Cris Cab : « Pharrell Williams m’a donné les meilleurs conseils »

Le protégé de Pharrell Williams était en concert à Paris mardi 22 avril à la Maroquinerie. Quelques minutes avant son entrée sur scène, Cris Cab répondait aux questions de Gala, malgré un léger mal de ventre qu’il soupçonnait provenir de l’eau du robinet. Allait-il râler et tout casser ? Allait-il rendre au sol ce que de mauvaises bactéries lui donnaient ou tuer les vers par des gorgées de vodka ? Nous allions savoir très vite de quel bois se chauffait le chanteur. Alors l’artiste, quel démon êtes-vous ?

« Je suis un sympathique et paisible garçon, sensible, pensif qui aime la musique » ainsi se définit Cris Cab. L’Américain de Miami, Floride, auteur du tube Liar Liar, pourrait porter une fleur dans les cheveux et des tongs aux pieds, cela n’étonnerait personne.

Très propre sur lui, cheveux courts, tee-shirt sombre repassé, ne possédant aucun tatouage ni piercing, l’artiste de 21 ans propulsé par Pharrell Williams n’appartient pas à la famille du rock rebelle : « Je ne prends pas de drogue. Les choses ont changé de nos jours, on a tous vu les stars des années 70 se battre contre leurs mauvaises habitudes. Maintenant les artistes essaient de faire durer leur carrière le plus longtemps possible. Moi, je fais beaucoup de sport. Je cours dès que je peux, je mange équilibré, je prends des vitamines et je bois de l’eau. Mais je ne dirais pas que le rock n’ roll est mort, tout est une question d’attitude » rassure-t-il de sa belle voix de crooner, en caressant son bracelet noir qu’il trouve « joli ».

Élevé avec amour dans une famille catholique heureuse, Cristian, dit Cris, le benjamin des Cabrerizo, s’est découvert une passion pour la musique dès l’âge de huit ans. Installé au Bahamas où son père était pêcheur (avant d’être vendeur de vêtements et agent immobilier), le gamin écoute en boucle Bob Marley. Une révélation : « J’aime sa positivité, son amour et la façon qu’il a de parler du monde comme un seul lieu auquel nous appartenons tous. Cette idée de communauté globale, d’entraide générale, c’est ce que j’apprécie chez lui ». Peace and love, un message que le jeune chanteur souhaite transmettre à son tour : « Écrire sur l’amour, la paix, le bonheur, c’est ce que j’aime par dessus-tout. J’ai eu beaucoup d’histoire et je peux dire que mon cœur a été brisé » dit-il les yeux dans les yeux, sans sourire. On a envie de lui caresser la joue.

Beau garçon, il sait que sa plastique joue dans la quantité de filles présentes devant la porte de la salle de concert, une heure avant le spectacle. « Mais moi, je veux juste faire de la bonne musique » répète celui qui n’a plus de petite copine parce qu’avec « Mes voyages, c’est trop compliqué d’entretenir une relation ».

Travailleur invétéré, Cris ne pense qu’à sa guitare. Il se lève tôt, boit un café et se met au travail. Un conseil donné par Pharrell Williams : « Je l’ai rencontré quand j’avais quinze ans. J’ai été présenté par un copain. Miami est une petite ville, si tu passes du temps là-bas et que tu te bouges un peu, tu trouves toujours quelqu’un qui connaît quelqu’un qui peut te présenter à qui tu veux. La première fois que je l’ai vu, j’étais ébloui. Mais Pharrell a les pieds sur terre, il est très cool, on se sent bien avec lui, comme à la maison. J’ai beaucoup appris à ses côtés. Surtout le fait qu’il faut travailler dur, parce que rien ne vient tout seul » explique Cris qui a préféré arrêter l’école à l’âge de quinze ans pour se consacrer à sa passion. Entre la composition, les enregistrements, les tournées, la promo, le jeune homme consacre sa vie à son art, tout en se laissant l’opportunité plus tard de s’inscrire à la fac, « J’ai tout mon temps » assure-t-il. Il avance un pas après l’autre sans se projeter trop loin : « Ce qui me préoccupe pour le moment, c’est la sortie de l’album Where I Belong et la tournée qui va avec. Si je devais me projeter dans dix ans, je pense que je me verrais toujours chanteur en tournée. J’y ajouterais que j’écrirais des scénarios pour des films. J’en rêve ! ».

