Rumeur François Hollande: Julie Gayet porte plainte

Depuis quelques jours, internet se fait l’écho d’une rumeur mettant en cause Julie Gayet et François Hollande. L’AFP nous apprend aujourd’hui que l’actrice vient de porter plainte pour tenter d’en identifier les auteurs.

Débat toujours délicat pour les personnalités victimes de rumeurs. Se taire et attendre que cela passe ou bien la démentir au risque de lui donner davantage d’ampleur encore. C’est la seconde stratégie qu’a décidé d’adopter Julie Gayet, victime depuis quelques jours d’une rumeur qui lui prête une liaison avec François Hollande.

Selon une dépêche AFP, le parquet de Paris a reçu jeudi une plainte pour «atteinte à l’intimité de la vie privée». Le défenseur de Julie Gayet, Me Toledano a transmis une déclaration dans laquelle il explique: «La comédienne Julie Gayet, dont je suis l’avocat, a chargé mon cabinet de poursuivre sur le plan judiciaire la diffusion de la rumeur colportée sur internet qui lui prête sans aucun fondement une relation sentimentale avec le président de la République». Il ajoute que sa cliente «entend que soit respectée sa vie privée et familiale, rien ne justifiant sa mise en cause» et précise que la plainte est contre X, mais vise plus particulièrement, selon une source judiciaire citée par Le Parisien, un blog qui aurait diffusé la rumeur.

Lors de la campagne présidentielle de 2012, Julie Gayet s’était impliquée comme de nombreux artistes dans un clip de campagne afin de soutenir le candidat Hollande, le qualifiant d’homme «humble», «formidable» et «vraiment à l’écoute».

Les nombreuses personnes qui n’avaient pas eu vent de la rumeur sont désormais au courant.

Une stratégie qu’on imagine mûrement réfléchie par Julie Gayet et Me Toledano. Mais qui étonne car cette déclaration de l’avocat à l’AFP tombe le jour de l’intervention du chef de l’Etat sur France 2. Un rendez-vous attendu qui risque d’être parasité par cette plainte.

Yann Barthès: une nouvelle formule du Petit Journal à la rentrée

Depuis la rentrée 2007, Yann Barthès anime Le Petit Journal sur Canal +. Succès de la chaîne cryptée, l’émission subit aussi son lot de critiques. Dans une interview accordée à Paris Match, le poil à gratter du PAF a mis les choses au point.

Véritable pro de la communication, Yann Barthès maîtrise dans les moindres détails la gestion de son image. Non content de déserter les soirées mondaines, le journaliste accorde aussi ses interviews (4 depuis 2004) au compte-goutte. Dans Paris-Match, il a expliqué pourquoi il agissait comme tel. «Par manque de temps, et je ne sais pas si j’ai grand-chose à dire, remarque-t-il. Je suis le premier à ironiser sur ceux qui répètent les mêmes choses, alors si je parlais à tout le monde, on pourrait me renvoyer la balle.» Paris Match précise les coulisses de cette interview (qui s’est faite en présence d’une attachée de presse et avec relecture) et demande d’autres explications. «Je trouve que la presse écrite “monte” beaucoup plus que la télé, se défend-il. En télé, on nous reproche de faire du montage, or c’est pire en presse écrite. On prête aux interviewés des propos qu’ils n’ont jamais tenus. J’aimerais un jour filmer une interview de presse écrite et monter en vidéo le rendu écrit dans le journal.»

Entre journaliste et animateur, la frontière est parfois tenue mais Yann Barthès a un avis bien tranché sur la question. «Si nos téléspectateurs apprennent au moins une chose pendant l’émission, c’est que nous faisons un travail d’information, se justifie-t-il. Le petit journal est un mélange de sketchs et de sujets sérieux. Le public sait faire la différence. La meilleure audience des derniers mois, c’est un sujet de vingt minutes sur la crise en Grèce. Ça n’était pas drôle. Sur cette émission, je défie quiconque de nous dire que nous ne sommes pas journalistes.» À l’instar de Jean-Jacques Bourdin, le protégé de Michel Denisot se fait un devoir de ne pas voir les hommes politiques en dehors de son émission. « Je n’ai jamais déjeuné ou dîné avec des politiques, souligne-t-il. Certains nous téléphonent. L’un deux – je ne vous dirai pas qui – m’a félicité pour un sujet qu’on avait fait sur son concurrent, qui est du même parti. Sans complexe ! »

Valeur sûre de la chaîne cryptée, le Petit Journal connaît néanmoins des baisses d’audiences ces derniers mois. Pas de quoi inquiéter le présentateur et co-producteur de l’émission.”C’est à cause de la redistribution du public, de l’explosion de la TNT et, donc, de la concurrence, détaille-t-il. Et les gens ont sans doute besoin de respirer depuis la campagne électorale. Ça nous oblige à évoluer. A la rentrée prochaine, il y aura une nouvelle formule.”

