La bande-annonce du long métrage “Dark Skies” de Scott Stewart avec Keri Russell a été dévoilée.

La bande-annonce de Dark Skies de Scott Charles Stewart (Priest, Légion – L’Armée des anges) vient d’être dévoilée. Dans ce film fantastique, Keri Russell et Josh Hamilton incarnent les parents d’un enfant de 6 ans qui se rendent compte que celui-ci a été “marqué” par des extra-terrestres pour un futur enlèvement. Dark Skies sortira le 22 février 2013 aux Etats-Unis.

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Découvrez la bande-annonce de “A glimpse inside the mind of Charles Swan III”, deuxième long métrage de Roman Coppola, avec Charlie Sheen, Jason Schwartzman et Bill Murray.

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Bill Murray en cowboy, Jason Schwartzman barbu : voila entre autres ce qui vous attend dans la bande-annonce de A Glimpse Inside The Mind of Charles Swan III, le deuxième long métrage de Roman Coppola, dix ans après CQ. C’est Charlie Sheen qui joue le rôle-titre, un graphiste en crise après s’être fait plaquer par se petite amie, dans l’Amérique des seventies. La date de sortie française du film, qui sera sur les écrans américains en février, n’a pas été encore fixée.

S’ils sont officiellement séparés depuis cet été, les deux acteurs ne se privent pas de sorties en famille. Un premier pas vers la réconciliation?

Tout n’est pas perdu. Tandis qu’ils avaient officiellement annoncé cet été qu’ils effectuaient une pause dans leur mariage, un «break», selon l’expression consacrée, Catherine Zeta-Jones et Michael Douglas se sont récemment baladés en famille. Certes, pas grand-chose, juste une promenade avec leurs enfants, Dylan, 13 ans, et Carys, 10 ans, histoire de se retrouver ensemble à table en cette période de fêtes dans un restaurant italien de Manhattan, puis d’applaudir en matinée la comédie musicale Motown, du côté de Broadway. Un peu plus tard dans la soirée, ils se sont fait une toile tous les quatre dans un cinéma du quartier qui passait Le Hobbit, la désolation de Smaug. Un film parfait pour les gamins, idéal pour se changer les idées.

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A vue de nez, les ponts ne sont pas complètement coupés et les alliances, comme la bonne humeur étaient ce jour-là, de sortie. Un peu plus tôt en décembre, le couple se fendait en effet d’une visite dans le vaste campus d’une école privée hors de prix de Westchester County, dans l’état de New York, pour peut-être y inscrire l’année prochaine leur grand fils. Même fâchés, il y a des priorités, des rendez-vous à ne pas manquer, surtout pour les enfants.

Il n’empêche, l’année 2013 fut funeste pour le couple Douglas/Zeta-Jones, après quatorze ans de vie commune. S’il n’est pas question de divorce, une procédure qui mettrait Michael quasiment sur la paille, selon les termes de leur contrat de mariage, le climat conjugal reste mitigé, même si ces quelques signes de réconciliation peuvent annoncer une embellie. A l’image des récents propos de Michael Douglas dans l’émission de Jay Leno, où il a déclaré au sujet de son couple: «Ça ne va pas trop mal, j’espère. Je me suis éloigné quelque temps, mais tout devrait rentrer dans l’ordre.» Il a ajouté: «Il arrive que les gens aient besoin de faire une pause, mais ça ne signifie pas forcément que c’est la fin. Je suis très optimiste.» Quant aux causes de ce désordre, elles sont surtout imputables aux accidents de la vie: un cancer de la langue pour Michael Douglas qui a bien failli l’emporter, et des troubles bipolaires récurrents pour Catherine Zeta-Jones qui lui ont valu, au printemps dernier, un nouveau séjour en hôpital psychiatrique. Sans oublier les soucis et les conflits engendrés par les frasques du fils de Michael, Cameron – issu de son premier mariage avec Diandra Luker –, qui purge actuellement une peine de prison pour des affaires de drogue. Bref, si tout n’est pas encore réglé, cette sortie en famille place en tout cas l’année 2014 sous les meilleurs auspices pour le couple Michael Douglas/ Catherine Zeta-Jones. Comme pour leurs enfants.

Gearing up for its most challenging space mission, Indian Space Research Organisation (Isro) is leaving no stone unturned to make the Chandrayaan-2 mission a success. Unlike the first lunar mission when a PSLV rocket carried the spacecraft to the moon’s orbit, this time heavy-payload lifter GSLV Mk II will launch the spacecraft weighing 3,290kg as the module will carry an orbiter, a rover and a lander to the moon.

