Month: February 2020

Chez Chanel bien sur les stars internationales se pressent au premier du show made by Karl Lagerfeld, mais cette saison un nouveau couple glamour a fait son entrée remarquée dans le monde impitoyable du front-row. Jade et Arnaud Lagardère entrent en piste.

Toutes les fidèles sont là. Certaines ont même fait le voyage expressément pour féliciter Karl Lagerfeld et faire leur shopping prévisionnel. Mais au milieu de la faune d’habitués de chez Chanel se dresse aujourd’hui un duo inattendu et adorable. Une fois n’est pas coutume, Jade et Arnaud Lagardère se sont autorisés une escapade à leur quotidien de jeunes parents.

La sublime maman de la petite Liva n’est pas si étrangère au monde de la Fashion Week. Modèle pour plusieurs griffes de prêt-à-porter, Jade se retrouve ici de l’autre côté du podium. En Chanel de la veste aux cuissardes, la belle n’a rien à envier aux égéries maison. Plus femme que jamais, l’épouse d’Arnaud Lagardère a coupé ses longs cheveux bruns pour un carré plus libre. Sur Intagram le mannequin qu’elle est s’est amusée d’avoir malheureusement loupé le passage de Miranda Kerr, grimée en muse Chanel sous une perruque géométrique.

Impossible de faire l’impasse sur la présence d’autres têtes d’affiches de ce défilé sous la nef du Grand Palais. Katy Perry a croisé son ex-actuel meilleur copain Baptiste Giabiconni, Rita Ora en Chanel à plumes s’est posé au photocall, Marine Vact était jeune et si jolie, Vanessa Paradis all black et Alma Jodorovski bohème.

Moment bonus à la sortie du défilé entre Rita Ora et Cara Delevingne. La chanteuse à attendu la sortie de sa meilleure amie mannequin, lookée en écolière du style, pour repartir avec elle et l’aider à faire ses devoirs du professeur Lagerfeld?

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Ils se retrouveront finalement le 26 juin 2015 dans les cinémas américains pour de nouvelles aventures. Mark Wahlberg et son meilleur copain poilu Ted ont signé pour une suite, dont la date de tournage n’a pas encore été annoncée. Et si le réalisateur Seth MacFarlane avait d’abord prévu une sortie pour le printemps 2015, Universal a décidé très officiellement que Ted 2 devait en définitive revenir un peu plus tard, pour l’été.

Il y a un mois, Seth MacFarlane annonçait sur Twitter que ses héros rempilaient pour donner une suite à Ted. Gros succès au box-office, l’histoire d’amitié improbable entre un adulte et son ours en peluche vulgaire avait rapporté près de 550 millions de dollars à travers le monde. Une poule aux oeufs d’or à laquelle l’équipe n’est pas prête à renoncer.

Et, tout juste diplômé du baccalauréat, l’interprète du personnage principal, Mark Wahlberg, n’est semble-t-il pas encore prêt à grandir. en tout cas à l’écran. L’acteur de The Yards retrouvera son « teddy bear » préféré le 26 juin 2015. Une année très chargée en pop-corn movies puisque les fans attendent aussi la suite du film de super-héros Avengers, celles des aventures communes de Batman et Superman, Jurassic Park 4 ou encore les tout dernier James Bond et Terminator.

C’est pourquoi les studios Universal ont décidé de décaler la sortie de leur long-métrage comique. Sans gros concurrent pour sa date de sortie, au début de l’été, Ted 2 devra pourtant miser sur de nouveaux gags pour séduire le public. Une tache à laquelle s’attèle volontiers Seth MacFarlane, déjà derrière le cadre sexe, drogues et jurons du premier opus. Mais avant de se plonger dans le script, l’auteur a encore du pain sur la planche, puisqu’il travaille déjà sur son prochain film: A million ways to die in the west, avec Charlize Theron, Neil Patrick Harris et Liam Neeson.

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Difficile pour n’importe quel film de se soumettre à l’avis d’un expert en la matière. Gravity relève le défi haut la main en récoltant la critique élogieuse de Buzz Aldrin, deuxième homme à avoir marché sur la Lune. L’astronaute américain livre son avis sur le réalisme du film et sur les prestations des acteurs au magazine The Hollywood Reporter.

