et d’aller de l’avant. “Me remettre à travailler était devenu vital” dit-elle, “si on reste chez soi à se morfondre, enfermé dans sa douleur, on ne peut pas s’en sortir.”

Un retour à l’écran qu’elle est ravie d’avoir pu faire au côté de son mari confie-t-elle. “On s’entend à merveille. J’aurais certainement tourné s’il n’avait pas été le réalisateur, mais là, on est heureux de ne pas être séparés”.

Ce qui l’a aidée à surmonter l’épreuve, c’est aussi sa notoriété “à double tranchant” nuance-t-elle. Parce que si elle a pu s’investir dans la récolte de fonds pour les enfants malades de l’hopital Necker, et bénéficier des nombreux témoignages d’amour et de sympathie, Ingrid Chauvin avoue avoir parfois eu du mal à supporter les questions redondantes sur ce qu’elle avait vécu. “Le regard des gens est difficile” ajoute-elle d’ailleurs à ce propos.

La comédienne a été profondément changée par ce malheur, tant personnellement que professionnellement “je ne serai plus jamais la femme que j’étais avant”. Elle explique ainsi que le fait d’être soi-même dans la douleur est plus facile pour jouer l‘émotion, quoi qu’elle doive veiller à ne pas en faire trop, ne pas virer dans le “too much”.

Hyperactive, Ingrid Chauvin sera sur la scène du théâtre de la Michodière à Paris, à partir du 10 janvier au côté de Jean-Luc Reichmann. Hibernatus, une pièce légère mise en scène par Steve Suissa, est aussi l’un des éléments qui lui a rendu le sourire. Rendez-vous pour le partager.

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Christian Clavier: “Je ne suis pas exilé à Londres”

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En promotion pour Une heure de tranquillité, un film de Patrice Leconte qui sortira le 31 décembre, Christian Clavier était l’invité vendredi de Nikos Aliagas sur Europe 1.

A 62 ans, Christian Clavier n’a rien perdu de sa verve ni son énergie. Après le succès de Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu? il sera à nouveau sur le devant de la scène avec une comédie adaptée de la pièce de Florian Zeller, Une heure de tranquillité. Il y reprendra le rôle que Fabrice Lucchini tenait au théâtre, celui de Michel, un passionné de jazz qui n’aspire qu’à une chose: avoir une heure de tranquillité pour écouter le disque qu’il vient de dégoter, un projet simple qu’il aura bien du mal à mener à son terme.

A côté de la promotion de ce prochain film, le comédien a expliqué être en train de préparer le troisième volet des Visiteurs, dont le tournage devrait débuter en avril 2015. L’action, qui se déroulera au moment de la révolution, se situera autour de la prise du chateau de la famille de Godefroy par celle de Jacquouille, une époque dit-il où “les Français s’exaspèrent les uns les autres”. Christian Clavier avoue y trouver là son plaisir: celui d’incarner des personnages qu’il affectionne bien qu’ils soient insupportables.

Lors du jeu fétiche de Nikos Aliagas, celui des questions noires et des questions blanches, un auditeur a interrogé l’acteur sur son exil à Londres. Pour rappel, il avait quitté la France suite aux violentes critiques dont il avait été victime au sujet de On ne choisit pas sa famille, qu’il avait réalisé en 2011 et qui traitait de l’adoption en Thaïlande par un couple saphiste. Piqué mais pas fâché, Christian Clavier a tenu à préciser qu’il ne s’agissait pas d’un exil fiscal comme on avait pu le lui reprocher. “Je ne suis pas exilé à Londres. (…) On paye les mêmes impôts en France et en Angleterre, don ce n’est pas une question d’économies.”

Les raisons qui l’ont poussé à partir? La recherche de calme. “Je voulais sortir d’une certaine forme de tumulte, parce qu’à un moment j’ai eu autour de moi beaucoup d’agressivité et de violence médiatique. (…) Au bout d’un moment ça vous exaspère et vous rend fébrile.” Une fébrilité qui a cassé sa créativité: “J’ai retrouvé du goût à écrire des bêtises parce que j’étais loin de l’agitation.”

Il faudra patienter encore un peu, pour en apprécier le résultat.

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Sarah Lavoine, notre rédactrice en chef de la semaine!

Décoratrice renommée, princesse polonaise, épouse de chanteur célèbre, Sarah est, cette semaine, rédactrice en chef des pages féminines de Gala. Attention, numéro collector!

