Vidéo – Julian Assange apparaît dans un clip parodique

Tout est bon pour récolter des voix, y compris apparaître dans un clip de rap parodique, coupe mulet sur la tête. C’est en tout cas la stratégie de Julian Assange qui participe à une initiative farfelue en vue des législatives australiennes.

Coincé depuis plus d’un an dans l’ambassade d’Equateur à Londres, Julian Assange ne perd cependant pas de vue ses ambitions politiques. En prévision des élections au Sénat australien le 7 septembre prochain, le fondateur du site WikiLeaks participe à un clip parodique réalisé par le collectif The Juice Media. Plusieurs personnages politiques australiens y sont singés avant qu’apparaisse un « nouveau challenger », Julian Assange.

Un relooking s’impose semble t-il: l’homme à la blondeur platine apparaît alors avec une coupe mulet qui n’a rien à envier à celle de Richard Dean Anderson, le héros de Mac Gyver, un marcel jaune et vert à l’effigie de l’Australie et une cravate avec le drapeau du pays des kangourous nouée autour de la tête. Même s’il est toujours l’objet d’un mandat d’arrêt international, Julian Assange s’est prêté au jeu avec plaisir selon le collectif qui s’est exprimé via un communiqué. « Il a vraiment été un chic type et a semblé apprécier ce moment passé à faire l’acteur, à chanter et à se déguiser. Ce fut comme une pause bienvenue dans sa routine habituelle au sein de l’ambassade d’Equateur » ont affirmé les membres de The Juice Media.

Tant mieux si Julian Assange a passé une bonne journée car cette vidéo ne devrait pas renverser la balance des intentions de vote. Celles-ci accordent 3 à 4% au WikiLeaks Party alors qu’il en faut au moins 17% pour espérer décrocher un siège au Sénat australien. Mais qui sait, une autre carrière s’offre peut-être à l’activiste…

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Rencontre avec Margaret Menegoz, productrice de “Amour”

A l’occasion de la sortie de “Amour”, rencontre avec Margaret Menegoz, directrice des Films du Losange, légendaire société de production et de distribution créée en 1962 par Barbet Schroeder et Eric Rohmer.

Amour de Michael Haneke (2012)

“Amour”, le retour de Trintignant

D’une certaine façon, ce n’était pas trop difficile de le convaincre. Il sait reconnaitre un beau rôle, et puis il avait beaucoup d’admiration pour le travail de Michael Haneke. C’est un film sur un sujet tabou : la fin de vie, le grand âge. On sait qu’on y va tous, à plus ou moins longue distance, mais on n’a pas envie d’en entendre parler. Et on ne considère surtout pas ça comme un divertissement. C’est un film très émouvant, mais aussi très éprouvant. Quand l’équipe de la distribution et des ventes internationales a vu le film, ils étaient tous en pleurs à la fin. On a appelé le film Amour car il pose la question : comment faire pour protéger quelqu’un du sentiment d’humiliation ? Or, il n’y a que l’amour qui permet ça.

Michael Haneke

Ma rencontre avec Haneke

Il a fait un casting de producteurs pendant le mixage de La Pianiste. Son agent m’a demandé de le rencontrer. Nous avons parlé de notre manière de travailler et nous étions d’accord sur tout : l’importance du temps de préparation, la minutie… A la fin il m’a dit qu’on pourrait travailler ensemble. Je lui ai répondu : « Je ne sais pas si j’ai envie de passer un an et demi dans la perversion, la torture, le sang et l’horreur. ». Il a éclaté de rire en me disant qu’il aurait peut-être des projets un peu plus ouverts. On devait enchaîner avec Caché, mais il y a eu le 11 septembre. Il m’a dit : « Je ne peux pas continuer à écrire cette histoire nombriliste. En revanche, j’ai écrit un scénario il y a dix ans, Le temps du loup. Aujourd’hui, avec la chute des deux tours, et tous ces morts, je pense que c’est le moment. » Les gens de StudioCanal, qui avaient travaillé avec Marin Karmitz pour les précédents films de Haneke, n’étaient pas d’accord. Ils me disaient : « “Le Temps du loup”, ce n’est pas bon, ça ne marchera jamais, tu es folle ! » Mais je maintiens qu’il faut faire ce que veut le metteur en scène, sinon on perd du temps. Soit on travaille avec lui et on fait ce qu’il veut, soit on ne travaille pas avec lui. J’ai donc produit seule “Le Temps du loup” et j’ai enchaîne seule sur “Caché”.

