Johnny Winter, guitariste de grand talent et amoureux inconditionnel du blues est décédé mercredi 16 juillet. L’artiste s’est éteint à Zurich alors qu’il réalisait une tournée mondiale.

Difficile de rater Johnny Winter. Avec son chapeau de cowboy, son visage d’albinos et ses tatouages déformés avec l’âge, l’homme était une légende vivante du blues. Depuis hier, il est une légende tout court. A 70 ans et après avoir écumé un nombre incalculable de salles de concerts, le bluesman a tiré sa révérence en Suisse, dans sa chambre d’hôtel. Dans le communiqué annonçant sa mort, sa famille et ses proches se disent « bouleversés par la perte d’un être aimé ».

Originaire du Texas, Johnny est tombé très jeune dans la marmite du blues. Rapidement, il se met à jouer avec ses amis et son frère Edgar. Il crée un groupe, puis un second lorsque le premier s’est dissout et ainsi de suite. Au fur et à mesure que le temps avance et que son talent grandit, le guitariste attire de plus en plus de monde autour de lui. A 24 ans, après avoir été adoubé par de grands noms de la guitare, il se retrouve sur scène, à Woodstock, devant près de 450.000 spectateurs. Il se permet même une petite session de jam avec le Dieu des guitaristes, Jimmy Hendrix. Johnny fait partie de ces chanteurs de blues dont la voix laisse imaginer qu’il se réveille à l’aide d’un paquet de gitanes maïs et d’une bouteille de Johnny Walker. Il abuse à peu près de tout ce qui lui passe sous la main mais ne laisse jamais disparaître son envie de jouer. Sa vision diminue mais sa passion reste intacte. Au blues lent, joué sur un porche de Louisiane avec toute la douleur du monde, Johnny préfère celui joué à la guitare électrique. Celui pour lequel il faut se casser la voix et suer à grosses gouttes.

S’il s’était fait plus discret ces dernières années, les vrais amateurs ne l’avaient pas quitté des yeux. Cela tombe bien puisque les plus attentifs ont eu la chance de le voir sur scène, en France, lundi dernier (14 juillet) au Cahors Blues Festival. Il était en pleine tournée et devait encore voyager aux Etats-Unis, au Brésil, au Chili et en Allemagne. Le destin en a voulu autrement. Heureusement pour le public, il a terminé un dernier album avant son départ. Pour ce projet, Johnny Winter s’est enregistré en compagnie de Dr John, de Ben Harper mais surtout d’Eric Clapton. Le CD est attendu pour septembre prochain. Le guitariste venait également de tourner dans un documentaire. Le film lui était consacré. Johnny Winter: Down & Dirty devait initialement voir le jour en mars dernier, sa sortie a finalement été repoussée à une date inconnue. Il manquait un chapitre à écrire…

(Crédit photo: Getty)

Crédits photos : Robert Knight Archive

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Article mis à jour le 28/07/2014 – Décédé samedi à l’âge de 56 ans, Thierry Redler restera à jamais Marc, la star des «Filles d’à côté». Un personnage attachant dont beaucoup pleurent la disparition ce dimanche.

Après l’annonce du décès de Thierry Redler samedi soir, par l’administrateur de sa page Facebook, de nombreuses réactions ont fleuri sur les réseaux sociaux pour rendre hommage au comédien. Sur Twitter, plusieurs personnalités n’ont pas manqué de saluer la mémoire de l’acteur. «Je viens d’apprendre le décès de Thierry Redler. Très grande tristesse. C’était un homme plein de talents que j’aimais beaucoup. Pensées» a notamment tweeté le présentateur Oliver Minne.

Même son de cloche pour le journaliste Jean-Marc Morandini : «Pensée émue ce matin pour Thierry Redler, rencontré à plusieurs reprises, toujours très pro, disponible». Très active sur Twitter, Faustine Bollaert a aussi témoigné de son affection en postant «Triste d’apprendre la mort de Thierry Redler. Un visage familier de ma jeunesse. Je pense à sa famille…».
Producteur des Filles d’à côté,Jean-Luc Azoulay a fait part de sa grande tristesse quant à la disparition de Thierry Redler : «Thierry Redler nous a quittés… Grande tristesse et pensées pour sa famille». Sur le web, des centaines d’anonymes ont également exprimé leur condoléance. Une marque d’affection qui touchera sûrement la famille de l’acteur.