Longs cheveux blondes, silhouette de mannequin, look trendy, Sarah Lavoine est La Parisienne type. Elle nous a reçu dans ses bureaux de la rue Saint-Honoré et nous l’avons accueilli comme il se doit au sein de notre rédaction.

Avec talent et humour elle à offert à notre magazine cette semaine son regard précieux sur 28 pages tendances.

De la mode au shopping, en passant par la beauté, la cuisine et évidement la déco, l’épouse de Marc Lavoine, décoratrice très demandée, a tout choisi et même illustré de sa plume ce cahier spécial!

Joe Cocker en 5 autres chansons

Joe Cocker est décédé hier à 70 ans, d’un cancer du poumon. Si on se souvient évidemment du morceau You can leave your hat on, le rockeur était bien plus que l’interprète de ce titre qu’on trouve dans la BO de 9 Semaines 1/2 : Gala.fr a choisi pour vous cinq autres morceaux grâce auxquels le chanteur restera dans les mémoires.

With a little help from my friends (1969)

C’est le premier succès de Joe Cocker : son interprétation de With a little help from my friends, à Woodstock en 1969. Une chanson d’abord parue deux ans plus tôt sur Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band, l’album mythique des Beatles.

Don’t let me be misunderstood (1969)

Sur son premier album, Joe Cocker ne s’est pas gêné pour faire des reprises : en plus de With a little help from my friends, le rockeur reprenait par exemple Don’t let me be misunderstood, un morceau chanté pour la première fois cinq ans plus tôt, en 1964, par Nina Simone.

Up where we belong (1982)

En 1982, Joe Cocker remporte un Grammy pour Up where we belong, un duo avec Jennifer Warnes. Tout comme You can leave your hat on, la chanson est popularisée par son apparition dans un film : Officier et Gentleman, avec Richard Gere et Debra Winger.

Unchain My Heart (1987)

Une autre reprise signée Joe Cocker : Unchain My Heart date en réalité de 1961, année à laquelle elle a été enregistrée par nul autre que… Ray Charles, qui en a fait un tube à l’époque. Nombreux sont les artistes à s’être frottés au morceau, mais c’est bien Joe Cocker qui l’a ressuscité en 1987 lors qu’il a inclus dans l’album du même nom.

N’oubliez jamais (1997)

En 1997, Joe Cocker sort son 16e album. Il s’y adonne toujours aux reprises (Could You Be Loved de Bob Marley notamment), mais y signe surtout N’oubliez Jamais, un morceau qui montre l’affection qu’il porte à la France… et qui profite pour son clip de la participation de Catherine Deneuve !

Crédits photos : Future-Image / ZUMA / VISUAL Press Agency

Clint Eastwood: divorcé pour Noël après 18 ans de mariage

Il y a des divorces qui semblent aussi longs que des mariages – et Clint Eastwood vient d’en faire les frais. Deux ans après s’être séparé de Dina Eastwood, l’acteur-réalisateur est enfin divorcé d’après TMZ : depuis lundi 22 décembre, ils ne sont officiellement plus mariés.

Sacré Noël pour Clint Eastwood : l’heureux propriétaire du Mission Ranch est désormais officiellement divorcé. Selon le site TMZ, son mariage s’est en effet terminé le 22 décembre, après pas moins de… deux ans de séparation.

En effet, c’est en 2012 que l’acteur-réalisateur et sa femme Dina annoncent leur séparation. Clint Eastwood et la journaliste s’étaient rencontrés en 1993 lors d’une interview ; tombés sous le charme l’un de l’autre, il s’étaient mariés trois ans plus tard en 1996. La demande de divorce viendra de son épouse : en octobre 2013, alors qu’ils devaient fêter leurs vingt ans de vie de couple, elle fait en effet savoir qu’elle désire se séparer de son époux à cause de « différends irréconciliables » – il se murmurait alors que l’émission de télé-réalité dont elle était l’héroïne déplaisait fortement à Clint Eastwood.

Depuis ce lundi, les deux époux sont officiellement séparés. Prévoyant, le réalisateur sans peur a fait jouer les clauses de son contrat de mariage pour éviter un divorce qui aurait pu lui être très coûteux – il ne paiera même pas de pension alimentaire à son ex-femme. Dina Eastwood n’a par ailleurs pas obtenu la garde exclusive de leur fille Morgan, née en 1996.

