Game of Thrones prend du retard

L’année 2016 débute bien mal pour les lecteurs passionnés de Game of Thrones. L’auteur de la saga, George R. R. Martin, vient d’annoncer que son prochain tome aura du retard sur son adaptation télévisée.

Il a fallu près de vingt ans à R. R. Martin pour rédiger les cinq premiers volumes de la saga Game of Thrones. Pour l’adaptation télévisée, HBO a rattrapé ce retard en seulement cinq années de diffusion. Aujourd’hui, et pour la première fois de son histoire, la série télévisée est sur le point de prendre de l’avance sur les livres. Voilà ce qu’a dû annoncer R. R. Martin, le 2 janvier dernier, sur son blog, dans un message adressé à ses fans. « Vous vouliez des nouvelles. Les voilà. Elles ne vont pas vous plaire. The Winds of Winter n’est pas fini. Mes lecteurs et éditeurs sont déçus, HBO est déçu, mes agents et traducteurs sont déçus, mais je suis le plus déçu de tous. » Initialement, l’auteur au look de marin souhaitait conclure l’écriture de son nouveau roman avant la fin d’année 2015 afin que ce dernier puisse être publié début 2016. Ce ne sera malheureusement pas le cas. « J’ai essayé, je vous le jure mais j’ai échoué. Il me reste encore des mois avant de terminer… et cela, seulement si l’écriture se passe bien. »

Les habitués de la saga savent donc qu’ils découvriront le premier épisode de la saison 6 de Game of Thrones en avril prochain, avant même d’avoir pu lire la première page du roman correspondant. Le risque de se faire spoiler une partie de l’intrigue de l’ouvrage concède R. R. Martin. « Il y aura inévitablement des rebondissements importants dans la sixième saison, qui n’ont pas encore été relatés dans les livres. » Le célèbre écrivain sait qu’il rassemble avec chacun de ses tomes des lecteurs passionnés. Assez passionnés pour lui faire craindre une réaction épidermique à son annonce. Pourtant, Georges R.R. Martin a été agréablement surpris par la réponse de ses lecteurs. Il a tenu à le faire savoir le 2 janvier au soir. « Le soutien sans faille affiché en réponse à ma publication a été incroyable. J’ai reçu 40 pages de commentaires en réponse à mon post. Je n’ai même pas encore eu le temps d’en lire la moitié. Je ne peux pas vous dire à quel point j’apprécie ce soutien. » Quant à la date de sortie du prochain livre ? Personne ne sait. Pas même George R. R. Martin. « Les échéances me stressent », avoue-t-il.

Redécouvrez la bande-annonce de la saison 5 de Game of Thrones:

Crédits photos : Abaca

Click Here: creed perfume sale

Lily-Rose Depp et Natalie Portman: premier cliché

Lily-Rose Depp continue son chemin au cinéma. Le magazine Elle vient de publier la première image de l’adolescente au côté de Natalie Portman pour leur nouveau film, Planétarium.

A l’époque où Natalie Portman tournait son tout premier film, Léon, en 1994, Lily-Rose Depp n’était pas encore née. Vingt-et-un ans plus tard, les deux comédiennes bouclent le tournage d’un long-métrage dont elles interprètent les deux rôles principaux,Planétarium, de la réalisatrice Rebecca Zlotowski (Grand Central). Pour immortaliser ce moment, le magazine Elle a publié hier un cliché de Natalie Portman et de Lily-Rose Depp sur son compte Instagram. Si l’intrigue de leur film se déroule dans le Paris des années 30, la photo, elle, rappelle davantage le sud de la France, aussi bien par les couleurs des vêtements que par le soleil rayonnant.

Pas une des deux comédiennes ne sourit à l’image. Ce qui ne signifie pas que l’ambiance était morose sur le tournage. Simplement que les deux personnages interprétés par les actrices sont un tantinet renfermés. Et pour cause, dans Planétarium, Natalie Portman et Lily-Rose Depp se glissent dans la peau de jeunes femmes adeptes de spiritisme et fermement convaincues de pouvoir communiquer avec les morts. Au cours d’une séance de magie noire, les deux sœurs prénommées Laura et Kate font la connaissance d’un célèbre producteur de cinéma français, André Korben. Un lien se noue alors entre le duo mystique et ce personnage controversé.