Le Ruban Blanc de Michael Haneke (2009)

Le Ruban blanc, à l’origine une série

Quand Haneke m’a envoyé le scénario du Ruban blanc, c’était une mini-série en 3 épisodes. Je lui ai dit que je n’avais jamais produit pour la télévision, que je n’allais pas commencer à mon âge, et que c’était trop long pour le cinéma. Il m’a dit : « Je ne peux pas le raccourcir. ».Je lui ai dit : « Eh bien on ne le fait pas. » Je croyais quand même beaucoup à cette histoire, il a donc travaillé à le raccourcir, mais on sentait encore très fortement la coupure des épisodes. Il m’a alors demandé d’appeler Jean-Claude Carrière avec qui j’avais travaillé pour “Danton” de Wajda notamment. Jean-Claude a conseillé d’enlever tout ce qui se passe du côté des enfants. Du coup, l’angoisse dans le village est plus forte car on ne sait pas ce qui se passe, il n’y a qu’une rumeur. On ne montre pas les scènes de tribunal entre les enfants, on a juste la punition, sans savoir qui est coupable. C’était très enthousiasmant et ainsi on a pu faire un film de 2h20.

Margaret Menegoz

Mes débuts dans le cinéma

Je suis née à Budapest, d’une famille de Souabes du Danube, une communauté allemande qui s’était installée au XVIIIe siècle en Hongrie et qui a été expulsée vers le sud de l’Allemagne après la bataille de Budapest en 1945. La première langue étrangère que j’ai apprise c’est le dialecte souabe, qui ressemble un peu à l’allemand suisse. Après le lycée, j’ai cherché du travail. Dans le journal local, j’ai vu une annonce d’une société de production de films industriels. Le premier court que j’ai signé pour eux comme assistante-monteuse a été projeté au Festival de Berlin, qui se tenait en juillet à l’époque. Les producteurs allemands m’avaient confié leur stand car je parlais français, anglais et allemand. Un metteur en scène français, Robert Menegoz, m’a demandé si je savais où était la Poste. Je l’ai épousé, je me suis installée en France. Pour ne pas rester à la maison pendant qu’il partait faire ses documentaires autour du monde, j’ai travaillé avec lui. J’ai beaucoup appris, car les équipes étaient petites, donc il y avait plein de choses à faire. Quand les enfants sont nés, j’ai cherché un travail qui me permette de rester à Paris. C’est là que j’ai contacté le Losange. Je ne suis donc pas venue au cinéma par cinéphilie. Si j’avais épousé un agriculteur, aujourd’hui j’élèverais des cochons ou je ferais de la betterave !

Le Losange, un nom choisi au hasard

Eric Rohmer et Barbet Schroeder avaient créé Le Losange en 1962 pour financer le film à sketchs Paris vu par… Barbet a alors vendu un tableau qui appartenait à sa mère pour réunir l’argent nécessaire. Le nom a été choisi tout à fait par hasard : au moment d’inscrire la société, Barbet a pensé aux Films du Triangle mais ça existait déjà. A chaud, il a dit : “Triangle, non ? alors Losange !” Plus tard, ils ont cherché quelqu’un pour tenir la maison pendant qu’ils tournaient leurs films. Quand je suis arrivée en 1975, j’étais donc la « secrétaire-bonne à faire », je m’occupais de tout. Eric, qui venait de finir le cycle des Contes moraux, avait un projet de film en langue allemande, La Marquise d’O… Il m’a demandé de lire le scénario écrit par un dramaturge allemand d’après Kleist. J’ai trouvé qu’il avait abimé la nouvelle de Kleist, qui était très précise et ne nécessitait pas d’adaptation. Je l’ai donc retravaillé avec Eric. On a enchaîné sur Perceval le Gallois et ils m’ont proposé un contrat de longue durée, ce que j’ai trouvé ridicule car on était seulement trois, on n’allait pas se faire des procès entre nous ! Ils m’ont alors proposé de devenir gérante, et on a partagé la société en 3.

