Month: February 2020

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Après avoir bloqué l’accès aux journalistes pour une représentation de son spectacle Voilà, voilà à Cambrai, Kev Adams s’est attiré les foudres de la presse locale. Des propos de son attaché de presse ont même obligé le jeune comique à présenter ses excuses.

Véritable idole de toute une génération, Kev Adams est un véritable touche-à-tout. Après le plébiscite autour du film Les Profs (plus gros succès français de l’année avec 4 millions d’entrées), le jeune artiste a décidé de surfer sur la vague du succès en repartant sur les routes pour son nouveau spectacle. Sauf que Voilà, voilà, le show de l’artiste, n’a pas du tout fait rire les journalistes de Cambrai, dans le Nord.

Habituellement invitée à assister aux représentations, la presse n’a pas eu cette chance lors du spectacle de Kev Adams dans la petite ville du nord. Il n’en fallait pas plus pour que le journal régional la Voix du Nord tire à boulets rouges sur le Parisien. « Du haut de ses 22 printemps, l’humoriste s’est donc montré plus tsar que star » souligne le quotidien. Si officiellement, le spectacle affichait complet, le canard local ironise sur la situation: « son show affiche complet et donc, par voie de conséquence, nul besoin de la presse pour évoquer son spectacle. » L’histoire aurait pu s’arrêter là si l’attaché de presse de Kev Adams n’avait pas décidé de jeter de l’huile sur le feu. Selon le quotidien, ce dernier aurait appelé la rédaction afin d’expliquer que si les journalistes n’avaient pas pu assister à l’événement, c’était par souci de confidentialité: « Le spectacle n’ayant pas encore été joué à Paris, le secret de son contenu devait être gardé ». Une méthode parisienne selon le journal mais pas selon l’attaché de presse qui lâche alors: « ce n’est pas ma faute si vous vivez dans le trou du cul du monde ».
Ne pouvant que constater les dégâts, Kev Adams a immédiatement tenu à se désolidariser de son attaché de presse via son compte Twitter: « je ne cautionne absolument pas les propos de mon attaché de presse! J’ai un profond respect pour les journalistes et pour mon public d’où qu’ils viennent! #ViveLeNord #Sorry #Love ».

Dans sa carrière comme dans sa vie personnelle, Britney Spears a connu les sommets comme les coups durs. Aujourd’hui, avec un nouvel album dont la sortie est prévue début décembre, la chanteuse se prend à imaginer une nouvelle vie, remplie d’un nouveau mari et de nouveaux enfants.

Britney Jean; en baptisant son disque du même nom que celui que lui donnent ses proches, Miss Spears continue de se dévoiler. « Je voulais le partager avec mes fans car ils m’appellent comme ça avec beaucoup d’affection. Je voulais le partager avec tout le monde » explique t-elle au micro de la BBC Radio 1. Un huitième opus, deux ans après son album Femme Fatale, et pour lequel elle s’est entourée de Will.i.am des Black Eyed Peas. “C’est très stressant car vous passez tellement de temps à travailler dessus, vous vous consacrez vraiment à cet album. Travailler avec Will.i.am en tant que co-producteur a été vraiment cool. C’est comme donner naissance à un enfant” a-t-elle ajouté. Un album, un bébé pour Britney?

C’est en tout cas ce que la star semble désirer, comme elle l’a confié au micro de RTL Allemagne. Après un mariage soldé en divorce avec Kevin Federline, danseur et père de ses fils Sean et Jayden, Britney Spears ne baisse pas les bras en matière d’engagement et a même envie de prononcer une nouvelle fois ses voeux, auprès d’un autre homme. « J’aimerais avoir plus d’enfants, me poser… Avoir des enfants, peut-être des jumeaux et me marier. Ce serait génial » s’enthousiasme t-elle.

Britney Spears et ses rêves de famille nombreuse vont cependant devoir composer avec les 48 shows prévus par le contrat de 30 millions de dollars décroché par la petite chérie des Américains pour se produire pendant deux ans à Las Vegas. La chanteuse devra faire les allers-retours entre la ville du désert et Los Angeles, où sont scolarisés ses garçons.

A 43 ans, Jay-Z donne une belle leçon de son art au public parisien. Un rap à la frontière du manifeste artistique.

Des rues de Brooklyn, Jay-Z est depuis bien longtemps passé aux quartiers les plus chics de Manathan. L’ex bad boy de la East Coast traite désormais avec les artistes contemporains qui exposent au MoMa, comme en atteste sa prestation avec la performeuse Marina Abramovic.