(Mise à jour du 28/07/2014:)

L’actrice Adeline Blondieau, connu pour le rôle de Caroline Drancourt dans Sous le soleil, avait côtoyé le comédien lors des tournages de la série Les Filles d’à côté. Elle a tenu à lui rendre hommage, « Un collègue disparaît. Trouve enfin la paix Thierry! Une pensée pour tes enfants ».

Dorothée, aussi présente à la grande époque de TF1 et proche de nombreux acteurs des productions AB, a publié un court message sur ses comptes Twitter et Facebook, « Thierry Redler nous a quittés… Grande tristesse et pensées pour sa famille ». La famille du comédien est également venue à l’esprit de l’actrice Marie Fugain qui a tweeté, « Triste du décès de Thierry Redler. C’était un garçon charmant. Je pense à sa famille. Qu’il repose en paix. »

Le décès du père de famille de 56 ans n’a pas seulement touché des personnalités de sa génération. La preuve avec le très jeune Stéphane Bak, humoriste de 17 ans, qui a également tenu à envoyer un dernier message au comédien, « Hommage à Thierry Redler alias Marc des Filles d’à côté! Les insomniaques qui matent les rediffs sur AB1 te saluent! Repose en paix. »La dose d’humour est finement dosée, assez pour arracher un sourire mais pas assez pour manquer de respect. Et après tout, ce qu’il dit est bien vrai. La série des Filles d’à côté a trouvé un second souffle avec ces rediffusions sur la TNT. Beaucoup de jeunes téléspectateurs ne n’en n’auraient jamais entendu parler autrement.

Autre habitué des séries télévisées, Nicolas Vitiello, a également eu une pensée pour Thierry Redler. L’ancien chanteur des Whatfor vu dans la série Dreams: 1 Rêve 2 Vies sur NRJ 12 a déclaré, « Tous ceux qui comme moi qui ont croisé Thierry Redler sur leur chemin savent à quel point ce comédien de talent était gentil et généreux! Triste. »

Enfin, le compagnon de Nabilla, Thomas Vergara, a tweeté, « Triste nouvelle, cet homme a bercé mon enfance. Repose en paix. Thierry Redler (Marc dans les Filles d’à côté) est décédé. »

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Deux décennies après son plus grand succès, Thierry Redler est encore fortement ancré dans le coeur des Français.

Surprise chez les popstars : la plus grande de toutes n’est pas forcément celle que l’on croit. Adieu Michael Jackson, Madonna ou Beyoncé : sur le magazine Time, le trône appartient désormais à … Mariah Carey.

Voilà une nouvelle qui devrait remonter le moral de Mariah Carey, célibataire depuis peu, et après une énième dispute avec son mari Nick Cannon : la chanteuse vient d’être sacrée plus grande popstar de tous les temps par le magazine Time. Elle devance notamment les Beatles, Madonna ou encore Michael Jackson. Rihanna en deuxième place et Usher sur la troisième marche complètent le podium.

Pour ses calculs, le Time a utilisé une donnée objective : le nombre de fois où les popstars sont apparues dans le top 10 des charts américains, couplé au nombre de semaines passées dans celui-ci. Avec Hero, We Belong Together ou encore Fantasy, Mariah Carey a multiplié les réussites commerciales tout au long de sa carrière, s’assurant une place au soleil. Un capital important : les trois derniers albums de la chanteuse ne pèsent pas lourd dans la balance, ayant connu bien moins de succès.

À maintenant 45 ans, Mariah Carey devient donc officiellement la plus grande popstar de tous les temps – jusqu’à ce qu’une autre ne vienne la détrôner. D’après les chiffres de Time, Rihanna n’est qu’à un ou deux gros tubes de la première place – et il se murmure déjà que RiRi pourrait faire son grand retour en 2015.

