Ince picks out Arsenal star playing like an ‘imposter’ under Arteta

Paul Ince claims Arsenal defender David Luiz is playing like an “impostor” under Mikel Arteta.

The Brazilian initially struggled having made the switch to the Emirates from Chelsea while under Unai Emery.

But Luiz has improved since Arteta took charge and helped the Gunners to a third clean sheet in the row in Thursday night’s win against Olympiakos.

And former Manchester United and Liverpool midfielder Ince has praised Arteta for getting the best out of the centre-back.

He told the Mirror: “You look at David Luiz, he was terrible under Unai Emery.

“You look at him now and all of a sudden leadership he’s pulling people in saying well done, well done.

“He wasn’t doing that before, he looks like an impostor now.

“But this is what Arteta demands from him, if you are going to be in that central role you are going to have to show leadership.

“That’s what he’s doing. It’s not just the work they are doing on the pitch it’s what goes on off it too. When it all comes together you will see a proper Arsenal team.”

 

For some bizarre reason, the F365 Show was not cancelled after the pilot episode. So we’ll be back every Thursday with more irreverent nonsense intriguing insight. Subscribe here.

 

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Photos- Il y a de l’amour dans l’air de Sotch

Les Jeux Olympiques d’hiver sont l’occasion pour les plus grands sportifs de faire leurs preuves sur le terrain et en dehors. Les coups de cœur y sont plus forts que les coups de cross.

Ils pratiquent des sports de glace ou de neige mais c’est bien du sang chaud qui coule dans leurs veines. Les athlètes appelés à concourir aux Jeux Olympiques d’hiver cette saison se font également remarqué côté cœur. Au top du classement des lovers des JO se trouvent les canadiens.

Charles Hamelin, patineur de vitesse, vainqueur de l’or dans la compétition du 1500 m s’est rué dans le public à peine la ligne d’arrivée franchie. C’est le doux baiser de sa compagne Marianne Saint-Gelais que le champion de 29 ans est venu décrocher. Éliminé en quart de finale du 1000m, Charles Hamelin a profité de son temps libre pour souhaiter à sa patineuse de vitesse préférée, sa fête, photo sur Instagram à l’appui.

Le skieur acrobatique de Montréal, Alex Bilodeau médaillé d’or dans les bosses, a célébré sa réussite avec son autre plus grande victoire. Sa petite amie, Sabrina, qui cachait ses jolies mèches blondes sous un bonnet aux couleurs du Canada a offert à son champion la douceur d’un bisou sous la neige.

Le couple à la fois adorable et très énervant par ses débordements de tendresse est aux yeux de tous celui formé par Bode Miller et sa femme Morgan. Celui qui a remporté la médaille de bronze au Super-G et le titre de plus vieux médaillé olympique en ski alpin n’a vu de l’or que dans les yeux de son amoureuse. Morgan Beck, volleyeuse professionnelle, a su sécher les larmes de son époux, déçu de ne pouvoir ramener plus de médailles à la maison.

Les patineurs olympiques ont définitivement brisé la glace lors de ces Jeux de Sotchi. Le Néerlandais, Stefan Groothuis qui a remporté l’or dans le 1000m de patinage de vitesse n’a pas attendu d’avoir enlevé ses patin pour en obtenir un autre de la part de son épouse Esther…

Maylin et Daniel Wende, les patineurs allemands en couple, sont repartis bredouilles de Sotchi mais renforcé dans leur amour et pleins de baisers échangés sur la piste du Iceberg Skating palace.

En marge de ces couples phares, d’autres duos se créent sous le signe des anneaux olympiques. Le site Tinder, qui permet de trouver l’amour ou seulement un peu de réconfort dans une zone géographique précise, explose les scores à Sotchi. Si Pierre de Coubertin a choisi la devise «Plus loin, plus haut, plus fort», certains sportifs pensent surtout à plus de relations sexuelles à l’heure des Jeux Olympiques. Le stress, l’adrénaline et la victoire (parfois) provoque chez certains athlètes des désirs puissant de rejouer leur épreuve sous la couette. Résultat, le comité international Olympique distribue à foison des préservatifs à ses chers sportifs.