Le Rayon vert d’Eric Rohmer (1986)

Un test réussi !

L’idée de Rohmer, c’était : si on a assez d’argent pour faire un film en 35mm couleur, c’est très bien. S’il n’y a pas assez d’argent, on le fait en noir et blanc (qui coutait moins cher à l’époque). S’il y en a encore moins, on le fait en 16. Et sinon en 8mm ! Ce qui compte, c’est l’histoire, le support est secondaire. On ne discutait jamais du scénario. Il venait avec un scénario fini, avec les dialogues et des indications de lieux lapidaires, mais jamais de description, d’états d’âme… En 1986, il a voulu faire une expérimentation : un film sans scénario. On a décidé de faire un brouillon en 16mm plutôt qu’un scénario… et à la fin on s’est dit que ce n’était pas la peine de le refaire en 35. C’était Le Rayon vert, qui a remporté le Lion d’or à Venise ! Le film a été diffusé sur Canal + juste avant sa sortie en salles. J’avais voulu faire un test : est-ce qu’un passage à la télé ne pourrait pas fonctionner comme une bande-annonce efficace ? Ca été un bon calcul car le film a bien marché en salles. Mais c’était les débuts de Canal, qui n’avait que 500000 abonnés…

L a Vierge des tueurs de Barbet Schroeder (2000)

“La Vierge des tueurs”, une expérience-limite

Pour une fois, je me suis associée avec Studiocanal car le film se tournait à Medellin, capitale du cartel de la drogue. C’était extrêmement risqué, Barbet devait changer d’habitation tous les 3 jours. En plus, il a l’air d’un Américain, il est grand, il s’habille comme les Américains… Je voulais donc avoir un associé en cas de gros pépin. J’avais envoyé un directeur de production assistant. Il est rentré en France, il a dit qu’il devait revenir quelques jours pour des raisons familiales mais il n’est jamais reparti ! Il avait trop peur, il avait perdu 10 kilos… C’était vraiment un tournage angoissant. Mais j’aime beaucoup La Vierge des tueurs, qui est pour moi un des chefs-d’œuvre de Barbet.

Roman Polanski

Le Festival de Cannes

J’ai été membre du jury à Cannes en 1991. J’y ai compris beaucoup de choses sur la façon dont se passent les traités internationaux ! Tout est une négociation. Roman Polanski, le Président, qui est quelqu’un de très autoritaire, nous a dit à la première réunion : “Je voudrais une Palme d’or à l’unanimité !”; je me suis dit : “Là, on va pouvoir discuter…” Et c’est ce qui s’est passé ! (rires). La première chose que fait un jury, c’est critiquer le sélectionneur. On trouve toujours que les films sont mal choisis. Mais c’est difficile : il faut à la fois les meilleurs films du monde sur le plan cinéphilique et des films susceptibles de rencontrer un public. Le festival est puissant et prescripteur s’il réunit ces deux aspects. L’équilibre des pays est très important aussi. La nationalité des films, ça devient compliqué : un film de Lars von Trier, par exemple, est coproduit à égalité par 5 pays. C’est absurde de considérer que la nationalité du film est celle du pays qui a mis le plus d’argent. Je suis pour qu’on garde le critère de la nationalité du cinéaste. Car c’est comme pour un livre : quand Hemingway écrit un roman sur la guerre d’Espagne, ça n’est pas un livre espagnol, ça reste un roman américain de Hemingway !

