Photos- Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos reçoivent (enfin) leur Palme

Près de neuf mois après avoir reçu la Palme d’Or pour La vie d’Adèle, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux étaient invitées mardi soir à venir récupérer leur trophée dans le bureau de Gilles Jacob. Le président du Festival a largement relayé l’événement sur Twitter.

Loin de la Croisette, des palmiers, des marches et sans tapis rouge, Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos ont reçu hier leur Palme d’Or dans l’ambiance plus feutrée du bureau de Gilles Jacob, le président du Festival. De manière exceptionnelle, lors de la cérémonie de clôture, Steven Spielberg et son jury ont remis la Palme au film La vie d’Adèle, mais aussi à ses deux actrices. Seulement, Uma Thurman n’avait qu’une seule Palme d’Or à remettre ce soir-là et c’est Abdelattif Kechiche qui est reparti avec.

C’est donc mardi que Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos ont pu tenir dans leurs mains le précieux trophée lors d’une remise privée, mais largement commentée et illustrée par Gilles Jacob lui-même sur sur compte Twitter. Le président, encore pour un an, avant que Pierre Lescure ne le remplace, du festival de Cannes a posté de nombreuses photos des deux récipiendaires. L’occasion d’apprendre au passage quelques informations intéressantes.

Isabelle Roberts et Raphaël Garrigos, du journal Libération, s’étonnaient, toujours sur Twitter, que les deux palmes n’aient pas encore été remises et que les organisateurs les aient gardées jusque là. «Il fallait les fabriquer et que les emplois du temps de tous s’accordent» leur a répondu Gilles Jacob. Il a ajouté qu’il existait deux palmes au moment de la cérémonie, celle qui est remise et une autre «de secours».

Gilles Jacob n’a pas manqué d’évoquer Abdellatif Kechiche, le réalisateur de La vie d’Adèle, avec une photo de lui, à table, accompagnée de la légende: «on ne peut pas oublier, dans cet hommage évocation, Abdellatif K. qui met les petits plats dans les grands». Pour rappel, le metteur en scène est fâché avec ses deux actrices,notamment Léa Seydoux, après leurs déclarations sur le tournage du film. Prochain rendez-vous pour l’équipe de La vie d’Adèle, lors de la cérémonie des César le 28 février prochain, où le film est nommé huit fois. Au grand complet?

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Photos- Léa Seydoux, fatale pour la Berlinale

Pour l’ouverture du 64e festival de Berlin, toute l’équipe du Grand Budapest hotel s’est donné rendez-vous sur le red-carpet de la Potsdamer Platz. Star parmi les stars, Léa Seydoux a fait sensation jeudi soir.

Un Grand Budapest Hotel, avec une actrice française, présenté à Berlin, c’est une belle histoire européenne. Le nouveau long-métrage de Wes Anderson, qui met notamment en scène Léa Seydoux, a fait l’ouverture de la Berlinale. Une fiction devenue une réalité glamour jeudi soir.

Le réalisateur américain a entraîné en Allemagne toute son équipe dont la délicieuse Léa Seydoux. En Prada, rôle d’égérie oblige, la belle aux yeux clairs qui est désormais rousse a insufflé un vent de fraîcheur sur le red carpet dans son fourreau rose néon, délicatement entouré d’une armature de fausses pierres précieuses noires. L’autre héroïne de La vie d’Adèle est arrivée au bras de son partenaire de tournage, Bill Murray. Le comédien fantasque s’est fait remarquer avant même de s’élancer sur le tapis rouge, un verre à cocktail à la main, dont il s’est empressé de terminer le contenu avant de poser devant les photographes.

Plus sage, Tilda Swinton, également à l’affiche du Grand Budapest Hotel, a choisi un simple costume noir et blanc de la maison Schiaparelli Couture. Edward Norton, Willem Dafoe, Ralph Fiennes sont également venus défendre l’œuvre de Wes Anderson jusqu’à Berlin.