La petite gueule d’ange, entre Elvis Presley et Justin Bieber, s’anime alors. « Hummm… Je préfère Elvis » dit-il sans vouloir faire de mal au jeune Canadien. Cris n’est que douceur, jamais un mot de trop. « Certains m’appellent Big Papa. Parce que je suis détendu, mes épaules sont larges et on peut se reposer dessus ». La journaliste n’a pas osé tenter l’expérience (et s’en mord encore les doigts).

Seuls dans cette antichambre de scène, nous aurions pu continuer cet entretien longtemps si le manager n’était entré en trombe : « Je t’apporte un truc à manger ? Il y a du poisson, c’est très équilibré » lui dit le type musclé. Cris répond : « Oui, si c’est du saumon avec de la salade ». Dehors, les jeunes filles en fleurs piaillent.

Le rock n’ roll est un devenu un beau jardin d’enfants sages. Cris en est le jardinier.

Ses prochaines dates en France :

4 Juillet – Festival de Bobital (22)

5 Juillet – La Nuit de l’Erdre (44)

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Richard Berry non plus n’aime pas Rendez-vous en terre inconnue

Après Josiana Balasko, qui avait jugé Rendez-vous en terre inconnue «indécente», c’est au tour de Richard Berry de s’en prendre au programme animé par Frédéric Lopez. Moins véhément que sa consoeur et ancienne belle-sœur, l’acteur affirme être gêné par l’indiscrétion qu’il véhicule.

Richard Berry aime le petit écran. Que ce soit comme acteur, comme dans le téléfilm L’esprit de famille, diffusé mercredi sur France 2, ou comme téléspectateur. La télévision, l’acteur la regarde souvent et ses goûts sont assez variés. Richard Berry n’est pas de ceux qui disent ne regarder qu’Arte ou les documentaires de Planète. Dans le JDD de dimanche, il affirme apprécier des programmes comme Top Chef ou The Voice. A propos du télé-crochet de TF1, il affirme qu’il «aime beaucoup» car il «montre que la chanson est un métier qui exige beaucoup de travail. C’est important à rappeler. Aujourd’hui, de nombreux jeunes pensent qu’il suffit de claquer des doigts ou d’être pistonné pour devenir grand chef, chanteur ou acteur». En revanche, s’il y a une émission qu’il n’apprécie pas c’est Rendez-vous en terre inconnue.

Richard Berry ne regarde pas le programme de Frédéric Lopez et n’a aucune envie d’en être l’invité. «Ça ne me tente pas. Il y a un truc de l’ordre de l’indiscrétion qui me gêne, affirme-t-il. Je suis trop pudique pour ce genre d’émission, me servir des gens pour parler de soi. Je veux bien aller à la télé pour parler de mon métier, c’est tout».

Un jugement qu’il partage avec Josiane Balasko. Celle qui fut un temps sa belle-soeur (elle a vécu un temps avec le frère de l’acteur, Philippe Berry, avec lequel elle a eu Marilou Berry) avait fait grand bruit en mars dernier en osant dire tout le mal qu’elle pensait d’une émission très populaire et consensuelle. «Je ne me sens pas, moi, privilégiée, riche, connue, d’aller voir des gens qui vivent culs nus et qui n’ont rien, et de jouer avec les bons sauvages et montrer mes larmes en disant c’est formidable. C’est une forme d’indécence que je n’aime pas» s’était-elle énervée dans Le grand direct des médias d’Europe 1. Frédéric Lopez avait alors répondu ne pas se soucier de ce que pensait Josiane Balasko. «Si je voulais plaire à tout le monde, je serais fou» avait-il déclaré dans le Before de Canal+. Les déclarations de Richard Berry devraient donc le laisser de marbre.

Julie Gayet: pourquoi elle a quitté le président

Une fois le secret levé, leur amour n’y a pas résisté. Pour vivre heureuse, l’actrice aura préféré vivre cachée. Une décision réfléchie.