Noce blanche de Jean-Claude Brisseau (1990)

Brisseau, Duras, Eustache…

Un jour, Rohmer, qui allait beaucoup au cinéma et était un peu distrait, s’est trompé de salle et il est tombé sur un travail de Jean-Claude Brisseau. Il est revenu en me disant : « J’ai eu tellement peur que je n’ai pas pu tout regarder, mais c’est quelqu’un d’intéressant, vous devriez l’appeler. » Je lui ai dit : « Ce serait plus efficace si vous l’appeliez vous-même, c’est plus prestigieux ! » On a donc produit son premier film, La Vie comme ça, et les suivants. Après Noce blanche, il a voulu connaitre une grande société et est donc allé chez Gaumont. C’est Barbet qui m’a appelée pour que je m’occupe du “Navire night” de Marguerite Duras. Elle était encore plus extrême que Rohmer : elle était prête à faire un film noir, sans images, mais avec son texte. Elle faisait des courts métrages avec les chutes de ses films, et quand une image manquait, elle mettait du noir et son texte. Quant à Jean Eustache, c’était un autiste complet. Et cette fois, Barbet n’était pas tellement pour qu’on s’engage pour lui, alors que moi je le voulais absolument.

Caché de Michael Haneke (2005)

“La liberté vient du succès”

Il n’y a presque plus de discussions cinéphiliques dans notre métier. C’est valable aussi pour la presse : dans les grands quotidiens, la critique a la portion congrue, mais il y a des tableaux de box-office que le grand public ne peut pas comprendre. Dans les années 70 et 80, on se précipitait pour aller voir les nouveaux films. il n’y en avait pas 15 à 18 chaque semaine comme aujourd’hui. Et puis on discutait : ce qui nous plaisait, les réserves qu’on avait… Aujourd’hui, ça a un peu disparu. Je crois que c’est lié à un déclin de la cinéphilie. Il n’y a plus de ciné-club, l’objet-film s’est banalisé. Et il n’y a plus de metteur en scène que j’appellerais « Tour d’ivoire » : quand j’ai commencé, j’ai travaillé avec des cinéastes qui livraient leur film, et puis basta ! Le reste ne les intéressait pas. Ce n’est plus le cas aujourd’hui : tous ont compris que la liberté venait du succès. Quand votre film fait perdre beaucoup d’argent à beaucoup de gens, le financement du suivant est difficile.

Céline et Julie vont en bateau de Jacques Rivette (1974)

“Est-ce que le film a la grâce ?”

L’originalité du scénario est essentielle pour moi. Si un metteur en scène arrive avec un scénario et me dit : « C’est comme “Intouchables” », je n’ai même pas envie de l’écouter. Je crois profondément à l’originalité, au point de vue. Et puis il faut une confiance mutuelle. Car sur un film, c’est le metteur en scène qui dépense l’agent, pas le producteur. Ca prend du temps, ça se découvre en préparant. Mon premier luxe a été de pouvoir abandonner car il n’y avait pas cette confiance. Ca m’est arrivé deux fois, mais je préfère ne pas citer les personnes. La grande question à la fin est : « Est-ce que le film a la grâce ? Est-ce qu’il est parfaitement réussi ? ». Cette grâce n’est absolument pas visible pendant le tournage. On ne la découvre qu’en voyant le film fini.

Michael Haneke, Emmanuelle Riva et Jean-Louis Trintignant sur le tournage de “Amour”

Un bon producteur, comme une mère de famille

Pour moi, un bon producteur, c’est assez proche d’une mère de famille. Il faut surveiller le travail accompli, que chacun soit nourri, logé et sache ce qu’il a à faire. Il doit y avoir une harmonie. Il ne faut pas faire des repas moins chers pour les figurants que pour les techniciens, des défraiements différents pour les acteurs et les autres. L’équipe doit être soudée. On ne peut rien exiger, mais il faut tout obtenir. C’est basé sur un partenariat très étroit, complet, fraternel, avec le metteur en scène. On est à son service, et pas l’inverse. S’il y a des problèmes de financement, il ne faut pas lui demander : « Peux-tu faire une semaine de moins ? ou engager tel acteur moins cher ?». Il faut préserver ce qui est à l’écran, aider le metteur en scène à faire le film qu’il désire. En cas de problème, il faut donc torturer tout le monde avant de se tourner vers le metteur en scène. Un film raté, ça ne sert à rien !