Même si elle est apparue sans son boyfriend, Leonardo DiCaprio, la sculpturale Toni Garrn, top model allemand très en vogue, a malgré tout très bien assuré son rôle de plus belle représentante du pays de la Berlinale.

George Clooney pour le retour des marbres du Parthénon dans leur pays

Les marbres d’Elgin sont l’objet d’une vieille querelle entre la Grèce et l’Angleterre. Extraits du Parthénon par Lord Elgin au début du XIXe siècle et rapatriés à Londres pour y être exposés, ils sont depuis réclamés par les Grecs – sans succès. À l’occasion du festival du film de Berlin, George Clooney a pris position lors d’une interview : il faut rendre ses sculptures à la Grèce !

« Je pense que ce serait juste, que ce serait une bonne chose. Ce serait même la bonne chose à faire. » Quand un reporter grec demande à George Clooney ce qu’il pense d’un possible rapatriement des marbres d’Elgin sur le sol hellénique, l’acteur cesse de faire le clown. Sensibilisé au sujet par son prochain film The Monuments Men (qui relate l’histoire de soldats sauvant des œuvres d’art de la destruction pendant la Seconde Guerre mondiale), le beau George se prononce en faveur d’une certaine justice historique. Il préfère voir ces sculptures à leur place originelle plutôt qu’au British Museum.

L’acteur est habitué à prendre position : l’été dernier, il rappelait son engagement contre Omar el-Béchir, président de la République du Soudan. Une volonté qui a bien failli lui coûter la vie ; en voyage au Darfour, il avait été menacé par un enfant de 10 ans armé d’une Kalachnikov.

George Clooney a donc cette fois choisi un sujet moins dangereux, bien que très épineux. Toutefois, ses amis acteurs l’ont tous dit : George est capable de tout. Son charme légendaire suffira-t-il à appuyer la cause grecque ?

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Tony Carreira: star au Portugal, il arrive en France

Le chanteur aux 5 millions d’albums nous reçoit chez lui, à Lisbonne, et nous présente les siens.

Dans les rues de la capitale, on se presse autour de lui pour faire une photo, échanger quelques mots afin de le féliciter, l’inviter à boire un verre. Là-bas, Tony Carreira est une véritable célébrité, un chanteur qui remplit les salles en un clin d’œil et vend des disques par wagons. Pour l’heure, il n’est connu ici que de quelques connaisseurs de la culture populaire lusitanienne ou bien des membres de la communauté portugaise installés en France depuis plusieurs générations. Le quinquagénaire compte bien y remédier par la grâce d’un album de duos intitulé Nos fiançailles, France/Portugal* dans lequel il reprend des classiques de la chanson française en compagnie de Natasha St-Pier, Gérard Lenorman ou encore Michel Sardou. « Un juste retour des choses, s’amuse ce grand fan de Mike Brant. C’est la variété française qui m’a donné envie de chanter. »

De fait, le destin de Tony Carreira est à la fois hors du commun et partagé avec celui de centaines de milliers de migrants portugais. Au début des années soixante, ses parents s’installent en France pour fuir à la fois la misère et la dictature de Salazar. Agé de 10 ans, Tony les rejoint à Dourdan, en région parisienne. Très tôt, il chante dans des bals, tente le concours de l’Eurovision en 1988, mais enchaîne les fiascos. « Je suis parti de rien et le succès a mis très longtemps à venir. A l’époque, je travaillais en usine la journée tandis que ma femme Fernanda bossait la nuit, également en usine. On se relayait pour s’occuper du bébé. »

En 1993, ça démarre pour de bon, la sauce prend enfin au Portugal, au sein d’un d’un public majoritairement féminin. « J’ai alors commencé à tourner dans les pays à forte communauté portugaise, raconte-t-il. Puis nous sommes revenus vivre ici, il y a quatorze ans. » Et en une vingtaine d’années, ce père de trois enfants, tous nés en France, est devenu une très grande vedette de la chanson, l’égal d’une célébrité comme le footballeur Cristiano Ronaldo qui compte parmi ses amis, fondant par la même occasion une authentique dynastie du spectacle.