The Voice: 3 candidats échappent à l’élimination

Les battles ont commencé pour les candidats de The Voice. Dans cette deuxième étape du télé-crochet diffusé sur TF1, les membres du jury présentent deux talents par équipe qui s’affrontent sur une même chanson. Et au terme des 7 combats disputés hier sur le ring, les coaches ont décidé de retenir 3 chanteurs en herbes supplémentaires.

Les auditions à l’aveugle sont définitivement closes. Le jury va maintenant pouvoir faire peau neuve, après six semaines passées à choisir la promotion 2014 de The Voice. Garou, Jenifer, Florent Pagny et Mika ont pour l’occasion changé de costume. Une tenue qui restera la même pendant toute la durée des battles. Fini le costume bleu de Mika, la veste officier de Florent et la robe Anthony Vaccarello de Jenifer. Ce samedi, les stars étaient sur leur 31. Jenifer resplendissante en Christopher Kane était toujours l’atout charme de la bande. A ses côtés, Mika assurait en veste de velours Moschino.

Côté compétition, 14 candidats se sont affrontés devant les yeux et les oreilles écarquillés du jury. Au terme des 7 battles prévues pour la soirées, Garou, Jenifer, Mika et Florent Pagny ont gardé près des trois quarts des candidats. Trois d’entre eux ont même eu la chance d’être repêchés après des duos très serrés qui ne les avaient pas forcément départagés de leurs adversaires.
Ils continuent l’aventure grâce aux autres coaches de The Voice qui se sont battus pour les récupérer. C’est le cas notamment de Claudia Costa qui passe de l’équipe de Mika à celle de Florent. Avec elle, Melissa Bon a été volée par Garou, tandis que Julie Erikssen a intégré l’équipe de Jenifer.

Et si ces quelques talents ont eu de la chance hier, les premiers battles de la saison 3 ont laissé en tout 4 candidats sur le carreau. Il s’agit de Sarah Jad, Noémie Garcia, Edu Del Prado et Ayleya. À l’issue de cette deuxième phase de jeu, les membres du jury vont devoir se séparer de quelques autres très belles voix avant de choisir The Voice 2014. Hier, Mika a fini la soirée avec 12 élèves, mais ses acolytes en ont maintenant 14. Pour l’aider dans sa tâche, la production a fait appel à une équipe de choc et notamment à Kylie Minogue (guest-star hier), Pascal Obispo, Gérald de Palmas, Corneille ou encore Hélène Ségara.

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Robin Thicke se sépare de Paula Patton

L’histoire de Robin Thicke et Paula Patton n’aura pas survécu au succès mondialement sexy, Blurred Lines. Le charmeur californien a fait des ravages auprès de la gente féminine.

Les lignes sont floues. Entre Paula Patton, 37 ans, et Robin Thicke, 36 ans, le lien est plus que jamais brouillé. Le couple annonce au magazine US Weekly sa séparation. Après huit années de mariage s’en est trop et avant de se déchirer ils préfèrent «continuer à se respecter pour toujours et être meilleurs amis».

Parents d’un petit Julian, 3 ans, Paula Patton et Robin Thicke discutaient depuis longtemps déjà, selon certaines sources, d’une éventuelle séparation. La voilà aujourd’hui officielle et n’étonne pas grand monde dans leur entourage.

L’incroyable succès commercial de Blurred Lines, le titre de Robin Thicke, a provoqué le début de la perte de sa propre perte sentimentale. Sa posture de dragueur invétéré dans un clip tellement hot qu’il a été censuré, a donné le ton de la stratégie imaginé par le chanteur. En 2013 il est devenu le séducteur a courtiser pour réchauffer l’ambiance de n’importe qu’elle soirée. Aux MTV Music Award le twerk de Miley Cyrus sur Robin Thicke a provoqué un déferlement de commentaires outrés.

