Femme discrète, d’origine galloise, Pénélope Fillon s’engage pour la première fois en politique. Elle figure sur une liste sans étiquette dans la course pour la mairie de Solesmes, dans la Sarthe.
« Elle n’a pas hésité une seconde ». Lorsque Pascal Lelièvre, actuel premier adjoint de Solesmes, a proposé à Pénélope Fillon de figurer sur sa liste pour la prochaine campagne municipale, l’épouse de l’ex-premier ministre a accepté d’emblée. « Elle est ravie et n’a pas eu à me demander mon avis », a glissé François Fillon à quelques habitants de ce bourg sarthois. Mais cet engagement en a surpris plus d’un. L’épouse du ténor de l’UMP avait jusqu’ici toujours tenue à rester à l’écart de la vie politique.
Même lorsque son époux occupait le devant de la scène sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, cette femme discrète, d’origine galloise, préférait rester dans l’ombre, se refusant à toute interview. « Vous ne la verrez pas tracter pendant cette campagne, ça n’est pas son genre, concède Pascal Lelièvre. Mais elle est plus attachée à cette commune de 1427 habitants dans laquelle elle vient depuis plus de vingt ans, qu’à la vie parisienne ». Les Fillon possèdent en effet une grande demeure dans ce petit coin de Sarthe où ils viennent régulièrement en compagnie de leurs enfants. « Pénélope Fillon est sensible au développement du tourisme dans la région, elle s’intéresse à l’embellissement de la commune et connaît bien ses habitants », ajoute l’élu à la tête d’une liste sans étiquette. Pas peu fier de pouvoir, grâce à cette précieuse recrue, bénéficier du label Fillon, et respecter la parité.
Entertainment Weekly a dévoilé l’affiche Imax de “Die Hard : belle journée pour mourir” de John Moore avec Bruce Willis et Jai Courtney.
Entertainment Weekly a dévoilé l’affiche Imax de Die Hard : belle journée pour mourir de John Moore et dont le code couleur n’est pas sans rappeler l’affiche d’Expendables 2: unité spéciale. Dans ce cinquième volet des aventures de John McClane, Bruce Willis se retrouve à Moscou, pour aider son fils Jack (Jai Courtney); le duo va devoir affronter la mafia russe. Die Hard : belle journée pour mourir sort sur les écrans français le 20 février prochain.
Zach Galifianakis, le barbu déjanté de Very Bad Trip a réussi un coup magistral en invitant le président des Etats-Unis dans son émission. Barack Obama en a profité pour sensibiliser le public à l’ObamaCare, son nouveau système de santé.
Barack Obama a de l’humour. Il en faut pour accepter une invitation dans l’émission Between two ferns du comique Zach Galifianakis. Le comédien, principalement connu du grand public pour son rôle dans la trilogie Very Bad Trip a pris l’habitude d’interviewer des célébrités depuis 2008 sur le site internet Funny or Die. Il s’y fait passer pour un interviewer très désagréable, qui n’hésite pas à s’en prendre à ses invités et à les malmener au travers de questions mal venues. Il était donc quasiment impensable de voir un jour le président des Etats-Unis se risquer à ce jeu.
Barack Obama face à Zach Galifianakis, l’image à elle seule fait sourire. Le ton irrévérencieux de Galifianakis s’entend dès ses premiers mots, «Désolé d’avoir eu à décaler notre rendez-vous plusieurs fois, ma souris d’ordinateur était cassée». Ce à quoi le président réplique «Pas de problème Zach. Pour tout vous dire, j’ai été très surpris d’apprendre que des gens regardaient votre émission» avant d’être coupé par un «chuuuut» de son interlocuteur. Le ton est donné. La joute verbale continue ainsi pendant plusieurs minutes. Le présentateur utilise tous les outils à sa disposition. Barack Obama est par exemple crédité à l’écran comme un «community organizer» (ou community manager, en charge de la gestion de réseaux sociaux) et non comme le président des Etats-Unis. Et lorsque le chef d’Etat pose certaines questions à son interlocuteur, ce dernier feint de ne pas l’entendre et ne lui offre aucune réponse, préférant embrayer sur un nouveau sujet.