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Government Has Closed 50 Lakh Zero-Balance Jan Dhan Accounts So Far. Here’s Why

The government told Parliament on Friday that 49.50 lakh Jan Dhan accounts have been closed till December 20, 2017. At least 50% of the accounts being in Uttar Pradesh, Madhya Pradesh, Gujarat, Tamil Nadu and Rajasthan.

There are 31 crore Jan Dhan accounts across India, of which only 24.64 crore accounts are operational in which customers have made transactions in the last 24 months, the finance ministry said. The government plans to provide one zero balance Jan Dhan account to every household.

reuters/representational image

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Vidéo- Pour Michael Douglas, Cannes reste lié à son père

Mardi, Michael Douglas était à Cannes pour présenter Ma vie avec Liberace, le dernier film de Steven Soderbergh. Gala l’a rencontré pour un entretien au cours duquel l’acteur est revenu sur ses souvenirs cannois.

C’était l’un des événements de cette quinzaine, le grand retour de Michael Douglas au festival de Cannes. Un moment très attendu car l’acteur se remet d’un cancer de la gorge et que beaucoup ne pensait pas qu’il s’en remettrait. Michael Douglas va mieux comme tout le monde a pu le constater mardi sur la Croisette.

Accompagné de Matt Damon, de Steven Soderbergh et de toute l’équipe du film, il a donc monté les marches du palais des festivals pour Ma vie avec Liberace, un biopic un peu kitsch. Auparavant, il a pris le temps de rencontrer les journalistes. Gala l’a rencontré. Michael Douglas s’est confié sur ce que représentait Cannes pour lui. Pour lui, l’événement est davantage associé à des souvenirs d’enfance, lorsqu’il accompagnait son père, Kirk Douglas, véritable star hollywoodienne.

Michael Douglas a également donné ses impressions de potentiel lauréat du prix d’interprétation. Beaucoup le voit figurer au palmarès dimanche soir, mais lui ne s’en formalise pas. Il prend les choses avec recul et philosophie.

Etienne Daho jalouse les Daft Punk

En attendant le mois d’octobre et la sortie de son nouvel album, Etienne Daho sort un nouveau single, Les chansons de l’innocence. L’occasion pour lui de s’exprimer à nouveau à la première personne, lui qui ces dernières années s’était mis au service des autres. S’il l’avait pu, le chanteur aurait préféré rester dans l’ombre, anonyme, à l’instar des Daft Punk.

Depuis le début de sa carrière, au début des années 80, Etienne Daho a toujours essayé de rester discret. Difficile lorsqu’on est l’un des chanteurs phare de la scène française. Pendant quelque temps, le Breton s’est mis un peu en retrait, préférant travailler pour d’autres artistes comme Lou Doillon, dont il a réalisé l’album très remarqué, ou Jeanne Moreau, avec laquelle il a conçu Le condamné à mort, album et spectacle autour du poème de Jean Genet. Mais aujourd’hui, Etienne Daho amorce son grand retour et prépare la sortie d’un nouvel album studio, le premier depuis L’invitation en 2007.

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Le disque ne sortira qu’en octobre, mais pour faire patienter les fans, un premier single tourne actuellement en radio, Les chansons de l’innocence. Un comme back en douceur comme il l’explique aujourd’hui dans les colonnes du Parisien. « Aujourd’hui, je suis dans quelque chose qui me plaît, moins flamboyant qu’avant » confie-t-il. Seulement voilà, promotion rime souvent avec exposition et si Etienne Daho le pouvait il s’en passerait. Il choisira en tout cas ses apparitions télé et n’ira pas partout. “Je n’ai pas envie d’aller dans des émissions comme Ruquier« , affirme-t-il. Pas parce qu’il a peur de la critique des chroniqueurs d’On n’est pas couché, mais pour une raison qui lui est beaucoup plus personnelle: »J’ai peur de moi dans ces cas-là ». Il y aurait bien une solution pour lui éviter ce genre de départ mais d’autres y ont pensé avant lui. Etienne Daho explique avec humour: “Dès le départ, j’aurais dû mettre un casque comme les Daft Punk pour ne pas me montrer. Quelle bonne idée! Maintenant c’est trop tard!“.