Son grand fils de vingt-sept ans, Mickael ? Il a déjà derrière lui une solide carrière de chanteur et s’envole pour tenter sa chance au Mexique, en langue espagnole. Quant à son autre fils, David, vingt-deux ans, il s’est fait déjà un nom au Portugal en apparaissant dans des séries télé pour ados, puis dans la chanson. Comme son père, ce dernier part à la conquête de la France avec un single qu’on peut entendre sur les radios, Obrigado la famille, prémices d’un album à sortir en mai, enregistré avec la complicité des rappeurs de Sexion d’Assaut, de l’américain Snoop Dogg, et de Pascal Obispo. La petite dernière âgée de quatorze ans, Sara, ne sait pas encore ce qu’elle va faire plus tard, mais elle a de la voix, c’est sûr… Le paternel, qualifié à l’unanimité de papa poule, ne cache pas sa fierté vis-à-vis de ses rejetons, même s’il avoue peu d’appétence pour le hip-hop. Leur mère, Fernanda, qui suit tout cela de très près en tant que productrice des albums et des tournées de son mari, ne peut s’empêcher parfois d’exprimer ses inquiétudes. « Ce sont des métiers difficiles, assure-t-elle. Il faut beaucoup travailler et l’on veut toujours le meilleur pour ses enfants. » Objectif atteint, en attendant la suite. X

* Tony Carreira, Nos fiançailles, France/Portugal. Disques Smart. En concert le 12 avril au Palais des Sports à Paris.

Encadré

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Un succès phénoménal

Avec plus de cinq millions d’albums vendus en vingt-cinq ans de carrière, Tony Carreira fait figure de phénomène dans un pays qui compte environ dix millions d’habitants. Avec un rythme de plus de cent concerts par an – il a déjà rempli à Paris le Zénith et l’Olympia –, il est l’un des rares artistes nationaux à faire systématiquement le plein dans les plus grandes salles du pays, devançant les stars internationales. En attendant la France ? S. C.

Steve Jobs, Snoopy et John Lennon bientôt timbrés

Les nouveaux visages qui orneront le coin droit des enveloppes aux États-Unis sont enfin connus. Parmi eux figurent en pole position le cofondateur d’Apple, le célèbre chien de dessin animé et l’ancien membre des Beatles.

Les philatélistes d’outre-Atlantique vont sauter de joie. En 2015 devrait sortir une nouvelle série de timbres à l’effigie de personnes dont la notoriété ou l’œuvre ont marqué le pays. Selon une liste secrète de la Poste américaine, que le Washington Post a tout de même réussi à se procurer vendredi dernier, les prochaines à avoir ce privilège seront Steve Jobs, génie de l’informatique et cofondateur de l’empire Apple décédé en 2011 mais aussi Harvey Milk, militant pour les droits homosexuels dans les années 70 qui avait déjà eu droit à son biopic en 2009 – valant ainsi 2 Oscars à l’acteur Sean Penn.

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Retenus également: des chanteurs emblématiques comme Janis Joplin, Jimi Hendrix, James Brown… ou John Lennon.La nomination de ce dernier pourrait toutefois faire jaser puisque, contrairement à toutes les autres personnalités citées, il est Britannique. Or, depuis longtemps, ce casting timbré est 100% Américain et l’entrée d’un expatrié dans ce panthéon postal risque donc d’agacer les puristes. Même si, en juin 2011, exception avait été faite afin de marquer l’amitié franco-américaine, et que la chanteuse française Edith Piaf avait illustré, avec le trompettiste US Miles Davis, une série spéciale.