Julie Gayet respire mieux. Les caméras l’ont lâchée. Dans son loft du onzième arrondissement décrit par ses amis comme « la maison du bonheur », elle a repris une routine rassurante au côté de ses deux fils. Tadéo, 15 ans et Ezéchiel, 13 ans. L’actrice l’a décidé, ils n’auront pas à subir la pression médiatique. Dans son téléphone, la voix de François Hollande ne résonne plus. Elle a brisé le lien.

En femme indépendante, Julie a choisi un trajet qui ne lui est imposé ni par la raison d’Etat, ni par l’opinion. Quitte à rayer de la carte deux ans d’amour, de cache-cache et surtout d’admiration pour un homme dont l’intellect l’avait touchée au plus profond.

Elle, la fille d’une figure du milieu médical, Brice Gayet, responsable du département médico-chirurgical de pathologie digestive à l’institut de Montsouris, et d’une mère antiquaire. Habituée aux débats d’idées à la maison. Elevée au bon grain de la réflexion sur le monde. Il faut dire que dès la fin 2013, justement, elle n’était plus sûre de rien. Certains murmurent que l’histoire, qui durait depuis deux ans, en était à s’essouffler. « Les vacances romaines » d’un François échappant aux obligations à scooter, avaient laissé place à un comédie de moeurs disgracieuse émaillé des humeurs de la première dame officielle.

En mars 2013 déjà, Valérie Trierweiler avait eu le cran de l’inciter à démentir les rumeurs en décrochant son téléphone. Elles s’étaient parlé, jaugées. Julie avait mesuré ce qui la séparait de cette femme si déterminée qu’elle en devenait parfois embarrassante pour elle-même. Et puis elle avait effectivement porté plainte pour « atteinte à l’intimité de la vie privée ».

En janvier, quand le magazine Closer se charge de l’ outing de sa relation avec le président, de l’avis de ses proches, elle prend donc de plein fouet la violence de cette intrusion au coeur de sa vie. De femme libre, patronne respectée de trois sociétés de production, elle passe au statut moqué de Montespan dont les gens googlise les images nues avec avidité. D’emblée, l’heure n’est plus aux escapades. François et elle prennent de la distance. La relation change de nature. Se délite aussitôt au contact de cet appel d’air brutal. Entre François et elle, les délicieux moments passés dans les arcanes du pouvoir ont fait long feu. Il est loin ce 1er aout 2013, où il l’avait couvée des yeux à l’Elysée sous le regard étonné de Michel Sapin, alors qu’il la recevait personnellement ainsi que d’autres artistes et techniciens du septième art pour évoquer les difficultés liées à l’extension de la convention collective de la production cinématographique.

Désormais, même, le cinéma, Julie le sent, pourrait la bouder, lui faire payer ses amours. Il y a un précédent avec les disques de Carla Bruni qui ne se sont pas vendus aussi bien une fois qu’elle a été mariée à Nicolas Sarkozy. Terminé, par ailleurs, le romantisme inné des instants volés comme à Tulles, le 19 juillet 2013, où ils assistaient ensemble à quelques mètres de distance au concert d’Olivia Ruiz. Et le moment où, quelques semaines plus tard, François Hollande échappait à son entourage pour aller déjeuner chez les parents de l’actrice dans leur château de Cadreils à Berrac.

Oui, le temps du bonheur privé s’est estompé et Julie est passé du cinéma d’auteur qu’elle affectionne à la grossièreté d’un vaudeville assourdissant au retentissement mondiale. Elle qui n’a « jamais rêvé d’être première dame » selon son proche, le metteur en scène Bernard Murat, encaisse le traumatisme. Elle a un avant goût de ce qu’on pense d’elle quand on la soupçonne immédiatement d’être favorisée avec sa nomination pour le César du meilleur second rôle féminin…

Lire tout le sujet à la une de Gala n°1090, mercredi en kiosques

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Photos- Friends forever

Le 6 mai 2004, Friends s’interrompait. Dix saisons et 236 épisodes qui ont accompagné des millions de fans à travers le monde, vibrant aux déboires amicaux et sentimentaux des six New-Yorkais. Retour en images sur une série culte pour l’instant jamais égalée.