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Giving exclusive details about the mission, Isro chairman Dr K Sivan told TOI, “Chandraayan-2 is a challenging mission as for the first time we will carry an orbiter, a lander and a rover to the moon. The launch date schedule is sometime in April. Once the GSLV rocket carrying the spacecraft is launched from Sriharikota, the orbiter will reach the moon’s orbit in one to two months. (The moon’s orbit is 3,82,000km away from the earth’s surface).”

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Petit à petit, Jennifer Lopez prépare son retour. Son huitième album est en route et la chanteuse veut le faire savoir: elle vient de sortir le clip de son nouveau single, Same Girl.

Retour dans le Bronx pour la bomba latina: comme elle avait pu le faire à l’époque de Jenny From The Block, Jennifer Lopez annonce son prochain opus avec une chanson qui insiste sur ses origines dans le ghetto de New York. Avec Same Girl c’est clair: elle rappelle que le succès ne l’a pas changée, et qu’elle toujours la même.

Afin de le prouver, la chanteuse quitte pour les besoins du clip son appartement luxueux, prends le métro et se balade dans son ancien quartier. Elle n’hésite pas à répondre aux sollicitations des badauds qui la reconnaissent : J-Lo se montre accessible pour se racheter une “street cred” (celle d’une ‘vraie’ fille de la rue ndlr). Un mirage marketing légèrement ridicule pour celle qui a été sélectionnée pour chanter l’hymne de la Coupe du Monde 2014.

Toutefois, on peut rapprocher cette décontraction de la récente volonté de la diva de se « détendre ».Jennifer Lopez a en effet décidé de prendre la vie avec plus de légèreté, et d’arrêter notamment de surveiller excessivement sa ligne. En voilà une bonne nouvelle!

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C’est officiel. Lors de son passage en Chine pour la promotion du film Transcendance, Johnny Depp arborait fièrement une bague de fiançailles.

C’est un Johnny Depp tout sourire qui a foulé pour la première fois le sol chinois ce week-end. Et pour cause, l’acteur portait une bague à l’annulaire de la main gauche. Et lorsqu’un journaliste lui a demandé s’il été fiancé, l’acteur a répondu en riant, « Le fait que je porte une bague de nana à mon doigt est probablement un signe flagrant. ». Il confirme donc les rumeurs qui couraient depuis plusieurs mois concernant ses fiançailles avec Amber Heard, l’actrice de 3 Days to Kill.

La comédienne sera a priori en charge du mariage puisque son pirate de fiancé a déclaré: « Je pense que je serais meilleur pour fabriquer des chaussures pour femmes que pour organiser un mariage. Je suis incapable de planifier quoi que ce soit. » On ne peut pas tout avoir. Amber Heard, de 23 ans sa cadette, a été vue récemment portant une bague identique. Elle a donc réussi à mettre la main sur le comédien à peine deux ans après l’avoir rencontré sur le tournage de Rhum Express. Avant cela, Depp a vécu pendant 14 ans avec Vanessa Paradis. Le couple a eu deux enfants, Lily-Rose (née en 1999) et John (né en 2002).

L’acteur n’est pas venu en Chine simplement pour exposer son bonheur mais pour la promotion de son nouveau film Transcendance. Il en a profité pour rencontrer le public de l’Empire du Milieu. Prenant ses fans dans les bras, l’ex-mari de Vanessa Paradis a pris le temps de poser pour un nombre incalculable de photos. Si les visites de stars américaines en Chine sont assez rares, elles devraient se multiplier tant l’accueil est enthousiaste. « Dès les premières secondes en Chine j’ai été impressionné. C’est magnifique. J’adorerais tourner un film ici. Je pourrais facilement vivre ici, les gens sont très chaleureux. ».

On comprend la réaction de l’acteur quand on voit qu’il a été élevé au rang de rockstar dès le premier soir de sa tournée de deux jours. Dans les locaux d’une usine soviétique désaffectée et transformée en salle de concert, Johnny Depp s’est retrouvé sur scène, guitare à la main, devant plus de 1000 spectateurs. Il a donc pu démonter ses talents de musicien aux côtés d’une super star locale, le chanteur de R&B/Hard Rock (apparemment cela existe) David Tao. Ce concert inédit a fait le bonheur des fans venus en masse pour rencontrer l’acteur de Pirates des Caraïbes.