« Nous n’étions sans doute pas aussi insouciants que Clooney et Sandra Bullock. On ne racontait pas trop d’histoires drôles lorsque des membres de notre équipe étaient en danger à l’extérieur de la navette, mais je pense que cela témoigne de l’humanité qui émane des personnages. Le film pose un regard très juste sur la beauté de la Terre… »; Buzz Aldrin est conquis.

A 83 ans, l’astronaute américain porte un regard admiratif sur la réalisation d’Alfonso Cuaron. Pour lui, même si les dialogues prennent des libertés avec le stress et la concentration propres à l’équipage en situation réelle, les images du film Gravity l’ont tout simplement bluffé. « J’ai été extrêmement frappé par le réalisme avec lequel la sensation d’apesanteur est représentée dans le film. J’ai vu des astronautes traverser la station spatiale exactement comme on le voit dans le film. (…) J’ai été heureux de voir quelqu’un se déplacer autour de la navette, comme le fait George Clooney. Cela montre à quel point, dans l’espace, on est déphasé et on se heurte facilement les uns aux autres » a t-il expliqué.

Dans ce long-métrage emmené par le duo d’amis Sandra Bullock et George Clooney, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale accompagne l’astronaute Matt Kowalsky pour sa première expédition à bord d’une navette spatiale. Mais une catastrophe se produit et les deux comparses se trouvent livrés à eux-mêmes. « Le sentiment de vertige est inévitable – peut-être pas aussi fort – mais on a certainement eu de la chance que personne, à ce jour ne se soit retrouvé dans ce genre de situations. Je crois que cela nous rappelle que l’espace comporte des dangers, surtout lorsqu’on s’aventure hors de la navette spatiale » commente Buzz Aldrin. Le film sort dans les salles obscures françaises le 23 octobre prochain.

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Après quatre jours de passion, d’amitié, de convivialité, le Festival de cinéma de Saint-Jean-de-Luz s’est clôturé hier soir. Nous y étions.Découvrez le palmarès de ce festival audacieux qui met en lumière les premiers et deuxièmes films d’une nouvelle vague de réalisateurs, ainsi que les personnalités qui ont marqué cette semaine luzienne.

Hier soir, c’est avec beaucoup d’émotion qu’André Dussollier, entouré de son jury (composé d’Anne Le Ny, Alice David, Aurélien Recoing, Sarah Kazémy, Audrey Estrougo, Pascal Demolon), a présidé la cérémonie de clôture du Festival des Jeunes Réalisateurs. Il a ainsi participé à la remise des fameux chisteras (clin d’oeil aux paniers utilisés pour la pelote basque) aux meilleurs premiers et deuxièmes longs et courts métrages sélectionnés cette année à Saint-Jean-de-Luz.

Impressionné par la sélection, l’acteur aux 120 films a tenu à saluer l’audace de ces réalisateurs qui font leurs premiers pas derrière la caméra. La sélection de Saint-Jean-de-Luz est en effet l’une des rares à privilégier les prises de risques et les sujets parfois durs et dérangeants. Les Luziens, loin d’être découragés par ces thèmes, se sont laissés séduire puisque le cinéma local le Sélect a, selon les chiffres annoncés par le directeur artistique Patrick Fabre hier soir, battu des records d’affluence tout au long du festival. Une belle preuve que le public a un goût beaucoup plus large qu’on le dit parfois.

Côté avant-premières, c’est François Cluzet qui ouvrait le bal avec son prochain film En Solitaire, réalisé par Christophe Offenstein (en salles le 6 novembre). L’acteur avait fait le déplacement avec sa femme Narjiss, et son partenaire Samy Seghir. En clôture, le film de Nabil Ben Yadir, La Marche, sur la grande marche pour l’égalité et contre le racisme qui a eu lieu il y a trente ans, a achevé d’émouvoir les festivaliers touchés par les films projetés cette semaine. Notamment par Attila Marcel, avec Guillaume Gouix, Anne Le Ny et Fanny Touron en salles le 30 octobre, petit bijou de Sylvain Chomet, qui après les Triplettes de Belleville et l’Illusionniste, se lance dans la réalisation en images réelles. Ou encore par Une Histoire Banale d’Audrey Estrougo, avec Marie Denarnaud, magistrale en jeune femme violée qui tente de retrouver une vie normale.