Là où l’artiste s’exprime le mieux c’est dans ses chansons. Il y parle même de choses très personnelles, comme son père qu’il n’a pas connu, même si cela n’a pas toujours été facile. « Quand on parle de soi, on parle de sa famille. J’ai été élevé dans la pudeur de ne pas montrer ses sentiments, de faire toujours bonne figure. Quand j’ai commencé à faire écouter cette chanson, certains ne comprenaient pas de qui je parlais. J’ai dû expliquer. Et ça m’a foutu dans la merde ».
Son prochain album parlera de la destinée. Lui qui est né à Oran en 1956 et a connu la guerre d’Algérie avant de s’envoler pour la Bretagne, en a une toute particulière. « Est-ce qu’on l’écrit ? Est-ce qu’il est écrit ? Je me suis retourné sur le mien, qui a très mal commencé (…) Mais être un enfant de la guerre, avoir vu la mort de près, fait que j’ai un instinct de vie très fort ». De là à dire qu’Etienne Daho est un survivant Pas tout à fait, mais il reconnait avoir parfois tenté le diable. “Je me suis débarrassé de mes addictions: l’alcool entre autres. J’ai arrêter de fumer trois paquets par jour il y a dix ans. Je ne sais pas faire les choses à moitié” explique-t-il. C’est tout ce qu’on souhaite en attendant de découvrir son nouvel album.

Brigitte Bardot, le tweet de la colère

Préférant vivre à l’abri des médias depuis longtemps, Brigitte Bardot vient de faire exceptions à sa règle. Sur Twitter, la comédienne prend les devant de sa communication en s’adressant directement au journaux à qui elle en veux.

Attention, Brigitte Bardot veille au grain. Les médias peu scrupuleux qui distillent des informations fausses au sujet de BB doivent désormais prendre garde à eux. Lasse de laisser passer trop mensonges sans rien dire, Brigitte Bardot a décidé de s’inscrire sur Twitter, afin de rétablir quelques vérités.

Première et seule victime (pour le moment) de la Tropézienne d’adoption: le site du Figaro. La branche immobilière du journal a publié samedi un article annonçant la mise en vente de «l’appartement de Brigitte Bardot et Gunter Sachs». BB a bien été l’épouse de l’héritier allemand, cet appartement parisien est bien en vente mais la star n’y a «jamais mis les pieds».

Si la meilleure amie des animaux en détresse a fait la promesse de vivre loin de l’agitation médiatique elle en a désormais «marre que l’on usurpe (mon) son identité pour vendre n’importe quoi». Un coup de sang en 140 signes qui est entré dans les annales du site de micro blogging. Le compte Twitter de Brigitte Bardot n’a pas encore été approuvé mais tout tente à croire qu’il s’agisse bien d’elle derrière ce profil. Une vue du coucher de soleil de la baie des Canoubiers, non loin de sa propriété historique, La Madrague où elle s’est même domicilié sur Twitter.

Pas encore tout a fait rodée à l’exercice du tweet-clash, Brigitte Bardot offre tout de même au Figaro une belle publicité en copiant directement le lien de l’article dans son message.

Mais pour @GALAfr c’est en ami que nous accueillons @B_BARDOT_PERSO

Jean-Marie Le Pen: son grave dérapage sur Patrick Bruel

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Habitué aux sorties racistes et dérangeantes, Jean-Marie Le Pen a une nouvelle fois dérapé dans une vidéo publiée sur le site du Front National, vendredi. L’homme politique s’en prend à de nombreux artistes dont Yannick Noah et Patrick Bruel.

Le score du Front National lors des récentes élections européennes avait provoqué un véritable tollé en France et à travers le monde. Choqués, de nombreux artistes comme Madonna, Yannick Noah ou encore Benjamin Biolay ont dénoncé la gravité de la victoire du parti d’extrême droite. Une levée de boucliers qui n’a pas plu à Jean-Marie Le Pen. Dans son traditionnel «Journal de bord», le père de Marine Le Pen a décidé de régler ses comptes avec les détracteurs de son parti. Parmi les cibles du député européen, Guy Bedos et Madonna, qualifiés de «vieux Bedoche» et «vieille Maldonna». «Pour avoir de belles roses, vous savez qu’il est nécessaire de mettre du purin au pied. On va les pacser et ils feront un couple de pauvres cons» a d’abord lancé l’homme politique de 85 ans selon des propos rapportés par Le Point. Avant d’ajouter. «M. Noah s’était engagé à ne plus chanter en France si le Front National arrivait en tête de l’élection. Cochon qui s’en dédit!».