S’il s’agit là du premier film français pour Natalie Portman depuis ses débuts au cinéma, c’est aussi le tout premier long métrage francophone pour la fille de Vanessa Paradis. Lily-Rose Depp débute à peine au 7e art. Elle compte à ce jour trois apparitions dans des films du réalisateur Kevin Smith (Tusk, Moose Jaws et Yoga Hosers). L’idée de tourner dans la langue de Molière semble cependant lui plaire puisque l’adolescente a également participé au tournage du film La danseuse, de Stéphanie Di Giusto, où la fille de Johnny Depp incarne la danseuse des années 1920 Isadora Duncan, aux côtés de Gaspard Ulliel, Mélanie Thierry et Louis Garrel. Prochaine étape: pourquoi pas un film avec Quentin Tarantino ? C’est, à en croire une interview confiée au magazine britannique Love, le rêve de la comédienne de 16 ans.

En EXCLU pour ELLE voici la première image de Natalie Portman et Lily-Rose Depp, réunies pour le film « Planétarium ». Sublimes non ? http://bit.ly/1TzDHvg

A post shared by ELLE (@ellefr) on Jan 4, 2016 at 5:54am PST

Crédits photos : Getty

Un hommage à Pierre Boulez

Véritable icône de la musique contemporaine, Pierre Boulez avait eu, en 2008, carte blanche au musée du Louvre. Devenu une institution de par le monde, l’artiste, décédé le 5 janvier, était toujours resté un esprit libre. Gala l’avait rencontré.

Le compositeur et chef d’orchestre Pierre Boulez a incarné pendant soixante ans la musique contemporaine en France. Sa carrière internationale l’avait fait connaître d’un public mélomane qu’il a initié aux « classiques du XXe siècle » (Mahler, Stravinsky, Schoenberg, Bartók, Berg). Il fut aussi l’homme des grandes institutions musicales d’avant-garde. En 1975, son retour en France après quelque vingt ans d’absence avait vu la création de l’Ensemble intercontemporain (EIC) et de l’Institut de recherche et de coordi- nation acoustique-musique (IRCAM). Viendrait ensuite la Cité de la musique qui serait complétée par la nouvelle salle de la Philharmonie de Paris, sur le site de La Villette.

En 2008, alors que le Louvre consacrait l’homme de conviction, intellectuel brillant, compositeur influent et grand pédagogue, Pierre Boulez avait livré un grand entretien à Gala.

Gala : Vous vous dites un homme sans nostalgie et vous êtes pourtant une icône!

Pierre Boulez : Je ne serai jamais une icône car je suis indépendant. Attaché à tout et attaché à rien. Ma musique elle-même est une sorte de synthèse des cultures que j’ai rencontrées. Je crois qu’à force d’accumuler des livres et de l’information, les civilisations deviennent obèses et meurent. C’est pourquoi j’ai toujours considéré que le passé était quelque chose de vivant.

Gala : Dès votre jeunesse, avez-vous été en butte au conservatisme du milieu musical ?
P. B. : Au Conservatoire, j’ai cru mourir d’ennui avant de découvrir Olivier Messiaen, dont j’ai été l’élève. En 1943, Stravinsky était à peine connu, Bartók, pas du tout, quant aux musiciens de l’Ecole de Vienne ! C’est la découverte de l’avant-garde qui a fait de moi un opposant à l’establishment.

Gala : Est-ce cela qui vous amènera à créer les premiers concerts de musique contemporaine ?

P. B. : L’époque n’était pas tendre. On sortait de la guerre, et tout ce qui ne s’inspirait pas du « goût français » – entendez anti- allemand – n’était simplement pas joué. En 1946, je suis entré au Théâtre Marigny chez Jean-Louis Barrault, qui cherchait quelqu’un pour la musique de ses spectacles. C’est grâce à lui que j’ai fondé, quelques années plus tard, les concerts du Domaine musical.

Gala : Le Louvre vous a demandé d’être le maître d’œuvre d’une exposition pluridisciplinaire sur le thème du « fragment ». La peinture, la poésie ont-elles eu une importance primordiale dans votre travail ?

P. B. : Je me suis toujours intéressé à la peinture. J’ai connu Nicolas de Staël, qui était un passionné de musique. Les écrits de Paul Klee ont nourri ma pensée musicale. Idem pour la poésie de Mal- larmé, Char ou Michaux, que j’ai mise en musique. J’ai souvent trouvé ailleurs que dans la musique ce que je cherchais pour mes propres compositions.