Barack Obama n’a cependant pas l’habitude de se laisser marcher dessus. Le président n’hésite d’ailleurs pas à répliquer. Lorsque le présentateur lui demande ce qu’il pense du fait de ne pas pouvoir se présenter une troisième fois pour le poste de président, Barack Obama répond «Je pense que c’est une bonne chose. Si je me présentais une troisième fois, ce serait un peu comme faire un Very Bad Trip III. Ça n’a pas bien marché, n’est-ce pas?». 1–0 pour le président. Barack Obama s’amuse aussi à se faire menaçant. A la question «Qu’est-ce que ça vous fait d’être le dernier président noir des Etats-Unis?», Obama répond «Sérieusement? Ça vous ferait quoi que cette conversation soit la dernière que vous ayez avec une personne?». Pour éviter un détour à Guantanamo, le comédien passe immédiatement à la question suivante.
L’entretien continue sur le même ton, entrecoupé ça-et-là par des questions plus légères portant sur Michelle Obama, le rôle d’ambassadeur de Dennis Rodman en Corée du nord ou encore la grâce présidentielle des dindes à Thanksgiving. Mais Barack Obama ne s’est pas prêté au jeu pour les beaux yeux de l’acteur. Il a un message à faire passer. La deuxième partie de cette vidéo de six minutes est consacrée à la promotion du site healtcare.gov. Ce dernier permet aux citoyens de s’inscrire sur les listes pour bénéficier du fameux ObamaCare. Cheval de bataille du président ces dernières années, le système compte ouvrir l’accès aux soins gratuits à des millions d’Américains dans le besoin. Le président a donc profité de cette tribune humoristique pour parler de ce sujet beaucoup plus sérieux. Un choix apparemment judicieux, puisqu’alors que la vidéo n’est en ligne que depuis quelques heures ce mardi 11 mars, elle enregistre d’ores et déjà plus d’un million de vues.
Sportifs, acteurs, chanteurs, ils sont nombreux à s’être engagés aux élections municipales 2014 mais tous n’ont pas connu la même réussite.
Chez les people aussi, la course aux mairies fait rage. Bilan de ce premier tour des municipales. Commençons par l’actrice Adeline Blondieau (Elle figure à la 37e place des 53 noms de la liste Tous pour Colombes) qui est bien partie puisque sa candidate Nicole Goueta a remporté 33,19% des voix au premier tour à Colombes (Hauts-de-Seine).
1er tour concluant aussi pour Miss France 2012 Delphine Wespiser, qui figurait sur la liste du maire sortant Lucien Brunner. Avec 146 voix, elle a été élue conseillère municipale à Magstatt-Le-Bas, son village natal dans le Haut-Rhin. Belle performance pour Pauline Delpech aussi. La comédienne et écrivaine, belle-fille du chanteur Michel Delpech, a recueilli 6,59% des suffrages et obtient donc un poste de conseillère d’arrondissement du 17e arrondissement. Premier tour également au beau-fixe pour la miss météo de BFMTVFanny Agostini dont la liste à la Bourboule (commune de moins de 2000 habitants dans le Puy-de-Dôme)arrive en 1ère position avec 54% des voix.
Ca s’annonce plus compliqué en revanche pour Danièle Hamidou-Ducatel (la mère de Dany Boon) dont la liste UMP conduite par Michel Plouy, a obtenu 34,86% contre 44,51% pour L’union de La Gauche. Chez les sportifs, si le nageur Frédérick Bousquet (sur la liste du maire UMP sortant, Jean-Claude Gaudin UMP) et le footballeur Ludovic Guily (dans la petite ville de Limonest au nord-ouest de Lyon, Ludovic Giuly se présentait en 17e position sur la liste UDI) ont passé le premier tour avec brio, David Ginola (qui se présentait dans sa ville natale sur la liste « un Sainte-Maxime autrement », conduite par Thierry Gobino) n’a pas eu la même réussite (le maire sortant Vincent Morisse a été réélu au premier tour avec 56,36% des votes).