Autre surprise: Snoopy fait partie de cette liste élitiste. Créé en 1951 par Charles Schulz, ce petit chien blanc aux longues oreilles noires, souvent représenté allongé sur le toit de sa niche rouge, a fait la fortune de son dessinateur, le classant aujourd’hui parmi les artistes disparus les plus rentables. Parmi tous les produits dérivés et compte-tenu de la renommée de Snoopy au pays de l’Oncle Sam, il semblait donc normal qu’un timbre à son image vienne compléter cette foisonnante collection.

Des icônes de la culture populaire en somme, mais aussi plusieurs hommes politiques comme Barack Obama, Bill Clinton et George W.Bush sont en lice pour voir leur faciès imprimé sur un timbre. Une consécration que devraient également connaître le roi de la pop, Michael Jackson, et Dora l’exploratrice, héroïne des tous petits. Des choix visant à cibler un public plus jeune et plus large. En effet, on est bien loin des présidents à la mine sévère et austère, imprimés en monochrome, qui recouvraient les colis voilà quelques décennies.

De même, la Poste américaine prévoit de rééditer son best-seller Elvis Presley, sorti en 1993 à l’occasion du 58e anniversaire de la naissance du «King».

A noter qu’en septembre dernier, c’est Nikos Aliagas, l’animateur d’origine grecque, qui avait, lui, eu l’honneur de figurer sur un timbre de son île natale.

Miranda Kerr et Orlando Bloom: leçon d’ex à la soirée Vanity Fair

Miranda Kerr et Orlando Bloom étaient tous les deux invités à la soirée Vanity Fair après la cérémonie des Oscars. Malgré leur fraîche séparation, ils prouvent que leur complicité est au beau fixe.

Vous allez à une soirée et votre ex aussi? Prenez donc exemple sur Miranda Kerr et Orlando Bloom. Invité à la soirée annuelle organisée par le magazine Vanity Fairaprès la cérémonie des Oscars, dimanche, le comédien y a croisé la maman de son fils Flynn, Miranda Kerr, sublime dans une robe de sirène argentée au décolleté plongeant.

Le top australien arborait son plus beau sourire, offrant ses jolies fossettes aux photographes. Miranda Kerr répondait aux questions d’une journaliste du Daily Mail concernant ses futurs projets quand elle a aperçu son ex-compagnon Orlando Bloom sur le tapis rouge. En vrai gentleman, l’acteur de 37 ans est venu lui dire bonjour: «Salut! Tu es ravissante», lui a-t-il déclaré en l’embrassant sur la joue, Tu vas bien ?». La belle ne s’est pas départie de son sourire pour lui répondre: «oui oui», tout en le regardant s’éloigner. Malgré leur séparation en octobre 2013 après six ans de vie commune, le couple affiche toujours une jolie complicité.

Après l’annonce de la fin de leur mariage, Orlando Bloom déclarait qu’ils allaient rester une famille et mettre tout en œuvre pour le bien-être de leur fils Flynn, âgé de 3 ans.La preuve lors de cette soirée!

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Pape François: en un an, il est devenu une superstar!

Elu «personnalité de l’année 2013», premier pape non européen depuis le VIIIe siècle, le pape François fait déjà l’unanimité.

«Habemus papam!» Rappelez-vous : le 13 mars 2013, à 20 h 12 précises, le monde découvre enfin son identité et son visage. Le cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio, 265e souverain pontife, monte sur le trône de Pierre sous le nom de François Ier. Ses premiers mots sont aussi simples que sa mise : « Frères et sœurs, bonsoir ». Une soutane blanche, une croix en métal… Il ne porte ni les attibuts en or des papes, ni la mozette rouge bordée d’hermine qui orne traditionnellement les épaules du Saint-Père quand il fait sa première apparition au balcon. Une nouvelle aire commence… Une petite révolution.