Gala : Vos prises de position radicales contre les compositeurs que vous jugiez « inutiles » vous ont souvent valu de nombreuses attaques, auxquelles vous avez répondu en polémiste…
P. B. : J’ai souvent eu la dent dure. Et je me suis défendu. Mais sans jamais m’attaquer aux personnes, seulement aux idées.

Gala :Vous avez pourtant affublé le compositeur néoclassique André Jolivet du sobriquet de « Joli Navet » !
P. B. : Je n’ai fait que diffuser le surnom que lui avaient donné les musiciens ! Il nous avait joué un tour pendable dans une réunion au ministère, tout cela est si loin… C’était une période assez brutale, mais plutôt drôle : les concerts de musique contemporaine suscitaient des réactions parfois très véhémentes.

Gala : On vous décrit comme un autocrate…
P. B. : A cela je réponds que je n’ai raté personne de ma génération : Stockhausen, Berio, Nono, Pousseur, Maderna, Ligeti, dès qu’il a pu fuir de Hongrie. Et je continue à programmer de jeunes compositeurs. La frilosité subie dans ma jeunesse a créé en moi le réflexe de rester ouvert à ce qui est le plus avancé.

Gala : Vous êtes d’ailleurs souvent là où on ne vous attend pas. En 1984, par exemple, vous acceptez de faire du rock expérimental avec Frank Zappa…

P. B. : Nous étions tous deux chez CBS. Je connaissais sa musique. Il m’a proposé de jouer une de ses œuvres. J’ai dit oui. Mais j’étais résolu à éviter le « phénomène Zappa ». C’est pourquoi je l’ai mis dans un programme américain avec Elliott Carter et Edgar Varèse.

Gala :Votre participation au Triptyk de Bartabas, c’était par amour des chevaux ?

P. B. : Certes non ! J’ai passé trois minutes sur le dos d’un cheval, je devais avoir seize ans, et je n’ai jamais recommencé. Bartabas voulait du Stravinsky, mais il aimait aussi mon œuvre Dialogue de l’ombre double, qu’il a finalement insérée dans son spectacle, entre la Symphonie des psaumes et Le sacre du printemps.

Gala : En 1976, c’est le scandale avec le fameux Ring du centenaire, que vous avez réalisé avec Patrice Chéreau, à Bayreuth…
P. B. : Chéreau était très jeune, mais je ne pensais pas que sa mise en scène mettrait à ce point le feu aux poudres. Il y avait une fureur et une hostilité générales. C’était éprouvant : les répétitions étaient houleuses, les représentations sur le fil. Heureusement, Wolfgang Wagner, le petit-fils de Wagner, directeur du festival, nous soutenait. Quand je pense que ce Ring est aujourd’hui considéré comme la dixième pyramide !

Gala :Vous avez quitté la France pour Baden-Baden, en 1959. Quelles sont aujourd’hui vos relations avec votre pays natal ?
P. B. : J’ai une maison que j’aime à Baden-Baden, près de la forêt. C’est là que je m’isole pour écrire de la musique, me reposer et retrouver mon énergie. La France ? Oui pour la musique de Debussy, Ravel et un peu Berlioz. Mais elle est pour moi une nation parmi d’autres.

Gala : Qu’y a-t-il de commun entre Pierre Boulez et sa musique ?

P. B. : En tout cas, aucun élément biographique. Entre la vie d’un homme et sa musique, la frontière est certes très mince, mais elle est très étanche.

Propos recueillis par Julie Morland

Crédits photos : BALTEL/SIPA

Bill Clinton et Tony Blair: leur échange secret après la mort de Diana

La retranscription d’une conversation téléphonique entre l’ancien Président américain et le Premier Ministre anglais, datant du lendemain de la mort de la princesse Diana démontre l’inquiétude des deux hommes quant à l’avenir des princes William et Harry.

Le 1er septembre 1997, il est 11h39 quand Bill Clinton, alors en vacances à Martha’s Vineyard, dans l’Etat du Massachusetts, reçoit un appel téléphonique de Tony Blair. La veille, la princesse Diana s’est tuée à Paris, sous le pont de l’Alma, le monde entier est sous le choc.

Le Britannique, très proche de Lady Di, avec qui il confie avoir encore déjeuné quelques semaines plus tôt, se montre particulièrement affecté par la tragédie, une « sinistre affaire » selon lui. Très attaché à Harry et William, il déclare ainsi à propos de ce dernier : « C’est un gamin formidable ». « Oui, je me fais beaucoup de souci pour ces enfants maintenant (…) (…) Je sais à quel point ce moment est difficile pour toi. Je voulais juste de dire que je pense à toi », lui répond alors l’Américain.