Une mésaventure que n’a pas connue l’animateur de TF1 Vincent Lagaf (engagé sur une liste d’opposition, sans étiquette, dans le Var, à Cavalaire-sur-Mer) dont la liste a obtenu 65% des voix. Chez les chanteurs, citons Grégoire (en tête à Senlis avec plus de 38% des voix) et Mathieu Johann, demi-finaliste à la Star Academy (39,27 à à Saint-Lô) qui sont également bien partis. Ça chante pour eux donc!
Edwy Plenel joue depuis plusieurs années le rôle de l’épine dans le pied du pouvoir. Invité sur LCI, le patron de Mediapart a divulgué son salaire avant même qu’on lui pose la question.
Edwy Plenel, ancien directeur de la rédaction du Monde, était l’invité de l’émission a médiasphère sur LCI, mercredi 24. Pendant l’interview il déclare que l’ «on gagne bien sa vie chez Mediapart». Le présentateur Christophe Beaugrand tente alors d’aborder la question du salaire du moustachu qui fait trembler la classe politique. Et avant même qu’il ose lui en demander la somme exacte, Edwy Plenel lui a répondu.
«Mon salaire brut est de 7400 euros, ce qui fait net, 5700 euros. Par ailleurs je paye 3900 euros d’emprunt jusqu’à fin 2017.», a-t-il déclaré de façon très directe. Après de longs calculs réalisés en partenariat avec la NASA, nous avons pu déterminer qu’il dispose donc de 1800 euros par mois. Il a ensuite précisé, «La hiérarchie des salaires à Mediapart est conçue de 1 à 4. Voilà, le plancher c’est 1 et mon salaire est un peu en dessous de 4.».
L’homme fait ici preuve de beaucoup de transparence. Une qualité qu’il prône sans cesse pour la classe politique, sans forcément être entendu. Son site Mediapart (pour média participatif), a tout de même réussi à déterrer les plus gros scandales politiques de ces dernières années. On lui doit les révélations sur les affaires Woerth-Bettencourt, Cahuzac, Morelle et bien d’autres. Créé en 2008 le site défend un modèle payant dans l’optique que cette rentrée d’argent assure l’indépendance de ses journalistes. Le prochain grand dossier de ses journalistes ne sera donc clairement pas le salaire de leur patron.
Six films prévus avant 2020 : depuis qu’elle est passée chez Disney, la franchise Star Wars n’en finit pas de faire des petits. Outre les trois films principaux confiés à J.J. Abrams, trois spin-off consacrés à des personnages de la saga sont prévus. Le sort du premier d’entre eux, que l’on attend pour 2016, a été remis entre les mains du réalisateur Gareth Edwards, qui fête actuellement le succès de son Godzilla.
Le tournage de Star Wars VIIvient à peine de commencer, et déjà l’on parle de l’un de ses spin-off : Disney a annoncé que le réalisateur du prochain film de la franchise avait été choisi. C’est donc Gareth Edwards qui rejoindra J.J. Abrams au panthéon des cinéastes marchant directement sur les traces de George Lucas.
Un nom surprenant, car presque inconnu : après le très remarqué Monsters en 2010, Gareth Edwards n’a réalisé qu’un film, sorti cette année. Un succès monstre qui a certainement motivé les dirigeants de chez Disney : avant son prochain voyage dans la fameuse galaxie lointaine, très lointaine, il a marqué les esprits avec Godzilla, où il revisite l’icône de la culture japonaise de façon plutôt réussie.