Vendredi soir, et comme la veille, le Jay-Z qui s’est avancé sur la scène de Bercy n’a pas tranché entre son passé et son présent. Devant un public chauffé pendant deux heures au r’n’b, le maître prend finalement place au centre d’une installation dernier cri mais sans fioritures. A défaut d’avoir ramené sur scène ses comparses de l’album Magna Carta Holy Grail, Jay-Z assure un quasi seul en scène d’une heure quarante cinq. Un débit puissant, un texte acerbe accompagné d’images d’épinal de notre société ultra sécuritaire projetées sur deux écrans géants qui se chevauche aux hits plus « commerciaux » qui ont fait de l’homme un Dieu en son domaine.

Jay-Z sait parfaitement ce que son public attend et ne rechigne donc pas a lui offrir son 99 problems, Empire State of Mind et finalement Young Forever. Contrairement à son binôme Kanye West, il tisse avec ses fans un lien presque familiale. Pendant une quinzaine de minutes il scrute les plus beaux t-shirts et casquettes de la salle sur qui son équipe braque une caméra. Monsieur Beyoncé s’improvise Anna Wintour du street look et valide, ou non, les efforts vestimentaires de ses fidèles.

Seul malaise à la fête, la prestation à l’entracte d’un Timbaland a la limite de se faire huer. Jay-Z a voulu lui rendre hommage en l’invitant sur son show, il le porte finalement au pilori d’une foule monoMAGNAque…

Son 16e album solo va sortir dans trois semaines, et pour le promouvoir, Paul McCartney dévoile le clip de Queenie Eye dans lequel une flopée de guests l’entoure. Parmi les plus connus, Johnny Depp et Kate Moss, deux ex réunis pour la première fois à l’écran depuis leur séparation. Ça vaut le coup d’oeil.

New, le 16e album de Macca, doit sortir dans trois semaines, et le premier titre Queenie Eye, aux tonalités pop, donne envie de se jeter dessus! Le clip a été tournée dans le mythique studio Abbey Road, cher aux Beatles, où l’on retrouve Paul, seul, au piano. Puis une première star le rejoint. Johnny Depp. Toujours aussi sexy malgré la cinquantaine, et à nouveau brun après le passage au blond. Puis d’autres guests arrivent, Sean Penn, Meryl Streep, Jude Law, Chris Pine (Star Trek) Tom Ford, Gary Barlow, ou encore la top Kate Moss, très sexy sur le piano de Mr McCartney.

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Une présence qui marque une première pour l’ex-couple Depp/Moss. Les deux stars ont été en couple dans les années 1990. Depuis, ils ne s’étaient plus fréquentés… Mais pour les beaux yeux de Macca, ils ont accepté de se revoir. Ou du moins d’apparaître ensemble dans le même clip, car rien ne dit qu’ils ont participé au tournage au même moment… En tout cas, pour Johnny Depp «être dans ce studio, surtout avec Paul, c’est intense. Parce que c’est le studio qui a changé le monde», confie l’acteur fétiche de Tim Burton dans la vidéo du making-of.

Mais nos deux ex-tourtereaux ne sont pas les seules stars du clip. Pour Queenie Eye, le réalisateur Sean Penn s’est déplacé, tout comme la sublime actrice Meryl Streep, visiblement heureuse de participer au projet, et complètement déchaînée sur le dancefloor. Jeremy Irons, lui, la joue sage avec un chapeau canotier. Jude Law pose en mode méditation. Sans oublier Chris Pine, sexy avec son bonnet rouge. Écoutez bien Queenie Eye, sa mélodie va vous trotter longtemps dans la tête!

Clap de fin pour Jane Seymour et son mari le réalisateur James Keach. Après avoir annoncé leur séparation il y a six mois, les anciens compagnons se séparent au nom de la loi.

Si certains couples annoncent leur rupture et divorcent dans la foulée – comme l’exemple express de Katie Holme et Tom Cruise –, d’autres prennent leur temps. A l’instar de l’actrice Jane Seymour, qui demande le divorce six mois après avoir officialisé sa rupture d’avec son mari James Keach. Selon TMZ, le couple a demandé le divorce pour ‘différends irréconciables’, ou comment l’amour s’use après vingt ans de vie commune. Jane Seymour aurait demandé la garde de ses jumeaux de 17 ans, Johnny et Kristopher, mais ne demanderait pas de pension alimentaire.