Blair louera alors la maman formidable qu’était la princesse, une femme qui avait su inculquer à ses enfants un certain sens de la « normalité ». « C’était un roc de stabilité dans le sens où elle a toujours su les connecter au monde extérieur. L’aîné, William, lui ressemble sur ce point, il a les pieds bien sur terre, il fait les choses que font les enfants de son âge », ajoutera-t-il avant de partager sa propre peine face à cette tragédie. « Elle me manquera personnellement beaucoup. C’est comme la chute d’une star. C’était une star pour eux [ses fils] ».

Exclu Gala – Nabilla : son deuxième livre est en cours d’écriture

Trois ans après son incroyable buzz sur NRJ 12 dans les Anges de la télé-réalité, Nabilla travaille actuellement sur son retour au premier plan. Depuis quelques semaines, elle planche sur un manuscrit confession avec l’écrivain et journaliste, Jean-François Kervéan. En juillet 2013, la starlette avait sorti un premier ouvrage Allô, ! Non mais allô, quoi ! (aux Editions Privé).

Si l’on excepte son activisme sur les réseaux sociaux, Nabilla se fait très discrète ces derniers mois. Dans le plus grand secret, elle s’apprête pourtant à sortir un livre confession qui devrait faire son petit effet. Sujette à beaucoup de convoitises de la part des maisons d’édition, la jeune femme a choisi de travailler avec le journaliste et écrivain Jean-François Kervéan. Ce dernier qui a obtenu le prix du premier roman 1994 et le prix Renaudot des lycéens 1996, est aussi connu pour avoir été le “collaborateur littéraire” de l’animateur Michel Drucker, du chanteur Hervé Vilard, de l’homme d’affaires Hubert Boukobza (gérant de la célèbre boîte de nuit des Bains Douches pendant 25 ans), de la réalisatrice Catherine Breillat ( il a co-signé avec elle Abus de Faiblesse) ou de la pionnière de la télé-réalité Loana.

En 2001 avec la gagnante de Loft Story 1, il avait publié Elle m’appelait miette (aux éditions Pauvert), qui s’était écoulé à 100 000 exemplaires. Selon nos informations, Jean-François Kervéan est actuellement à Marrakech en pleine écriture de cet ouvrage confession consacré à Nabilla. En mai 2015, le chroniqueur de Touche pas à mon poste Gilles Verdez avait déjà évoqué sur le plateau de D8 que Nabilla « préparait un livre, qui allait faire énormément de bruit ».

Si la date de sortie de cet ouvrage n’a pas encore été annoncée, il est fort probable qu’il soit édité d’ici la fin de l’année. Les prochains mois seront donc chargés pour la compagne de Thomas Vergara qui est aussi dans l’attente de son procès. Parmi ses nombreux projets, on sait aussi qu’elle aimerait beaucoup tenter sa chance au cinéma. « Je veux être comédienne, assurait-t-elle dans sa dernière interview accordée au magazine Lui en avril 2015. J’en profite d’être avec toi (Frédéric Beigbeder, ndlr) pour faire taire les rumeurs sur moi et dire que maintenant je vais me consacrer à la comédie, essentiellement à ça. J’ai déjà quelques propositions (elle discute notamment d’un projet avec son amie Liza Azuelos, ndlr. (…) Je peux commencer par des rôles où je balaie le sol, il n’y a pas de souci, mais je veux faire de la comédie. Et si des gens l’ont fait, je me dis ‘Pourquoi pas moi ?’ ».

De nouveaux chapitres en perspective donc dans l’ascension médiatique fulgurante de la jeune femme qui fêtera ses 24 ans le 5 février prochain.

Vidéo- Angelina Jolie, si maigre…

La silhouette d’Angelina Jolie fait couler beaucoup d’encre. Remise de sa double mastectomie et d’une ménopause précipitée, l’actrice assure être en pleine forme mais sa maigreur a de quoi inquiéter.

Fragile comme de la porcelaine. En arrivant sur le tapis rouge du Chinese Theatre de Los Angeles samedi, Angelina Jolie s’est une fois de plus démarquée de tous les autres invités. Voix principale de Kung Fu Panda 3, présenté ce jour-là en avant-première, c’est sa silhouette encore amaigrie qui a attiré tous les regards.