Propos recueillis le 18 janvier 2012 à Paris par Julien Dokhan


La bande-annonce de “Amour”, en salles actuellement



Amour


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Michael Jackson rêvait d’être une star de cinéma

Il a été sacré Roi de la Pop, mais en réalité, Michael Jackson rêvait de devenir une star de cinéma à l’image de ses héros, Gene Kelly et Fred Astaire. Il s’est confié à son journal intime, dont le New York Post a dévoilé quelques bonnes feuilles.

Michael Jackson, malgré son immense succès musical, n’aura pas été, à sa mort, totalement satisfait. En fait, il rêvait de devenir acteur. «Si je ne me concentre pas sur le cinéma, aucune immortalisation», écrit-il dans ses carnets. Le ton est donné. Parti trop tôt, le Roi de la Pop n’a pas eu le temps de marcher dans les pas de ses modèles, les stars Gene Kelly et Fred Astaire.

Deux grands noms de l’âge d’or d’Hollywood dont il disait vouloir dépasser les performances, «être meilleur» afin de devenir «le premier multi-millionnaire artiste-acteur-réalisateur». Rien que ça! Pour y parvenir, il comptait sur un producteur de théâtre de Broadway pour créer un spectacle consacré à sa vie.

Mais au cours de la lecture du journal de MJ, les journalistes américains ont découvert les autres projets de la star, dont celui de créer une ligne de produits à son effigie, avec des cookies et des sodas. Des planches de théâtre aux rayons de supermarchés, n’y aurait-il qu’un pas? Il semblerait qu’avant son décès, Michael Jackson croulait sous les dettes.

Ces carnets, dans lesquels la dépendance de Michael Jackson au docteur Conrad Murray -qui lui prescrivait les médicaments pour dormir- apparaît clairement, pourraient servir à Katherine, la mère de la fratrie Jackson, dans son combat contre AEG, le promoteur des derniers concerts de la star de la Pop qu’elle accuse de négligence. L’interprète de Thriller a succombé à une injection de Propofol, un puissant somnifère, le 25 juin 2009, alors qu’il préparait son grand retour.

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“J’enrage de son absence” : l’équipe au micro [VIDEO]

Dans le drame familial “J’enrage de son absence”, Sandrine Bonnaire dirige William Hurt, Alexandra Lamy et Augustin Legrand…

Rencontre avec l’équipe du drame J’enrage de son absence où il est question de Sandrine Bonnaire en tant que réalisatrice, de sa relation avec son ex-compagnon William Hurt ou encore de la difficulté de monter un projet de ce type aujourd’hui…

Notre interview:

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Kate Moss en Une de Playboy: ca se précise!

Cindy Crawford, Kim Kardashian, Lindsay Lohan, Pamela Anderson, Dita von Teese, Charlize Theron, etc… Depuis 60 ans, les plus femmes de la planète ont posé pour Playboy. Et pour ses 60 ans, le magazine lapin aurait réussi à s’offrir le mannequin la plus célèbre de la planète: Kate Moss.

C’est un gros coup qu’aurait réalisé Hugh Efner pour fêter le soixantième anniversaire de son magazine.

Le fondateur de la revue destinée aux hommes aurait réussi à convaincre de Kate Moss de poser en Une de ce numéro collector. Déjà en juin dernier on apprenait que la transaction était en bonne voie par l’intermédiaire de Now This News qui indiquait que le shooting devait avoir lieu devant l’objectif des photographes Mert et Marcus. Une affirmation qui a été confirmée par le coiffeur des stars Oribe qui s’était confié à Refinery 29 en expliquant que le dit shooting avait bel et bien eu lieu.