En photos: les personnalités qui ont marqué l’édition 2013 du Festival des Jeunes réalisateurs.

Voici le palmarès complet des films récompensés hier à Saint-Jean-de-Luz:

CHISTERA DU MEILLEUR RÉALISATEUR

> Ritesh BATRAPour le film THE LUNCHBOX (Inde) Distribué par Happiness Distribution – Sortie en salles le 11 décembre 2013

CHISTERA DU MEILLEUR FILM

> LE GÉANT ÉGOÏSTE de Clio Barnard (Royaume-Uni) Distribué par Pyramide Distribution – Sortie en salles le 18 décembre 2013

CHISTERA DE LA MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE

> Juliane KOHLERPour le film D’UNE VIE À L’AUTRE de Georg Maas (Allemagne) Distribué par Sophie Dulac Distribution – date de sortie non déterminée

CHISTERA DE LA MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE

> Irrfan KHAN Pour le film THE LUNCHBOX de Ritesh Batra (Inde) Distribué par Happiness Distribution – Sortie en salles le 11 décembre 2013

CHISTERA DU COURT MÉTRAGE

> VÉHICULE ECOLE de Benjamin Guillard (France)

Le public s’est aussi exprimé à travers deux votes:

CHISTERA DU PUBLIC LONG MÉTRAGE
> D’UNE VIE À L’AUTRE de Georg Maas (Allemagne) Distribué par Sophie Dulac Distribution – date de sortie non déterminée

CHISTERA DU PUBLIC COURT MÉTRAGE

> CE SERA TOUT POUR AUJOURD’HUI d’Elodie Navarre (France)

Le jury jeune, composé de 7 lycéens de la région, a choisi de décerner ses prix à :

CHISTERA DU JURY JEUNE LONG MÉTRAGE

> LA PIÈCE MANQUANTE de Nicolas Birkenstock (France) Produit par Juliette Sol / Stromboli Films / Le Bureau Films

CHISTERA DU JURY JEUNE COURT MÉTRAGE

> POUR LE RÔLE de Pierre Niney (France)

CHISTERA + DU COURT MÉTRAGE

> CLEAN de Benjamin Bouhana (France)

Mention spéciale> POUR LE RÔLE de Pierre Niney (France)

Sur Twitter: @camchoteau

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Entre eux, les liens sont fusionnels. Elue reine de beauté de son lycée, Hailie trône depuis bien longtemps dans le cœur de son bad boy de père. Récit.

De loin, il l’observe! Avec les larmes aux yeux du gentil gosse polytraumatisé qu’au fond il n’a jamais cessé d’être. Il détaille avec tendresse la nouvelle reine du lycée: son sourire ivoire, ses cheveux blond WASP, sa couronne de pacotille… En temps normal, cette scène à la Britney Spears aurait suffi a provoquer le flux de bouche vengeur de Slim Shady. Mais, en cette journée ensoleillée d’octobre, Eminem n’a pas envie de jouer les gros durs. Sur le terrain de football du Chippewa Valley High School, l’établissement du Michigan où elle est scolarisée, Hailie semble si contente de son diadème. Anxieux de ne pas gâcher sa joie en provoquant un mouvement de foule inapproprié, le rappeur fait preuve d’une délicatesse inattendue. Avant la cérémonie, il a demandé au directeur de lui trouver une cachette.