Ce dernier a aussi profité de l’occasion pour s’en prendre à Patrick Bruel. Après la victoire de l’extrême droite, le chanteur avait expliqué qu’il ne souhaitait plus se produire dans les villes FN. «Même si je peux comprendre que des électeurs désespérés répondent à un discours populiste, je ne veux pas me produire devant une institution dont je méprise l’idéologie» avait justifié l’interprète de Place des Grands Hommes. «Écoutez, on fera une fournée la prochaine fois» a simplement réagi Jean-Marie Le Pen. Des propos graves qui ont rapidement provoqué la polémique. Principal visé par ces attaques, Patrick Bruel s’est exprimé ce dimanche sur son compte Twitter. «J.M.Le Pen récidive. Avait-il besoin de nous rappeler son vrai visage et celui du FN #xenophobie #raciste #antisémite #nausée» a déclaré l’artiste. Même son de cloche du côté de Najat Vallaud-Belkacem. «Le Pen président du déshonneur du FN : l’exclusion et la condamnation sont les seules réponses républicaines à de tels propos» a déploré la ministre des Sports.

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Même dans son propre parti, la déclaration de Jean-Marie Le Pen a provoqué un sentiment de gêne. «S’il a bien utilisé le terme de ‘fournée’, c’est une mauvaise phrase de plus. C’est stupide politiquement et consternant» a expliqué au ParisienLouis Aliot, le compagnon de Marine Le Pen et vice-président du FN. Face à ses réactions, le FN a décidé de supprimer la vidéo de son site internet.

Inside the Bulgarian brawl for UN chief

Irina Bokova and Kristalina Georgieva | GEORGES GOBET/AFP/Getty Images

Inside the Bulgarian brawl for UN chief

A behind-the-scenes primary emerges in Sofia, Brussels, Washington and Moscow.

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NEW YORK — In a wide-open competition for the top job at the United Nations, two women have propelled themselves to the top of nearly every handicapper’s shortlist.

The problem is both these women come from the same country, Bulgaria, where the government now finds itself in a possible no-win situation: By snubbing one, they could lose their best chance ever to put a compatriot in such a prominent international role.

Neither UNESCO Director-General Irina Bokova nor Kristalina Georgieva, a European Commission vice president, would talk publicly about their UN ambitions. But as the campaign to succeed UN Secretary-General Ban Ki-moon approaches in early 2016, a behind-the-scenes primary — full of jostling, polling, diplomatic posturing and whispering campaigns — has emerged in Sofia, Brussels, Washington and Moscow.

Under a new U.N.-mandated nomination process, the government of Bulgarian Prime Minister Boyko Borissov must put forward its candidate for the secretary-general slot early next year.

“Borissov is in a difficult position at the moment,” said Kancho Stoychev, a Bulgarian pollster and Bokova supporter.  “Kristalina Georgieva is from his party and on the other side he has a very capable lady.”

Whomever the government’s chooses could fall prey to international politicking. In this version of a diplomatic Catch-22, if Bulgaria puts forward Georgieva and Moscow thinks Washington swayed the choice, Russia could shift its support to another candidate. Ditto for Washington, if Bukova gets the nod over Georgieva in a way that’s seen to please Moscow. 

‘A certain level of hype’

A Bulgarian polling firm tested the two women’s appeal within the country earlier this year, with Georgieva coming out on top. Her supporters note that she’s well-liked by Victoria Nuland, the assistant U.S. Secretary of State for European and Eurasian Affairs, and former World Bank head Robert Zoellick.

Because of her ties to the current government, sources say that Georgieva, who previously served as the EU commissioner for humanitarian aid, is more likely to get the nod. But that isn’t stopping Bokova, who has started an aggressive informal PR push to promote her candidacy.

Former U.S. ambassador to the United Nations Bill Richardson and former Polish President Aleksander Kwaśniewski both lent their backing to Bokova earlier this month at a UNESCO event in Sofia. But last week, the German daily Die Welt reported Bokova had said in her official biography that she was the Bulgarian foreign minister in the late-1990s, when in fact she was the acting foreign minister for only a few months. She told the paper this was a mistake and corrected her website after the publication’s reporter first inquired about the subject.

