Month: February 2020

Fraichement séparée de l’acteur Orlando Bloom, Miranda Kerr se raconte sans détour dans les colonnes d’Harper’s Bazaar. Une mise à nue au sens propre et figurée pour celle qui affiche sa plastique sans fausse note – et tout en décolleté – en couverture du numéro de janvier-février.

Pour l’opus de mode, Miranda Kerr sort le grand jeu devant l’objectif de Terry Richardson. Make-up raffiné, bouche rouge laquée, la belle ose le smoking suggestif avec un plongeon sur sa gorge sensuelle. Mais l’ancien ange de Victoria’s Secret n’est pas que sexy, elle est aussi d’humeur bavarde. Alors que la planète people est encore sous le choc de sa rupture avec Orlando Bloom, la jeune maman se confie sur sa relation avec l’ex-homme de sa vie. «C’est difficile pour n’importe qui de se séparer, que ce soit de façon publique ou non, explique Miranda. C’était primmordial pour nous de préserver notre amitié et de continuer à être des parents aimant pour Flynn donc nous avons parlé de tout ouvertement et avec honnêteté.»

Fin octobre, le couple star d’Hollywood officialisait sa séparation, laissant ses fans dans l’incompréhension. Quelques jours plus tard, c’est Orlando Bloom qui le premier a pris la parole pour expliquer cette décision conjointe. Lui aussi y affichait son désir de poursuivre avec Miranda Kerr une relation saine, construite autour du bien-être de leur enfant. Aujourd’hui, Miranda ouvre son cœur à son tour. «Nous sommes encore très importants dans la vie de l’autre, poursuit-elle. Il n’y a pas de raison que nous soyions autre chose qu’un duo uni. Nous nous aimons et prenons toujours soin l’un de l’autre.»

En parents intelligents, Miranda et Orlando ont choisi de mettre leurs querelles d’amoureux de côté, pour ne se focaliser que sur la chose la plus importante à leurs yeux: Flynn. «Nous nous devons d’être unis pour lui.» L’ambiance est donc sereine pour les anciens amants, et pas question de priver le petit garçon de son papa pour les fêtes. «Je ne retourne pas en Australie pour les fêtes car Orlando travaille six jours par semaine pour Romeo et Juliette à Broadway, raconte miss Kerr. Ce n’est pas juste d’emmener Flynn sans lui. Nous faisons de notre mieux pour nous soutenir.» Couple d’apparence idéal, ces deux là auront même réussi à avoir une séparation parfaite. Agaçant? Plutôt exemple à suivre.

Si l’on en croit la nièce de Marine Le Pen, donner un prénom français à un enfant serait une preuve d’intégration.

Elle règle son pas sur celui de sa tante. Il y a deux ans, Marine Le Pen s’émouvait du prénom de la fille de Nicolas Sarkozy. “J’aurais préféré que cette petite fille porte un prénom français plutôt qu’un prénom italien”, lâchait-elle à l’époque.

Marion Maréchal-Le Pen vient, elle, de reprocher à l’ex-président mais aussi à Rachida Dati de ne pas avoir donné des prénoms français à leurs filles. C’était aujourd’hui sur BFM TV. Elle était sommée de réagir aux récents propos de Philippe Martel, le chef de cabinet de Marine Le Pen, qui en avait remis une couche sur le sujet. Ne s’exclamait-il pas, il y a peu, à propos de l’ex-garde des Sceaux : « Hélas, elle a appelé sa fille Zohra, ce qui contredit son parcours. Il y a là un signal de refus de l’assimilation ? »

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Pour la benjamine de l’Assemblée nationale aussi, donner un prénom hexagonal à un enfant lorsque l’on vient d’ailleurs est « la plus belle preuve d’amour à l’égard d’un pays ». « L’assimilation, c’est un arrachement, un effort, une contrainte. Ça (donner un prénom français, ndlr) participe à l’assimilation. Ça fait partie d’une démarche », martèle-t-elle. Une manière pour le Front national de rejouer la pièce Le Prénom, mais en nettement moins drôle.