Maintenant, tranquillement installé dans une salle de classe, il partage son bonheur. Bouche bée! Lui le contorsionniste qui vient d’aligner pas moins de cent un mots en seize secondes sur Rap God, le titre extrait de Marshall Mathers LP 2, son prochain album à paraître le 5 novembre! Depuis, le premier jour, Hailie le laisse sans voix. Ou presque: «A l’improviste, il a ouvert la porte, sourit un parent d’élève. Il nous a dit: “C’est ma fille. Je suis fier d’elle. Fier d’être son père.“» Mais que savent les gens normaux des douleurs qui composent la trame de son enfance? L’abandon du père, la folie de la mère, la pauvreté, les passages à tabac d’un garçon chétif promu souffre-douleur de son quartier pourri, le suicide de son oncle adoré… Sans Hailie, Eminem n’aurait jamais rien commencé. Pour elle, il est prêt à abandonner sa carrière. Le soleil est précieux à ceux qui n’ont longtemps connu que l’orage. C’est dans le regard de sa fille qu’Eminem a puisé la force d’y croire. Elle est son miracle. A sa venue, il n’avait que vingt-quatre ans. Il a promis: «Je serai roi. Je t’offrirai le monde.»

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Il a tenu parole. A dix-sept ans, Hailie connaît une vie de princesse. Evidemment, Kim participe à la fête. Là-bas, sur la pelouse impeccable, l’ex-femme du rappeur réajuste la tenue kitsch de sa fille en souriant aux photographes. Une femme un peu paumée. Mais une maman heureuse. Plus adultes, plus mûrs, ils auraient pu offrir à Hailie, le cadre stable d’une famille solide. Mais ces deux-là n’ont su que se déchirer, abusant de la drogue, se trompant, se frappant, se détruisant. «Papa, maman, je vous aime! Mais il vaut mieux que vous soyez séparés», leur dit Hailie pour les consoler dans leurs moments de blues. Soit! Depuis presque six ans, les amants terribles se partagent la garde de l’adolescente. Kim reconnaît: «Eminem est un mauvais mari, mais un excellent père! En cas d’urgence, même si il est à l’autre bout du monde, il est capable de sauter dans un jet privé et d’être là pour sa fille.» Je permettrai à mon enfant de grandir, de rêver, de connaître le succès et parfois l’échec… Tels furent les premiers mots du code de bonne conduite que la star avait édicté à la naissance de l’enfant. Alors qu’il vient de fêter ses quarante et un ans, le rappeur peut être satisfait. Hailie est une adolescente équilibrée, sportive, bien dans sa peau. Ses efforts ont été couronnés de succès…

Le festival International du film de Rome s’est illustré samedi en récompensant Scarlett Johansson pour son rôle dans Her, de Spike Jonze, Un film dans lequel on ne la voit pas à l’écran et où on n’entend que sa voix.

C’est la meilleure réponse que Scarlett Johansson pouvait apporter à ses détracteurs, à ceux qui doutent de son talent d’actrice et qui affirment que si elle joue dans autant de films et est devenue une tête d’affiche à Hollywood, c’est avant tout pour son physique avantageux et son joli visage. Et c’est le festival international du film de Rome qui lui a apporté cette réponse sur un plateau samedi soir en récompensant l’actrice pour son rôle dans Her, le dernier film de Spike Jonze. ScarJo y interprète en effet la voix d’un ordinateur dont un homme, interprété par Joaquin Phoenix, tombe amoureux. Et de fait, la sublime Scarlett n’apparaît pas à l’écran.

Depuis qu’elle fait du cinéma, la voix de Scarlett Johansson a souvent été remarquée, mélange de tonalité un peu rauque, légèrement éraillée, juste ce qu’il faut pour apporter cette fêlure qui fait son charme. Un organe qu’elle maîtrise parfaitement devant une caméra, mais dont elle se sert très bien également derrière un micro. Tour en privilégiant sa carrière au cinéma, Scarlett Johansson aime parfois pousser la chansonnette. Elle a prouvé que là aussi, elle sait chanter et que sa voix se prête parfaitement à un univers un peu pop, rock, folk. L’album qu’elle a enregistré avec Pete Yorn et sorti en 2009, Break up, a démontré une nouvelle facette de son talent et s’est bien vendu. Lulu Gainsbourg, le fils de Serge Gainsbourg, a lui aussi été séduit par le timbre de Scarlett puisqu’il lui a proposé de chanter avec lui Bonnie and Clyde, sur l’album de reprises de chansons de son père qu’il a sorti en 2012.