Gareth Edwards parviendra-t-il à faire avec Star Wars ce qu’il a su faire avec Godzilla ? S’il maintient sa ligne de conduite il devrait, tout comme J.J. Abrams, chercher à présenter une vision « authentique » et respectueuse de la saga. Le résultat de ses efforts sera en salles en décembre 2016.
Mariés et tout juste rentrés de leur lune de miel, Amal et George Clooney n’ont plus de temps à perdre. Leurs carrières respectives reprennent le dessus sur leur idylle.
La vie d’Amal Alamuddin est bouleversée à jamais. La jeune et jolie avocate a épousé George Clooney à Venise le 27 septembre 2014 et depuis son visage et son nom sont associés pour toujours à l’acteur hollywoodien. Pour le reste, cette Britannique d’origine libanaise espère bien poursuivre sa carrière comme avant.
Du 13 au 16 octobre prochain, Madame Clooney remettra sa tenue d’avocate pour défendre le patrimoine grec. À Athènes, elle discutera avec le gouvernement local du possible retour de frises du Parthénon, détenues par l’Angleterre depuis 1803. Le diplomate britannique Lord Elgin les a emportées à l’époque de l’empire ottoman et la Grèce demande depuis 1983 le retour de ses oeuvres. Pour le moment, ces frises sont exposées au British Museum.
L’avocate Amal sera accompagnée lors de ce voyage de Geoffrey Robertson, directeur du cabinet d’avocats Doughty Street Chambers et conseiller de la reine d’Angleterre. La jeune mariée est une habituée des cas spectaculaires. Avant d’épouser George Clooney elle était surtout connue pour avoir défendu Julian Assange ou Ioulia Timochenko.
La star pourrait se joindre, à titre privé, au voyage d’affaire de sa femme. Lors de la promotion de Monuments men en Grèce en février l’acteur s’était positionné en faveur du retour de ces frises et le ministre de la Culture l’avait alors invité à “passer quelques jours” dans le pays quand il voudrait.
Mais George Clooney, comme son épouse, a également des impératifs à honorer après cette période de légèreté que fut son mariage. Le réalisateur de Good night and good luck est la star du Comic Con de New York où il présente Tomorowland, la nouvelle production futuriste des studios Disney. Homme marié, George Clooney n’en a pas perdu son sens de l’humour. Il s’est dit ravi de “passer la lune de miel au Comic Con” et que son épouse était “perplexe face à cette nouvelle” puisqu’elle ne connaissait pas jusque-là cette convention de comics.
Tuesday on ABC’s “TheView,” co-host Joy Behar joked that during the Donald Trump presidency, “marijuana should be mandatory.”
During a discussion on Sen. Kamala Harris (D-CA) saying she smoked marijuana in college, co-host Sunny Hostin said, “I will say that Trump has lowered the bar so low that it’s not going the matter if she smoked pot during Tupac or during Biggie or during Beyonce or during anything.”
She added, “Or last night. It just doesn’t matter anymore.”
Behar quipped, “My feeling is, in the age of Trump, I think marijuana should be mandatory, frankly.”
She added, “OK? Believe me. Until he’s out. When he’s out of office, they can rescind the rule.”
Paris Jackson, daughter of pop icon Michael Jackson, has been hospitalized in Los Angeles after an apparent suicide attempt, according to reports.
Sources also told TMZ that emergency services responded to Paris’s Los Angeles home at 7:30 a.m. on Saturday and transported her to the hospital. She was also allegedly placed on a 5150 hold whereby physicians can hold patients involuntarily for up to 72 hours for fear that they may harm themselves or others.
Family members told TMZ that the 20-year-old aspiring model has been distraught due to the release of the film Leaving Neverland, a documentary detailing the sexual assault allegations against her pop star father.
However, not long after TMZ reported the purported attempted suicide, Paris jumped to Twitter to call TMZ a bunch of liars:
Paris has given a mixed message to how she may be feeling about the shocking documentary about her father.