La trilogie Millénium de Stieg Larrson va bientôt s’enrichir d’un nouveau tome, dont la sortie est prévue pour 2015. Une décision de la maison d’édition qui ne plait pas à la veuve de l’auteur suédois.

Curieux paradoxe pour l’auteur suédois Stieg Larrson. Décédé en 2004, il n’a pas pu connaître le phénoménal succès de ses trois romans intitulés Millénium sortis en Suède en 2005, 2006 et 2007. Dix ans plus tard, une suite va même être donnée à cette trilogie comme l’a annoncé la maison d’édition suédoise Norstedts.

«Nous avons décidé de laisser quelqu’un prendre la suite et de raconter ce qui se passe après» a expliqué Eva Gedin, l’éditrice en charge de Millenium. Et contre toute attente, c’est un auteur qui s’est fait connaître avec une célèbre biographie qui en assurera l’écriture. David Lagercrantz est en effet derrière Moi, Zlatan Ibrahimovic (paru chez JC Lattès), consacré au joueur star du PSG. «J’ai déjà commencé à écrire et c’est terriblement amusant, a confié David Lagercrantz dans un communiqué. C’est un monde formidable dans lequel on s’engouffre».

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Ce monde sera celui imaginé par Stieg Larrson, dans la continuité des trois premiers romans, Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, La fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette et La reine du palais des courants d’air. On devrait donc retrouver Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander dans de nouvelles aventures originales.

Si les fans de Millénium ne manqueront pas de se réjouir, la veuve de Stieg Larrson, Eva Gabrielsson, n’a pas du tout accueilli la nouvelle avec joie. «Je trouve cela déplaisant d’essayer de faire plus d’argent» a confié celle qui n’a pas touché une couronne du succès mondial des livres de son compagnon avec lequel elle n’était pas mariée. Larrson avait commencé à écrire une suite, mais la mort l’a empêché de mener le manuscrit à son terme. Elle seule y ayant accès, Eva Gabrielsson pense que l’histoire repartira de zéro.

Sortie prévue de ce nouveau Millenium, toujours chez Actes Sud en France, été 2015.

Trop décadent. Trop dangereux. Le Loup de Wall Street, film sur l’ancien courtier américain Jordan Belfort, interprété par Leonardo DiCaprio, est à peine sorti en salles qu’il s’est déjà fait des ennemis. L’acteur américain, lui, ne l’entend pas ainsi.

Le loup de Wall Street, alias Leonardo DiCaprio, défend «son bébé». Il n’apprécie pas les critiques de Christina McDowell, fille de Tom Prousalis, ancien associé de Jordan Belfort, héros du film dirigé par Martin Scorsese. Elle leur reproche, à lui et au réalisateur de Gangs of New York, dans une lettre publiée sur le site du LA Weekly, d’être «des gens dangereux». «Votre film est une tentative imprudente de continuer à prétendre que ce mode de vie n’est qu’un simple divertissement alors que le pays vacille à cause d’autres scandales issus de Wall Street, écrit celle dont le père lui a laissé 100 000 dollars de dettes. Ces orgies de coke et ces sexcapades de financiers prétendument marrantes ? Soyons sérieux. C’est exactement ce qui a mis l’Amérique à genoux.»

Leonardo DiCaprio défendrait-il la débauche et l’argent facile? On a du mal à le croire. Lui aussi visiblement. «Ce film peut être mal interprété par certains. J’espère que les gens comprennent que nous n’approuvons pas ce comportement, mais que nous le critiquons», confie-t-il dans les colonnes du magazine Variety. «Le livre était un récit édifiant, et si vous restez jusqu’à la fin du film, vous comprendrez ce que nous disons à propos de ces gens et de cet univers, qu’ils sont toxiques, précise l’acteur qui a porté à bout de bras ce projet depuis plusieurs années. Je pense que c’est assez incroyable que quelqu’un comme Martin Scorsese fasse toujours des films aussi vitaux et dont on parle beaucoup, qu’ils soient sujets à controverse tout en étant attractifs pour des gens de ma génération.»