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Crédits photos : Jill JOHNSON / JPI / VISUAL Press Agency

Enceinte de son deuxième enfant, Alicia Keys se faisait plutôt discrète ces derniers mois. C’était avant sa photo postée sur twitter ce week-end où elle apparaît complètement nue avec le symbole de la paix peint en blanc sur son ventre rond.

« Il est temps d’attirer l’attention et je sais que cette photo ne passera pas inaperçue ».

Forte de ses 35 millions d’abonnés sur Facebook et ses 20 millions de followers sur Twitter, Alicia Keys a décidé de marquer les esprits avec sa dernière photo d’elle, enceinte et nue, postée ce week-end sur les réseaux sociaux.

Dans une interview au New York Times, l’égérie Givenchy raconte la genèse de ce cliché et de son engagement. Tout aurait débuté par une banale question posée par un ami. «Why are you here ?» («Pourquoi es-tu là?»).

L’interprète d’Empire state of mind se serait alors remise en cause et aurait décidé de s’engager bouleversée par les événements tragiques du monde, entre la situation à Gaza et les émeutes de Ferguson. «Vous et moi avons une mission pour créer un monde plus pacifique », a-t-elle posté sur Twitter pour légender sa photo. «Je veux rassembler une armée, il est temps d’attirer l’attention des gens», a-t-elle déclaré au New York Times quelques heures avant de se rendre sur le tapis rouge du Social Good Summit organisé à New York hier.

La star du hip hop a par ailleurs incité ses fans à soutenir 12 associations (à retrouver sur le site We are here movement, clin d’œil à son dernier titre) allant de la défense des droits des homosexuels à la lutte contre le racisme ou la recherche contre le Sida.

Avec Soumission, l’écrivain, soi-disant, ne souhaitait pas entrer au cœur d’une polémique enflammée sur l’Islam. Mais pouvait-il vraiment y échapper?

« Je ne vois pas de roman qui ait changé le cours de l’histoire, des essais, oui » a dit Michel Houellebecq au journal de 20 heures de David Pujadas le 6 janvier dernier. N’empêche, c’est le jour de la sortie de son roman de politique fiction polémique intitulé Soumission que l’attentat terroriste a été perpétré. Et la rédaction de Charlie Hebdo publiait justement, ce jour-là, à sa une, un dessin satirique en référence à ses écrits.

Si l’univers de la fiction relevait de la présomption d’innocence, et si l’art n’avait pas d’impact sur le réel, le jour J de l’attentat, la police n’aurait pas pris l’initiative d’évacuer la maison d’édition de l’écrivain, Flammarion, dès 13 heures. Soit une heure et demi seulement après la fusillade. Et, du reste, la rédaction de Charlie Hebdo, qui ne pêchait que par ses idées au regard de certains, n’aurait pas été décimée. Tout comme, le 8 janvier, l’hebdomadaire Valeurs Actuelles n’aurait pas trouvé pertinent de sortir une couverture coup de poing : « Peur sur la France, et si Houellebecq avait raison ? » avec, en illustration, une femme voilée du drapeau tricolore.

Comment ne pas penser que l’écrivain joue les naïfs façon monsieur Jourdain quand il prétend ne pas envisager que sa description de l’avènement, en 2022, d’un parti intitulé « La fraternité musulmane » et prônant la disparition de la laïcité puisse lui valoir de se retrouver en cœur de cible, plus que d’une polémique, peut-être même des Kalachnikov ?

La pensée, en soi, et heureusement, est une arme. Comment expliquerait-on autrement que Salman Rushdie ait été placé sous protection judiciaire après la publication des Versets sataniques en 1989 suite à la Fatwa lancée contre lui par l’ayatollah Khomeini ? On se souvient que Charles de Gaulle avait condamné à mort l’écrivain et journaliste Robert Brasillach au lendemain de la guerre sous prétexte, écrivait-il dans ses mémoires, que « le talent est un titre de responsabilité ».