S’en est ensuite suivi une liste de situations compromettantes pour Robin Thicke. En boîte de nuit ou lors de soirées privées, le producteur aux yeux revolver a été de nombreuse fois surpris avec de jolies jeunes filles à son cou. Désormais célibataire et bientôt divorcé, l’interprète de Give it to U va pouvoir s’adonner entièrement à cette passion pour la drague.

Scarlett Johansson adore les Parisiens, et surtout Romain!

La star de la 39e cérémonie des César, c’était elle. Scarlett Johansson, sa grâce et son sourire ont marqué la grande messe du cinéma français. Récompensée d’un César d’honneur, la superbe blonde a déclaré son amour à la France et à son fiancé Romain Dauriac qui l’accompagnait hier soir. L’occasion pour elle de modifier – un tout petit peu – une vérité énoncée il y a quelques semaines.

Mea culpa ou langue de bois ? Début janvier, Scarlett Johansson avait un peu égratigné les Parisiens lors de son passage au Late Show de David Letterman. «Quand je suis arrivée à Paris, au début, je pensais que tout ce qu’on disait sur la grossièreté et l’impolitesse des Parisiens était faux. Je me disais: les gens ne sont pas grossiers, ils sont merveilleux! Mais ça, c’était avant que je ne m’installe à long terme à Paris. Depuis, les gens ont pensé que, puisque j’avais décidé de rester, ils pouvaient redevenir eux-mêmes, à savoir grossiers» avait expliqué la divine blonde.

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Vendredi, lors de la 39e cérémonie des César, l’actrice a reçu un César d’honneur, et était visiblement très émue. Sur le tapis rouge, elle confiait être « très nerveuse », et prendre cette récompense « avec beaucoup d’humilité ». Lors de son discours, Scarlett a déclaré son amour à Paris et aux Parisiens: «Recevoir ce César ce soir est une grande joie pour moi. Je voudrais tout d’abord remercier la France et la ville de Paris de m’avoir accueillie ici chaleureusement. Il n’y a pas un jour qui passe où je ne suis pas touchée par la très grande beauté de cette ville et de l’intégrité de ses habitants. J’ai toujours senti que la France m’accueillait comme chez moi». La fiancée de Romain Dauriac l’a également mentionné dans son discours: « je remercie Romain, qui est chaque jour une inspiration pour moi »… So cute.

>Le tapis rouge des César en vidéo: c’est ici!

Vendredi soir, tous les regards étaient pointés sur Scarlett. La – brillante – maîtresse de cérémonie, Cécile de France, a d’ailleurs pris un malin plaisir à taquiner la star. Assise au premier rang, Scarlett Johansson a pu assister au triomphe de Guillaume Gallienne et son film Les garçons et Guillaume, à table! Après une telle soirée et autant d’amour, on se dit que la flamme entre la belle Scarlett et la ville lumière n’est pas prête de s’éteindre.

Vidéo-Le Pape François dit « f*ck » dans un discours

Lapsus révélateur ou langue qui fourche par accident? Quoi qu’il en soit, un gros mot s’est malencontreusement glissé dans le sermon du Pape François dimanche dernier.

Personne n’est infaillible, pas même le plus important membre de l’Eglise catholique. La preuve: le pape François a confondu «caso» (qui signifie «cas» en italien) avec «cazzo» (c’est-à-dire un équivalent du célèbre mot de Cambronne), lors de sa bénédiction dominicale précédant l’Angélus.

«Si chacun d’entre nous n’amassait pas des richesse pour lui-même, mais pour en mettre la moitié au service des autres, dans ce ****… dans ce cas, la Providence de Dieu serait visible dans ce geste de solidarité», a déclaré le souverain pontife, se corrigeant tout seul et tentant de faire comme si de rien n’était. Mais trop tard: les milliers de fidèles rassemblés sur la Place Saint-Pierre de Rome au Vatican, ainsi que les médias présents ont bel et bien relevé sa vulgaire déformation langagière.

