Month: February 2020

À l’affiche du film La Liste de mes envies dès mercredi (au côté de Marc Lavoine), Mathilde Seigner doit se plier au jeu habituel de la promotion. L’actrice s’est toutefois imposé quelques limites: interviewée par Télé Star, elle a avoué refuser d’aller sur le plateau de l’émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier, et être peu rassurée à l’idée de participer à celle de Cyril Hanouna, Touche pas à mon poste.

Après « Internet est dramatique, c’est un drame de l’humanité », Mathilde Seigner a trouvé une nouvelle cible : les chroniqueurs d’On n’est pas couché, l’émission de Laurent Ruquier. « Je n’irai plus parce que les chroniqueurs sont là juste pour vous débiner, a-t-elle expliqué. Avoir en face de moi des gens qui critiquent, alors qu’ils n’ont rien fait, ça ne m’intéresse pas. Je pense aux pauvres metteurs en scène et réalisateurs qui en prennent plein les dents, c’est dur. » Une ligne de défense qui rappelle celle qu’avait adoptée Mélanie Laurent il y a trois ans lors de la sortie de son album, et sur laquelle elle est désormais revenue.

Promo oblige, Mathilde Seigner était toutefois présente sur le plateau de Touche pas à mon poste hier. Une épreuve qu’elle appréhendait. « Cyril Hanouna est sympa, mais je ne suis pas très fan. Je me méfie toujours car j’ai peur de dire un truc qui va être repris partout. » Pas de débâcle cette fois-ci pour l’actrice : Mathilde Seigner semble avoir appris la leçon après son dérapage aux Césars en 2012. Elle le précise d’ailleurs elle-même : « Désormais, j’évite les discours et les remises de prix. » Une sage décision.

Alors que le tournage de Jurassic World commence à peine, une partie du scénario a déjà été dévoilée sur le Net. Face à ces révélations, le réalisateur Colin Trevorrow a tenu à expliquer lui-même les éléments de départ de son script.

À l’instar de Quentin Tarantino et du script de son prochain film The Hateful Eight, le réalisateur Colin Trevorrow vient d’être victime de l’internet. Alors que le tournage de Jurassic World a débuté il y a seulement un mois, une partie du synopsis de cette suite tant attendue a filtré sur la Toile. Les internautes se chamaillaient depuis pour savoir si les informations révélées étaient authentiques. Dans une interview accordée à Slashfilm, Colin Trevorrow a confirmé leur véracité.

Le 27 mai, le cinéaste avait publié une photo sur laquelle était visible un sigle portant le nom de l’île de Nublar. Trevorrow révèle donc que cette île se trouve au large du Costa Rica et « accueille plus de 20.000 visiteurs par jour ». Nublar est en réalité un parc d’attractions géant dans lequel les touristes peuvent faire un safari ou visiter le zoo mis à leur disposition. « C’est une destination luxueuse, précise-t-il, il y a des hôtels, des restaurants, une vie nocturne et un terrain de golf. » Mais que les fans se rassurent, l’attraction principale reste avant tout animale. « Il y a des dinosaures, des vrais. On peut s’approcher d’eux comme jamais on n’aurait pu l’imaginer auparavant. » Le rêve du milliardaire John Hammond, fondateur du parc dans la trilogie de départ, s’est donc enfin exaucé.

Dans Jurassic World avec Omar Sy, Trevorrow tient à aborder la relation des humains aux animaux. « On les chasse, on les enferme dans des zoos, on les admire de loin et on essaie d’affirmer notre contrôle sur eux », explique-t-il. Le personnage principal, celui interprété par Chris Pratt, étudie justement le comportement des animaux non dressés. Il aura affaire à un nouveau spécimen de dinosaures, mais, à son sujet, le réalisateur préfère conserver le mystère. Il rassure tout de même les fans des livres originaux: « Nous n’avons rien fait qui n’ait pas été suggéré dans les romans de Crichton. »

Colin Trevorrow aurait préféré ne jamais avoir à révéler le moindre de ces éléments, mais, face aux fuites découvertes sur Internet, il a préféré présenter lui-même son postulat de départ au public. À ses yeux, une partie de la magie en a pourtant pris un coup. « Quand j’étais gosse, se souvient-il, on découvrait tout d’un coup au cinéma, ça nous emportait et c’était le choc. Maintenant, il suffit d’une personne pour spoiler toutes les autres. » Espérons pour lui qu’aucune autre information importante ne filtrera d’ici au 10 juin 2015, date annoncée de la sortie du film.

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La légende est bien vivante. Avec le documentaire musical Quand l’écran s’allume, (re)découverte de Polnareff, le créateur de génie, et de Michel, un homme terriblement touchant.