Mais que les fans de Scarlett Johansson se rassurent. En attendant de l’entendre sans la voir dans Her, qui devrait sortir en 2014, ils pourront bénéficier du son et de l’image dans Don Jon, le premier film en tant que réalisateur de Joseph Gordon-Levitt. ScarJo y joue le rôle d’une femme qui tombe amoureuse d’un accro aux films X. L’actrice fait parler d’elle avec ce rôle et ses récentes déclarations où elle vante les mérites du porno. La carrière de celle qui va bientôt se marier au Français Romain Dauriac n’est pas près de se retrouver sur une « voix » de garage.

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Olivier Baroux réalisera l’an prochain une comédie d’aventures intitulée “On a marché sur Bangkok”. Kad Merad et Audrey Fleurot en seront les acteurs principaux.

Mais qui a re-tué Pamela Rose ? / © Thomas Brémond / Gaumont – LGM Films

Quatre ans après Safari, Olivier Baroux s’apprête à emmener son compère Kad Merad dans d’autres contrées lointaines. Il réalisera en effet en 2013 la comédie d’aventures On a marché sur Bangkok, où Merad donnera la réplique à Audrey Fleurot (Intouchables). Le tournage de ce film produit par Richard Grandpierre est prévu à partir du mois d’avril prochain, en partie en Thaïlande. A noter que le trio (Kad & O + Fleurot) sera à l’affiche le 5 décembre prochain de la comédie Mais qui a re-tué Pamela Rose ?, co-réalisée par le duo. Vous suivez ?

Clément Cuyer

Le teaser de “Mais qui a re-tué Pamela Rose ?” :

Mais qui a re-tué Pamela Rose ?

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George Clooney pourrait jouer dans “1952”, un mystérieux film de science-fiction réalisé par Brad Bird, le réalisateur de “Ratatouille” et “Mission impossible : le protocole fantôme”.

Des nouvelles de Disney… mais il n’est pas question de “Star wars 7” ! On vous parle de 1952, un mystérieux film de science-fiction, qui serait le deuxième long métrage live de Brad Bird (“Ratatouille”, “Les indestructibles”) après Mission : Impossible – Protocole fantôme. Selon Variety, George Clooney figurerait au casting de ce long métrage centré sur la rencontre, sur Terre, entre un homme et des extraterrestres… Ce projet, sur lequel Disney ne livre aucune information pour le moment, devrait intéresser les fans de la série Lost, puisque le scénario est co-signé par Damon Lindelof (scénariste de “Lost” et “Prometheus”, également producteur de “1952”) et Jeff Jensen (journaliste spécialiste de la série créée par JJ Abrams).

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JD

La bande-annonce de “Mission impossible : protocole fantôme

Mission : Impossible – Protocole fantôme

Kim Kardashian s’aime beaucoup. Plus encore, la starlette s’imagine déjà au Panthéon des personnalités iconiques. Sur son compte Instagram, elle a partagé une photo d’elle, prenant la pose comme Elizabeth Taylor. En toute simplicité.

Décidément, rien n’effraie Kim Kardashian. Quand elle n’est pas en train de chevaucher une moto topless, à califourchon sur son compagnon Kanye West pour son nouveau clip, Kim se prend en photo. La reine des selfies – ces autoportraits pris avec son téléphone portable dont raffole les personnalités – a fait de ses traits fins et de ses grands yeux interrogateurs son fond de commerce. Mais non contente de s’ériger en queen des tabloïds, elle affiche clairement sa volonté de conquérir le monde. Dans sa salle de bain, en noir et blanc, miss Kardashian se photographie, cheveux enturbannés dans une serviette en éponge, cadrant son regard de poupée à faux-cils, main gauche apposée sur son visage. A son annulaire brille sa somptueuse bague de fiançailles… et derrière elle on devine le portrait original d’Elizabeth Taylor.

Une mise en abyme qui semble dire: comme Liz Taylor, moi aussi je suis la Reine du Nil, pardon, du bling. Pour le moment icône de salle de bain, Kim Kardashian partage quelques points communs avec l’actrice, comme ses unions multiples et son amour des pierres précieuses. Mais bien que la brune callypige exhibe fièrement son gros diamant – offert par Kanye West lors de leurs fiançailles en octobre dernier -, Kim est encore loin de celui de 33 carats – soit plus du double du sien – porté par l’héroïne hollywoodienne. Eternelle Cléopâtre, Elizabeth Taylor fascine par sa beauté atypique, ses yeux améthyste, ses huits mariages avec sept hommes, sa collection de bijoux cultes. Une véritable source d’inspiration pour la starlette. Même si l’on cherche encore une éventuelle sex tape avec Richard Burton….