Il estimait alors qu’il était une circonstance aggravante car accroissant le pouvoir de l’écrivain. Dans un essai intitulé La responsabilité de l’écrivain datant de 2011, Gisèle Sapiro, sociologue directrice de recherche au CNRS, se posait à son tour la question. Et rappelait les procès intentés à Flaubert et Baudelaire pour outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs, l’un conséquemment à la sortie de Madame Bovary en 1856, l’autre, un an plus tard, à celle des Fleurs du mal. Elle évoquait la position de Roland Barthes sur le sujet, lequel écrivait : “la question de l’œuvre à l’égard du réel social semble vouée à l’oscillation incessante. Ce dernier croyait fermement à l’intervention sociale du texte littéraire. Tout comme Sartre n’imaginait pas une littérature autre qu’engagée.

Michel Houllebecq a raison de se planquer. Il a eu aussi tout à fait tort, en tant qu’intellectuel ami du sociologue Michel Maffesoli, de sous-estimer l’impact possible des idées qu’il a évidemment le droit d’exprimer. Aujourd’hui, à l’heure qu’il est, l’écrivain a des raisons d’avoir abandonné son plan média et d’avoir quitté les remparts fragiles de sa barre d’immeuble du 13e arrondissement.

Son roman n’a peut-être pas changé le cours de l’histoire, comme il le disait au 20 H mais l’histoire, qu’il le veuille ou non, vient de décider de la signification de son roman.

Crédits photos : ESTEVEZ ALBERTO/EFE/SIPA

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Hollywood actress Evan Rachel Wood took to Twitter over the weekend and joked that men should undergo mandatory surgical sterilization in response to Georgia’s “Heartbeat” abortion law, which prohibits a woman from aborting her pregnancy in the state after a heartbeat is detected.

“Please. We have been abused and used enough. They want control of our bodies. I cant even begin to explain the terrifying implications of this. Help. Please,” the Westworld star said. “They are going to try and overturn Roe vs Wade and countless women are going to die. Everyone STAND UP.”

 

Evan Rachel Wood later added a much more serious take on the issue which has kicked off a Hollywood-backed boycott campaign in Georgia, over the legislation Georgia Gov. Brian Kemp (R) signed into law earlier this month.

“I dont want mandatory vasectomies because I don’t believe we should legislate peoples bodies, its a dangerous slippery slope.” the HBO star said. “I used the example to point out the hypocrisy of always putting the responsibility, punishment,  blame, or means of prevention, solely on women.”

A growing number of Hollywood elites have boycotted the state by not filming their, with actress and political activist Alyssa Milano going so far a to call for a “sex strike” until the law is overturned. Meanwhile, Hollywood mega-producers J.J. Abrams and Jordan Peele will still film their upcoming HBO horror series, Lovecraft Country, in Georgia, but they will donate their profits to the campaign to overturn the “heartbeat” law.

Follow Jerome Hudson on Twitter @jeromeehudson

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Actor Alec Baldwin is attacking President Donald Trump, this time by claiming the president is “neurologically impaired.”

Baldwin accused the president of some sort of mental impairment, saying “Trump is lazy, corrupt, neurologically impaired.”
Baldwin went on to insist that Trump is living in a fantasy world “like the set of The Apprentice.”

“But he must also be quite confused,” the Saturday Night Live star continued. “He believes the world is, or should be, like the set of The Apprentice, where he is paid handsomely 4 doing very little. And that all of his hatred/bad behavior will be shelved by Mark Burnett.”

Like with many in Hollywood, it appears that Donald Trump lives in Baldwin’s heads 24-7.

Just last month, Baldwin was seen spreading the hoax claim that President Trump threatened violence in a recent Oval Office interview with Breitbart News.

In February, the furiously anti-Trump actor said he didn’t know if Michael Cohen was telling the truth about Trump but that the former Trump lawyer should get the “Congressional Medal of Honor” for his appearance before a Congressional Committee.

Baldwin also dabbles in other far-left activities. A week ago, The Shadow actor signed onto a boycott of the State of Georgia’s film industry over the Peach State’s “heartbeat” bill that would ban abortion once a fetal heartbeat is detectable.