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Une séparation qui semble se dérouler sous de bons auspices pour les différentes parties, plus préoccupées à préserver leurs garçons qu’à s’entredéchirer. En avril dernier, un communiqué confirmait la triste nouvelle. «Le couple confirme qu’ils sont séparés et ceux depuis plusieurs mois, confirmait le représentant du duo. Ils sont en train de négocier les termes de leur divorce. Ils vont continuer leur relation en tant que parents dévoués, associés et partenaires dans les affaires, et dans leur désir conjoint de poursuivre leurs engagements caritatifs auxquels ils se sont attelés durant leur mariage.»

L’éternelle James Bond Girl, aussi connue pour son rôle dans la série phare des années 1990, Dr Quinn, femme médecin, n’en est pas à sa première fois. Il s’agit de son quatrième divorce. En 1971, elle se marie durant deux ans à Michael Attenborough, metteur en scène britannique de renom, dont elle se sépare deux ans plus tard. Son idylle avec Geoffrey Planer ne durera qu’un an. De 1981 à 1992, l’actrice est mariée à David Flynn, avec lequel elle aura deux enfants. A 62 ans, Jane Seymour est certes divorcée pour la quatrième fois, mais rayonne à l’aube de ce nouveau chapitre. Et l’amour n’a pas d’âge.

Tout au long de sa vie, le chanteur et rockeur Lou Reed a dépensé sans compter en consommant ses drogues de choix : l’héroïne et l’alcool. Disparu à 71 ans suites aux complications d’une greffe de foie, l’icône des sixties laisse cependant des biens immobiliers et de gros chèques à sa femme et sa sœur.

En empruntant son Walk on the wild side, Lou Reed n’a pas pour autant perdu le sens des valeurs. Décédé le 27 octobre dernier après avoir subi une greffe de foie avant l’été, l’ancien leader du Velvet Underground lègue à sa famille un patrimoine très sérieux. C’est la presse américaine, qui a eu accès à son testament, qui le révèle aujourd’hui.

Les documents officiels ont été déposés lundi devant une cour de New York pour que ses proches puissent hériter. Sans enfants, l’interprète de Sweet Jane lègue à son épouse, Laurie Anderson, un appartement avec toit-terrasse situé sur la 11e avenue de Manhattan ainsi que sa maison des Hamptons estimée à 1,2 million de dollars. La musicienne partageait sa vie depuis le milieu des années 90 et l’avait épousé au cours d’une cérémonie secrète dans le Colorado en 2008. Elle reçoit également une collection de bijoux, d’œuvres d’art, de voitures et de bateaux ayant appartenu à l’idole.

Proche de sa soeur, Lou Reed lui laisse un quart de sa fortune ainsi qu’un compte approvisionné à hauteur de 500 000 dollars pour prendre soin de leur mère, âgée de 93 ans, avec qui il avait coupé les ponts. Plus jeune, c’est elle qui lui avait imposé des séances d’électrochocs pour « soigner » son homosexualité. Dans les documents épluchés aujourd’hui, on peut lire le message posthume : « C’est mon espoir, et mon désir, sans imposer aucune obligation légale, que ma sœur utilise une portion de cet argent pour aider à prendre soin de notre mère ».

Son manager ainsi que son comptable – Robert et David Gotterer – seront maintenant chargés de gérer les licences et droits d’auteur en ce qui concerne son catalogue. Lou Reed au cours de sa longue carrière avait composé quelques uns des hymnes les plus populaires du rock et notamment Perfect Day, Satellite of Love, Berlin, Pale blue eyes ou encore Sunday Morning.

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Très présent sur les plateaux télé à l’occasion de la promotion de son dernier livre, La tête ailleurs, Nicolas Bedos ne manque jamais une occasion de tacler son ancien acolyte de soirée Frédéric Beigbeder. Muet jusqu’alors, l’écrivain a riposté hier sur le plateau de Yann Barthès.

Il y a décidément de l’eau dans le gaz entre les deux amis germanopratins. Hier soir dans le Petit Journal de Yann Barthès, Frédéric Beigbeder a remis de l’huile sur le feu dans la polémique qu’il l’oppose à Nicolas Bedos. « Il est très énervé en ce moment, s’est-il amusé sur Canal +. Je crois que ce n’est pas à cause de cette pétition. C’est parce que dans Le cercle, l’émission que j’anime, des journalistes ont égratigné son film Amours et Turbulences. Et cela fait un an qu’il m’insulte, m’injurie partout dès qu’il le peut, simplement parce qu’il refuse le droit à la critique de cinéma. (…) C’est un humoriste mais qui a perdu le sens de l’humour. »

Il faut dire que Nicolas Bedos ne l’a pas épargné lors de chacune de ses sorties médiatiques depuis un mois.Que ce soit dans On n’est pas couché (France 2), Salut les Terriens (Canal +) ou RTL, l’écrivain, comédien et metteur en scène n’y était pas allé avec le dos de la cuillère.