La Chine a été choisie pour deux raisons lors de cette tournée promotionnelle. Tout d’abord parce que l’un des producteurs du film, la société DMG, est une entreprise chinoise basée à Pékin. Mais aussi parce que la Chine est devenue le deuxième plus gros marché mondial du box-office. Johnny Depp vient donc y vendre le film dans lequel il évolue aux côtés de Rebecca Hall et de Morgan Freeman. Il sortira en France le 4 juin prochain. Réalisé par Wally Pfister, Transcendance raconte l’histoire d’un scientifique en phase terminale qui décide de transférer le contenu de son cerveau sur un ordinateur. Une action qui va lui donner un pouvoir démesuré…

On ne voyait que le bonheur (Editions JC Lattès) est l’un des romans les plus attendus de la rentrée. De passage à La Colombe d’Or, l’écrivain nous présente en exclusivité sa joyeuse tribu…

Gala : Vous êtes un homme de pub, vous dirigez votre propre agence. Comment êtes-vous devenu, sur le tard, romancier ?

Grégoire Delacourt : Depuis que je suis le patron de mon entreprise, j’arrive à beaucoup mieux gérer mon temps. Pendant de nombreuses années, j’ai vécu l’enfer d’une dizaine d’heures de réunion par jour, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Comme j’écris pour la publicité depuis plus de trente ans, je me suis dit que le moment était venu de voir si j’étais capable d’écrire non seulement une histoire, mais de mener un projet littéraire jusqu’au bout. Il y a quelques années encore, cela me paraissait un challenge insurmontable ! L’écrivain de la famille, mon premier roman, est donc sorti en 2011. Je venais d’avoir cinquante ans.

Gala :On ne voyait que le bonheur en explore la fugacité. Mais il s’intéresse aussi à la fragilité du couple et à la lâcheté des hommes. Vos thèmes de prédilection ?

G. D. : Ces sujets sont chez moi légèrement obsessionnels. Ils me passionnnent d’autant plus que je n’ai toujours pas trouvé de réponses à ces problématiques. Le couple, le bonheur, la famille, j’aime qu’il y ait cette dimension sociale dans mes livres. Dans ce nouveau roman, j’ai vraiment donné des choses très personnelles. Il vient de loin. Au point de me sentir un peu groggy !

Gala : Pourquoi y offrez-vous une vision aussi négative du couple ?

G. D. : Le couple, il n’y a rien de plus compliqué ! Au départ, vous avez une rencontre sur une envie commune. Ensuite, les malentendus commencent à s’installer avec pour constat « je ne reconnais plus la femme que j’ai épousée, c’en est une autre ». Le « aimer pour la vie » est un petit mensonge. Tôt ou tard, chacun prend un chemin différent…

Gala : Mais le mariage, vous y croyez tout de même, puisqu’après un divorce, vous avez de nouveau convolé !

G. D. : Cela peut vous paraître paradoxal, mais oui, heureusement que j’y crois ! Vivre ensemble, c’est super dur et magnifique. Je suis hanté par l’idée de profiter de mon couple chaque seconde qui passe, car je sais pertinemment que l’état amoureux permanent n’existe pas en continu. Sans parler du bonheur, tellement fragile, un peu comme un oiseau qu’on aurait du mal à attraper. Plus je vieillis, plus je me dis que l’on se gâche à ne pas savourer l’instant. C’est maintenant qui compte, pas l’avenir.

Gala :Dans la liste de mes envies, vendu à plus d’un million d’exemplaires en France et traduit en trente-cinq langues, vous vous êtes glissé dans la peau de Jocelyne, qui vient de gagner au Loto. Vous aimez ce genre d’exercice au féminin ?

G. D. : Pour moi, c’est jubilatoire. Je me suis toujours senti en empathie avec les femmes, beaucoup plus qu’avec les hommes, qui m’intéressent assez peu. Je suis issu de la petite bourgeoisie balzacienne du Nord. J’ai grandi à Valenciennes – mon père était marchand de tissus -, entouré de grand-mères, de tantes. Sans parler de ma mère, avec laquelle j’ai une réelle complicité. Je la revois encore en vacances à La Baule avec les enfants et les femmes de la famille. Durant la sieste des petits, elles buvaient ensemble du Campari et fumaient des cigarettes. Leur élégance me fascinait.

Gala : Quelles sont les petites folies que vous vous êtes accordées avec vos droits d’auteur ?

G. D. : Cet argent, je le considère comme un cadeau qui va me permettre de ne pas m’inquiéter pour ma retraite, ce qui est déjà énorme. Pour l’instant, je n’ai pas d’envies particulières, ni voiture ni Rolex. Je n’ai même pas eu le temps de projeter des voyages… Le luxe, le bling-bling, ce n’est pas mon truc.

Gala : Quel rôle joue votre épouse dans votre réussite ?

G. D. : Enorme ! C’est finalement grâce à elle que j’écris. Elle m’a rassuré, m’a donné confiance en moi. Elle m’a autorisé à oser y aller, sans obligation de résultat. Elle m’a toujours dit : « Si ça ne marche pas, aucune importance, tu l’auras au moins fait pour toi ! »

Gala : Votre succès a-t-il changé vos rapports avec vos quatre enfants ?