Follow Warner Todd Huston on Twitter @warnerthuston.

NASHVILLE, Tenn. (AP) — Country star Brad Paisley took the controls of a backhoe to dig up the first pile of dirt in the space that will become a free grocery store to support needy families in Nashville, Tennessee.

Paisley donned a cowboy hat-shaped construction helmet for part of Wednesday’s groundbreaking ceremony for The Store, which is a partnership with his alma mater Belmont University.

The country star and his wife, actress Kimberly Williams-Paisley, said they got the idea after volunteering with their kids at a similar store called the Unity Shoppe in Santa Barbara, California. Construction on the Nashville store is projected to be completed by the end of the year.

“Hunger and food insecurity is a real issue in Nashville,” said Williams-Paisley. “One in seven people deal with food insecurity. That means they don’t know where their next meal is coming from. And it’s even worse for kids, one in five children.”

The store will operate like a real grocery store so that people can go shopping through the aisles and Belmont students and other volunteers will scan their items, but no money will change hands.

“We really want to get people before this is a major crisis,” Williams-Paisley said. “We want to help people in this gap where they are trying to get back on their feet.”

The store will be located on Belmont’s campus and next to the university’s Ministry Center, which will provide heath care and legal aid ministry clinics.

Paisley said this model “takes away the sting of embarrassment for a parent who maybe feels that way because they can’t feed their kid.”

Even the mechanical horse for kids on the outside of the store will be free, he said.

“The kids should not know what their parent is going through,” Paisley said. “That’s not stress a child needs.”

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EU budget: As it happened

Rolling coverage as the Commission unveils its plan for the bloc’s long-term spending.

Budget Commissioner Günther Oettinger on Wednesday unveiled his proposal for the EU’s next long-term budget — the Multiannual Financial Framework, which will run from 2021 to 2027.

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Scroll down for POLITICO’s coverage of the latest news, reaction and analysis throughout the day.

Empire actor Jussie Smollett will no longer co-star in the Broadway revival of the play Take Me Out amid lingering charges that the performer staged a hate crime against himself, according to a report.

Jussie Smollett delivered a reading of the 2003 Tony-winning play in New York City 12 hours prior to allegedly faking a racist and anti-gay attack in downtown Chicago. The Daily Mail reported Tuesday that the 36-year-old California native has since been “cut” from the play, citing the controversy surrounding the January 29th ordeal. “Everything was set to go and the producers were planning to announce that Jussie and Zachary Quinto were starring in the play last month,” a Broadway insider told the Mail, adding, “Everyone was so supportive after the attack and then suddenly, everything shifted.”

The British newspaper, citing a source with ties to Take Me Out, reports people involved with the upcoming production are in “shock” over the controversy surrounding Smollett. “Here is a kid who is on a hit television show, has made a name for himself, and gets the chance of a lifetime,” the unnamed source reportedly said. “He would have come off the sixth season of Empire and kicked off the next leg of his career with a role on Broadway. And not just that, the lead role in one of the best plays of the century in his Broadway debut.”

“Why on earth would someone throw that all away,” the source added.

Take Me Out, which won three Tony Awards in 2003, including Best Play and Best Director, is scheduled to open in April 2020. While Smollett will no longer appear in the play, Empire actress Taraji P. Henson has said Jussie will return to the Fox Entertainment program next season despite the ordeal.

Smollett, who is African-American and gay, maintains he told the truth in claiming that two masked men assaulted him, shouting slurs and wrapping a rope around his neck. He told police that his attackers also shouted, “This is MAGA country,” a reference to President Donald Trump’s 2016 presidential campaign slogan, before fleeing the area.

Last month, Cook County prosecutors dropped all 16 felony counts against the actor, stating that while the charges were provable, the case was not worth the resources that would be needed. The decision infuriated Chicago Police Department chief Eddie Johnson and Mayor Rahm Emanuel, who refered it a “whitewash of justice”

Earlier April, Chicago filed a civil lawsuit against Smollett for refusing to repay roughly $130,000 that the Chicago Police Department spent on probing his purported attack.

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