A quoi peut bien ressembler la vie derrière des «polnalunettes», rectangles noirs cerclés de blanc? D’où nous vient, en dépit des cris de joie du petit Louka, de la tendresse de la belle Danyellah, du soleil californien, ce sentiment de solitude, de mélancolie? Est-ce parce que Michel chanta un jour «Depuis que je suis loin de toi/ Je suis comme loin de moi/ Et je pense à toi tout bas», dans une Lettre à France à vous donner envie de chialer?

Michel Polnareff choisit l’année 1973 pour poser ses valises et son génie aux Etats-Unis. «Ce qui me met en rage, c’est cette histoire d’exilé fiscal, explique-t-il à Danyellah, sa compagne, qui le questionne sur sa vie. Je suis parti non pas parce que je ne voulais pas payer mes impôts, mais parce que je ne pouvais pas, et cela a pris dix-huit ans pour que l’Etat reconnaisse que je n’étais pas responsable d’avoir été escroqué.» «Je déteste, insiste-t-il, sincère, que l’on dise que j’ai pris la fuite pour ne pas payer mes impôts. Je l’ai prise justement pour pouvoir les payer un jour!»

Ce 31 août, quand il embarque sur le paquebot France très en colère contre ce pays, le sien, qui l’oblige à partir, fragilisé également par la mort de sa mère, sa première muse, il écrit sur le livre d’or («je me suis retrouvé en-dessous de la reine d’Angleterre», précise-t-il, amusé): «Pour moi, à partir de maintenant, le mot France est un mot masculin.» Près de quarante ans désormais qu’il balade son look de cow-boy en Californie. Près de quarante ans, que, de l’autre côté de l’Atlantique, ses fans, fidèles, ne l’oublient pas (pour son retour en 2007, ils furent un million et demi au Champ-de-Mars, sans compter les quatorze concerts à Paris-Bercy et les soixante-trois Zenith).

«Il ne faut pas croire une seule seconde, dit-il, que, parce que l’on vit ailleurs, on n’a pas le mal du pays. On a toujours le blues de là où on vient.» Au fil du documentaire, c’est un homme à la fois plein d’humour, mais également à fleur de peau qui se dessine. Quand ses doigts courent sur le clavier de son piano à queue Yamaha, dévoilant des mélodies d’un nouvel album attendu pour la fin du mois d’octobre, «avec toute l’équipe de tournage, confie Fabien Lecœuvre, son ami et co-auteur du film, on avait des frissons.»
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Cet artiste qui, à la fin des années soixante, d’un coup de fesse, faisait basculer une France trop puritaine; lui, le – trop – bon élève, l’enfant biberonné au classique, poussé à l’ombre d’un buste de Chopin, à qui l’on interdisait tout autre musique, tout contact avec les gosses qui jouaient dans la rue, a fait un jour le choix de la liberté. Il en a payé le prix. «Quand j’ai claqué la porte de chez moi, se souvient-il, je suis parti à Montmartre, place du Tertre, et je suis devenu un chanteur des rues. J’ai passé trois hivers dehors à me geler, mais je me suis rendu compte qu’en fait, c’était ça la vraie école, la rue.»

On dit souvent qu’avec l’âge (Michel Polnareff aura soixante-dix ans le 3 juillet), l’enfance vous rattrape. Lui, c’est plutôt celle de Louka, trois ans et demi, qui l’éclabousse joyeusement. Bouclettes brunes, mini polnalunettes sur le nez, sur cette route au milieu de nulle part, quand il voit ce petit bout d’homme courir vers les bras de son «daddy», sans doute, au fond de lui, des images d’hier se glissent…

Découvrez dès mercredi dans Gala les dessous du retour de l’homme aux lunettes blanches.

Quelques affiches pour cette fin d’année : “After Earth” de Shyamalan, avec Will Smith et son fils, “A la merveille”, le prochain Terrence Malick, Jim Carrey en magicien, The Rock…

After Earth

This is the End

A la merveille

A la merveille

A la merveille

Movie 43

 

Phantom

The Incredible Burt Wonderstone

The Incredible Burt Wonderstone

The Incredible Burt Wonderstone

The Incredible Burt Wonderstone

Massacre à la tronçonneuse 3D

Effets secondaires

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Snitch

Découvrez la bande-annonce de “Vive la France”, la nouvelle comédie de et avec Michael Youn, au cinéma le 20 février 2013.