The model and actress at least once seemed to hint that she felt the documentary was “tabloids and lies.” But she also said that she stands by her cousin, Taj Jackson, who stood up for the deceased singer’s reputation. Yet, she said it “isn’t her role” to stick up for her dad.
Last week she noted that Taj “is doing a perfect job on his own. and I support him. but that’s not my role.”
“I’m just tryna get everyone to chill out and go with the flow, be mellow and think about the bigger picture. that’s me,” she added.
Follow Warner Todd Huston on Twitter @warnerthuston.
Google's stand is featured at the Viva Technology event on June 15, 2017 in Paris | Bertrand Guay/AFP via Getty Images
France predicts wave of support for Google, Facebook tax plan
Finance minister says several countries will back proposal to change Europe’s tax laws, but there will be pushback.
PARIS — A France-led plan to force internet giants such as Google and Facebook to pay more tax in Europe will soon secure broader support, French Finance Minister Bruno Le Maire said Thursday.
France, along with Germany, Italy and Spain, will use a meeting of EU finance ministers in Estonia on Friday and Saturday to push a plan to tax the revenue of big online firms in the countries where they generate their sales.
It would represent a major change in tax policy from the current system, under which firms are taxed on their profits, not revenues, and can declare those profits where they are based — often in countries that have advantageous corporate tax rates.
Any change to EU tax rules has to be approved unanimously by all member countries and some, including Ireland, oppose a revenue tax.
“Other European countries will join on Saturday morning this French initiative that we want to succeed and to succeed quickly,” Le Maire said at a news conference in Paris on Thursday.
Officials in Le Maire’s office, who asked not to be named, said Austria would back the tax plan and believed many others would too.
The Irish problem
The drive to extract more tax revenue from the world’s web giants is part of a broader push by French President Emmanuel Macron to make the EU more “protective” of its citizens.
So-called tax optimization, which allows multinational firms to reduce their tax bills to a fraction of overall revenue, are a constant source of controversy in Europe.
The Macron government’s proposed clamp down on tax comes as he also is trying to woo more tech companies — both Silicon Valley giants and local startups — to invest in France. Such plans, however, may face choppy waters if French officials push aggressively to tax digital activities.
Google, Starbucks and Apple have all come under public pressure to pay more tax. These companies have rejected efforts by some European companies to increase their tax burden, saying they pay a sufficient level of tax wherever they operate and that such efforts have generated tens of millions of euros in revenue for European governments.
EU leaders routinely gripe about lost tax revenue, and the European Commission has been working on an initiative called the Common Consolidated Corporate Tax Base to harmonize taxation practices across the bloc.
But French officials said the Commission’s scheme could take years to complete, so they started to push their own proposal in early summer.
“For us these are parallel initiatives,” an aide to Le Maire said. “We can see that our initiative responds to a shared concern, and we will see how the European Commission adapts.”
Down the line, France wants all EU countries to sign up to its initiative so it can become EU law. In Tallinn, Le Maire wants to drum up support for the initiative among finance ministers to prepare the ground for a more robust offensive by Macron later this month.
But the French minister, who made “many, many calls” to peers in recent weeks, will struggle to get support in some countries. Ireland, Luxembourg and Malta, to varying degrees, all attract business through favorable tax policies or low corporate tax rates. A revenue tax would hurt their bottom line.
Asked about a possible clash, the Le Maire aide said a “debate” with Ireland was “inevitable.”
Test group
Getting all EU countries to agree on the principle of a tax on big web companies is one challenge. Determining how that tax would be calculated, and at what rate, may be even trickier.
Countries would have to agree how to define a firm’s web-based revenue in a given country, which would be made more complicated as multinational firms that report their financial results in the United States do not have to provide detailed country-by-country accounts. Defining which companies are covered by the new rules would also be tricky.
A French official said such questions would be addressed in detail once an agreement in principle was reached.
He raised the possibility of using online firms as a “pilot group” to test-drive new taxation practices that might later be applied to a wide group of companies.