En adaptant l’histoire de Jordan Belfort, DiCaprio n’imaginait pas s’attirer de telles critiques. Il n’imaginait pas non plus que ce rôle puisse le mener à la course aux Oscars. «Bien sûr que ce serait significatif. Je pense que l’on veut tous être reconnus par nos pairs, évidemment. Mais la vérité, c’est qu’on apprend très vite que l’on n’a absolument aucun contrôle sur ce que les critiques ou le public vont penser. On peut seulement faire de son mieux pour faire un grand film», se défend la star de 39 ans. En France, dès de son premier jour de sortie, le 25 décembre, Le Loup de Wall Street a attiré 133 405 spectateurs. Aux Etats-Unis, il se murmure qu’avec ce film, la muse masculine de Scorsese pourrait bien rafler un Oscar. Il s’agirait alors de son premier…

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Après la révélation de la une du magazine Closer cette nuit, annonçant la liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet, le président de la République a réagi ce matin en faisant savoir qu’il regrettait l’atteinte au respect de la vie privée et qu’il n’écartait pas la possibilité de saisir la justice.

Interrogé cette nuit par l’AFP, l’Elysée n’avait pas voulu réagir «à 2 heures» du matin à la une de Closer titrant «L’amour secret du président» pour annoncer une dossier de sept pages sur la liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet. Les conseillers du président de la République n’ont pas dû fermer l’oeil pour préparer la réaction officielle du chef de l’Etat à cette véritable bombe.

Au petit matin, l’Elysée a fait savoir que François Hollande «déplore profondément les atteintes au respect de la vie privée». Le communiqué ajoute que le chef de l’Etat «examine les suites judiciaires» à donner à cette affaire.

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Julie Gayet de son côté n’a pas encore réagi. Mais en mars dernier, au moment où la rumeur commençait à circuler avec insistance, l’actrice avait porté plainte contre X pour «atteinte à la dignité de la vie privée». Son avocat avait ensuite déclaré: «La comédienne Julie Gayet, dont je suis l’avocat, a chargé mon cabinet de poursuivre sur le plan judiciaire la diffusion de la rumeur colportée sur internet qui lui prête sans aucun fondement une relation sentimentale avec le président de la République.»

A l’origine du film The Hit Girls, Elizabeth Banks s’implique encore plus dans le deuxième volet, puisqu’elle va passer derrière la caméra. La belle blonde signera là son premier long-métrage.

Le grand public n’associe pas forcément un nom à son joli visage, surtout quand elle est grimée comme dans la série des Hunger Games, mais Elizabeth Banks est une des valeurs montantes d’Hollywood. Sa filmographie compte plus d’une quarantaine de films, parmi lesquels les trois Spider-Man de Sam Raimi, W, Les trois prochains jours, Ce qui vous attend si vous attendez un enfant ou encore The Hit Girls.

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C’est d’ailleurs grâce à ce film, ou plutôt à sa suite, qu’Elizabeth Banks va franchir un nouveau cap dans sa carrière, et passer pour la première fois à la réalisation. Elle sera derrière la caméra pour la suite, que viennent de lancer les studios. La comédienne de 39 ans était déjà à l’origine du premier volet puisque c’est elle qui a sollicité la scénariste Kay Cannon pour adapter sur grand écran le roman Pitch Perfect (le titre orginal du film). Elizabeth Banks alors productrice s’était même octroyé un rôle.

L’Américaine a fait ses classes avec Middleschool date, un court-métrage un peu lourdingue sur une jeune fille qui découvre qu’elle a ses règles au beau milieu d’un rendez-vous amoureux, et qui figurait dans le concept My movie project.

Espérons qu’Elizabeth Banks sera plus inspirée avec The Hit Girls 2, dans lequel on retrouvera la charmante Anna Kendrick, et qui devrait sortir en 2015.

George Clooney, Jim Carey, Mia Farrow… et même Fidel Castro se sont émus en apprenant le décès de Philip Seymour Hoffman. Et lui ont tous rendu hommage.