Le 20 février 2013, Michaël Youn et José Garcia débarqueront dans les salles de cinéma, en provenance directe du Taboulistan ! Dans Vive la France, ils interprètent Muzafar et Feruz, deux bergers venus de ce tout petit pays d’Asie centrale dont personne ne soupçonne l’existence… Jusqu’au jour où le fils du président tabouli décide de se lancer dans le terrorisme «publicitaire» et de confier à nos deux bergers, plus naïfs que méchants, la mission de leur vie : détruire la Tour Eiffel !

Tout sur le film…

Vive la France

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Dans une interview diffusée le 23 juin sur la chaîne Numéro 23, Loana s’est confiée sur ses multiples tentatives de suicide. Un extrait a été publié sur le site de Télé Star ; on y voit la première star de la télé-réalité française se montrer touchante, revenant avec philosophie sur les épreuves de sa vie.

L’entretien date d’il y a plus d’un an : c’était avant une nouvelle tentative de suicide, en décembre dernier. Loana y apparaît radieuse, débarrassée de ses démons ; elle revient sans peine sur son passé de lofteuse, et explique sans détour pourquoi elle a tenté de mettre fin à ses jours.

« Quand on fait des concerts avec 8.000 personnes, raconte Loana, ça nous remplit de bonheur, on a beaucoup de choses. Mais lorsque c’est fini on rentre à la maison ou à l’hôtel, et on se retrouve seule dans une chambre. Et on ne sait pas qui appeler. On est sur un lit, seule avec une télé. » Une solitude qui pesait tellement à l’ancienne gogo-danceuse starifiée par M6 qu’elle s’est tournée vers le suicide huit fois, malgré sa volonté de fer.

Aujourd’hui, Loana va mieux. Début juin, elle montrait sa nouvelle coupe de cheveux sur sa page Facebook, sereine et heureuse. Un bon présage, même si la trentenaire est une habituée des rechutes.

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Initialement prévu pour le 1er mai dans nos salles, “Iron Man 3” débarquera plus tôt que prévu, puisque sa sortie française a été avancée au 24 avril.

Atterrissage avancé pour Iron Man ! – © The Walt Disney Company France

Le nouveau costume d’Iron Man contient visiblement des propulseurs très très puissants, qui le feront arriver en France plus tôt que prévu. Attendu le 1er mai dans nos salles, le troisième volet des aventures de Tony Stark a en effet été avancé au 24 avril, la date de sortie américaine ne changeant pas pour autant. Bien que très bonne pour les fans, cette nouvelle n’est cependant pas la plus surprenante du monde, car les Marvel ont souvent tendance à débarquer autant en avance chez nous à cette époque de l’année, à l’image d’Iron Man 2, Thor ou Avengers, que le public français avait pu découvrir plus d’une semaine avant les américains. Ceux qui comptent les jours jusqu’à la sortie d’Iron Man 3 dans l’Hexagone vont donc pouvoir en retirer sept de leur décompte.

Maximilien Pierrette avec The Walt Disney Company

La bande-annonce de “Iron Man 3”

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L’ex-athlète, ambassadeur des montres Longines, a bien voulu nous parler du temps qui passe lors de son passage à Paris début juin. Celui de sa jeunesse difficile, lorsqu’il était obligé par son père de frapper la balle jaune alors qu’il avait horreur de ce sport, comme il en parle dans son autobiographie (« Open ») et celui d’aujourd’hui, avec l’amour de sa vie : la championne de tennis Steffi Graf, mère de leurs deux enfants Jaden Gil, douze ans, et Jaz Elle, dix ans.

Gala : Si vous pouviez revenir en arrière, que feriez-vous ?

Andre Agassi : J’accélèrerais le temps pour arriver à aujourd’hui. Je préfère ma vie actuelle plutôt que ma vie de joueur de tennis.

Gala : Que faites-vous de votre temps libre ?

A.A : Je le passe avec ma famille, mes amis, ma fondation. On fait des barbecues, on regarde les enfants jouer, toutes ces choses de la vie qui font plaisir. Je suis un garçon normal.

Gala : Avec le temps, qu’appréciez-vous le moins ?

A.A : J’apprécie de moins en moins être sous le feu des projecteurs, les interviews, les questions (il sourit). Sérieusement, je n’aime pas perdre du temps. Même dans mes rapports humains, je ne supporte plus les relations superficielles.

Gala : Le temps guérit-il toutes les blessures ?

A.A : En un sens, oui, mais c’est plus facile de pardonner que d’oublier.

Gala : En jetant un œil vers le passé, quel est votre meilleur souvenir de Roland Garros ?

A.A : Steffi.

Gala : Et votre meilleur souvenir de votre carrière de joueur de tennis ?