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Aujourd’hui, on en apprend plus grâce au directeur de la rédaction du magazine de charme Jimmy Jellinek qui a accordé une interview au Los Angeles Times. « On parle du visage de Burberry, de la plus grande mannequin du monde en couverture de Playboy, s’enthousiasme-t-il. Elle est le partenaire idéal pour nous aider à tenir pour les 60 prochaines années. » Hugh Efner corrobore les dires de son employé. « Elle est célèbre dans le monde entier, elle est iconique, souligne-t-il. C’est un choix naturel pour nous. »

Le quotidien californien précise que la top devrait poser nue (dans le « costume » traditionnel Playboy, avec des oreilles de lapin en velours) pour le numéro de janvier 2014. Notons que Kate Moss fêtera ses 40 ans le 26 janvier 2014. Un numéro doublement collector donc!

Chris Tucker dans le remake US d’ “Intouchables” ?

Le comédien Chris Tucker serait en négociations pour jouer aux côtés de Colin Firth dans le remake américain d’ “Intouchables” que doit réaliser Paul Feig.

Au moment où Intouchables sort en Blu-ray aux Etats-Unis, et alors qu’on peut découvrir Omar Sy dans la publicité du jeu Call of duty réalisée par Guy Ritchie, l’acteur américain Chris Tucker révèle qu’il est en négociations pour reprendre le rôle de Driss dans le remake américain de la comédie du tandem Nakache/Toledano. Dans une interview accordée à Blackfilm, le héros de Rush hour explique : “J’en ai discuté avec les producteurs, j’espère que ça va se concrétiser car j’aime beaucoup ce film. Donc il est possible que ça arrive !“. Aux dernières nouvelles, c’est Paul Feig (“Mes meilleures amies”) qui doit réaliser cet “Intouchables” version US, produit par la Weinstein Company, avec Colin Firth dans le rôle créé par François Cluzet.

JD


VIDEO : Chris Tucker dans la bande-annonce de “Happiness Therapy” de David O’Russell, en salles le 30 janvier 2013

Happiness Therapy

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Kim Kardashian s’entretient à L’Usine

Même en temps de Fashion Week, Kim Kardashian ne prend pas de répit dans son combat contre les kilos post-grossesse. C’est à L’Usine à Paris qu’elle sue avec plaisir.

«Des clients réguliers et sympathiques». À l’Usine, club de sport branché et select, on ne s’étonne plus de voir Kim Kardashian et Kanye West franchir quotidiennement l’entrée du lieu. Ce matin, c’est madame qui est venue seule s’adonner à sa séance de sport. Repérée à la sortie des lieux, la jeune maman semble se sentir à L’Usine comme chez elle.

Il faut dire que tout est fait pour que Kim Kardashian s’y sente bien. Comme chez elle à Los Angeles, l’héritière retrouve Joël son coach attitré. Le français entraîne le couple star lors de ses déplacements à Paris et les suit désormais à domicile aux Etats-Unis. Maman depuis quelques mois, Kim Kardashian reprend en douceur son entraînement grâce au Pilate et au stretching. Une heure de sport matinale pour la compagne de Kanye West qui vient parfois avec son homme, suer de bon cœur. Matin ou soir, le couple est toujours le bienvenu à L’Usine et selon son emploi du temps parisien parfois chargé.

Kim Kardashian a bien faillit croiser l’une de ses célèbres compatriotes lors de sa séance d’entraînement. La plus française des américaines, Scarlett Johansson est également une fidèle des lieux. Avec son fiancé, Romain Dauriac, l’actrice s’adonne au plaisir des machines plus qu’à celui du coaching. À un étage prêt, Kim et Scarlett auraient donc pu partager leur plaisir de travailler (à leur physique) à L’Usine.

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“The Body” : ça continue encore et en-corps au PIFFF 2012 !

Last but not least, le PIFFF a vu le dernier candidat de la compétition défiler devant les spectateurs : “The Body”, film espagnol réalisé par le co-scénariste des “Yeux de Julia”.