« Il a beaucoup de talent, mais c’est une saloperie, et je le dis en connaissance de cause, a-t-il notamment déclaré sur les ondes de la première radio de France. Il est même le personnage le plus méchant que je connaisse. »

Pas sur de les revoir en soirée ensemble de sitôt.

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En parodiant au premier degré le clip de Kanye West et sa fiancée Kim Kardashian, les deux trublions James Franco et Seth Rogen ne s’attendaient tout de même pas à une réaction des principaux intéressés. Et pourtant…

L’absence de sens de l’humour chez Kanye West ne fait plus aucun doute pour personne, mais la capacité à rire d’elle-même de Kim Kardashian était méconnue. La bimbo qui partage la vie du rappeur a donc fait part sur Twitter de son second degré en félicitant la prouesse parodique de James Franco et Seth Rogen. «Vous m’avez scotchée! Trop drôle» commente la maman de la petite North. Sans rancune, elle va même jusqu’à partager le lien avec ses quelque 18 millions de followers.

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Pas sûr pour autant que Kanye West ait vraiment apprécié la démarche des deux acteurs. Une semaine après la diffusion très commentée de son clip, Bound 2, l’interprète voit aujourd’hui son oeuvre tournée en dérision. James Franco et Seth Rogen, jamais à une galéjade près, se sont donc glissés dans les rôles du rappeur et de sa future épouse dans leur chevauchée sensuelle et musicale.

Le héros de 127 heures incarne un Kanye West très attentif à son flow, tandis que son meilleur ami particulièrement poilu reprend la pose à califourchon de Kim Kardashian. Bien décidés à pousser la blague jusqu’au bout, Franco et Rogen reproduisent à la scène près l’ensemble du clip, renommé pour l’occasion Bound 3. Les compères vont donc jusqu’à s’embrasser goulument sur la bouche comme le faisaient tout naturellement Kim et Kanye. Les élèves ont-ils dépassé le maître, selon vous?

Elles ont cinquante ans et plus et savourent la vie comme des ados. Bienvenue dans la happy life !

Elles ont un demi-siècle. Une vie, il y a encore cent ans. Magie du progrès, d’une meilleure condition physique et d’un esprit affûté au contact d’une société en pleine mutation, les nouvelles quinquas décoiffent. Une étude réalisée par Balsamik, nouvelle ligne de vêtements vendue sur Internet, avec Ipsos leur a même trouvé un petit nom: les quinquados.

Bien dans leur vie, bien dans leur corps et bien dans leur tête, ces abonnées à la décennie des cinq accèdent à une plénitude inconnue jusqu’alors. « C’est comme une divine surprise de la vie, une sensation inespérée sur arrière fond de sérénité, une griserie », explique Jean-Claude Kaufmann, sociologue.

«La cinquantaine est une période très importante, où l’on réalise qu’on a déjà vécu plusieurs vies et où l’on prend conscience que le temps est extrêmement précieux», confirme l’actrice américaine et égérie L’Oréal, Julianne Moore, cinquante-deux ans. Libérées de l’éducation des enfants, allégées de certaines lourdeurs du quotidien, «elles savourent l’état d’individuation où l’on s’attache à cultiver les parties de soi laissées jusqu’alors en jachère», explique Florence Servan-Schreiber, auteur de Trois kifs par jour, aux éditions Marabout.

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Une nouvelle passion, une cause humanitaire… certains choix se font sur un coup de tête mais résultent parfois d’une maturation vieille… de cinquante ans! A cinquante-cinq ans, l’actrice américaine Sharon Stone s’est vue décerner le Prix de la Paix lors du sommet mondial des Prix Nobel de la Paix à Varsovie, en Pologne, en octobre dernier, pour son implication dans la lutte contre le sida.