G. D. : C’est motivant pour eux de voir que leur vieux chnoque de père a gagné son pari ! Cela leur donne envie de croire que réaliser ses rêves est possible, et à n’importe quel âge. Et surtout que l’on peut réussir en se faisant plaisir. J’ignore si je suis un bon père. Pas facile d’assurer un rôle social et celui de papa, surtout après une journée pourrie ! En plus, après mon divorce, je ne les ai pas toujours eus avec moi. Aujourd’hui que je suis devenu plus adulte, plus serein, je crois que ma famille, c’est vraiment maintenant que je la construis. Ce n’est finalement pas grave si l’harmonie a mis du temps à s’installer…

Hollywood film director and far-left social media personality Rob Reiner expressed hope Wednesday that the incoming Congress will bring “accountability” to government and predicted the country “will be rid of this lying malignant narcissistic cancer” — a veiled reference to President Donald Trump.

“Where to begin. The corruption & criminality is overwhelming,” Rob Reiner said. “But starting tomorrow finally there will be accountability. And when the dust settles, we will be rid of this lying malignant narcissistic cancer. Happy New Year.”

Reiner, among Hollywood’s most vocal critics of President Trump, frequently calls for the president to be removed from office and criminally charged, citing purported collusion between the Russian government and the Trump campaign – evidence of which, special counsel Robert Mueller has yet to reveal despite his nearly two-year investigation into the matter.

The All in the Family star even made his New Year’s resolution in 2019 to “Get him [Trump] the fuck out of the White House.”

According to Axios, the Democrats, who will hold a majority in the House come Thursday, are considering targeting 85 Trump-related “subjects,” which includes investigations and possible subpoenas into the firing of former FBI Director James Comey and the president’s tax returns.

The 85 subject targets — referred to as the “Democratic hit list” will be looked into in phases. Incoming House intelligence chair Adam Schiff (D-CA) told Axios that House panels will employ separate strategies regarding their inquiries into the president. Further, Schiff told Axios that Democrats could probe President Trump’s behavior toward the press, stating “It is very squarely within our responsibility to find out” whether the White House is attempting to harm CNN and the Washington Post — arguably two media outlets most critical of the Trump presidency — using “instruments of state power.”

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British government split over plan to use foreign aid to win Brexit support

Disagreement over plan to divert foreign aid spending to eastern European countries.

U.K. ministers have clashed over plans to divert billions of pounds of foreign aid spending to eastern EU countries, in exchange for support in the upcoming Brexit negotiations, the Sunday Times reported.

Senior cabinet ministers and officials in Downing Street believe that the aid used for wasteful projects in Asia and Africa from the U.K.’s £12 billion annual aid budget, could instead be diverted to countries such as Poland, Hungary and the Baltic states.

Officials at the Department for International Development have balked at the proposal, which they say is illegal. Under international rules, the only countries in eastern Europe that qualify for overseas development spending are Ukraine and Albania, both of which are outside of the EU.

“We don’t set the rules. The OECD [Organisation for Economic Co-operation and Development] decides which countries are eligible for ODA [official development assistance] spending,” a senior government source told the Times. “The eastern European countries in the EU don’t count.”

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According to a new report, Chicago police are investigating the possibility that actor Jussie Smollett worked with two men to stage an attack against him last month.

Jussie Smollett claimed to be the victim of an attack in downtown Chicago in January. The Empire actor said that two men in masks beat him, wrapped a rope around his neck, put a chemical on him and called him racial and homophobic slurs. He also said that the attackers yelled “This is MAGA country!”

Now, Chicago police have identified two persons of interest, both of whom are reportedly Nigerian and appeared on Empire as extras.

ABC7 Chicago reports:

Mere moments after the ABC report, the Chicago Police Department issued a firm refutation, saying, “Media reports anout the Empire incident being a hoax are unconfirmed by case detectives.”

“Supt Eddie Johnson has contacted @ABC7Chicago to state on the record that we have no evidence to support their reporting and their supposed CPD sources are uninformed and inaccurate,” the department’s spokesman Anthony Guglielmi said Thursday.

During a tearful interview that aired on Good Morning America Thursday, the 36-year-old actor said that he was “pissed off” at those who didn’t believe his story.

“It’s like, you know, at first it was a thing of like, listen, if I tell the truth then, that’s it, because it’s the truth. Then it became a thing of, like, oh, how can you doubt that?” he said.

“Like, how can you not believe that? It’s the truth. Then it became a thing of, like, oh, it’s not necessarily that you don’t believe that this is the truth. You don’t even want to see the truth.”