Dès le lendemain de son élection, il a en effet choisi de délaisser l’appartement pontifical, au troisième étage du palais apostolique – il craint de se sentir prisonnier de l’or et des lambris – pour demeurer à Sainte-Marthe, sobre bâtisse, auprès de ceux, prêtres et religieux obscurs, qui travaillent au Vatican. Bientôt des photos feront le tour du monde, celles de l’homme en blanc en prière sur un banc, au milieu des sans-grade, à l’issue de sa messe matinale. Il se raconte combien ses homélies sans fioritures, à l’emporte-pièce, lui valent de succès auprès d’un auditoire fasciné par ce pape hors normes qui transforme les discours solennels en causeries au coin du feu. François est ainsi, amical et chaleureux.

On raconte qu’au déjeuner, chaque jour, à Sainte-Marthe, il change souvent de place pour discuter avec tout le monde. A tous, il diffuse la même chaleur car François veut réellement voir les gens, leur sourire, leur prendre la main. Aperçoit-il un malade sur une civière, qu’il fait stopper la voiture, descend et s’en va prendre le souffreteux entre ses bras. D’emblée, tout le monde l’aime, ce pape François. Il lui aura suffi de sourire, d’esquisser quelques gestes pour emporter une adhésion spontanée, massive, qui rappelle les premiers pas de Jean XXIII, le « bon pape Jean ». François a le don d’éveiller la sympathie, même chez ceux qui, d’habitude, se montrent critiques envers la papauté. Sans doute maîtrise-t-il parfaitement son image et connaît-il sur le bout des doigts le jeu médiatique.

> Lire aussi: De Michelle Obama au pape François, le selfie est roi

Mais avec lui, point de marketing politique : le pape François est éblouissant de sincérité. Il parle avec des mots de tous les jours. Lors de la nomination d’une fournée de nouveaux cardinaux, ces derniers en ont pris pour leur grade: « Ne vous repliez pas sur les mondanités et le pouvoir ! Soyez simples et humbles ! Ainsi serez-vous de vrais « princes de l’Eglise »… Un style unique. Un humour ravageur. Quelle rupture avec son prédécesseur, Benoît XVI, d’une austérité exemplaire! « L’Eglise, assène-t-il avec facétie, « n’est pas une baby-sitter mais une mère… Les religieuses ne doivent pas se comporter comme de vieilles filles »… Au milieu de la foule, il échange sa calotte blanche avec tous ceux qui lui en présentent une identique.

Cette spontanéité ne date pourtant pas de son élection : Jorge Bergoglio a toujours été ainsi. A Buenos Aires comme à Rome, sa parole est la même : il continue de pourchasser l’autosuffisance de l’Eglise qui la coupe du monde. Oui, c’est le carriérisme qui fait le lit d’une Eglise dévitalisée. Oui, la réforme de la curie sera à l’ordre du jour, ainsi que l’assainissement des finances du Vatican… N’en déplaise aux profiteurs ! Oui, c’est le « christianisme de salon », le «christianisme de la tasse de thé» qui provoque l’endormissement des prêtres et des fidèles. Elu « personnalité de l’année » par le magazine américain Time, il s’est révélé, en à peine douze mois un tel homme d’action qu’au Vatican, beaucoup s’accordent à dire qu’il semble avoir rajeuni de quinze ans! Aura-t-il la chance de vivre, à soixante-dix-sept ans, un long pontificat afin de mener à bien les réformes qui s’imposent? Là est toute la question.

Pierre Lunel est l’auteur de Je m’appellerai François, paru le 13 mars aux éditions First

> En vidéo: Le Pape François dit «f*ck» dans un discours

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The Voice, attention au départ !

Ils n’étaient que quelques uns des talents de The Voice encore en lice pour présenter, hier soir – en renfort du fier Nikos et de la belle Karine Ferri –, l'”épreuve ultime” qui clôt les sélections, avant le début des primes en direct, le 5 avril prochain.