The Body d’Oriol Paulo, avec Belén Rueda et Hugo Silva

Compétition

A savoir

Si nom ne dit pas grand chose à beaucoup de monde, Oriol Paulo n’est pas un bleu pour autant, car c’est à lui que l’on doit le scénario des Yeux de Julia, sorti fin 2010. Toujours à la plume (avec Lara Sendim ce coup-ci), il passe derrière la caméra avec The Body, histoire d’une disparition de cadavre qui va valoir une nuit rock’n’roll à l’époux de la défunte, et dans lequel on retrouve la même actrice, Belén Rueda. Présenté en ouverture de Sitges, en octobre dernier, il a donc fait la clôture de la compétition du PIFFF.

Le PIFFF-omètre

Un peu moins florissant qu’il ne l’était au milieu des années 2000 (voir notre dossier), le cinéma de genre espagnol n’en a quand même pas perdu sa capacité à nous offrir quelques pépites. Les Yeux de Julia en faisait partie, il y a 2 ans, et force est de constater qu’Oriol Paulo réussit le doublé avec cette première réalisation qu’il dit inspirée d’Hitchcock et Clouzot. Soit le genre de références un peu lourdes qui peut faire du tort à un long métrage. Mais pas là : si l’on peut le rapprocher du Crime était presque parfait ou des Diaboliques, et qu’une scène renvoie directement à la fin de Soupçons, The Body possède sa propre identité, et ce dès son ouverture en poupées russes, où une révélation succède à l’autre. Une fois cette mise en place passée, le rythme ne faiblit pas pour autant, et le néo-réalisateur prend à malin plaisir à nous balader et remettre en cause nos certitudes, non sans nous donner quelques éléments de compréhension, histoire que le dénouement ne tombe pas comme un cheveu sur la soupe. Très attendu au sein de cette compétition (pour les auteurs de ces lignes en tout cas), ce thriller surfant à la frontière du fantastique (comme Les Yeux de Julia) ne faiblit jamais en matière d’intensité ou de perversion, et on peut juste lui reprocher quelques musicaux un poil trop appuyés. Un défaut bien mineur à côté de la qualité globale de The Body, qu’on imagine bien figurer au palmarès tant il prouve que l’âme du cinéma de genre espagnol est bien intacte.

Maximilien Pierrette & Laëtitia Forhan

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La bande-annonce

Robin Wright: « Grâce à Ben, je suis enfin une femme épanouie! »

Robin Wright semble être enfin une femme comblée. Le sourire aux lèvres, l’ex Madame Sean Penn nous reçoit dans un salon du Palace Four Seasons, à West Hollywood, pour parler de sa nouvelle vie et du succès de sa nouvelle série House of Cards.

Gala:Vous êtes devenue célèbre dans le monde entier grâce à votre rôle dans Santa Barbara. Pourquoi avez-vous décidé de revenir à la télévision après tant d’années ?

Robin Wright: Pendant longtemps, j’ai mis ma carrière en suspens car je voulais avant tout élever mes enfants. Je continuais à travailler mais d’une manière plus sporadique. C’était beaucoup trop stressant pour moi de me retrouver sur un plateau de tournage et d’entendre mes enfants au téléphone crier ou pleurer par ce que je n’étais pas avec eux. La seule raison pour laquelle je tournais encore de temps en temps c’est parce que je ne voulais pas rester rouillée. Aujourd’hui, grâce à cette série, je suis enfin bien huilée.

Gala: Et vos enfants?

R. W.: Mes enfants sont à présent légalement des adultes. Ils ont essayé de faire des études universitaires mais cela n’a pas marché. Peu importe. Ils sont à présent grands et se débrouillent seuls. Je suis enfin libre! Ils ne vivent plus à la maison. Ils sont à présent totalement indépendants et c’est donc pour moi une sorte de liberté retrouvée.

Gala: Quand vous étiez mariée à Sean Penn, celui-ci répétait souvent que vous étiez l’une des plus grandes actrices américaines. Pourtant le succès arrive seulement maintenant…

R. W.: Il m’a fallu du temps pour surpasser ma peur. Cette peur de tout simplement ne pas être à la hauteur. Quand vous parvenez à rompre ce mur et à faire abstraction de votre âge, vous arrêtez de vous inquiéter. Vous apprenez que de belles choses peuvent encore arriver, même après des erreurs et des échecs. Ce mur, il m’a fallu du temps pour le briser. Je n’arrivais pas à trouver ma place dans cette industrie. Je ne savais même plus qui j’étais. Je jouais des personnages que je ne parvenais pas à explorer convenablement. J’ai grandi un peu tard mais je me sens toujours jeune et surtout enfin prête pour le show-business.