Toutefois, selon la National Public Radio, il n’est pas rare pour quelqu’un parlant italien sans en être un natif de faire cette erreur linguistique. C’est même courant –en témoigne les multiples exemples de politiciens cafouillant en public– et le Pape François, 77 ans, originaire d’Argentine, n’y déroge donc pas. D’ailleurs, sur les réseaux sociaux, les internautes qui commentent l’événement s’en amusent et sont assez conciliants: «Et bien, si le Pape dit «f*ck » je suppose que c’est sacré :)», «F*ck l’infaillibilité papale» ou encore «J’adore ce pape qui dit f*ck!» peut-on lire sur Twitter.

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En effet, le Saint-Père est extrêmement populaire (85% d’opinions favorable en France, un score qu’aucun président ne peut se vanter d’avoir égalé), notamment grâce à sa simplicité et à son accessibilité. Élu personnalité de l’année par le Time Magazine, en décembre dernier, et seul représentant religieux à avoir figuré en une de Rolling Stone, cette petite coquille verbale ne risque dons pas d’entacher l’image de François. Bien au contraire d’après le magazine italien Excite, qui prédit que cette «peau de banane» pourrait renforcer son côté humain, le rendant ainsi encore plus proche de ses ouailles.

Un Pape qui possédait une Harley Davidson –récemment vendue aux enchères 241 500 euros pour la bonne cause– et dit «f*ck» (certes par mégarde): serait-ce là le signe annonciateur de la modernisation d’une chrétienté qu’on disait surannée?

The Voice: Amir a tous les atouts

Il a unanimement séduit le jury lors des auditions à l’aveugle avec sa reprise d’Elton John. Ce soir, Amir, 29 ans et poulain de Jenifer, quittera-t-il The Voice à l’issue de sa battle?

Né en France, Amir y a vécu jusqu’à ses 8 ans avant qu’ils suivent ses parents à Tel Aviv, en Israël. D’une sensibilité musicale exacerbée, il apprend le chant à l’école. Un élément déclencheur : à partir de là, Amir ne s’arrête plus de chanter. Lors des réunions familiales, en classe… Il est tellement passionné qu’il envisage secrètement d’en faire son métier. Néanmoins, Amir poursuit ses études jusqu’au bac et se lance dans de longues études pour devenir dentiste. Un revirement surprenant qui lui vaut aujourd’hui d’avoir de belles dents.

Mais l’appel de son talent vocal est plus fort et en 2006 Amir participe à un concours de chant télévisé en Israël. Il a 21 ans et c’est son premier contact avec le monde artistique professionnel.Le jeune homme, malheureusement éliminé de l’aventure en finale, est alors approché par un producteur qui lui propose de faire un album. Un opus sur lequel Amir fait une reprise en hébreu de la célèbre chanson «J’te le dis quand même», avec l’accord de son interprète initial, Patrick Bruel. Celui-ci, fasciné par la voix puissante mais touchante d’Amir, lui suggère alors de collaborer, l’invitant à faire plusieurs duos avec lui sur scène et des première parties. Un mentor décisif dans la vie du jeune homme à la voix d’or et au sourire ravageur. «Je l’admire beaucoup et c’était un honneur de coopérer avec lui», admet d’ailleurs ce dernier.

Toutefois, si l’idée d’une carrière de chanteur titille de plus en plus Amir, il va au bout de sa formation et obtient son diplôme de dentiste ; c’était il y a un an. Licence en poche, il décide alors de se consacrer pleinement à une passion qui ne l’a pas quittée depuis son enfance. Arrivé par hasard aux auditions à l’aveugle de The Voice, l’un des beaux gosses de cette saison, favori du public, compte bien prouver qu’il a choisi la bonne voie. En tout cas, Gala y croit.

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George Clooney: « Les femmes ont joué un rôle crucial dans ma vie »

Il sauve des chefs-d’oeuvre en péril dans Monuments Men, son nouveau film… et dernier rendez-vous avec le public avant une pause consacrée à sa vie privée.

Blouson de cuir, jean, baskets il arrive avec une petite dizaine de minutes de retard. Monuments Men, son nouveau film en tant que réalisateur, est comme lui: un mélange d’humour et de gravité, qui retrace les péripéties d’hommes chargés de récupérer des oeuvres d’art volées par les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu’il dézippe son blouson, on découvre mi-amusé mi-perplexe un tee-shirt à l’effigie de l’ex-Première ministre ukrainienne, Ioulia Timochenko. Notre célibataire est finalement un homme d’engagements.