D’habitude experte du camouflage de ses formes graciles, l’actrice portait cette fois une toute petite robe Saint Laurent laissant entrevoir ses jambes et ses bras. Perchée sur une paire d’escarpins, Angelina Jolie évoque un triste pantin avec une fine couche de chair sur les os.

L’épouse de Brad Pitt n’a jamais été bien épaisse mais à 40 ans sa maigreur encore plus prononcée n’est pas rassurante. Après savoir surmonté la maladie, le public aurait pu s’attendre à voir une Angelina Jolie revigorée par une nouvelle force de combattante. Son mari l’avait d’ailleurs sommée il y a quelques mois de reprendre du poids. Mais l’objectif d’ultra—minceur de la jolie maman semble prendre le dessus.

Crédits photos : Gregg DeGuire

Click Here: cheap rugby league jerseys

Sarah Palin: l’idiote utile de la présidentielle américaine

Au secours, elle revient ! Candidate malheureuse à la vice-présidence des Etats-Unis en 2008, la très conservatrice et gaffeuse en chef Sarah Palin assure son soutien à Donald Trump pour la primaire républicaine. Les démocrates s’en frottent les mains. Il y a de quoi…

On en applaudirait presque sa performance de mégère mal apprivoisée, surgissant de nouveau dans la lumière avec la discrétion, le tact et l’élégance d’un chasse-neige de son Alaska. Chez elle, ours et élans finissent en carpettes devant la cheminée ou en trophées sur les murs. Mais la bête politique, elle-même, n’était pas morte. Ex-gloire du très conservateur Tea Party, colistière du candidat républicain John McCain et candidate malheureuse à la vice-présidence des Etats-Unis en 2008, Sarah Palin s’est offert en come-back d’enfer, en apparaissant récemment au côté de Donald Trump, lors d’un meeting, dans l’Iowa.

De la subtilité, de l’analyse, du compromis et de la tactique ? Pourquoi faire ? Brushing aussi rigide que bouffant, cardigan à sequins façon porc-épic, sourire carnassier et gouaille rageuse, la quinqua, dont on espérait une retraite définitive dans les bois du grand nord américain, semble avoir retenu de la faune sauvage que face à l’ennemi, l’intimidation prévalait. Délirant sur les qualités de « maître » du milliardaire péroxydé Trump pour « négocier des accords » et « botter le cul à l’Etat islamique », assumant son racisme décomplexé à l’égard de Barack Obama dont elle subodore qu’il « ira faire des trucs pour sa communauté à Chicago dans un an », l’autoproclamée « Mama Grizzly » a assuré le spectacle pour cette Amérique, rurale, blanche, conservatrice et repliée sur elle-même, venue l’applaudir.

Reste que son numéro de grand cirque pourrait davantage profiter au camp démocrate qu’au parti républicain. D’abord, parce qu’avant de jurer allégeance à Donald Trump dans un mouvement de girouette, Palin soutenait le rival de ce dernier à la primaire républicaine, Ted Cruz. Ensuite et surtout, parce que les outrances de l’ex-gouverneure de l’Alaska l’ont déjà desservie, en 2008.

Pour Hillary Clinton et les autres candidats démocrates à la présidentielle, nul besoin de discréditer « Ma’ Palin ». Mégalo tendance exibo, celle-ci a fait de sa vie un show white trash, grotesque et pathétique, comme les Américains en ont parfois honte d’être gourmands. Bigger is better, plus c’est gros et plus ça passe : tel pourrait être le crédo de cette ancienne prétendante au titre de Miss Alaska et ex-journaliste sportive.

Pêle-mêle, elle s’est ainsi vanté de ne jamais regarder les news, a réfuté le recours à l’avortement même en cas d’inceste ou de viol, promu a contrario le libre accès aux armes et la peine de mort, mélangé les grandes dates de l’histoire de son pays, accusé Obama d’être un terroriste déguisé, confondu la Corée du Nord et la Corée du Sud, soutenu que l’homosexualité était un choix volontaire, demandé à un pasteur de l’exorciser « contre les sortilèges de (ses) ennemis », affirmé que Dieu seul désignait le président des Etats-Unis en réalité…