C’est sur la pointe des pieds que Friends débarque en France en 1996. Seuls les heureux abonnés au câble peuvent voir cette série diffusée sur Canal Jimmy, précurseur à l’époque dans le domaine des séries et qui croit beaucoup dans cette sitcom américaine diffusée depuis 1994 aux Etats-Unis. Les retardataires la découvrent lors des fameux marathons Friends (diffusion de l’intégralité des épisodes d’une saison en une nuit) ou bien en 1997, sur France 2. Mais, très vite, la série devient un véritable phénomène, fédérant des millions de fans à travers le monde.

Friends raconte les déboires amicaux et amoureux de Monica, Rachel, Phoebe, Ross, Chandler et Joey, six New-Yorkais proches de la trentaine. Si au fil des épisodes on retrouve des thèmes sensibles comme l’homosexualité, le mariage, les relations familiales ou encore la mort, l’essentiel n’est pas là. Friends marque surtout les esprits par ses personnages caractérisés, les liens qu’ils tissent entre eux, mais aussi par son écriture imparable et son sens du rythme et de la vanne, avec une habile combinaison de situations désopilantes et de punchlines hilarantes. L’émotion est également très présente. Les allers et retours sentimentaux entre Ross et Rachel, l’évolution des sentiments entre Monica et Chandler, l’excentricité de Phoebe et l’absurdité de Joey ont ainsi animé les dix saisons et 236 épisodes que compte la série. Forte de son succès, Friends a aussi vu de nombreuses stars, établies ou en devenir, venir faire une apparition : Tom Selleck, Brad Pitt, George Clooney, Julia Roberts, Billy Cristal, Charlton Heston, Robin Williams, Ben Stiller, Isabella Rossellini…

Les six acteurs sont devenus de véritables stars même si, à part Jennifer Aniston et Courteney Cox, aucun n’a réussi à rebondir après l’arrêt de la série. Il y a tout juste dix ans, le 6 mai 2004. Ce jour-là, NBC mettait un terme à Friends, laissant orphelins des millions de téléspectateurs. Depuis, aucune série n’est parvenue à la remplacer, même pas How I met your mother, souvent comparée à sa glorieuse aînée, mais dont l’ultime épisode diffusé il y a quelques semaines a mis les fans en colère. Depuis dix ans, les rumeurs d’un retour de Friends ou d’une adaptation sur grand écran ne cessent d’alimenter les conversations, mais, à chaque fois, les acteurs démentent et nient tout projet immédiat. Mais sait-on jamais ? En attendant, replongez-vous en images dans dix années de Friends. I’ll be there for you

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Bruce Willis, une nouvelle femme dans sa vie

Le journal US weekly a annoncé officiellement hier, mercredi 7 mai, la naissance de la cinquième fille de Bruce Willis.

Alors qu’il y a quelques jours Bruce Willis s’indignait des tenues à peine décentes de sa fille aînée, Rumer, et trahissait par là-même son côté papa poule, sa jeune épouse,Emma Heming, 35 ans, se préparait à mettre au monde le deuxième enfant du couple. Ainsi, la petite Evelyn Penn a vu le jour lundi faisant de Mabel Ray, 2 ans une heureuse grande soeur.

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Et voilà 3,9 kilos de bonheur pour Bruce Willis, déjà papa de trois filles (Rumer 25 ans, Scout Larue 22 ans et Tallulah Belle 19 ans) qu’il a eues avec son ex-femme, la comédienne Demi Moore. Ce qui porte les scores à cinq femmes contre un, et n’a pas l’air de le déranger le moins du monde: «Tout va bien. Je n’ai jamais trouvé que c’était une mauvaise chose jusqu’à présent. Je peux apprendre bien plus de choses sur les femmes que la plupart des hommes»

Pouponner ne pose aucun problème à l’acteur de 59 ans, bien au contraire. L’an dernier, il confiait même au journal allemand Bild n’avoir jamais été aussi heureux. «Je me sens comme un homme des cavernes protégeant sa famille, vivant pour elle. Elle est devenue le centre de ma vie et le sens absolu de mon existence. (…) Etre père est la plus merveilleuse des tâches.»

Un évènement qui devrait suffire à apaiser sa colère vis-à-vis de Rumer.

Angelina Jolie: « Brad est un prince charmant dans la vie »

Héroïne de Maléfique, relecture du conte de la Belle au bois dormant par les studios Disney, Angelina Jolie s’impose en guerrière. A l’écran, comme dans la vie.