A.A : Steffi ! Sans ma carrière, Steffi ne serait pas là.

Gala : Comment voyez-vous votre avenir ?

A.A : J’espère continuer comme ça, rester le même. Je vis au jour le jour. Je ne me donne pas d’objectifs. J’ai beaucoup d’espoirs pour mes enfants, faire en sorte que tout aille bien pour eux. Mais pour moi, je n’en sais rien.

Gala : Comment aidez-vous les enfants de votre fondation ?

A.A : Je leur donne une chance. J’aurais aimé trouver ce genre de structure pour moi quand j’étais petit. J’aurais aimé que mon enfance soit différente.

Gala : Quel est le meilleur moment de votre journée ?

A.A : Quand je peux voir mes enfants grandir. J’aime par dessus tout les voir expérimenter des choses pour la première fois. En vieillissant, on agit de moins en moins pour la première fois.

Gala : Qu’aimeriez-vous expérimenter que vous n’ayez pas encore fait ?

A.A : J’aimerais expérimenter le fait d’avoir un enfant de treize ans. Mon aîné n’a que douze ans. J’ai hâte.

Gala : Qu’est ce qui a changé depuis vos treize ans ?

A.A : Mes cheveux (il rit) ! Je suis plus ouvert aux autres, je pense. Trente ans ont passé, ça fait beaucoup de changements. J’espère ne pas être le même, c’est le but de la vie : apprendre, s’améliorer chaque jour.

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Gala : Quel effet cela vous fait-il d’avoir bientôt 45 ans ?

A.A : Je ne sais pas encore ce que ça fait ! J’ai vécu beaucoup d’expériences dans ma vie alors, mes quarante cinq ans, je ferai avec. Je n’ai pas peur de l’avenir.

Le 18 juillet, Benjamin Castaldi signera son retour à la télévision avec la huitième saison de Secret Story sur TF1. Invité du Tube de Canal +, samedi, l’animateur s’est confié sur les programmes de téléréalité et sur son image dans le paysage audiovisuel français.

Depuis huit ans, Benjamin Castaldi possède le même rituel : passer son été dans la Maison des secrets sur TF1. Catalogué comme animateur de programmes peu intellectuels, le fils de Jean-Pierre Castaldi est aujourd’hui cantonné à une case un peu réductrice. «J’aime beaucoup ce que je fais. Je le répète souvent mais je n’ai pas de problème avec Secret Story. Seulement c’est vrai que je ne peux plus avoir cette image d’éternel jeune de la télé car je ne le suis plus vraiment» explique le présentateur de TF1. Il est vrai que depuis le début des années 2000, Benjamin Castaldi n’a que peu diversifié les programmes qu’il a animés. Propulsé sur le devant de la scène médiatique avec Loft Story sur M6 en 2001, l’animateur connaît par la suite le succès avec La Nouvelle Star avant de débarquer sur TF1 en 2004. Un choix aussi surprenant qu’inattendu qu’assume parfaitement le petit-fils de Simone Signoret : «j’avais à cette époque envie de changer de crèmerie».

Aujourd’hui âgé de 44 ans, Benjamin Castaldi connaît mieux que quiconque la dure réalité du monde de la télé. Peu mis en avant par TF1, l’animateur envisage désormais d’autres possibilités pour son futur. «C’est vrai que je me suis posé pas mal de questions. Je ne peux pas passer ma vie à attendre qu’on me propose autre chose. J’ai beaucoup discuté avec TF1 pour parler de cette situation mais de toute façon je n’ai plus de contrat d’exclusivité avec eux donc je peux faire ce que je veux. Je repars d’ailleurs à Tahiti après Secret pour la deuxième saison de Tahiti Quest» avoue ce dernier.

L’ancien présentateur de M6 est également revenu sur l’évolution de la téléréalité en France. L’occasion pour lui de glisser un petit message au Conseil de Surveillance Audiovisuel (CSA). «Je m’étonne que le CSA nous embête autant à TF1 alors qu’il laisse passer beaucoup de choses à W9 et NRJ 12. Je trouve ça très curieux» admet-il. Une sévérité qui n’empêchera Benjamin Castaldi d’enfiler pendant tout l’été son costume de maître de la Maison des secrets…

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In another round of hate speech, BJP MP Vinay Katiyar said today that “Muslims should not even be living in this country, they should go to Pakistan or Bangladesh”.

Katiyar, who founded the Vishwa Hindu Parishad’s (VHP) youth wing, Bajrang Dal, further said a bill should be introduced in Parliament that frames a punishment for those “who do not respect Vande Mataram, (and) those who insult the national flag, or hoist the Pakistani flag.”

BCCL

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