The United Nations effectively fired the starting gun on the race two weeks ago, sending out a letter to all national governments that calls for them to nominate candidates. Plenty of non-Bulgarian candidates — including names like former Australian prime minister Kevin Rudd, former New Zealand prime minister Helen Clarke and Croatian Foreign Minister Vesna Pusić — are expected to make strong runs for the top U.N. slot, which comes open January 1, 2017, when Ban Ki-moon ends his decade-long tenure.

But the Security Council will ultimately offer up just one name for the 193-member General Assembly to either approve or deny, meaning veto-holding members — and the United States and Russia in particular — hold an outsized amount of power over the choice.

“The big question is where Moscow and Washington stand on the two candidates,” said Richard Gowan, a fellow at the European Council on Foreign Relations.

And due to growing demands for a woman UN secretary-general — and a Russian push to put an Eastern European in the top slot — a country with just 7 million people and the lowest per-capita GDP in the European Union seems unusually well-positioned.

“The very fact that we are seriously considering a Bulgarian is creating a certain level of hype,” said one Bulgarian supporter of Georgieva. “Both of them are very able people.”

The Russia question

Moscow has been the driving force behind the push for an East European secretary-general; having someone from the region who understands the Russian viewpoint, the thinking goes, would allow the country to flex its muscles at a venue often dominated by Western voices and points of view.

Russia pushed for the recent nomination process letter to include language calling for “geographic rotation” — which amounts to code, U.N. watchers tell POLITICO, for Eastern Europe. Other members of the Security Council objected but agreed to the compromise phrase of regional diversity, according to a source in a U.N. Security Council delegation.

Both Bokova and Georgieva speak Russian and have longstanding ties to Russia. Georgieva worked for the World Bank for almost 20 years, including a stint as the head of their Russian office. Bokova is the daughter of a noted Bulgarian communist who ran the largest Bulgarian Party newspaper — Rabotnichesko Delo — and she was educated at one of Moscow’s elite universities.

“A lot of people rather nastily imply that because Bokova comes from a well-known communist family, she must be Moscow’s candidate. I think that this is rather cheap tittle-tattle, but Bokova will face more questions about the family issue,” says Gowan, of the European Council on Foreign Relations. By contrast, “nobody is quite sure whether Georgieva’s history with Russia … works for or against her.”

One Bulgarian source said that Georgieva’s reputation as a non-ideological technocrat has made her amenable to the Russians, who have signaled that they would not veto her.

Followers of the race say it’s hard to gauge how strongly the Russians support Bokova, but that her connections to the country make her their preferred candidate. Bokova and Russian President Vladimir Putin met in St. Petersburg in early-December and had kind words for each other. A spokesman for the Russian Embassy at the United Nations declined to comment, and the only official word is the country wants an Eastern European.

Sofia’s choice

In a speech at the U.N. General Assembly in September, Bulgarian President Rosen Plevneliev said that the “time has come that a woman from Eastern Europe be entrusted with the highest position in the U.N. Secretariat.”

But faced with two prominent choices who check those boxes, the government has been cagey about whom it would nominate.

Bokova has been mentioned for several years as a potential candidate. Seen as deeply partisan in Sofia, the 63-year-old former acting minister of foreign affairs in 2013 pushed the then-Socialist government to nominate her as the country’s candidate, and sources say that the government effectively backed her in the days before it was toppled following massive public protests.

But the government never submitted a formal letter to the United Nations General Assembly endorsing her.

Even though Georgieva, 62, has never actually held a position in Bulgarian government, she is from the same GERB political party as Borrisov and many observers feel that she has the inside track.

The matchup is drawing enough interest domestically that a Bulgarian market strategy firm, Alpha Research, conducted a poll in mid-November about the two women. Georgieva was seen as the more competent of the two, with a 62 percent approval rating among respondents as opposed to just 44 percent for Bokova. The results also showed that 25 percent of the participants approved of either candidate, “because of the prestige the position would extend to Bulgaria.”

A wide-open race

Jean Krasno, a U.N. historian who also leads a group called WomanSG, which has been vocally advocating for a woman to lead the United Nations, says that both Bokova and Georgieva are both on her group’s list of “extraordinary women.”

But the staid traditions of the United Nations dictate that no one be seen as thirsting for the post.