Gala:Qu’est-ce qui vous a inspiré la réalisation de Monuments Men, film dans lequel vous jouez également?

George Clooney: Je ne connaissais pas cette histoire véritable, qui s’est déroulée pendant la Seconde Guerre mondiale. Je l’ai trouvée stupéfiante. Je pensais que nous avions tout lu et tout vu sur cette période. J’ai découvert avec une certaine émotion qu’en plus de leurs actes de barbarie perpétués sur le genre humain, les nazis avaient également cherché à voler et détruire des œuvres d’art.

Gala:Vous incarnez un chef de bande recrutant des passionnés d’art pour sauver de la destruction des trésors de la peinture et de la sculpture. Jean Dujardin en fait partie de ces Monuments Men. Pourquoi lui?

G.C.: J’ai appris que certains le surnommaient le «George Clooney français»! Je trouve ca particulièrement savoureux. Je l’avais déjà rencontré aux Etats-Unis alors qu’il faisait la promotion de The Artist. A l’époque, il ne parlait pas un mot d’anglais. J’ai beaucoup d’admiration pour lui, car il s’y est mis et, avouons-le, il a un charme et un pouvoir comique insolents. Durant le tournage, il n’a cessé de me faire rire avec ses improvisations. C’est un excellent comédien. Aujourd’hui, je le considère comme un ami proche.

Gala:Vous êtes réputé pour faire des farces sur les tournages. Avez-vous sévi sur celui-ci?

G.C.: Oui. Ma première victime fut Matt Damon. A Berlin, où nous avons tourné une partie du film, il m’a confié qu’il voulait perdre du poids. J’ai alors demandé à notre costumière de raccourcir la taille de ses pantalons de deux centimètres tous les trois-quatre jours. Ce pauvre Matt était vraiment contrarié: il ne mangeait que de la salade! Ma seconde victime fut mon père. Je l’ai recruté pour m’incarner vieux à la fin du film. Dans l’église, où il devait s’avancer, j’ai fait déposé une gerbe de fleurs avec ces mots: «A la mémoire de Nick Clooney». Il était sous le choc. Je lui ai précisé que j’avais eu cette idée, car je ne savais pas quand le film allait sortir et s’il serait encore parmi nous à ce moment-là. Il a trouvé ça très amusant.

Gala:Seriez-vous prêt à risquer votre vie pour un objet?

G.C.: Je pourrais courir dans un immeuble en feu pour un membre de ma famille, voire un chien, mais pas pour un objet. Même pas pour le drapeau américain qui appartenait à mon oncle George, et qui recouvrait son cercueil le jour de ses funérailles. Drapeau que je garde précieusement en souvenir. Ceci dit, j’irai récupérer ce drapeau, s’il se retrouvait entre les mains de néonazis qui voudraient le brûler.

Gala:Vous êtes un homme de goût. A quoi ressemble votre intérieur?

G.C.: Je n’ai ni peintures ni photographies de grande valeur. Ma maison est décorée de souvenirs de voyages et de photos de ma famille ou de mes amis les plus proches. Le tableau que je préfère chez moi représente une rue de Paris sous la pluie. Je ne l’échangerais pour rien au monde.

Gala:A cinquante-deux ans, votre vision de la gent féminine a-t-elle changé?

G.C.: Les femmes ont joué un rôle crucial dans ma vie. En vieillissant, je suis sans doute plus sensible à certaines qualités, mais j’évite de dresser des catégories. J’attends simplement d’une femme qu’elle m’apporte bonheur, paix et joie.

Gala:Dans une scène du film, votre personnage déclare ne pas être seulement une belle gueule. Il se dit également capable de réparer beaucoup de choses dans la vie. Et vous, George, êtes-vous un bon bricoleur?

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G.C.: Je ne me débrouille pas trop mal. J’aime surtout rafistoler les voitures et les motos. C’est bien la preuve que je ne suis pas qu’un mec séduisant! (Rires.) N’oubliez pas que je suis un gars du Kentucky, nous sommes des manuels là-bas!