Gala: Votre fille Vivienne interprète la princesse Aurore enfant. Etait-il évident pour vous de la laisser apparaître dans le film?

Angelina Jolie: Sa participation n’était pas du tout prévue. J’effrayais tous les enfants dont je m’approchais. Toujours accrochée à sa maman, Vivienne, elle, n’était pas du tout intimidée par mon allure. Alors même que je lui glissais «je déteste les enfants» pour les besoins d’une scène, elle me souriait. Interpréter une princesse lui plaisait beaucoup. Au bout d’un moment, répéter les mêmes scènes, en respectant les mêmes marques, a tout de même fini par l’ennuyer. Avec Brad, nous avons dû la coacher.

Gala: A propos de Brad, en tant que productrice exécutive de Maléfique vous n’avez jamais songé à lui accorder un rôle?

A.J.: Maléfique n’a pas de fiancé et le rôle du prince était déjà attribué, hélas! Mais qu’importe, Brad est déjà un prince charmant dans la vie. C’est un compagnon merveilleux. Nous avons beaucoup discuté de mon rôle. Il était présent sur le tournage. Et alors que je vous parle, il s’occupe de nos enfants. J’aimerais bien évidemment tourner de nouveau avec lui, mais nous faisons déjà beaucoup les pitres pour notre tribu à la maison…

Gala:Internet vous dit sur le point d’incarner, dans un film que vous réaliseriez, deux époux partant en vacances afin de donner une dernière chance à leur couple…

A.J.: C’est une histoire intéressante, je n’étais pas au courant. Mais non, il n’en est rien. J’aimerais, c’est vrai, diriger nos retrouvailles au cinéma. Mais je n’ai pas fini d’écrire le film qui pourrait nous réunir.

Gala: En tant qu’actrice, vous participez à de grosses productions. En tant que réalisatrice, vous signez des œuvres plus pointues. Quel est votre rapport au succès?

A.J.: J’ai juste à cœur de faire du bon boulot. J’aime divertir. Mais si je dois consacrer deux ans de ma vie à un projet, comme c’est souvent le cas quand vous dirigez un film, je préfère que celui-ci m’instruise. L’Histoire me passionne. Si j’ai dernièrement réalisé un film sur la Seconde Guerre mondiale, c’est parce qu’elle nous en apprend beaucoup sur le monde d’aujourd’hui. Mais le cinéma n’est pas une obsession. Je m’intéresse aussi très sérieusement à la politique, même si je sais que je ne serai jamais autant écoutée qu’en tant qu’actrice. Mes fils et filles rempliront peut-être des hautes fonctions à ma place. Je les sensibilise beaucoup à la géopolitique. Le plus important pour moi est d’être une bonne mère. Mes enfants ne vont pas tarder à aborder l’adolescence et j’ai déjà prévu de passer beaucoup plus de temps à leurs côtés, à la maison…

Gala:Porteuse de gênes défectueux, vous avez opté pour une double mastectomie préventive et vous vous apprêtez à subir une ovariectomie. La menace du cancer est votre malédiction?

A.J.: Une personne sur trois risque d’être atteinte par un cancer. Certains types de cancer affectent même une personne sur deux. Je n’ai jamais eu le sentiment que le sort s’acharnait sur moi. J’ai été gâtée par la vie, elle m’a offert de merveilleux enfants. Ma mère, elle, a eu beaucoup moins de chance: le cancer l’a emportée trop tôt pour qu’elle puisse connaître tous ses petits-enfants. Pour tout vous dire, j’ai l’impression d’avoir, bien au contraire, brisé une malédiction.

Toute l’interview d’Angelina Jolie dans Gala, ce mercredi en kiosques

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Shakira quitte The Voice

La prochaine saison de The Voice aux États-Unis ressemble de plus en plus à un jeu de chaises musicales – du côté du jury du moins. Beaucoup de changements à venir pour la septième saison, et un de plus s’ajoute à la liste : Shakira a annoncé qu’elle ne rempilerait pas en tant que juré de l’émission de télé-crochet.