En plus de son projet avec Bradley Cooper, Clint Eastwood libère avec la fin de cette procédure de divorce du temps pour Erica Tomlinson-Fisher, qui serait selon TMZ la nouvelle élue de son cœur. Un choix qui devrait rendre les dîners de famille intéressants : elle est en effet l’ex-femme de Scott Fisher, qui n’est autre que l’homme qui partage désormais la vie de Dina Eastwood.

Crédits photos : Abaca

Maradona, un hommage très spécial à sa femme

Diego Maradona n’a jamais été très subtil. Il l’a démontré une fois de plus, en rendant hommage à sa femme.

Ah, que c’est beau l’amour ! Diego Maradona et sa charmante femme s’étaient un temps séparés. Il faut dire qu’à l’époque, le champion du monde 86 avait levé la main sur elle à plusieurs reprises. Mais tout est désormais pardonné. Le couple est une fois de plus uni pour la vie. Afin de prouver au monde entier que cette relation tient la route, chacun des amoureux a choisi de se faire tatouer le prénom de l’autre sur le corps. Diego (54 ans) et Rocio (23 ans) se sont donc rendus dans un salon de Buenos Aires pour passer à l’acte. « El Pibe del Oro » s’est même amusé à publier une photo de l’événement sur Twitter.

Quelle ne fut pas la surprise des twittos en découvrant le résultat. Si la jeune femme s’est sobrement tatouée Diego sur l’avant bras, l’ex-footballeur, lui, a opté pour un sobriquet plus original. Sur le torse, l’Argentin s’est fait graver Perra. Traduction : Chienne. Voilà le très mignon surnom que l’ancienne star du ballon rond a donné à sa compagne. Précisons qu’il n’y a là aucune barrière culturelle, “chienne” est aussi insultant en Argentine qu’en France.

Madame Maradona n’a pourtant absolument pas mal pris ce trait de misogynie. Au contraire, elle se tenait, tout sourire, au côté de son homme au moment où il s’est fait tatouer. L’opinion publique argentine, elle, a été bien moins tolérante. Les commentaires outrés ont fusé aussi bien dans la presse locale que sur les réseaux sociaux. Il n’y a bien que les quelques dizaines de milliers d’adeptes de l’Eglise maradonienne qui n’y ont vu que l’expression d’un amour sincère. Oui, l’Eglise maradonienne existe, et elle compte plus de 100000 adeptes. Encore merci au football pour ces moments magiques.

Crédits photos : ChinaFotoPress/Getty

René Vautier est décédé

René Vautier est décédé. Celui qui se considérait comme « le cinéaste français le plus censuré » s’en est allé à l’âge de 86 ans.

René Vautier souhaitait mettre « l’image et le son à disposition de ceux à qui les pouvoirs établis les refusent ». 68 ans après avoir été diplômé de l’Institut des hautes études cinématographiques, le réalisateur a clos le dernier chapitre de sa vie. Sa femme, Scazig Chappedelaine, a confirmé à l’AFP que le cinéaste de 86 ans s’est éteint dimanche dans sa chambre d’hôpital, en Bretagne.

Le combat et l’engagement ont toujours fait partie du quotidien de René Vautier. Dès l’âge de 15 ans, le jeune Français choisi de rejoindre la résistance. Epris d’idéaux communistes, il combat l’occupant jusqu’à la fin de la guerre. Son action lui vaut d’être décoré de la Croix de guerre à 16 ans à peine. Cette expérience le conforte alors dans l’idée de se lancer dans le cinéma engagé.

René Vautier aborde ainsi plusieurs grands thèmes qui lui sont chers au cours de sa carrière. Le capitalisme tout d’abord. La condition ouvrière au XXe siècle est en effet l’un de ses sujets de prédilection, comme la pollution par de grands groupes industriels. En 1978, la marée noire provoquée par le naufrage de l’Amoco Cadiz sur les rives bretonnes l’avait poussé à réaliser Marée noire, colère rouge. Mais René Vautier s’est avant tout intéressé au racisme sous toutes ses formes. Que ce soit au travers de l’action de la France dans ses colonies, du régime de l’apartheid en Afrique du Sud ou encore de la montée de l’extrême-droite dans l’hexagone.