Gala:Merci papa?

G.C.: Pas du tout. Mon père, ne sais pas se servir d’un marteau. Ma mère, en revanche, a refait toute seule la toiture de sa maison, à soixante ans. Elle m’avait demandé comme cadeau d’anniversaire une table de sciage très puissante… Je tiens ça d’elle .

Gala:Sexy, bankable… Vous estimez-vous comblé?

G.C.: Dans la vie, on ne peut malheureusement pas tout avoir. Si vous vous consacrez trop à votre métier, votre vie privée en pâtit. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de faire un break. Sur une année et demi, je n’ai passé que deux semaines chez moi à Los Angeles. Il est temps que je privilégie ma famille et mes amis. J’ai vraiment besoin de passer du temps avec eux.

Image macabre lors du procès Pistorius

Le procès d’Oscar Pistorius suit son cours à Pretoria. La journée a été marquée par une maladresse très mal vécue par la famille Steenkamp.

Les proches d’Oscar Pistorius étaient à nouveau réunis dans la salle de la Haute Cour de Pretoria, ce jeudi 13 mars. Lors de ce neuvième jour de procès, une photo du corps de la victime a été montrée par inadvertance. Une partie de la journée était en effet dédiée au visionnage des photos de la scène du crime.

Alors que toute l’assistance a le regard fixé sur l’écran, les experts font défiler les photos prises dans la demeure d’Oscar Pistorius le soir du meurtre. Serviette ensanglantée, douilles de pistolet et éclats de porte sont à l’étude. Les clichés immortalisent aussi les traces d’une vie quotidienne suspendue dans le temps. Les deux brosses à dents du couple sont posées l’une contre l’autre dans la salle de bain tandis qu’une trousse de produits de beauté est rangée sur un coin de la baignoire. Dans la chambre, des lunettes de soleil, une montre et un iPod sont éparpillés. Puis soudainement, sur les nombreux écrans de la salle d’audience, une photo du corps de Reeva Steenkamp apparaît. Seulement pour une fraction de seconde puisque les experts s’empressent de la faire disparaître. Mais le mal est fait. Les cris d’horreur s’élèvent du côté de la famille de la victime et Oscar Pistorius est simultanément pris de vomissements, comme il y a quelques jours. Plusieurs membres du clan Steenkamp quittent alors la salle et ne reviendront pas. L’écran d’Oscar Pistorius sera ensuite éteint pour le reste de la journée.

La séance s’était jusqu’ici déroulée sans accroc. Le colonel Johaness Vermeulen a été entendu dans la matinée. Déjà présent la veille, l’expert de la police scientifique sud-africaine a affirmé à nouveau que l’accusé ne portait probablement pas ses prothèses au moment où il a défoncé la porte à coups de batte de cricket. Une vision des faits qui contredit celle d’Oscar Pistorius. Blade Gunner assure être retourné dans sa chambre pour enfiler ses jambes artificielles, et ce serait à ce moment là qu’il aurait remarqué que Reeva n’était pas au lit. Il aurait alors compris qu’elle devait se tenir derrière la porte criblée de balles. Le policier n’y croit pas. Il va subir un long contre interrogatoire de la part de Barry Roux, l’avocat du coureur. Le ténor du barreau tente de faire dire à l’officier qu’il serait impossible pour Pistorius de briser la porte debout sur ses moignons sans perdre l’équilibre. Sans tomber dans le piège, le colonel répond simplement « s’il avait assez d’équilibre pour tirer, je suppose qu’il en avait assez pour frapper la porte ». Après sa déposition, l’expert a été remplacé par le colonel Van Resburg, dont le témoignage n’a pas apporté de nouveaux éléments. L’homme s’est contenté de décrire la scène du crime comme il l’a découverte quelques heures après le drame. Il poursuivra son récit demain pour la dernière journée d’audience de la semaine.

Les nouveaux playboys : un blond sinon rien!

Exit le brun ténébreux, place au sémillant blondinet. Une vague amorcée il y a trois ans.