Du lourd, très lourd, qui a permis à celle qui rêvait d’investir la Maison Blanche de devenir l’héroïne de sa propre émission de télé-réalité, Sarah Palin’s Alaska, après sa débâcle en 2008. Mère de cinq enfants, elle a pu compter sur sa fille Bristol pour faire rayonner encore davantage le nom Palin. Enceinte à dix-sept ans d’un camarade de lycée, malgré les exhortations de mummy dear à l’abstinence avant le mariage, la jeune femme a participé deux ans plus tard, en 2010, à la version américaine de Danse avec les stars. Elle a par la suite eu le droit à sa propre émission de télé-réalité, Bristol Palin : Life is a Tripp, suivant sa « passionnante » vie de jeune maman. L’époux de Sarah, Todd, a pris le relais en 2012, avec Stars Earn Stripes, trashissime émission préparant huit célébrités à la guerre…

Buck up or stay in the truck, c’est le mantra de Sarah Palin. Traduisez par « de l’audace ou la ferme ! »

God bless America !

Photos – De Sophie Marceau à Madonna, une histoire de chutes

Le sol est parfois plus proche qu’on ne le croit : si la notoriété de certaines actrices, chanteuses ou mannequins leur permet de tutoyer les étoiles, la gravité les rattrape parfois. Et toujours au pire moment : devant les photographes, comme Naomi Campbell s’effondrant sur un podium, ou Mylène Farmer sur le tapis rouge de l’Élysée. Et quand ce ne sont pas leurs pieds qui les trahissent, leurs vêtements s’en chargent : Sophie Marceau et Janet Jackson sont là pour en témoigner…

L’année dernière nous a offert l’accident de pantalon de Lenny Kravitz, qui a pris à la rigolade le fait d’avoir dévoilé au monde entier son intimité – des fans malicieux, qui filmaient la scène, n’ont en effet pas hésité la poster sur les réseaux sociaux. Mais le rockeur n’est que l’héritier d’une longue lignée d’acteurs, chanteurs et mannequins à connaître quelques soucis en public : qu’il s’agisse de problèmes de garde-robe, ou de chutes un peu trop révélatrices, les stars ne sont pas épargnées par ces petits instants où le glamour disparaît, même sur les tapis rouges.

En France, Sophie Marceau a montré la voie en dévoilant malencontreusement son sein lors du Festival de Cannes en 2005 (puis sa culotte, l’année suivante). Au point que chaque année, les spectateurs du Festival attendait un nouvel accident – en 2015, un vrai-faux scandale a même éclaté à nouveau sur les marches du festival. Mais l’actrice n’est pas la seule à attirer sans le vouloir les regards : en 2010, la discrète Mylène Farmer s’est écroulée sur le perron de l’Élysée. En se relevant, elle a montré malgré elle un bout de culotte – pas l’idéal, avant de dîner avec le chef de l’État.

Enfin, impossible de parler d’accidents de garde-robe sans évoquer Janet Jackson, dont la carrière a bien failli être anéantie par un téton aventureux lors du Superbowl, en 2004. Une vision choquante pour les prudes Américains, qui ont offert à la chanteuse une réaction aux antipodes de celle des Français face aux seins de Sophie Marceau.

Avec Nathalie Duchesne

Crédits photos : Xposure UK

Click Here: nrl shops

Renaud: “un torrent de larmes” suite à l’accueil de son single

Mardi 26 janvier, les fans étaient en émois à la sortie du dernier single de Renaud, tellement attendu, Toujours Debout. Le chanteur a réagi en envoyant une lettre à son plus important fan club. Complètement bouleversé, il ne manque pas de reconnaissance et donne davantage d’infos sur son état.

Sept ans depuisMolly Malone, sept ans de silence, sept ans de misère affective et de tourments face à ses démons. Sept ans d’inquiétude en somme pour les fans de Renaud. A l’exception de l’annonce de Grand Corps Malade il y a quelques semaines ravi d’avoir réussi à convaincre le chanteur de se remettre à écrire, les nouvelles de l’artiste étaient aussi rares que peu rassurantes. Alors, ce mardi à la découverte de son dernier single, Toujours Debout dans lequel on le retrouve fidèle à lui-même et réconcilié avec la vie, l’émotion était vive. En moins de 24 heures le titre a enregistré près de 500000 vues sur Youtube, et était dans tous les titres, toutes les discussions, encensé.