La route est encore longue pour Kim Kardashian avant qu’elle ne devienne l’icône de demain. Heureusement que Kanye West a une moto.

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Joan Fontaine, célèbre actrice hollywoodienne révélée par Alfred Hitchcock, est décédée dimanche à l’âge de 96 ans. Sa carrière, marquée par sa rivalité avec sa sœur Olivia de Havilland, a été couronnée d’un Oscar en 1942.

C’est son assistante personnelle, Susan Pfeiffer, qui a annoncé la nouvelle aux médias américains. Joan Fontaine est décédée dimanche de mort naturelle dans sa maison de Carmel, en Californie. Elle était âgée de 96 ans. L’actrice, quelque peu oubliée aujourd’hui, a marqué l’âge d’or d’Hollywood, sa filmographie étant concentrée sur les années 40, 50 et 60.

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Joan Fontaine est née à Tokyo au Japon en 1917 et arrive aux Etats-Unis en 1919. Sa mère Lilian Fontaine était une actrice britannique connue qui a transmis sa passion du cinéma à ses deux filles, Joan et sa sœur Olivia de Havilland. Les deux femmes ont passé leur vie à se concurrencer et de disputer les rôles. Elles sont les seules sœurs de l’histoire du cinéma à avoir gagné chacune un Oscar de la meilleure actrice. Joan Fontaine en 1942 pour Soupçons, Olivia de Havilland pour À chacun son destin en 1947 et L’héritière en 1950. Elle se sont même retrouvées en compétition l’année où Joan a décroché la précieuse statuette. Loin de s’enthousiasmer de cette emprise sur Hollywood, les deux frangines vivaient une véritable rivalité jusqu’à ne plus se parler ni se voir à partir du milieu des années 70. Joan Fontaine a raconté dans son autobiographie No bed of roses l’ambiance qui régnait entre elles le soir de la cérémonie des Oscars de 1942: «Je suis restée figée. J’ai regardé fixement à l’autre bout de la table, où était assise Olivia. « Monte là-haut! », chuchota-t-elle autoritairement. Toute l’animosité que nous avions ressentie l’une envers l’autre quand nous étions enfants… Tout est revenu dans des images kaléidoscopiques…J’ai cru qu’Olivia allait sauter par dessus la table et m’attraper par les cheveux».

Après avoir débuté dans des films sans importance, Joan Fontaine doit son succès à Alfred Hitchcock, qui la choisit en 1940 pour jouer dans son premier film américain, Rebecca. Une réussite puisque ce rôle lui vaut déjà une nomination aux Oscars. C’est donc deux ans plus tard, toujours pour un film d’Alfred Hitchcock, Soupçons, qu’elle est sacrée meilleure actrice. Elle sera d’ailleurs la seule star hitchcockienne a être ainsi récompensée.

La rivalité entre Joan Fontaine et Olivia de Havilland dépassait le simple cadre de leur vie professionnelle. Elles se disputaient également les hommes, notamment Howard Hugues. Après avoir eu une relation avec Olivia, le milliardaire a demandé plusieurs fois Joan en mariage. En vain. Joan Fontaine a été mariée quatre fois et a deux filles. Une née de son union avec William Dozier, Deborah, une qu’elle a adpotée au Pérou, Martita.

Sur la fin de sa carrière, Joan Fontaine s’est éloignée du cinéma pour jouer à la télévision dans des téléfilms et des séries. Elle laisse derrière elle des rôles dans des films comme les Hitchcock donc, mais aussi Jane Eyre, La valse de l’empereur, Ivanhoé, Othello, ou encore L’invraisemblable vérité. Une étoile sur Hollywood Boulevard immortalise sa carrière et le mythe qu’elle a pu incarner à une certaine époque d’Hollywood.