Certains règnes hégémoniques tombent plus vite qu’on pourrait le penser. Terminée l’époque du mâle dominant brun et macho, type Benicio Del Toro ou Richard Gere période American Gigolo. En temps de crise, il semblerait que le joli blondinet ait fini par redevenir une valeur refuge. Aux oubliettes la prétendue fadeur.

Réminiscences de l’époque romaine, période à laquelle les cheveux blonds étaient adulés au point que les dieux en étaient auréolés? Impact des films Disney de notre enfance et de leurs princes charmants au poil clair (jusqu’au dernier en date, le pourtant rustique Kristoff, soupirant de la princesse Anna, dans La Reine des Neiges)? Intégration de la pensée un tantinet fascisante selon laquelle le blond serait symbole de pureté ? Non, en 2014, ce qui nous séduit, c’est le choc des contrastes. Ce qui nous plaît, chez le blond, c’est le trouble hitchcockien qu’il peut distiller quand il s’allie à la bad boy attitude. On se souvient que le réalisateur britannique voyait couler, dans les veines de ses héroïnes platines, «le feu sous la glace». Des décennies plus tard, nous les femmes réclamons aussi cette part de frisson. Telle que nous l’avons éprouvée il y a trois ans, devant Ryan Gosling. Quand ce dernier recouvrait sa nuque blond bébé d’un blouson orné d’un scorpion menaçant dans Drive, thriller de Nicolas Winding Refn.

Un spécimen précieux car rare : en France, il n’y avait plus que 10% de vrais blonds en 2002

Quelle ménagère de moins de cinquante ans, oserait, aujourd’hui, contester le troublant pouvoir de séduction de Laurent Delahousse, lequel illumine littéralement les JT du week- end de France 2? Plus une interview de célébrité sans que le journaliste ne soit d’ailleurs taquiné au sujet de sa coiffure. L’humoriste Nicolas Canteloup va jusqu’à le surnommer «Laurent Delamèche». Peu importe le coquet et notable éclaircissement de ses pointes selon la saison.

De quoi l’introniser au panthéon des sex-symbols, au côté de Robert Redford et Steve McQueen. De l’avis des coiffeurs, le blond est un coup de projecteur assuré pour le teint, avouons aussi cet argument en sa faveur: il a l’avantage de nous rappeler nos années Barbie, quand Ken vendait du rêve en version surfeur. Un rêve devenu rare, si l’on en croit les statistiques. Puisqu’en réalité, en France, il n’existait déjà plus que 10 % de vrais blonds en 2002. Tandis que les mousses à raser pour barbes dures enregistrent un boom proportionnel aux poils bruns laissés par notre moitié dans la baignoire.

Bref, le blond est rare, donc il est cher. Nous n’avons pas fini de nous pâmer devant le plus beau quinquagénaire de sa génération, Brad Pitt, fantasme de blondeur révélé dans Thelma et Louise, il y a vingt-trois ans. De caresser du regard Channing Tatum dans Magic Mike, ou de pronostiquer un oscar pour son aîné Matthew McConaughey, unanimement salué pour sa performance dans le filmDallas Buyers Club. Bien sûr, on ne saurait davantage bouder un M Pokora, qui réveille les abonné(e)s à son compte Twitter avec des photos de sa duveteuse jeunesse à demi-nu sous les draps (Quoi ? Vous n’avez pas encore rallié ses 1,6 millions de fans ?)

Quant au magnifique Simon Baker, impossible de contester sa suprématie : le Mentalist fédère quelques 6 millions de téléspectateurs sur TF1, à chacune de ses apparitions. Son charme de dandy australien habillé en costumes trois pièces fait merveille au point que Givenchy l’a pris pour égérie de son nouveau parfum, Gentlemen Only. Johnny Depp, lui-même, s’est récemment essayé à une spectaculaire décoloration. Tout comme l’Espagnol Javier Bardem, adepte d’un Régé Color cendré, comme pour mieux contrer le charme nordique de Daniel Craig, premier James Bond blond, dans Skyfall, en 2012. C’est dire si les barrières tombent…

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