On ne se serait pas étonné que Renaud le taiseux, 63 ans, n’en fasse pas cas, qu’il se tienne éloigné de ces chiffres, voit ces retour tellement positifs comme des flatteries sans profondeur. C’est d’une manière bien différente, étonnante, prouvant combien il avait avancé que l’artiste a réagi. Avec le style qui lui est propre, il a rédigé une lettre de remerciements à son fan club le plus conséquent. “Il s’est créé depuis mardi dernier et plus particulièrement depuis hier soir minuit un buzz qui me réjouit et m’envahit d’un bonheur indicible (…)Depuis hier soir minuit, jusqu’à aujourd’hui 15 h, je ne cesse de pleurer devant tous les messages de félicitations que j’ai reçus via internet, sms, mail et appels téléphoniques pour me dire que ma voix (?!), la mélodie et les arrangements de mon new title sont selon eux exceptionnels de rires, de larmes et d’émotions.”

Prenant soudain conscience de sa place dans la vie des gens, de l’insoutenable peur de le perdre qu’ont vécu certains, il s’est senti forcé d’être plus explicite sur son état de santé. Pour autant, Renaud est resté Renaud, pas question donc d’utiliser un ton larmoyant, pour aborder ce sujet délicat. Un peu de distance et de dérision se mêlaient alors à de vraies infos plus lourdes. “Je suis encore et toujours en pleine forme, me couche à une heure du mat’ me lève entre trois et cinq heures, pars fumer et boire force cafés dans la cuisine et lire, lire et encore lire jusqu’à midi, heure ou je gambade jusqu’à la close pour des rdv divers (…) je suis à l’eau minérale depuis 127 jours, aucun manque, en revanche toujours esclave du tabac (au lieu de 50 cigarettes par jour, je me limite difficilement à moins d’un paquet).”

Click Here: cheap kanken backpack

Le tout clos par une jolie signature, un beau pied-de-nez aux épreuves: “Renaud Le Phoenix, fossoyeur de Renaud le Renard”.

Message de Renaud.

"Cher Luc, cher public, chers adeptes de la page Facebook : "Renaud – Le phénix " ex "Soutenons…

Posted by Renaud le phénix onTuesday, January 26, 2016

Crédits photos : getty images

Jean-François Piège: sa femme, son soutien

Jean-François Piège, qui vient de remporter deux étoiles pour son Grand Restaurant au Guide Michelin, continue également de régner sur le programme de Top Chef. Il nous a reçu chez lui, dans son nouvel appartement, en compagnie de sa femme Élodie pour une séance photo exclusive.

Rencontrés en 2007 à l’hôtel du Crillon, Jean-François Piège et sa femme Elodie ne se sont plus jamais quittés. A l’époque, lui est derrière les fourneaux du palace, elle, est alors directrice de la communication. Trois ans plus tard, ils se marient. Depuis ce jour, le couple fait tout ensemble allant jusqu’à ouvrir leur premier établissement baptisé Clover, situé dans le très chic quartier de Saint-Germain-des-Prés. Une deuxième adresse a récemment ouvert ses portes non loin des Invalides sous le nom de Jean-François Piège, le grand restaurant et où la gastronomie sont évidemment à l’honneur.

Click Here: true religion jean short

Le rythme de travail étant soutenu, il quitte tous les jours la maison entre 7h30 et 8h30 et n’est pas rentré avant 1 heure du matin, Jean-François se félicite qu’Elodie travaille à ses côtés: “si ce n’est pas le cas, on ne se verrait pas” déclare-t-il en exclusivité à Gala. Ensemble, ils sont plus forts. Elodie estime que 90% de l’esprit de Jean-François va à la cuisine parce qu’elle le dégage des contingences du quotidien.

Un quotidien qui a été bouleversé avec l’arrivée de leur premier bébé, un petit Jean, né à la fin du mois d’août. Ce lundi, la jeune maman et son bébé ont largement félicité Jean-François Piège, couronné de deux étoiles au Guide Michelin pour son Grand Restaurant.

Bravo mon amour on est si fier de toi et de toute l'équipe du Grand Restaurant! 2 étoiles au Guide Michelin une si belle récompense qui nous pousse à donner le meilleur de nous même au quotidien pour le plaisir de nos clients ! Vive la gastronomie française ⭐️⭐️ @jeanfrancoispiege @nicomedkour @vicbatch @alex_mfreud @clement__bouvier @ninametayer #LeGrandRestaurant #JeanFrancoisPiege #michelin #cuisinefrançaise ??????

A post shared by elodiepiege (@elodiepiege) on

Crédits photos : william beaucardet