Gala: Les femmes qui ont passé la quarantaine semblent être mieux traitées aujourd’hui à Hollywood…Qu’en pensez-vous ?

R. W.: En effet, et c’est amusant que cela se passe à la télévision. Les rôles proposés sont beaucoup plus intéressants. Nous vivons dans une nouvelle période où les femmes sont en train de reprendre le dessus et d’être à nouveau un centre d’intérêt. Pour moi, il n’y a aucun doute: c’est super enfin d’être une femme de plus de quarante ans!

Gala: Cette nouvelle joie de vivre n’est-elle pas due au fait que vous soyez à nouveau amoureuse?

R. W.: Probablement. Vous avez raison. Je ne peux pas le nier. Je suis très amoureuse. Il s’agit de Ben Foster et c’est un acteur et un homme absolument merveilleux. Grâce à lui, je me sens beaucoup plus en sécurité avec les autres et avec moi même. Je sais que je n’ai plus rien à craindre et que tout va aller.

Gala: Après avoir été mariée pendant si longtemps, comment gérez-vous cette nouvelle relation amoureuse et qu’aimez-vous en particulier chez lui?

R. W.: J’aime absolument tout chez lui. Je ne sais pas comment expliquer. C’est le bon. C’est lui. A chaque fois que je me réveille le matin à ses côtés, je me dis que j’ai de la chance et que c’est l’homme qu’il me faut. Je le sens à l’intérieur. Grâce à lui, je suis enfin une femme épanouie.

Gala: Où et comment l’avez-vous rencontré?

R. W.: Je l’ai rencontré il y a cinq-six ans. Nous avons fait un film mais nous n’avions aucune scène ensemble. Il a produit ce film (Rampart) et il était tous les jours avec nous sur le plateau. Nous sommes ensemble depuis deux ans.

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Gala: Il y a une certaine différence d’âge entre vous (quatorze ans d’écart). Est-ce pour cette raison que vous avez aimé jouer dans le film d’Anne Fontaine, Perfect Mothers?

R. W.: Oui, j’ai tout de suite adoré l’histoire de ces deux copines qui s’éprennent un jour du fils de l’autre. Vous voyez, les Américains ne sont pas aussi prudes que les Français veulent bien faire croire.

Gala: Il paraît que vous méditez beaucoup. Est-ce vrai ?

R. W.: Nous avons tous des moments dans la journée où l’on a envie d’étrangler quelqu’un. Quand vous êtes stressée, vous agissez d’une manière différente dans votre vie quotidienne. La méditation me permet à moi d’évacuer justement ce stress. C’est quelque chose que je pratique depuis l’âge de seize ans en découvrant la méditation transcendantale. Ben a pratiqué ce genre de méditation depuis qu’il a quatre ans donc j’ai voulu l’explorer à nouveau d’une manière plus approfondie et je ne le regrette pas un seul instant.

Gala: Au fil des ans, vous parvenez toujours à garder la ligne. Quel est votre secret?

R. W.: Je me nourris simplement des baisers de mon petit ami !

Dog Bites UNESCO Official Visiting Lodi Gardens, Canine Owner Booked For Carelessness

An FIR has been lodged against a dog owner, by UNESCO representative Shigeru Aoyagi, after the animal bit him in December. According to Aoyagi’s statement, he had gone for an evening walk in the Lodhi Garden, when suddenly the pet owned by Gaurav Dayal bit him causing severe pain and injury.

In his complaint, he mentioned the owner of the dog, Gaurav Dayal.

Dayal should have taken care of the dog, the complaint said. Police have registered an FIR against the owner under sections 289/337 of the Indian Penal Code.

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