Si son documentaire le plus célèbre, 20 ans dans les Aurès, lui a valu le prix international de la critique du festival de Cannes en 1972, certaines de ses autres réalisations lui ont causé beaucoup de problèmes. Lorsqu’à 20 ans, il décide de diffuser son documentaire Afrique 50, sur l’action néfaste de la France dans les colonies, René Vautier se retrouve condamné à un an de prison ferme. Il purge sa peine dans une prison militaire avant d’être libéré en 1952. Son film sera quant à lui interdit de diffusion durant près de 40 ans à la télévision française. Le cinéaste avait également été poursuivi pour atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat, en 1952, pour le film Une Nation, l’Algérie. Ces différents démêlés avec la justice lui avaient fait dire qu’il était « le cinéaste français le plus censuré ». Cette place est désormais à prendre.

Crédits photos : LAMACHERE AURELIE/SIPA

Saïda Jawad : pourquoi elle a quitté Gérard Jugnot

En décembre dernier, Gérard Jugnot officialisait sa rupture avec l’actrice Saïda Jawad sur le plateau d’Un soir à la Tour Eiffel. Aujourd’hui, c’est elle qui s’exprime sur les raisons de leur séparation.

Saïda Jawad, actrice et productrice, fait actuellement parler d’elle pour l’adaptation cinématographique du livre Merci pour ce moment de son amie Valérie Trierweiler, annoncée cette semaine dans les pages de Gala.

Evoquant sa relation et les raisons de sa rupture, elle confie : «Alors que nous avions décidé de faire un enfant, Gérard n’a plus voulu. J’ai 41 ans, et ce besoin d’être mère est en moi depuis toujours. J’ai donc décidé de reprendre ma liberté de femme, ma liberté d’actrice, avec la volonté de fonder une famille ».

Un vrai désir pour celle qui partageait la vie de Gérard Jugnot depuis 2003. Célèbre notamment pour ses rôles dans Les Bronzés et dans Le père est une ordure, l’acteur est déjà père d’un garçon de 34 ans : Arhur Jugnot. Leur amour avait pourtant débuté comme une comédie romantique. Gérard Jugnot, tombé immédiatement sous le charme de la jeune femme, 29 ans à l’époque, lors d’un dîner chez un ami commun, lui fait la cour pendant neuf mois, avant qu’elle ne tombe à son tour amoureuse. « Il était drôle, pétillant, intelligent » avoue Saïda.

Après onze années d’amour, l’actrice reste positive et déclare « avoir vécu une belle et longue histoire, avec, comme dans tous les couples, des hauts et des bas. Avec plus de bas cette dernière année ». Séparé depuis mars dernier, Gérard Jugnot déclarait le mois dernier à TV Mag : « Nous nous sommes séparés parce que nous étions arrivés au bout d’une belle histoire ».

Crédits photos : Arnal/Starface

L’art rend hommage à Charlie

Avec l’attaque de Charlie Hebdo et la mort tragique de certains de ses dessinateurs, c’est tout un monde artistique qui pleure. Pour rendre hommage à Cabu, Charb, Wolinski et les autres, des lieux d’art français donnent carte blanche à la liberté d’expression.

Comme beaucoup il a levé ses stylo et ses crayons vers le ciel pour saluer la mémoire des célèbres dessinateurs de Charlie Hebdo. André Saraiva, dit Baron André, a transformé son émotion en oeuvre. Le Palais de Tokyo à Paris lui a ouvert ses portes dès hier et a laissé l’artiste s’exprimer en grand format. Le graffeur, père du dandy dessiné Monsieur A, a utilisé tout un pan de mur du Palais de Tokyo pour signer son “Je suis Charlie”.

Comme lui, des dizaines d’artistes sont invités dès aujourd’hui et tout le week-end à exposer leur soutien entre les murs du musée parisien.

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À Paris, tandis que la mobilisation va continuer dans les rues dimanche, le centre George Pompidou fait lui aussi entrer Charlie au musée. La bibliothèque Kandinsky de l’institution culturelle expose les premiers numéros fondateurs de Charlie Hebdo mais également les albums de Cabu ou Wolinski. Pour Didier Schulmann, le directeur du centre, il s’agit là de “hommage aux victimes de Charlie Hebdo, martyrs de la liberté d’expression”.

La bibliothèque François Mitterrand a utilisé l’une de ses façades pour diffuser un dessin de George Wolinsky accompagné du message “Adieu”. À Cannes, le palais des Festival, lieu de musique et de cinéma, a recouvert son impressionnante devanture d’une affiche noire barrée de ces mots “Je suis Charlie”.