« Pour l’heure, je n’ai pas prévu de revenir. » La chanteuse la plus suivie sur Facebook est sûre d’elle : elle ne sera pas devant les caméras de The Voice l’année prochaine. Alors qu’elle vient de sortir un nouvel album, Shakira veut se concentrer sur les aspects moins télévisuels de sa carrière. « Honnêtement, j’ai passé des moments formidables. J’adore l’émission, j’adore les gens qui y travaillent, les producteurs, les autres coachs. Mais, en ce moment, il faut que je continue ma vie d’artiste. »

Gwen Stefani et Pharrell Williams rejoignent le jury l’année prochaine, Shakira décide elle de s’écarter de l’émission pour retourner à son premier amour : la musique. Sans oublier sa famille : « Je ne suis pas vraiment une star de télé et il faut que je prépare ma tournée et que je fasse d’autres choses, comme être une mère ! » Une déclaration qui, sans aucun doute, rassurera le faux-jaloux qu’est son mari Gerard Piqué.

Décès de Jack Brabham

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47 ans après son dernier titre de champion du monde de formule 1, le pilote Jack Brabham s’est éteint à 88 ans dans sa maison de bord de mer, sur la Gold Coast australienne.

Jack Brabham, le plus grand pilote australien de l’histoire de la formule 1, est décédé lundi 19 mai des suites d’une longue maladie du foie, relaye l’AFP. Il était âgé de 88 ans. « C’est un jour très triste pour nous tous, écrit son fils David, mon père est décédé paisiblement à la maison ce matin. » Sa disparition intervient quelques jours après l’anniversaire de la mort d’une autre légende du sport automobile, Ayrton Senna. Pilote historique d’une monoplace britannique, Black Jack, comme il était surnommé dans le métier, avait fait ses premiers pas en Angleterre en 1955. « Je suis parti pour acquérir de l’expérience pendant un an, avait-il raconté, ça m’a pris 17 ans pour rentrer à la maison. »

Pour cause, Jack Brabham remporte son premier championnat du monde au volant de sa Cooper en 1959 sur le circuit des Etats-Unis. Mais contrairement aux fins de course tonitruantes auxquelles nous ont habitués les pilotes de formule 1, l’Australien termine la sienne à pied, poussant sa voiture tombée en panne sur une centaine de mètres. Il franchit la ligne d’arrivée en quatrième position et devient ainsi champion du monde de la discipline. Une première pour un Australien. Il redevient champion l’année suivante. Ancien mécanicien de vol dans la Royal Australian Air Force (RAAF), Brabham crée sa propre écurie en 1962. Il y développe même une voiture à son nom, la Brabham BT19. Avec elle, grâce à beaucoup de travail et de talent, il décroche quatre ans plus tard un troisième titre de champion du monde, associé à celui de meilleur constructeur.

Avec ce triple sacre de champion du monde de formule 1, Black Jack entre dans la légende du sport. En 1978, il devient même le premier pilote depuis la guerre à être anobli pour services rendus au sport automobile britannique. Une récompense amplement méritée puisque, au cours de sa carrière, Sir Jack a comptabilisé 14 victoires, 31 podiums et 13 poles positions en 126 grands prix. En hommage à sa carrière, une école automobile très réputée a été inaugurée à son nom dans Brisbane en octobre 2012. Sa femme Margaret et ses trois fils David, Geoff et Bary pleurent aujourd’hui son départ mais se souviennent qu’ « il a eu une vie incroyable, accomplissant plus de rêves que n’importe qui d’autre ».

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Jessica Chastain: « C’est à Cannes que tout a commencé pour moi »

Inconnue il y a trois ans, lors de ses débuts à Cannes, Jessica Chastain, à l’affiche de The Disappearance of Eleanor Rigby: Them, revient cette année sur la Croisette dans le rôle de star hollywoodienne.

Gala : Quel est votre plus grand souvenir à Cannes ?

Jessica Chastain : La première de TheTree of Life. Sur le tapis rouge, c’était totalement fou. Le plus grand tapis rouge que j’aie jamais vu. J’avais l’impression d’être Michael Jackson. (Elle rit.) Quand vous arrivez au sommet des marches, que Brad (Brad Pitt) salue sur sa droite et que vous voyez en bas une marée de gens, c’est incroyable. Nous marchions sur le tapis et on me donnait la main comme à une petite fille qui doit traverser une maison hantée. Sur les photos, je souris et vous avez l’impression que je prends du plaisir, mais j’étais pétrifiée et je ne voulais pas qu’on me lâche la main. Je n’oublierai jamais cette expérience.