Nikos est en bras de chemise. Karine Ferri resplendissante, perchée sur des talons aiguilles. Tous les deux, sourire banane et fierté non dissimulée, s’en sont donné à coeur joie pour présenter à quelques happy few les premières images de l’épreuve ultime – nouvelle étape dans la sélection des talents qui participeront à partir du 5 avril prochain aux shows en direct sur TF1. Sur la Barge Liberty – une péniche au pied de la Statue de la Liberté du Port Javel, à Paris, hier soir, The Voice larguait les amarres, direction : le succès !

Cette fameuse épreuve ultime, donc, verra se confronter trois talents de chaque team. Chacun chantera, à son tour, une chanson de son choix. Et le coach décidera des deux apprentis chanteurs qui méritent le plus leur place dans l’aventure des primes. Ainsi les équipes de 9 actuellement seront réduites à 6 talents. Ce samedi 22 mars, le public découvrira le choix des coachs Jenifer et Garou. La semaine prochaine, ceux de Mika et Florent Pagny. Les premières images des prestations de Manon, La Petite Shade et Eliott (de l’équipe de Jen, donc), dévoilées hier, promettent un joyeux suspens et une qualité émotionnelle rare…

Après ce teasing alléchant, les quelques talents présents y sont allés de leur petite participation. Igit, Westley, Maximilien, Manon, Elodie, Charly, Lioan et Marina d’Amico ont repris les titres qui les ont fait connaître et reconnaître lors des auditions à l’aveugle. Manon, elle, avait choisi de reprendre un titre phare de MC Solaar, Caroline, à sa sauce écorchée vive. Impressionnant ! Entraînés par l’enthousiasme des invités, Nikos et Karine ont proposé un bœuf pour clore ce showcase événement et ont repris, avec les talents, Toute la musique que j’aime de Johnny Hallyday – vibrant hommage au Taulier dont l’animateur est un grand fan. Igit – sensationnel avec son tee-Shirt à l’effigie de son comparse Maximilien (une private joke ou un pari, sans doute) a offert une impro époustouflante.

L’impatience de les (re)voir tous sur le plateau des primes en direct nous taraude ! On croise les doigts.

Sortie DVD “Je me suis fait tout petit” : un extrait de making-of [VIDEO]

Pour la sortie DVD de la comédie romantique “Je me suis fait tout petit”, premier long métrage de Cécilia Rouaud, découvrez une vidéo sur les coulisses du tournage.

Emmenée par Vanessa Paradis et Denis Ménochet, cette comédie romantique pétillante signée Cecilia Rouaud sera disponible le 4 décembre en DVD. A l’occasion de cette sortie événement, visionnez cet extrait de making-of qui vous en dira plus sur la complicité qui liait Denis Ménochet au jeune comédien David Carvalho-Jorge sur le tournage du film.

 

Tout sur le film…

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Bonus DVD et spécificités techniques

– Making-of.
– Galerie photos.

– Bande-annonce.
– Format 2.35, écran 16/9ème compatible 4/3, couleur.

Amour, crocodiles et Johnny Depp : rencontre avec l’auteur de “Tabou” Miguel Gomes [VIDEO]

Le réalisateur Miguel Gomes évoque au micro d’AlloCiné son envoûtant “Tabou”, en salles le 5 décembre. Au cours de cette interview, il est question de cinéma muet, de crocodiles, de cours de batterie… et de Johnny Depp !

A l’heure où les Top Ten commencent à fleurir dans la presse cinéma, un titre est souvent cité : Tabou de Miguel Gomes. Loin des standards (un film portugais en noir et blanc, en partie muet, coupé en deux, et follement romanesque), cette oeuvre envoûtante a déjà séduit les jurys de nombreux festivals (Berlin, Las Palmas, Paris Cinéma, etc.). Vous avez dès ce mercredi la possibilité de juger sur pièces puisque “Tabou” sort en salles ce 5 décembre. Dans l’interview qu’il a accordée à AlloCiné, le réalisateur revient sur la structure de son film, le choix du muet, le travail avec les comédiens… et nous parle aussi de son admiration pour Johnny Depp.

JD

Tabou

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