Bokova didn’t respond to POLITICO’s request for comment; her office cited a busy schedule. Georgieva told POLITICO in November: “I’m very honored for my name to be mentioned but I have a job that takes my full attention and I’m doing it. My philosophy in life has always been to do the job I have.”

But in the last month, both Bulgarians have been in New York and Washington for meetings with high ranking U.N. officials, ambassadors and U.S. officials. In recent weeks, Georgieva has met with the Chinese, British and French ambassadors to the United Nations, according to another source inside a United Nations delegation. Similarly, Bokova met with the French ambassador and the United Kingdom’s deputy ambassador.

To be sure, there’s nothing out of the ordinary about either woman meeting with high-level officials, given their current job portfolios. But the chatter level about both is high.

When it comes to the United States, there is one potential hiccup: Bokova presided over UNESCO at a moment when it allowed the Palestinian Authority to become a member, prompting outrage in the U.S. Congress, which forced the administration of U.S. President Barack Obama to drop its funding for the organization. (Though that may change soon.)

Still, a conference hosted by Bokova this month in Sofia on countering violent extremism, which was organized by UNESCO and the Atlantic Club of Bulgaria, turned into a love-fest for her candidacy. Richardson, the former U.S. ambassador to the U.N., and Kwaśniewski, a longtime Bokova ally, both addressed the forum and voiced their support for her.

While noting that he does not speak with the U.S. administration, Richardson – unprompted — mentioned Bokova’s potential as a possible secretary-general in an on-air chat.

“Now this is my individual view, and I’m not speaking for the U.S. government, but [Bokova] has a lot of support,” Richardson said.

Gowan said that because of Georgieva’s experience running bureaucracies at the European Commission and World Bank, “a lot of U.N. staffers are now quite excited about her candidacy.”

Krasno noted that the changed process — and the fact that countries are being asked to nominate candidates for the first time — makes this race particularly unpredictable.

“We’re really dealing in unchartered territory,” she said.

Benjamin Oreskes is a reporter with the POLITICO Pro Europe Brief in Washington. [email protected], @boreskes 

This article was updated to correct the former title of Australia’s Kevin Rudd.

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Authors:
Benjamin Oreskes 

EU watchdog warns Commission on tobacco lobbying

European Ombudsman Emily O’Reilly | Stephanie Lecocq/EPA

EU watchdog warns Commission on tobacco lobbying

Ombudsman says ‘public health’ concerns demand higher transparency standard.

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The EU’s public watchdog strongly criticized the European Commission Monday for not allowing more public scrutiny of its interactions with tobacco lobbyists.

European Ombudsman Emily O’Reilly has been pushing the Commission to disclose the minutes of meetings its officials have with tobacco industry representatives, but the EU’s executive body has said its transparency regulations are already sufficient.

“This is a missed opportunity by the Juncker Commission to show global leadership in the vital area of tobacco lobbying,” O’Reilly said in a statement.

The ombudsman, who investigates complaints about the functioning of the EU institutions but has no formal power to take action against them, is currently looking into whether the Commission respects its transparency obligations under the World Health Organization’s Framework Convention on Tobacco Control, which the EU adopted last year.

According to the ombudsman, the rules of the convention require signatories to limit meetings with the tobacco industry and to ensure transparency when those meetings occur. The investigation was launched after a complaint from Corporate Europe Observatory, a lobbying transparency NGO.

The ombudsman said the Commission’s health and food safety department was disclosing its interactions with the tobacco industry but that other departments were falling short.

The Commission, in an official reply to the ombudsman, said that the “differences in practice” in how various departments disclosed the interactions “are fully justified,” adding that it is not unusual for its services to have different rules for meeting the industry.

O’Reilly said that the same rules should apply to “all branches of government” and not only to public health officials.

“It cannot be enough to adopt a restrictive view of what is expected from the U.N. FCTC or to justify lack of proactivity on the grounds that it has met the minimum legal requirements,” she wrote. “Public health demands the highest standard.”

She also warned that the Commission’s refusal to tighten the rules “effectively means that future meetings of Commission officials with tobacco lobbyists may create distrust. It appears that the sophistication of global lobbying efforts by big tobacco continues to be underestimated.”

The Commission is currently considering whether to renew agreements with tobacco companies to fight cigarette smuggling. Those agreements, between the four biggest tobacco companies and the EU anti-fraud office (known by its French acronym OLAF), are often criticized for a lack of transparency, especially regarding meetings between tobacco companies and Commission civil servants.

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Authors:
Quentin Ariès