Gala : Est-ce que c’était votre première venue à Cannes ?

J. C. : Oui, il y a trois ans, c’était mon premier Festival. Ce que j’ai adoré c’est que Jess (Jess Weixler), qui joue ma sœur dans mon nouveau film, était déjà venue avec moi à l’époque. C’est ma meilleure amie, nous sommes allées à l’école ensemble et elle est un peu comme ma sœur. J’avais très peur à cause notamment de ma robe jaune et elle m’avait enregistrée. Sur la cassette, vous pouvez l’entendre crier : « Tu es formidable ! Tu es formidable ! » et aujourd’hui elle monte les marches avec moi parce que c’est mon film. Je suis tellement heureuse de pouvoir partager cette expérience avec les gens que j’aime.

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Gala : Maintenant que vous êtes célèbre, prenez-vous toujours le même plaisir en venant à Cannes ?

J. C. : C’est toujours très excitant pour moi et je me souviens qui j’étais il y a trois ans. C’était le début de ma carrière. J’adore le cinéma français. J’adore faire des rencontres avec les scénaristes, les réalisateurs, les cinéphiles… Si je suis devenue actrice c’est parce que j’adore les films et c’est à Cannes que tout a commencé pour moi. Cannes m’a ouvert le monde du cinéma.

Gala : Cette année, vous êtes donc ici pour présenter The Disappearance of Eleanor Rigby : Them…

J. C. : Oui et, ce qui est formidable, c’est qu’il a été fait avec tous mes amis. On se connaît depuis plus de dix ans. Jess joue dans ce film, Ned Benson est le réalisateur et scénariste… je suis l’un des producteurs. Au début de ma carrière, tous mes amis m’ont soutenue. Ils ont vu comment mes rêves sont devenus réalité. J’ai pu à présent les aider à réaliser un film et à faire découvrir au monde entier les talents de Ned. Pour moi, le fait de permettre aux gens que vous aimez de réaliser leurs rêves est encore bien plus beau.

Gala : Est-ce qu’il y a un film que vous voulez absolument voir ?

J. C. : Foxcatcher ! Je suis très impatiente. Je vais essayer d’en voir le plus possible. Je ne viens pas au Festival uniquement pour présenter mon film. L’année dernière, j’ai pu voir Only God Forgives, Nebraska, Ma vie avec Liberace… Croyez-moi, je vais aux projections. » (Elle rit.)

Gala : Quel est votre endroit préféré à Cannes ?

J. C. : Mon expérience ici est purement professionnelle. Je n’ai pas le temps de faire du shopping. Ce que je préfère, ce sont les conversations pour parler de films… Je n’ai pas le temps de le faire vraiment dans ma vie quotidienne. Bien évidemment, j’adore aussi les dîners sur la Croisette, surtout la nourriture française.

Cannes 2014– Xavier Dolan a “déjà gagné”

A quelques heures du verdict final, Xavier Dolan s’est exprimé sur Twitter. La prédiction d’une palme d’or?

Il fait parti des favoris mais sa victoire est ailleurs. Xavier Dolan, 25 ans est encore en lice pour le graal suprême de la palme d’or qui sera remise ce soir. Mais il y a quelques minutes sur Twitter le jeune homme s’est déjà décerné un prix. Il a tweeté à l’attention de ses confrères québécois “quoi qu’il arrive, nous avons déjà gagné, en quelques sorte, le pari d’un film qui devait toucher au coeur”.

Le réalisateur de Mommy a déjà fait preuve de sa détermination a atteindre la palme d’or. Critiqué parfois mais pour son ambition démesuré, Xavier Dolan témoigne ici de son “émotion devant le soutien des Québecois, sur Twitter, internet, partout”. Des messages d’amour qui le “transporte” en cette journée stressante. Au coeur du tourbillon cannois et des centaines de sollicitations qu’il reçoit, le réalisateur se recentre sur ses origines. Quelque soit le verdict, Xavier Dolan se dit aujourd’hui “fier d’avoir pu toucher les gens et enfin, fier d’être Québécois”.

L’impatiente du jeune Xavier Dolan sera bientôt atténuée. Le tapis rouge du Festival de Cannes vibre déjà pour sa dernière prestigieuse soirée.

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