A l’aube de la cinquantaine, même le goût du bonheur gagne en intensité. «Le bonheur, c’est de réaliser quand il est là, et ne pas toujours être dans l’attente. C’est le privilège de l’âge», confiait Inès de la Fressange au magazine Point de Vue. A cinquante-six ans, l’ambassadrice de la maison Roger Vivier s’apprête à relancer sa marque, prône l’estime de soi pour L’Oréal Paris et savoure la douceur de l’amour qui s’est invité à nouveau dans sa vie, en la personne de Denis Olivennes.

Dans quinquados, l’«ado» n’est pas celle qu’on croit. Même si Demi Moore, cinquante et un ans, a appliqué la définition à la lettre au point de déboussoler complètement ses filles, Rumer, vingt-cinq ans, Scout LaRue, vingt et un ans et Tallulah Belle, dix-neuf ans, après deux ans de descente aux enfers, post-rupture d’avec Ashton Kutcher. Depuis la mythique héroïne du film Ghost a trouvé la voix de la sagesse auprès du gourou sikh Hargopal Kaur Khalsa, lors d’un voyage spirituel dans la ville sacrée de Dharamshala, en Inde.

Leurs oisillons hors du nid, ces cinquantenaires ne veulent pas ou plus se cantonner à leur rôle de mère, mais rester cette jeune fille qui écoute son iPod, traîne avec ses copines dans les boutiques sans pleurer sa jeunesse passée façon Noémie Lvovsky dans l’épatant film Camille redouble. La fantaisie n’est pas l’apanage des teenagers. D’autant que chez ces précurseurs, l’âge reste, somme toute, très abstrait.

Toujours selon l’étude Balsamik/Ipsos, 92 % des femmes interrogées ont l’impression d’avoir en moyenne treize ans de moins que leur âge réel! Qui dit ado, dit crise, même chez une quinqua! Celle-ci à défaut de se retourner contre la figure parentale prend de faux airs de microrébellion personnelle. «Elles ne se racontent plus leur vie, elles la vivent pleinement, poursuit Jean-Claude Kaufmann. Elles deviennent artiste de leur existence.» Michèle Laroque a ainsi invité des anonymes à financer son prochain film, Jeux dangereux, sur Internet. Une initiative totalement inédite qui, le projet une fois amorti, permettra de reverser les bénéfices correspondant à la somme versée par le public à des associations caritatives et à de jeunes créateurs.

Libérées du regard des autres et de leur propre jugement – souvent le plus destructeur –, ces quinquados s’autorisent finalement la plus avisée des folies: être elles-mêmes. Vivement la cinquantaine!

C’est un changement d’importance pour le biopic consacré à Laurent Fignon puisque Lorànt Deutsch, qui devait à l’origine incarner le champion cycliste, sera remplacé par Samuel Le Bihan. Une décision prise pour des raisons artistiques.

C’est ce qui s’appelle se faire coiffer au poteau. Longtemps pressenti pour jouer le rôle de Laurent Fignon dans le biopic sur lequel planche Fabien Onteniente, Lorànt Deutsch s’est fait doubler dans la dernière ligne droite par un concurrent qu’il n’avait pas vu venir, Samuel Le Bihan.

L’interprète, fidèle complice d’Onteniente qui l’a déjà fait tourner trois fois dans Jet Set, Trois Zéros et Disco, a en effet été préféré à Lorànt Deutsch, pour des raisons physiques comme le réalisateur l’explique dans Le Parisien. «En fait, nous avons choisi de modifier le biopic en utilisant, pour raconter les premières années de sa vie de coureur cycliste, des images d’archives de Laurent Fignon, confie le réalisateur. Pour l’autre partie de sa vie, en particulier la dernière année où il était malade et pendant laquelle il a continué à être consultant sur le Tour pour France 2, on a préféré confier le rôle à Samuel Le Bihan. Comme durant cette période, il n’était plus physiquement le même homme, il nous a semblé que Samuel Le Bihan correspondrait mieux à sa morphologie que Lorànt Deutch».

Le biopic s’intitulera La dernière échappée et s’intéressa donc à la vie et à la carrière de Laurent Fignon, double vainqueur du Tour de France en 1983 et 1984, décédé d’un cancer le 31 août 2010 à l’âge de 50 ans. Thierry Clopeau, Patrick Chêne et Kalt Productions ont participé à ce projet qui sera diffusé sur France 2 et non sur grand écran. Le tournage doit débuter fin janvier à Paris puis dans les Pyrénées. Le prochain Paris-Nice au mois de mars servira également de décor naturel pour certaines scènes. Samuel Le Bihan n’a plus que quelques semaines pour se mettre en jambes et être prêt pour son rôle de Laurent Fignon.