Philip Seymour Hoffman est décédé hier, à l’âge de 46 ans, des suites d’une overdose. Celui qui avait incarné avec brio l’écrivain Truman Capote en 2005 –dans le film éponyme de Bennett Miller– laisse le monde du septième art en en deuil. Comme en témoigne les dizaines de messages postés par de nombreuses célébrités sur les réseaux sociaux ou les honneurs rendus dans les journaux.

«Il n’y a pas de mots. C’est tout simplement terrible», aurait déclaré George Clooney selon The Hollywood Reporter. L’acteur, qui avait dirigé Philip Seymour Hoffman dans Les Marches du pouvoir, exprime ainsi sa peine sans chichis ni fioritures. Tout comme Tom Hanks, avec qui il avait partagé l’affiche du film La Guerre selon Charlie Wilson: «C’est un jour horrible pour ceux qui ont travaillé avec lui. Il avait un talent immense. Nos cœurs rejoignent sa famille». Julianne Moore, sa partenaire dans The Big Lebowski, Boogie Night et Magnolia, affirmait elle se sentir «si chanceuse d’avoir connu et d’avoir travaillé avec l’extraordinaire Philip Seymour Hoffman». «Profondément triste», elle adresse également ses pensées et condoléances à la famille de l’acteur.

Parmi ceux qui avaient joué à ses côtés, l’équipe du blockbuster Hunger Games a manifesté à l’unanimité son désarroi. A l’image de Jennifer Lawrence, interprète de l’héroïne principale, Katniss Everdeen: «Oh mon dieu… Mes pensées et mes prières vont à sa famille et ses amis. Tu étais un excellent Plutarch [le rôle de Philip Seymour Hoffman dans le second volet du film, NDLR]». Susan Collins, auteure de la saga littéraire à partir de laquelle est adapté Hunger Games, a quant à elle publié un communiqué: «Il n’y a pas de mots pour qualifier l’immense perte que nous ressentons. Philip était une personne merveilleuse d’un talent exceptionnel, et nos cœurs sont brisés».

Et tous s’accordent à souligner sa virtuosité: Gwyneth Paltrow, qui lui donnait la réplique dans Le Talentueux Mr. Ripley, a posté une photo d’elle, de Jude Law et de Philip Seymour avec en légende: «Ischia 1998, après le dîner, après le tournage. Philip était un véritable génie». Ben Stiller, son complice dans Polly et Moi, a lui souligné que sa mort était «une immense perte» et que le «Duc» de Good Morning England était «un acteur brillant, chaleureux, généreux, humble». Des qualités que Andy McDowell, Susan Sarandon, Robin Wright et l’acteur Ricky Gervais saluent. Ce dernier ajoute même: «Un des plus grands acteurs de sa génération et un homme doux et drôle».

Pleine d’admiration également, Mia Farrow (Rosemary’s Baby) a réagi à la nouvelle: «Repose en paix Philip Seymour Hoffman. Tu nous as émerveillés à chacune de tes performances. Nous t’en sommes reconnaissants et nous sommes très très tristes». De même qu’Elijah Wood, alias Frodon dans Le Seigneur des Anneaux: «Le cœur brisé et choqué. Quelle perte…». Plus surprenant, l’ex dirigeant cubain Fidel Castro a exprimé sa douleur face à la perte de cet acteur «inoubliable» sur son compte Twitter.

Jim Carey, le trublion d’Hollywood, a lui perdu le sourire. Sur Twitter, il poste ce dernier hommage touchant: «Cher Philip, une belle âme. Pour les plus sensibles d’entre nous, le bruit peut être trop fort. Que ton cœur soit béni», suivi d’un smiley pleurant.

Bref, un grand monsieur nous a quittés et personne ne pourra l’oublier.

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Devenu le 1er film d’un pays autre que les États-Unis et le Royaume-Uni à remporter l’Oscar du Meilleur Film, “The Artist” entre dans le Guinness Book.

Il y a un peu plus d’un an, la France découvrait le phénomène The Artist réalisé par Michel Hazanavicius. Le 26 février 2012, The Artist est devenu le 1er film d’un pays autre que les États-Unis et le Royaume-Uni à remporter l’Oscar du Meilleur Film, lors de la 84e cérémonie des Oscars. Un événement d’autant plus remarquable que la première cérémonie des Oscars remonte à 1929. Bérénice Bejo joue dans le film aux côtés de Jean Dujardin, devenu le 1er Français à remporter l’Oscar du Meilleur acteur.

 

 

avec Guinness Book.

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Dans ELLE cette semaine, Nicolas Bedos raconte une « nuit » passée avec Julie Gayet. Chez Ruquier, il invective le Président et s’adresse de nouveau à la comédienne.

Maître dans l’art de manier les mots, Nicolas Bedos irrite autant qu’il fascine. Dans Elle, ce vendredi, l’artiste publie une lettre ouverte à Julie G. Entendez Julie Gayet. Dans le magazine, le fils de Guy Bedos narre la soirée qu’il a vécue, en 2009, au côté de l’actrice bien avant l’explosion médiatique de cette dernière. «Je me rappelle de cette histoire, celle dont tout le monde se fout» souligne l’humoriste. Si Nicolas Bedos reconnaît qu’il a découvert l’actrice en 2004 dans le film Clara et moi, ce n’est que cinq ans plus tard que les deux protagonistes se rencontrent officiellement. On imagine alors une suite croustillante. Il n’en sera rien. De cette rencontre accouche une – courte – relation platonique. Pourtant, l’humoriste y est allé de son numéro de charme pour attirer la jeune femme lors de cette soirée dont il se souvient comme si c’était hier. «Je te suggérai simplement de poursuivre ton débat en position horizontale».

Une demande qui reste sans suite. Lui qui rêvait d’ébats torrides n’a, de son propre aveu, même pas pu faire taire «d’un baiser cette bouche si loquace». Un coup dur pour l’acteur qui assume cependant son échec: «je ne suis pas en train d’écrire dans ELLE que j’ai passé la nuit avec Julie Gayet. Je suis en train d’écrire que je l’ai passée à côté d’elle. C’est à peine si nos mains, attendries par l’approche du sommeil, s’entremêlèrent». Dommage.

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Samedi, dans On n’est pas couché, le chroniqueur criait sa rancoeur au président de la République. «Cher François, que ce soit bien clair, l’Elysée, c’est à toi. Les gonzesses sont nos attributions». Et encore: «La Gayet, c’est du lourd mec. Nous, Gayet, on la tente en 4e année. Ça fait 7 ans que je potasse le dossier. Avec la tronche que t’as, si ce n’est pas de l’abus de pouvoir… »

Et dans une tirade désespérée, il cherchait à ramener Julie Gayet à la raison. «Julie, mon amie, sors de là immédiatement. Tu es tombée dans un traquenard. Tu veux que je te dise, les hommes politiques sont le sida des vedettes. Demande à Pulvar, Anne Sinclair, Carla Bruni. La politique est un poison, reviens tout de suite à la maison».

En salles le 17 juillet, le film de science-fiction de Guillermo del Toro “Pacific Rim”, autour de l’affrontement entre des monstres et des robots, connaîtra une suite.

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Amateurs de combats entre monstres et robots, réjouissez-vous ! Si, après la sortie le 17 juillet de Pacific Rim, vous n’êtes pas rassasiés, sachez que la suite est déjà en préparation… Travis Beacham, qui a travaillé sur la première version du script de “Pacific rim”, a été engagé pour écrire le scénario du deuxième volet. Guillermo del Toro devrait lui prêter main forte, mais on ne sait pas encore s’il sera derrière la caméra. Il faut dire que son emploi du temps est chargé : après la réalisation du pilote de la série The Strain pour la chaîne FX, il doit, comme nous l’indiquions hier, s’atteler au film de fantômes Crimson Peak.

JD

VIDEO : notre interview autour de “Pacific rim”